Histoire : Pourquoi m’as-tu fait sa?(abandoner)

Écrite par Yuki Kuran le 15 décembre 2010 (2118 mots)

Le matin se lève, mais je ne sent rien, ni même le vent, fouetter mon visage. Se que je sentait? C’est la haine, la douleur d’être salie. Je ne pouvait le croire se qui venait de m’arriver. Pourquoi? Je me retrouve dans un parc pas loin de notre repère secret, allongé sur l’herbe, recroveillé sur moi-même, mes vêtements sont en lenbaux(désoler ché pas comment sa s’écrit)je pleur de douleur, j’ai mal, es ce que quelqu’un peux venir m’aider?

Du côtés de mes amis. Ils étaient au réfectoire en train de déjeuner, puis Aelita dis:

Aelita:ditent les garçons, où est Yumi, elle n’est pas revenue hier après le bal!?
Jérémy:je sais pas!
Ulrich:et sa commence à m’inquiéter!
Odd:ont devrait l’appeller, vous ne croyer pas?
Willam(qui avait un sourire très large):appeler qui?
Jérémy:Yumi, elle n’est pas revenue hier!
William:se n’est pas la peine, elle est rentrée, chez elle!
Aelita:mais...elle est interne toute la semaine!
William:peut-être, mais elle ma dis qu’elle préférer rester chez elle!

et il parti avec un sourire sadic.Lui ce monstre, comment ose t’il mentir, lui qui ma détruit, il ma sali, humillié, je me sent tellement mal, tellement salle, je décide d’un mouvement lent de prendre mon mobile, et appeller uns de mes amis, mais lequelle? Jérémy? Non il ne comprendrais pas, Odd? non plus avec son humour il peut très bien me remonter le moral, mais je le sent pas, Ulrich?Surtout pas non, il pourrais très bien s’emporter, et il y aurais encore plus d’histoires, Aelita? Oui, je pense que je vais me pencher sur elle, elle ma toujours comprise, alors je tape son numéro, et attend que mon ami décroche. Il eu trois bipes, puis enfin sa voix retentit.

Aelita:allo?
Yumi:A....Aelita!
Aelita:Yumi???!!!!!Enfin oùu es-tu, ont s’inquiète pour toi!
Yumi:vi...viens au parc, sil te plais!j’ai besoin d’aide!

Aelita devint blanche, et les autres l’avait bien remarquer.

Aelita:ne bouge pas j’arrive Yumi!

et elle raccroche et part au parc, là où je resté, plus mal, que d’abitude.



