Légende : didascalies (pour les incultes, didascalies = action des personnages), expressions
*pensée des personnages*
Nos amis se promenaient ensemble tranquillement dans la ville pendant que Jérémie et Aelita étaient encore au labo, en train de faire (encore) d’innombrables calculs pour un programme dont les autres ne savaient rien.
Ils faisaient du shoping, couraient dans les parcs, enfin bref ils se détendaient et s’amusaient pour oublier un peu XANA et leur quotidien de sauveurs du monde.
Hé oui c’est dur la vie de héros ^^
Ils marchaient dans une rue déserte, quand soudain, une femme apparue au coin de la rue, visiblement apeurée. Elle était suivie par deux hommes en noir qui lui criaient de s’arrêter.
Jetant sans arrêt des regards derrière elle, elle n’aperçut pas Odd, Ulrich et Yumi et leur rentras dedans.
???? affolée : Ho ! Excusez-moi, je ne vous ais pas fais mal ?
O grognant : Nan, ça va mais quand même, vous pourriez regardez devant vous !
????: Vraiment désolée mais je suis poursuivie par deux hommes qui, apparemment, veulent m’enlever !
U : Hein ?!?! Vous en êtes sure ?
Y : Regarde Ulrich ! Les voila !
En effet, des hommes en costume noir (genre MIB) venaient de débouler du coin de la rue.
????: Regarde, elle est là-bas !
????: Vite on l’attrape et on rentre !
U : En effet, ils ont l’air de vous en vouloir…
O : On fait quoi ?
Y : Ben, on la défend abruti !!
????: Non ! Je peux très bien m’en sortir toute seule !
U : Ben vus la façon dont ils vous courent après, je ne pense pas…Yumi ?
Y : Oui Ulrich ??
U : On leur fait une petite démo de Penchak-Silat ?
Y avec un sourire complice: Chui à fond dedans !
U : OK ! C’est parti ! Odd, protège la dame !
O : Mais euuuuuuuuuhhh…
Mais Ulrich et Yumi ne l’entendirent pas et fonçait déjà sur les 2 hommes.
O courant aider ses amis : Rrraaaaaahhh ! Mais c’est pas vrai !
Ils vont en prendre plein la tête !
Madame, cachez vous je reviens !
Odd les rejoignis et réussi a attraper la jambe d’un des 2 hommes.
???? secouant sa jambe : Non mais tu vas me lâcher la jambe, sale petit morveux !
O : Ulrich ! A toi !
La bataille faisait rage avec Yumi qui avait momentanément assommé l’un des types avec une prise de Penchak-Silat, Odd qui tenait bon, accroché à la jambe de l’homme et Ulrich qui lui sautas dessus pour lui mettre une beigne.
Nos héros avaient, non sans mal, maitriser les hommes qui partirent tout en s’adressant à la jeune femme.
???? courant: Toi, ne crois pas qu’on t’oublie ! On se reverra un jour ou l’autre !
???? se massant la mâchoire : Ouais et cette fois-là, tu ne nous échapperas pas !
Ils disparurent au coin de la rue puis on vit une Berline noire s’en aller sur les chapeaux de roue avec nos deux hommes à l’intérieur.
???? soulagée : Hé bien !! Je vous remercie du fond du cœur !!
O : Nan, c’est rien ! Puis admettez que vous en aviez besoin !
U,Y : ODD ! Arrête de frimer !
U : Tout va bien, madame ?
????: Oui merci beaucoup mais comment vous appelez-vous ?
Y : Ben moi c’est Yumi, voici Odd et Ulrich. Et vous ? Vous vous appelez comment ?
????: Moi ? Je donne rarement mon prénom à des inconnus mais vous m’avez sauvée,
alors je m’appelle Anthéa.
(Petite précision : Pour évitez les confusions, Ae=Aelita et An=Anthéa)
U : Anthéa ? Il me semble déjà avoir entendu ce prénom…
*Non, quand même pas ! Ca serait trop beau !*
U : Sans être indiscret, quel est votre nom de famille ?
An étonnée : Et pourquoi voulez-vous le connaître ?
U avec un sourire : Juste pour savoir…
An soupirant : Bon d’accord. Je m’appelle Anthéa Hopper !
A suivre…
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An : Je m’appelle Anthéa Hopper !
Un silence se fit, nos héros se regardèrent.
Y bégayant : A...Anthéa Hopper ?
An surprise : Quoi ? Vous me connaissez ??
O : Oh oui, on vous connaît ! Et, ça va vous faire un choc, mais on connaît aussi votre fille !
An choquée : Ma…Ma fille ?!?! Vous connaissez Aelita ?!
U : Oui c’est une des nos amis. Suivez-nous, on va vous conduire à elle.
Anthéa, toujours sous le choc, décidât de les suivre jusqu’à l’usine.
An pensive : Mais je connais cet endroit ! Mon mari venait souvent ici !
Y : Ben venez ! Prenez l’escalier. Les cordes ne peuvent pas supporter le poids d’un adulte.
Ils descendirent tous. Pendant ce temps, dans la salle de contrôle…
J : On approche du but Aelita ! Le programme est presque prêt.
Ae : Tant mieux ! Ca faisait si longtemps qu’on travaillait dessus que j’ai cru qu’on y arriverait jamais… Mais, attend… C’est quoi ça ?
Aelita montrait à Jérémie une fenêtre qui venait de s’ouvrir sur l’écran.
Elle écarquilla les yeux.
Ae : P... Papa ?! C’est toi ?
