Dernière édition le 08 octobre 2009
chapitres 01 : souvenirs
- 15 septembre 2005
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Tous va bien demanda Jeremie.
Sans problème Einstein il n'y a pas l'ombre d'une bébête lui répondit Odd.
Jeremie : parfait Aelita tu peux y aller ...
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Me retrouver ici depuis tous ce temps dit Aelita.
Sa fait que trois mois seulement lui fit remarquer Ulrich.Je sais mais sa me fait quand même une drôle d'impression lui répondit Aelita avec une certaine émotions dans le creux de la voix.
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Allez les pies au lieu de papoter mettez vous travail leur ordonna Jeremie derrière son écran.
Oui maman fit Odd
Et soyez sur vos gardes on ne sait jamais .... dit Jeremie en voulant exhorter ces amis a la plus grande prudence
Odd : relax Einstein ...
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Au secours Jeremie cria Aelita apeurée
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AELITA...AELITA cria Jeremie
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Jeremie Jerem...
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vite dépêchez vous Aelita......
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Tu crois qu'on s'amuse...
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La sphère se dirige vers la mer numérique...
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Super-sprint
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Impact
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AELITA NOOOOOOOOONNNNNNN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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C'est a cette instant que Jeremie se réveilla en sueur le bras tendu vers le mur en criant le nom de la jeune fille, soufflant et haletant de façons abondante il lui fallut quelques secondes pour vraiment reprendre ses esprits, il balaya la pièce du regard sans but précis mais hormis la table et la chaise, la chambre ou il se reposait était vide de toutes présence humaine, il se rendit vite compte que se n'était qu'un mauvais rêve qu'il avait fait sous l'effet de la fatigue et des médicaments, il se recoucha sur son oreiller en inclinant la tête pour regarder vers l extérieur.
Au travers de la vitre de sa chambre d'hospital il pouvait voir le beau ciel bleu de septembre,mais cela lui était égal il n'y prêtait plus attention,son regard ne faisait que se perdre dans le vide,pour lui il y avait bien longtemps que le ciel avait cessé d'être bleu.
Dans sa tête les idées et les souvenirs se mélangeait , il ne cessait de repenser aux évènements qui l'avait conduit ici.
Si il avait su ... il aurait du ... si il pouvait....
Parmi tous les sentiments qui l'assaillait le remords était celui qui le faisait le plus souffrir c'était pour lui aussi douloureux que les blessures de son corps, un remords très profond qui le torturait depuis si longtemps,il se sentais perdu dans les méandres de son esprit, parfois le temps d'un délires il lui arrivait de la revoir toute souriante qu'elle était.
Ces derniers mois il c'était raccrocher a l'espoir de la retrouve,se ruinant petit a petit la santé.
Aelita... murmurât il en fermant le yeux
Dans le gris de ce monde elle avait été son seul rayons de soleil, une présence douce et chaleureuse qui illuminait son quotidien, une présence aujourd'hui réduit a l'état de souvenir.
Un souvenir c'est tous se qui lui restait d'Aelita.
Pourquoi ? se dit il.... Pourquoi ?
Comment va notre grande malade aujourd'hui ? demanda le docteur a sa patiente.
Docteur !!! vous m'aviez promis de plus m'appellez malade lui répondit la jeune fille.
Dans une chambre au mur grisatre une scène pour le moins étrange se déroulait entre un homme et une jeune adolescente ,visiblement la fille n'avait pas apprécier la remarque de l'homme en blouse blanche,elle croisa les bras et se gonfla les joues en fronçant les sourcils en signe de mécontentement,voyant que cela l'avait perturber sa patiente,le docteur lui présenta ces plus plates excuses.
Ne te braque pas comme ça Maeva,je disais ça pour te taquiné lui répondit le docteur en affichant un large sourire.
Aussitôt la fille reprit une posture plus enjouée et lui répondit a son tour par un sourire qui signifiait quelle était plutôt d'humeur joueuse que véritablement vexé.
Moi aussi je voulais vous taquiné Josphet dit elle a l'homme.
Tu est une sacrée blagueuse Maeva lui dit a son tour Josphet pas vraiment surpris par l'attitude versatile de la jeune adolescente.
les deux personne se mirent alors a rire de bon coeur, mais après un cette courte hilarité collective le docteur pris un air plus grave se qui intrigua Maeva ,se dernier avait sans doute quelque chose de très important a dire et cela devait requérir le plus grand sérieux, supposant de quoi il devait s'agir Maeva pris les devant pour savoir de quoi il allait en retourner.
Quels genres d'examens allez vous me faire passer aujourd'hui questionna Maeva.
Pas d'examens ni de nouveau test , car j'ai une grande nouvelle a t'annoncer lui fit le médecin.
a la fin de cette annonce l homme prit un grande inspiration, Maeva resta suspendu au lèvres du docteur se demandant se que celui ci allait bien pouvoir lui annoncer de si important.
tu vas pouvoir venir vivre a la maison lui dit alors le docteur.
la nouvelle fit l'effet d'un coup de feu qui figea Maeva sur place tellement elle ne s'attendais pas a ça.
C'est...c'est vrai je pouvoir quitter cette sinistre chambre dit Maeva qui trouvait a peine ces mots.
Fais tes bagages se soir tu déménage lui confirma le docteur de façons très poétique.
Sans perdre un seul instant Maeva se jeta autour du cou du docteur se dernier en retour l'homme commença a étreindre modérément sa patiente en faisant attention de ne pas se laisser aller a un débordement d'émotions.
C'est merveilleux dit elle
Attention je te rappelle que c'est dans le cadre de ton traitement pour t'aider a retrouver la mémoire. lui signifia le docteur qui venait de mettre un terme a leur accolade.
Peut importe !!! ailleurs sera toujours mieux qu'ici lui fit Maeva toutes joyeuse.
Ravit que sa te fasse plaisir lui fit le docteur.
C'est le deuxieme plus beau jour de ma vie dit Maeva.
Et quel a été le premier lui demanda le docteur
Celui ou je vous est rencontré lui clama Maeva
Après plusieurs mois a rester enfermer entre 4 murs a suivre diffèrent examens, la jeune fille qui avait été baptiser Maeva par le Docteur Robinson allait afin quitter sa chambre d'hospital pour suivre une nouvelle thérapie.
Opérateur : mon général sa recommence.
Général : c'est pas vrai !!!
Opérateur : écoutez.....
Le technicien tourna le bouton du volume de son poste de contrôle et un signal continu comparable a une palpitations se répandit au travers de la pièce, tous les technicien militaires présent purent entendre le même son qui s échappaient des haut parleur.
Général : ce sont les même parasitages ???
Opérateur : affirmatif mon général c'est toujours la même fréquence oscillatoire.
Alerte général claironna l'officier supérieur.
Aussitôt tous les techniciens se mirent en brans le bas de combat chacun accomplissant la tache pour laquelle ils étaient entraîner en moins de temps qu'il ne fallut pour le dire les soldats étaient en place,d'une voix très forte le général ordonna a tous les techniciens de se mettre en alerte total.
Général : passer en mode defcom 6
Opérateur : a vos ordres.
Général : sécurité maximale du réseau - état d' alerte niveau 6
Opérateur : a vos ordres mon général.
Général : j'appelle le président....
Bon vous avez des résultats demandât l'homme avec beaucoup de nervosité.
Écoutez Mr Watson,si vous croyez que c'est facile de Re-programmer un tel système vous vous foutez le doigt dans l'oeil.
Watson : je vous demande seulement de décrypter ces données pas de réinventer l' informatique.
Je vous signale que sa fait trois semaine que j'y travaille et c'est pas en me mettant la pressions que j' avancerais plus vite dit le jeune homme.
Moi c'est le comité de direction qui me met la pression dit l'homme qui répondait au nom de Watson.
On a tous nos soucis répondit le jeune homme a son interlocuteur.
Arnaud vous savez combien on a investit dans se projet lui dit Watson.
je dirais...au hasard...13 millions de livres vous me le répéter depuis 21 jours lui fit Arnaud.
Watson : 13 millions de livres vous saisissez bien valeur de la somme.
sa va j'ai imprimer depuis lui répliqua Arnaud
Watson : je trouve que vous prenez trop ceci a la légère.
Dans le laboratoire remplis ordinateur sophistiquée, les échanges verbales pour le moins agite entre les deux hommes avait de quoi refiler un sacrée mal de tête chacun rejetant la faute sur l'autre ,Arnaud tempéra l'humeur de Watson en lui rappelant que tous n'était pas perdu.
Arnaud : ...des que la matrice de base sera Re-initialiser on pourra enfin exploiter les données recueillis par la sonde.
Watson : j'espère quelle en vaille la peine.
Arnaud : d'après se que j'ai déjà put en retirer cela m'a l'air très prometteur.
Watson : vous pouvez développer S.V.P
Arnaud : a première vu nous sommes tomber sur une base de données très riche, je peut même affirmer sans me tromper que ce ma sonde a trouver repose sur concept technologique similaire au notre ,voir plus évoluer.
Il eut soudain dans le regard de Watson un air très intéresse parce que Arnaud venait de lui apprendre, la crainte de se faire renvoyer pour faute professionnel c'était estompé d'un seul coup, la perspective du profit venait d'exciter son sens de requin de la finance.
Watson : serez vous en mesure de les exploiter ?
C'est a ma porté lui affirma le jeune homme
Watson : je vous conseille de ne pas échouer si je tombe, vous tombez avec moi, et la vous pourrez dire adieux a votre carrière et au super calculateur.
C'est trop facile de tous me mettre sur le dos,c'est quand même vous qui avez insister pour qu'on la fasse cette exploration dit Arnaud qui n'avait pas l'intention d'être le bouc émissaire de l'histoire.
Seulement parce que vous m'aviez garantie que sa serait sans problème.se défendit Watson a on tour l'air assez contrarié.
Arnaud : le hasard fait partie du jeu, comment aurais je put prévoir que les anti virus serais aussi efficace.
Je vous cite mon petit "Vger et indestructible... il y a rein a craindre ...ayez confiance" fit Watson sur un ton sardonique.
Lâchez moi un peu dit Arnaud avec un air de petit garçons coupable.
Watson : je vous et fais confiance et voila le résultat, dans 3 semaines je suis sensée présenter un projet qui doit révolutionner le monde informatique et j'ai rein a leur montrer car un" petit anti virus basique" a réussi a endommager votre " indestructible sonde"
Arnaud : ok mea culpa j'ai sous-estimer les systèmes de protection de cette environnent , mais sa ne se reproduira plus
Watson : c'est sur si on a rein a présenter d'ici mois d'août c'est le licenciement assure pour nous deux
Devant l'urgence de la situations Arnaud devait impérativement trouver une solutions pour palier a la disparition de Vger, heureusement pour lui il était un garçons plein de ressource qui aimait bien les défis et ce contre temps n'était rein d'autres qu'un défi a surmonter, il proposa alors une première solution de rechange.
Arnaud : écoutez je pourrais toujours leur présenter le bêta de ma sonde et dire que pour des raisons de sécurité on ne dévoile pas tous.
Watson : il ne se contenterons pas de ça.
Arnaud : ou alors il me reste les 4 prototypes d'intelligence artificiel que j'ai créer.
Watson : elles sont opérationnel ?
Arnaud ne répondit pas a la question que Simon venait de lui posé il semblait assez hésitant a poursuivre étant donner que se n'était pas vraiment achevée
Watson : sa marche ou moins ?
Arnaud : a deux ou trois petit détail près oui
Il y 'a quoi qui cloche ? lui demanda Simon
Arnaud : disons qu'il leurs manquent encore un profil de personnalité.
Et alors ? vous ne pouvez pas leur en donner une basique lui demanda Watson
Arnaud : un personnalité c'est très complexe c'est grâce a ça quelles seront capable de prendre des décisions ou d interpréter correctement les ordres.
Watson : on ne leur demande pas de jouer du Skakespeare mais juste de faire illusion
de toute facon elles en sont incapable pour le moment dit le jeune homme.
Watson : a quoi sa sert alors de les présenter
Arnaud : c'est histoire de montrer l'avancer du projet , nous rappelons au publics que ce sont des IA et quelle ne seront automne des que ont leurs aura ajouter un profil de personnalité
Watson : en tourne en rond la
Arnaud : c'est un cercle vicieux , pas de personnalité pas d'autonomie c'est aussi simple.
Watson : en somme elle sont pas plus dégourdis que des nourrissons vos IA, encore un projet qui va capoter vu comme c'est partis.
Arnaud : vous ete lourd la, j'ai quand même réussi a créer en 10 mois ce que le docteur Hopper a mis presque 7 ans a mettre au point ,vous pourriez au moins applaudirent l'exploit
Watson : je sais Arnaud que vous ete un génie sinon je ne vous aurait pas engager mon garçon,mais la je ne vous parle pas de vos IA mais de votre autres grand projet
Arnaud : le projet NX 4759 !!
Oui celui que vous avez si brillamment égaré lui signifia Watson.
Il n'y avait rien a faire Watson ne démordait pas de la perte de la sonde mais Arnaud c'était engage a résoudre la problème,et foi de geeks il allait tous y parvenir.
Arnaud : je suis pas aider mais quoi qu'il arrive vous l'aurez votre projet de "parade"
Watson : je l'espère
Arnaud : toujours plus loin toujours plus haut c'est ma devise
Watson : je le sais
Deux semaines c'est le temps qu'il me faut pour décrypter les données mais pour ça il faut que j'ai accès au super calculateur lui demanda Arnaud.
vous plaisanter la fit Watson
C'est la seule solution il faut pour cela que je sois accréditer du niveau d'accès numéro 5lui dit Arnaud qui ne semblait pas plaisanter.
Watson : c'est pas possible pour le moment
Arnaud : je ne vois pas ou est le problème ?
Watson : le problème, c'est que vous n'éte pas le seul a travailler sur le super calculateur,et bien que vous en connaissez l'existence vous ne faite pas officiellement partie du projet Tanit.
Arnaud : dans ce cas vous pouvez dire adieux a votre place.
la situation était inverser maintenant il fallait que Sinon cède au avance d'Arnaud sont avenir au sein de la société en dépendait, pour cela il devait permettre au jeune génie d'utiliser le super calculateur de la section 5, au dire d'Arnaud c'était le seul moyen de se sortirent de cette impasse dans laquelle les deux hommes c'étaient mutuellement mit, quitte a violer le règlement en permettant a un novice d'utiliser la haute technologie de la société, mais Simon était dos au mur quoi qu'il lui en coûte il lui fallait retrouver ces données.
Watson : très bien je vais faire le nécessaire
Arnaud : merci
Watson : ne me décevez pas
Arnaud : pas de risque
Le plus dur était encore a venir pour Arnaud, mais il allait bientôt disposer de la puissance informatique qui lui manquait pour décrypter les 5 tera-octets d'informations que sa sonde lui avait fait parvenir avant de disparaître
allez mon gars au travail se dit Arnaud.
chapitre 02 : inquiétude
18 juillet 2005 laboratoire de l'usine
Dans le calme du laboratoire Jeremie travaillait ardemment sur l'ordinateur, une scène pour le moins habituel si ce n'est que cela faisait bientôt 4 mois que Xana avait été détruit, mais entre temps Aelita avait disparu et le petit génie mettait tous en oeuvre pour la retrouver.
L'année scolaire étant fini, chacun des ex-lyoko-guerrier avaient du regagner son foyer respectif même si au fond d'eux ils ne voulaient pas abandonner Jeremie a une tache ingrate, ils étaient obliger de repartir.
- Odd était retourner auprès de sa famille en Espagne pour y voir c'est grand-parents, mais il téléphonait tous les jours pour avoir des nouvelles par le biais de yumi.
- Ulrich aussi était partit a l'étranger pour suivre ces parents pour des vacances sous le soleil dans les îles du sud ,il n'avait put se soustraire a ce voyage "d'affaires familiale" son père c'était montrer particulièrement persuasif a ce sujet en le menaçant de le mettre dans une école privée si il refuserait de les suivre, ne voulant pas être séparé de ces amis, il avait du accepter a contre-coeur.
- William Quand a lui avait été tenu au secret il était retourner auprès de ces parents sans se douter de se qu'il se passait, les lyoko-guerriers estimant que ce dernier avait eu son lot de souffrance,d'un accord commun ils avaient voulu le préserver de se nouveau désastre.
Quand a Jeremie afin de masquer son absence il avait créer un clone de lui même qu'il avait envoyer pour le remplacer a la maison de façons a ce que ces parents ne se doute de rien, même si quelque part le faite de pas les revoir était un coup dur a encaisser pour le jeune adolescent, il devait faire se sacrifice pour sauver Aelita.
Au final seule yumi était rester auprès de Jeremie vu quelle habitait dans le secteur, elle était la seule personne du groupe a pouvoir soutenir Jeremie dans cette épreuve.
De manière régulière Yumi venait tous les jours pour lui apporter a manger et lui fournir divers choses donc le génie avait besoin durant son séjour a l'usine, pour cela elle avait pris un petit boulot d'été pour se faire un peu d'argent de poche ce qui lui permettait aussi d acheter certains composants que Jeremie lui réclamait , ces allées et venu quotidienne dans laboratoire était le seul vent frais que recevais Jeremie qui n'avait plus vu le soleil depuis fort longtemps ,de son coté Yumi ne comptait plus le nombre de journées ou elle était resté assise a le regarder travailler,mais plus le temps passait plus elle était assez critique envers le rythme de vie que Jeremie s'imposait.
A force de travailler le petit génie avait déjà perdu 7 kilos !!! pour un être aussi frêle que Jeremie cela se voyait sur son visage, certains trait était creusé, il avait le teins blafard, les cernes sous ces yeux témoignais de l'état de fatigue dans lequel il se trouvait. Jeremie faisait tous pour ne pas le montrer ,mais Yumi n'était pas stupide elle voyait bien que les mains de Jeremie tremblaient sur le clavier,et que le petit blondinet avait une mine passablement amaigris et bien qu'elle comprenne son désir de retrouver Aelita, yumi ne pouvait pas laisser son ami se tuer a la tache sans rein faire, avant tous elle se voulait protectrice, un beau jour elle décida que cette situation ne pouvait plus durer et le lui fit savoir.
Soit raisonnable Jeremie sa fait un mois que tu n'est pas sortis de ce laboratoire lui dit yumi
Mais le petit génie visiblement absorbé par sa tache ne pris pas la peine de répondre a son amie, toutes sont attention était concentré sur une suite de chiffres qui défilaient sur l'écran, la présence de yumi a ces cotes était on peut dire... inexistante, cette dernière jeta un regard furtif sur se qui s' inscrivait sur l'ordinateur sans pour autant y comprendre quelque chose, pourtant au détour d'une fenêtre il vit que Jeremie travaillait sur un programme appelé... TRANSCE----- machin .... bidules ????
Il était tellement concentré qu'autour de lui rein ne semblais avoir d'importance, il travaillait sans relâche nuit et jour, a plusieurs reprise Yumi avait trouvé Jeremie endormis sur son clavier, elle avait souvent dut lui posé une couverture dessus,
de bien des façons la brave Yumi s'employait au bien être de Jeremie et dans cette même logique elle voulait lui faire comprendre que son obstination a travailler sans s'arrêter lui était néfaste.
Elle insista encore auprès de Jeremie qui resta impassible a ces suppliques,voyant que cela ne servait a rien Yumi usa de la manière forte et fit soudainement tourner le fauteuil se que arracha Jeremie son concentration.
Sa va pas la tête yumi que est ce qui te prend de faire ça lui hurla presque Jeremie
il y a que je m' inquiète pour toi lui dit alors Yumi d'une voix grave
Il n'y a pas de raison de s'en faire je vais bien lui dit Jeremie.
yumi : ne me ment pas
Puisque je te dis que tous va bien insista le petit génie.
yumi : non tous va pas bien, mais bon sang regarde toi Jeremie tu as maigri, tu tremble, tu ...
Jeremie: mais yumi !!!
Odd m'a encore téléphoner ce matin pour me demander de tes nouvelles, il s'inquiete pour toi, nous nous inquiétons tous pour toi lui dit la japonaise avec un regard plein de compassion
Je sais lui dit Jeremie qui bien qu'obsèdé par son travail n'avait pas oublier que ces amis pensait a lui.
Yumi : Odd voudrais que tu ralentise la cadence et je d'accord avec lui
Depuis que Aelita avait disparu il n'y avait pas un jour ou odd n'avait pas appelé, il savait combien cette épreuve était dur pour le pauvre Jeremie,il avait appris l'état de santé de Jeremie de la bouche même de yumi ,cette derniere cherchait en son blond ami quelques conseils pour aider Jeremie,Odd lui avait conseiller dernièrement d'obliger Jeremie a se reposer, conseil que yumi s apprêtait a mettre en pratique.
yumi : je veux que tu sorte prendre l'air.
Jeremie : je sais que vous vous inquiéter pour moi, mais je ne peut pas arrêter.
fait au moins une pause, tu va t'abîmer la santé lui supplia presque Yumi.
Et celle d Aelita tu y as penser peut être !!! lui répliqua sèchement le petit génie.
La jeune japonaise ne savait que répondre a cette argument, elle comprenais le désir qui animait son ami, il était clair que Jeremie avait fait un choix et quoi qu'il arrive il en supporterait les conséquences et quoi qu'en disent Yumi sa décision était prise, et rien ne pourrait l'en faire démordre, pas même la très tenace Yumi.
Qui était elle pour si opposer ?
D'un geste compatissant elle posa sa mains sur l'épaule du pauvre Jeremie ne pouvant finalement faire que ça. elle jeta a Jeremie un regard pleins de tristesse car Yumi ne pouvait s'empêcher au fond d'elle même de nourrir un remords.
Un remords profond !!!!
Yumi c'était toujours considère comme étant la plus mature du groupe, celle dont les choix devait paraître les plus sensée, seulement voila, il y a peu de temps elle avait fais pencher la balance dans une décision qui fut loin d'être unanime.
En y repensant elle se disait qu'un simple refus de sa part aurait tous changer, mais voila elle avait dit OUI ... et cela la faisait terriblement souffrir d'y repenser,
elle avait fini par douter d'elle même , en y repensant elle se disait que chacune des décisions quelle avait prise par le passé n'avait pas été les bonnes.
Le jour ou elle avait dit a Ulrich qu'en entre deux sa serait désormais "copains et puis c'est tous" avait été sa première erreur, par la suite son refus obstiné a ne pas vouloir intégrer William et toutes les conséquences que cela avait entraîner pour lyoko, et quand bien même ce dernier fut libérer de l' emprise de xana elle avait refuser que William revienne sur lyoko et le père d'aelita en paya le prix de sa vie.
A bien des égards elle se disait que les choix de Yumi Ishiyama avait était bien pitoyable.
Pourtant pour seul alibi elle avancait toujours son âge ainsi que sa maturité.
Mais quelle maturité ?
elle n'était guère plus âgé que d'un ans par rapport a ces compagnons, mais elle n'en restait pas moins une adolescente qui avait encore beaucoup a apprendre, mais cela ne la rendait pas moins responsable, a la guerre comme en amour elle avait dut faire un choix, mais était ce le bon ?
Devait elle toujours se tromper dans chacun de ces choix ?
ULRiCH - WILLIAM - AELITA - JEREMIE - 0DD
Tous avaient ou faisaient les frais d'une décision quelle avait dut prendre a un moment.
Et aujourd'hui a cause d'un choix dicter par l'émottions, le pauvre Jeremie était la a travailler comme un damné pour sauver Aelita.
Pourtant si elle le voulait,Yumi pourrait faire autorité sur Jeremie en usant de son âge comme arguments, elle pourrait l'empêcher de s'autodetuire comme il le fait, mais sa serait encore pire, Résigné dans son être elle ne pouvait que soutenir Jeremie dans cette épreuve en guise de pénitence.
Elle regarda tous le bazar amoncelé autour d'elle , a coté du matelas ou dormais Jeremie,moulte composants électronique et mécanique étaient répandu sur le sol, outres les recherches pour retrouvé Aelita, Jeremie devait aussi effectuer des réparations sur le super calculateur.
Car lors de l'attaque sur le territoire de la foret , le kidnappeur d'aelita avait causé énormément de dégât en s'enfuyant, le super calculateur en avait partis, dans la foulé celui ci avait perdu la moitié de sa puissance et nombre de programme avait été perdu, notamment le retour vers le passé avait été détruit par la surcharge et d irremplaçable composant électronique avait été irrémédiablement endommagé.
Jeremie utilisait tous se que pouvait lui ramener yumi pour effectuer une réparation de fortune.
Pourtant parmi les circuits et les diffèrent schéma qui garnissait le sol de la pièce,se fut un objet caché sous un drap qui avait attiré l'attention de yumi, voulant savoir de quoi il s'agissait Yumi souleva légèrement le drap.
Yumi !!!! ne touche pas ça lui cria le génie qui aussitôt bondit de son siège pour rabattre le drap sur le curieux objet .
Pardon s'excusa alors yumi très surpris par la réaction soudaine de son ami.
Voyant bien que son amie ne pensait pas a mal ,Jeremie lui pria de l'excuser a son tour de lui avoir hurler déçu en lui disant que en ce moment il était assez a cran,ce que yumi put parfaitement comprendre, mais le mystérieux objet continuait d'intriguer Yumi.
Yumi : que fabrique tu de si important ?
Une solution pour récupérez Aelita lui dit assez évasivement Jeremie en regardant de coté.
vraiment de quoi s'agit il ? demanda alors la japonaise
Je préfère ne pas en parler pour le moment, je ne voudrais pas vous donner de faux espoir. répondit Jeremie qui ne voulu pas en dire d'avantage.
Yumi vit bien que Jeremie mettait tous en oeuvre pour sauver sa princesse et elle que faisait elle ?
Yumi éprouvait le besoin d expier sa faute et voulait que Jeremie le sache
- Jeremie
- Oui yumi
Yumi faisait face a Jeremie mais elle ne parvenait pas a trouver ces mots du moins ceux ne parvenait pas a sortir
Je voudrais m'excuser pour tous , Sur lyoko on pas été a la hauteur lui dit yumi
Jeremie : ne culpabilise pas Yumi personne n'aurait prévoir que ....
Yumi : moi j'aurais du ....
Jeremie : non c'est moi qui ....
Il eut un grand silence presque gênant entre les deux chacun repensant a ce qu'il avait fait
,Jeremie aussi avait sa part de responsabilité dans la disparition d'aelita .
Pardonne moi Jeremie lui demanda Yumi donc le timbre de voix vibrait sous l'émottions
Jeremie : je ne t'en veut pas Yumi c'est moi le fautif je suis ...
LE SEUL FAUTIF....
Se fut instinctivement que yumi étreigna soudainement Jeremie qui s'en plus attendre passa ses bras dans le dos de la japonaise, il restèrent accoler ensemble de longues minutes sans rien dire, même si il ne le vis pas de ces yeux, Jeremie sentis bien que yumi pleurait, malgres les efforts que celle-ci faisait pour le cacher mais Jeremie ne répliqua pas et préféra rester impassible pour ne pas ajouter a la souffrance de yumi qui pour la première fois de sa vie se laissait aller a ces sentiments.
Comment en étaient ils arriver la ?
alors comment trouve tu ta nouvelle chambre ? demanda Joseph.
Mais la jeune fille ne répondit rein,elle était en admiration devant le cadeau qui lui était offert, ce n'était pourtant qu'une chambre en somme toute banal,la décoration laissait même deviner que le précèdent occupant devait être de sexe féminin, le lit en bois bordé de drap rose était posé a coté d'une armoire a vêtement de couleur blanche,quelques posters décoraient le mur donc un des Subdigitals, l'unique fenêtre au rideaux bleu donnait une vue imprenable sur le quartier huppé ou le docteur Robinson avait sa maison.
elle est magnifique Joseph dit Maeva.
ravi quelle te fasse plaisir lui dit Joseph qui afficha alors un large sourire de satisfaction.
Le faite que la chambre convienne a Maeva lui enleva un sacre poids sur l'estomac, juste avant d'entrer dans la pièce le docteur doutait que cela puisse faire plaisir a sa protégé ,mais pour Maeva tous autres chambres que celle quelle avait connu a l'hospital était pour elle une délivrance même si elle fut surpris que Joseph puisse avoir une chambre aussi coloré dans sa maison, mais qu'importe pour la jeune amnésique c'était une bénédiction.
Maeva pris son sac qu'elle posa a coté du lit ,elle était assez hésitante a se poser sur le sommier le docteur lui dit quelle pouvait vu que cette chambre était la sienne mais pour Maeva une question subsistait.
A qui est cette chambre ? demanda Maeva
C'est la chambre de ma fille lui répondit le docteur
en effet sur le rebord la table de chevet il avait un cadre photo représentant le docteur qui tenait dans ces bras un petite fille brune toute souriante, Maeva s'imaginat qu' il devait sans nul doute s'agir de la fille de Joseph
Elle très jolie votre fille dit Maeva en montrant le cadre au docteur
Dr : c'est ma petite josephine
elle vous ressemble beaucoup je trouve dit Maeva qui détailla la photo
On me dit souvent quelle a mon nez lui répondit le docteur.
Maeva : ou est elle votre fille?
la mine du docteur s'assombri quelque peu a la question en sommes toutes innocente de Maeva, sans le savoir l'adolescente venait de raviver chez le docteur un vielle blessure, qui ne voulait pas trop s'exprimer sur le sujet, mais Maeva insista en demandant si elle aurait la chance de la rencontrer un jour, craignant que d'autres questions plus embarrassante ne suive le docteur dut donner une réponse
Dr : non elle n'est plus la ?
Maeva : comment ça ?
Dr : disons que sa mère et moi nous sommes divorcée et que ma fille et partis rejoindre sa mère a Los Angeles.
Il avait quelque que chose qui sonnait faux dans ce que le docteur avait expliquer Maeva le sentis bien mais voyant que cela troublait Joseph elle préféra remettre ces questions a plus tard, plus que tous le docteur voulait rester évasif sur le sujet même si il savait que Maeva pourrait comprendre se genre chose il ne voulait pas lui en parler, du moins pas pour l'instant,le docteur écourta donc la conversation en changeant de sujet
Dr : dis moi Maeva tu as faim ?
Il était midi passé depuis longtemps Maeva avait été tellement pressé de quitter l'hospital, qu'elle n'avait pas pris la peine de déjeuner et maintenant la faim se faisait sentir
Je suis affamée lui répondit la jeune fille
Pour ton premier repas tu veux quoi lui demanda le docteur
Maeva : je ne sais pas
Dr : je dois avoir des lasagne surgelées sa te dis ?
Maeva : j'en ait jamais manger... je crois du moins.... euh c'est bon ?
Dr : je suis sur que tu vas aimer.
je vous crois lui répondit la jeune fille
Dr : pose ta valise sur le lit on la défera après
La jeune fille s'exécuta rapidement et se depecha de ce défaire des quelques habits quelle portais pour aller manger mais au moment de sortir de la pièce le docteur l'intepella
Maeva dit le docteur
Oui Joseph fit la fille
Dr : avant de visiter le reste de la maison je voulais te rendre ceci
Le docteur sortis alors un petit livre noire de sa serviette qu'il tendit a Maeva
Mon journal intime !!! c'est vous qui me l'aviez pris s'exclama Maeva
Dr : oui c'est moi
Maeva : je l'ai chercher partout sans succès j'ai même cru que l'un des infirmiers l'avait jeter par erreur alors que c'est vous qui l'aviez depuis tous se temps !!
Dr : je m'excuser de ne t'avoir rien dit mais vois tu j'avais besoin d'étudier tes rêves pour essayer de comprendre.
Vous avez violez mon jardin secret lui répliqua la jeune fille qui se sentis trahis sur le coup
Dr : c'est un mal pour un bien je devais comprendre tes rêves mais surtout je devais convaincre mes supérieurs que le changement d' environnement te serais profitable
malgres sont grade et ces bon état de service le docteur n'aurais jamais put obtenir de sa hiérarchie la possibilité d'enmener une patiente chez lui pour un traitement spécial, pour se faire il avait du faire des démarche afin de devenir le tuteur légal de Maeva.
Dr : tu n'en veut pas j'espère
En dépit du coup tordu dans le dos de la part du docteur, Maeva savait pertimenent au fond d'elle même que se dernier avait agit pour son bien,toutes les attention que le docteur avait manifester suffisait pour que Maeva lui fasse confiance, depuis le début c'est lui qui l'avait aider a s'éveillé a la vie et si il avait insister pour que jeune patiente viennent chez lui c'est parce qu'il était sur que cette dernière aurait plus de chance de découvrir qui elle était, de plus les "dons" exceptionnelle que Maeva avait manifester en faisait un cas unique, il ne voulait surtout pas que ces autres collègues en fasse un phénomène de laboratoire, il craignait que des test abusif ne finisse par la perturber ,il avait du opter pour l'adoption afin de soustraire Maeva as se cycle hospitalier, ce dont Maeva avait besoin pour guérir c'était de l'attention et de l'amours.
Maeva : je sais que vous faite sa pour mon bien, donc je vous pardonne
Dr : merci a toi
Maeva : mais la prochaine demander moi
Dr : promis a l'avenir avant de consulter ton journal je te demanderais la permition
Maeva : je préfère
Dr : je te le rend pour que tu puisse continuer consigner tes impressions et tes rêves,
Maeva : sa lecture vous a telle appris quelque chose au sujet de mon passé.
Dr : pas pour le moment ,je cherche toujours un sens a tous ça, mais je reste persuader que la clef du mystère se trouve dans tes rêves
Maeva : mes rêves!!!
Dr : c'est la clef j'en suis sur, il est donc important que tu soit honnête quand tu consigne tes impressions dans ton journal, surtout ne triche pas dans sa rédaction,
Maeva : pourtant mais mes rêves sont tellement étrange
Dr : les rêve sont toujours étrange
Mes rêves me font peur confia la jeune fille
Dr : écoute moi Maeva ,même si tes rêves de démons te font peur ici tu n'a rien a craindre je suis la.
Il fallait comprendre ce que ressentait Maeva, les nuit de la jeune amnésique était affreusement ponctuer de cauchemars ceci revenait inlassablement, combien de fois c'était elle réveiller sous l'effet de la peur, Maeva était souvent fatiguer car elle avait peur de s'endormir craignant que ces cauchemar ne finissent par la rendre folle,elle avait essayer d exorciser ces peurs en consignant ces rêves pour se convaincre de leur absurdité mais le docteur y vis dans cette activité nocturne le moyen de guérir Maeva.
Maeva : ils me font vraiment peur ces cauchemars
Dr : Se sont des souvenirs Maeva j'en suis persuader.
Que voulez vous dire demanda Maeva assez intriguée
Le docteur s'assit sait sur le lit et invita Maeva a le rejoindre, la jeune fille se posa a coté de lui.
Dr : vois tu tes rêves selon moi sont le souvenir d' événement que tu as vécu
Maeva : mais ce que je vis dans mes rêves et si incroyable je ne peux pas croire que se soit réelle
Dr : d'un certain point de vue c'est tous a fait possible.
Maeva : vous voulez dire que j'aurais vraiment croiser un lion violet a la crinière d'or dans ma vie passé ?
Dr : honnêtement je ne crois pas qu'un lion violet puisse exister dans la réalité pas plus que le démons et le fantôme qui l'accompagne mais vois tu il arrive que le cerveau humains fasse des associations
Maeva : que voulez vous dire?
Dr : tu n'a peut être pas rencontrer ces êtres, mais ils peuvent avoir une valeur symbolique ou n'être qu'un petit détail de ta vie passé, dans le cas de ton amnésie ton imaginaire a put s'inspiré de brides de souvenirs basé sur des fait réels et les transposer de façons onirique.
Maeva : mon lion violet
Dr : ton lion violet n'est peut être rien de plus qu'un de tes dessins
en plus de consigner ces impression dans son journal Maeva dessinait beaucoup ,mais tous comme les rêves ses esquisses ne représentait rein de concret, ces dessins n'étaient une succession de paysage divers Maeva ne dessinait que des désert et des montagnes et parfois même des foret.
Maeva : vous croyez que l'analyse de mes rêves va me permettre de retrouver la mémoire.
Dr : c'est dans ce but que j'ai décider de te sortir de l'hospital, il faut arriver a dissocier ce qui est fictif de ce qui est réelle , je vais pour cela t' emmener dans pleins de lieux commun au adolescent de ton âge et qui sait un détail pourrait déclencher une autre série de souvenir
Maeva : vous pensez a quoi en particulier
Dr : a des lieux comme une école, un parc public et même une fête foraine
Maeva : une fête foraine
Dr : je me suis dit que le week end prochain on pourrais aller a une fête foraine
Maeva : sa serait génial
Dr : cela devrait ravier des souvenirs
Maeva : vous pensez que je pourrais y arriver
Dr : la première fois qu'on c'est vu tu était incapable de t'exprimer, tu as retrouver l'usage de la parole et de l'écriture en mois d'une semaine et tes capacité d'apprentissage sont exceptionnelles
Maeva : et mes "dons" ?
Dr : c'est un mystère que nous allons essayer de résoudre ensemble et qui sait on pourras peut être réussir a savoir ce qu'est ce monde que tu nomme Lyoko.
On frappa a la porte d'un bureau ou un homme en uniforme militaire était entrain de lire un dossier.
Entrez fit il une voix imposante.
la porte s' ouvrit laissant apparaître un homme en tenue militaire,il avança jusqu'à a limite du bureau avant de s' immobiliser pour effectuer un salut militaire a l'homme qui était assis derrière le bureau.
Bonjour mon général,colonel François Perec au rapport dit l'homme en se pressentant
Le général assis se releva et lui adressant le même salut officiel.
repos colonel fit le général
l'homme rompit sa posture de salut et resta droit devant son officier supérieur en attendant un réaction de sa part, le général un homme d'un cinquantaine d'année la stature imposante et le regard perçant invita le colonel a s'asseoir.
Veilliez vous asseoir colonel fit le général.
l'homme retira son képi et s'assit sur la chaise et en attendit de nouveau que le général lui adresse la parole,celui ci refermât le dossier qu'il lisait
Général : colonel Perec je finissais de relire votre dossier a l'instant, c'est très intéressant.
Le général fit alors un rapide résumer du dossier de son interlocuteur afin de s'assurer que les informations a sont sujet n'était pas erronée.
" François Eugéne Perec né le 26 octobre 1975 a l hôpital militaire de saint augustin ,fils du colonel Antoine Perec et de Simone Perec.
a suivit une scolarité normal avec une très bon niveau dans toutes les matière général
et rentré a 16 ans sur recommandation a l académie militaire de saint -Cyr pour suivre une formation d'officier .
Est sortis premier de sa promotion avec mention très bien.
Promu au rang de chef de brigade a l'âge de 24 ans puis commandant d'un bataillons en 2002 blessé a la jambe droite lors d'une attaque surprise des Talibans sur un champ de bataille en Afganistan en allant porter secours a une unité en détresse, c'est démarqué alors par un fait d'armes exceptionnelle en sauvant la vie de trois soldats et de leur supérieur, décoré de la médaille militaire pour action de courage et promu au grade de colonel pour bravoure en 2003 vous avez quitter le service actif une fois remis de ces blessures avant d'être affecter au service de la DRM au service du contre espionnage.en temps qu'analyste, poste que vous occupez toujours a l'heure actuel.
