Rencontre du samedi 17 juillet 2004 à Sceaux

C’est plus de deux ans après cette rencontre, que j’entreprends de la résumée… J’essayerai de rendre ce résumé aussi complet que possible, tout en retranscrivant ce que je ressentais à cette époque face à la réalité de fin août 2006.

C’est à 8h30 que je décolle de chez moi avec mon père… c’est lui qui conduit la voiture et qui m’accompagne à la rencontre. Nous prenons l’autoroute A86.
Une fois arrivé à la bretelle qui dessert Sceaux, je remarque que les environs ne sont pas tout à fait comme je l’imaginais, les indications que j’avais donné pour la sortie ne sont donc pas tout à fait exactes… je m’en fais alors un peu pour les autres.
Avec mon père, on arrive à se repérer vite et à arriver a l’entrée nord-est du parc facilement. Il est 9h, on attend quelques minutes devant la grille et personne ne vient : on commence donc à visiter un peu le parc.
A 9h30, on retourne à la grille… toujours personne à proximité, on attend encore un peu, puis nous faisons de nouveau un petit tour dans le coin… Parallèlement, Tchoucky qui avait la vingtaine m’avait vue près de l’entrée mais ne savait pas que j’étais le Quentin de la rencontre Lyokofan et n’a donc pas osé me demande… elle est donc reparti ensuite… et n’a pas pu profiter de la rencontre.
Environ 20 minutes plus tard, on revient en croisant une fille d’environ 16 ans… Je la regarde, me demandant si ça pouvait être une des Lyokofans, elle passe finalement derrière moi et je n’ose pas me retourner. Mon père et moi, on s’arrête à la grille et cette fille vient vers moi un peu après… Elle me demande si je suis la pour la rencontre. Je lui réponds timidement que oui. C’était Hécate ! Elle s’installe ensuite contre la grille de l’entrée et commence à lire un manga en attendant les autres. Durant l’attente, elle me demande si je sais quand les autres arrive, et bien sur, je n’en ai pas la moindre idée, mais 20 minutes plus tard, on a la joie de voir Clem et Kikou arriver ensemble, tous les 2 plus vieux aillant la vingtaine ! Ils se sont surement rejoins à la gare RER, on leur dit bonjour et on attend à présent l’arriver de Yuna X-2 !
Au bout d’un moment, on se décide à l’appeler, elle avait laissé son numéro de portable… Et on apprend qu’elle est toute proche ! Sur l’A86, mais prise dans les bouchons…
C’est 1/4 d’heure plus tard qu’on voit une jolie demoiselle de 14 ans arriver ! Et qui fait sonner son portable en passant la grille… la musique de Code Lyoko s’en dégage. Une manière de s’identifier face à nous !
On lui dit alors bonjour et on commence à discuter.
Malgré le fait que la conversation est un peu givrer, on se plait entre Lyokofans ! Et au fil du temps, la glace se dégivre. Même si… pour ma part, je n’arrive pas à parler, je ne me sens pas à l’aise, trop timide… Quand on me pose une question sur le site, je réponds aussi vite ce que je peux, c’est en effet l’époque ou je ne maitrisais pas parfaitement bien encore le html qui me sert à faire cet espace web et ou je n’étais pas parfaitement bien organisé.

Au bout d’un moment, on entreprend une balade du coté du lycée Lakanal ! Modèle reconnu du collège Kadic. Nous en faisons gaiement le tour… tout en repérant les ressemblances avec le dessin animé.
« Ho tiens ! Le même poteau électrique a l’entrée du collège ! Raccorder pareil… »
« Et si on entrait ? »
On a en effet demandé si on pouvait entrer dans le lycée… c’était non, on ne pouvait pas sauf autorisation, pas de chance…
Comme l’avait fait remarquer Hécate, on marche à l’envers… A l’habitude, on fait remarquer le fait que le DA ressemble a la réalité, dans ce cas précis, on fait remarquer que la réalité ressemble à notre Code Lyoko !

Apres en avoir fait le tour et être revenu au parc de Sceaux, midi approche et Hécate nous conduit dans un super marcher pour qu’on puisse s’acheter de la nourriture et de la boisson pour se restauré… Ne sachant pas quoi acheter (je vais jamais en magasin) j’ai l’air cruche… finalement, je partagerais les madeleines avec Kikou tendis que les filles se goinfres de salades !^^  Suivi de cookies… qu’elles sont gourmande !

Une fois que notre appétit est étouffé, nous retournons une nouvelle fois au parc de Sceaux !
Les parents de Yuna X-2 et mon père acceptent de nous conduire en voiture jusqu'à Boulogne-Billancourt pour qu’on puisse voir l’usine !
Nous montons donc en voiture… En passant par l’autoroute A86 puis par la nationale N118. On débouche pile sur le pont de Sèvres ou l’usine trône à droite sur l’île Seguin !
La voir enfin en vrai est un moment fort… Elle est vraiment énorme cette usine… géante… titanesque… 1km de long…
Nos parents garent la voiture sur le quai, ou ils arrivent à trouver de la place. A Paris, les places coutes chers… et une fois trouver, nous descendons !

On se rapproche alors du pont de l’usine Renault… Un beau pont teinté de bleu. Le pont est à tout point identique ! Malgré la couleur dans Code Lyoko qui est plus proche du marron/orange.
Cependant, les égouts ne sont pas présent au même endroit sur ce pont, la physionomie des routes n’est pas exactement la même non plus… Mais ça nous permet tout de même de rêver, ou Kikou nous faisait déjà délirer en nous racontant les périples de nos héros sur la Seine…
Par ailleurs, des engins de destructions alias bulldozers étaient positionner sur l’ilot, alors qu’environ 40% de l’usine était démolit de l’autre coté… Une façon de dire que Xana avait triomphé.

Nous revenons ensuite sur nos pas pour rejoindre la voiture.
C’est la qu’on aperçoit un grand bâtiment avec une grosse parabole sur son toit… Serait cette fameuse parabole de l’épisode satellite ? Encore une manière de comparer le monde réel avec cette série avant tout. Car, être fanatique, c’est faire passer sa passion avant !

On rejoint alors de nouveau le parc de Sceaux en passant cette fois par les villes… mon père semble s’y connaitre, moi pour ma part, je ne suis pas super rassurer…
Finalement, on arrive à bon port.
Je leur dit au revoir, et leur dit chaudement à bientôt !

Cette rencontre avec Hécate, Kikou, Clem, et Yuna X-2 était réellement superbe, je ne regrette pas d’y avoir participé.
À l’époque ou nous étions la seule communauté sur le net !