F : ..ui ….ita… est…moi…ais….tend…ication…auvaise…
J : Attend, je vais reconfigurer le pare-feu du supercalculateur pour laisser la communication passer.
Jérémie fit quelques manipulations et l’image devint beaucoup plus nette
et sans coupure de son.
F : Ah ! C’est beaucoup mieux ! Alors mon ange, ça va ?
Ae : Mais papa ! Comment tu est encore vivant ?! J’ai vue ton enveloppe virtuelle exploser de mes propres yeux !
F : Aelita, ma chérie, tu ne croyais tout de même pas que j’allais m’exposer ainsi aux attaques de XANA… Ce que tu a vu exploser n’était qu’une copie, un faux comme les clones que tu utilise pour tromper les Gardiens ! Mais tu n’as pas répondu à ma question.
Ae : Oui papa ça va très bien !
F rigolant : Oui je vois ça ! Surtout la façon dont tu es proche de ton ami qui m’as tout l’air d’être un peu plus qu’un simple ami…
Jérémie et Aelita se regardèrent puis devinrent tout rouge.
F : Mais revenons au sujet de mon contact… Durant mes voyages dans le réseau, j’ai trouvé des données qui pourraient aider à créer un programme de matérialisation pour moi. Jérémie ? Tu te sens capable de m’aider ?
Jérémie regardas Aelita puis Franz et répondit.
J : Oui bien sur que je m’en sens capable ! Et toi Aelita ?
Ae : A ton avis… Bien sur ! Je ferais tout pour revoir mon père…
F : Alors au travail !
Aelita et Jérémie se mirent au travail avec les données de Franz… Pendant ce temps, en haut du monte-charge…
An inquiète : Vous êtes sur que ce vieux monte-charge fonctionne ?
O : Mais oui bien sur qu’il fonctionne ! Vous pouvez nous faire confiance !
Y : Allez, venez, votre fille est en bas !
Cette parole motiva Anthéa qui rentra dedans. Ulrich appuya sur le bouton du monte-charge qui commença sa descente.
Jérémie, entendant le bruit, activa le micro du monte-charge.
J : Qui est là ? C’est vous les copains ?
La réponse ne se fit pas attendre.
O : Hey oui Einstein, c’est nous ! Et on est avec une personne qui va ravir Aelita !
Aelita fit les yeux ronds.
Ae douteuse : Et qui est cette fameuse personne ?
Dans le monte-charge, Anthéa, entendant la voix de sa fille se mit à pleurer de joie.
An : Aelita ? Est-ce que c’est bien toi ?
Ae : Je connais cette voix… Mais… C’est pas possible ! Maman ?! C’est toi ?!
Elle courut se poster devant la sortie. Lorsqu’il s’ouvrit, Aelita tomba presque dans les pommes. Anthéa prit sa fille dans ces bras. Elles pleuraient de joie
Ae : Maman ! Tu est enfin revenue ! Mais c’est pas possible ! Tu avais…
An : Disparue, je sais… Mais maintenant, je suis la…
Les autres étaient ému. Jérémie était abasourdi.
J : Vous êtes Anthéa Hopper ?
An : Oui c’est bien moi !
J : Et bien je pense qu’après toute cette absence, vous souhaitez aussi voir votre mari ?
An : Mon mari ?! Vous savez ou il se trouve ?
J : Oui, venez devant l’écran !
Elle s’exécuta, suivie par les autres. Lorsque Franz vit sa femme, il hurla.
F : ANTHEA ?!?! OH mon dieu c’est bien toi ?!
Anthéa fut surprise en entendant la voix de son mari et le chercha des yeux.
An : Franz ?! Mais ou est-tu ! Je ne te vois pas !
F : Je suis la ! Regarde l’écran !
Lorsqu’elle vit Franz, elle hurla presque.
An : Franz !! Oh mon chéri ! Mais ou est-tu ?!
F : Je suis dans le réseau… Mais je pense que tu ne sais pas ce que c’est.
Je vais laisser Jérémie t’expliquer.
Les explications furent longues mais Anthéa les suivies avec attention. A la fin, elle regarda Jérémie puis l’écran.
An : Alors tu est retenu sur ce monde virtuel… Mais quand pourrais-je te voir ?
F : Tu va pouvoir venir me rejoindre avec tout les autres. Jérémie ?
J : Oui ? Qu’est-ce qu’il y a ?
F : Matérialisez-vous sur Lyoko. J’ai recréé notre chalet dans une bulle virtuelle.
Ae : Notre chalet… Tu parles de celui ou…
Franz baissât la tête
F : Oui Aelita… Ce même chalet ou ta mère a été enlevée… Mais maintenant, elle est libre et c’est le plus important ! Alors venez !
An : D’accord ! Mais comment ?
Ulrich, Yumi et Odd étaient déjà dans le monte-charge.
U : Venez ! On est 6, il y a 3 scanners c’est parfait ! Jérémie, tu nous matérialise puis Franz prendras les commandes pour vous matérialisez Aelita, Anthéa et toi !
F : Moi ça me va.
O : Alors c’est parti !
Ils descendirent dans la salle des scanners. Anthéa contemplas ces gros cylindres de métal.
An : Et ça c’est quoi ?
J : Ce sont des scanners qui nous permettent d’aller sur Lyoko. Ca fait bizarre la 1ere fois mais on s’y habitue vite.
Y rigolant : Pas comme toi Jérémie !
Ils s’exclamèrent de rire sauf Jérémie qui fis semblant de bouder.