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Aelita : Yumi ? Que t’es t’il arrivé ? Regarde tes vêtements, ils sont tous déchirés ! Dis moi ce qui s’est passé juste après le bal.
Yumi : Très bien Aelita, je vais tout te dire. J’étais avec Ulrich qui était mon cavalier, et on dansait super bien, ce qui entraîna des jalousies.
Aelita : Oui c’est vrai, vous étiez super mignon tous les deux.
Yumi : Juste après, un monsieur, grand, moche comme un poux, demanda à Ulrich de lui parler, seul. Sur le coup, je n’avais plus de cavalier. Et c’est à ce moment là, que les ennuis ont commencé.
Aelita : Vas-y raconte.
Yumi : Je....ne.....peux pas. Excuse moi Aelita. Je ne peux vraiment pas en parler, j’ai trop honte.
Aelita (souriante) : Mais à moi tu peux tout me dire, car je suis ta meilleure amie pas vraie ? Allez Yumi, si tu ne me le dis pas maintenant, tu vas souffrir encore plus et on ne pourra peut-être plus rien pour toi.
Yumi : Je vais essayé. Juste après ça, William m’a demandé d’être sa cavalière, et j’ai accepté. Après les danses, on a bu quelques verres de champagnes, et j’aurais pas du.
Aelita : Et pourquoi ?
Yumi : William et moi avions à peine quitter le bal, qu’il m’emmena en voiture dans un endroit isolé du monde, avec pour seul décor, une vieille maison abandonnée. Je lui demanda alors, pourquoi il m’avait emmené ici, mais il ne me disa rien de plus. Il m’emmena au deuxième étage et c’est là.......
Aelita : Non Yumi, ne pleure pas.
Yumi : C’est atroce !!! Je souffre !!! J’ai mal !!!
Aelita : Courage Yumi, les japonaises sont censées être fortes ? Allez dit moi la suite.
Yumi : Il m’a fait asseoir sur le lit poussiéreu, puis il s’est mis à côté de moi. Ensuite, il a passé sa main droite sur ma jambe gauche, et après, il me carressa toute la jambe et il remonta tout au long de mon corps. Je lui ai dit de ne rien faire car j’avais Ulrich, mais il se contenta de rire. J’ai essayé de m’enfuir alors, il m’attrapa, et arracha mes vêtements tout en me léchant ma poitrine avec sa langue. Ce suplice a duré plus d’un quart d’heure. Il continuait de me léchouiller de partout et de me carresser en même temps, j’ai tellement eut de frisson d’horreur, que je n’essayait même plus de me débattre.
Aelita (avec stupeur) : Et après....
Yumi : Quatre heures plus tards, il me disait de ne pas aller voir la police pour le viol qu’il ma fait, puis il partit avec un sourire diabolique. Je pleurais une fois seule, et je me répétais sans cesse "il ma violé", tout le temps. Puis une demie-heure plus tards, j’ai quitté cette maudite maison, et je me suis retrouvée ici, sachant ne pas quoi faire, jusqu’à ce que je t’appelles.
Aelita : Il t’a sali ce salaud ? Bon, il faut prévenir les autres !
Yumi : NON !!! Je t’en supplie Aelita, pas les autres ! Juste toi et moi.
Aelita : Bon, il faut prévenir la police. Tu viens ?
Yumi : D’accord, je viens.

Je suivis donc ma plus fidèle amie jusqu’au commissariat. Mais on est pas restée longtemps, car le policier nous disait qu’il ne pouvait rien faire, fautes de preuves. Alors, on est partie à l’hermitage, et pendant que moi je continuais de pleurer en me tenant le ventre, Aelita chercha une solution pour coincé William.



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Je regarde Aelita, qui tourné enrond, essayant de trouver une solution à mon problème,la seul idée qu’elle eu est de prévenir la bande, mais moi je refusé, je ne voulais pas qu’ils soit au courrant, et elle me dis:

Aelita:Yumi, se sont quand même nos amis, ils ne vont pas te haïr si c’est se que tu penses!au contraire, ils vont te soutenir, et te protéger, surtout Ulrich, tu sais très bien qu’il ferait tout pour toi!
Yumi(à contre coeur):bon ok!
Aelita:supère, je les appelle!

et ma petite soeur, les appella, leur demandant de venir au plus vite à l’Hermitage. Une fois toute ma bande au complet, ont se réunis dans le salon, et Ulrich qui me voyé pleuré, me pris dans ses bras, pour me réconforter.

Jérémy:alors qui y a t-il de si urgent?
Odd:c’est vrai sa!et pourquoi Yumi pleur!
Aelita:Yumi, tu veux que je leur disent ou pas?
Yumi(d’une petite voix):ou...oui!
Aelita:très bien, alors voila!

et elle leur raconta se qui m’était arrivé.A la fin de son récit, Odd et Jérém, se dirige vers moi, et m’enlacèrent.Ulrich, je n’osé pas le regarder, et il dit:

Ulrich(dans une rage noire):ont va le coincer ce gros salopar, je vais lui faire sa peau!
Aelita:Ulrich ne t’enerve pas, ont va trouver une solution!
Yumi:Ul...Ulrich, tu m’en veux?

dis-je les yeux innondés de larmes. Mon samouraï me regarde, et me dis en m’enlacant à son tour:

Ulrich:non Yu, je ne t’en veux pas loin de là, ont va tout faire pour t’aider, je vais tout faire pour te protéger ma puce!c’est à moi que j’en veux de ne pas avoir était là!

je le regarde, et enfouit ma tête dans son cou. J’était rassuré qu’il ne m’en veuillent pas, j’avais de supère amis, et sa, sa me remonter le moral.