Une fois la présentation finit le général demanda au colonel si le dossier n'avait rien omis
Affirmatif mon général tous est parfaitement exacte lui répondit le colonel sans broncher
général : ont peut dire colonel que vous avez un dossier exemplaire.
colonel : merci mon général.
l' homme croisa ses main et se mis legerment en retrait
Général : colonel Perec connaissez vous la nature de votre convocation
Perec : non mon général
Général : colonel Perec , sachez qu'après avoir passé un ans a remplir des formulaires je vous annonce que vous reprenez officiellement du service
le colonel était assez surpris il pensait que sa carrière était finis a cause de sa blessure et voila que le général Dumont lui annonçait son retour au sain de l'armée.
Sur les champs de bataille redemanda alors officier
Général : négatifs vous ete affecter au service actifs du renseignement
Perec : contre espionnage ?
Général : Affirmatif colonel ,
Perec : mon général s'agit il d'une promotion ?
Perec : il s'agit une mission alors que dite vous de ça
Perec : un seul question mon général ,pourquoi moi ?
Général : après avoir longuement étudier votre dossier votre superieur le directeur du centre ma certifier que vous étiez le meilleur élément de votre unité d'analyse.
Perec : en quoi mon dossier a t-il supplanter celui des-autres agents du service
Général : la nature très particulière de la mission que je vais vous proposé demander une grande capacité d'adaptation et un bonne réactive face a l'imprévu, des capacités donc vous sembler pourvu, se qui fait de vous le soldat le plus apte a pouvoir accomplir cette mission.
Perec : Merci pour le compliment mon général
le géneral sortit alors de son attaché caisse un dossier de couleur grise, celui ci était selle du sceau secret défense
Général : se que je vais vous monter est classé secret défense seulement voila , vous n'éte ici que sur recommandations en aucun cas je ne peut vous obliger a acepter cette mission
tous se que je peut vous dire la sécurité national est en jeu.
le général se tut alors pour observer la réaction de son subalterne, le colonel vit la une occasion de ce sortir des bureau ou il moisissait depuis un ans sa réponse fut sans équivoque
Perec : mon général je sais ou et mon devoir, j' accepte la mission
très satisfait par la réponse de son officier le général tendit le dossier au colonel, celui ci le prit et enleva le cachet secret défense qui fermait le dossier, signe évident de l'acceptation de cette mission, en premier page on put lire inscrit en gros caractère
OPERATION XANA
Xana de quoi s'agit il ? demanda le colonel
Général : voici un rapide topo de la situation , depuis maintenant deux mois le réseau des télécommunication du pays subis des troubles inquiétant.
Colonel : de quelle nature mon général ?
Général : perte d'informations, communications brouiller, ralentissement de certains serveur et ceci aussi bien sur les réseau civils que sécurisé
Colonel : avons nous une idée de ce dont il s'agit
Général : tous ce que nous savons pour l'heure se trouve dans ce dossier
le colonel survola rapidement le dossier, celui faisait état de nombreuse anomalie dans les système de communication ainsi de ce qui semblais en être a l'origine
Général : pour le moment la seule piste que nous avons c'est ce non ....
Perec : Xana !!!
Général : Xana ainsi qu'un mystérieux logo
Dans le dossier il avait plusieurs photo représentant des moniteurs d'ordinateur sur lesquels un mystérieux symbole compose de trois cercle et de 3 pointe oriente vers le bas et dune pointe vers le haut
Perec : a quoi avons nous a faire ?
Général : il se pourrait qu'il s'agisent d'une nouvelle forme d'attaque terroriste peut être orchestrer par une puissance étrangère.
colonel : avons nous déjà subis des pertes
Général : négatifs pour le moment les perturbation non encore cause aucun dégât ,aucun site militaire n'a encore ete visé mais se n'est qu'une question de temps
Perec : savons nous se qui se cache derrière Xana
Général : d'après nos meilleurs technicien l'organisation Xana et assez tentaculaire, on a trouvé des traces de son activé a diffèrent point du globe.
Perec : a ton déjà identifier des agents actifs.
Général : rien de tous ça colonel, a par sa présence sur le réseau il n'existe aucune trace d' activiste ou de sympathisant ouvertement déclaré se qui nous amène a pensé que...
Perec : ...que Xana pourrait être un projet et non un groupe armé.
Général : un nouveau type de système "black-out" des communications.
Perec : comme le projet "crépuscule" des soviétique ou "Carthage" de l'Otan au temps de la guerre froide.
Général : vous connaissez vos classique a ce que je vois,
Perec : c'est l'avantage de travailler aux services d'analyse du contre espionage, on a accès a pas mal de vieux dossier,et comme les journées sont longues sa nous laisse le temps de parfaire sa culture.
Général : je vois, mais vous avez vu juste c'est similaire et vu se donc cette organisation et capable il faut s'attendre au pire, pour le moment ceux qui le contrôle sont en mesure de créer de sacrée trouble dans notre système de défense.
Perec : je mesure l'ampleur du danger en cas de conflit, privé d'informations une armée serait a la déroute
Général :nous craignons que les différents incident ne pourrait être qu'une répétition avant une attaque de haute ampleur.
Perec : avons nous un moyen de lancer une contre offensive
Général : dans l 'immédiat NON et sans savoir contre qui ou quoi nous nous battons difficile de contre attaquer
Perec : c'est logique, il faut connaitre son ennemis avant d attaquer
Général : le problème et que nos nos service se limite a la sécurité du territoire et c'est la que vous intervenez colonel, si c'est une attaque externe vous deviez en découvrir l'origine
Perec : se sera donc une mission en solitaire
Général : pas vraiment
Perec : ........
Général : nos allier anglais sont également concerné, des perturbation identique on été observé sur le territoire britannique, les services du mi5 nous l'on confirmé, la nature de leurs perturbations est identique au notre
Perec : notre ennemis invisible a donc choisit de frapper plusieurs cibles en même temps
Général : quelle que soit l'organisation qui se cache derrière Xana , leurs objectifs sont visiblement situer en France est en Angleterre c'est pour cette raison que nos services vont collaborer étroitement avec le mi5, pour cela nous partons immédiatement pour Londres ou nous irons rejoindre nos homologues.
Perec : nous partons quand
Général :soyez près pour a 15H30
Perec : a vos ordres
Général : vous avez compris quelle est votre mission
Perec : affirmatif mon général
Général : votre mission est de découvrir se qui se cache derrière Xana et qui le contrôle et si possible de le détruire par tous les moyens
Perec : infiltration et sabotage en sommes mon Général
Général : affirmatif colonel
Perec : sa ne sera pas facile mais je réussirais
Général : la patrie compte sur vous colonel
Et elle peut se reposer sur moi ajouta le colonel
Général : rompez colonel
Perec : a vos ordres mon général.
il se saluèrent et le colonel sortis du bureau.
veilliez introduire votre badge dans la serrure magnétique
----------------------------------
entrez votre code d identifications
_XXXXXXX-XXXXX
accès autoriser
_--------------------------------
Soyez le bienvenue dans la section 5 Mr Arnaud Morillon dit alors un voix informatique synthétique.
Les serrures se dévérroullièrent et l'imposante porte blindée s'ouvrit, un léger souffle d'air frais se fit sentir sur le visage du jeune homme qui s'avança dans la pièce avec un certain entrain qui laissait devinez qu'il était assez enthousiaste.
Et pour cause Arnaud venait d'obtenir de Simon Watson l'accès au super calculateur de la société, il venait d'être promu officiellement chercheur de niveau 5, Acrediter son protéger fut chose facile pour Watson qui avait en charge la gestion de la sections 5 depuis deux ans, le laboratoire n7 avait été totalement allouer pour Arnaud, a présent il disposait de la puissance nécessaire pour décrypter les données de sa sonde, c'est avec la-nonchalance du nouveau propriétaire que Arnaud fit le tour de son lieu de travail,il scruta le laboratoire, a coté des appareils de mesure et autres ordinateur de dernière générations il y avait l'objet de ses rêves.
Le terminal d'accès numéro 7 au super calculateur n'attendais plus que lui, un large rictus se dessina sur son visage a la vu de l'interface,il savait que tous les laboratoires du niveau 5 en était équipé, ils permettaient au scientifiques d'avoir accès a une partie des ressources de l'unité centrale, il y avait en tous 10 sections et chacune avait un projet top secret en cour qui était rattaché au super calculateur.
cependant tous les scientifiques de la section 5 savaient que le laboratoire numéro 1 était consacré au projet phare de la société
LE PROJET TANIT
Pour le jeune homme qui venait juste d'attendre sa majorité Arnaud était au anges dans ces rêves les plus ou il n'aurait pas imaginer qu'une telle machine existait et encore moins que cette dernière était gérer par une intelligence artificielle super évolué, il se souvenait de ce qu'il avait ressentir la première fois qu'il l'avait vu , un ans bientôt qu'il ne l'avait pas revu
Il s'approche du miroir de projection qui servait d'interface de communication, a son approche le miroir s'activa,c'est assez timidement qu'il interpella l'I.A ne sachant pas si celle ci allait lui répondre et encore moins le reconnaître.
Il ne fallut pas moins pour que cette dernière n' apparaisse telle un diable sortant de sa boite
surpris sur le coup Arnaud faillit en tomber a la renverse pourtant elle etait la en virtuel et en pixel et elle lui parlait
bonjour lui fit alors l'I.A
Arnaud : bonjour
Je suis content de vous revoir Mr Morillon lui dit l'I.A.
Et bien moi aussi lui répondit Arnaud avec joie
I.A : vous allez bien
Arnaud : très bien et vous ?
I.A : je suis pleinement opérationnel
Arnaud : ravi de la savoir
I.A : Mr Watson ma avisé que vous et moi allions travailler ensemble,sachez que cela me fait très plaisir.
Et moi donc lui répondit Arnaud
I.A : il s'agit d'un travail de décryptage.
Arnaud : pas moins de 5 tera-octets de données a décompilée , que du lourd
I.A : voulez vous que je vous alloue une partie de la cité.
Arnaud : c'est le but de ma présence ici
I.A : un temple devrait suffire ,vu que cela représente une sacrée masse de calcul
Arnaud : sa devrai être largement suffisant
L'I.A évoluait également dans un monde virtuel,la puissance du super calculateur était telle quelle avait permis la créations d'une cité antique, il s'agissait d'une île borde d'une mer numérique , les abord de la cité était composé de rempart, qui protégeait des maison des ruelles et de temple, les différent édifices qui composait la ville n'était en faite que la représentation algorithmique de la puissance de calcul de la machine, les temples sont en faite des espace de travail pour les chercheurs de chaque secteurs, ils servaient de base de simulations a divers projets,
I.A : votre temple est prés a décoder vos données
I.A : je ne voudrais pas abuser mais en faite j'ai peu exagérer la nature du problème ?
La vérité était que Arnaud c'était jouer de Simon il aurait très biens put décrypter les 5 tera octets mais il n'avait pas résister a l'envie de travailler sur le super calculateur
il savait qu'avec laide de L'IA il ne lui faudrait pas plus de deux jours pour extraire les données collecter par sa sonde Vger, la vrai raison que l'avait amener ici a c'était qu'il pouvait mettre un terme a un projet de longue date.
I.A : si ce n'est pas pour le décryptage pourquoi avez vous besoin d'un temple ?
Arnaud : j'ai en faite un projet un peu plus intéressant a te proposer
I.A : de quoi s'agit-il ?
Arnaud : et bien voila j'ai pratiquement fini de mettre au point 4 nouveau type d intelligence artificiel.
Des I.A comme moi ? demanda l'I.A
Arnaud : quasiment identique, basé sur un concept d' autonomie révolutionnaire
I.A : plus perfectionner que le mien ?
Arnaud : certes pour le moment elle ne sont pas aussi sophistiquée que tu l'est, mais sa s'annonce prometteur.
I.A : auront t'elle une identité qui leur sera propre.
Arnaud : c'est la raison de ma venu ici
I.A : que voulez vous dire ?
Arnaud : vois tu parmi les données que ma sonde a ramener, se trouvait des profils de personnalités pré-établis
Dans les trois jours qui avait suivi la perte de sa sonde Arnaud avivait requis a décrypter des données , il était apparu après analyse que celle ci faisait référence as des schéma neuronales,Arnaud avait tous de suite saisis l'incroyable opportunité qui lui était offerte de donner a ces projet d'intelligence artificielle,l'autonomie qu'ils leur manquaient, mais pour intégré ses profils il lui fallait une sacrée puissance informatique et seul le super calculateur pouvait le permette, voila qu'elle était l'origine de sa ruse.
Arnaud : vois tu il faudrait des années a un programateur pour mettre au point une personnalité autonome
I.A : je confirme le docteur Hopper a mis 7 ans a me créer.
Arnaud : moi j'en est 4 qui sont toutes prête
d'où viennent ces profils demanda l'I.A
Arnaud : c'est un secret
I.A : vous pouvez me le dire, chaque laboratoire est securise, les informations ne sortiront pas de ce local.
Arnaud : dans ce cas....
L'I.A écouta avec beaucoup d'attention se que Arnaud lui révéla...
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Cela parait difficile a croire.lui dit lI.A
Arnaud : je sais, mais sa me laisse supposer qu'elles sont originaire d'un cerveau humains
I.A : a ma connaissance il n'existe encore aucun moyen de scanner un cerveau humains et d'en extraire des données numérique d'intelligence
Arnaud : mais le faite est que ces profils existent
I.A : c'est indéniable
Arnaud : c'est pour ça que je veux les intégré au projet
I.A : il s'agit la d'un processus long et complexe
Arnaud : je sais mais....
I.A : mais....
Arnaud :.... il pourrait s'agir d'une grande découverte.
I.A : de quelle genre
Arnaud : des systèmes basé sur un cerveau humains offre de nombreuses possibilités
I.A : j'en suis la preuve.
Arnaud : alors,pouvons nous commencer ?
C'est quand vous voulez mon cher Arnaud lui fit L'I.A sur un ton très amical
Arnaud : a nous deux, je sens que nous allons faire du bon travail ma chère TANIT
voila la suite qui je le precise et un chapitre charniere, chacune des histoires vont basculer vers un flashback, on pourrait me reprocher l'absence de combat qui dans la partie aventure devrait etre tres present normalement mais je met en place toute l'intrigue et je me concentre sur la psychologie des personnages et leur relation,de plus je joue avec une intrigue policiere,vous aurez surement plus de plaisir a essayer de recoller les morceaux pour percer les different mystere de cette fics cas voir des gens se taper dessus, mais patience de l'action il y en aurat + tard,pour l'heure place au mystere.
chapitre 03
Le journal de Jeremie Belpois - 26 juin 2005
---------------------------------------ENREGISTREMENT-------------------------------
Je m'appelle Jeremie Belpois, je suis élève de seconde au collège Kadic.
Nous sommes le 26 juin 2005, aujourd'hui je me lance dans l'écriture d'un nouveau journal.
.---
Mon précédent journal ayant été détruit il est devenu impératif pour moi d'en écrire un autre.
(honnêtement il ne m'aurait pas été nécessaire d'avoir a en tenir un nouveau, mais les récents événements m'ont démontré qu'une sauvegarde est indispensable.)
---
Dans ce nouveau journal je consignerai mes impressions et mes découvertes ainsi que les raisons qui m'ont poussées à la rédaction de ce dernier.
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Ce que je vais vous relater peut paraître extraordinaire voire complètement fou et pourtant il s'agit de la pure vérité.
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j'essayerait de faire simple.
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On peut dire que tous a commencer en octobre 2002,alors que j'étais en cinquième je fis par hasard la découverte d'une installation scientifique cachée dans les entrailles d'une vieille usine désinfecté situé à côté de mon collège.
Ce qui m'a frappé en premier lieu, était l'incroyable modernité de cette installation qui en dépit de son âge m'a semblé encore fonctionnel, suite a un rapide aperçu de la nature de cette machine je compris rapidement que j'étais tomber sur une sorte super-calculateur,après quelques jours d'hésitation et de recherches je pris donc sur moi de rallumer cette superbe machine sans avoir la moindre idée de ce que j'allais découvrir...
Si j'avais su.............
Mais voila cette machine exerçait sur moi un attrait tout particulier c'était comme un appel auquel je ne pouvais pas résister.
Peut-être que d'autres personnes plus sensée se seraient abstenues à ma place,mais j'étais à l'époque animée par une certaine curiosité scientifique ce qui ne conduisit en la date du 7 octobre 2002 a réactiver le super-calculateur.
Ah vraiment si j'avais su .....
Je dut attendre la nuit pour me rendre a l'usine, il faut dire que lors de mes prospection j'eus la chance de découvrir deux passages secret qui me permettait de quitter le collège Kadic en toute discrétion, l'accès à l'usine pouvait se faire en passant par les égouts, pour atteindre le laboratoire secret il fallait passer par ce que nous avons appelé la "cathédrale de verre" là se trouve à monte-charge qui permet d'accéder au niveau inférieur (Je tient à préciser que le monte-charge est l'un des deux accès au laboratoire l'autre étant une échelle qui se trouve dans la chaufferie)
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Le laboratoire est protègé par une porte blindé,pour l'ouvrir il suffit de taper le code secret sur le clavier numérique qui est caché derrière le panneau de contrôle du monte charge.
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le code est 3.7.6.2.6
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Pour vous détailler un peu plus en précision le laboratoire celui-ci se compose de trois niveaux.
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- premier niveau : la salle de contrôle.
c'est l'endroit que j'appelle clairement le laboratoire car c'est dans cette espace que se trouve le terminal d'accès aux super-calculateur c'est a partir de cette endroit que toutes les opérations de commandes peuvent être effectué.
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- deuxième niveau la salle des scanners.
dans cette pièce se trouvent trois tubes qui sont en fait des scanner géants c'est à partir de cet endroit que l'on peut effectuer une virtualisation, mais je reviendrai plus tard sur la fonction des scanners.
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- troisième et dernier niveau la salle du super-calculateur
dans cette pièce réfrigérée se trouve le coeur même de l'installation j'ai nommé le "super-calculateur quantique",une machine composée de deux cylindres enchevêtrées l'un dans l'autre,elle fonctionne a l'aide d'une pile atomique, a ce jours il n'existe aucun ordinateur plus puissant que celui ci.
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la présentation que je fais du laboratoire et du super-calculateur est assez sommaire je vous l'accorde, c'est juste que je préfère ne pas trop m'attarder dessus pour venir au coeur même du sujet.
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J'ai donc rallumé le super-calculateur pour découvrir que celui-ci gérait un environnement virtuel du nom de Lyoko.
Ce monde virtuel est composer de quatre plateaux différents qui l'on peut respectivement nommé:
- territoire banquise
- territoire montagnes
- territoire Foret
- territoire désert
Par la suite nous découvrimes l'existence d'un cinquième territoire situe au centre des 4 premiers dénommé Carthage,mais je reviendrai également plus tard sur sa découverte.
---
Outre leurs environnements respectif ses territoires sont jonchés de tours qui sont en faite des interfaces entre le monde virtuel est notre réalité.
---
Peu de temps après avoir rallumé le super calculateur Je me rendu au pupitre de commande après seulement quelques manipulations sur le clavier une fenêtre informatique s'ouvrit devant moi et la je fis la connaissance de Aelita, Après quelques échange avec elle je compris que j'étais tombé sur une intelligence artificielle hyper développée, la première foi que je l'ai vu elle ma faite forte impressions,Aelita avait l'apparence d'une Elfe vêtu de rose,sur le coup je peux dire que je suis tombé sous son charme et ....
------------------------------------------ PAUSE ----------------------------------------------------
A cet instant Jeremie eut comme un pincement au coeur il venait de se rappeler sa première rencontre avec Aelita, jusqu'à présent ce souvenir il l'avait gardé au fond de lui, puis avec le temps,les épreuves et la complicité avait fais place a la banalité et la routine faisant oublier à jeremie a quel point cette rencontre avait été déterminante pour sa vie, mais depuis la disparition de Aelita se souvenir avait revêtu une tout autre importance à ses yeux.
Aussi loin que sa mémoire pouvait l'emmener, ses pensés le ramenait à cette époque ou il sacrifiait tous pour Aelita. toutes les nuits blanches qu'il avait passées a cherchez le moyen de la faire venir sur terre,les frayeurs que lui faisait Aelita a chaque fois qu'elle risquait sa vie pour sauver celle de ces amis, tous ces rapports privilégié, presque intime qu'il entretenait avec elle,Aelita était une jeune apprentie et Jeremie tenait le rôle d'un professeur qui lui expliquait les choses de la vie, ces moments qu'ils avaient partagé étaient unique.
Oui ces souvenirs était devenu très précieux pour jeremie.
Jeremie posa ses lunettes sur le clavier est se frotta les yeux sans doute pour chasser toute nouvelle larme naissante, il avait tant pleuré ces derniers temps, mais ce n'est pas comme ça qui la ramènerait.
pleurer n'arrange pas les choses.
Puisant sa force dans ces souvenirs Jeremie c'était forgé une nouvelle déterminations sans pour autant renier le passé,désormais il lui fallait aller de l'avant.
il sauverait Aelita quelque en soit le prix.
---------------------------------------------REPRISE-------------------------------------------------
Aelita vivait sur Lyoko,elle ne savait ni qui elle était ni ce qu'elle faisait la,de toute évidence il y avait la un grand mystère à résoudre sur l'origine de tout cela,malheureusement nous n'ume pas le temps d'approfondir nos recherches.
Car tel Pandore qui ouvrit la boîte et répandit sur le monde les pires fléaux ,en rallumant le super-calculateur je tirai de son sommeil sans le savoir la plus terrible menace que l'humanité n'avait jamais connue à ce jour.
XANA
Xana était une intelligence artificielle extrêmement développée et très en avance sur notre temps
sa nature belliqueuse ne tardât pas a se manifester, par l'intermédiaire des tours que j'ai précédemment cité il avait la capacité de lancer des attaques de nature électrique dans notre monde.
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Nous fumes moi et plusieurs personnes a être impliqué dans un combat que je n'avais jamais souhaiter ,au moment de ces agressions une solution évidente s'est imposée,nous aurions pu éteindre le super-calculateur,prévenir les autorités et ainsi oubliée a jamais cette histoire.
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Mais voilà il y avait Aelita,je ne pouvais me résigner à l'abandonné,elle n'était pas responsable des actions de Xana,la condamnée a cause des crimes d'un autre aurait été injuste.
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Était-ce a cause des sentiments que je nourrissais pour elle que je refusais déteindre le super calculateur ?
Ils pouvait paraître ridicules qu'un adolescent de mon âge puisse craquer sur un programme informatique (d'ailleurs Odd ma souvent bâché à ce sujet),cependant je ne pouvait ignorer l'existence des scanners et du procédé de virtualisation.
La virtualisation selon ma théorie était un procédé qui permettait de transférer un être humain sur lyoko,le virtualisé comme je l'appele prenait la forme d'un avatar numérique, il pouvait ainsi évoluer dans ce monde comme dans le notre, mais le processus n'était pas a sens unique un virtualisé pouvait revenir par le biais des scanners.
Dès lors un choix cornellien s'offrait à moi pour sauver le monde du joug de Xana il me fallait éteindre le super-calculateur et oublier a tout jamais Aelita, soit trouver un moyen de la ramener parmi nous (la perspective de pouvoir ramener Aelita sur terre était séduisante) Je ne vous cache pas que c'est la seconde options qui s'est imposée car nous avions une chance de contrecarrer Xana,aux hasard du premier combat nous découvrimes que Aelita avait le pouvoir de désactiver les tours ce qui avait pour effet de stopper toutes les attaques de Xana sur la terre, cette désactivation déclenchait la mise en marche d'un autre processus dont le super-calculateur était doter et non des moindres car il s'agit du retour vers le passé.
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C'est incroyable fonction qu'est le retour vers le passé permet de remonter le temps de 24 heures grace a cela nous pouvions réparer tous les dégâts occasionné par xana sans que qui que se soit n'en garde le souvenir,dès lors mon seul objectif fut de trouver le moyen d'amener Aelita sur terre.
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Pendant près 1 an et demi j'ai effectué toutes sortes de recherches pour y parvenir et durant ce laps de temps nous avons combattu Xana dans le plus grand secret, je vous avoue que concilier vie secrète et vie scolaire ne fut pas facile mais au prix de grands efforts je parvint a virtualisé Aelita sur terre.
Mais xana n'avait pas dit son dernier mots.
"On m'appelle Maeva et je ne sais rein de moi..."
oh vu de ma morphologie il apparaît que je suis une jeune fille d'environ 14 ans (mais là rien n'est sûr non plus) je mesure 1.45 mètres ,je suis assez mince ( ce qui n'est pas pour me déplaire), détails particulier me concernant mes cheveux sont d'une couleur peu banal, il sont... je préfère ne pas en parler.
Il peut vous paraître étrange que je sache si peu de choses sur moi, la vérité c'est que j'ignore tout de mon passé.
qui suis-je ?
---
d'où viens je ?
Tant de questions qui pour le moment sont sans réponse,et pour cause cela ne fait maintenant que quelques mois que j'ai commencé a m'éveiller à la conscience,auparavant les formes les sons qui m'entourait était pour moi un grand mystère, mais petit a petit j'ai appris, j'ai commencé à saisir et à comprendre les nuances de ce monde.
Actuellement je suis en traitement pour essayer de retrouver la mémoire,ma réadaptations a la vie n'est pas des plus facile, car je dois tous redécouvrir...
Manger... boire... dormir.
toutes ces choses si banal pour les autre personnes me paraisse tellement nouvelle pour moi,j'ai du mal a mis faire,mais je m'accroche...
Je veux savoir...
Maintenant que je suis en mesure décrire je commence la rédaction de mon journal intime,je consigne à l'intérieur toutes mes impressions et mes sentiments,le moindre flash-back le plus infime détails qui me revient pourrait être un facteur déclenchant me permettant de retrouver la mémoire.
Alors j'essaye de tenir celui ci de façons régulier, c'est un bon moyen selon le docteur Robinson pour m'aider à déchirer le voile qui recouvre ma mémoire,autant qu'il est permis de me rappeler , il m'est impossible de revenir plus loin que le jour ou l'on ma retrouver errante dans un bois perdu au milieu de nulle part.
Le froid, la peur et la faim sont les premières chose que j'ai resentis,et pendant plusieurs jours je suis rester prostrée a ne pas savoir quoi faire, jusqu'à l'arrivée de mon sauveur...
----------------------------------------Pause-------------------------------------------
Maeva posa sont stylo quelques instants sur le rebord de son bureau,sa première rencontre avec le docteur venait de lui revenir en mémoire.
Elle ferma les yeux et un grand sourire se dessina sur son visage, cette homme était un jour apparu quand tous autour d'elle n'était que chaos quand bien même maeva se montra sauvage quand le docteur lui tendit la mains,tous se que celui ci lui avait apporté par la suite était dune valeur impérissable pour Maeva.
De la chaleur, de l'attention et mille autre merveilles qui faisait que Maeva se sentais bien, en dépit de son malheur.
Oui Maeva éprouvait de la reconnaissance pour le docteur et peut être plus encore.
-----------------------------------reprise -----------------------------------------
le docteur est un homme très gentil c'est lui qui m'a baptisé Maeva,en guise de "bienvenue" c'est la signification de mon noms
"Bienvenue"
je trouve ce prénom très joli en tout cas il me va mieux que celui de "patiente de la chambre 24A"
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Le docteur me consacre beaucoup de temps je me suis très attaché a lui,il m'aide a comprendre qui je suis, il m'assiste dans chacun de mes pas de son propre aveux il teste sur moi une nouvelle méthode base sur l'interprétations des rêves et des souvenir refouler mais surtout mes rêves...
Mes rêves.......
Mes nuits sont peuplés de rêves pour le moins étrange,d'après le docteur robinson mes rêves serait la clef de ma guérison, mais ait je vraiment envie de guérir ?
Il est vrai que j'ai envie de savoir qui je suis et d'où je viens,mais au fond de moi j'en doute..
Mes origines me paraissent trouble et mes rêves ne font rien pour me rassurer.
Car la nuit je rêve que je vis dans un monde étrange appelé Lyoko,c'est un noms bizarre mais c'est celui d'un monde qui ne ressemble à aucun autre.
Il est habité par des chimères et de créatures très mystérieuses,pour une raison que je ne serais expliquer ce monde me fait peur, il n'est que violence et haine le peu que je peut m'en rappeler c'est un spectacle macabre ou des êtres a l'aspect hideux s'entretuent est se mutilent et moi je suis au milieux de tous ça,quelque part cela me fait très peur.... j'ai peur de découvrir la vérité à mon sujet.
Qui je suis vraiment ?
Suis je vraiment lié à ce lieu ? si tous ceci existe pour de vrai,alors je préfère en oublier l'existence car devant moi s'offre une nouvelle vie.
-----------------------------début de mon journal------------------------------
Je m'appelle Maeva et je débute une nouvelle vie...
----------------------------------------ACTIVATION----------------------------------
identité confirmé: Colonel François Perec
12 févriers 2005 mémo personnel
Cela fait bientôt 3 semaines que je suis hospitalisé a l'hospital militaire de Brest,pour le moment ma convalescence se passe bien.je me remet assez vite de mes blessures.
Le major Cartwright viens me rendre visite tous les jours pour prendre de mes nouvelles, je trouve ces attentions très délicates a mon égard ,après tous je lui est sauvé la vie en premier et elle me la sauver en retour sur ce point la on est quitte, mais en dépit de ça nos point de vue diffère toujours.
Cette femme a vraiment un caractère bien a elle, et quelque part sa me plaît.
Bon revenons en a l'essentiel, la deuxième tentative d'assassinat sur ma personne a encore échouer , mais il s'en est fallu de peu cette fois, quelques secondes de plus dans cette chambre radioactive et j'y passait.
Au vu des dernier événement il apparaît clair maintenant que pour notre mystérieux adversaire appelé Mr.X. nous sommes de plus en plus gênant.
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Les aveux de son homme de mains nous ont permis de remonter sa piste maintenant je sais que tout est lié à un mystérieux projet appelé Neo-Carthage.
Je ne sait pas encore se qui se cache derrière,mais tous ceci semble lier à l'ancien projet Carthage qui a l'origine était destiner à un brouillage des communications.
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Il est encore trop tôt pour tirer des conclusions mais il se pourrait bien que le projet Neo-Carthage soi un nouveau système de brouillage de communication très perfectionnée et si Mr.X n'est pas une puissance étrangère, il est sûrement liée à ce fameux projet d'une manière ou d'une autre.
D'après mon mystérieux informateur,Mr.X serait responsable de la vague de parasitages sur le réseau, donc il se pourrait que derrière le projet Neo-Carthage se cache l'organisation Xana.
*note au passage* il n'est pas très original de ce fait rappelé Mr.X quand on a un projet qui s'appelle Xana,je vais finir par croire que les terroristes ont vraiment un sens de l'humour très particulier. *fin de note*
les indices que mon informateur nous a laisser nous amène a nous pencher sur les membres qui composait le projet Carthage d'origine.
Seulement l'enquête s'annonce compliqué vu que la plus part des personnes travaillant sur le projet carthage sont morte en 1979 lors de la destruction du laboratoire.
Les suspect principaux sont les trois scientifiques qui on survécu a l'explosion
Sigmund Kessel,Henry Hopkins et Waldo Schaeffer
Mon premier suspect : Sigmund Kessel c'est retiré de la vie publique depuis plus de 25 ans il vivrait depuis dans un chalet quelque part en suisse allemande, sont dossier ne fais mention d'aucune activité particulière depuis.
Mon deuxième suspect Henry Hopkins il devenu un important homme d'affaires, il serait le PDG de la société Cyclotron c'est un homme très puissant, l'abordé ne sera pas facile.
Le dernier suspect et le plus intriguant de tous Waldo Schaeffer
au début des années 80 les services secret on lancer une enquête a son sujet il serait responsable du sabotage du projet carthage ainsi que de sa destruction , il serait soupçonner d'avoir volé du matériel radioactif et d'avoir vendu des secrets militaire au russe,il fit l'objet d'une étroite surveillance (son noms fut même cité dans le dossier Farewell)
mais aucune preuve n'a jamais put être apporté car les dossiers le concernant on mystérieusement disparu.
On peut supposer que quelqu'un a essayer de le protéger, on a perdu toute trace de lui depuis 1994 alors que les service secret le traquait, selon nos meilleur spécialiste il se serait passer dans un camps ennemis ce qui fait de lui le suspect numéro un.
Noe pouvant pas savoir ou se trouve Waldo Schaeffer pour le moment je dois me rabattre sur les deux autres il sont le seul liens que j'ai avec Mr.X , je ne dois négliger aucune piste.
*Note personnel*
Avant de reprendre l'enquête je ferais mieux de convaincre les médecins que je vais bien,toute foi même moi j'en doute.
Depuis la deuxième tentative d'assassinat j'ai comme des flash-back, c'est assez troublant j'ai l'impression....
NON......
j'ai même la certitude que je revis la même journée,même si cela peut paraître dingue pourtant d'après les médecin militaires les particules auxquelles j'ai été exposé ne peuvent pas provoquer de dégénérescence cellulaire et encore moins des troubles physique donc j'ai l'air d'être atteint.
Mais un doute subsiste, la chambre d'isolement radioactive ou j'ai ete enfermé était expérimentale on ne sait pas a quel genre de radiation j'ai bien put être expose de plus le super-calculateur qui contrôlait cette environnement a lui aussi été détruit par la même surcharge qui en a endommage plein d'autres.
alors pourquoi ai-je cette sensation de déjà vu certains jours ?
il m'est arrivé de prédire des évènements futur de façons très précise non pas parce que je les avait vu dans un rêve mais parce que je les avait déjà vécu.
ça m'est arrivé que 4 fois
--------------------------------------------pause----------------------------------------------
A laide de sa touche majuscule le colonel surligna alors les 20 dernier lignes qu'il venait décrire et les effaça.
Le colonel préfèra passer sous silence ces "bond dans le futur"
Si quelqu'un de son service venait a tomber sur ces notes cela pourrait compromettre sa mission, car ces supérieur ne laisserait jamais un fou en service et vu son cas particulier il valait mieux se taire et chercher par lui même une explication a tous ça.
-------------------------------------------reprise-------------------------------------------------
dans trois jours je sortirais de l'hospital et la je reprendrai l'enquête,qui aurait penser il a encore 5 mois lors du fameux briefing avec mes officier supérieur que cette affaire me conduirait si loin...
Pas moi en tous cas...
----------------------------------------FERMETURE----------------------------------------------------
compte-rendu d'analyse journal video numéro 6
9 h 30 - cela fait maintenant une semaine que j'ai été promu chercheur de la section cinq, c'est pour moi un grand honneur et une reconnaissance mérite de mon génie.. enfin c'est normal...je suis un as.
Donc comme je disais sa fait une semaine que je travaille sans relâche sur le décryptage des données que ma sonde VGer 1.0 a recueilli. ( je ne compte pas toutes les heures supplémentaire que j'ai faite, ma fiche de salaire a la fin du mois va être garnis)
Grâce a Tanit et au super-calculateur j'aurais finis dans quelques heures....
---
13 h 44- ça y est j'ai fini le décryptage de l'ensemble des données, je vais pouvoir les étudier de plus près et a mon avis je risque d'y passer du temps vu leur taille ( 5 tera octet il faut se les farcirent), se que je peut déjà en dire c'est que j'ai pas moins de 6 fichiers a étudier .... bon au boulot....
17 h 02- un petit point sur la situation, à l'aide du temple que Tanit m'a dédié j'ai put effectuer une étude très approfondie des données je peux dire que ce que ces dernières se sont révélé est fort intéressant
-les fichiers sont en fait des protocoles de commande et d'exécution de taches pré-définie ( des programmes si vous préfrèré).
- le premier semble être un système d'interface, je l'ai fait apparaître dans le temple afin d'en avoir une représentation 3D,on dirait une sorte de tour blanche avec une base l'aspect organique ,pour le moment je n'arrive pas a en définir son fonctionnement et son utilité je verrai ça plus tard....a vrai dire ce sont les quatre aux autres protocoles qui m'ont vraiment intéressé.
Je vous cache pas que depuis le début je savais qu'il s'agissait du scanner des anti-virus qui ont attaqué ma sonde mais la je ne m'attendais pas a tomber sur des profils de personnalité préétablis.... j'ai hâte de les intégrer a mes prototypes d'I.A pour voir ce que sa donne... en attendant je vais étudier le dernier programme...
20 h 33 - JE SUIS FOU ou je dois halluciner... ressaisit toi Armaud.....(Arnaud se donne des tape sur le visage)
je ne sais pas par par ou commencer et si même a l'heure actuel je me suis pas tromper...mais j'ai la sous mes yeux un protocole d'activation pour processus de déstructuration et de restructuration de la matière....Non non je suis pas fou c'est..c'est vraiment les protocoles de base de ce programme.... peu de gens peuvent se rendre compte de ce que sa veux dire et pourtant c'est vrai..... ça peut paraître dingue mais il se pourrait que j'ai entre mes mains les clés de la téléportation.
la téléportation comme dans StarTrek
---
c'est hallucinant incroyable je manque de mot pour d'écrire ce que je ressent a cette instant...
dire que pendant des années des chercheurs de tous bords on essayer de trouver un moyen de téléporter la matière sans jamais y parvenir, car le principale obstacle et que si on sait la décomposer la reformer c'est une autre histoire.... et la j'ai le détaille précis d'un processus qui permet cette délicate opérations.
HALLUCINANT
voilà un rêve de fan de science fictions qui devient enfin réalité je commence à me demander quelles sont les autres richesses que peuvent receler le monde que j'ai découvert mon insistance à vouloir percer et explorer ce monde a été payante je n'aurais jamais imaginé que j'allais tomber sur une telle caverne d'Ali Baba, un véritable trésor scientifique.
je me demande qui peux bien se cacher derrière ? une puissance étrangère ou un laboratoire de recherche ? qui qu'il soit ils ont des décennies d'avance sur nous.
Mais je dois garer la tête froide et ne pas oublier qu'avant tous il sont nos ennemis.
fin du message.
Chapitre 04 Code Lyoko
laboratoire 28 juillet 2005
----------------------------------------ENREGISTREMENT----------------------------------------------
Voilà bientôt deux semaines que je n'ai pas pris la peine d'éditer mon journal personnel ,il faut dire que je suis extrêmement débordé par mon travail.
Je passe énormément de temps sur les réparations du super-calculateur ,le reste du temps je le consacre a la création et la programmation de mes deux autres projets principaux, donc en guise de pause je vais me rattraper en complétant les informations qui ont déjà été données précédemment.
Journal de Jeremie Belpois deuxième partie.
Dans mon message précèdent Je vous ai fait une présentation rapide de ce qu'était Lyoko et Xana.
Chaque jours qui passait depuis la découverte du super calculateur nous le vivions sous la menace d'une attaque de Xana et je peut dire que ce dernier rivaliserait d ingéniosité pour nous détruire, animaux possédé,robot,phénomène physique extrême et même un ours en peluche géant c'est vous dire !!!!!
Mais cela ne nous a pas empêcher de continuer et jamais a ce jour nous avons eut a pleurer la perte de qui que se soit jusqu'à dernièrement.....
------------ ( Jeremie marque un temps de silence)--------------
....quoi qu'il en soit,au bout d'un an et demi de recherches j'ai finalement fini par trouver le moyen de matérialiser Aelita sur terre.