Ae : Allez Jérémie ! Viens !
Il continuait de bouder.
Ae : Bon d’accord… j’ai un petit quelque chose qui va te faire changer d’avis…
Elle s’approcha et l’embrassa sur la joue. Jérémie était maintenant rouge pivoine.
J bégayant : Aelita, je….
Ae : Chut, plus tard… maintenant viens !
Elle l’entraina par la main dans la salle sous le regard tendre de sa mère.
Les autres avaient déjà plongé.
F : Allez entrez dans les scanners.
Anthéa avait un peu peur mais pris place dedans, réconfortée à l’idée qu’elle allait revoir son mari. Les scanners se refermèrent.
Un courant d’air chaud les souleva, puis une lumière éblouissante les recouvris tandis qu’ils se matérialisèrent sur Lyoko. Anthéa avait pratiquement la même tenue qu’Aelita sauf qu’elle était vert pomme avec un bracelet en forme de cœur pour ses ailes d’un beau vert foncé et comme arme, elle avait le don de création de sa fille couplé à la maitrise des éléments (glace, terre, eau, sable, etc.).
Jérémie, lui, s’était reprogrammé une tenue nettement meilleure que la précédente.
On aurait dis une combinaison de plongée bleu foncé avec des rayures verticales dorées et pour armes des lames d’énergie de la taille de son avant-bras d‘un vert très sombre qu’il pouvait faire apparaître en prolongement de ses bras.
O : Ouah Jérémie ! T’as trop la classe dans ce costume ! Je t’envierais presque !
Ae impatiente : Allez ! C’est pas le moment de s’admirez, on doit rejoindre mon père !
U : Ah oui c’est vrai… Mais elle est ou cette bulle virtuelle ? Et on s’y rend comment ?
Y :Pour la bulle, on l’aperçoit d’ici et pour s’y rendre… On fait la course ?
O : Ok c’es parti !
Ils se mirent à courir dans la direction de la bulle sans se douter
que quelque chose les observait…
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Ils couraient lorsqu’un laser vint frapper Ulrich à l’épaule.
Y : Ulrich ! Ca va ?
U : Ouais je crois mais d’où il sort ce laser ?
Ils levèrent les yeux et aperçurent un Crabe suivi de deux Kankrelats.
J : Mais c’est quoi ce souk ?! D’où ils sortent ceux-là ? XANA étant éliminé, ces monstres ne devraient pas exister ! A moins que …
Ae : Jérémie ! Regarde ! Ce n’est pas XANA qui les contrôle ! Ils n’ont pas d’œil de XANA sur leurs carapaces !
O : Ah ouais ! En plus ceux de XANA sont rouges alors que ceux-là sont bleu foncé !
An : Donc si j’ai bien saisi, leurs points faibles étaient l’œil de XANA, mais comme ils en ont plus, on les tuent comment ?
J : Leurs yeux ! Ils sont violets ! D’après moi, un autre programme multi-agent a infecter le Supercalculateur et s’est servi des modèles de monstres que XANA avait créé.
U : Ben dans ce cas, on rentre au labo et on le passe à l’antivirus !
Ae : Ulrich, on avait gardé l’antivirus installé dans le Supercalculateur… Donc il est inefficace face à lui !
Y : Ben on se dévirtualise et on remet la visite a plus tard !
J : Ben en même temps, on a pas trop le choix….
O : Youhou ! Petits Kankrelats ! Je suis là, tirer moi dessus !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Les autres se firent dévirtualisés de la même façon.
J : C’est bon ? Tout le monde est là ?
Y, U : Présents !
An : Un peu chamboulée mais ça va.
Ae : Pareil.
O : Moi je pète la forme !
J : Ok. Bon, on va remonter pour prévenir ton père et voir ce qu’on peut faire…
Dans la salle de contrôle, la tension était palpable.
F : Donc vous avez été attaqué par des monstres de XANA contrôlés par un autre virus…
J : Ouais et j’y comprends rien ! Déjà, comment il a fait pour rentrer dans le SC (abréviation de Supercalculateur), ensuite comment il a trouvé les informations des monstres ?
Ae : Ben pour les monstres, XANA avait du sauvegarder les infos dans un endroit secret.
F : Ah moins que… Mais oui bien sûr ! Jérémie, je pense qu’il a utilisé la même fréquence de connexion que moi ! Et comme tu a reparamétré le pare-feu, le virus a pût passer !
J : Raahhh !! Chui qu’un gros nul !
Il se prit la tête dans les mains. Aelita s’approcha de lui et lui parla.
Ae : Mais non Jérémie, c’est pas ta faute ! Tu pouvais pas savoir…
J : N’empêche… Si j’avais fait plus attention, ça ne serais pas arrivé…
Y : Allez Jérémie, te tracasse pas pour si peu ! On fera comme pour XANA, on va le combattre ! Et il ne nous échappera pas !
U, Ae, U : Ouais !
U : T’as raison Yumi, ce XANA bis va pas nous gonfler longtemps !
Ae : Odd, toi qui est fort pour trouver des surnoms, tu vas l’appeler comment celui-là ?
O : Hum… Voyons, ses monstres sont bleus… Pourquoi pas Trident ?
An : Trident ? Comme l’arme de Poséidon, le dieu des océans ?
O : Ben ouais ! Ca vous plaît pas ?
Y : Si c’est pas mal. Alors qui vote pour Trident ?
La réponse fut unanime.
An : Mais on a comme un petit problème… Je vais dormir ou moi ?
