87. PLANÈTE BLEUE

Citations de l'épisode Planète bleue

Odd : Ca y est, c’est la fin du monde !
Ulrich : Qu’est-ce qui se passe, y a plus de couscous boulettes à la cantine ?


Odd : Je veux pas qu’on le laisse tout seul dans cette usine glaciale. En ce moment, je le trouve pas dans son assiette. (prenant un ton théâtral) C’est fichu. Il va finir à la fourrière ou pire, dans un affreux cirque ambulant attaché à une fusée comme un chien canon !


Jim : Ah, les bonnes vieilles inspections surprises ! Ca vous embellit le quotidien le plus morose. Regardez, on a déjà dégoté une cafetière électrique, un thermoplongeur, et un appareil à raclettes pour douze personnes. C’est comme une grande aventure. Là, par exemple, dans la chambre de mademoiselle votre fille. On est comme qui dirait pareils à des explorateurs de mondes étranges et mystérieux face à l’inconnu. Tenez, derrière cette porte, qui peut deviner sur quoi on va tomber ? Une boîte d’allumettes ? Un fer à friser défectueux ? Un instrument puissant imaginé par le cerveau dégénéré d’un scientifique dément ?


Odd : Merci, Yumi, je sais pas ce qui me retient de t’embrasser !
Yumi (effarée) : Moi, je te retiens.


Jim (dans le cadre de l’inspection visant à trouver des objets susceptibles de provoquer un incendie) : Ishiyama, Della Robbia, Stern, Belpois et Stones. Toute la brochette au grand complet. Il ne reste plus qu’à trouver le barbecue. Héhé.


Yumi : Tu vas attirer mon imbécile de frère, je l’entends d’ici « Qu’est-ce qu’il fait là, ce clébard hideux ? »
Hiroki (entrant) : Mais qu’est-ce qu’il fait là ce clébard hideux ?


Yumi (à propos de Kiwi) : T’inquiète pas, c’est Hiroki qui s’en occupe.
Odd : Hiroki ? Mais t’es dingue ! Souviens-toi de ce qui est arrivé à mon regretté Jean-Pierre [Le tamagoshi. Jeté sur la chaussée.]


Hiroki (répondant machinalement au téléphone) : Désolé, on a déjà une cuisine toute équipée.


Aelita : A votre avis, on va tomber sur qui, cette fois ?
Yumi : Une réplique du territoire de la banquise.
Ulrich : Moi, je penche plutôt pour la montagne, et toi, Odd ?
Odd : J’aurais dû lui racheter des croquettes bios auto four.


Jérémie : Yumi et Odd, vous êtes volontaires pour la translation.
Odd : A vos ordres, Amiral Einstein !
Jérémie : Repos, Caporal blagues à deux balles.


Jérémie : Dans l’espace ! Vous êtes dans l’espace !
Odd : Bravo, Einstein, t’as gagné un aspirateur de table !


Yumi (à propos de la planète Terre) : Elle est si belle. Elle semble si fragile…
Odd : Il tombe malade alors que je lui ai toujours donné de bonnes choses à manger. Je me demande s’il est pas en train de couver un truc plus grave.
Yumi : Odd, tu te trouves devant le plus beau spectacle que tu verras dans toute ta vie, et toi, tu ne penses qu’à la pâtée de ton chien ?
Odd : Pas de la pâtée, des croquettes, j’insiste !


Odd (flottant) : Vers l’infini, et au-delà !


M. Ishiyama : Mais qu’est-ce que j’ai fait de mes clés, moi ?
Mme Ishiyama : Et dans ta mallette ?
M. Ishiyama : Oh, bien sûr. Où ai-je la tête ?
Mme Ishiyama : Avec tes clés peut-être.


Ulrich (manquant de se faire écraser) : Pas question de s’aplatir devant toi, Xana !


Odd (poussé par Yumi pour l’éloigner de la trajectoire des sphères) : Hé, j’ai rien dit !


Aelita (imitant la voix d’Odd, ayant raté William et tiré sur le Skid) : Mais t’y crois pas ! Quelle idiote !


Odd (Venant d’ « aérer » la station orbitale) : Hé ben voilà, ça sent tout de suite un peu moins la vieille chaussette du cosmonaute.


Ulrich (sortant du scanner, écrasé par le plafond du Réplika) : Hé ben dis donc, je suis complètement à plat, moi !

Citations retranscritent par L'anonyme

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