Grâce à un protocole spécial il lui suffisait de rentrer dans une tour et de rentrer le CODE TERRE de là tous un processus de transfert pouvait d'activer qui devait permettre à Aelita de se matérialiser dans les scanners.
Lors d'un combat qui nous opposa a Xana vous finîmes par faire venir Aelita sur terre,
ce fut le plus beau jour de ma vie ,la première fois que je l'ai vu cela a été magnifique, elle était apparu allonger dans les scanner ce fut pour moi un vision angélique,même odd en était rester bouche bée,après tant d'effort et de sacrifice nous étions enfin récompensé,ce jours la nous pensions qu'on en aurait finis avec Xana.
Malheureusement pour Xana le départ de Aelita de Lyoko signifiait l'extinction du super-calculateur.
Afin de se préserver du funeste sort qui l'attendais Xana a implanté une sorte virus dans le corp de Aelita au moment ou celle-ci quittait lyoko.
Ce virus compliquait sensiblement la situation, à cause de lui Aelita était liés au fonctionnement du super calculateur, l'arrêt de ce dernier signifiait la mort de Aelita et en aucun cas je ne pouvais me le permettre.
Tous était a recommencer,après voir passer plus d'un an à plancher sur le moyen de la faire venir il ne fallait maintenant trouver un moyen de la guérir, sans plus attendre je me mis donc en quête d'un anti-virus.
En dépit de ce nouveau coup du sort je garde toujours en mémoire les merveilleux instants que Aelita est moi avons passée ensemble pendant le peu de temps qu'elle a été humaine.
Ce fut grandiose, mais de nouvelles questions venait de surgir a mon esprit.
La donne était changé je pouvait faire venir Aelita sur terre quand bon me plaisait.
Alors pourquoi pas la faire venir de façons permanente et ne retourner sur Lyoko que quand sa serait nécessaire.
Pourtant Aelita éprouvait quelques réticences a cette idée,la perspective d'être loin de son lieu de naissance et dans un monde dont elle ignorait tous avait de quoi l'effrayer moi au contraire je me disais quelle pourrait avoir sa place au collège kadic.
Tous de fois Aelita avait certaine appréhension a cause de sa véritable nature,elle ne se sentais pas vraiment humaine, un aspect de son être qu'elle est moi avions déjà évoqué ,il me revient en tête une discussion que nous avons eut un soir peu de temps après son retour sur Lyoko.
############################ FLASHBACK ############################
Le réveil matin de Jeremie affichait 2 h 30,comme a son habitude le petit génie ne dormait pas, il était accoudé sur le bureau de son ordinateur,Mais cette fois si il n'était pas entrain de travaillé sur un programme.!! Non !! il discutait simplement avec Aelita.
Tu sais Aelita je suis vraiment désolé que tu n'ai pas put rester avec nous lui dit jeremie un peu triste.
Ce n'est pas ta faute Jeremie, visiblement Xana n'est pas près a me laisser partir lui répondit Aelita.
Jeremie : Il a trouver le moyen pour qu'on ne puissent pas le désactiver, mais je te jure que je trouverai un anti-virus est ce jour la sa sera bye bye Xana pour de bon.
Aelita : j'ai confiance en toi Jeremie,tu est très doué et je sais que tu réussira.
Le petit génie rougit a ce que venait de lui dire Aelita, elle n'avait jamais cesser de croire de lui, elle savait que le jeune garçon mettrait en tous en oeuvre pour la guérir,l'estime que lui portait Aelita était très gratifiant pour Jeremie qui avait toujours manquer de confiance en lui,il se promis alors qu'il ferait tous pour ne pas la décevoir.
Jeremie :tu sais, j'ai commencer a travailler sur de nouveaux programmes
Aelita : de quelle genre?
Jeremie : des véhicules pour nos amis, grâce a eux nous gagnerons du temps pour aller des activer les tours et cerise sur le gâteau tu pourra aussi les emprunter.
Aelita : c'est magnifique Jeremie, mais comment est ce possible ?
Jeremie : avant je manquais de puissance pour le faire,mais plus maintenant ,le super calculateur semble avoir de nombreuses ressources cachés,d'aillieur je lui en découvre tous les jours.
Depuis que Aelita était venu sur terre le super calculateur avait subit des modifications, Lyoko avait évoluer d'une façons stupéfiante.
D'une manière plus général ce monde avait gagné de l'espace, les territoires c'était agrandis par eux-même,le résultat était un gain de puissance assez inattendu qui avait permis a jeremie d'entamer la programmation de nouveau éléments donc les véhicules,tousdefois en dépit de cette bonne nouvelle de nombreuses questions restaient en suspend.
Jeremie : il y a quand même plusieurs choses qui m'intrigue
Quoi donc ? demanda aelita
Jeremie : c'est Xana
Aelita : Xana !!!
Jeremie : la nature du virus qu'il t'as implanté et très étrange, mise a par le faite que l'on ne puisse pas débrancher le super calculateur sans te tuer, ce programme ne te fais pas souffrir,et il n'affecte ni ta personnalité ni ton corp,ce qui veut dire ...
A quoi pense tu jeremie ? se demanda Aelita
...Que ce virus a simplement renforcer le lien qui existe entre toi et Lyoko lui répondit jeremie.
de quelle lien parle tu Jeremie ? demanda alors l'humanoïde au cheveux rose.
Jeremie : Vois tu Aelita j'ai toujours trouvé très étrange que tu puisses désactiver les tours simplement en y rentrant ton nom,ce qui m'amène a me poser pas mal des questions.
Aelita : lesquelles ?
Des questions sur tes origines, je veux dire ... cette installation n'est pas arrivée là par magie il a bien fallu que quelqu'un la crée lui dit jeremie.
A cette instant jeremie venait de poser la grande question, d'où venait toute cette installations ? qui avait bien put créer le super-calculateur et dans quelle but? a quoi pouvais servir lyoko et Aelita dans tous sa quelle pouvait être son rôle ? des questions mais pas de réponses.
Jeremie : là où les personnes qui t'on créé ton sûrement mit la dans un but précis.
Aelita : et quelle serait ce but selon toi.
Jeremie : difficile a dire, tu est peut être une sorte de gardienne.
Aelita : et Xana il serait quoi un virus ?
Jeremie : Non !! Xana n'est pas un virus il est bien plus que ça.
Aelita : comment ça ?
Jeremie : il ne fait plus de doute que Xana est un programme multi agent très élaboré
Aelita : un intelligence artificiel en somme.
Jeremie : je n'ai pas de doute sur sa nature c'est seulement son lien avec lyoko qui m'échappe encore.
Aelita : lui aussi aurais un lien ?
Jeremie : tu vois lui aussi d'une certaine manière est lier lyoko, l omniprésence de son symbole en est la preuve.
Aelita :alors ce symbole serais celui de lyoko et non de Xana.
Jeremie : c'est possible ce qui voudrais dire que ce lien que le relie a lyoko et le même que celui qui te retiens.
Aelita : je serais donc lier a Xana
Jeremie : par l'intermédiaire de lyoko oui il se pourrait que se soit ça.
Aelita : alors cela fait de nous des êtres semblables, crois-tu que lui et moi nous pourrions être comme "frère" et "soeur".
La question de aelita avait de quoi surprendre comment pouvais elle s imaginer avoir un liens si profond avec Xana,ce MONSTRE ou plutôt ce DEMON n'avait rein de commun avec Aelita, Jeremie rejetait cette hypothèse Aelita n'était pas un monstre.
Jeremie : je me permettrai pas de te comparer a Xana ,il y a tant de différence entre vous .
lesquelles ? demanda aelita.
Jeremie : pour commencer ce n'est pas une personne à part entière c'est une entité abstraite qui n'a pas de forme réel a la différence de toi.
Aelita : je ne vois pas tant différence sur la forme que sur le fond.
Comment ça ? s'interrogea le petit génie.
Aelita : tu dis que contrairement a moi Xana n'est une entité virtuel sans Corp mais alors qu'est-ce qui l' empêcherai d'en avoir un ?
Jeremie : que veut tu dire ?
Aelita : et bien si j'ai pu devenir humaine, pourquoi Xana ne le pourrait-il pas ?
Étrange question de la part de Aelita ,jeremie ne comprenait pas ou sa douce amie voulait en venir, en quoi le faite que Xana puisent devenir humain pouvait il tant l'intrigué.
Jeremie : voyons c'est impossible comme je te l'ai dit Xana n'a pas de forme précise, il ne pourrait pas être humain de plus il prône la perfection informatique je ne crois pas qu'une enveloppe charnel puisse lui faire envie.
Aelita : pourtant il nous a déjà prouvé qu'il pouvait créer des êtres vivants comme la copie De Yumi ou les robots géant.
Jeremie : les robots c'est une chose,ce sont des êtres mécaniques ne sont pas pourvus de chair quant à la seule copie qu'il n'est jamais faite d'un humain ce n'était tout au plus qu'un champ force magnétique a vibrations aléatoire , une chose sans consistance, une chimère sans âme.
La dernière réplique de jeremie venait de rendre Aelita bien pensive cela intrigua de plus en plus le petit blondinet.
Jeremie : tu semble bien songeuse
Aelita : je me demandais justement....
Jeremie : quoi donc ?
Et moi jeremie crois-tu que j'ai une âme ? après tout moi aussi je ne suis pas humaine. lui dit alors Aelita.
La question était assez épineuse pour jeremie, que pouvait il répondre a cela ? certes l'espace de quelques heures Aelita avait eu un corps humain, de simple entité virtuel elle était passées à celui d'être vivant fait de chair et de sang.
Mais avoir un corps suffisait-il à faire d'elle un véritable être humains ?
Aelita se le demandais, la nature profonde de l'être humain la surprenait beaucoup, elle était consciente d' exister et d'être vivant mais cette conscience de soit avait pris une tous autre dimension au moment ou elle était devenu humaine chaque chose qu'elle avait pu découvrir lors de son court séjour lui avait paru étrange et merveilleux,toutes ces nouvelles sensations auxquels elle c'était ouverte.
Dormir,manger,sentir la chaleur, avoir un frisson, respiré de l'air, sentir le sang bouillir en soi.
............sentir la vie....................
Cette expérience avait été très troublante pour Aelita le fait d'être devenu humaine lui ouvrait de nouveau horizons sur la vie.
Devenir humain ne serait il pas le rêve que nourris en secret toute créature virtuel doté d'une conscience.
Voilà quelle était la véritable question de Aelita.
Malgres tout son savoir jeremie ne put répondre à cette question peut-être parce que la réponse c'est il n'y avait que Aelita qui la possédait, mais jeremie avait quand même en lui une conviction que Aelita se devait de connaître.
Jeremie : pour moi sa ne fais pas de doute Aelita... tu est humaine.
Il ne suffit pas de le dire faut il encore que se soit vrai.lui dit la petite elfe virtuel
Jeremie : Aelita veut tu que je te dise ce qui fait vraiment de toi un être humains
Je veux le savoir lui dit aelita.
Jeremie : aelita... tu est un être pure.
Aelita : un être pure ?
Jeremie : un être pure dénuer de toute méchante c'est pour moi une preuve de ton humanité.
Aelita : ma pureté fait de moi un être humain ?!!
Jeremie : c'est la pureté de tes sentiments, si tu était un être démoniaque comme Xana tu ne poserait pas ces questions,depuis qu'on se connaît le dévouement donc tu as fait preuve en vers les autres et admirable durant tous ces combat ton sens du sacrifice c'est mainte fois manifester et ce sont la des qualités qui honore le plus les être humains.
Aelita : cela suffit t'il a me différencier de Xana.
Jeremie : oui car en plus tu sait aimer les gens.
Aelita : Aimer ?
Jeremie : Oui Aimer !! tu aime les humains a la différence de ton "frère virtuel" ,Xana nous a prouver comment il jugeait les humains quand nous étions dans le canal fantôme, ce jour la il nous a montrer sa véritable nature ,Xana n'est qu'un être froid et égoïste qui ne pense qu'a lui, l'amitié et l'amour sont des sentiments que Xana ne pourrait jamais comprendre et que seul des être pourvu d'une âme le peuvent, des être humains comme toi Aelita.
Les paroles de Jeremie était si réconfortante pour Aelita, même si elle avait encore des doutes sur sont humanité, Jeremie lui accordait plus que de la confiance et après tous c'était a elle de croire en son humanité.
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Dans la tranquillité de sa nouvelle chambre Maeva relisait les premières pages qu'elle avait rédigées sur son journal.
Parcourir les quelques lignes qu'elle avait écrite la replongeait dans l'obscurité de ces origines.
De ces premiers souvenirs elle revoyait surtout l'endroit où tout avait débuté.
C'était un jour de pluie...
############################ FLASHBACK ############################
Ce jour là le temps était assez pluvieux, la petite ville de Kingston valley d'ordinaire si radieuse était pris dans un violent orage, deux jours de pluie incessante si en cette période de l'année cela pouvait ravir les agriculteurs ,cette pluie diluvienne avait commencé à poser des problèmes, la rivière qui longeait la ville menaçait de débordé, le seul pont qui reliait la ville au conté voisin menaçait aussi de s'écrouler sous l'impact déchaîné des flots , devant cette état de crise le maire avait par mesure de sécurité déclaré l'avis de tempête.
Afin de prévenir tous le monde de cette décision le shérif avait fait des annonces à la radio locale pour inciter les habitants a ne pas bouger de chez eux et a se barricader le temps que sa se calme, les différents commerces et entreprises avaient du fermé leurs portes temporairement pour ne par risquer la vie de leur employés ,même le resto-route de chez Clarise habituellement si fréquenté par les routiers et les bûcherons avait dû être fermés a cause des bourrasque de vent.
La ville tournait au ralenti, et comme si cela ne suffisait pas tous le secteur était en crise, le médecin local et les pompiers ainsi que quelques bûcherons volontaires avaient été recrutés pour combattre un incendie de forêt dans le comté voisin.
Il y a maintenant 3 jours la très tranquille petite ville de Brayton Wood's avait été victime d'une terrible catastrophe industrielle, incendie est explosion c'était succédé.
En peu de temps des hectares entier de forêt était partie en flammes,de sombres nuages de fumée noire recouvrait le ciel tous les forces de l'état du Wisconsin avait été mobilisé pour combattre se désastre,une cellule psychologique avait été mise en place pour soutenir les victimes,contrairement a la bourgade de Kingston valley cette pluie était providentielle, elle aidait dans leur tache les soldat du feu qui devait lutter de toutes leurs forces pour endiguer le désastre.
C'est dans ce marasme indescriptible que le shérif Peebody devait faire son travail alors que tous son personnel était partis preté mains forte de l'autre coté de la montagne lui était tenu de rester a son poste afin d'assurer le maintient de l'ordre public.
C'est dont un homme donc le poids de années et la forte ceinture abdominale avait contraint a rester tranquillement au chaud dans son bureau a attendre que tous cela se calme.
Pour tuer le temps le shérif se tenait prés de la radio et du téléphone près a répondre a cas ou on aurait besoin de ces services.
La pluie et le vent battait contre les carreaux du bureau, le shérif buvait une tasse de café histoire de se tenir éveiller devant se spectacle si monotone.
Quelle sale temps se dit ils en regardant a l extérieur.
Soudain la porte s'ouvrit , le courant d'air qui l'accompagna fit voler quelques un des documents posé sur le bureau du Shérif, ce dernier essaya dans tant bien que mal de les rattraper ,deux personnes venait de rentrer dans la pièce il s'agissait du shérif-adjoint Johnson, le shérif Peebody l'avait reconnu tous de suite a sa lourde parka et au bonnet vert qu'il portait sur les oreilles , ce dernier était accompagné d'un autre homme en trensh coat. le shérif pria instamment son adjoint de fermer la porte.
Bon sang Johnson vous pourriez faire attention quand vous rentrez lui dit shérif
Adjoint : pardon shérif mais c'est une vrai tempête la dehors.
Ce n'est pas a moi que vous allez apprendre ça lui répondit le shérif
l'Adjoint hota sa parka toute trempé qui recouvrait son uniforme, il était a présent en meilleur condition pour subir les foudres du shérif.
shérif : regardez moi se bazar, ce foutu vent a fait voler tous mes documents
Adjoint : et dehors c'est encore pire shérif.
shérif : faite attention la prochaine foi
Adjoint : ne vous plaignez pas shérif je vous ai quand même amenez le toubib.
A sont tours le deuxième individu posa ces vêtements , il s'agissait d'un homme d'une trentaine d'années les cheveux noirs coupé assez courts il mesurait au moins 1mètre 80 et portait de petite lunette rectangulaire légèrement arrondie sur les rebords qui cachait derrière des yeux d'un noir éclatant.
alors c'est vous le toubib que l'hospital central nous envoyé ? lança alors le shérif au nouvelle arrivant.
L'homme fut quelque peu vexé de se faire appelle si vulgairement "toubib", mais dans cette région a forte activer rural le langage familier des bûcherons était chose commune alors pourquoi s étonner que les forces de l'ordre n'en fasse pas autant, l'acceuil pouvait paraître glacial mais il était coutumier.
Parfaitement je suis le docteur Joseph Edward Robinson répondit l'homme
shérif : Robinson hein !!!
Dr : c'est cela, et si vous pouviez m'appeler docteur et pas toubib sa m'arrangais
Messieurs a ces petites préférence mais soit "docteur" répondit le shérif
Dr : question de respect.
shérif : et bien docteur soyez le bienvenue a Kingston valley
Dr : merci de votre acceuil shérif.
shérif : vous avez fait bon voyage ?
Dr : en général les 4x4 sont assez confortable sauf quand la route est accidenté....
Dr : vous n'avez pas eu trop de problème pour venir j'espère ?
Adjoint : comme la dit le toub ..docteur la route n'est pas en bonne état, on a eut de la chance
A cause du mauvais temps des arbres étaient tomber sur la route et quelques chutes de pierre était a déploré, mais le 4x4 de fonction du shérif était bien équipé cela n'avait pas posé trop de problème a son adjoint que de piloté sur ce parcours du combattant bien qu'a certain tournant il donna au docteur quelques belle frayeur.
shérif : l'important c'est que vous soyez la docteur
Adjoint : vous ete docteur de la tête c'est ça.
Je suis docteur en psychanalyse infantile répondit le docteur qui avait un peu de mal a encaisse que le faite que l'on puisse vulgariser autant sa profession.
Adjoint : au faite shérif vous avez pas dit pourquoi on a besoin d'un philosophe
Psychanalyste repris aussitôt le docteur.
Adjoint : Psychanalyste alors ?
shérif : j'avais demandé par radio qu'on nous envoyée un docteur pour osculter notre "petite pensionnaire"
ah je vois c'est pour la fillette dit l'adjoint.
shérif : tous a fait Johnson.
Dr : des que le service de l'hospital a reçu votre appelle il mon demander d'y aller.
shérif : ravi de voir qu'il ont accepte ma demande malgres tous se qui se passe a Brayton wood's
Dr : je vous cache pas que c'est pas le travail qui manque de l'autre cote en se moment.
shérif : le contraire serait étonnant docteur.
de l'autre cote de la montagne l'hospital central de Brayton wood's était en pleine éffervecence tous les médecins des alentour avait été mobiliser, le faite que le docteur Robinson et pus se libéré s' expliquait par le faite qu'il n'y avait pas d'enfant parmi les victimes de l'incendie, et vu le cas particulier auxquelles le shérif Peebody avait a faire, la venue du docteur était inespère.
Dr : vous savez j'aurais pu venir par moi même
shérif : vu l'état de routes sa n'aurait pas été prudent de votre part
Dr : d'où le 4x4
shérif : vu que mon adjoint était dans le secteur de Brayton Wood's j'ai fait en sorte qu'il vous serve de taxi.
Dr : Merci shérif mais si sa ne vous dérange pas est ce que je pourrais voir l'enfant.
shérif : venez c'est par ici.
Le shérif conduisit alors le docteur dans une petite pièce situer a cotée des cellules, le shérif s' arrêta devant une porte est frappa délicatement sur celle ci, une petite voix se fit alors entendre derrière,l'homme entreballia légèrement la porte et passa la tête au travers de l'ouverture.
Dans la pièce une femme assez forte se trouvait la ,en voyant les deux hommes elle leur fit comprendre de faire silence en mettant son index devant sa bouche.
A cote d'elle coucher sur le sofa une petite fille dormait profondément ,la femme fit signe aux deux hommes de ne pas rentrer dans la pièce , le shérif et le docteur s éxecutérent en silence. Après s'etre assuré que l'enfant dormait vraiment elle les rejoingnis et referma sans bruit la porte derrière elle. la femme faisait a présent face aux deux intrus.
shérif : Docteur je présente ma femme Clarise
Enchanté Madame dis le docteur
shérif : ma chérie voici le docteur robinson,c'est le docteur qui a été envoyé pour la petite fille --
Clarise : c'est vous le docteur ?
Dr : je fais partis de la cellule psychologique qui a été mis en place a Brayton Wood's
shérif : cellule a qui j'ai demander de l'aide.
Dr : on ma fait venir cause de votre cas "particulier "
shérif : particulier c'est le moins que l'on puisent dire.
Dr : comment va telle ?
Clarisse : pour le moment elle dort.
Dr : et sont état de santé général .
Clarisse : elle n'a pas de fièvre pour le reste il vous faudra voir par vous meme.
Dr : bien alors j'aimerais bien l'examiner
Clarisse : pas pour le moment docteur, elle besoin de repos la pauvre petite elle était vraiment fatigué.
shérif : vous pouvez faire confiance a ma femme docteur, durant des années elle a ete sage femme auprès du médecin local alors les enfant ça la connaît.
Clarisse : j'en ai meme eut trois de l'homme qui est a coté de vous.
Dr : je ne doute pas que vous connaissez les enfants , mais un avis maternel ne vaut pas un avis médical.
Clarisse : je comprend docteur mais attendez au moins qu'elle se réveille pour l'examiner
Dr : très bien j'attendrais
shérif : en attendant vous prendre bien un peu de café
Dr : sa ne sera pas de refus vus que ces derneires 24 heures j'ai pas vraiment dormi
shérif : je peut vous comprendre moi meme je suis un peu a cran, tous mes effectifs sont mobilisés et je dois tous faire moi meme.
Dr : ont est tous dans la meme galère.
shérif : nous parlons plus en détails de tous devant un bon café.
Dr : je vous suis.
les trois personnes se retournèrent donc dans le bureau du shérif pour y rejoindre le shérif adjoints afin de mieux discuter de la présente situations.
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Maeva fut tire de ces pense par l' appel du docteur qui lui annonçait que le repas était servis, sans plus attendre la très gourmande adolescente se pressa d'aller manger.
Se fut sous une pluie battante de côté que l'hélicoptère se posa sur la piste,quand les pales de l'hélice eurent finir de tourner un homme vêtu d'un imperméable jaune kaki qui attendait patiemment sous un hangar couru jusqu'à l'appareil pour en ouvrir la porte latéral, de la deux hommes en ciré en sortirent aussitôt,pressant le pas les trois personnes se rendirent vite sous le hangar pour se mettre a l'abri des caprices de la météo, quand il parvinrent au bâtiment ils étaient complètement mouillé, leur courses sous la pluie n'avait fait que les trempé un peu plus.
Quel temps de chien fit l'un fit les deux hommes
Je ne vous le fait pas mon général lui fit remarquer le deuxième homme.
A ce moment un homme a la stature assez imposante et visiblement très gradé s'avança vers eux et de façons très respectueuse il leur adressa un salut militaire
Général Dumont ,colonel Perec soyez les bienvenue sur la base militaire de Westfield, je me présente je suis le Général Ryan chef de cette base leur dit a se moment la l'officier.
les deux hommes furent très surpris que leur interlocuteur leur parle en français, mais ils lui rendirent aussitôt sa politesse et saluèrent leur hôte.
G Dumont : merci pour votre accueil général Ryan.
G Ryan : avez vous fait bon voyage messieurs ?
G Dumont : le vol a été agité a cause du temps mais nous sommes arriver sans dommages c'est l'essentiel .
G Ryan : les précipitations sont choses communes de notre pays vous savez.
G Dumont : je n'en doute pas.
G Ryan venez avec nous Messieurs vous amène nous avons fait préparer une petit collation cela vous réchauffera.
G Dumont : merci général Ryan c'est très aimable a vous
C Perec : merci mon général
Ce début d'entretient s'annonçait pour le mieux,mais très vite les deux officiers déchantèrent en voyant la nature de la collations , tranche de lard grillé et saucisse de porc accompagné d'un coulis verdâtre peu appétissant , sur le coup ils avaient oublier que si l'hospitalité anglaise n'est pas a remettre en cause sa cuisine laissaient toujours autant a désirer.en bon petit français qu'il était il n'aurait pas cracher sur une tranche de pain et de fromage a se moment la.
Comment trouver cela dit le général Ryan en avalant un morceau de lard de la taille d'un poing.
délicieux dit alors le général Dumont a sont homologue Anglais.
Le colonel préféra s'abstenir de tous commentaires en la présence de son officier supérieur mais il vit bien que celui ci faisait semblant d' apprécier la petite collation , les gouttes de transpiration sur sont front témoignait bien de la difficulté que le Général Dumont avait a avaler cette nourriture mais comme il ne fallait pas fâcher leur hôte le général dut se sacrifié pour la patrie mais des fois sa frôle le ridicule un telle dévouement.
Remis de leur petite collations le général Ryan emmena les Deux hommes dans les sous sol du hangar ,après avoir passer plusieurs check point il s'arretérent devant une énorme porte blindé protéger par un digicode.
Le général Ryan entra son code secret et l' énorme porte s'ouvrit, il pénétrèrent alors
dans une petite pièce aménager, le mobilier qui ornaient la salle étaient très sobre juste une table et des chaises et un grand écran sur le mur et une photo de la reine d Angleterre deux personnes étaient déjà présent dans la salle c'était un homme est une femme qui travaillait sur un ordinateur , a la vu de leur officier supérieur les deux soldat se levèrent et saluèrent leur général qui les salua en retour, le général Ryan fit alors les présentations
G Ryan : Général Dumont,colonel Perec je vois présente le major Cartwright et le lieutenant Fraggle.
A leur tour les deux officiers saluèrent les nouveau venu.
G Ryan : le major Cartwright est notre plus grande spécialiste en informatique et en radio télécommunications quand au lieutenant Fraggle il est spécialiste en système logistique.
G Ryan : soldat je vous présente le général Dumont des services de la DRM. et le colonel François Pérec.
Messieurs ce sera un grand honneur de travailler avec vous dit alors le major M Cartwright
A la grande surprise de deux hommes le major s' exprimait dans un français des plus correcte qui soit, cette femme d'environ un trentaine d'année avait les cheveu roux et les yeux vert elle mesurait pas loin des 1.70 et semblait assez sur d'elle dans ces propos et sa tenue.
G Dumont : c'est une bonne chose que vous parliez français major cela au moins facilitera les échanges.
M Cartwright : je vous traduirait se que le lieutenant Fraggle vous dira
Yes I don't speak french dit le lieutenant Fraggle.
2 sur 3 c'est déjà pas si mal dit le général a son subordonné.
Je ne vous le fait pas dire approuva le colonel a son tour.
G Ryan : messieurs les présentations d'usage étant faite il est temps pour nous d'entrez dans le vif du sujet .
Par le suite le général Ryan pria ces invités a prendre place autour de la table, la porte métallique se referema , des a présent ils étaient tous les 5 dans un lieu sécurisé loin des regard et des oreilles indiscrète.
G Ryan : Messieurs vous connaissez tous les raison de notre présence ici et afin de clarifier tous ça le major Cartwright va vous faire une résumé de la situation.
Il pouvait paraître surprenant que les Britanniques sont si coopératifs d'habitude ceux ci avaient par nature tendance à régler les problèmes par eux-mêmes mais le contexte actuelle était bien trop grave pour qu'il se risque a faire cavaliers seul et étant donner que leurs deux nations étaient en danger, la collaboration s'imposait.
Le major tapota quelques touches de son ordinateur, sur l'écran principal de la pièce une carte satellite de l'Angleterre apparu en même temps que plusieurs paramètres s'affichaient au-dessus.
M Cartwright : messieurs voici se que nous savons, depuis deux mois maintenant les réseaux informatiques subissent de mystérieuses fluctuations, cela se traduit notamment par des perturbations entraînant des pertes d'informations,des parasitages,et des échos.
Pour le moment tous se que nous savons c'est qu'une organisation du noms de Xana et a l'origine de ces phénomènes pour preuve les photos suivantes.
Sur l' écran plusieurs photographies de rapport montraient des terminales d'ordinateur sur lesquels le symbole de Xana étaient apparu.
M Cartwright : C'est tous se que nous connaissons de Xana un symbole et son noms
G Dumont : vous n'avez pas plus d'informations que nous a ce sujet si je comprend bien.
M Cartwright : la seule chose que l'on peut affirmer pour l'heure c'est que ces phénomènes vont aller en s'amplifiant.
C Perec : qu'est qui vous fait dire que cela va s'aggraver?
M Cartwright : les points en rouge que vous voyez situer sur la carte sont les différents endroits qui ont été frappés par le signe de Xana.
G Dumont : s'agit il des points stratégique de votre défense ?
M Cartwright : justement non c'est ce qui est étrange pour le moment les installations militaire on été épargnés, les objectifs de Xana sont étrangement plus diversifier.
C Perec : que vous voulez vous dire?
M Cartwright : c'est la spécificité des endroits attaqués qui nous laissent perplexe.
Le major fit un agrandissement local de la carte en appuyant sur une des touches et plusieurs point en blanc marqué d'un X firent leur apparitions.
M Cartwright : université scientifique, centre de recherches et quelques entreprises privées, semble être les cibles de Xana
G Dumont : il n'y a pas d'autres cibles.
M Cartwright : négatif général Dumont tout ce qui pourrait être stratégiques comme les bases militaires, les banques, les hôpitaux , les réseaux ferroviaire et électrique semble totalement épargné par ces phénomènes.
G Dumont : vous avez une explication a cela.
M Cartwright : il pourrait peut être s'agir d'une répétition avant une attaque plus massive mais la encore j'ai des doutes.
G Ryan : veilliez préciser Major
M Cartwright : et bien je dirais que ces attaques s'apparent plus a une prise de contrôle qu'a une destructions.
C Perec : si c'est une prise de contrôle en quoi des sites civiles sont t-il plus intéressant que des sites militaires ?
M Cartwright : c'est une grande inconnu, les motivations de Xana nous échappe encore
G Dumont : dans ce cas comment pouvez vous être sur que ces environnements ont vraiment subi des attaques.
M Cartwright : tout simplement a cause de la nature des dégâts, les accidents qui ont été occasionnés tous ont pour origine une surcharge importante des systèmes informatique, explosions et incendies ont tous étés provoqués par un apport massif d'énergie.
G Dumont : il pourraient s'agir d' accident isolé et non d'attaque.
M Cartwright : par le biais des réseau d'assurance, nous avons recouper différente informations ce qui nous a permis de dissocier les accidents des attaques.
C Perec : dont si je vous comprends bien l'organisation qui se cache derrière Xana serait en mesure de détruire n'importe quel terminal d'ordinateur en provoquant une surcharge de celui- ci
M Cartwright : c'est ce que j'en conclus.
C Perec : mais ce n'est pas logique quelle intérêt de s'en prendre a des écoles.
M Cartwright : il y a un facteur commun a tous ça quelque soit le but de l'organisation Xana ils semblerait que leurs cheval de bataille se soit là haute technologie et plus précisément les super-calculateurs.
C Perec : les quoi ?
M Cartwright : a la différence des ordinateurs classiques les super-calculateur on une puissance de calcule bien supérieur a ceux que l'on peut trouver sur le marché et l'organisation Xana on font leur cible prioritaire.
C Perec : ce qui me ramène encore a ma question de départ quelle intérêt on t'il faire sauter des écoles.
M Cartwright :je me répète aussi colonel nous n'en savons rein.
G Ryan : est c'est précisément la que vous intervenir colonel
C Perec : moi ?
G Ryan : oui vous ,il va vous falloir découvrir se que recherche Xana.
La mission était de plus simple mais un problème se profilait déjà a l'horizons pour le colonel Perec
C Perec : sachez général qu' en matière d'informatique je ne suis pas un expert.
G Ryan : mais vous ne serez pas seule dans cette mission , puisque nos services doivent collaborer ensemble vous allez faire équipe avec le major Cartwright.
le colonel se tourna alors vers la jeune femme qui sans afficher le moindre sourire semblais assez ravi de cette collabaration.
M Cartwright : se sera un honneur de travailler avec vous mon colonel
C Perec : moi de même major.
Le général Ryan et Dumont interpellèrent les deux officier pour leur signifier toute l'importance de la mission.
Colonel Perec ,Major Cartwright nous comptons sur vous pour élucider cette affaire.dit alors le général Ryan
C Perec : soyez assurer mon général que nous ferons tous pour réussir......
Note personnel
tous pour réussir.... se sont des paroles prononcer sur le moment si j'avais su que l'enquête qui s' annonçait aller nous exposer a tant de danger j'y aurait peu être réfléchi a deux fois avant de dire oui.
Aujourd'hui je suis dans un lit l'hospital je ne suis pas sur que nous en viendrons a bout.
Il y a temps de mystère derrière tous ça, de personnes qui semble comploter dans l'ombre et tous cela semble si peu conventionnel, entre les assassins, les fantômes,les adolescent costumé et les créatures surnaturelles et "les bonds dans le futur" je me demande je ne suis pas entrain de rêver et a chaque fois je suis le seul témoins de tous ça.
Fin du message.
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compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 7
La téléportation... La téléportation ..... je n'ai plus que se mot la a la bouche, mais il faut me comprendre c'est tellement merveilleux .
OK je sais J'ai l'air un peu fatiguer c'est normal faut dire que je suis pas rentrer chez moi (j'ai personne qui m'y a attend alors quel différence) je vous cache pas que je suis rester toute la nuit a travaillé sur ce programme.
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Dire que j'ai pour moi tous seul se fabuleux procède il y a de quoi ne pas en dormir.
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Quoi que réflexion faite c'est pas tous a fait vrai.....
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Je sais que le docteur Howard Kinsley du laboratoire 4 de la sections 5 travaille dans le plus grand secret sur une variante de la téléportation je n'est guère plus de détails sur ces activités ,mais si ce dernier savait ce que j'ai entre les mains il serait sûrement fou,pour le moment je vais garder sa pour moi le temps que je fasse mes propres recherche sur ce procède,après quoi j'en parlerai a Simon.
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Lui aussi va péter un câble quand il sera ça.
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Un peu de technique sa ne vous fera pas de mal, voici donc une explication non exhaustive du fonctionnement de ce programme.
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d'après les données le processus de téléportation comporte 3 phase bien distincte
- la scannerisation
- la virtualisation
- le transfert
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il apparaît que je suis pas sur de l'ordre d'exécution des procédures, je verrai sa après. je vais juste me contenter de vous les détailler
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La scannerisation me semble t'il et le procède qui permet de mettre en mémoire l'organisation moléculaire de l'objet a téléporter,cette phase est accompagné d'un système de rotations ce qui parait logique en faite.
Pour reproduire un objet dans un espace il faut une représentation 3D de ce dernier
ce qui explique la rotations dans la cabine de téléportation...
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je sais qu'il existe des chambres d'essai nucléaire qui aurait ces caractéristique mais sa ne suffit pas, pour mémoriser une telle somme d'informations il faut un super ordinateur d'une incommensurable puissante.
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quelle chance ont a un et pas et les autres. surtout mes Ex-professeurs de classe.
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je sais c'est pas bien de se moquer mais sa fait du bien (rire)
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Sérieux la ... la seconde phase ou la troisième plutôt.
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faut vraiment, que je me décide a trouvé l'ordre de tous ça moi.
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bon ... le noms suivant me parait étrange on devrait parler dématérialisation,c'est a dire la transformation de la matière en énergie mais la il parle de virtualisation..
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virtualisation !!? sa veut rien dire ce mot.
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c'est sûrement dut a une différence de traduction.
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NOTE ANNEXE
" la langue d'origine des données était le français ce qui laisse supposer que le laboratoire de nos ennemis se situe chez nos voisins d'outre manche"
FIN
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Oublier la traduction et focalisons nous sur la dernière phase appelée le transfert il s'agit d'envoyer l'énergie vers un lieu déterminer.
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mais c'est la que le problème devient entier.
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il n'y pas de procéder de restructuration vers endroit précis et sans point de chute pour l'énergie pas moyen de reformer la matière
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vraiment bizarre.
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je ne peut en conclure qu'une seule chose....
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c'est que la téléportation ne peut se faire que d'un téléporteur a un autre.
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il semble que la technologie du téléporteur soit a mettre au point mais avec ces données sa ne devrai pas me poser de problème, les ressources de la section 5 sont énorme Si je voulais m'y mettre la conception d'une "cabine de téléportation" ne prendrais guère plus d'un mois.
Mais comme j'ai déjà plusieurs projets sur le feu ne brûlons pas les étapes.
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j'ai le temps devant moi
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Et si il le faut je laisserai ça a une autre équipe d'ingénieur, après tous la société Cyclotron a tous un panels de savant et de chercheur a sa dispositions, si ils n'y arrivent pas on peut vraiment se poser des questions.
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quand jy repense sa reste une sacre découverte qui risque de changer la face du monde.
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Je vous vois venir vous me dites que je devrait être tiraillé de quelques scrupules d'avoir honteusement volé des secrets aussi fabuleux mais il n'en est rien.
Car qui que ce soit qui se cache derrière ce monde virtuel je l'ai déjà dit il sont avant tous nos ennemis.
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Vous me direz aussi que nous sommes un entreprise privé et non pas des soldats alors Pourquoi est-ce que je les qualifient d'ennemis ?
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la réponse est simple....
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...ils ont été les premiers à ouvrir les hostilités.
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alors que nous n'étions nullement agressifs , ils ont essayé au mois de mars dernier de nous attaquer et de détruire le super-calculateur.
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du moins je le suppose vu que leur tentative a échouer,car le réseau de communication a été coupé a se moment la, ce qui finalement nous a sauver
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normalement ces infos sur l'attaque ne sont connu que des dirigeants et de quelques scientifiques et cela devait rester secret pour éviter toute forme de panique.
Seulement voila bien avant l'attaque j'avais déjà repère une activité anormal sur le réseau , a l'époque je testait la version béta de ma sonde que je faisais naviguer dans le réseau mondiale.
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Ne vous étonner pas si j'utilise le terme naviguer (après tous ont dit bien surfer sur le web) car le réseau est un océan.
Bien sur je ne vous parle pas d'un océan réel mais de la représentation virtuel d'un l'océan sous sa forme 3D
les flux et les bases de données sur les réseau on un aspect liquide et solide qui rappel assez les fond marins.
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je sais c'est assez abstrait mais ni voyez la qu'une vision onirique de ce monde de la supposer que des monstres si promène....
...... et pourtant un monstre c'est bien ce a quoi nous avons eu a faire.
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je ne l'ai pas vu de mes yeux mais les rumeurs qui circulent a son sujet font état d'une sorte de géant qui s'en serait pris aux remparts de Neo-Carthage.
c'est d'ailleurs à la suite de cette attaque et que je me suis lancé à leurs poursuite, a l'aide de Vger 1.0 (version bêta) j'ai réussi a tracé le signal du monstre sur le réseau ce qui ma amenée a découvrir tous un système d'avant poste.