J : Vous n’avez qu’à dormir à l’Hermitage ! Comme on a pas cours de la semaine à cause des profs qui font une formation, on va vous aidez à y retaper !
U : Moi ça me vas. J’aiderais à déplacer les meubles…
Y : C’est ça oui… T’as pas fini de te vanter ?
O mort de rire : Effectivement, messieur Muscle !
U : Odd ? Tu veux que je te montre la nouvelle prise de penchak-silat que j’ai appris hier ?
O : Euh… Sans façon merci !
J : Bon c’est pas tout ça mais il est quand même 21H00 !
An : Je pense que je vais passer la nuit à l’usine...
Ae choquée : Mais pourquoi ?! Tu ne veux pas rester avec moi ?
An : Si ma chérie mais ton père et moi, on a des tas de trucs à se dire…
Et puis, je n’ai nul part ou allez pour l’instant...
Ae : Ah d’accord… Mais je passerais te voir demain pour commencer les travaux !
Yumi ? T’aurais pas des affaires ou quelque chose comme ça pour ma mère ?
Y : Euh… Si ! Dans ma chambre, j’ai un matelas pliable !
O : Et nous on a des couvertures en rab dans notre armoire !
Y à Anthéa : J’espère pour vous qu’elles ne sont pas rangées près des chaussettes d’Odd !
Les autres étaient morts de rire sauf Odd qui se mit à faire la tête.
O : Ahahahah ! Très drôle Yumi !
Y : Nan je blague ! Allez arrête de bouder ou je te chatouille à mort !
O : Tu oserais pas ?!
Y : On pari ? Tous sur lui !!
O : Nooooooon !
Il n’eut pas le temps de s’enfuir qu’Aelita, Ulrich et Yumi lui avaient sauté dessus et le chatouillaient à mort.
O se débattant : Non ! Stop ! Arrêtez ! Pitié !
Ae : D’accord ! Mais tu arrête avec tes vannes foireuses jusqu’à lundi prochain, sinon…
O : D’accord ! D’accord ! Je me soumets… Ulrich ? Pourquoi tu me fais la tête ?
Y : T’as pas vu son œil ?
O : Ben il a quoi son œil… Ah ouais d’accord ! Méchant l’œil au beurre noir ! Mais il s’est fait ça comment ?
Ae : Je pense qu’en te débattant, tu lui as mis un pain !
O : Oups ! Désolé Ulrich !
Ulrich fit une sorte de grimace qui était un mélange d’amusement et de douleur.
U rigolant un peu : Désolé ? Désolé ?! Tu vas voir si je suis désolé !
O : Noooon ! Au secours ! Aidez-moi ! Je vais mourir !
Il voulut sauter pour remonter par le corridor mais sa main glissa de l’échelle et il tomba sur Ulrich qui le poursuivait.
U : Aieuhhhh ! T’es maigrichon mais tu pèse lourd !........ Eh oh t’es là ?
An : Je crois qu’il s’est assommé…
J secouant la tête : Oh le boulet… Bon je vais t’aider à le ramener dans sa chambre. Yumi et Aelita, allez cherchez le matériel pour Anthéa.
Y, Ae : Ca roule !
Il sortirent de l’usine, Jérémie et Ulrich portant Odd jusque dans sa chambre, Yumi alla chercher le matelas pendant qu’Aelita prit les couvertures pour sa mère dans un sac tandis que cette dernière discutait avec Franz.
Avant de se coucher, Jérémie avait, avec l’aide de Franz, reconfigurer le SuperScan pour détecter les tours activées par Trident qui avaient un halo violet.
Ils s’endormirent tous en pensant aux journées suivantes, qui s’annonçaient particulièrement mouvementée…
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Le lendemain, il s’était tous rendu à l’Hermitage sauf Anthéa qui est resté à l’usine pour parler avec Franz et Jérémie qui s’était poser dans un coin du jardin de l’Hermitage pour bosser avec Franz sur un programme de matérialisation.
J : Bon Franz, je crois qu’on va laisser ça pour aujourd’hui, en plus on doit aider votre femme à s’installer et la maison est loin d’être rénovée.
O : Jérémie ! Viens m’aider a redresser le canapé !
J : Bon allez Franz, à plus ! Et si Anthéa veut venir nous aider, ce sera pas de refus mais on l’oblige pas !
F : Attends…. Elle me dit qu’elle arrive dans 10 min.
J : Bien. Au revoir !
O : Ho Jérémie, tu te grouille ? On va pas y passer la journée !
J : Raaah c’est bon j’arrive !
O : Pas trop tôt !
Ils essayèrent mais n’y arrivèrent pas.
O : Pffiuu… Il est en plomb ce canapé ou quoi ! .... Hey Jérémie, j’ai une idée ! T’as qu’à me Jérémifier comme quand j’a combatu Yolande !
J : Bof, moi je sais pas trop… C’est clair qu’en te Jérémifiant, toi et Ulrich, ça irai beaucoup plus vite mais Trident est plus puissant que XANA alors si il prend le contrôle de la tour, je ne sais pas ce qui pourrait arriver…
O : Ah ouais j’avais pas pensé à ça… Bon pas grave, je vais chercher un truc pour faire levier.
J : Ok.
Odd descendit dans le jardin pour chercher une barre de fer.
O : Tiens en voilà une ! … Nan pas assez solide… Hey j’y pense ! Y doit bien y avoir une voiture dans le garage ! Et dans les voitures, il y a….. un cric !