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Jérémie : T’as essayé de voir la police ?
Aelita : Oui, mais sans succès car ils veulent des preuves irréfutables.
Ulrich : Dans ce cas, je ne vois qu’une solution, lui mettre une bonne raclée ! Je le haîts ! Je ne lui pardonnerais jamais ce qu’il a fait à Yumi !
Jérémie : Ulrich, la violence ne résout pas les problèmes. Il doit bien avoir une autre solution.
Odd : Moi j’en ai une !!! Mais il faut que Yumi joue le jeu.
Yumi (ayant peur) : J’espère que ce n’est pas ce que je pense ?!
Aelita : Odd ? C’est quoi ton plan ?
Odd : Comme pour Xana, ni vu ni connu je t’embrouille ! Ce que je veux dire, c’est qu’on prend William en flagrant délit !
Jérémie : Euh attend Odd, je te suis pas là.
Odd : C’est simple, on emmène Yumi dans la même baraque, ensuite, on téléphone à William en changeant notre voix, pour lui dire qu’il y a quelqu’un dans la baraque, une fois le beau pervers avec Yumi, si il l’a viole encore, on filme la scène avec mon tout nouveau caméscope numérique. Et on va voir la police ensuite.
Aelita : C’est dangereux, mais ça vaut le coup.
Yumi : Donc, vous me demander que je sois encore plus salie ?!
Ulrich : Mon amour, c’est juste pour le coincer. Ensuite, se sera fini ma belle japonaise que j’aime.
Jérémie : Ok. Allons-y ! Préparons l’opération "Coincé William" !

Nous allions dans la vieille maison et ils me laissèrent sur le lit que je connaissait déjà. Odd ne mit pas longtemps à chercher chez lui son caméscope. Jérémie dit à Ulrich, d’accrocher le caméscope au plafond, comme ça, William ne se douterait de rien. Une fois fait, ils me laissèrent seule, et ils allèrent chercher une cabine téléphonique. C’est Jérémie qui se colla le bouleau....

Portable William : BIIIPPPP !!! BIIIIIPPPP !!!
William : Allô ? William Dunbar à l’appareil.
Jérémie (modifiant sa voix) : Bonjour mr Dunbar, ici Steven Gekk, je suis le propriétaire de la vieille maison. Je sais aussi que vous êtiez avec une fille, je crois, que c’était une japonaise.
William : C’est exact ! Mais je croyais que cette baraque était abandonnée ?
Jérémie : Non elle est à moi. Bon enfin bref, je vous téléphone, car je suis retourné chez moi, et j’ai trouvé encore cette japonaise, seule sur mon lit. Alors pouvez-vous aller la chercher ?
William : Bien sur mr Gekk, aucun problème. J’y vais de ce pas.
Jérémie : En attendant que vous l’a cherchiez, je pars faire mes courses. Aurevoir mr Dunbar.
William : Aurevoir mr Gekk.

Et William coupa son téléphone. Mes amis allèrent de suite à la vieille maison et ils se cachèrent un peu partout. William ne mit pas très longtemps pour me rejoindre. Il me retrouva alors que j’était effrayée. Le beau ténébreux dit d’un ton mielleux :

William (souriant) : Yumi, j’ai été prévenu par le propriétaire de cette baraque, il m’a dit de partir avec toi loin de cette baraque. Mais avant qu’il ne revienne, j’aimerais encore goûter à ton corps.
Yumi : NOOOONNN !!! Laisse moi tranquille !!!

William ne me laissa aucun répit. D’un coup de main, il arracha encore plus mes vêtements. Il se désabilla à son tour et il commenca à me violé encore une fois. Le caméscope d’Odd filma toute la scène. Une heure plus tards, quand le pervers eut fini, il se rabilla me laissan en pleure. Odd éteigna son caméscope quand William fut partit. Je dis d’un ton frileux :

Yumi : Il m’a salie encore une fois. Je le déteste !
Odd : T’inquiète, j’ai tout filmé.
Ulrich : Et maintenant, la police.
Jérémie : Je ne savais pas qu’il te ferais autant de mal Yumi.
Aelita (furieuse) : C’est un salopard !!! Il doit payer !!! Allons voir la police !

Et mes amis et moi même quittèrent la vieille baraque et en cinq minutes, on étaient reçu par le commissaire de police.