Ces postes avancés semblait servir de relais d'énergie pour le monstre, en dépit de ça tous les signaux convergeait vers un point précis du réseau
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le fameux monde gère par un ordinateur aussi perfectionner que le notre.
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NOTE ANNEXE
Depuis la fin mois de mars ces avant postes on mystérieusement disparu
du réseau on t ils été détruit ? ou sont ils seulement caché ? je n'en sais rien pour l'instant récemment j'ai capté un très faible écho.
- il semblerais qu'il y est encore une activité sur le réseau.
quand Vger 2.0 sera opérationnel je me lancerai a la recherche de ce mystérieux échos qui semble venir du fond des abysses.
FIN
Je profite aussi de sa pour dire j'ai perdu tout espoir de retrouver ma sonde le dernier signal émis dans le réseau a disparu voilà maintenant trois semaines je crains bien que les échantillon récoltées soient à jamais perdu.
Une chance le système de compression des données a permis une transmission d'une copie de celle-ci.
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Dommage j'aurais bien aimé étudier de plus près Le backup principales que ma sonde a initialement prélevé.mais qui sait peut être le retrouverais -je un jour.
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Pour le moment notre priorité est désormais la défense de notre cité pour cela je me suis attelé à la création de ces gardiens plus exactement il s'agirat de programmes multi agent autonomes axés sur la défense.
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mes fameuses IA
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Les premières données qui ont été recueillies par la sonde ma fournit quatre bases de travail sur lesquelles je vais élaborer toutes leurs personnalités.
Quand je pense qu'il n'y pas si longtemps Watson m'avait fait remarquer qu'elle n'étaient pas très dégourdis comme Intelligence artificiel.
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Et il avait raison.
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et c'est en toutes humilité que j accepte la critique, je conçois parfaitement qu'en comparaison de Tanit elle font vraiment pale figure,mais je ne doute pas qu'un jour elles puisent égalé le chef d'oeuvre du docteur Hopper.
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Encore un défi qui me stimule...
je termine se message pour l'instant car je vais avoir beaucoup de travail, a l'aide des données récolté je vais finir de mettre au pont mes IA et le projet Vger 2.0 bien que je dois garder mon travail secret vis-à -vis de mes autres collèges le prestige de mes découverte n'en sera que plus éclatant.
quand je pense qu'il y a à peine un an tout cela était encore pour moi que de la science-fiction.
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je ne remercierait jamais assez Simon Watson de m'avoir intégré a se projet
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pour moi le 24 mai 2004 et a jamais une date bénis des dieux....
FIN
Chapitre 05 William Dumbar
laboratoire 1 août 2005
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Il paraît que l' été bats sont pleins aujourd'hui, je regrette fortement de ne pas pouvoir en profiter, inlassablement je continue mes recherches et les réparations tous ça dans l'espoir de sauver Aelita.
Pour l'instant je n'est pas grand chose a signaler si ce n'est que le projet Magellan est en bonne voie, ce matin j'ai testé les systèmes de contrôle de la dérive ainsi que les modules de propulsion, cet après-midi si tout va bien Yumi devrait m' apporter quelques-un des composants qui me manquent pour parfaire mon système de navigation.
j'ai beaucoup de chances d'avoir Yumi, sont indéfectible soutiens me permet de tenir le coup, par moment je me demande ce que je deviendrais sans elle....
Puisque pour l'heure je ne peux pas continuer à travailler sur mon projet je vais donc poursuivre la rédaction de mon journal.
Journal de Jeremie Belpois troisième partie.
Maintenant qu'ils était possibles de matérialiser Aelita sur terre quand bon me semblait, il me fallait partir en quête d'un anti-virus afin de la libérer de l'emprise de Xana, la puissance accrue du super-calculateur me permis de créer de nouveaux équipements pour les Lyoko guerriers trois véhicules personnalisés est correspondant bien à la personnalité de son pilote.
les véhicules étaient les suivants :
L' Over-bike : une moto uni-roue pour le tempérament fonçeur de Ulrich.
L' Over-Wing : sorte de trottinette géante muni d'un grand plateau pour le caractère plutôt posé de Yumi.
Est bien sûre n'oublions pas L' Over-board : planche de skate anti-gravitationnelles si chère à notre casse-cou de Odd.
Pour ma part je progressais techniquement ,la programmation de ces engins en fut le plus bel exemple.
Évidemment il fallait les tester sur Lyoko, il s'en suivi une course effrénée entre Odd et Ulrich qui avait tous les deux envies de voir ce que ces engins avaient dans le ventre ( il faut croire que les hommes ont toujours en eux cet esprit de compétition)
le test fut des plus concluants la maniabilité des engins était irréprochable, nous pensions que cela allait nous donner un avantage tactique non négligeable Xana.
Malheureusement pour nous celui-ci n'était pas resté à se tourner le pixel dans son coin, de son côté lui-aussi avait procéder à l'amélioration de son effectif de monstres .
Ce jour-là nous fîmes la connaissance d'une nouvelle créature , bénéficiant de l'effet de surprise et de puissant canon laser ce nouveau monstre ne mis pas longtemps à renvoyer tous mes amis sur terre, par la suite nous nous retrouvâmes tous au laboratoire afin de faire un point sur la situation, comme à son habitude Odd ne tarda pas à trouver un nom au poil pour ce nouveau monstre qu'il baptisa à très amicalement "Tarentula" (par la suite elle fut renommée tarentule).
Il faut savoir que depuis le début de nos aventures sur Lyoko ,c'était Odd qui avait affectueusement donné un nom à tous les monstres que nous combattions... Krabe, Kube, Kankrelat, frôlions fut la seule exception ( c'est moi qui l'avais trouvé ) quant aux méga-tank au départ il devait s'appeler méga-bouboulle,trouvant ce nom peut pratique nous avons opter pour le nom qu'il porte actuellement.
A première vue Xana avait lui aussi renforcé sa puissance,nous étions de nouveau à forces égales ( du moins nous le pensions)
en dépit de ce revirement de situation cela ne gâchât en rien notre bonne humeur car en ce début d'année 2004 nous allions offrir à Aelita la surprise de sa vie.
Je venais de l'inscrire comme pensionnaire au collège Kadic ou elle serait une élève à part entière.
A l'aide de mes talents d' informaticiens ( et non pas de pirates comme certains s'amusent à le dire je ne vise nullement Sissi.) il ne fut très facile de lui créer une fausse identité ( carte d' identité et de sécurité sociale etc ....) désormais Aelita s'appellerait Aelita Stones, jeune orpheline originaire du Canada et cousine éloignées de Odd.
Je ne vous cache pas que cela fut pour elle une agréable surprise, le peu de temps qu'elle avait déjà passé sur Terre lui avait données une petite de petite idée de ce que c'était que de dormir et de manger,mais il lui restait tant de chose a apprendre sur les être humains.
Pour ne pas éveiller les soupçons nous devions tour à tour lui apporter notre soutien, mais la ce fut plus facile à dire qu'à faire car pour ma part j'étais très occupé a travaillé sur l'anti-virus, Odd aurait pu la chaperonné en mon absence mais pour d'obscures raison celui-ci était toujours absent, Aelita aurait pu se rabattre sur Yumi et Ulrich ,mais l'arrivée au collège d'un nouvel élève allait considérablement compliquer la relation "assez spéciale" qui existait entre ces deux la, ce nouvel élève s'appelait ...
William Dumbar.
il était très discrètement arrivé au début du mois de janvier après s'être fait renvoyer de son ancien collège.
Ce garçon était assez costaud, il avait chez lui un petit quelque chose de particulier un petit je ne sais quoi de rebelle.
Pour ma part il ne me paru pas très sympathique bien qu'en vérité il ne se soit jamais mal comporté avec moi n'y avec aucun autre élève d'ailleurs, parfois les préjugés ont la peau dur et ce n'est pas Yumi qui pourra dire le contraire.
D'un point de vue plus général son arrivée allait changer beaucoup de choses au sein de notre groupe il deviendrait par la suite un acteur déterminant de la situation a venir, je me souviens en particulier d'un soir où nous avions évoqué son cas.
############################ FLASHBACK ############################
Ce soir-là dans le réfectoire Aelita ,Jeremie et Odd discutaient ensemble de la journée qu'il venaient de passer, un nouvelle attaque de Xana venait d'être contré et a son habitude Odd fanfaronait sur ces incroyables exploit du jour, il fallait néanmoins noter a la table l'absence de Ulrich.
Personne n'a vu Ulrich demanda Jeremie surpris de son absence .
Odd : comme toujours il doit être entrain de téléphoné à sa chère Yumi pour s'excuser de son comportement du jour.
Ne me dit pas qu'ils se sont encore disputés dit alors Aelita.
Odd : ne généralise pas comme ça Princesse, tu a quand meme deux explication au choix
Aelita : lesquelles ?
Soit il se sont disputé soit il se font la tête.lui dit Odd avec son humour habituelle.
Aelita : mais il n'y a pas de différence !!!!
Odd : Si il y en a une, mais chez eux c'est comme pour tous le reste, c'est très spécial.
Jeremie : en tous cas sa n'a pas l'air d'aller en s'arrangeant leur histoire.
Depuis ces derniers temps la relation entre Yumi et Ulrich était devenu plus ou moins tendu, à plusieurs reprises Ulrich avait manifesté des crises de jalousie a chaque fois Yumi semblais s'intéreser de trop près a William a moins que cela ne soit le contraire, cela se finissait toujour par des accrochages avec se dernier, bien-sur à chaque retour dans le passé la situation semblait s'arranger pour le mieux, mais chaque nouvelle situations était une bombe à retardement sur le point d'exploser ,à cause de certains de ces excès de jalousie Ulrich mettait en péril l'unité du groupe, bien sur Yumi avait sa part de responsabilité dans l'affaire son attitude pour le moins distante envers Ulrich et la présence de Williams n'arrangeait pas les choses.
Odd : et tous sa a cause de William
Aelita : encore William !!! je trouve que ces histoires commencent à mettre une sale ambiance dans le groupe.
Jeremie : sa nous divise et réduit notre efficacité et pourquoi tous ça je vous le demande ?
pour une bête histoire de jalousie .
Aelita : nous ne pouvons pas trop dire a ce sujet nous meme avons failli faire voler notre amitié en éclat a cause de cette même jalousie.
Quand ça ? demanda Jeremie.
Aelita : tu te rappelle la fois où Xana c'est mis à distribuer des bisous à tout le monde.
Jeremie : comment oublier ça, on a vraiment été stupide ce jour la,
Cela avait été terrible.dit Aelita en regardant ses compagnons de table.
Odd : ne me demander pas ça a moi, j'étais sur le carreau face a spectro-man.
Aelita : Xana avait décidé de détruire notre unité.on bien failli se faire avoir
Jeremie : diviser pour mieux régner.
Aelita : heureusement pour nous il a échoué.
Jeremie : ce qui nous montre une fois de plus que Xana ignore bien des choses sur la nature humaine.
Jeremie n'avait pas tort sur ce point, Xana c'était peut-être renforcé, en tant qu'intelligence artificielle il avait acquis une conscience mais il en restait pas moins un être dominé par la logique,il considérait toujours les humains comme des animaux bêtement régis par leurs instincts.
la petite séance de "Kiss free" à laquelle il c'était adonner à l'aide de l'un de ses clones n'était ni plus ni moins qu'une expérience dont il n'avait rien retiré ,si ce n'est encore qu'une défaite de plus à ajouter à son compteur, mais d'un autre point de vue cette histoire n'avait pas été déplaisante pour tous le monde.
Aelita : quand je repense a tous ça je trouve que cette histoire a été très intéressante
Jeremie : sur quel point ?
Aelita : honnêtement je trouve que ce n'est pas désagréable un baiser.
Aelita avait elle seulement conscience de ce qu'elle venait de dire de façon presque instinctive ? sans se rendre compte de la gêne qu'elle venait de provoquer chez Jeremie qui c'était mis à rougir.
Pourquoi se le caché, tous deux éprouvaient une attirance mutuelle très forte, ils étaient très hésitant à se prendre la main dans la main c'était pour eux quelque chose de très nouveau curieusement Odd s'absteint de faire tout commentaire alors que s'offrait à lui une occasion en or de faire rougir ces deux amis.
On peut revenir au sujet de la conversation dit Odd qui voulait changer de sujet.
Aelita : vous croyez que cette histoire avec William va durer encore longtemps ?
Jeremie : d'ailleurs qu'on ton parle du loup il montre le bout de son museau regarder qui vient d'entrer.
Leur principal sujet de conversation venait de franchir le seuil de la porte de la cantine et se dirige à présent plateau repas en main vers les entrées de salade.
Odd : regardez le celui la, depuis qu'il est arrivé sa coince entre nos deux tourteraux
Jeremie : un vrai casse pied.
Aelita : il ne faut pas exagère William n'y est pour rien après tous.
Aelita avait raison, il était ridicule témoigné autant de autant de rancoeur envers la personne de William, il n'avait jamais fait de mal à qui que ce soit mais voilà il s'agissait là d'un engrenage vicieux dans lequel il était pris,la relation de bonne camaraderie qu'il entretenait avec Yumi suffisait a créer un sentiment de jalousie chez Ulrich est selon un schéma préétabli Ulrich se disputait avec Yumi qui en retour par son caractère bien trempé mettait à mal Ulrich ce qui donna naissance à des scènes de jalousie et de dispute récurrent qui finissait par nuire durablement à leur mission, au final le seul qui avait tout à y gagner c'était Xana.
Aelita : au fond de moi je pense que Ulrich devrait parler a yumi
Jeremie : avec William dans les parages sa sera dure.
Odd : sur c'est le genre de mec qui vous casse un plan.et si sa continue....
C'est vrai que ton expérience dans le domaine n'est pas approuvée lança alors Jeremie a odd sur un ton ironique.
Einstein qui se mettait a faire des blagues, fait unique dans l'histoire de Kadic il faut croire
que la bonne humeur que lui inspirait Aelita avait rendu Jeremie un peu plus taquin cela était beaucoup plus plaisant de voir Jeremie moins crispé qu'a son habitude,le blondinet à la coupe en flammes voulue quand même finir d'exprimer le fond de sa pensée.
Odd : ce que je voulais dire c'est que si sa continue comme ça un jour elle lui sortira une réplique du genre "on est ami et ça suffit" (1)
Sa sera sûrement le début d'une nouvelle histoire à ce moment-là .lui répondit Aelita.
M'en parlez pas j'ai déjà mal à la tête rien que d'y penser.dit odd en soupirant.
la mine deconfits de Odd était compréhensibles , ce soir il allait sûrement devoir subir les contrecoups de la vie amoureuse et tumultueuse et son compagnon de chambre, cette pensée avait de quoi amuser ses amis et finalement même Odd finit par se prendre au petit jeu du rire de groupe,tranquillement assis à sa table où William remarqua la bonne humeur qui venait de la table de la bande a Jeremie
depuis le départ il avait remarquer le lien très fort qui semble unir ses personnes, cela lui avait d'ailleurs toujours paru étrange que Yumi d'ordinaire si froide et si distante avec tous les élèves de sa classe, que cette même Yumi puisse nourrir une telle amitié avec cette petite bande.
Qu'est-ce que cela peut-il bien cacher ? se demanda-t-il
pourquoi est-ce que William se posait-t-il une telle question ? la réponse à la question était simple c'est une certaine Elisabeth Delmas qui lui avait mis un jour la puce à l'oreille,
Un jour qu'il était à la piscine ,Elisabeth était venu s'entretenir avec William après que celui-ci eut sauvé Ulrich de la noyade,bien sûr cette rencontre n'était pas le fruit du hasard, il ne faisait pas de doute qu'elle avait une idée derrière la tête, mais William pris quand meme la peine de l'écouté.
elle raconta alors quelle flashait sur Ulrich depuis la maternelle et que si il n'y avait pas cette peste de yumi cela ferait longtemps qu'elle sortirait avec Ulrich ,d'une certaine manière William savait ce que pouvait ressentir Elisabeth, il éprouvait un certain sentiments pour Yumi mais c'était plus une sorte d'attirance qu'un véritable amour de plus il savait pertinemment que tant que Ulrich se trouverai dans les parages sa serait "Nada".
Peut-être tous deux auraient trouvé un intérêt commun à unir leurs forces pour séparer les deux tourtereaux mais c'est une proposition à laquelle William ne donna pas de suite quelque part il considérait ce genre de procéder comme mesquin ce qui lui valut d'avoir une fâcheuse opinion sur Sissi.
d'ailleurs lors de leurs échanges Sissi avez évoqué à William le fait que Jérémie et sa bande avait un secret.
Un secret en voilà une drôle d'idée..............
William voyait plus dans leurs relations un esprit de franche camaraderie il était bien loin de douter de la vérité, pourtant avec le temps il commença a se poser des questions..
Et après tous en quoi cela le regardait il ?
William n'attachait pas bien beaucoup d'importance à ce qui pouvait se dire autour de lui,ce détachement c'est lui qui le voulait , il avait besoin de se calmer, sa précédente relation amoureuse lui avait attiré bien des problèmes.
Ici au collège Kadic il espérait pouvoir repartir sur de nouvelles bases car dans le fond William était un grand enthousiasme, se qui parfois l'amenait à faire des bêtises plus grosse que lui.
Comment aurait il pus deviner qu'un jour cette enthousiasme provoquerais sa perte....
Et bien Maeva tu ne finit pas ton assiette ?
je voudrais bien mais vous avez fait à manger pour un régiment je crois que si j'avale une bouchée de plus mon ventre va exploser de plus il faut que je surveille ma ligne. répondit alors l'adolescente.
Il faut dire que pour le dîner du soir le docteur Robinson avait eu la main un peu lourde en plus des lasagnes celui-ci avait préparé une grosse salade verte accompagne d'une bouteille de Coca-Cola Light de 2 l.
en dépit de son aspect svelte Maeva était pourvut d'un sacré coup de fourchette, elle n'avait sortis l'argument du régime que par pure plaisanterie,ce fut sans se faire prier qu'elle c'était jetée sur les lasagnes, le plat ne fit pas long feu sous les assaut répété de la jeune fille qui s'empiffra comme une baleine a s'en rompre l'estomac maintenant elle en frôlait presque l'indigestion tous de fois il restait un petit peu de place pour le dessert.
je crois qu'une petite douceur ne me ferais pas de mal docteur.dit elle a cette instant
Le docteur compris le message, car par dessus tous Maeva avait un faible pour les sucreries , le docteur ouvrit le four est sorti le gâteau qu'il avait patiemment cuisiné tandis que Maeva était dans sa chambre, il lui avait préparé un délicieux Brownies aux noisettes c'était d'aillieur le seul plat qu'il soit capable de cuisiner ,sans risqué de mettre le feu a la cuisine, cette pâtisserie était celle que sa petite fille adorait tous particulièrement mais cela plairait-il à Maeva ?
Le délicieux parfum de chocolat fondu fit frétiller les narines de Maeva, elle en eut presque la bave aux lèvres,le Docteur coupa une grosse part est la mit dans une petite assiette qu'il servit a Maeva, sans raison particulière cette dernière resta quelques instant figé à regarder le contenu de son assiette comme si c'était la première fois qu'elle en voyaient une,cela ne manqua pas d'étonner le Docteur.
- est bien Maeva qui y a-t-il ? tu n'as plus faim lui dit le docteur.
- Non c'est pas ça docteur... lui répondit Maeva.
- c'est quoi alors demanda le docteur.
- Je me disais juste que ce gâteau ressemblait beaucoup à celui que vous m'aviez offert la première fois que l'on s'est vu lui dit alors Maeva.
Le docteur fit rapidement la correspondance entre ce gâteau et ce que venait de lui dire Maeva , il lui revint alors en mémoire les circonstances dans lesquelles il avait rencontré la jeune fille,et la manière dont il si était pris pour gagner sa confiance,il se dit qu'à l'époque la méthode utilisé avait été un peu humiliante pour Maeva, et quelque part il s'en voulait d'avoir du agir de la sorte.
Pour sa part Maeva était très attachée au souvenir de leur première rencontre, car ce fut le premier geste de bonté que le docteur avait eu envers elle, celle-ci s'en souvenait parfaitement et avait meme consigné dans son journal les détails de leur première rencontre.
############################ FLASHBACK ############################
Cela fait déjà plusieurs heures que le docteur était arrivé à Kingston valley en attendant de pouvoir ausculter la petite qui dormais dans la pièce d'a coté, il avait lui-même pris un peu de repos, l'hôtel étant fermé à cause de la tempête le shérif avait gentiment alloué une des ces cellules à son hôte, le confort était certes spartiate mais le docteur harassé par la fatigue n'eut pas de mal à s'endormir, six heures plus tard ce dernier fut tiré de sa torpeur par le shérif qui était venu lui proposer une tasse de café.
- Debout la dedans !!! allez docteur c'est l'heure de se lever s'écria le shérif.
Le docteur encore visiblement abruti de sommeil avait toutes les peines du mal à émerger, un bon un petit café ne serait vraiment pas de refus,le docteur prit la tasse que le shérif lui tendait.
-Merci shérif dit le docteur
le docteur porta la tasse à ses lèvres mais quand il eut le très précieux breuvage en bouche le goût ocre et amère de celui-ci lui laissa un arrière-goût très désagréable il se retenue bien de tous recracher et se força à avaler cette mixture, visiblement quelqu'un avait forcer sur les doses de café.
- Il est corsée votre café shérif fit remarquer le docteur.
- C'est normal je le prépare toujours comme ça, c'est pour m'aider à maintenir éveiller.lui répondit alors le shérif.
Dr : avec un tel condensé de caféine il serait en effet dur de dormir après.
shérif : venez avec moi docteur,vous serez bien mieux dans le bureau qu'en cellule.
Le docteur accompagné du shérif se rendit dans le bureau principal ou l'adjoint Johnson et Clarisse les attendaient tous les deux, en dehors la tempête commençait à se calmer, d'ailleurs tout le monde était resté à l'écoute du bulletin météo qui annonçait officiellement que le plus gros de celle-ci était déjà passé, il n'en fallut pas moins pour rendre le morale à l'assistance,en ce début de matinée
les première lueur du jour se faisait entrevoir, les différente personne presente dans le bureau avaient déjà attaqué le déjeuner, au menu café et pâtisserie.
prenez un petit gâteau Docteur lui dit Clarisse
Le docteur accepta volontiers la proposition de la femme du shérif avec toutefois une petite appréhension , il espérait que le gâteau ne sont pas aussi corsées que le café mais il n'en fut rien la pâtisserie était d'un fondant exquis,ce petit gâteau chocolat était un vrai régale pour les papilles ,le docteur en reprit un deuxième puis un troisième sous le regard pour le moins satisfaits de Clarisse.
ces petits gâteaux sont vraiment délicieux dits le docteur
Ma femme est une excellente pâtissière dit le shérif avec fierté.
Clarisse : c'est un peu normal je tiens le resto route qui est situé en bordure de la ville
Chez Clarisse était le nom de cet établissement un lieu incontournable qui faisait quelque part la renommée de Kingston valley,les talents et émérites de cuisinière de la femme du shérif n'étaient pas a prouver,la carrure bien portante de son mari en attestait même.
Dr : en tout cas c'est délicieux surtout ces petits gâteaux aux chocolats.
shérif : ces petites pâtisseries sont la spécialité de la femme,
Clarisse : ici tous le monde en raffole y compris "notre petite invité".
Sur le coup le docteur avait oublié l'objet de sa visite,il était venu à domicile pour consultations privées.
Dr : et bien maintenant que vous me le rappeler nous pourrions peut-être parler du cas de la fille.
Le docteur avait été sollicité pour ausculter la fille, mais très peu d'informations lui avait été donné par le shérif et pour établir un diagnostic correct il lui était nécessaire d'avoir un maximum d'informations,le peu qu'il savait jusqu'à présent était que cette petite fille avait été retrouvée errante et toute nue aux abords des bois de Kingston valley.
Dr : puis-je savoir qui l'a découvert dans cet état ?
shérif : c'est moi qui l'ai découverte alors que je patrouillait le long du fleuve.
Dr : quand vous l'avez trouvé elle ne portait vraiment aucun vêtements.
shérif : elle était aussi nue qu'un bébé qui viens de naître,mais pourquoi cette question ?
Dr : eh bien je me demandais si vous aviez remarquer sur elle des traces de sévices.
A quoi pensez-vous docteur ? demanda le shérif qui en vérité se doutais de quoi le docteur voulait parler.
Dr : je pensait à des violences de nature sexuelle.
Je suis pas gynécologue Docteur, je ne suis pas allé vérifier.lui clama alors le sherif.
Clarisse : docteur je crois pouvoir répondre à votre question, en ma qualité d'ancienne sage femme je peut dire que cette enfant n'a subi aucune... euh... "intrusion" dans son être.
Dr : vous êtes sûrs de ce que vous dites.
Clarisse : vous savez Docteur c'est le genre de petits détails que nous les femmes ont remarque tout de suite.
Et en quoi cela docteur vous avance t'il de savoir ça demanda alors le shérif
Le terrain sur lequel les deux personnes étaient en train de s'avancer étaient pour le moins délicat à évoquer mais nécessaire,le docteur devait prendre en compte toutes les informations qu'on pouvait lui donner, si la petite fille avait subi des violences sexuelles il en résulterait aussi des troubles psychiques très profond.
Dr : vous m'avez dit que cet enfant n'avait pas l'usage de la parole
shérif : en effet pas moyen de lui faire dire une mots.
les circonstances particulières dans laquelle la petite fille avait été retrouvée était bien mystérieuse, outre son état physique la petite fille semblait atteinte de quelques déficience mental, en apparence elle avait l'air de comprendre ce qu'on lui disait mais elle était incapable de s'exprimer, se fut d'ailleur la raison pour laquelle un psychologue pour enfant fut appeler.
Dr : si elle ne parle pas,difficile de savoir quoi que ce soit son sujet
shérif : c'est vrai que pour le moment on ne sait rien d'elle.
Dr : vous n'avez vraiment aucune une idée sur son identité ?
shérif : pas la moindre docteur ,les empreintes digitales n'ont rien donné.
Dr : comment est-ce possible aujourd'hui tout le monde devrait être fiché.
shérif : malheureusement docteur dans cet État les fiches biométriques pour la population n'ont pas encore été adoptées.
Dr : c'est bien dommage un seul prélèvement d'ADN nous aurait permis de savoir qui elle était, et si elle faisait partie d'enfants qui auraient récemment été enlevés.
shérif : j'ai envoyé une demande sur informatique au fichier central, mais aucune déclaration de disparitions d'enfants n'a été signalée dans cet État ni dans le comté voisin.
Dr : aucune disparition signalée ?
shérif : aucune c'est ce qui est le plus étrange docteur, à croire que cette fillette semble débarquer de nulle part.
Dr : pensez-vous shérif qu'elle soit originaire du comté de Brayton wood's vu tout ce qui s'y passe en ce moment,elle est peut-être une victime de cette catastrophe industrielle.
shérif : Brayton wood's !!! ça me paraît impossible,comment aurait-elle fait pour franchir la montagne ?
le conté de Brayton wood's et celui de Kingston valley étaient séparées par une chaîne de montagnes très abruptes la seule route qui reliait les deux villes étaient surveillés par des barrages routiers,personnes ne pouvait y passer sans se faire remarquer,et il paraissait impossible qu'une enfant sans vêtements adéquate et pus escalader la montagne et les chemins escarpés sans s'y blesser.
shérif : ça ne tient pas debout une seule seconde, si c'était le cas son corps serait couvert de blessures,or la seule blessure qu'elle se soit fait de c'est quand elle a essayé de me fuir
Dr : de vous fuir ?
shérif : quand elle m'a vu elle s'est enfui,malheureusement elle a fait une mauvaise chute dans un fossé, c'est donc une enfant inconsciente mais bien vivante que j'ai ramené avec moi ,par chance ma femme etait à aux bureau, en l'absence de docteur elle a pu lui donner les premiers soins.
Dr : quel genre de soins lui avez-vous prodigué ?
Clarisse : elle était blessée à la tête,je lui ai juste fait un bandage.
Dr : sa chute dans le fossé a pu provoquer un traumatisme crânien,cela expliquerait pourquoi elle a perdu quelques-unes de ses facultés,et notamment la parole.
shérif : vous pensez que ça pourrait être sa.
Dr : c'est possible, il sera donc important de lui faire passer au plus vite une radio du crâne,afin d'y déceler toute trace de traumatismes.
shérif : je doute fort que vous arrivez à lui faire faire quoi que ce soit.
pourquoi dite vous ça demanda le docteur
shérif : voyez-vous docteur mis à part ma femme la gamine ne laisse personne s'approcher d'elle,elle a peur des étrangers.
Dr : mais pourquoi ?
Clarisse : il faut la comprendre elle est effrayé par tout ce qui lui arrive.
Dr : ce qui m'amène à me demander ce qui peut bien l'effrayer.
shérif : si on a affaire à un rapt d'enfants ça pourrait bien être son kidnappeur.
On se demande bien quel genre tordu pourrait faire sa à une gamine dit alors l'adjoint qui jusque-là avait été exclus de la conversations.
Dr : vous savez adjoint Johnson les kidnappeurs d'enfants sont pour la plupart du temps des pédophiles récidiviste.
shérif : ah ne m'en parler pas, les détraquer dans ce pays sait pas c'est qui manque, assassin pédophiles ,tueur en série et compagnie.
Dr : les détraquées sexuelles ne sont pas une exclusivité de notre pays, ils sont légions à travers le monde entre les Wilbert burst, les Damien Foliet et les Julian Bridge *, non je vous jure on pourrait faire fonctionner la chaise électrique de façon continue.pendant un ans si on devait tous les condamné à mort.
Et ils le mériteraient tous car je trouve ça monstrueux de s'en prendre à de jeunes enfants dit alors clarisse qui était révolté par le fait que des personnes puissent agir de cette façon.
Dr : comme je vous l'ai dit ils sont bien plus nombreux qu'on ne le croit et tous ont des vices très particuliers, tenez par exemple......
Damien Foliet
Dr : vous avez déjà entendu parler de son cas ?
shérif : ce nom ne me dit rien
Dr : c'est un Français qui a défrayé la chronique médicale en 2004
shérif : un Français vous dites !!!
Dr : on devrait dire un boucher,au cours de sa vie,ce psychopathe a assassiné et mutilé pas moins de cinq jeunes adolescentes,dans son pays il a été surnommé "le praticien".
Clarisse : "le praticien".
Dr : c'est le genre de malade qui se dit médecin et se croit autorisés à opérer comme bon lui semble.
shérif : un émule de Jack l'éventreur en somme.
Dr : en quelque sorte, a ceci près que ces "patientes" ne survive jamais a ces "opérations''
Clarisse : et qu'est-il devenu ?
Dr : ils ont réussi à l'arrêté,et croupis a présent au fond d'une salle capitonnée.
Clarisse : j'espère qu'il finira rôtie sur la chaise électrique.
Dr : sa ne risque pas, en France la peine de mort est abolie depuis 1981.
shérif : c'est pas la meilleure chose qu'ils ont faite à mon avis.
Dr : c'est comme ça certain ont militer pour le droit à la vie,alors que des bouchers de son genre n'ont aucune considération pour elle.
Clarisse : a croire qu'il existe un dieu pour les crapules.
il y avait un certain sentiment d'injustice a se dire que certains meurtriers de ce genre ne recevront jamais le châtiment qu'ils méritent, mais de là à s'en remettre a des forces surnaturelles,c'etait un point de vue que le docteur ne partageait pas.
Dr : si vous compter sur un châtiment divin, croyez-moi s'est pas près d'arriver.
shérif : en se qui concerne la petite si elle a été victime de l'un de ces sadiques il est normal qu'elle en soit traumatisée
Dr : et ça shérif il n'y a que elle qui pourra nous le dire.
Clarisse : dans ce cas-là docteur je vais aller voir si elle est réveillée.
Je vous accompagne dit le docteur
Clarisse et le Dr Robinson partirent ensemble ,arrivés devant la porte clarisse demanda au docteur d'attendre en dehors ce dernier fut d'accord pour éviter effrayées l'enfant il fallait mieux que Clarisse passe en premier, la vue d'un visage familier la mettrait en confiance.
Les minutes passèrent le docteur gardaient une oreille attentive coller à la porte pour essayer de savoir ce qu'il se passait à l'intérieur,il pouvait entendre Clarisse qui expliquait tant bien que mal à la petite fille que quelqu'un de très gentil allait venir.
Quand la porte s'ouvrit de nouveau clarisse sortie de la pièce, elle expliqua au docteur qu'il pouvait rentrer, mais qu'il lui faudrait montrer patte Blanche pour ne pas effrayer l'enfant,par expérience le docteur était bien rodé à ce genre d'exercice, il promit a clarisse de se montrer très doux.
A sa plus grande surprise quand le docteur entra dans la chambre pièce, il découvrit que la petite fille avait disparu, il ne restait sur le canapé où elle avait dormi que sa couverture n'ayant visiblement pas pu quitter la pièce il semblait évident que l'enfant s'y cachait. le docteur scrutin de droite à gauche avec ses yeux pour y détecter toutes les cachettes éventuelles.
La pièce étant très dépouillé il apparaissait évident que la fille n'avait pu se cacher que derrière le canapé,c'est avec le plus grand soin et une distance de sécurité raisonnable que le docteur s'approcha du meuble et là il la vit effrayée et recroquevillée sur elle-même.
bonjour... dit alors le docteur avec le sourire.
la petite fille ne répondit rien elle restait là à regarder le docteur comme un animal craintif face au danger.
Il était primordial pour le docteur de gagner la confiance de l'enfant, il devait lui montrer qu'en aucun cas il ne voulait lui faire du mal, il décida donc de se reculer, il s'assit en tailleur dans un coin de la pièce pour observer la jeune fille,il lui faudrait être patient cela pourrait durer des heures.
Et ce fut le cas pendant près de quatre heures le docteur ne cessa de parler à l'enfant tout en gardant ses distances avec elle,celle-ci semblait comprendre ce que le docteur lui disait mais était incapable de pouvoir lui répondre, dans une autre pièce du bâtiment le shérif discutait avec son adjoint sa femme.
Adjoint : shérif vous pensez qu'il arrivera en tirer quelque chose ?
shérif : faut l'espérer
Adjoint : c'est pas rapide comme interrogatoire .
shérif : Johnson ce genre de choses se fait pas aussi facilement
Clarisse : sa demande du temps pour gagner la confiance d'un enfant et en plus la petite est très effarouchée.
C'est alors que le docteur fit son apparition dans la pièce visiblement celui-ci n'avait pas réussis à obtenir le moindre résultat, la partie s'annonçait difficile mais il n'était pas homme à renoncer aussi facilement au cours de la séance une idée lui était venu, il se rappela d'une chose que Clarisse lui avait dite au sujet de la petite.
Clarisse : alors Docteur vous avez des résultats ?
Dr : pas pour le moment mais ça ne devrait pas tarder,par hasard vous reste-t-il des petits gâteaux ?
étonnante question de la part du docteur,avait-il encore faim ? mais la réponse était tout autres, le docteur avait trouvé un moyen pour amadouer la "sauvage" petite fille.
il allait lui donner à manger.
Clarisse : qu'est-ce que vous allez faire avec ces gâteaux ?
Dr : rien de très particulier je vais juste donné à manger à la petite fille
Clarisse : vous quoi ?!!!
Puisque le dialogue n'avait rien donné le docteur allait avoir recours à un procédé plus instinctif,il s'en retourna aussitôt dans la pièce,au milieu de celle-ci il posa une serviette de table sur le sol,il prit l'un des gâteaux et le montra à la petite fille, ceci fait il le coupa en deux et en déposa la moitié sur la serviette puis tout doucement il sortit de la pièce en laissant la porte légèrement entrouverte pour observer ce qui allait se passer.
A peine fut-il sorti qu'il vit la petite fille se jeter sur le gâteau et l'avala aussi sec avant que celle-ci ne retourne se mettre à l'abri derrière le canapé,le docteur entra de nouveau dans la pièce,il recommença l'opération à plusieurs reprises, il savait que pousser par la faim il parviendrait gagner la confiance de l'enfant.
Technique pour le moins primitif dont on se sert généralement pour dresser les animaux,
mais comme on dit à cas exceptionnels méthodes exceptionnels,il était temps pour lui de voir si la confiance était acquise,il recommença encore la même opération avec cette fois-ci une petite variante.
le docteur était assis à coté de la serviette et tenait un gâteau entier dans le creux de sa main,et comme il l'espérait la réaction de la petite fille fut très différente, elle osa s'approcher de cette main qui lui tendait de la nourriture,d'une façon moins craintive elle se saisi du gâteau et le porta aussitôt à sa bouche,mais aux lieu de s'éloigner pour se réfugier derrière le canapé,elle resta à côté du docteur qu'elle ne quitta pas du regard, il l'intriguait autant qu'elle l'intriguait.
tu trouves ça bon lui dis alors le docteur.
La petite fille hocha légèrement la tête de haut en bas pour lui signifier que oui, au fond de lui le docteur savait qu'il avait réussi son opération, grâce à son petit stratagème un début de contact venait d'être noué,mais le plus dur était encore à faire, il se risqua donc à lui poser la question la plus élémentaire qui soit.
dis moi comment tu t'appelle .......
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Cela faisait maintenant deux jours que l'enquête sur les mystérieuses perturbations du réseau avait commencés, le lieutenant de Fraggle spécialiste en logistique rappelons-le avait fourni au colonel Perec et au majors Cartwright le matériel nécessaire pour mener à bien leur mission, en dehors des habituelles fausses identités requise pour ce genre de mission il avait droit a un bonus, une superbe Aston Martin de classe 3 de la firme du même nom, ce véhicule de fonction leur avait été soigneusement prêter par les gracieux service de Sa Majesté.
le lieutenant avait insisté sur un point précis dans la mesure du possible éviter d'abimer le véhicule,pour une raison qui apparaissait évidente se fut le Major qui conduisit la voiture.
Leur ordre de mission était d'aller enquêté dans une usine a 75 kilomètres en dehors de Londres au vu le trafic ils leur fraudaient au moins deux bonnes heures pour arrivé a destination.
Le colonel estima que ce laps de temps lui donnerait l'occasion de faire un peu plus de connaissance avec le major,jusqu'à présent les deux officier n'avait pas pris la peine d'échanger des informations entre eux mais comme leur destinations était assez loin,c'était là une bonne occasion de discuter fallait-il encore que le major laisse tomber le masque d'austérité qu'elle portait,le colonel tenta quand même une première approche.
C Perec : bon major vu que nous allons travailler ensemble nous pourrions peut-être faire un peu plus ample connaissance.
M Cartwright : Ã quoi pensez-vous mon colonel
C Perec :pour commencer je me disais que nous pourrions nous appeler par nos prénoms.
devant l'absence de réponse du major Cartwright,le colonel estima que c'était à lui de faire le premier pas.
C Perec : moi je m'appelle François c'est facile à retenir tu vois sa rime avec français.
la familiarité avec laquelle le colonel se permettait de parler, déplaisait fortement au major,elle se priva pas de le faire remarquer à son officier supérieur.
M Cartwright : colonel je conçoit bien que l'on doit se tutoyer en présence de civils mais en leur absence je viendrait bien que nous respections le protocole militaire.
le protocole militaire à croire que cette femme n'avait que ces deux mots-là à la bouche,ces dernières 24 heures le colonel n'avait presque entendu parler que de ça.