Dans le garage…
O : Wahou la bagnole ! Trop classe ! Bon c’est pas tout ça mais il est où ce cric ? …. Zut ! Y’en a pas dans le coffre ! Mais peut-être que dans ce bazar à coté…
Il se retourna et se mit à fouiller dans le tas de matériel se trouvant dans un coin du garage mais il ne vit pas l’ombre s’échappant d’une prise et se dirigeant vers la voiture…
O : Haha ! J’ai enfin trouvé ce fichu cric !... Mais c’est quoi ce bazar ?!
La voiture démarre toute seule ?...
Il s’approcha de la voiture.
O : Y a quoi dans le rétroviseur ? Ho non… le symbole de Trident ! AU SECOURS !!!!
Ses amis qui avaient entendu le cri s’étaient postés à la fenetre et virent Odd se faire poursuivre par une voiture énormément boostée.
An : Mais qu’est-ce qui se passe ?
J : Mince alors ! Trident possède aussi le pouvoir de créer des spectres ! Faut aller à l’usine désactiver la tour !
Ae, An, Y : Ok !
Y : Et toi Ulrich tu viens pas ?
U : Attend, tu crois quand même pas que je vais laisser Odd se faire aplatir ? Foncez à l’usine et vite !
J : Allez venez ! On va passer par les égouts !
Ae : Mais on n’a pas nos véhicules donc va falloir courir !
Nos amis entrèrent par la porte qui menait aux égouts pendant qu’Ulrich essayait de crever un pneu de la voiture avec un pistolet à clous.
U : Raaah zut ! Cette caisse va trop vite.
O haletant : Ouais ben trouve autre chose ! Sinon je vais finir en crêpe !
U avec un sourire : Pour un ventre à pattes comme toi, ça serait un comble ! Allez viens la ! On va rentrer dans la maison et on sera à l’abri !
Ils coururent et passèrent la porte.
O : Pfiuu … C’est pas passer loin ! Je te dois une fière chandelle !
U souriant : Ah ouais ? Ben tiens !
O : Aïe ! Pourquoi tu me frappe ?!
U : Ma petite vengeance pour l’œil au beurre noir !
O : Ouais… Je t’ais dis que j’étais désolé !
U : Mouais… Mais attends… On entend plus la voiture, c’est normal ?
O rigolant : Avec Trident, rien n’est normal ! Bon, on va pas attendre que ce cher Trident nous envoie une invitation !
Ils passèrent par le même chemins que leurs amis pour rejoindre l’usine.
Pendant ce temps, nos héros étaient sur le territoire Banquise et se battaient contre 1 Mégatanks, 3 Tarentules, 2 Bloks et 5 Kankrelats.
Ae : Champ de force ! Jérémie ? Ou en sont Ulrich et Odd ?
Y : Ouais parce que ça commence à chauffer !
J : Ils viennent de me téléphoner. Ils arrivent dans pas longtemps.
An : Tant mieux ! Pluie de glace !
Des cristaux de glace géants tombèrent du ciel numérique et aplatirent 2 Tarentules, 3 Kankrelats et poussèrent le Mégatanks dans la mer numérique.
Ae : Wahou Maman ! T’es trop forte !
An souriante : Je commence à m’y faire.
Y : Tant mieux…. Aelita, attention !
Mais il était trop tard. Aelita venait de se faire congeler par un Blok.
Yumi envoya ses éventails et détruisis 1 Blok et les 2 Kankrelats restants.
Anthéa, elle, invoqua un sceptre de glace (son pouvoir s’accorde avec le territoire
ou elle se trouve) et l’enfonça dans l’œil du Blok restant.
An : Aelita ! Jérémie, qu’est-ce qui se passe !
J : Aelita s’est fait congeler, elle en a pour 5 min mais…… on aura pas autant de temps !
Y : Et pourquoi ça ?
J : Ben tout simplement parce que Ulrich et Odd se battent contre un possédé et des zombies comme avec Kiwi xanatifié dans l’usine.
An : Aelita peut désactiver les tours, mais je suis sa mère ! La tour devrait m’accepter aussi !
J : On a pas trop le choix… Foncez ! Le tour se trouve à 25° Est de votre position.
Y : Non moi je reste pour protéger Aelita des monstres qui arrivent.
Elle arriva à la tour et s’en approcha.
An : Et maintenant ?
J : Plaquez-vous contre la paroi. Si la tour vous accepte, vous passerez à travers.
An : D’accord mais évite de me vouvoyez, ça …
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’elle fut happé par la tour.
An : Oui ! Ca marche ! Bon je monte la désactiver.
Pendant ce temps, Ulrich venait de se faire assommer et Odd le tira dans une pièce et barricada la porte.
O : Bon ça devrait tenir.
O à son portable : Bon Jérémie, pour la tour, c’est quand tu veux !
J : T’inquiete, Anthéa va la désactiver d’un moments à l’autre.
O : Anthéa ? Elle peut désactiver les tours ?
J : Odd… C’est la mère d’Aelita et, à ce titre, elle a les mêmes gènes qu’elle. La tour peut donc la reconnaître !
O : Ok mais dépêche t….
Odd ne put finir sa phrase car la porte avait lâchée et l’avait assommé en lui tombant dessus. Le possédé s’en approcha tandis que les zombies les tenaient.
Anthéa arriva à l’étage de la tour, s’approcha et sursauta quand la fenêtre apparut.
An : AH ! C’est quoi ça ?
J : L’interface de la tour. Posez votre main dessus, les autres ne vont pas tenir très longtemps !
En effet, les zombies s‘étaient massés autour des 2 jeunes et le possédé créa 2 boules d’énergie.
Dans la tour, Anthéa avait posé sa main.
ANTHEA
CODE……
Le spectre lança son coup.
LYOKO.
Les boules d’énergies s’arrêtèrent avant de toucher les 2 ados.
An : Jérémie ? C’est fait !
J : D’accord, je lance le retour vers la passé !
Un halo blanc recouvrit l’usine, le collège, puis la terre entière.
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Ils se retrouvèrent à l’Hermitage.
An : C’était quoi ça ?
Ae : Le retour vers le passé. Un programme permettant de revenir dans le temps avec une certaine limite bien sûr.
An : Ca fait bizarre de revivre les mêmes événements.
U : Ouais mais nous on s’en souvient parce qu’on a déjà été virtualisés sur Lyoko.
O : Bon c’est pas tout ça mais tout ces effort, ça…
Y : Te donne faim ?
O : Comment tu sais ??
Y : L’habitude !
Il y eut un fou rire général puis ils se dirigèrent vers la cuisine.
U : Comme on est pas à la cantine, on va devoir faire à manger.
Ae : Facile à dire… Depuis le temps que l’Hermitage est inhabité, tout ce qui se trouve dans les placards est immangeable ! Sauf les conserves mais le gaz n’est pas encore rétabli…
J : On a qu’à aller manger à la cantine ! On demandera à Rosa de faire un repas en plus pour Anthéa et on dira que c’est exceptionnel parce que la mère d’Aelita vient la voir de Hollande !
An : De Hollande ???
J : Ah oui c’est vrai, vous êtes pas au courant… La matérialisation d’Aelita date d’à peu près 3 ans. Alors on a dû… comment dire… lui créer une fausse identité….
An : Ah d’accord… Ben c’est pas grave ! On va faire avec pour l’instant puis on régularisera la situation plus tard.
Ae : Promis ?
An : Promis !
De retour au collège, Anthéa était un peu perdue car elle se souvenait que c’était là que Franz travaillait… Au même moment, le directeur passait sous les arcades quand il aperçut la jeune femme.
D : Bonjour Madame. Vous cherchez quelqu’un ?
An inquiète : Non. Je suis de passage de Hollande pour voir ma fille.
D : Votre fille… Ca ne serait pas Aelita Stones par hasard ?
An : * Stones ? Ca doit être le nom qu’elle s’est inventée…*
An : Si. Comment avez-vous devinez ?
D : Hé bien, vous et elle avez une… disons…. particularité. Vos cheveux roses…
An : Oui. Et comme je suis de passage, je me demandais si…
A ce moment, le groupe arriva.
Ae feignant la surprise : Maman ?! Mais qu’est-ce que tu fais ici ?
An : Hé bien, quel accueil chaleureux ! Tu n’est pas contente de me voir ?
Ae serrant sa mère dans ses bras : Si ! Mr Delmas ?
D : Oui, Mlle Stones ?
Ae : Comme ma mère est de passage, pourrait-elle manger dans le réfectoire avec nous ?
D : Ma foi, je n’y vois pas d’inconvénient… Je vais prévenir la cuisinière.
Ae : Super ! Merci beaucoup !
D : Allons, ce n’est rien. Allez donc rejoindre vos camarades puis conduisez-la au réfectoire.
Ae : D’accord. Allez maman viens !
Elles rejoignirent le groupe puis ils se dirigèrent vers le réfectoire. Lorsqu’ils entrèrent, certains regards se tournèrent vers le groupe. Ils se servirent à manger puis allèrent s’asseoir.
An : Pffiuu… C’est un peu bruyant ici. Mais bon c’est que pour la journée.
O : En tout cas, vous avez de la chance !
An : Et pourquoi ça ?
O : Aujourd’hui c’est spaghetti carbonara !
Sur ces mots, il se mit à s’empiffrer sous le regard étonné d’Anthéa.
An : Il n’as pas mangé depuis une semaine ou quoi ?!
U : Non non, c’est son état normal. Et c’est tout les jours la même chose !
Tout le monde se mit à rire sauf Odd qui grimaça.
O : Merchi beaucoup Ulrich. Cha me vas droit au cœur…
U : J’ai rien compris…
O avalant sa bouchée : J’ai dit que…
Y : Ca lui allait droit au cœur.
U : Comment t’as deviné ?
Y : L’habitude !
Nouveau rire général. Mais il cessa lorsque Sissi arriva.
S : Coucou mon Ulrich ! Ca va ?
O : Ben… Je te répondrais bien oui mais tu est là alors non.
S : Oh toi le maigrichon, tu la fermes ! Je t’ai pas causé !
O : Encore heureux !
S : Tu peux pas la boucler cinq minutes ??
Ae : Laisse-le tranquille, il t’a rien fait !
S : Oh toi Miss Einstein, tu te tais !
A ces mots, Anthéa se leva.
An énervée : Toi, c’est bien Sissi non ?
S : Oui et alors ?
An : Alors tu va laissez ma fille et ses amis tranquilles sinon je peux te jurer que ça va mal allez pour toi !
Sissi n’insista pas et s’éloigna tandis qu’Anthéa s’asseyait.
O les yeux ronds : Wahou ! Chapeau le rembarrage ! Même moi j’aurais pas fait mieux !