C Perec : je comprends parfaitement que vous teniez au respect du protocole mais vu que vous et moi ne sommes plus des agents secrets pour le moment que des militaires nous n'avons pas de raison d'être aussi formels envers l'autre.
M Cartwright : ceci est votre point de vue colonel pas le mien.
C Perec : je ne vois pas ce qui diffère du mien.
M Cartwright : dans l'armée britannique ont nous enseigne qu'en toute situation nous nous devions de rester impassible face aux dangers.
C Perec : je vois le fameux flegme "britannique".
M Cartwright : sauf votre respect mon colonel, je trouve votre ton tres condescendant quand vous utilisez le terme "britannique"
C Perec : veuillez m'excuser Major, je cherchais juste à détendre l'atmosphère.
M Cartwright : colonel je trouve votre approche plutôt maladroite voir assez rustre.
C Perec : qu'avez a me dire sur mon approche.
Je la trouve assez dénué d'humour lui répondit le major.
C Perec : je permets de vous contredire Major,je suis un homme plein d'humour même s'il n'arrive d'être un peu rigide.
dois-je comprendre colonel que vous voulez coucher avec moi ? lui dit alors le major sans la moindre pudeur.
Devant la réponse directe du major le colonel en perdit quelque peu ces moyens il ne s'attendait vraiment pas à une réponse de ce genre-là .
Euh non... je bah.... euh... je ne voulais pas dire ça balbutia plutôt maladroitement le colonel.
Alors j'ai du mal comprendre le sens de votre phrase, veuillez m'en excuser lui dit alors le major dont le visage ne laissait transparaître aucune émotion.
C Perec : c'est le moins qu'on puisse dire Major,où diable avez-vous été pêcher une idée pareille.
M Cartwright : votre allusion concernant votre "rigidité"
C Perec : écouter major je sais que nous les Français nous avons une réputation de "French Lover", mais là je vous parlais de la rigidité de mon caractère est non pas de ... enfin bref vous voyez ce que je veux dire..
M Cartwright : parfaitement mon colonel.
Le colonel ne s'était pas trompé dans son analyse le major était le genre de femme qui avait sont propre caractère, se doutait-il seulement que toute sa vie le major avait été obligé de se battre pour en arriver là et que en aucun cas elle ne voulait pas se laisser dicter sa conduite par un "petit français" et encore moins se laisser embobiner par les dires de ce dernier qui n'en restait pas moins son officier supérieur bien que leur corps d'armée soient différents.
C Perec : ceci dit major je ne connais toujours pas votre prénom.
M Cartwright : si vous voulez tant le connaître vous n'avez qu'à prendre la petite mallette qui se trouve sur la banquette arrière.
sur la plage arrière de la voiture ne sorte de petit attaché caisse en métal était posée,le colonel s'en saisit tout de suite et demanda au major ce que celui-ci contenait
M Cartwright : à l'intérieur vous trouverez nos identités pour cette mission
visiblement le major Cartwright n'était pas disposé à vouloir répondre,soit le colonel attendrait le bon moment pour lui reposer la question dans l'immédiat il se contenta de regarder le contenu de la valise,parmi les quelques documents officiel,il y avait les passeports de leur identité pour cette mission.
le colonel devait s'appeler Robert Powell , agent d'assurances de la Royal Insurance Bank la très prestigieuse R.I.B, quant au major elle se prénommait Janet Parker.
C Perec : donc si je comprends bien nous sommes des agents d'assurance.
M Cartwright : affirmatif mon colonel
C Perec : pourrait je connaître les raisons qui font de nous des assureurs.
M Cartwright : c'est le meilleur moyen que nous avons trouvé pour nous introduire à l'intérieur des locaux de notre objectif.
C Perec : c'est bien beau Major mais vous devez toujours pas informer de l'endroit où nous allons.
M Cartwright : connaissez-vous la société Quantum Conductivity
C Perec : ce nom m'est inconnu,de quoi s'agit-il ?
M Cartwright : cette entreprise est spécialisée dans la création des matériaux supra-conducteurs destinés à différents applications industrielles.
C Perec : très bien il fabrique des composants mais encore.
M Cartwright : pas plus tard qu'hier sur le coût de 14 h 01 de leurs laboratoires a été détruit
or au moment de l'accident des pulsations ont été détecté qui convergeait vers se point précis
C Perec : ce serait donc une nouvelle offensive de Xana.
M Cartwright : tous les indicateurs nous le laisse supposer.
C Perec : et moi je suppose que cette société n'est pas non plus un un point stratégique de votre défense.
M Cartwright : affirmatif mon colonel.
C Perec : et à part produire des supra-conducteurs cette société c'est tels diversifiés dans la haute technologie ou quelque chose de ce genre , je veux dire ont-ils un supercalculateur en leur possession.
M Cartwright : c'est tous le problèmes colonel, le secret industriel les protège ce genre d'incursions de la part de nos services.
C Perec : il y aurait des choses que vous ignorez sur votre propre territoire.
M Cartwright : apprenez colonel que pour préserver notre économie certaines grandes sociétés sur notre territoire dispose d'une "immunité industrielle".
C Perec : une "immunité industrielle"c'est bien la première fois que j'entends parler de sa.
M Cartwright : c'est très simple à comprendre mon colonel,les sociétés qui contribuent à aider notre pays dispose de la part du gouvernement d'une certaine protection.
C Perec : si je comprends bien votre gouvernement soutiens les sociétés qui lui rende de menus services
M Cartwright : affirmatif mon colonel, est en général ces sociétés ne sont pas inquiétées par nos services.
C Perec : ce serait le cas de la société Quantum Conductivity .
M Cartwright : Quantum Conductivity finance un grand nombre de caritatives,et ont dernièrement contribué à la réélection de notre premier ministre.
C Perec : je comprends qu'avec de tels appuis politiques il est difficile pour vos services d'aller là -bas de fouiller quand bon nous semble, sans avoir en retour un sacré coup de bâton de la part de vos dirigeant.
M Cartwright : c'est pour ça qu'ils a été demandés de d'enquêter discrètement
C Perec : en somme vous voulez passer outre cette "immunité industrielle".
M Cartwright : nous pourrions procéder autrement mais une enquête sur place s'avèra peut être plus fructueuse.
C Perec : vous pensez qu'on va y trouvé des indices sur l'organisation de Xana.
M Cartwright : mis à part les quelques photos et les indications que nous ont fourni les maisons d'assurance nous ignorons toujours de quelle nature et la surcharge qui détruit tous ces appareils
C Perec : et qu'est-ce qui nous fait dire que l'on va trouver ce genre d'informations dans cette société ?
M Cartwright : cette société et tout particulièrement intéressante d'un point de vue technique, pour leurs expérimentations sur la supraconductivité ils utilisent des appareils de mesure très sophistiqué.
C Perec : et vous espérez que l'un d'eux aurait enregistré un petit quelque chose.
M Cartwright : c'est une possibilité qu'il ne faut pas exclure.
le colonel connaissait désormais les raisons de son déplacement maintenant il fallait espérer que cette piste ne soit pas une impasse,le reste du voyage se passa dans la monotonie la plus confondante qui soit, le major Cartwright était loin d'être un bout entrain, au bout de 1h30 de route dans le silence radio le plus total les deux agents en finirent par arriver devant les portes de la société Quantum Conductivity.
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Au récif de nacre et de couleur saphir.
Elle est la flèche d'argent tiré au milieu de l'immensité.
A la dérive ballotter par les flot est seule.
Dans les profondeur luisent deux reflets teinté de haine.
C'est l'obscur.
Il jaillit du plus profond de nos peurs.
Il est née de la mort.
Fruit d'une insondable angoisse
L'innocence est une proie facile.
Il enlace la docile flèche.
Il l'amène a lui pour l'entraîner dans son antre
Ou il pourra s'en repaître.
Il est l'obscur.
Chapitre 06 Franz Hopper
laboratoire 3 août 2005
----------------------------------------ENREGISTREMENT----------------------------------------------
Il fait chaud très chaud même, le bulletin météo du jour a annoncé que le mercure devrait grimper jusqu'à 29°, j'ai déjà pu constater ce matin en me levant que la température au dehors n'était pas désagréables.
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Cela peut vous surprendre de m'entendre dire sa,mais après être resté plus d'un mois enfermé dans le laboratoire j'ai resenti le besoin de m'aérer un peu.
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La douceur d'une brise matinale sur mon visage était une sensation agréable, j'avais presque oublié à quel point c'était bon.
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Yumi à raison je dois ménager mon corps, ce n'est pas en tombant malade que j' aiderai au mieux Aelita.
Sortir prendre l'air me fait beaucoup de bien ça me permet d'avoir les idées un peu plus claires, est cela se connaît déjà son travail.
Avec les composants que Yumi m'a fourni j'ai pu parachever le montage ma dernière carte électronique,le résultat des tests préliminaire sont concluants, je dispose maintenant d'un système de navigation qui fonctionne au poils,Reste maintenant à peaufiner le reste de l'armature.
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Grâce à cette avancée sur mon planning,je vais pouvoir me consacrer un peu plus à l'élaboration de mon deuxième projet phare.
Le projet T.
La mise au point de ce programme est vitale pour la suite des opérations,si le projet Magellan nous donnera enfin le moyen de partir à la recherche de Aelita sur le réseau, le programme sur lequel je travaille nous permettra de la libérer.
Si mes théories sont juste ce nouveau procédé nous permettra de vaincre toutes adversaires potentielles aussi puissants soit-il.
Faut-il espérer que ce dernier soit totalement sans danger.
Malheureusement les premières simulations me laissent penser le contraire, son élaboration fera donc l'objet de minutieuses recherches.
Le temps n'est pas mon allier et j'ai peur que les forces commencent à me manquer,en dépit de mes sorties quotidiennes je m'affaiblis de plus en plus, nerveusement parlant je suis tres tendu.
Mais comment faire pour ne pas l'être.
Ceux ou celles qui ont enlevé Aelita,doivent sûrement la maintenir prisonnière quelque part dans un laboratoire secret, et Dieu sait ce qu'ils sont en train de lui faire subir.
Je préfère ne pas y penser.
C'est pour ça que je m'accroche malgré mon mauvais état de santé, je reviens d'ailleurs à l'instant de ma petite balade quotidienne, je profite donc de cette petite pause pour continué la rédaction de mon journal.
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois quatrième partie.-----------------------------
Comme je l'ai évoqué précédemment l'arrivée William allait avoir une influence considérable dans notre lutte contre Xana, mais ce ne fut pas la seule chose qui allait être remis en cause.
Aelita était désormais sur terre et mise à part le fait que je sois a la recherche d'un anti-virus nous pensions que notre combat contre Xana ne serais pas très différent de celui que nous avions déja mener pendant 1ans est demi cela allait nous demander encore quelques petits sacrifice mais au bout du compte ce serait le retour à une vie normale.
Mais nous nous trompions !
La donne avait échangé sur bien des points de nouveaux mystère sur les origines de Xana et Aelita allait bientôt être porter a notre connaissance.
Tous pourrait se résumer par l'apparition d'un nouvel individu dont l'existence même semble être lié à celle du super-calculateur, un personnage pour le moins énigmatique que nous ne connaissions que de nom mais dont l'influence sur le monde de Lyoko paraissait énorme,cette personne se faisait appeler...
Franz Hopper
Au cours d'une nouvelle attaque de Xana, Yumi et Ulrich furent pris au piège dans une vieille maison, grâce a une vision de Aelita ils furent sauver a temps, par la suite nous découvrimes que la maison appelée l'ermitage était au noms d'un certain Franz Hopper.
Hors Franz Hopper était semble-t-il un ancien professeur de mathématiques au collège Kadic,celui-ci aurait mystérieusement disparu voilà 10 ans, il y avait trop de points communs pour ce soit le fruit du hasard.
Mais le mystère ne s'arrêtais pas la, les nuits de Aelita était peuplé de rêves étranges, de cauchemars mêmes selon ses dires, elle se voyait vivre dans des lieux qu'elle n'avait jamais vu auparavant, tous les souvenirs qu'elle avait été rattachée à l'ermitage,ce fut d'ailleurs grâce à l'un de ses rêves que nous fîmes la découverte de M. Puck.
M. Puck était le nom d'une poupée qui avait l' aspect d'un lutin, Aelita la trouvé cacher dans un mur dans ce qui pouvait s'apparenter à l'ancienne chambre d'une petite fille dans l'un des étages de l'ermitage.
Comment à Aelita pouvait elle savoir sa ?
Le mystère s' épaississait de plus en plus,à l'intérieur de M.Puck était caché la clé d'une consigne de gare,il ne nous fallut pas longtemps pour identifier a quel gare appartenait la clé, un après-midi ou nous n'avions pas cours nous nous rendîmes à la fameuse consigne, à l'intérieur de celle-ci nous trouvâmes une mallette qui contenait une multitude de disques laser estampé des initiales F.H
Encore Franz Hopper.
Le contenu de ces disques était crypté,et sans la clé du code impossible d'en déchiffrer le contenu,mais si les réponses à toutes nos questions se trouvaient dans ces fameux disques, il me fallait trouver un moyen de les débloquer tandis que les autres rentrèrent au collège je fis un détour par l'usine pour stocker une copie de ces informations dans une zone protégée du super calculateur,je gardais alors avec moi les originaux pour les étudier le soir dans ma chambre.
note annexe
- il apparaît aujourd'hui que la mallette était destinée à une personne qui visiblement n'est jamais venue la chercher.
fin
Mais une terrible menace encore plus grande planait sur nos têtes en particulier sur celle de Aelita, j'avais évoqué avec elle le faite que le super-calculateur avait gagnée en puissance ce gain de puissance ne servit pas que nos intérêt
La tarentule ne fut pas le seul monstre que Xana avait créé, ce dernier avait donné la vie à l'une des plus terribles créatures de son bestiaire.
La méduse.
Pour des raisons que nous ne connaîtrions que plus tard la méduse cherchait par tous les moyens a voler la mémoire de Aelita.
Comme je l'ai dit, là donne avait changé,désormais les attaques de Xana ne visais plus à nous détruire mais a obligé Aelita à revenir sur Lyoko pour lui voler sa mémoire.
Quel secret pouvait bien se trouver enfoui au fond de la mémoire d 'Aelita pour que Xana veuille tant s'en emparer.
Pour une raison que j'évoquerai la prochaine fois les pouvoirs de Xana avait augmenté ,il était désormais en mesure de contrôler les humains par un procédé que nous avons nommé Xanatification.
Il pouvait prendre le contrôle des êtres humains à l'aide de spectres qui s'infiltraient dans le corps de ses victimes, grâce à ce procédé il pouvait soumettre n'importe qui à sa volonté, les Xanatifiés comme on les appelaient, disposaient alors de facultés surhumaine
--- force herculéenne ,super saut,super vitesse,super intelligence, pouvoir de dédoublement,projection d'éclair et de boules d'énergie et tout un panel de faculté qui serait trop longs à énumérer ici.
Par chance Xana était incapable de posséder une personne qui était allée sur Lyoko, les personnes qui passaient dans le scanner n'était plus affectée par le retour dans le passé et encore moins par les spectres de Xana.
malheureusement nous découvrîmes cette solution un peu tard,je fus possédé par l'un de ces spectres et ce jour-là j'ai bien failli livrer Aelita a Xana,ce dernier me fit détruire les notes de Franz Hopper.
Mais cela ne m'a pas empêché de les décrypter par la suite,comme quoi j'ai été bien inspiré d'en faire une copie avant de les ramener avec moi.
Ce fut d'ailleurs pour me protéger de futurs incidents de ce genre que je fus obligé d'aller sur Lyoko pour m'immuniser contre la Xanatification.
Ce fut l'une des pires expériences de ma vie, faut dire que j'avais comme coach personnel Ulrich et Odd.
cette petite virées entre hommes sur Lyoko fut la première de ma vie mais sûrement pas la dernière.
en tout cas maintenant je sais ce que ressent mes amis quand ils vont sur Lyoko c'est une expérience unique,je m'en rappelle comme si c'était hier.
############################ FLASHBACK ############################
Attention Jeremie sur ta droite un méga-tank s'écria Odd.
la monstrueuse boule d'acier venait d'arriver sur le flanc droit de Jeremie alors que celui-ci était déjà en train d'essayer d'échapper à un kankrelat qui l'avait pris pour cible,sans perdre une seconde le méga-tank arma une charge d'énergie et s'apprêtait à renvoyer sur Terre le téméraire explorateur.
c'est pas vrai !!!! s'écria une voix.
Dans sa fuite de Jeremie trébucha et s'aplatit lourdement sur le sol désormais à la merci de son ennemi ,Jeremie paralysé par la peur resta figé sur place les yeux fermés en attendant la terrible salve du monstre.
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- super sprint
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- impact
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Ces deux expressions furent suivies d'une grande explosion,quand Jeremie Re-ouvrit les yeux il découvrit Ulrich à la place du méga-tank.
Pour la troisième fois consécutive Ulrich venait de sauver la mise à Jeremie de son côté Odd c'était chargé du kankrelat,les deux lyoko-guerriers allèrent voir si leur ami se portait bien.
décidément c'est pas mon truc dit alors Jeremie
Franchement Einstein tu me déçoit,pour un puissant magicien tu fais plutôt pâle figure.lui dit Odd sur un ton légèrement moqueur.
La petite allusion de Odd était très de circonstances, il est vrai que la tenue de Jeremie était pour le moins ridicule, son vêtement était une sorte de grande toge bleue surmontée d'une coiffe de la même couleur le tout décoré de quelques symboles mathématiques, et il avait pour arme une sorte de baguette magique pour le moins inutile,comme dans le monde réel son avatar sur Lyoko avait conservé ces lunettes,avec son petit air de Geek's Jeremie ne paraissait pas tellement menaçants pour les monstres de Xana,
dès que ces derniers l'avaient vu, ils l'avaient systématiquement pris comme bouc émissaire, il fallait croire que l'imaginaire de Jeremie s'apparentait plus à Merlin l'enchanteur de Walt Disney qu'à celle d'un grand guerrier d'héroïque fantaisie.
Jeremie : je vais pas me répéter 100 000 fois ,c'est pas mon truc les combat sur Lyoko.
Odd : tout ça pour quelques petits megatank.
Jeremie : il sont pas si petits que ça je te ferai remarquer, bon je pense que ça suffit pour aujourd'hui, on pourrait pas rentrer sur Terre maintenant.
Odd : quoi déjà !!! tu viens à peine d'arrivé que tu veux déjà repartir.
Ulrich : c'est vrai Jérémie tu as encore plein de choses à voir.
Il reste le territoire de la banquise du désert et celui de la montagne.lui énumèra Odd
Jeremie : Odd je suis pas venu ici pour faire du tourisme.
Odd : Ã plus forte raison comme c'est pas tous les jours que tu viens sur Lyoko autant en profiter.
Ulrich : c'est vrai c'est pour toi une expérience unique ça serait dommage de tout arrêter maintenant.
Jeremie : merci à Ça je le savais.
Jérémie n'était pas spécialement rompu à ce genre d'exercice il avait accepté de se faire visualiser par Aelita dans le seul but de s'immuniser contre les attaques spectrales de Xana, mais sa petite embarquée sur Lyoko n'était pas de tout repos, en tant qu'apprenti Lyoko-guerriers il lui fallait encore tout apprendre,et personnellement Jérémie ne se sentait pas près.
Jeremie : bon alors on rentre ?
Odd : Oh lala il est vraiment pressé de partir notre Einstein national.
Jeremie : c'est que j'ai encore beaucoup de travail et..
Ah ça c'est une excuse lui dit odd.
Jeremie : qu'est-ce que tu me chantes la.
Odd : moi je crois que quelques part tu as peur..
Jeremie : dont si je comprends bien que tu me traites de Froussard.
Odd : disons que je peux comprendre que tu es un peu les "chocotes"
Plus que l'envie de rentrer sur Terre, Jeremie voulait quitter cette environnement hostile,
mais Odd se trompait ce n'est pas la peur qui animait Jeremie ,c'était un tout autre sentiment
ce que Jeremie redoutait le plus c'était de ne pas avoir le contrôle de la situation.
quand il est devant son clavier Jeremie a les moyens d'agir tandis que sur Lyoko il se sent plus inutile qu'autre chose, le nombre de fois ou ces amis ont été obligés de le sauver en témoignent.
Odd : il faut que soit un peu plus courageux Einstein sinon c'est pas comme ça que tu plaira à Aelita.
Je vois pas le rapport lui dit jeremie.
Odd : est bien laisse-moi t'apprendre un petit secret qui, tu sait les femmes, ces petites choses fragile ont besoin de se sentir rassuré.
Ulrich : c'est le grand expert en femme qui parle se moqua alors Ulrich.
Oui et le grand expert que je suis,vous affirme que ce qu'il dit est vrai lui rétorqua Odd un peu échaudés par la réplique de son ami.
Ulrich : ne ne te vexe pas, je vais vous laisser continuer Monsieur "l'expert"
Odd repris sa discussions en expliquant à Jeremie les quelques petites subtilités qui faisait que certains hommes plaisent aux femmes et pas les autres, Odd pris le cas de Hervé Pichon en exemple,il fit bien comprendre à Jérémie que celui-ci n'avait rien de commun avec l'autre boutonneux.
Odd : Einstein tu la chance d'avoir une fille qui a le béguin pour toi.
Jeremie : je devrais me considérer comme quelqu'un de chanceux
Odd : et plutôt deux fois qu'une.
Aimé et être aimer en retour,savates quelque chose de merveilleux lui dit odd à cet instant.
il y avait quelque chose d'inhabituel dans le discours de Odd,cela ne lui rassemblait pas de jouer les entremetteurs,lui d'habitude si frivole en ce qui concerne le sexe opposé,ce même Odd était en train de donner des conseils de séduction au garçons le plus timide de la Terre,cet autre aspect de la personnalité de code ne manqua pas d'étonner son compagnon de chambre,qui sur le coup ne put résister à l'envie de bâcher un peu son ami.
Ulrich : est bien Odd je ne te connaissais pas coté mère poule.
Ulrich toutes les femmes ont besoin d'être rassurées et c'est pas Yumi qui dirait contraire lui répondit Odd au tac au tac
Pourquoi tu dis ça balbutia alors Ulrich.
Oh pour rien répondit Odd
Odd : en tout cas je reste persuadé que Aelita voudrait d'une demie portion qui serait incapable de la proteger.
Jeremie : je suis peut-être pas taillé comme un athlète,mais je suis parfaitement capable de la protéger.
Odd : peut-être mais je pense que tu devrais t'affirmer un petit peu
Jeremie : et à quoi tu penses
Odd : de temps en temps pense a monter au front aller sur Lyoko et combattre les monstres
Jeremie : est pourquoi je ferai une chose pareille ?
Odd : sa lui montrera au moins que tu est prêt à te battre pour elle.
Jeremie : désolé moi je préfère combattre à ma façon,derrière un clavier je suis plus efficace
Odd : peut-être mais ça ne fait pas de toi un vrai combattant.
Jeremie : et qu'est-ce que tu racontes !!! je suis un Lyoko-guerrier au même titre que vous tous.
Odd : je ne suis pas sûr que cette définition te correspond bien
Jeremie : que veux tu dire ?
Odd : est bien disons qu'elle ne convient mieux a un guerrier qui va et combat sur le Lyoko.
Jeremie : à ma façon aussi je combat Xana, pendant que vous êtes sur Lyoko à combattre les monstres, moi je reste au laboratoire à subir toutes les attaques sur terre.
Il est vrai que si Jerémie n'était pas directement exposé aux monstres, il arrivait souvent de faire les frais des attaques spéciales de l'ami Xana, et dans le fond qu'il ne soit pas sur le champ de bataille de Lyoko ne changeait rien,à sa façon à lui il combatait Xana de toutes ses forces.
Jeremie : La manière est différente mais le but reste le même détruire de Xana est sauvé Aelita.
-------------------------------- FIN DU FLASBACK -----------------------------------------
détruire Xana est sauvé Aelita...... (se dit alors Jeremie.)
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finalement l'un dans l'autre, cela a toujours été les deux buts que nous nous étions fixés depuis le début.
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Aujourd'hui Xana n'est plus, mais Aelita doit toujours être sauvée.
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et ce que je dois faire pour pouvoir y arriver c'est de tenir le coup encore et toujours., je sais que dans cette épreuve je peux compter sur le soutien de mes amis,eux aussi n'abandonneront pas la lutte,malgré la distance qui nous sépare je sais que leurs pensées sont tournées vers moi et Aelita.
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je ne dois pas les décevoir et pour cela il faut que je me hâte de terminer mes projets
---
je me remets immédiatement au travail.
----------------------------------FIN DE L'ENREGISTREMENT-------------------------------------
Bon Maeva il est 20 h 30 passée, je pense qu'il est temps pour toi temps d'aller te coucher dit le docteur.
Maeva : avant je vais aller me prendre une douche et me brosser les dents.
Dr : et après aux dodo, tu as besoin d'une bonne nuit de sommeil, ton emploi du temps de demain risque d'être chargé.
Maeva: qu'avez-vous prévu ?
Dr : est bien a partir de demain nous allons débuter ta nouvelle thérapie.
Maeva: vraiment docteur !qu'allons-nous faire ?
Dr : nous allons reprendre nos séances d'hypnose.
Maeva: cela n'a pas donné grand-chose pour le moment.
Dr : oui mais cette fois-ci le contexte est différents, nous ne sommes plus à l'hospital,le changement de cadre ne peut que t'être bénéfique.
Maeva: vous croyez Docteur
J'en suis même persuadé lui répondit le docteur.
Les multiples tentative de soins employée par le docteur pour guérir Maeva avait jusque-là échoué, seule l'hypnose pouvait permettre d'accéder au subconscient de Maeva,mais jusque là il n'avait essuyer que des échec,la faute en partie à sa patiente qui faisait un blocage au niveau de ces souvenirs,mais ce ne fut pas le seul facteur déterminant le docteur imputait une partie de ce blocage au fait que Maeva ne se plaisait pas à l'hospital.
maintenant que celle-ci était pensionnaire chez lui il se disait que l'hypnose aura plus de chances de marché.
Dr : aller Maeva va prendre ta douche.
Maeva: docteur est ce bien prudent de me laisser toute seul dans la salle de bains.
Dr : de quoi as tu peur ?
Maeva: si je venais à m'évanouir de nouveau
Dr : si ça peut te rassurer tu n'as pas besoin de fermer la porte à clef il n'y a personne d'autre dans cette maison en part toi et moi, il n'y a aucun risque que quelqu'un n'entre dans la salle de bains pendant tu y soit.
Maeva: vous êtes sur que je ne risque rien docteur.
Dr : absolument, et même si tu venais de nouveau à t'évanouir,il n'y aurait pas de problème, j'ai tous les équipements nécessaires pour te donner les premiers soins.
Oui d'ailleurs à ce sujet .... s'interrompit alors Maeva qui sembla un peu hésitante à continuer sa phrase.
je t'en prie fini sa phrase lui demanda le docteur.
Maeva : vos équipements ce n'est pas dangereux de les avoir à la maison alors que j'y suis.
Dr : ne t'inquiète pas je n'ai laissé aucun appareil hight tech branché dans cette maison.
Pour des raisons de sécurité le docteur avait débranché tous les appareils électronique de la maison... télévision, radio, ordinateur tout avait été soigneusement rangé dans le garage,afin d'éviter que Maeva n'entre en contact avec eux,à cause de ces dons particulier Maeva était un vrai danger ambulant pour la technologie,les différents des incidents qui ont émaillé son séjour à l'hospital en était la preuve, les derniers test que Maeva avait passer avant son départ n'avait fait que confirmer les doutes du docteur au sujet des "facultés" de sa petite protégée.
Pourtant ces incidents ne furent pas des cas isolés,lors de leur première rencontre un incident pour le moins anodin avait déjà attiré l'attention du docteur,à l'époque celui-ci n'y avait pas prêté grande attention et aujourd'hui il apparaissait clair que Maeva en était à l'origine.
Maeva elle-même était consciente qu'elle était très différente des autres enfants,
la première fois que ces dons se sont manifestés ils avaient bien failli coûter la vie à une personne très chère au coeur de Maeva.
être amnésique ne suffisait-il donc pas ? Fallait-il en plus qu'elle soit maudite.
La malédiction dont elle semblait atteinte la condamnait elle à faire souffrir tout ceux qui l'entoure.
A un moment de leur vie tous les enfants ont rêvé d'être des super héros et d'avoir des super pouvoirs pour s'amuser, mais aussi fort qu'ils pouvaient le souhaiter ,cela restait toujours du domaine de l'imaginaire.
Maeva elle, aurait souhaité que cela ne soit qu'un rêve,mais ces "dons" était bien réel, une malédiction que Maeva ne pouvait ignorer, tant ceux ci lui pourrissait la vie,Maeva donnerai sûrement tous ce qu'elle as au monde pour être une enfant normale comme tous les autres voila le seul voeux quelle pourrait souhaiter,si le bon génie de la lampe existait.
Son "anormalité" comme elle l'appelait la faisait souffrir,ces capacités furent bien les seules choses qu'elle ne consigna jamais dans son journal.
############################ FLASHBACK ############################
Le Journal de Maeva chapitre 03 accident
Cela faisait bientôt 12 heures que la situation était revenue à la normale dans le conté de Kingston valley,l'avis de tempête avait été officiellement levé,un peu partout les habitants de la ville commençait a sortir de chez eux.
Petit à petit la vie reprenait ces droits,la ville pensait ses blessures, de l'autre côté de la montagne l'incendie qui ravageait le comté de Brayton wood's avait finalement pu être maîtrisé au termes d'une lutte acharné des pompier et de la garde civil qui fut appelée en renfort.
Le pire fut éviter mais cette catastrophe avait été terrible , le désastre écologiques, matérielles et humains allait être très difficiles à chiffrer, à coup sûr les compagnies d'assurances allaient avoir beaucoup de travail ,en ce début d'année les primes d'assurance des particuliers risquaient d'en prendre un sacré coup.
Dans le bureau du shérif Peebody,le docteur avait fait beaucoup de progrès pour entrer en communication avec l'enfant,celle-ci avait fini par considérer le docteur Robinson comme un être amical qui lui voulait du bien,et ce n'était pas faux de le penser les égards du docteur envers sa patiente était sincère,cela dépassait même les normes qu'exigeait son cadre professionnel.
Mais pour aider la petite il fallait bien sa,le docteur avait tellement bien oeuvré que la présence simultanée dans la même pièce de Clarisse du shérif et de son adjoint n'effrayait plus l'enfant, la confiance était désormais acquise et la peur de l'inconnu surmontée.
Les bonnes nouvelles s'arrêtèrent la,un message à la radio annonçait que le médecin de la ville ne tarderait pas à rentrer,cela eut pour effet de ravir le shérif Peebody de savoir que le reste de ces hommes et le Dr Warner allaient revenir en ville, seulement il ne seraient de retour qu'à partir de demain, pour l'enfant cela était une mauvaise nouvelle.
shérif : c'est confirmer Docteur le médecin ne rentra pas avant demain.
Dr : c'est trop long, la fillette est déjà resté de plus de deux jour et demi sans être ausculté.
Le retour programmé du médecin de la ville compliquait sensiblement la situation, le docteur Robinson avait pourtant prévenu le shérif,qu'il fallait impérativement effectuer une radio de la tête sur la petite pour voir si elle n'avait pas subi un traumatisme crânien, en l'absence de diagnostic cela pourrait s'avérer dangereux pour l'enfant, voir mortel.
Il était inconcevable pour le docteur qu'une telle chose puisse arriver dans ce beau pays que sont les États-Unis , inconcevable qu'une jeune enfant puisse mourir par manque de soins adéquate.
Dr : shérif il n'y a pas moyen de précipiter le retour du docteur Warner.
shérif : écoutez Docteur je ne peux pas faire de miracles, vous savez aussi bien que moi qu'ils ont encore beaucoup à faire de l'autre côté.
Dr : je sais shérif veilliez m'excuser.
Sous le coup de l'émotion le docteur avait oublié qu'ailleurs d'autres personnes souffraient énormément et qu'avant tout la vie de ces personnes passaient en priorité,mais le shérif n'était pas un homme insensible,il voyait bien que le docteur s'inquiétait pour la petite comme toutes les personnes présente dans la pièce d'ailleurs.
je peux comprendre notre inquiétude Docteur mais pour l'instant on ne peut rien faire dit alors le shérif.
Dr : quelle poisse que votre médecin ne soit pas la avant demain.
Alors pourquoi on enverrait pas la petite à Brayton wood's suggérera alors l'adjoint
Dr : sa ne serait pas la meilleure chose à faire adjoint Johnson, quand je suis parti de l'hospital les services étaient tellement débordé qu'ils étaient obligé de mettre les malades dans le couloir.
shérif : c'est l'enfer à ce point la a Brayton wood's
Dr : vous n'avez pas idée shérif et ne parlons pas de tous les appareils de diagnostic qui sont mobilisés 24 heures sur 24.
shérif : dans ce contexte difficile de soigner la petite efficacement
Dr : à part Brayton Wood's, l'hôpital le mieux équipé et à 80 milles d'ici.
shérif : est pas question de prendre la route pour le moment à cause de tous les arbres qui sont tombés au sol.
Dr : nous pourrions peut-être appeler un l'hélicoptère.
shérif : la tempête ne fait que se déplacer docteurs pour le moment tous les vols sont suspendus au-dessus de l'État.
il fallait croire que dame nature se liguait contre eux, il n'était pourtant pas en temps de guerre mais quelque part les événements s'y prêtait entre les incendies les explosions les morts et blessés cette situation avait un arrière-goût de 11 septembre.
shérif : il faut se faire une raison pour le moment nous sommes coincée ici
Dr : si au moins on pouvait lui faire une radio du crâne,cela suffirait a me rassurer.
il y a peut-être une solution dit alors Clarisse
laquelle demanda alors le Docteur.
Clarisse : dans le cabinet du docteur Warner il y a un vieil appareil à rayons X pour prendre des photos.
Dr : mais c'est magnifique pourquoi m'en avez-vous pas parlé tout de suite.
Clarisse : sur le coup j'avais oublié
Avec tous les événements qui s'étaient succédées Clarisse avait oublié qu'au temps où elle était infirmière elle avait souvent à assister le Dr Warner, Tous les Bûcheron venaient se faire soigner chez lui suite à un accident,le médecin de la ville disposait donc d'appareils a rayons X pour déceler d'éventuelles fractures, dans le cas présent la présence d'un tel appareil en ville était une aubaine pour le Dr Robinson.
Dr : parfait mêmes une rudimentaire photo faite aux rayons X me permettrait déjà de détecter d'éventuelles fractures ou lésion post-craniene.
Clarisse : si vous voulez docteur je pourrais vous assister,que je connais assez bien le matériel médical qu'utilise ce bon vieux harold.
Dr : parfait pouvons-nous nous y rendre tout de suite.
Clarisse : le problème c'est que le docteur a fermé son cabinet avant de partir.
shérif : ça ne sera pas un problème ma chérie, dans le cas d'urgence que je conserve un double des clés et de son cabinet.
Dr : alors ne perdons pas une minute allons-y tout de suite
shérif : mon adjoint va vous accompagner ,on sait jamais
Dr : merci à vous pour votre aide shérif.
shérif : je ne fais que mon devoir "servir et protéger" et cet enfant a vraiment besoin qu'on l'aide.
Dr : je n'en doute pas une seconde shérif.
Aussitôt dit aussitôt fait le docteur Clarisse et l'adjoint emmenèrent avec eux la petite fille celle-ci fut très hésitante a quitter la prison, elle ne voulait pas sortir à l'extérieur car la lumière du jour lui faisait peur, en bonne une mère poule qui protège ces petits, Clarisse se montra très rassurante avec l'enfant, elle lui dit qu'elle lui tiendrait la main tous le long du chemin et que jamais elle ne la lâcherait.
Mis en confiance par les paroles de Clarisse la petite serra très fort la main de cette dernière qui l'emmena en dehors, la petite suivait cette femme qu'elle considérait comme une sorte de mère adoptive, il faut dire qu'en seulement 2 jours un lien très fort c'était semble-t-il tisser entre ces deux personnes.
Les trois adultes et la petite fille se déplacèrent au sein même de la ville qui avait beaucoup souffert de la tempête, certains arbres étaient tombés et le sol était recouvert de fragments de tuiles que le vent avait arrachées des toits.
Cette tempête avait donné à Kingston valley un faux airs d'apocalypse,ce fut donc avec beaucoup de prudence qu'ils avancèrent dans la rue, en bout de 10 minutes ils finirent par arriver devant la maison du médecin.
a l'aide des clés Clarisse et déverrouilla là porte d'entrée du cabinet pour que tout le monde puisse entrer à l'intérieur
La décoration du cabinet était des plus simple,elle ne différait pas tellement de toute les maisons de médecin de campagne,un diplôme accroché sur le mur une petite bibliothèque avec quelques ouvrages de médecine un vieux bureau en chêne une table de soins et tout autour les appareils de diagnostic.
se fait à ce qui attira en premier l'attention du docteur, même si les appareils n'étaient pas à la pointe de la technologies ils étaient quand même assez perfectionnés pour effectuer des tests préliminaires.
Avec le concours de Clarisse le docteur fit asseoir la petite-fille sur la table,
le temps d'assister correctement le Docteur Clarisse lâcha la main de la petite fille et lui demanda de ne pas bouger le temps que le docteur prenne la photo
La petite fille ne quitta pas clarisse du regard pendant que celle-ci mettait en place tous les appareils destinés à l'ausculter.
de son côté le docteur prit un stéthoscope pour vérifier les battements du coeur ainsi que la respiration de la petite,de ce côté là il n'y avait rien d'anormal
même si cela n'était pas son domaine de prédilection il effectua sa tâche le plus consciencieusement du monde en prenant soin de n'oublier aucun détails
tension - réflexe - pouls -rythme cardiaque - test auditive et acuité visuelle.
il fallait maintenant passer à l'état de la radiographie,Clarisse signifiait au docteur que tout était prêt
Mais au moment ou le docteur amena le télé- objectif la fillette eu comme un mouvement de recul à la vue de ce gros appareil.
Pourquoi cette machine lui inspirait-elle donc autant de crainte ? le docteur rassura la fillette en lui disant que cela ne faisait pas mal,
Certes il n'avait pas une formation de base en matière de radiographie mais avec Clarisse comme assistante il n'eut pas trop de problèmes à faire fonctionner le terrible appareil
en l'espace d'une seconde une première radio fut prise.
Le docteur fit alors mettre la petite-fille de côté pour faire la deuxième photo du crâne la petite fille
Une vue de face et une vue de côté lui serait suffisant pour établir son diagnostic, le temps que les photos se développent il pria Clarisse d'emmener la petite fille dans la salle d'attente ont quelques jouets et livres pour enfants pourraient peut-être l'occuper.
Pendant que les photos étaient en cours de traitement le docteur resta dans la salle de diagnostiques en compagnie de l'adjoint qui avait d'ailleurs quelques questions à poser au docteur sur le pourquoi du comment.
Adjoint : à quoi cela va-t-il me servir tout ça docteur ?
Dr : voyez vous adjoint Johnson avec ces clichés nous allons voir si la petite n'a subi aucun traumatisme cortical profond.
Adjoint : ça veut dire ce charabia docteur ?
Dr : est bien si le traumatisme est profond cela pour être dangereux pour sa santé
Elle pourrait en mourir lui demanda l'adjoint
Dr : c'est une possibilité qu'on ne peut pas écarter.
Bon sang !!! qu'est-ce qu'on attend pour l'envoyer dans un hôpital.s'écria alors l'adjoint.
le docteur essaya de calmer les craintes du shérif adjoint en lui rappelant que le traumatisme crânien n'était qu'une supposition, et que la radiographie lui permettrait de détecter une anomalie est que si cela se produit ils prendraient les mesures adéquates bien que cela sembla plutôt difficile dans le contexte actuel.
Dr : de toutes façons dans l'immédiat nous sommes coincées, l'hospital le plus proche et celui de Brayton wood's et pour le moment ils sont plutôt occupés et l'hospital le mieux équipé et à 80 milles d'ici
Adjoint : c'est quand même bête d'avoir à courir à 80 milles, alors que nous avons un hôpital si près de chez nous.
Dr : oui mais la catastrophe a mobilisé toutes leurs ressources.
Adjoint : et bien sûr il fallait qu'ils fassent tous sauter maintenant ces malades.
le docteur remarqua qu'il y avait une intonation très particulière dans les propos de l'adjoint,un peu comme si ce qui c'était passé à Brayton wood's n'avait rien de surprenant pour lui.
Dr : que voulez-vous dire par " qu'ils fassent tout sauter maintenant ces malades"
Adjoint : je veux dire par là que depuis le temps que ça nous pendait au nez et bien sa y est c'est fait.
Dr : vous dites ça comme si cette catastrophe avait été prévisible.
Adjoint : ont étaient sûr que ça allait arriver un jour a cause de tous ces Docteur Folamour qui travaillent dans le coin.
Dr : mais de quoi parlez vous officier Johnson ?
Adjoint : je vous parlent de tous ces dingues qui travaillent dans les laboratoire de la société Génitech.
Dr : des laboratoires, mais je croyais que c'était juste une usine de produit chimique.
Adjoint : en fait c'est pas vraiment une usine c'est plutôt un centre de recherche.
la catastrophe qui avait ravagé le comté de Brayton-Woods avait pour origine une explosion dans les laboratoires de recherche de la société Génitech
les incendies qui s'étaient déclarés à la suite d'une mysterieuse déflagration avaient fait sauter le reste des réservoirs de stockage de produits chimiques, le souffle de l'explosion avait projeté des trombes de feu sur un rayon de 300 mètres
la forêt avoisinante fut touchée par ce déluge de feu et de fil en aiguille l'incendie c'était propagé à tout le comté.
Mais les dires de l'officier Johnson laissait à penser que cette catastrophe industrielle devait arriver,cela ne manqua pas d'étonner le docteur de voir que l'adjoint faisait preuve d'un tel fatalisme.
Dr : officier Johnson je vous trouve un peu pessimiste.
Adjoint : docteur on voit bien que vous n'êtes pas du secteur sinon vous seriez que l'ouverture de ce centre n'a pas été sans faire des vagues.
Dr : pourtant pour l'activité économique de la région l'ouverture d'une usine est toujours une bonne chose
Adjoint : à part que l'ouverture celle-ci ne s'est pas passée s'en heurte
Dr : que s'est-il passé ?
Adjoint : peu de temps avant son inauguration moi, le shérif et quelques hommes avons été appelés en renfort pour calmer une émeute.
Dr : une émeute ?
Adjoint : oui des groupes religieux avaient voulu empêcher l'ouverture de ce centre de recherche.
Dr : en quoi l'ouverture d'un laboratoire pharmaceutique peut-il déranger les fanatiques religieux.
En tant que psychanalyste le docteur est souvent confronté à des cas de croyants qui se laissait emporter par leur dévotions, cela lui avait donner une mauvaise opinion de la religion,à cause de l'extrémisme destructeur de certains de ses pratiquants
Dr : et pourquoi ont ils voulu empêcher son ouverture
Adjoint : s'est pas tant l'usine qui était en cause mais plutôt son directeur.
Dr : son directeur !!!
Adjoint : Docteur avez-vous déjà entendu parler du professeur Terrence Miller
Dr : ce nom-là ne m'est pas inconnu, qui est ce déjà ?
Adjoint : c'est un docteur qui a beaucoup fait parler de lui à cause de ces expériences sur.....
Mais l'officier n'eut pas le temps de terminer sa phrase, une explosion se fit entendre dans la pièce d'a coté aussitôt les deux hommes se précipitèrent pour voir ce qui cétait passé,en arrivant il virent Clarisse allongé sur le sol, la petite fille quand a elle c'était recroquevillée dans un coin de la pièce.
Le climatiseur accroché au mur venait de prendre feu, le docteur s'approcha du corp de Clarisse pour voir si elle n'était pas blesser de son côté l'adjoint se saisit d'un extincteur pour éteindre ce début d'incendie.
Grâce à une intervention rapide des deux hommes il y eut finalement peu de dégâts, le docteur pris le pouls de Clarisse ,il constata que celle ci était juste sonné mais nullement blesser.
Après s'etre assuré que le feu était bien éteins les deux hommes aidèrent Clarisse à se relever,
l'adjoint amena la femme du shérif dans le cabinet tandis que le docteur s'occupa de la petite fille.
Quand le docteur s'approcha de la petite fille, celle ci était prostrée et n'osait plus bouger
il semblerai que la vision de l'incendie l'avait effrayer, le docteur la pris dans ces bras elle lui chuchota des mots doux pour la rassurer, il lui dit que c'était finis qu'il n'y avait plus rien à craindre la petite fille ce cramponna au vêtement du docteur pour calmer sa peur.
Après un cours instant le docteur aida a son tour la fillette a se relever et lui demanda de venir avec lui pour voir comment allait Clarisse.
Dans la pièce d'à côté Clarisse avait commencé à recouvrer ses esprits,l'adjoint lui donna un petit remontant qu'il avait trouvé dans la bibliothèque du medecin.
Clarisse que c'est-il passé demanda le docteur
Je n'en sais trop rien lui répondit Clarisse
Adjoint : vous pouvez nous dire pourquoi le climatiseur a pris feu
Dr : prenez votre temps Clarisse racontez-nous sa calmement.
Clarisse : et bien voilà je me trouvais que dans la pièce avec la petite.....
Dr : et ensuite
Clarisse : je trouvais qu'il faisait un peu moite dans la pièce à cause de l'humidité,je me suis dit que sa ne serait pas bon pour la petite....
Dr : continuer...
Clarisse : à l'aide de la télécommande j'ai mis en marche le mode deshumidificateurs du climatiseur.....
....et c'est là qu'il a pris feu dit l'adjoint
Clarisse : pas du tout Johnson l'appareil s'est mis en marche sans problème.
Dr : que s'est-il passé alors ?
Clarisse : je ne suis pas trop sur....
Dr : essayer de vous souvenir.
A ce moment Clarisse jeta un petit coup d'oeil en direction de la fille,cette derniere ne quittait pas des yeux Clarisse,le docteur remarqua bien que quelque chose tracassait Clarisse il lui demanda de continuer son récit.
Clarisse : .....la petite avait l'air très intrigué par le boîtier que je tenait en main alors je lui est montré comment fonctionnaient les touches + et -
Dr : et après
Clarisse : elle s'est amusé avec les touches de la télécommande et la sans raison apparente le climatiseur s'est emballé.
Dr : comment ça emballé ?
Clarisse : il s'est mis à fonctionner très fort et très rapidement ne parvenant pas à l'arrêté avec la télécommande j'ai donc voulu le stopper manuellement et c'est là que ...
Clarisse marqua un temps de pause dans ses explications.
Clarisse : ..... c'est la que le panneau de contrôle a carrément explosé
Adjoint : exploser !!!!
après avoir éteint le feu avec l'extincteur l'adjoint avait en effet remarqué que c'était la partie commande du climatiseur qui avait brûlé.
Adjoint : vous pensez que c'est un court-circuit due à vétusté du matériel
Clarisse : ça m'étonnerait ce climatiseur a été installé il y a deux ans
Adjoint : c'est quand même un comble on ne met jamais assez les gens en garde contre les dangers de la technologie.
Clarisse : que racontez-vous la johnson, il n'y a aucun danger particulier à utiliser un climatiseur.
Adjoint : ce que je veux dire par là c'est que c'est la petite qui a déréglé l'appareil en manipulant les touches,c'est quand même pas croyable on laisse les enfants s'amuser avec des objets dangereux est après ont s'étonne qu'il y est des accidents.
Clarisse : ne dit pas de bêtises Johnson, il n'y avait que trois touches sur sa télécommande,qu'est-ce que vous voulez que la petite dérègles avec seulement sa.
Adjoint : je crois que par mesure de précaution il serait préférable de couper le courant quand on sortira de la maison.
clarisse : je suis d'accord avec vous Johnson ça serait plus prudent
Adjoint : le docteur Warner aura plutôt intérêt à faire contrôler son installation électrique quand il reviendra.
Par mesure de sécurité tout monde resta dans la même pièce, le Dr avait fini par obtenir les clichés, par bonheur aucune trace de liaison de fracture ne fut décelé sur le crâne de la petite
cela apaisa leurs craintes, après avoir débranché le disjoncteur principal ils retournèrent tous au bureau du shérif pour faire un point de la situation concernant l'avenir de la petite.
Société Quantum Conductivity -Angleterre - 12 septembre 2004 - 14 h 36
La voiture s'immobilisa devant la grille de l'usine,à côté de l'entré principal trois gardes étaient posté à ce moment-là l'un deux s'approcha du véhicule pour s'adresse à son conducteur
Bonjour puis-je vous aider leurs demanda le gardien.
Janet : en effet vous le pouvez, nous sommes les agents d'assurance de la société R.I.B ,nous avons rendez-vous avec Mr Stenton.
Le gardien pris les papiers d identité que lui tendit "Janet" ce dernier s'en retourna dans sa cabine pour téléphoner à sa direction tendit que les deux autres gardiens restèrent à proximité de la voiture pour garder un oeil sur ces occupants,dans l'habitacle les deux "agents d'assurance" virent bien que la tension était palpable.
Ils m'ont l'air un peu nerveux fit remarquer Robert.
Janet : c'est compréhensible depuis l'incendie ils doivent être un peu sur les nerfs.
Robert : je trouve leurs dispositifs de sécurité un peu exagérée quand même.
Janet : cette entreprise cherche juste a se protéger.
Robert : c'est ce que je vois, ont ne badine pas avec la sécurité chez eux.
L'entreprise ressemblait à une véritable forteresse les habituels clôture que l'on pouvait trouver était remplacés par des murs d'une hauteur de trois mètres surmontés de fils barbelés tendu, l'entrée principale était fermée par une lourde grille en acier pourvu d'un mécanisme d'ouverture latérale.
Les gardiens eux-mêmes n'étaient pas en reste,leur allure tranchait nette avec celle des policiers que l'on pouvait généralement apercevoir dans les rues de Londres, Arme de poing semi automatique, bombe de gaz incapacitant et même Tazzer faisait partie de leur attirail de sécurité.
Le colonel était assez surpris d'un tel déploiement pour la sécurité, même en France les casernes militaires n'était pas aussi a cheval sur la sécurité que cette entreprise anglaise, les seuls murs d'enceinte de ce style que l'on pouvait trouver sur les casernes françaises dataient tous de la seconde guerre mondiale,mais là il ne s'agissait pas d'une caserne mais d'une entreprise privée, à croire que les dirigeants de l'entreprise avaient quelques petits secrets qu'ils voulaient bien garder au chaud.
Quand l'identité des deux occupants de la voiture fut confirmer le gardien revint leur rendre leurs papiers d'identité.
Gardien : tout est en règle vous pouvez entrer.
merci bien lire simultanément les deux agents.
Gardien : M. Stenton vous attend à l'entrée du bâtiment A
Janet : ou devons nous aller ?
Gardien : vous continuer tout droit sur 500 mètres le parking se trouve sur la première route a gauche.
Janet : et bien merci.
Après avoir salué comme il se doit les deux personnes le gardien fit signe à son collègue qu'il pouvait ouvrir la grille,le véhicule se remit en marche et les deux agents purent entrer alors dans l'enceinte même de la société Quantum Conductivity, en jetant un coup d'oeil sur la gauche Le colonel vit que la façade de l'un des bâtiments été complètement carbonisé,il fit remarquer cet élément au major.
C Perec : selon toute vraisemblance Major je pense que c'est dans ce bâtiment qu'a eu lieu l'incendie.
M Cartwright : il y a de fortes chances pour que ce soit le cas mon colonel.
le major ralentis la cadence du véhicule pour prendre le temps d'observer les extérieurs du bâtiment, celui-ci etait complètement éventré sur le haut, il fallait croire qu'il y avait eu ici une sacrée explosion, aucun des deux agent n'avaient la moindre idée de ce qu'il allait découvrir une fois a l'intérieur.
La voiture se gara sur le parking visiteurs mais à peine eut ils le temps de sortir qu'ils furent immédiatement interpellés par un homme venu les accueillir.
Bonjour Messieurs dames soyez les bienvenus, je me présente Maxwell Stenton leur dit l'homme.
Vous êtes le directeur de l'entreprise demanda "Janet"
Mr Stenton : en effet je suis le directeur général de la sociéte Quantum Conductivity.
Janet : est bien vous n'avez pas perdu notre temps M. Stenton pour venir nous accueillir
Mr Stenton : des que le gardien m'a annoncé que les deux agents du R.I.B étaient arrivés je me suis précipité à votre rencontre.
Janet : et bien je me présente je m'appelle Janet Parker et voici mon partenaire Robert Powell, je vous prie de bien vouloir l'excuser si il ne parle pas bien anglais,il est d'origines françaises et il a encore du mal à maîtriser notre langue.
Robert : je sais que j'ai un accent mais je parle très bien l'anglais.
A la surprise générale le colonel s'adressa à Mr Stenton dans un anglais des plus parfaitement, il n'avait pas jugé utile de montrer ses capacités dans la mesure où seul le Major s'était exprimé jusque-là ,
Et bien Robert vous m'aviez caché vos talents lui dit-elle à cet instant.
J'aime bien surprendre mon entourage lui répondit Robert.
Et pour une surprise c'en fut une de taille pour le major qui ne s'attendait pas à ce que son coéquipier maîtrise aussi bien la langue de Shakespeare.
Robert : je parle couramment l'anglais depuis l'âge de 12 ans.
Janet : c'est ce que je constate mais peut-être pourrions-nous nous concentrer sur notre travail
Robert : j'allais vous le proposer très chere
les deux agents arrêtèrent là leurs échanges linguistiques pour en revenir aux principales raisons qui les avaient amenés ici.
Vous êtes venus pour constater les dégâts je suppose demanda Mr Stenton
Janet : c'est le but de notre visite, nous sommes mandaté par la société R.I.B pour expertiser les dégâts.
Mr Stenton : dans ce cas-là veuillez me suivre
Escorté par le directeur les "deux agents d'assurance" passèrent le hall d'entrée avant de s'engager dans les couloir de l'usine,l'intérieur de celle-ci tranchait net avec son extérieur
les locaux étaient assez colorés et plein de vie, le bruit très significatif des machines sur lesquels de nombreux techniciens s'affairaient ronronner à plat régime de façon très harmonieuse, chose rare dans une usine de nos jours
Accompagné du directeur,Janet et Robert traversèrent l'imposant complexe sans perdre une miette de l'imposant spectacles qui leur étaient offerts, Mr Stenton en profita pour leur faire un petit exposé sur sa société...
Mr Stenton : comme vous voyez nous sommes le leadership en matière de production de supra-conducteurs, notre entreprise peut se targuer d'avoir des clients très illustre fort,nous travaillons pour le compte de centrales nucléaires,de laboratoires de recherche fondamentale mais notre principal atout s'est......
C'est très intéressant Mr Stenton mais nous ne sommes pas là pour faire une visite guidée de votre entreprise mais pour constater les dégâts lui répliqua presque aussi sec Janet.
Mr Stenton : oui bien sûr je comprends parfaitement
Dans son fonds intérieur le colonel pensa que le major était aussi cassant avec le directeur de l'usine qu'elle ne l'avait été avec lui dans la voiture lors du trajet,
décidément cette femme était elle toujours aussi stricte et directe dans la vie de tous les jours qu'elle ne l'ai dans son travail ?
Le colonel se laissa même imaginer que lorsque le major avait des permissions celle-ci devait sûrement plus s'éclater à rester chez elle à lire des revues scientifiques qu'à sortir en boîte de nuit, cette pensée l'amusa quelque peu, mais il essaya de garder son sérieux pour ce concentré sur le but de leur mission.
Au bout de cinq minutes il finir par arriver devant une porte où se tenait également un gardien à l'aspect peu sympathique
Mr Stenton : voici le seul couloir d'accès au laboratoire d'analyse de conductivité
Robert : c'est le laboratoire qui a été endommagé.
Mr Stenton : tout à fait M. Powell au bout ce couloir vous pourrait trouver tout ce qui reste de notre infortuné laboratoire.
Janet : est bien qu'attendons-nous pour y aller.
Mr Stenton : toutefois avant d'entrer dans cette zone nous allons passer par le secteur de transit afin d'enfiler quelques combinaisons de protection chimiques
Janet : devons nous comprendre qu'il y a un risque particulier de contamination
Mr Stenton : en aucun cas je vous assure mais comprenez que depuis l'accident nous sommes obligées de prendre énormément de précautions
Robert : cela va de soi
chacun leur tour ils rentrèrent dans le secteur de transit où des combinaisons de protection avaient été spécialement préparées à leur attention,des techniciens étaient là pour les habiller et s'assurer que tout le monde fut bien protégé , dans le cas présent le port d'un casque à visière pouvait paraître un peu superflu, mais il était livré d'office avec la combinaison.
De toute évidence le directeur voulait être au petit soin avec ses agents d'assurance ,après 10 minutes de préparation ils furent prêts à pénétrer dans la zone sinistrée,équipés de quelques appareils de mesure qu'elle avait haut préalablement préparée Janet et Robert commencèrent a avancé dans le couloir en compagnie du directeur.pendant qu'ils arpentaient le couloir Janet sortie un petit magnétophone,et commença à donner certaines consignes au directeur.
Janet : Mr Stenton pour les besoins de notre rapport nous allons enregistrer votre conversation, veuillez dont répondre sans détour à toutes les questions qui vous seront posées.
le directeur fut plutôt étonné de ce genre de procédé mais le sérieux de l'établissement où il avait contracté son assurance n'étant pas approuvé et étant un honnête homme qui n'avait rien à cacher, il se prêtà donc au jeu de l'interview.
Mr Stenton : soit
Janet : nous pouvons donc commencer, Mr Stenton veuillez donc nous donner des informations sur la zone qui a été détruite.
Mr Stenton : que voulez-vous savoir ?
Janet : pour commencer quel genre d'expérience pratiquiez vous dans cette zone.
Mr Stenton : il s'agissait de notre zone de test à l'intérieur duquel nous contrôlons la conductivité des matériaux produits.
Janet : pouvez-vous préciser.
Mr Stenton : dans l'élaboration de nos matériaux supra-conducteurs nous procédons à dés test d'échantillons pour vérifier leur bonne conductivité, aucune production de masse n'est lancée si l'échantillon analysé ne répond pas aux critères de qualité demandée.
Janet : et quand les tests s'avère concluant que se passe-t-il
Mr Stenton : nous lançons la production.
Janet : et pour effectuer ces tests quel genre de matériel utilisé vous ?
Mr Stenton : principalement des appareils de mesure.
Janet : et dans votre zone de test manipulez-vous des produits chimiques extrêmement dangereux est susceptible d'exploser
Mr Stenton : en aucun cas, les tests sont tous de nature électrique, nous soumettons les matériaux à de fortes décharges afin d'en mesurer la résistance.
Janet : se pourrait-il que l'incendie soit dû à un court-circuit.
Mr Stenton : c'est ce que nous supposons du moins.
Janet : vous supposez ?!!! devons nous comprendre que vous avez un doute.
Mr Stenton : c'est le cas car l'explosion s'est produite dans notre laboratoire de simulation informatique.
Janet : votre laboratoire de simulation informatique ?
Mr Stenton : oui en fait notre zone de test est composée de trois laboratoires bien distinctes, et dans le cas présent c'est le laboratoire de simulation informatique qui a été détruit.
à quoi sont destinés aux simulations informatiques demanda Robert
Mr Stenton : est bien avant de soumettre une série d'échantillons aux décharges électriques nous effectueront une simulation de leurs probable réactions sur ordinateur
Janet : en fait vous effectuez des extrapolations sur la réaction des matériaux
Mr Stenton : c'est tout à fait sa,à l'aide de ces simulations nous obtenons des graphiques que l'on compare par la suite avec ceux obtenus lors du test des matériaux.
Robert : et tout ça grâce à l'outil informatique.
Mr Stenton : est jusqu'à présent tous les simulations effectuées à ce jour sont fiables
Janet : à ma connaissance pour établir de tels calculs il faut disposer d'une machine extrêmement puissante
Mr Stenton : c'est pour ça qu'il y a deux ans nous avons fait l'acquisition d'un super-calculateur.
Robert : un supercalculateur vous dites
Mr Stenton : est d'ailleurs c'est lui qui est à l'origine de l'incendie.
Un super-calculateur la cible favorite de l'organisation Xana,pour le moment tous les éléments collaient entre eux, il était maintenant crucial pour les deux agents d'obtenir un maximum d'informations sur cette machine.
Janet : parlez nous un peu plus de ce super-calculateur a explosé
Mr Stenton : que voulez-vous savoir son sujet
Janet : votre super calculateur était il un ordinateur quantique.
Mr Stenton : pas vraiment c'était plutôt un prototype destiné à faire des simulation.
Robert : servait-il seulement à faire des simulations
Mr Stenton : c'était sa seule fonction mais s'il n'y avait pas eu cet accident nous étions en passe de le faire évoluer
Janet : de quelle manière
Mr Stenton : la société Global Computer basée à la Silicon Valley nous est proposée à de faire l'acquisition d'un nouveaux modèles de cartes à puce.
Janet : et pour info qu'est ce que cela aurait changée
Mr Stenton : d'après le représentant cela nous aurait permis de multiplier la puissance de notre super-calculateur par 10.
Janet : par 10 vous dites !!!
Mr Stenton : par 10 c'est assez extraordinaire
Janet : cela me paraît même impossible
Mr Stenton : je vous cache pas que j'avais un peu de mal à y croire moi aussi, mais leur réputation dans le domaine n'est pas à faire, cette société a déjà équipé une bonne cinquantaine de super-calculateurs à travers le monde et même le nouvel ordinateur de bord de la future station spatiale internationale.
Janet : la station Copernic
Mr Stenton : celle-là même.
Janet : c'est assez passionnant mais ne nous éloignons du sujet, revenons-en dont à l'essentiel.
Robert : si nous vous suivons bien Mr Stenton c'est donc la destruction du super calculateur qui a provoqué cet incendie
Mr Stenton : c'est cela même
Janet : avez-vous pu déterminer ce qu'était à l'origine du dysfonctionnement
Mr Stenton : certains des techniciens qui opéraient sur cette machine à ce moment-là on parler d'une brusque montée d'énergie.
Robert : une montée d'énergie.
Janet : comment pouvez vous savoir qu'il s'agissait d'une montée de l'énergie
Mr Stenton : le super-calculateur n'éffectuait pas que des simulations mais également des mesures et juste un peu avant l'accident l'un des appareils a enregistré une brusque montée de l'énergie.
Robert : de quel ordre
Mr Stenton : au dire du technicien qui opérait à ce moment-là sur l'appareil la puissance serait passée de 5000 W 500 000 W en l'espace de 10 seconde.
Janet : vous dites 500 000 W !!!!,ce n'est pas possible il doit y avoir une erreur
Mr Stenton : je l'ai cru au début mais les techniciens sont catégoriques,pour une raison inconnue notre super-calculateur s'est soudainement vu insuffler une puissance de 500 000 W
Robert : il n'est rien d'étonnant qu'avec une telle puissance cela est fait une si belle explosion
Janet : toutefois cela me parait étrange, vos techniciens n'ont-ils pas commis une erreur de lecture.
Mr Stenton : nous avons une sauvegarde informatique des valeurs qui ont été enregistrées à ce moment-là ,il n'y a pas d'erreur.
Janet : ces données ont put-être pu être falsifiées .
Robert : vous pensez à un acte criminel ?
Janet : je pense à un acte de sabotage plutot qu'à une erreur de manipulation.
Mr Stenton : là non plus je ne peux pas y croire je réponds personnellement de l'intégrité de tous les techniciens qui travaillent sur ce super-calculateur à ce moment-lÃ
Janet : pourtant cet incident n'est pas le fruit du hasard quelque chose à dire provoquer cette surcharge
Mr Stenton : c'est évidement mais la cause est inconnu pour l'instant
Robert : dans ce cas-là nous allons procéder à l'évaluation des dégâts
Janet : c'est ce que nous avons de mieux à faire pour le moment que de nous perdre en supposition
Mr Stenton : je vous en prie passer devant
Protégés par leur combinaison les deux agents d'assurance passèrent devant le directeur pour se rendre aux laboratoire,quand ils rentrèrent dans la pièce il ne restait pas grand-chose à expertiser tout avait été carbonisé et l'intervention des pompiers n'avait pas arrangé l'affaire, s'il y avait des indices il serait très difficile de les trouver, ils arrivèrent devant ce qui semblait être la carcasse du super-calculateur donc le corp éventrée qui laissait entrevoir que l'explosion était partie de la
Mr Stenton : voilà tout ce qui reste de notre défunt super-calculateur
Janet : a en juger par la nature des dégâts l'explosion a dû être terrible
Mr Stenton : on aurait pu dire que c'était l'enfer sur terre,les flammes montaient jusqu'au ciel
Robert : une chance finalement que tous ne se soient pas propagés au reste du bâtiment.
Mr Stenton : je crois que nous pourrons nous vanter d'avoir eu la chance ce jour-lÃ
mais le temps n'était aux discussions, Janet demanda au directeur de se retirer
Janet : Mr Stenton , si vous voulez bien nous excusez, nous aimerions procéder à notre expertise.
Mr Stenton : je comprends si jamais vous avez des questions n'hésitez pas à me faire appeler et je me tiens a votre entière disposition
Janet : très aimable a vous Mr Stenton.
le directeur se retira si simplement qu'il était venu, laissant sur place les deux agents d'assurance
Le colonel et le major eurent forte à faire, le colonel prenait des photographies tandis que le major récoltaient tous les documents qu'elle pouvait trouver,ils passèrent tout le reste de l'après-midi à collecter des informations,par la suite une autre équipe de techniciens spécialistes seraient envoyés derrière eux pour procéder à des prélèvements d'échantillon,en attendant le colonel évoluait au milieu des carcasses calcinées de coûteux appareils scientifiques il souleva une plaque qui recouvrait une partie de l'unité centrale qui sous l'effet de la chaleur et du souffle avait été complètement tordue. mais la combinaison qu'il portait l'entravait dans ses mouvements,il décida donc de se mettre un peu à l'aise
que faites-vous Robert ? le demanda janet
Robert : si vous me permettez je me débarrasser de cette visière
Janet : vous devriez garder votre protection se serait plus prudents
Robert : vous avez entendu le directeur comme moi il n'y a pas de danger
Janet : ça ne veut rien dire
Robert : avez-vous détecté une trace de radioactivité
Janet : les appareils ne détectent rien
Robert : alors vous voyez, n'était-vous un peu à l'aise
il est vrai que le major commencait aussi un peu à étouffer sous cette combinaison,Elf se fit donc pas prier pour également poser la visière
Robert : on n'est pas mieux comme ça
Janet : de reconnaître que vous aviez raison,c'est plus agréable
il est vrai que débarrasser de cet attirail le major se sentait mieux dans sa peau, pour procéder à ces recherche il fallait un minimum de confort, cela n'empêcha pas le major de se désoler devant le spectacle de désolation que lui offraient les différentes machines.
Janet : c'est pas très joli à voir tout ça.
on peut dire que Xana a fait du beau travail.lui répondit Robert
Je vous conseille d'éviter de parler de ce nom ici lui dit aussitôt Janet
Pendant un court instant le nom fatidique avait échappé au colonel, le major aurait bien voulu lui lancer une réprimande a ce sujet, mais il ne fallait pas qu'ils se trahissent eux-mêmes, personne ne devait savoir ce qu'il cherchait vraiment,mais l'incident fut oublié vu qu'il n'y avait personne d'autre que dans la pièce.
ils continuèrent leurs investigations dans l'espoir de trouver le moindre indice qui pourrait leur donner une indication dans leurs enquêtes,ils étaient tellement absorbé par leurs recherches qu'aucun des deux ne remarqua que dans un des angles de la pièce est une des caméras de surveillance c'etait remit en fonction, l'objectif fit un zoom sur les deux agents en train de discuter.
en un lieu pour le moment indéterminé quelqu'un les observait....................
compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 8
Plus le temps passe et plus je m' émerveille devant les résultat que j'obtiens avec ces donnés
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Aujourd'hui je viens d'intégrer les profils de personnalité recueillie à chacune des mes I.A
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je demande bien ce que ça va donner.
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Sa sera la surprise.
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Franchement quand j'y repense je me dis que si je n'avait pas acquis ces données,j'aurais sûrement passé le reste de l'année a élaboré un profil potables.
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Ce profil je l'aurais intégré à mon programme d'intelligence artificielle,mais nul doute que le résultat n'aura pas été le même qu'avec ce que j'ai en main.
Sans cela j'aurais sûrement fini par créer un être virtuel doté d'une intelligence artificielle mais qui n'aurait aucune aucune conscience de soi.
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Cette intelligence n'aurait eut aucune âme.
Une âme !!!!!
Pour un pur cartésien le concept de l'âme est une approche qui n'est pas très scientifique,mais moi je ne suis pas comme tous ces vieux sénile de philosophes mathématiciens, et je crois qu'il ne serait pas déplacé de parler d'âme virtuelle.
Une âme virtuelle pour chacune de mes I.A.
Quoi qu'il en soit mon projet est en bonne voie,dans peu de temps je l'espère notre super-calculateur quantique aura à sa disposition les meilleurs protocoles de défense qui soit,à savoir...
...Les Cartha-guerriers.
Neo-Carthage et Tanit pourront compter sur eux pour les défendre, et à mon avis leur tâche risque d'être ardu,l'environnement particulier de Neo-Carthage en fait une cible de choix pour toutes les attaques de virus.
Le statut particulier de Tanit fait qu'elle a la puissance nécessaire pour se défendre de par elle-même.
Mais pour des raisons qui apparaissent évidentes Tanit est à la fois la force et la faiblesse de Neo-Carthage, et c'est là que mes I.A vont intervenir, elle seront en quelque sorte la garde rapprochée de Tanit.
Les Cartha-guerriers seront les anticorps du système, la défense immunitaire virtuel absolue.
"""noter au passage le petit jeu de mots que j'ai faits entre Carthage et guerriers"""
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je vous jure un rien m'amuse ^_^.
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Je sais ce que vous allez dire ......Arnaud tu en fait trop......Arnaud il faut que tu gardes la tête sur les épaules.....eh gamin t'excite pas comme ça ..... M. Morillon modérer votre enthousiasme.....
Combien de fois je les ai entendus ces petites répliques de la part de mes parents, de mes amis et de mes professeurs. -_-.
C'est vrai je reconnais que j'ai tendance à m'emballer un peu vite , je me laisse emporter par mon enthousiasme, mais mettez-vous un peu à ma place on m'a servi sur un plateau en or ce donc rêve n'importe quel petit génie de l'informatique.
Un super calculateur quantique d'une puissance incommensurable qui gère en son sein une cité virtuelle habitée par une intelligence artificielle hyper développée.
Je vous jure c'est le rêve de tous informaticien qui se respecte,et tout cela je le dois à un seul homme..
Simon Watson
Je lui dois tous,contrairement aux autres, il a cru en moi et en mes théorie sur les intelligences artificielles et la régénération virtuelle.
Si je ne l'avais pas rencontré je me demande bien où je serai à l'heure actuelle ?
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Sûrement chez McDonald's à servir des frites et des boissons gazeuses.
Je sais que sans son intervention il y a longtemps que je me serais fait renvoyer de l'université tout ça à cause de mon côté enthousiaste et peut-être aussi je l'avoue à cause de mon petit mépris pour le système scolaire et ces "pseudo" professeurs de science.
Pour moi le 24 mai 2004 est le jour ou ma vie a pris un tournant radical
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LTI ( london tecnhologie institute) 22 mai 2004
Bon alors Arnaud tu viens avec nous fit la voix.
Pas maintenant Jack j'ai encore un rapport a terminé,je vous rejoindrai plus tard répondit Arnaud.
Jack : pas question Arnaud à chaque fois tu nous fait le même coup, tu dis que tu nous rejoins plus tard et quand je reviens le lendemain je trouve toujours endormie sur ton clavier d'ordinateur.
Arnaud : c'est vrai tu as raison, mais il est important pour moi que je finisse de boucler ma thèse.
Jack : ta thèse... celle sur la génération intellectuel...
...Régénération Virtuelle repris aussitôt Arnaud.
Jack : y'a pas dire tu est vraiment un "mordu" monsieur le petit génie de l'informatique.
Arnaud : Jack je sens que tu utilises un ton très sarcastique à mon égard.
Jack : te vexe pas, je te charrie mon pote.
Arnaud : j'avais bien compris
Jack : c'est dans l'ordre des choses, nous les petites frappes ont aiment toujours s'en prendre aux intellos a lunettes.
Oh malheur sur moi repris en choeur Arnaud.
Arnaud Morillon avait pour compagnon de chambre un vrai cas sociale prénommé Jack Lewis,ce garçon était connu dans tout le campus comme étant la brute de services,le mec qui fallait pas faire chier mais qui s'octroyait le droit de mettre sur le carreau celui qui avait le malheur de le regarder de travers.
il était également le chef d'une bande de lascars avec qui il faisait les 400 coups et parallèlement en distribuait tout autant certain soir en sortant des pubs
le plus paradoxal dans tout ça c'est que ce type faisait des études de droit pour devenir avocat,le hasard avait voulu qu'il se retrouve dans la même chambre que Arnaud.
malgré sa petite tronche d'intello à lunettes Arnaud réussi à s'attirer la sympathie de Jack et parallèlement et lui faisait ses devoirs de maths, en contrepartie Jack s'assurerait que d'autres petites frappe ne s'en prennent pas à Arnaud.
la vraie raison qui avait fait que ces deux garçons avait fini par sympathiser était surtout lié au fait que tous deux avaient des points communs.
Ils avaient un certain mépris pour l'autorité et les règles et en particulier celles que certains professeurs essayaient de leur imposer.
Arnaud :
Jack : alors c'est sûr que tu ne veux vraiment pas venir
Arnaud : dans deux jours je passe mon examen de fin d'année,et si je veux m'assurer une bourse pour l'année prochaine et poursuivre mes études j'ai intérêt à convaincre le jury.
Jack : oui mais l'a je crois que c'est mal barrer pour toi.
Jack n'avait pas besoin d'en dire plus il vis que Arnaud avait compris de quoi il parlait,
pour valider sa thèse Arnaud devait se présenter devant un jury composé de cinq professeurs,or il s'avérait que trois des juges sur cinq avaient une dent personnelle contre Arnaud.
,c'était la raison pour laquelle il travaillait assidûment sur sa thèse il ne fallait qu'en aucun cas celle-ci ne souffre du moindre défaut.
malheureusement la tâche s'annonçait difficile pour le jeune étudiant et sa Arnaud le savait pertinemment.
Jack : tu sais bien comme moi qui va présider le jury cette année
Arnaud : pas la peine de me faire un dessin je sais bien que le professeur Weller ne peut pas me sacé
Jack : tout comme le professeur Zalinsky,
Arnaud : sans oublier le professeur Moritaka.
Jack : si dans deux jours tu te fais recaler tu l'auras quand meme un peu chercher.
Arnaud : de toute façon pour le crédit que ces trois-là apporte à mes théories
Jack : ils les dénigrent seulement parce qu'ils sont jaloux
Arnaud : tu crois ça toi
Jack : tu n'as pas à te rabaisser devant eux Arnaud tu as prouvez à tout le monde que tu était plus intelligent que ces trois-là réunis.
Arnaud : seulement voilà eux il sont professeur de science réputé et moi je suis un simple étudiant anonyme.
Jack : pour le moment, mais quand tu auras ton doctorat ils ne pourront plus de tenir la dragée haute ces bouffons....
Arnaud : c'est bien beau de se projeter dans l'avenir, tant que ma thèses ne sera pas validées mes aspirations de grandeur ne seront que des rêves.
Jack : raison de plus pour ne pas te laisser démoraliser.
Arnaud : c'est vrai ce que tu dis jack ,mais je ne dois pas perdre de vue qu'ils ont entre leurs mains LES CLES DU FUTUR.
Jack : les clés du futurs ?
Arnaud : c'est ma petite expression personnelle pour définir mon dernier espoir.
Le travail les efforts sont deux critères importants pour avancer dans la vie,mais quand on se fixe un but il faut aussi se rattacher à l'espoir
l'espoir de croire en un futur radieux
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l'espoir de croire en sa réussite
les clés du futur était une jolie métaphore que Arnaud employait pour se donner du courage,et ceci malgré l'adversité et les coups du sort.
et du courage il lui en faudrait pour affronter ces trois professeurs le jour de son examen
car chacun d'entre eux etait particulièrement rancunier envers le jeune homme.
Jack : il n'y a pas de doute à avoir ils vont essayer de te descendre
Arnaud : venant d'eux ça ne me surprendrait pas
Jack : visiblement ils ont toujours pas digéré le coup que tu leur as fait l'année dernière.
Arnaud : tout ça parce que je leur ai donné une petite leçon d'humilité en public.
Jack : oui en les faisant passer pour des crétins devant toute la commission universitaire.
pour comprendre l'histoire il fallait revenir quelques mois en arrière
les trois professeurs devant lesquels Arnaud devait passer était connu pour être de brillants mathématiciens,leur contribution à de nombreux projets scientifique leur avait valu une reconnaissance internationale.
ils étaient tous trois considérés comme de grands savants mais avec le temps ils étaient devenus pédants et leur notoriété leur étaient montés à la tête,ils ne supportaient plus aucune forme de critique,ils avaient fini par former un trio infernal qui se soutenait mutuellement
il suffisait que l'un d'eux prenne en grippe un élève pour que les deux autres l'accompagne
A cause de cette attitude plusieurs élèves pourtant très doués avaient fini par arrêté leurs études tellement ce trio les avait dégoûtés de la science.
Et bien sûr personne n'osait rien leur dire pas même le recteur si bien que n'étant pas aveugle ne pouvait pas prendre le risque de sanctionner un seul de ces hommes, car grâce à leurs notoriété ces trois-là étaient de véritables aimant a fric, de nombreuses sociétés investissaient dans les recherches universitaires à cause de la seule présence d'un seul de ces trois-lÃ
Il pouvaient donc en toute impunité continué leur petit manège sans rien avoir à craindre de qui que ce soit pourtant un jour lors d'une manifestation scientifique de grande ampleur à l'université un élément imprévu allait porté un sacré coup à leur réputation.
à l'occasion de cette manifestation ces trois professeurs avait élaboré un casse-tête mathématique extrêmement complexe basé sur les loi de la continuité quantique.