An encore un peu énervée : Non mais… pour qui elle se prend celle-là ? Je me demande pourquoi elle ne s’est pas encore fait renvoyer…
U : Ben le proviseur, c’est son père…
An : Ah.
Ae : Alors là maman tu m’impressionnes !
An : Hé oui, je ne suis pas du genre à me laisser faire !
Ae rigolant : Ca, j’avais remarqué !
A la fin du repas, ils se dirigèrent tous à l’Hermitage avec la permission du proviseur.
J : Quand même, il est sympa le proviseur de nous avoir laissé partir !
U : Ben en même temps, il n’avait aucune raison de nous retenir vus qu’on n’a pas cours !
O : Ouaip ! T’as raison et c’est pas mal du tout !
U : Avec toi, tous les moyens pour flemmarder sont bons !
Rire général
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O : C’est ça, rigole ! En attendant si tu viens pas m’aider, je vais me prendre l’étagère sur la tête !
U : Attends… J’arrive.
O : Voila, merci. Bon maintenant, y manque plus que le ménage et après ça sera vivable !
Ae : Ouais mais comme ça fait à peu près 10 ans que personne n’est venu vivre içi, ca va prendre un peu plus de temps.
Y : Dis Jérémie tu peux allumer la lumière ? Il commence à faire sombre.
J : Ok attends, il est ou l’interrupteur…… Ah ! Le voila.
Clic.
Y : Ben alors tu l’allume ou pas ?
J : Je pense que les plombs ont sauté. Je vais voir ça…
Jérémie se dirigeas vers la cave ou se trouvait le disjoncteur. Il s’avança vers lui quand soudain…
J : AAAAAAAHHHHHH !
Ae effrayée : Jérémie ?! Ca va ?!
J : Ouais, ouais ça va ! Mon pied à glissé sur un vieux journal et je me suis raccrocher au truc le plus proche, c’est-a-dire le disjoncteur et je me suis pris le courant…
O : Ahlala ce Jérémie… Question software, c’est un pro mais pour le hardware, ça laisse à désirer…
U : Mon Dieu ! Odd a appris des mots de langage Geek ! Tous aux abris, la fin du monde approche !
O : Très drôle Ulrich…
A ce moment, Jérémie remonta.
J : Bon Yumi ? Essaye d’allumer la lumière maintenant…
Y : C’est bon ça marche.
O : Bon alors est-ce qu’il y a un aspirateur dans cette maison ?
An : Si je me souviens bien, il y en a un par là…
O : Mais c’est quoi cette antiquité ?!
An : Tu préfères peut-être faire toute la maison au balai ?
O : Non non ça ira…
Ils se mirent au ménage, qui se déroula bien malgré la tentative ratée d’Odd pour enlever le sac à poussière de l’aspirateur, qui se déchira, éparpillant son contenu sur son jean, ce qui ne manqua pas de déclencher un rire chez les autres. Mais le temps passa jusqu’à ce qu’arrive 19 H.
An : Bon vous devriez peut-être retourner au collège.
O : Ouais les Einsteins, vous venez ?
J , Ae : Oui on arrive.
O : Parfaitement synchronisés vous deux !
U : Yumi ? Tu veux que je te raccompagne ?
Y : Euh oui pourquoi pas…
U : Commence à y aller, je te rattraperais, je dois faire un truc.
Y : Ok. A demain vous autres !
O : Pourquoi tu veux la raccompagner ?
U : A ton avis…
O : Euh je vois pas… Si ! Je sais ! Tu vas enfin te lancer ?!
U : Il t’en a fallu du temps… Et ouais, ce soir, c’est le grand soir je vais lui dire…
O : Et ben ce n’est pas trop tôt ! Y manqueras plus que les 2 autres intellos à réunir !
J rougissant : Odd ? Tu veux bien la fermer s’il-te-plait ?
U : Allez arrête Odd, sinon je te donne pas mes croissants demain matin.
O : Pffiuu… T’est pas drôle quand tu me prends par les sentiments.
Ae : Allez fonce Roméo ! Avant que « Beau gosse » le fasse à ta place…
Cette phrase motiva Ulrich comme jamais et il fonça rattraper Yumi.
O : Bon on se dépêche de rentrer sinon Jim va nous passer un savon !
An : Jim ?
J : Le surveillant. Il fait des inspections surprises dans les chambres pour voir si on ne brise pas le couvre-feu…
An : Et bien allez-y vite !
Ae : Tiens maman, je te prête mon ordinateur portable, si tu veux parler avec Papa.
An : Ok mais… Comment tu l’as eu ? Je n’ai pas le souvenir qu’on t’en ait offert un…
Ae chuchotant : C’est un cadeau de Jérémie…
An souriant : Il m’a l’air de tenir à toi celui-là…
Ae rougissant ! Probablement oui… Bon j’y vais ! A demain !
An : C’est ça … A demain ma chérie !
Le repas se passa tranquillement mais sans Ulrich car il avait été invité à manger chez Yumi par ses parents, ce qui avait surpris tout le monde, Ulrich en premier. Le repas terminé, il montèrent dans leur chambre, Odd filant directement dans son lit, Jérémie raccompagnant Aelita à sa chambre. Alors qu’il s’apprêtait à partir, Aelita le retint pas le bras.
J surpris : Qu’est-ce qu’il y a Aelita ?
Ae : Ca…
Et sur ces mots, elle fit un bisou sur la joue à Jérémie qui se figea.
Ae rentrant dans sa chambre : Bonne nuit Jérémie…
Jérémie, lui, fixait le vide pendant une dizaine de secondes avant de bégayer quelque chose.