Avec se petit exercice ils espéraient montrer leur supériorité à toutes les personnes présentes, alors que tout le monde s'extasiaient devant leur incroyable exposé de quatre heures,quelqu'un dans les gradins se préparait à leur rendre la monnaie de leur pièce.
alors que le silence le plus complet régnait dans la salle pour ne pas perdre une miette de leurs explications et une voix s'éleva pour crier stop à l'imposture
Il s'agissait de Arnaud morillon
Ce jour-là Arnaud avait decider de mettre à mal tous leurs concepts à l'aide d'un petit ordinateur portable,dans la salle on cria scandale,qui était donc ce jeune blanc bec qui avait osé interrompre une si belle explication.
Pour sa seule défense Arnaud déclara qu'il avait réussi à résoudre le casse-tête.
Ces déclarations déclencha l'hilarité générale dans la salle, parbleu pour qui diable se prenait ce jeune homme pour affirmer une chose aussi ridicule.
Ne se laissant pas démonter par la situation Arnaud demanda a ce qu'on lui donne l'occasion de prouver ce qu'il affirmait.
et curieusement personne ne fut contre ,le trio infernal invita le jeune homme à venir au tableau de faire sa démonstration.
dans le font-ils espéreraient tous que ce jeune homme allait se ramasser, et après tous rire un bon coup aidera a détendre un peu l'atmosphère.
Mais ce qui suivit fut tout le contraire d'un gag, en l'espace de cinq minutes Arnaud mis à mal leur petite théorie ,il en démontra argumentations et preuves scientifiques a l'appui toutes les petites faiblesses de leur casse-tête, dans la salle plus personne n'osa cligner un sourcils devant l'incroyable exploit auquel le jeune homme se livrait, de leur côté le trio infernal n'en revenait pas, comment ce gamin avaient-ils pu résoudre ce problème aussi vite alors que eux-mêmes avaient planché des mois dessus,
tirant à la craie une longue ligne blanche en dessous de la formule qu'il venait d'écrire Arnaud conclut alors sa démonstration en ajoutant que trois grosses tête gonflées à l'hélium ne décolleront jamais plus haut que la montagne qui leur sert d'orgueil.
l'hilarité dans la salle fut générale ce jour là , ce qui d'ailleurs au passage mis à mal la réputation du trio infernal.
"trois brillants scientifiques mis à mal par un novice"
voilà ce que titra le lendemain la presse scientifique spécialisée qui ce jour-là n'avait n'a pas manqué de couvrir l'événement,partout les blagues les plus foireuse fleurissaient sur le trio.
pour sa part Arnaud gagna la considération de tous les élèves de l'université,il reçut même des E-mails de la part de certains anciens élèves qui les remerciaient d'avoir donné une bonne leçon à ces trois imbéciles.
dès lors la rancoeur tenace que tenaient ces trois hommes ne cessa jamais de croître et Arnaud lui-même allait bientôt payer chère le prix de sa propre arrogance, car pour accréditer ça thèse est ainsi poursuivre ses études afin d'obtenir un doctorat ils devaient passer devant une commission qui justement était présidée par ces trois hommes la autant dire qu'ils n'allaient pas se priver pour prendre leur revanche.
C'est pour ça que Arnaud planchait comme un malade sur sa thèse,il devait coûte que coûte réussi à convaincre le jury.
son avenir en dépendait.
Chapitre 07 il était une fois Carthage
5 août 2005
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Attend fiston ne va pas si vite je n'arrive pas à te suivre ....dit l'homme en s'essoufflant.
Dépêches-toi a peu papa tu es entrain de faire baisser notre moyenne dit alors Jeremie qui courait sur place.
Je fais ce que je peux fiston lui dit Michel.
Jeremie : applique-toi un peu nous sommes sur les 800 derniers mètres.
Michel rassembla les dernières forces qui lui restait pour finir la course alors que Jeremie lui entama un sprint pour rattraper le temps perdu est bien entendu il fut le premier à franchir le portail de la maison.
Champion du monde toutes catégories s'écria Jeremie en levant les bras au ciel.
Une minute après il fut rejoint par son père qui avait le visage rougi par l'effort et le manque de souffle,alors que son fils lui était frais comme quelqu'un qui sort du lit,il ne transpirait pas même après l'effort qu'il venait d'accomplir.
Rien de tel qu'un bon petit jogging de 12 kilomètres, dès le matin pour avoir la pêche le reste de la journée dit alors Jeremie a son père.
Mais Michel n'était pas en bonne disposition pour entendre ce que lui disait son fils, la seule chose à laquelle il inspirait c'était de pouvoir se poser sur le canapé et mourir.... ce fut donc avec une démarche de bagnards qui traîne son boulet et les mains posées sur le bas de son dos que Michel rentra dans la maison, Jeremie passa devant pour prévenir sa mère qu'ils étaient revenu de leur petit footing.
Jeremie : maman ont est rentré.
Femme : c'est bien mon chéri,vous avez faits une bonne course.
Jeremie : excellente même, sauf vers la fin où papa était un peu à la traîne.
je ne suis pas surpris lui répondit la femme.
Jeremie : bon je monte me prendre une douche maman.
Femme :et bien Jeremie quelle énergie débordante.
J'ai une pêche d'enfer je crois bien que j'arriverais à déplacer les montagnes dit Jeremie en se tâtant le biceps droit.
Et où est ton père ? lui demanda sa mère.
je suis là se fit entendre une voix plaintive.
Ce fut au prix de grands efforts que Michel parvint à rejoindre le canapé il se posa lourdement sur le coussin qui s'enfonça sous son poids,les jambes bien étendues la tête en arrière Michel se demandait comment il pouvait être encore en vie, sa femme s'avança vers son époux pour voir comment celui-ci allait.
Et toi mon chéri a tu aussi fait une bonne course lui demanda sa femme.
Je crois que notre fils a décidé d'avoir ma peau lui répondit alors Michel.
Femme : pourquoi dis-tu ça ?
Michel : je viens de faire un footing de 12 km avec notre fils et il veut remettre ça dans une demi-heure.
Femme : sérieusement ?!!!
l'homme complètement avachi sur le canapé commençait déjà à retrouver des couleurs, depuis le début il se demandait ce qui avait bien pu lui passer par la tête pour accepter d'aller courir avec son fils.
Michel : dis-moi Laurence pourquoi j'ai accepté d'aller courir avec notre fils.
Laurence : parce que tu as exprimé le voeu de passer un peu plus de temps avec lui.
j'aurais mieux fait de casser une jambe le jour où j'ai dit ça se lamenta alors Michel.
Femme : voyons mon chéri un peu de sport ne peut pas te faire de mal.
Michel : mais beaucoup peut me tuer.
Michel Belpois n'était pas réputé pour être un athlète de haut niveau, ni même un sportif occasionnel,c'était plutôt un homme qui aimait être tranquille, mais par amour pour son fils il avait décidé de faire un petit effort,
il voyait si peu souvent Jeremie depuis que celui-ci était interne qu'il avait voulu passer un peu plus de temps avec lui, histoire d'avoir une vraie relation Père / fils.
Michel : je crois que je vais pas insister sinon je vais y laisser ma peau.
Laurence : et toi qui te faisais une joie de dire que Jeremie avait changé .
Michel : ça pour changer il a changé, je ne reconnais plus notre fils.
Laurence : personnellement je préfère qu'il soit devenu sportif et qu'il ait abandonné cette fâcheuse manie qu'il avait de toujours rester des heures et des heures a travailler sur son ordinateur, ce n'était pas très bon pour lui est le faite qu'il fasse du sport est une bonne chose.
Michel : c'est vrai que ça ne peut pas lui faire de mal.
Laurence : tu as raison, je trouve qu'en trois ans notre fils a bien mûri
Michel : il s'est complètement métamorphosé tu veux dire.
Laurence : c'est sûr que c'est pas dans son ancien collège qu'il aurait pu s'épanouir comme ça
Michel : c'est vrai que tu n'as pas tort je dois reconnaître que ce changement d'ambiance lui a été très profitable.
Avant d'arriver au collège Kadic Jeremie était élève externe au collège Turing,et bien qu'étant déjà particulièrement brillant il n'en était pas moins malheureux
chaque jour l'escalade de la violence se faisait plus grande, et Jerémie était devenu la cible systématique des brutes de tous genres qui ne pouvait pas encaisser sa petite tête d'intellectuelle à lunettes.
Certain soir il lui arrivait de revenir avec des yeux au beurre noire,à cause de tout ceci il avait fini par se replier sur lui-même, il n'osait plus entrer en communication avec les enfants de son âge,il passait de longues journées dans la bibliothèque a étudié et c'était finalement recentré sur la science.
Devant cette situation intolérable ces parents avaient décidé de le mettre dans un autre collège,il espérait ainsi qu'il serait moins exposé au danger,le seul établissement dont les références était assez bonnes se trouvait à 50 km de chez eux.
Dans cette condition il était claire que Jeremie ne pourrait pas rentrer tous les soirs chez lui.
au début de l'année scolaire 2002 il fut alors inscrit comme pensionnaire au collège Kadic
ses parents pensaient qu'au sein de cet établissement réputé lors leur enfant pourrait pleinement s'épanouir.
De ce point de vue là le résultat avait dépassé leurs espérances en a peine quelques mois leur fils c'était fait des amis et même une petite amie.
Leur enfant c'était métamorphoser, du timide petit élèves introvertie il était devenu un beau jeune homme plein de vie.
Le vilain petit canard c'était transformer en cygne pour le plus grand bonheur de ses parents.
Et parmi tous ces changements le plus significative fut celui qui avait marqué la fin de l'année scolaire 2004-2005,leur fils était revenu chez eux pour passer les grandes vacances d'été, mais celui-ci avait changé de façon fulgurante.
Jeremie d'ordinaire si chétif et peu enclin aux activités physiques était devenus d'un coup de baguette magique un fanatique de sport de haut niveau.
Le matin il se levait très tôt pour aller faire un petit footing de 12 km par la suite après un petit déjeuner ultra nutritifs il faisait quelques exercices de musculation,passer le coup des 10 heures il allait à la piscine pour n'en revenir que deux heures après,sur ces entrefaites il avalait un solide déjeuner avant de prendre son vélo et partir faire un petit tour d'une centaine de kilomètres le tous en moins de trois heures,et le soir quand il revenait pour couronner une journée bien remplie il refaisait un peu de musculation.
Son père se demandait bien où son fils pouvait trouver une telle énergie, un soir où il ne dormait pas il avait même surpris Jeremie à faire une cinquantaine de pompes d'une seule main dans sa chambre.
On peut dire qu'en trois ans son fils avait bien mûri, il se demandait même ce qui avait pu provoquer un tel changement chez Jeremie ,il y avait la de quoi se poser des questions, mais pour Laurence la réponse était évidente, la seule chose qui peut changer un homme à se point la c'est....
L'amour.
L'amour que leur fils éprouvait pour une jeune orpheline canadienne qui était un jour entrer dans sa vie par on ne sait quel miracle, sa seule présence avait illuminé la vie de Jérémie qui avant sa rencontre semblait être condamné à vivre une existence d'études et de solitude.
si cela semblait normal pour sa mère ce changement avait fortement étonné son père.
Michel : mon fils me surprend vraiment.
Laurence : il n'y a rien d'étonnant non chéri, notre fils est amoureux.
Michel : je veux bien croire que l'amour donne des ailes mais à ce point-là !!!! j'ai l'impression que notre fils est devenu Superman.
Laurence : c'est fait, les habitants du quartier le surnomme déjà Super Jeremie.*(1)
Michel : notre fils était déjà le premier de sa classe au niveau des notes, si en plus il devient un grand sportif,jusqu'où peut-il aller après.
Laurence : venant de lui faut s'attendre à tout.
Michel : s'il continue comme ça toutes les filles du lycée vont lui courir après.
Laurence : avec Aelita dans les parages cela m'étonnerait, d'ailleurs je me disais a ce sujet que tu devrais peut-être avoir une discussion avec lui.
Michel : Ã quel sujet ?
Laurence : est bien notre fils à 15 ans et l'adolescence est toujours une période de transition, à cet âge-là le corps se métamorphose,le caractère évolue,et de nouveaux besoins se font sentir si tu vois ce que je veux dire.
Michel : je vois tu me parles de l'abeille et de la fleur.
Laurence : c'est un point assez délicat que je ne peux pas aborder directement avec notre fils.
Michel : et pourquoi ça serait à moi de le faire ?
Laurence : et en tant que père c'est à toi qu'incombe cette tâche de lui expliquer les "choses de la vie"
Michel : tu ne sais rien ne presse et je ne crois pas qu'à l'heure actuelle il soit très portée sur la chose, jusqu'à présent il n'a jamais manifesté de grand intérêt pour les filles.
Laurence : oui mais maintenant dans sa vie il y a Aelita, et tu sais quelle place importante elle a pris dans le coeur de notre enfant.
Michel: je le sais ma chérie.
Laurence : Aelita est une adorable enfant elle ne ressemblent pas a ce genre de filles dévergondée que l'on voit de nos jours .
Michel : c'est vrai que de ce côté-là il n'y a rien à redire sur elle.
Laurence : rappelle-toi,cet hiver quand elle est venue chez nous pour les fêtes elle n'a fait l'impression d'une jeune fille très sérieuses et très timides, presque un peu gênées quand on a évoqué sa relation avec Jeremie
Michel : pas tant que ça.
Laurence : chérie tu n'est pourtant pas aveugle, tu as bien vu comme moi les moments de complicités qu'ils ont partagées ensemble quand ils étaient là .
Michel : c'est vrai tu as raison.
Laurence : notre fils était tellement joyeux,il n'y a pas de doute à avoir il est sûrement tombé raide amoureux d'elle.
Michel : il devrait faire attention à ce que l'amour ne lui fasse pas perdre la tête
Laurence : notre fils est quelqu'un de très sérieux, il ne se laissera pas distraire aussi facilement.
Michel : je ne sais pas dans sa façon à lui de séduire je crois qu'il veut prouver par son travail ce dont il est capable et tu sais à quel point notre fils peut être un vrai bourreau de travail.
Laurence : n'exagérons pas tout de même, il n'irait quand même pas jusqu'à mettre sa vie en danger pour elle.
Michel : l'amour est un sentiment très étrange il ne faut pas en sous-estimer la force.
Laurence : il est vrai que par amour les hommes sont prêtes à tout
Michel : le meilleur comme le pire.
Laurence : dont c'est pour ça que j'insiste que tu lui expliques les choses de la vie
Michel : tu y tiens vraiment ?
Laurence : absolument
Michel : très bien tu as gagner j'aborderai le sujet avec lui un de ces soirs mais pour le moment il faut que j'aille me préparer pour la suite.
Laurence : où vas-tu encore ?
Michel : on est dimanche et j'ai promis à notre fils que je filmerais ses exploits pendant la compétition de triathlon.
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De son côté Jeremie s'arrachait les cheveux sur la tête; les patchs correctifs qu'il avait installés sur sa réplique avait causé un Beug.
Afin de dissimuler son absence au foyer Jeremie avait été obligée de ressortir sa réplique ayant été obligé à l'époque d'improviser rapidement une copie de lui-même, il n'avait pas pris le temps d'élaborer pleinement la personnalité de son double,pour corriger ces défauts il avait mis aux points quelques patchs correctifs.
Ces patchs étaient destinés à supprimer la propriété émergente qui la première fois avait fait de son avatar un être égocentrique et frimeur comme pas deux.
Mais comme le dit l'expression "un clou chasse l'autre" ce nouvelle addon's avait certes supprimé le côté vantard de son avatar,mais il avait fait de celui-ci en contrepartie un "fondu" de sport.
Quitte à tout prendre Jeremie choisi de ne pas corriger ce défaut, il avait déjà suffisamment à faire avec ses propres projet sans avoir à se soucier des petits extra de sa réplique plus que tous il lui fallait reprendre ses recherches et continuer l'édition de son journal.
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois cinquième partie.-----------------------------
Dans mon précédent message j'avais fait état de l'accroissement de la puissance du super-calculateurs ainsi que tout le mystère qui entourait Aelita et Xana ainsi que de l'apparition du mystérieux Franz Hopper
Dans mes premières explications il n'a fallu être assez sélect car la masse d'informations à énuméré était assez conséquente.
Hopper, l'Ermitage, Mr puck n'en sont qu'une partie.
Après avoir établi qu'il existait une relation entre Hopper et l'Ermitage nous sommes retourné dans cette maison afin de trouver des indices qui nous permettraient de tirer au clair ce mystère.
Mr Puck ne fut pas la première chose que nous avions découvert dans l'Ermitage lors de nos premières investigations j'avais découvert un vieux livre gribouillé d'inscription qui traitait sur les guerres puniques, guerres qui a l'origine avait opposé la flamboyante cité de Rome à la mythique cité de Carthage.
Cette découverte pour le moins anodine allait se révéler essentielle par la suite,lors d'une nouvelle attaque de Xana celui-ci parvint à s'emparer de Aelita et la emmener sur un nouveau territoire que nous ne connaissions pas ,une partie de Lyoko qui était encore inconnus et qui était appeler
Carthage
Pour y accéder il fallait rentrer un code secret, et c'est là que le livre est intervenu,l'évocation de Carthage ne pouvait pas être une coïncidence il était possible que parmi les annotations du livre qui faisait référence à Carthage se trouve un indice qui nous permettrait d'y rentrer, grâce à une déduction de ma part je finis par découvrir que le code d'accès s'appelait Scipion en référence au général romain qui réussit à vaincre Carthage.
Et mon intuition fut la bonne à l'aide du code Scipion nous fîmes apparaître une espèce de sphère blanche appelée transporteur grâce à elle nous pouvions nous rendre sur Carthage à partir de n'importe quelle extrémité d'un territoire.
Carthage était un lieu bien mystérieux une sphère en lévitation à l'intérieur de laquelle se trouvait une autre sphère qui était relié aux autres territoires par des flux de données continue les parois de la sphère principale formait une sorte de voûte céleste.
la seconde sphère était composée de grandes structures de bloc bleu assemblés les uns aux autres, Carthage était un endroit très dangereux rempli de pièges que nous devions désactiver au bout d'un certain temps qu'à l'aide d'une clef spécial cachée contre un mur
je tiens d'ailleurs à préciser que ce fut d'ailleurs dans Carthage que nous rencontrions pour la première fois la méduse ,d'autres monstres étaient également présent dans cette endroit
Ce territoire avait lui aussi une tour et lors de notre toute première exploration nous découvrîmes que Carthage était le lieu où habitait Xana,toute l'existence meme Xana été rattaché à Carthage qu'elle pouvait bien en être la raison ?
Par le biais d'une interface qui se trouvait à l'extérieur de la sphère Aelita avait accès à la mémoire de xana nous tenions peut-être là le moyen de trouver un anti-virus pour la guérir
bien évidemment Xana n'appréciait pas tellement que l'on vienne chez lui pour fouiller dans ses petits papier et découvrir ses secrets, il avait donc élaboré tout un système de défense pour nous détruire, Carthage était donc un lieu potentiellement dangereux et mortel.
Mais le succès de ces opérations était à la hauteur du risque encouru
En dehors de ça Xana continuait a multiplier les attaques, chaque jour celle-ci étaient de plus en plus impressionnant à chaque fois nous parvenions à les contrecarrer et grâce au retour dans le passé nous pouvions limiter les dégâts,malheureusement je finis par découvrir que cette fonction du super-calculateur faisait le jeu de Xana.
Je savais déja que la puissance de Xana était liée à celle de super-calculateurs ce que j'ignorais ce que la puissance accrue de ce dernier venait du fait nous effectuons des retours vers le passé.
Peu de gens sans serait douter mais cette machine était un super-calculateur quantique et par conséquent celle-ci était sensible aux variations de l'espace temps à chaque retour dans le passé l'ordinateur gagné un Qbits quantique d'une façon plus générale sa puissance doublait.
est fatalement plus la puissance super-calculateur augmentait plus la puissance de Xana grandissait il devint alors un enjeux stratégique de ne pas utiliser cette fonction est bien des fois ce fut plus facile à dire qu'à faire.
notre combat n'en fut que plus dur.
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( Note Annexe )
Une chose m'interpelle,si notre ordinateur réagi de cette façon à chaque retour le passé qu'en est-il des autres super-calculateurs quantique à travers le monde ?
Si tous les ordinateurs quantique agissent de la même façon cela aurait de quoi faire peur.
Imaginez donc un super calculateur avec la même puissance que le notre.
En pratique ça me paraît impossible il faudrait que cet ordinateur soit construit sur le même principe que celui-ci. et jusqu'à preuve du contraire celui que nous avons en notre possession est unique en son genre.
Cependant un doute subsiste là où les personnes qui sont responsables de la disparition de Aelita doivent disposer une puissance informatique assez conséquente,car pour réussir à contourner les défenses de Lyoko,il faut soit être un génie soit avoir en sa possession un super-calculateur ou peut-être les deux.
Et à ce jour les deux seuls êtres qui ont pu être capables d'un tel exploit étaient Franz Hopper et Xana.
Pour le plus grand malheur et bonheur de Aelita tous les deux sont mort aujourd'hui tous deux sont désormais réduits à l'etat de souvenirs et de rêves
les rêves de Aelita...
############################ FLASHBACK ############################
- le vent souffle et fait danser la cimes des arbres.
- c'est un vent très froid dont la morsure vous dévore le visage.
- la forêt est sombre et lugubre.
- la petite fille cours dans les bois elle est seule est apeuré.
- au loin un hurlement se fait entendre.
- un cri qui vous glace le sang.
- le loup est la, ses croc sont acère et sont appétit est féroce.
- sont regard luisant vous transperce l'âme.
- la petit fille pleure.
cours fit une voix au loin.
fui et sauves ta vie fit de nouveau la voix.
- dans une caverne la bête se rit
AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH...................
une fois de plus Aelita venait d'être tiré de son sommeil par un affreux cauchemar, ce qui lui value une nouvelle fois une réprimande de la part de Sissi, le calme revenu Aelita essaya de se rendormir pourtant dans sa tête de nombreuses questions se posait.
quelle rêve étrange se fit Aelita
Ces nuit étaient peuplé de cauchemar, elle se voyait sur Lyoko,elle se voyait avec ses amis,ils étaient toujours là pour la protéger pourtant parfois quand elle croisait leur regard elle pouvait y voir de la haine.
Ces cauchemars se produisaient toujours après que la méduse l'avait capturée,peut être subissait elle le contrecoup de sa capture ou alors peut-être que le virus que lui avait implanté Xana avait des effets secondaires, il devait forcément y avoir une explication sinon pour quelle raison ces amis lui voudraient-ils du mal ?
Aelita chassa cette pensée de son esprit cela lui paraissait impossible.
"Non se sont mes amis jamais il ne me voudrons jamais du mal"
non c'est un leurre c'est le loup se dit elle
"Ou alors est ce un rêve prémonitoire ou une vison du passé ?"
"Mais quelle passé ?"
"Est je seulement un passé donc je pourrais me souvenir ?"
Dans ses rêves elle voyait autre chose, cette maison l'ermitage, les traces d'une vie qu'elle n'a jamais connu, une vie quelle ne pouvait pas connaître.et cet homme qui joue du piano pourquoi ne pouvaient elle le voir que de dos,quelle était donc cette apparitions ?
Qui est il ?
Qui suis je ?
De quel abîme obscur ces souvenirs peuvent ils bien surgi ? et ce sentiment d'abandon que Aelita approuvait au fond d'elle-même,d'où pouvait il venir ?
des questions mais pas de réponse, heureusement pour Aelita, elle n'était pas seule en ce monde elle avait des amis sur qui se reposer, et quand venait le soir et que ses amis n'étaient plus là il y avait toujours Mr puck pour la rassurer, c'est en le serrant très fort dans ses bras que Aelita pouvait trouver un peu de réconfort, Aelita se posait quand même la question sur le lien qui existait entre elle et cette poupée, Mr Puck était un lutin et Aelita une elfe, étaient il tous les deux originaire du meme monde ?
le monde des rêves.
Prendre une douche cela fait un bien fou cela apaise les nerfs et détend le corp,Maeva adorait la sensation de l'eau qui suinte sur son corps, elle pourrait passer des heures sous la douche si cela lui était permis.
Quand elle sortit de la salle de bain en robe de chambre elle croisa le docteur Robinson qui lui avait déjà pris sa douche en bas, la maison du docteur était très spacieuse ,il n'avait pas moins de 2 étage pourvu de 3 chambres avec une salle de bain a chaque niveaux.
Après avoir souhaité bonne nuit au docteur elle se rendit dans sa nouvelle chambre pour enfiler a son pyjama, mais avant tous elle pris soin de finir sa toilette.
A l'aide d'une brosse elle commença à peigner soigneusement ces cheveux.
Soudain elle s'arrêta net ,sa figure se durcit quelque chose la dérangeait dans ce qu'elle voyait, elle resta de longues minutes à se fixer dans le miroir ,a la longue son regard finit par se perdre dans celui de son reflet.
A force de trop contempler l abîme on finit par si perdre......
Maeva n'aimait pas l'image que lui renvoyait le miroir,quelque chose au fond d'elle meme lui déplaisait elle regarda alors ses mains avec un certain dégoût.
A cause de ses dons elle avait failli tuer Clarisse par chance ce jour-là heureusement ce ne fut pas le cas mais cet incident ne fut pas le seul,elle savait au fond d'elle que quelque chose de la rendait spéciale,une chose qui la rendait très différentes des autres enfants,cette faculté à dérégler les appareils électroniques juste en les touchant.
Sa malédiction.
Cette malédiction serait une fatalité si elle ne faisait rien pour la combattre, Maeva s'employait du mieux qu'elle pouvait à cacher ses dons, par chance jusqu'à présent personne hormis le Dr ne c'était rendue compte qu'elle avait ses facultés, mais a cause de celle ci cela l'a condamnait à vivre en retrait de la société si elle ne prenait pas garde.
elle pouvait encore en faire abstraction de cette difficulté, il lui suffisait pour ça d'être très prudente,s'il ne commettait pas l imprudence de toucher un ordinateur ou toute autre appareil électronique personne ne saurait jamais ce qu'elle est capable de faire.
Mais au fond d'elle l'idée de vivre quelque part en reclus dans une bulle ne la dérangeait pas tant que ça, car cela lui permettrait d'éviter bien des désagréments car en dépit de ces efforts il y avait une chose qu'elle ne pouvait cacher au reste du monde.
Une tare
Une tare qu'elle la portait sur elle,quelque chose contre lequel elle ne pouvait rien faire,à chaque fois que elle se regardait dans un miroir elle n'y voyait que sa pigmentation très particulière, aucun artifice n'avait été n'avait été utilisé pour lui donner cette couleur,il fallait croire qu'elle était née comme ça,systématiquement tous les regards se fixaient sur elle, à cause de sa couleur de cheveux elle passait pour une bête curieuse,une sorte de phénomène de foire et ça Maeva le vivait très mal.
Elle aurait voulu se faire raser la tête,se teindre les cheveux, faire tout ce qui était possible pour le cacher , car elle n'arrivait plus à supporter ces discriminations, ses regards obliques que les gens lui adressaient à chaque fois qu'ils la croisait dans les couloirs de l'hôpital.
elle se souvenait d'avoir entendu a mainte reprise les messes basses de certaines infirmières a son sujet.
"tu as vu sa couleur de cheveux" ..... "c'est une mutante vous croyez" ....." si ma fille devait avoir cette couleur je préférerait encore quelle se rase la tête"
tout cela était très dur à entendre tout pour Maeva, certes cela ne lui avait jamais été dit ouvertement,toutes ces critiques avaient toujours été fait dans son dos, seulement Maeva avait une ouïe parfaitement développer et tous les commentaires a son sujet et les entendait parfaitement et cela lui faisait beaucoup de mal.
Pourtant Maeva était loin d'être hideuse, pour une adolescente de son âge on peut même dire qu'elle était plutôt mignonne, une silhouette svelte, des formes moyennement avantageuses mais surtout elle avait un visage angélique.
Un visage d'ange voilà ce que lui avait dit Kevin son petit copain autre proclamé à l'hopital,c'est en toute sincérité que ce garçon lui avait dit qu'elle était très jolie et très gentille,il était l'une des rares personnes qui n'avait jamais dit du mal à son sujet, par ailleurs Kevin fut le seul amis que Maeva se fit durant son séjour à l'hospital.
en dépit de tout le mal qu'on lui avait fait ou dit sur elle et elle ne pouvait oublier les gens qui avaient toujours été gentil avec elle.
Kevin, Joseph, Clarisse, le shérif Peebody est meme l'adjoint Johnson.
Depuis le premier jour aucun d'eux ne l'avait jamais discriminé pour sa différence, Maeva avait un souhait,elle aurait voulu retourner là où tout avait commencé pour elle,peut-être était il possible d'y trouver des réponses sur ses origines car avec le temps Maeva c'était fondée une certitude,cela concernait ces parents.
Pourquoi l'avait-ils abandonné au milieu de cette forêt ?
Etait-ce parce qu'ils ne l'aimaient pas,cela serait une explication plausible,finalement ça peut se comprendre, quels parents ne serait pas dégoûté d'avoir enfanté un tel monstre.
Maeva pouvait-elle seulement se comparer à un monstre ?
en avait-elle le droit ?
L'origine même du mot monstre était ce que l'on montre ou ce que l'on regarde et les gens ne faisaient que la regarder quelque part aussi cela la bloquait pour retrouver la mémoire si le souvenir de Lyoko en faisait un endroit terrible pour Maeva qu'en était-il du monde réel ?
Une petite voix au fond d'elle lui disait que on l'avait toujours haï,que sa vie était rattaché a la souffrance et la peine.
Maeva en arrivait même à se demander si la mort ne valait pas mieux qu'une vie de mépris pourquoi vouloir ressembler à des gens qui systématiquement vous rejettent.
Mais Maeva n'arrivait pas à se faire à cette idée,quelque chose au fond d'elle la poussait à ne pas abandonner,elle devait se battre pour retrouver le jeune homme de ses rêves.
Dernièrement une autre image de ce qui pourrait son être son passé, lui était apparu
mais cette fois-ci point de Lyoko elle était dans le monde réel dans un lieu moins abstrait, elle revait qu'elle se trouvait dans un couloir ou plutôt une sorte de préau
tout autour d'elle le décor était assez floue mais elle arrivait quand même à distinguer ce qui se trouvait en face d'elle, et il était la.
Le garçon.
Bien qu'elle ne puisse le voir que de dos, les traits caractéristiques de sa silhouette laissait penser qu'il s'agissait d'un homme et plus exactement d'un jeune garçon.
Il avait les cheveux blonds et portait une sorte de pull bleu qui surmontait une sorte de pantalons marrons très courts retrousser au niveau des chevilles.
Qui était cette personne ?
Pourquoi ne pouvait elle pas voir son visage ?
Dans son rêve à chaque fois que Maeva essaie de s'approche de lui le garçon s'avançait et s'éloignait elle courait après lui mais ne parvenait jamais à le rattraper elle semblait faire du surplace, le couloir se déformait la distance s'agrandissait exactement à la manière d'un zoom arrière sur une caméra, et ceci jusqu'à perdre le garçon de vue.
Maeva avait une sensation étrange à chaque fois qu'elle le voyait dans ses visions, au fond d'elle-même elle sentait qu'elle était très attaché à cette personne mais que parallèlement elle le haïssait, et qu'en retour ce garçon semblait éprouver les mêmes sentiments contraires.
Comment pouvait-on aimer et à haïr en même temps ?
Maeva était habitée par un sentiment très ambivalent
Comment peut-on aimer des gens qui vous haïssent et en même temps haïr des gens qui vous aiment ?
L'amour et la haine ne seraient-ils finalement que les deux faces d'une même pièce ?
il y avait là une question mais pas de réponse.
Meava ne voulut pas se coucher tout de suite elle tenait à relire quelques uns des passages de son journal intime, en feuilletant les quelques pages elle finit par tomber sur le récit ce qui allait être le début d'un nouvel enfer pour elle.
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Le Journal de Maeva chapitre 04 désormais tu t'appellera Maeva...
Une journée entière venait à nouveau de s'écoulé depuis la fin de la tempête mais à cause des dégâts occasionnés par celle-ci le docteur avait encore obligé de passer une nuit de plus en cellule, pour lui un bon lit d'hôtel aurait été beaucoup plus agréable
Pourtant Clarisse avait proposé au docteur de venir se loger chez eux mais comme le docteur ne voulait pas abandonner la petite et que celle-ci se plaisait dans sa chambre de fortune il avait été obligé de décliner l'offre.
le docteur n'était pas spécialement très frais ils n'avait pas pris de douche depuis au moins trois jours et cela commençait à se sentir sur ses vêtement et son visage était recouvert d'une barbe naissante de deux jours ce qui commençait à lui donner un air assez patibulaire, cela ne fait pas très sérieux pour un médecin de son côté le shérif n'avait pas chômé il avait été très pris ces dernières heures ,il fallait maintenant coordonner les réparations dans toutes la ville,en revenant dans le bureau il reçut un imprimé par fax, à la lecture de celui-ci il se dépêcha d'appeler le docteur qui faisait un brin de toilette dans le lavabo des wc ,en effet le shérif venait de recevoir des nouvelles des autorités de Brayton wood's
shérif : c'est officiel docteur nous avons reçu un premier bilan de l'accident.
Dr : et qu'en est-il shérif
shérif : la situation est inchangée,Aucun enfant n'a été déclaré enlevée ou porté disparu
Dr : et maintenant que va-t-il se passer ?
La suite des événements n'était pas difficile a deviner en l'absence de toute disparition officielle la petite allait être prise en charge par les services sociaux,et cela déplus fortement au docteur qui se doutait bien que ceux ci allaient sûrement placer l'enfant dans un orphelinat
Dr : shérif ne me dites pas que ce sont ses incapables de fonctionnaires qui vont récupérer la petite.
J'ai bien peur que ce soit le cas docteur lui répondit le shérif
Clarisse est l'adjoint était aussi présent dans la pièce,quand à la petite, elle etait posée sur le canapé,elle essayait de comprendre ce qui se disait, mais tout ce qu'elle pouvait voir c'est que le visage de Clarisse c'était quelque peu assombri.
shérif : j'en ai reçu la confirmation,dans deux jours se sont les services familiaux spéciaux qui vont prendre en charge son cas.
Dr : mais c'est de l'inconscience pure cette enfant est traumatisé on peut pas la laisser partir avec ces gens la,elle a besoin d'une aide spéciale.
shérif : vous croyez peut-être que je ne sais pas sa docteur.
Malheureusement la loi était ainsi faite, en l'absence de disparition officielle cet enfant dont l'identité était inconnue se devait d'être placé dans un institut spécialisé en l'occurrence un orphelinat,cela fut tres dur à admettre pour le docteur.
Dr : en somme elle ne sera juste qu'un nom et un numéro de matricule, pire qu'un prisonnier
shérif : c'est moche je sais mais la loi c'est la loi.
Le docteur aurait beau dire il ne pouvait rien y faire,le sort de la petite semblait scellé
Peter il n'y a rien que l'on puisse faire demanda Clarisse à son époux
shérif : je regrette chérie mais c'est comme ça.
Clarisse jeta un regard désespéré sur la petite,cette enfant avait l'air si pur et si innocente et ce qui l'attendait n'avait rien de réjouissant,un orphelinat et un endroit si triste. l'enfant etait consciente de la peine qui semblait habiter la femme,elle lui adressa un sourire pour lui redonner le moral, la petite avait compris depuis bien longtemps qu'à sourire parfois pouvait faire beaucoup de bien aux gens qui l'entouraient, cela peina encore plus Clarisse qui s'efforça de ne pas le montrer.
Clarisse : et comment ça va se passer avec les services sociaux ?
shérif : ils vont venir ici pour la petite, il me feront signer une décharge et l'emmèneront avec eux
Dr : et c'est pas la meilleure chose qui puisse lui arriver.
Clarisse : que voulez-vous dire docteur
Dr : simplement que si cette enfant n'a pas de traitement adéquate c'est sûr qu'on va la perdre, elle est encore effrayé par le monde qui entoure, alors vous l'imaginez au milieu d'un environnement qu'elle ne connaît pas parmi les gens inconnus cela va être terrible pour elle.
Clarisse : on ne peut pas laisser faire ça
Dr : on ne peut rien faire d'autre
il n'y avait rien d'autre a expliqué tout était dit dans 48 heures la petite serait placé dans un orphelinat, le docteur insista encore auprès du shérif pour savoir s'il n'y avait pas une solution pour la retenir
Dr : c'est vraiment sans espoir.
shérif : que voulez-vous que je vous dise quand ils viendront la chercher elle ne sera plus ma responsabilité.
A ce moment-là les paroles du shérif interpellèrent le Docteur
qu'est-ce que vous venez de dire shérif demanda le docteur
shérif : sur quoi ?!
Dr : a l'instant vous venez de dire quelque chose sur la responsabilité
shérif : a oui dans la mesure où j'ai retrouvé l'enfant et qu'elle n'a pas d'identité en tant que gardien de l'ordre, je suis pour le moment responsable de sa personne.
Dr : si vous êtes responsables vous avez votre mot à dire
shérif : d'une certaine manière oui
Dr : très bien dans ce cas-là opposez-vous à son départ.
shérif : j'y ai bien pensé mais ça ne marche pas comme ça, les services sociaux ont une autorité bien plus grande que la mienne en matière de petite enfance.
Dr : c'est vrai qu'il s'agit là de leur domaine.
shérif : à la limite je pourrais gagner du temps en la plaçant sous le coup d'une enquête mais vu qu'elle n'a pas commis de délit.
Dr : n'exagérons rien quand même
shérif : légalement il n'y a pas d'échappatoire est moins que quelqu'un ne se porte garant d'elle elle sera donc prise en charge par les services familiaux dès leur arriver
Sans le savoir le shérif se venait de donner la solution, à ce moment une idée germa dans la tête du Docteur.
Dr : dites-moi chérif quel genre de personnes peuvent se porter garant d'une enfant ?
shérif : ces parents , sa famille proche, et tous les officiels assermenté de l'etat.
Dr : don si je comprends bien si un fonctionnaire venait à se porter garant pour l'enfant vous ne pourriez pas l'en empêcher
shérif :c'est exact docteur si un officiel assermenté par l'etat. ou un fonctionnaire venait et me demandait de prendre en charge la petite je ne pourrais pas m'y opposer
Dr : et dit moi shérif un officiel à ce que ça inclut aussi le corps médical.
shérif : bien sûr tout ce qui est médecin, docteur et oooooohhhh.................
à ce moment-là le shérif comprit rapidement ou le Dr voulait en venir
shérif : ne me dite pas que vous voudriez.....
Dr : et pourquoi pas shérif
shérif : vous seriez vraiment prêts à vous porter garant pour elle
Dr : pour aider la petite oui
qu'est-ce que ça veut dire mon chéri demanda Clarisse
Dr : de part mon statut de médecins je suis reconnu comme étant un officiel assermenté de l'état.
Clarisse : ce qui veut dire ?
Dr : que j'ai parfaitement le droit de réclamer la garde de cet enfant.