J : Euh… oui… bonne nuit à toi aussi…
Puis il repartit en marchant comme un zombie jusqu’à sa chambre mais se heurta à Ulrich.
U : Aïe ! Tu peux pas regarder devant toi ?
J : Hein ? Euh si désolé !
U : Mouais… Toi Aelita t’as fait un bisou je me trompe ?
Jérémie devint très rouge, puis grogna quelque chose qu’Ulrich ne put comprendre avant de courir dans sa chambre, sauter dans son lit. Ulrich fit de même car il avait entendu Jim arriver
Il s’endormirent tous, Jérémie rêvant d’Aelita, Aelita rêvant de Jérémie, Ulrich rêvant de Yumi et inversement et Odd rêvant de l’assiette de lasagnes monstrueuse qu’il allais se prendre demain midi.
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Le lendemain.
U : Allez gros flemmard ! Debout !
O : Mmmmmmm… Encore 5 minutes…
U : Mouais…
Ulrich eu soudain une idée.
U : Odd ! Réveille-toi ! Il y a Samantha qui s’est introduit dans la cantine et a volé tout les croissants ! Elle a même empaillé Kiwi !
O se dressant sur son lit : Nooooooon ! Pas les croissants !
U mort de rire par terre : Ben ça au moins ca marche…. Sympa pour Kiwi aussi.
O : Ho toi laisse mon chien en dehors de ça !
U : Ouais, ouais. Allez file prendre ta douche et plus vite que ça !
O : Attend une seconde… Tu me réveille à 7H un samedi matin ?! Je rêve !
U : Je te rappelle que si tu tiens à aller dans ton option Arts l’année prochaine, tu doit aller au club Arts. Et c’est le samedi de 8H à 10H…
O : Ok ok mais la prochaine fois que tu me réveille comme ça, je…
U faisant craquer ses doigts : Tu quoi ?
O prenant peur : Je te remercierai !
U ricanant : Mais oui je te crois… Allez file ou tu n’aurais pas le temps de déjeuner !
A peine Ulrich eut finit sa phrase qu’Odd était déjà dans les douches. Quelques minutes plus tard, le jeune brun le rejoignit.
O de la douche voisine : Alors comment ça s’est passé avec Yumi hier soir ?
U : Que dalle.
O : Comment ça que dalle ?
U : Ben tu croit vraiment que j’allais lui faire une déclaration avec ses parents autour ?
O : C’est vrai que ça craint un peu…
U : Tu l’as dis… Mais je tenterais ma chance un autre jour.
O : Ben voilà ce que je voulais entendre !
U : Dis, t’aurais pas vu Einstein ? Y va être en retard pour le cours de rattrapage de Mme Hertz.
O tombant presque de sa douche : QUOI ? Notre Einstein prend des cours de rattrapage ?!
U soupirant : Mais non abruti ! Il aide la prof à les faire.
O : Je me disais aussi…Y doit surement être en train de chatter avec Franz. J’irais le voir après ma douche.
U : Nan c’est bon j’irais. Toi tu ferais mieux d’aller manger.
O : Merci ! T’est un vrai pote ! Mais au fait, pourquoi toi aussi tu te lève aussi tôt ?
U : Deux mots : Options Sports.
O : Ah ok. Bon ben à toute !
U : Ouais à toute.
Tandis qu’Odd se ruait vers la cantine, Ulrich se dirigea vers la chambre de Jérémie.
U entrouvrant la porte : Jérémie ? T’est là ?
Il ouvrit la porte pour avoir une magnifique vue d’un blond affalé sur son clavier.
U pensant : Et qui c’est qui va avoir une belle trace de clavier sur le front? C’est Einstein !
U secouant Jérémie : Allez la Belle au Bois Dormant ! Debout !
Le génie continua de dormir. Ulrich, ayant le chic pour les réveils en fanfare, lui en fit un personnalisé.
U : Jérémie ! Réveille-toi vite ! Aelita a disparu !
J se dressant sur sa chaise : Noooooooooon !
U plié de rire : Ben voila, la méthode diffère mais le résultat est le même.
J grognant : Ulrich ! T’est vraiment pas drôle !
U : Peut-être… Mais c’est tellement marrant de voir comment tu réagis quand on te parle de « ta chère Aelita » tout come hier soir.
J rougissant : La ferme ! A moins que tu veux que je te parle de « ta chère japonaise » ?
U grognant puis éclatant de rire : Ok.
J : Je peux savoir pourquoi tu rigole ?..... Non ! Ne me dis pas que…
U les larmes aux yeux : Ok je ne te dirais pas que tu as des marques de clavier sur le front.
J : Raahhh ! C’est pas vrai ! Les autres vont encore me chambrer !
U : Ben faudra plus faire de tête-à-tête avec ton PC.
J : Comme tu veux… Mais tu pourras attendre pour vos améliorations…
U : Améliorations ?
J : Tu te souviens quand Xana avait matérialisé un faux Franz et qu’il vous avait donné des pouvoirs en plus ?
U : Oui et ?
J : Ben Franz a retrouvé les données qu’il a utilisé pour les faire et on est en train de vous les programmer !
U : Cool ! Mais ce qui va être moins cool, c’est la réaction de Mme Hertz quand tu seras en retard pour son cour de rattrapage.
J : Tout à fait d’accord ! Bon je file prendre ma douche et je vous rejoins au self.
U : Ok on te réserve un plateau pour éviter qu’Odd ne mange tout…