En tant que docteurs en psychanalyse Joseph Robinson avait un statut de fonctionnaire sa récente mobilisation à Brayton wood's en était la preuve,illégalement il avait le droit de demander la garde de l'enfant à la condition bien entendue que le shérif accepte
Dr : si je fais une demande officielle a mon service et que je suis appuyé par une recommandation de la part d'un homme de loi,à ce moment-là les services sociaux ne pourraient plus rien faire
Clarisse : est à ce moment-là que se passerait-il
Dr : je pourrais devenir légalement le tuteur de cette enfant
Clarisse : c'est une merveilleuse nouvelle Docteur.
Dr : c'est la meilleure chose qui puisse lui arriver, avec moi cet enfant à ura plus de chances de s'en sortir.
Clarisse : qu'attendez-vous pour le faire
Dr : cela ne dépend désormais que du shérif.
shérif : moi
Dr : oui vous, cet enfant est sous votre responsabilité shérif si vous me déléguez cette responsabilité de façon officielle les services familiaux ne pourront plus rien faire
shérif : je crois bien voir un formulaire pour ce genre de cas
Dr : c'est parfait avec d'autres accords il vous suffit juste de me faire signer le formulaire adéquat et ainsi vous me transférez la garde de cette enfant.
shérif : mais cela risque de vous coûter cher
Dr : je prendrai à ma charge les frais d'hospitalisation.
La proposition était pour le moins hors normes le docteur allait engager sa propre responsabilité pour une enfant inconnue mais l'argument était plus que convaincant et la sollicitude que le docteur avait fait preuve envers l'enfant avait suffi à convaincre le shérif
shérif : très bien Docteur je vais faire le nécessaire
Dr : merci shérif.
Une fois que les papiers seront remplis et signés le docteur deviendra légalement le tuteur médical de la petite bien sûre il allait devoir payer de sa poche tous les frais d'hospitalisation mais de l'argent le docteur en avait, et la il allait s'en servir pour une bonne cause.
shérif : toutefois il y'a encore un problème à résoudre.
Dr : lequel shérif ?
shérif : je veux bien vous déléguer la responsabilité de cet enfant mais le problème c'est qu'elle n'as pas d'état civil il va falloir lui en créer un.
Dr : en somme il va falloir lui donner une identité de substitue
shérif : c'est tout à fait sa docteur, il lui faut un nom et un prénom
Dr : bon pour le nom ce n'est pas un problème, je pourrais lui donner mon nom de famille étant donné que je vais devenir son tuteur légal.
shérif : très bien je note Robinson pour le non et comme prénom que voulez voulu donner
Dr :euh l'a par contre que j'en ai pas la moindre idée.
Il n'était pas évident de choisir, pourtant il fallait donner un prénom à l'enfant,ce n'était pas ce qui manquait, tout le monde se mit alors à réfléchir pour trouver un prénom qui pourrait bien convenir à la petite, l'adjoint fut le premier à faire une proposition
Johnson : et si on l'appelait Marge.
Marge !!! où êtes-vous allé pécher un prénom pareil lui demanda le shérif
Johnson : c'était le nom de mon ex copine au lycée.
Clarisse : voulez quand même pas l'appeler Marge s'est pas sérieux.
shérif : on va pas lui donner le nom de votre ex quand même.
Johnson : bon trouvons autres choses.
Dr : dans ces cas-là pourquoi ne l'appellerait-on pas Joséphine
shérif : pardonnez-moi de vous faire la remarque docteur mais vous vous appelez bien Joseph
Dr : en effet
Clarisse : je ne trouve pas que ce soit très original
Johnson : Marge c'était mieux
shérif : la ferme Johnson
Clarisse : j'en ai un qui est pas mal
Dr : que proposez-vous
Clarisse : et que pensez-vous de Clara
Dr : et c'est vous qui me reprochez de ne pas être originale.
shérif : là ma chérie le docteur a raison
Bon sens qui aurait cru que ce serait aussi difficile de trouver un prénom pour une gamine. lança alors l'adjoint
Britney, Lara,Carmen, Samantha, Lucy, kimberly, tous les prénoms du calendrier furent passés à la moulinette mais aucun ne semblait plaire,l'adjoint se risqua encore à faire une autre suggestion pour le moins étonnante.
Johnson : j'en ai un autre si sa à vous intéresse
Dr : dite toujours
Johnson : et que pensez-vous de Aelita.
Dr : Aïda !!!!!
Johnson : non Aelita.
shérif : c'est quoi comme prénoms ça ? c'est russe ?
Dr : j'ai jamais entendu un prénom pareil.
Johnson : c'est le prénom que porte le personnage d'un vieux film en noir et blanc de 1927.
Des fois Johnson je me demande vous vous allez chercher des idées pareil lui dit le shérif.
visiblement ce nouveau nom ne semble pas faire l'unanimité pourtant ce n'était pas une mauvaise idée qu'avait eue l'adjoint Johnson en cherchant dans les vieux classiques du cinéma un prénom qui pourrait convenir à la petite.
Clarisse : quand vous aurez fini de dire des bêtises peut-être pourrait et de lui trouver un nom
Johnson : moi je trouve pourtant c'était joli c'est un prénom qui lui irait bien pourtant.
shérif : soyons sérieux un instant, il faudrait lui trouver un prénom qui correspond à sa personne.
Dr : vous avez raison quelque chose qui lui soit propre, qui la définisse bien
Clarisse : on pourrait lui donner un prénom qui serait en rapport avec son physique
Dr : c'est une bonne idée vous avez une suggestion
Clarisse : on pourrait l'appeler saphir en rapport avec la couleur de ses yeux
Dr : je ne crois pas que ce soit bien approprié.
Johnson : sinon on pourrait l'appeler rose ça irait bien avec la couleur de ces...
Rose vous croyez vraiment que c'est un prénons qui lui va bien dit le shérif
Johnson : c'est sûr que ça serait difficile de l'appeler barbe à papa.
Dr : Messieurs soyez sérieux je crois bien avoir trouvé la solution
Le dioctur s'avança vers la petite fille et lui dit
Dr : écoute on voudrais te donner un prénom tu sais ce que c'est qu'un prénoms :
la petite fille hocha de nouveau la tête pour lui signifier que oui
Dr : tu vois moi je m'appelle Joseph, la madame elle s'appelle Clarisse le gros monsieur lui c'est Peter et adjoint Johnson c'est..... au fait c'est quoi votre prénom ?
Johnson : je m'appelle Harry
Et lui c'est Harry dit le docteur en désignant l'adjoint.
Dr : et moi je t'ai trouver un prénom par lequel on va t'appeler ,comme tu es une nouvelle et que tu sembles découvrir ce monde il est normal qu'on te souhaite la bienvenue, aussi je vais t'appeler Maeva
shérif : Maeva ?!!
Johnson : Maeva ?!!
Clarisse : Maeva.... je trouve ce prénom très joli docteur ça fait ça fait un peu noms des îles
Dr : c'est en effet un nom des îles qui signifient "bienvenue"
Clarisse : c'est en effet un nom qui risque bien de lui coller
Dr : alors qu'est-ce que tu en penses, Maeva est-il prénom qui te plaît
la petite fille fit un signe de la tête et afficha un grand sourire visiblement le prénom que lui avait choisi le docteur lui plaisait énormément, tout le monde dans la pièce fut unanime.
Dr : alors désormais tu t'appellera Maeva....
Quartier général du MI5 -Angleterre - 13 septembre 2004 - 09 h 24
De retour au quartier général du MI5 les deux agents très spéciaux devaient a présent étudier en détails les documents qu'ils avaient ramené de la société Quantum Conductivity, dans l'espoir de trouver une piste ou un indice qui pourrait les mener a l'organisation Xana.
Alors que le major Cartwright s'affairait au niveau des archives,dans une autre pièce le colonel Perec s'entretenait avec le lieutenant Fraggle,mais leur discussion ne portait pas sur les agissements de l'organisation Xana nous a ni même sur la bonne tenue de leur mission, non !! leurs discussions étaient beaucoup plus terre à terre, elles concernaient le major Cartwright.
C Perec : alors c'est sur lieutenant vous ne voulez vraiment pas me le dire.
L Fraggle : je m'excuse Sir mais c'est confidentiels.
C Perec : je ne vois pas ce qu'il y a de confidentiels à connaître le prénom du major.
Depuis que leur enquête avait commencé le colonel ignorait toujours le prénom du major Cartwright, et cela n'avait pas été faute de lui demander sur le chemin du retour, mais cette dernière c'était toujours retrancher derrière le protocole militaire qu'il fallait observer et comme les déplacements du colonel était limité à l'intérieur du quartier général ils n'avait trouvé personne qui serait susceptible de le renseigner, seul le lieutenant Fraggle était en mesure de lui donner cette information,mais celui-ci n'était pas spécialement disposé à le faire, il craignait beaucoup trop les réactions de son supérieur.
L Fraggle : mon colonel si je vous donne cette information le major sera que la fuite viendra de moi.
C Perec : promis je vous jure que je ne lui en soufflerait pas un mot.
L Fraggle : j'ai votre parole.
C Perec : vous avez ma parole d'honneur d'officiers.
L Fraggle : très bien mon colonel je vous fais confiance, alors son prénom c'est A.....
Mais avant que le lieutenant eut le temps de finir sa phrase le Major entra dans la pièce les bras chargés de dossiers,cela c'était jouer à une seconde le colonel venait encore de perdre une occasion de connaître le prénom du major,par bonheur celle-ci n'avait rien entendu de leurs discussions, elle déposa sur la table son paquetage,le poids de toute la paperasserie fit un bruit significatif qui n'était pas étranger au colonel.
C Perec : eh bien Major peut ont savoir ce que vous nous avez amené ?
M Cartwright : ceci est le détail complet de tous les achats effectués par la société Quantum Conductivity depuis ces 2 dernières années.
le nombre de dossiers empilés les uns sur les autres laissaient à penser que la société n'avait pas fait de petites économies,mais où diable le major était-elle allé chercher tout ça ?
eh bien Major vous avez dévalisé les archives nationales dit le colonel non sans humour.
Colonel épargnez-moi votre humour lui répondit aussitôt le major CartWright
Décidément le major était vraiment une indécrottable pince-sans-rire, cela lui arrivait seulement de sourire des fois, le colonel commençait à en douter, mais le major était apparemment le genre de personnes qui s'appliquent à fond dans son travail et qui laisse peu de place à la distraction dans celui-ci,est vu le nombre de dossiers qu'elle venait d'amener elle risquait bien de contaminer tout le monde avec sa frénésie du travail,à la seule perspective d'avoir à éplucher tous ces dossiers le colonel en avait déjà mal à la tête.
C Perec : sérieusement Major vous ne compter tout de même pas éplucher tous ces dossiers.
Je ne les est pas amener ici pour décorer la table lui répondit le major.
Je m'en doute bien lui fit le colonel avec un air assez perplexe.
Il fallait comprendre la réaction du colonel, celui-ci avait passé pas moins d'une année aux archives nationales de son pays en tant qu'analystes , à force de jouer les grattes papiers à éplucher divers dossiers pendant des heures et des heures le colonel avait développé une certaine allergie à la paperasserie, et lorsqu'on lui avait proposé cette mission il avait vu la l'occasion de repasser dans le service actif est de devenir agent de terrain, il se voyait mal passer le reste de sa vie comme un petit bureaucrate et voilà que le major le replongeait automatiquement dans le cauchemar administratif,le pauvre militaire en arrivait même à regretter les champs de bataille,au moins quand un ennemi veut vous descendre ils ne le fais pas en trois exemplaires.
je commence déjà à regretter les enquêtes de terrain se dit-il.
Je n'aurais jamais pensé qu'un officier de votre trempe se laisserait impressionner par quelques rames de papier ironisa un peu le major.
De l'humour voilà qui était nouveau de la part du Major certes ce n'était pas le plus drôle qui soit mais c'était déjà un bon début,et comme pour répondre à cette petite attaque le colonel répliqua au major qu'il était presque devenu un expert en matière de paperasserie, il connaissait le format des papiers sur le bout des doigts,le calibre des agrafes et toutes les règles de typographie.
M Cartwright : cela est très impressionnant colonel.
C Perec : est encore si vous saviez ce que je suis capable de faire avec un stylo à bille.
M Cartwright : je n'en doute pas colonel,il faut croire que vos journées étaient longues.
C Perec : long est encore un peu trop court pour dire à quel point c'est chiants de jouer les analystes.
M Cartwright : je comprends que cela puisse nous rebuter quelque peu.
C Perec : votre sollicitude me touche Major
M Cartwright : j'en déduis surtout que vous êtes parfaitement rôdé cet exercice
C Perec : je me suis fait avoir pensa le colonel
de toute évidence le colonel ne pourrait pas couper à cet exercice il prit en main le premier dossier qui se trouvait au dessus de la pile ,celui-ci contenait un détail précis de toutes les factures concerne les achats allant de la période du 01/01/ 2002 au 01/02/ 2002 et la liste semblait encore longue.
C Perec : dite moi Major tous ces dossiers concernent il la société Quantum Conductivity .
M Cartwright : bien sûr que non colonel,j'ai également amener les rapports des autres sociétés qui ont subi les mêmes attaques.
C Perec : et qu'est-ce que vous espérez y trouver
M Cartwright : je cherche le mobile de Xana.
C Perec : un mobile dites-vous !!
M Cartwright : comme vous le savez, les agissements de l'organisation Xana sont bien mystérieux,nous avons affaire à un ennemis étrange qui n'attaque pas de façon conventionnelle et dont les objectifs sont flous.
C Perec : c'est précisément leur objectif que nous essayons de découvrir
M Cartwright : mais contrairement à avant nous avons déjà plus d'information a son sujet
C Perec : oui mais maintenant nous savons que Xana envois des décharges de 500 000 W dans les ordinateurs pour les faire exploser.
M Cartwright : avec cette information nous avons les moyens d'établir une contre-mesure efficace,pour ce faire nous pourrions équiper les réseaux informatiques de barrière de protection contre les surcharges.
C Perec : ce serait une solution mais comment ne pas bloquer les informations en même temps ?
M Cartwright : tous simplement en isolant les conducteurs électriques du réseau aux points stratégiques, ainsi aucune surcharge ne serait susceptibles de passer.
Le major se lança alors dans une explication technique très complexe de la méthode qu'elle comptait employer pour faire barrière a Xana, le colonel était un peu perdue devant toutes ces explications scientifiques à laquelle il ne comprenait pas un traître mot, pourtant la solution que proposait le major avait l'air efficace, cependant un détail avait chiffonné le colonel cela concernait la dernière attaque qu' avait lancé Xana.
C Perec : votre approche du problème me semble correcte major, toutefois il y a un détail qui cloche dans votre explication.
Laquelle demanda le major Cartwright qui ne voyait pas où il pouvait y avoir une faille dans son explication.
C Perec : vous avez dit que Xana utilisait les réseaux informatiques pour envoyer les décharges électriques pour détruire les super-calculateurs, c'est bien ça
M Cartwright : tout à fait ils passent par les conducteurs électriques qui relie entre eux les différents terminaux.
C Perec : est si bien ça qui cloche il s'avère que le super-calculateur de la société Quantum Conductivity n'était reliée à aucun réseau filaire.
qu 'est ce qui vous permet d'affirmer sa mon colonel.lui fit le major quelque peu perplexe.
C Perec : c'est tout simplement marqué dans le dossier que je tiens en main.
Le major se saisit du dossier que tenait en main le colonel, après une rapide lecture il apparut que le colonel avait raison il était clairement mentionné que le super-calculateur de Quantum Conductivity était totalement indépendant du reste du réseau informatique, il se posait alors un nouveau problème si les surcharges n'étaient pas amenées par le réseau électrique filaire comment l'énergie pouvait-elle être transmis.de toutes evidences les surcharges d'énergie qu'utilisait Xana n'etait pas conventionnelle.
M Cartwright : cela voudrait dire que Xana arriverait à agir depuis les réseaux sans fil
L Fraggle : se pourrait il qu'il envoie des décharges d'énergie par onde radio.
M Cartwright : c'est théoriquement impossible d'énergie électrique ne peut pas être transmises par onde radio.
C Perec : dans ces cas-là comment il fait pour atteindre les super-calculateur.
M Cartwright : il utilise peut être une transmission par satellite via des antennes a micro onde
C Perec : dans ces conditions il serait impossible de mettre en place une barrière efficace
M Cartwright : je vous l'accorde colonel il faudrait mettre en stand-by pour les systèmes de communication à la moindre alerte se serait impossible à gérer.
le mystère était entier s'il ne faisait aucun doute sur le faîte qu'une surcharge d'énergie était a l'origine des destructions la façon dont celle-ci étaient véhiculés était un vrai mystère, la conséquence directe était que par satellite tous les moyens de communication pourrait devenir une arme que Xana serait en mesure d'utiliser, a ce moment le colonel se hasarda a émettre ne théorie.
C Perec : finalement cela pourrait être ça le mobile de Xana.
M Cartwright : que voulez-vous dire colonel
C Perec : que le but recherché par Xana serait de brouiller les communications.
M Cartwright : un telle menace nous obligerais a couper nous meme nos réseau d informtion
C Perec : et au final le résultat serais le meme, que se soit nous ou l'ennemis nos réseaux serait hors service.
M Cartwright : admettons que Xana puissent détruire n'importe qu'elle système de communications , il ne peut pas le faire aussi facilement et cela pourrait devenir un avantage pour nous
C Perec : que voulez-vous dire ?
M Cartwright : en plus d'un système de barrière nous pourrions mettre en place un système de détecteurs.
C Perec : dans quel but ?
M Cartwright : nous savons que Xana agit a l'aide de surcharge, il apparait logique que celle ci ne sont pas instantanée car pour envoyer une telle énergie il faut bien qu'elle soit accumulée à un endroit, de plus pour bien cible son objectif Xana doit établir une sorte de près-connexion avant chaque attaque.
L Fraggle : les fameuse pulsation que nous dectectons avant chaque attaque
C Perec : dont si je vous suit bien de Xana utiliserait une brèche dans la défense des installations qu'il veut detruire.
M Cartwright : c'est exactement ça.
C Perec : alors des détecteurs placé sur les principaux points de communication.....
M Cartwright : .... nous permettrait de détecter son attaque,et comme le processus d'intrusion prend du temps, nous serions en mesure de détecter ou l'attaque serait lancée et de prendre les mesures adéquat pour nous défendre.
C Perec : selon vous cela nous laisserait une fenêtre de combien de temps pour agir.
M Cartwright : en théorie pour stocker et accumuler autant d'énergie il faut au moins une demi-journée.
C Perec : dont nous aurions 12 heures devant nous pour stopper une attaque.
M Cartwright : affirmatif mon colonel, si au moment les fluctuations sont détectées sur le réseau on arrive à déterminer leur objectif avant qu'ils ne lancent l'attaque nous serons en mesure de a contrecarrer, de plus notre champ de recherche est très facilitée puisque nous savons qu'il s'attaquent qu'au super-calculateurs.
cette fois ci la théorie du major Cartwright ne souffrais d'aucune faille le colonel en fut très impressionner par la vitesse a laquelle le major était retombe sur ces pied et comment elle avait réussi a retourner la situation a son avantage seulement a la suite des ces explication le colonel fut pris d'un nouveau doute.
C Perec : ce qui m'amène à me poser une question
M Cartwright : laquelle mon colonel ?
C Perec : peut-être nous trompons-nous sur les agissements de Xana
L Fraggle : que voulez-vous dire colonel ?
C Perec : jusqu'à présent Xana n'a fait que détruire des super-calculateurs.
M Cartwright : tous les dégâts qu'il à occasionner n'en sont la preuve.
C Perec : seulement vous l'avez vous-même rappelés Major, nous avons affaire à un enemis étrange qui n'attaque pas de façon conventionnelle et dont les objectifs sont flous
M Cartwright : et à quoi pensez-vous colonel.
C Perec : je pense que les destructions de super-calculateurs ne sont peut etre pas le but recherché par Xana.
l'hypothèse que venait d'annoncer le colonel surpris les deux officiers anglais comment celui-ci pouvait-il douter que le but recherché n'était pas la destruction alors que tous les dégâts occasionnés jusqu'à présent attestait du contraire, mais le colonel savais par instinct que parfois les apparence sont trompeuse ,et quelque lui faisait dire que tous n'était pas aussi simple que ça.
Si ces attaques ne sont pas destiner a détruire, que sont-elle alors demanda le major Cartwright
C Perec : pour moi ces attaques ne sont que des tentatives
M Cartwright : des tentatives pour faire quoi ?
Une prise de territoire répondit le colonel
Une prise de territoires ?!!! firent les deux officiers
M Cartwright : et qu'est-ce qui vous fait dire ça mon colonel ?
C Perec : c'est une supposition de ma part,mais ce pourrait bien que le but de Xana n'est pas de détruire mais de s'en emparer.
il est vrai qu'en temps de guerre detruire les infrastructures ennemis et parfois un objectif principal pour mener à bien une bataille, il arrive aussi que s'emparer d'un territoire fasse parfois parties des objectifs militaires, cette autre aspect avait échappé aux officiers anglais mais pas à la perspicacité du colonel qui s'appuyait sur le fait Que Xana ne visait pas des objectifs militaires mais civils.
M Cartwright : leur but serait une sorte de prises territoires
C Perec : tout à fait Major
L Fraggle : admettant qu'il veulent s'emparer d'un supercalculateur à quoi cela pourrait il leur servir ?
M Cartwright : il disposerait alors d'une puissance de calcul phénoménal, mais cela ne presente pas d'interet dans l'immédiat
C Perec : comme vous l'avez dit major nous ignorons tous des agissements de Xana c'est bien pour ça que nous cherchons un mobile
M Cartwright : pour reussir un tel exploit il faudrait que eux-mêmes soient en possession d'un super-calculateur pour en prendre le contrôle d'un autre.
L Fraggle : mais pourquoi ?
C Perec : bonne question, mais j'ignore la reponse.
M Cartwright : il est donc capital d'en apprendre un maximum sur notre enemis.
C Perec : apprendre à connaître ton ennemi pour mieux le surprendre comme disais l'autre
M Cartwright : c'est un extrait de l'art de la guerre.
C Perec : non, c'est mon entraîneur de football qui me disait ça tout le temps
à ce moment-là le colonel aperçu un début de sourire sur le visage du Major s'était bien première fois qu'elle se déridait un tout petit peu mais cela ne durera pas c'était une sorte de sourire étouffer,elle retrouva aussitôt son sérieux
M Cartwright : bon Messieurs il est temps de se mettre au travail, vous avez des dossier a etudier
C Perec : et vous major qu'aller vous faire pendant ce temps-là ?
M Cartwright : je vais voir si je peux mettre au point un protocole de détection
vous êtes capable de faire ça a dit le colonel.
M Cartwright : apprenez mon colonel que j'ai fait mes classes à la prestigieux LTI
C Perec : connaît pas.
L Fraggle : voyons c'est la plus grande université de technologie de Londres.
ça me parle toujours pas dit le colonel.
M Cartwright : est bien disons simplement que c'est la que j'ai étudie l'informatique et que j'ai décroché mon doctorat.
C Perec : très impressionnant
M Cartwright : j'ai peu de mérite j'ai eu la chance d'avoir comme professeur l'un des plus grands savants de notre pays.
C Perec : qui ça ?
M Cartwright : le professeur Yusuke Moritaka, d'ailleurs maintenant que j'y repense,il serait interresant que j'aille lui rendre une petite visite.
C Perec : croyez-vous Major que ce soit le moment de retourner sur les bancs de la classe pour faire un "p'tit coucou" Ã un de vos anciens professeurs
M Cartwright : détrompez-vous colonel ce ne sera pas qu'une visite de courtoisie surtout quand vous serrez que l'université à également un super-calculateur en sa possession
C Perec : ma foi voilà qui change tout
M Cartwright : et le L.T.I n'a pas encore été frappé par l'organisation Xana
C Perec : ce qui en fait fatalement une cible de choix pour eux
M Cartwright : ça me paraît évident.
C Perec : dès lors que nous pourrions peut etre nous servir de ce super-calculateur comme d'un appât.
M Cartwright : j'envisage cette possibilité ,mais avant cela il nous faut prendre contact avec l'université.
C Perec : allons reprendre nos identités d'agent d'assurances pour aller les voir
M Cartwright : cela ne sera pas nécessaire le professeur Moritaka a une très grande estime pour moi
C Perec : tient dont
M Cartwright : j'ai été la meilleur élève du campus a sortir avec un doctorat depuis ces 10 dernières années
C Perec : je le redis impressionnant
M Cartwright : je prends contact avec lui et j essais d'obtenir un rendez-vous au plus tôt Lieutenant Fraggle vous vous occuperait des modalités pour préparer un véhicule
L Fraggle : Ã vos ordres Major
C Perec : et en attendant je fais quoi moi ?
M Cartwright : colonel je vais vous apporter un dossier sur le L.T.I afin que vous en sachez un peu plus.
C Perec : très aimable a vous major
M Cartwright : après tout vous et moi nous avons travaillé ensemble
Le major et le lieutenant sortir de la pièce en y laissant seul le colonel, pour passer le temps celui-ci feuilleta les quelques dossiers que le major avait apportés, c'est alors que son téléphone se mit à sonner, ce qui intrigua pour le moins le colonel, le portable qu'il utilisait était une ligne sécurisée personne n'était censée pouvoir le joindre sur ce téléphone.
Il décrocha et sans prendre la peine de se présenter il demanda qui était à l'appareil mais personne ne lui répondit.....seule une succession de bips se faisait entendre en regardant son écran il vit que l'identification d'appel était signée d'un W majuscule
étrange fit le colonel.
compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 9
Dans six jours bientôt nous serons le 1er août,je peux dire que dans tous les laboratoires il y a une grande effervescence autour de la démonstration officielle.
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En particulier à notre niveau étant donné que la majorité des projets présentés sont pour la plupart tous originaires de la section 5
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Il ne s'agit pas là d'une exposition grand publique mais plutôt d'une fiesta privée, réservé à quelques privilégiés, parmi les invités il n'y a que du beau monde , des grands scientifiques,des industriels,des militaires et quelques éventuels investisseurs étrangers.
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A ce sujet d'ailleurs mes collègues sont très inquiets, selon des bruit de couloirs la santé financière de l'entreprise est au plus mal,la faute en incomberait à son patron directeur général le docteur Henry Hopkins,toujours selon ces mêmes rumeurs de mauvais investissements en seraient la cause.
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Conséquence de quoi des coupes massives dans le budget de la recherche a été établi afin de limiter les dégâts.
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Personnellement à mon niveau je n'ai pas encore ressenti le contrecoup de cette décision, c'est peut-être l'un des privilèges octroyés aux chercheurs de la section 5,il me paraît comme difficile de croire que l'entreprise pourrait être en faillite,si c'est le cas je commence à comprendre un peu mieux la nervosité dont Simon faisait preuve ces derniers temps
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Finalement je comprends toute la pression qu'il doit ressentir en temps que numéro trois de la société.
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si nous faisons faillite se serait vraiment la catastrophe,cela mettre un frein définitif à tous les projets de la section 5 a commencé par les miens.
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Mais j'ai bonnes espoirs, je crois que ce qui va nous sauver ce sera la présentation du projet spécial du laboratoire numéro 1 de la section 5, en effet j'ai appris de la bouche même de Simon que le Dr Hopper a décidé de présenter le projet Tanit.
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Et selon moi cela risque d'en épater plus d'un,j'aimerais bien que mes propres intelligences artificielles soient prêtes d'ici la,mais ça n'étonnerait que j'ai encore beaucoup à faire avec Vger 2.0
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Car grandes nouvelles j'ai réussi à réinitialiser le projet de base et ceci a l'aide des données recueillies par Vger 1.0 et plus précisément grâce au premier protocole que j'ai décrypte vous savez celui qui a la forme d'une tour.
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il s'est avéré que cette technologie était compatible avec mes propres recherches
dès lors grâce à un petit exercice d'interfaçage de ma part j'ai réussi à intégrer le beta de ma sonde à l'architecture virtuelle de cette tour,la transformation qui en a résulté a dépassé toutes mes espérances.ainsi est né Vger 2.0
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cette nouvelle version de ma sonde est encore plus perfectionnée que l'ancienne,la première version de Vger était basée sur mes théories et celle-ci souffrait de nombreuses lacunes,en particulier la vulnérabilité de son coeur.
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Mais aujourd'hui tout ceci appartient au passé, Vger 2.0 est beaucoup plus perfectionné son coeur est désormais mieux protégé de toute attaque extérieure et ceci quelle que soit la forme que ma sonde prendra, de plus elle pourra transporter des programmes sans avoir à les compresser,elle sera en mesure de s'interfacer avectous les environnements qu'elle rencontrera.
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On peut dire que de simple sonde elle est passé à celle de sous-marins multi -agents
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Oui je sais toujours cette approche métaphoriques d'un océan numérique qu'est le réseau,mais bon grâce à sa mise a jour nous sommes à l'aube d'une grande révolution,car Vger 2.0 sera le programme que je vais présenter lors de la démonstration.
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Un nouveau protocole de transfert et de protection des données,un système innovant et unique en son genre,un système de transport des données fiables et indestructibles.
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Quasiment indestructible devrais-je dire car la dernière fois je n'ai pas pu empêcher les antivirus de l'autre monde d'endommager mon premier prototype, mais je ne commettrai pas deux fois les mêmes erreurs.
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il faut dire que sous sa forme de flèche Vger 1.0 était bien trop vulnérable, cela explique pourquoi les anti-virus ont réussi à l'endommager.
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Sous sa nouvelle forme le coeur de Vger 2.0 sera parfaitement protégé,ce qui devrait lui éviter pas mal de désagréments.
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Voilà c'est tout ce que j'avais à dire dans mon rapport du jour quoi que.....
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toutefois pour des raisons personnelles il me tarde d'être le premier août et pas seulement pour montrer mon nouveau jouet.
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Simon ma fait parvenir la liste des invités hors en jetant un coup d'oeil dessus j'ai pu voir que figuraient le nom de trois crétins que je ne pensais pas revoir de sitôt.
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Les biens nommés professeur Weller zalinski et Moritaka
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quelque part ça va me faire drôle de me retrouver face à eux, la dernière fois que je les est vu ça remonte à il y a plus d'un an et je garde un très mauvais souvenir de notre dernière entrevue.
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Mais cette fois-ci c'est moi qui vais leur en mettre plein la vue à ces imbéciles, à mon tour de les prendre de haut car depuis l'université les choses ont bien changé.
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je suis devenu chercheur de la prestigieuse entreprise Cyclotron, est j'ai maintenant accès à un super-calculateur à côté duquel celui de l'université fait office de calculatrices de poche
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je vais pouvoir leur montré que mes théories étaient justes et cette fois-ci c'est moi qui aurais le dernier mot.
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LTI ( london tecnhologie institute) 24 mai 2004
Le jour fatidique arriva Arnaud devait passer devant la commission qui devait évaluer sa thèse, Arnaud était particulièrement tendu, le jeune homme n'arrivait pas à tromper son inquiétude la nuit dernière il avait très mal dormi et le réveil n'en fut que plus difficile.
Et il avait de quoi être stressé aujourd'hui il jouait son avenir est s'il échouait il pourrait dire adieu à la vie universitaire ainsi qu'à son futur doctorat,il avait beau relire ces fiches et tourner en rond dans sa tête son argumentation il savait que la partie ne serait pas évidente,il connaissait très bien quels était les points faibles de son exposé et il suffirait simplement que l'un des professeurs appuient dessus pour tout compromettre.
la cloche sonna pour indiquer qu'il était 11 heures,le temps était venu pour Arnaud de faire ses preuves,quand il rentra dans la salle il ne pu s'empêcher de voir que les trois principaux professeurs lui jetaient un regard dédaigneux, ils avaient là une occasion de prendre leur revanche sur l'humiliation publique que le jeune homme leur avait fait subir, et ils n'allaient pas se priver d'épingler le jeune homme à la moindre erreur.
Courage se dit Arnaud dans sa tête
"tu peux le faire"
Il posa un exemplaire du dossier devant chacun des professeurs et se rendit vers le tableau pour commencer sa présentation si les deux autres professeurs avaient déjà ouvert leurs dossiers pour en examiner le contenu le trio infernal lui se contentait simplement de laisser ses mains posées dessus, il était évident qu'ils n'étaient pas prédisposer à lire ce qui étaient écrit dedans.
Parfait M. Morillon nous vous écoutons lui dit le professeur Weller
il y avait la voix de son professeur un petit quelque chose de méprisant qui ne passa pas inaperçue
Arnaud : eh bien Messieurs les membres du jury, voici ma thèse sur la régénération virtuelle,pour consolider mon argumentation vous trouverez également ci-joint une deuxième thèse qui traitent des intelligences artificielles tout au long de mon explication je vais vous démontrer que ces deux-là sont parfaitement compatibles.
Arnaud commença alors son exposé sur la régénération virtuelle en expliquant au jury les principes de base de sa théorie
Arnaud : comme vous le savez les lois de l'informatique sont basées sur une logique mathématique très complexe,plus généralement présentée sous la forme de données binaires faite de un et zéro, tous les procédés sont régis sur un système de porte logique et d'état actifs et inactifs à partir de quoi nous concevons des programmes.
Weller : vous ne nous apprenez rien de nouveau M. Morillon
Arnaud : je vous pose la les bases afin que vous puissiez bien comprendre mon procédé,hor ces programmes sommes obligés d'être stockés sur des supports fixes car ils ne peuvent rester indéfiniment sous l'état de mémoire vive et c'est à partir de ce moment-là que tout se complique.
"Le support sur lequel repose les données est susceptible de subir des dégâts conséquence de quoi les programmes sont endommagés, il se produisent alors des anomalies que nous appelons généralement des beugs"
"hors les beugs sont un véritable fléau ils peuvent transformer un simple programme en un virus et sans un contrôle permanent d'un technicien ou d'un programme spécifique tout ceci peut avoir des répercussions catastrophiques. "
"je cite en exemple les ordinateurs de bord des avions ceux des sous-marins, les réseaux informatiques de gestion de l'énergie , et dans le cas d'une anomalie une rapide intervention humaine est nécessaire,mais cela n'est pas sans poser de problèmes cela nécessite de l'argent des moyens des connaissances et surtout du temps.
hors le temps et parfois un facteur qui fait cruellement défaut dans ce genre de problème,en conséquence de quoi ses beugs peuvent avoir des répercussions catastrophiques.
hors je vous annonce que grâce à mon procédé les beugs appartiendront désormais au passé grâce a la mise au point d'un nouveau système algorithmique qui pourrait mettrait au programme de se réparer eux-mêmes.
Des programmes qui se réparaient à même ?!! dit alors le professeur Moritaka.
Arnaud : c'est parfaitement exact tout repose sur un système de compression des données extrêmement révolutionnaires que j'ai mis au point,à l'avenir chaque programme pourrait être équipée d'un coeur de régénération qui contiendrait les données relatives aux programmes.
pouvez-vous nous en expliquer le principe M. Morillon demanda le professeur zalinski .
"le coeur scannerait automatiquement le programme dans lequel il se trouve et si celui-ci comporte une anomalie il entamera automatiquement un processus de réparation,d'où la notion de régénération, car la régénération est un procédé qui se fait en interne"
"de plus le système de compression révolutionnaire de ce coeur et permettra un stockage optimal des données, par exemple un programme d'une taille de 1 Go octets une fois compressée dans le coeur du système pourrait à peine prendre une centaine de méga-octet"
" Mais ça ne s'arrête pas là le coeur a aussi la propriété de scanner d'autres informations un programme pourrait donc devenir évolutif et c'est la Messieurs que je rejoins avec une intelligence artificielle"
Arnaud fit alors la présentation de sa deuxième thèse basée sur les intelligences artificielles avec la même éloquence il expliqua comment à partir d'un modèle de base d'intelligence qu'il avait déjà créée il suffirait d''intégrer des profits de personnalités calqué sur un modèle humain, pour Arnaud les intelligences artificielles ne devaient être construits que sur un modèle humain il fallait donner un corps virtuel a l'IA et la faire évoluer de façons naturelle en faisant son éducation.
Le jury fut très perplexe sur cette histoire d'intelligence artificielle qu'il faudrait éduquer comme un enfant de plus cette explication un peu farfelue ne reposait sur rien de précis
Un programme capable de se réparer et d'évoluer à partir des informations qu'il assimilerait deviendrait forcément plus intelligent selon Arnaud.
C'est très intéressant ce que vous dites ,tousdefois je dénote une grave erreur dans notre explication dis alors le professeur zalinski
Arnaud ; laquelle ?
zalinski : si je vous comprends bien votre programme serais capable d'évoluer par lui-même
Arnaud : d'une certaine manière oui
zalinski : dans ces cas-là qu'est-ce qui empêcherait votre programme de déraper
Arnaud : que voulez-vous dire ?
zalinski : si une intelligence artificielle apprend par elle-même elle finira par acquérir son autonomie.
Arnaud : c'est un peu le but recherché,
zalinski : alors qu'est-ce qui empêcherait votre intelligence artificielle de devenir mauvaise.
Arnaud ; mauvaise !!!
zalinski : si elle peut raisonner par elle-même pourquoi devrait elle obéir aux ordres des êtres humains
Arnaud : pour éviter ce problème il faut mettre en place un système de barrières de moralité,des sortes d'inhibiteurs de personnalités programmé selon les trois règles de la robotique.
zalinski : ne seriez pas un peu trop fan de Issac Asimov
Arnaud : nullement mais ces règles sont selons moi universel.
Moritaka : mais elles ne reposent sur rien de concrets c'est juste de la science fictions
zalinski : veuillez notez chère collègue que le système de compression conjuguée à un programme d'intelligence artificielle serait la porte ouverte au piratage et aux vols de données Weller : c'est indéniable avec un tel procédé n'importe qui pourrait s'introduire dans un système en copier les données et repartir aussi vite
Arnaud ; seul des personnes malveillante pourrait en faire une utilisation malhonnête,mais cela n'arrivera pas.
Moritaka : et quelles garanties pouvez-vous nous donner à ce sujet
Arnaud : aucune pour le moment mais il est toujours possible d'empêcher ce genre de dérapage
zalinski : de quels maniere mr Morillon
Arnaud : c'est un point que je n'ai pas pris la peine de dévellopper.
zalinski : voila qui fait un peu bâcler.
Weller: peut-être pourriez-vous nous en faire une démonstration
Arnaud : pour le moment cela m'est impossible crée un tel coeur nécessiterai d'avoir accès à une puissance de calcul assez conséquente, et pour le moment les ordinateurs conventionnels ne peuvent pas fournir la puissance nécessaire seule les super-calculateurs sont....
mais Arnaud fut coupé dans ses paroles par le professeur Weller qui revenait à la charge de plus belle
Weller : donc si nous comprenons bien votre projet n'est que théorique pour le moment vous ne pouvait nullement apporter la preuve qu'il fonctionne.
Arnaud ;je n'en ai pas encore les moyens certes mais....
Je crois monsieur que tout est dit a ce moment-là le professeur weller a ces autres collegue.
Visiblement le jury n'avait pas l'air très convaincu, Arnaud se retrouve alors dans une fâcheuse posture ce qu'il avait tant redouté étaient arrivé il ne pouvait pas démontrer que ces théories étaient fonder, car il n'en avait pas les moyens techniques pour les mettre en oeuvre et comme il l'avait prévu les trois professeur ne furent pas tendre avec lui, jusqu'au bout il essaya de défendre ses théories mais visiblement sans succès.
Après un court moment de délibérations le jury finit par rendre son verdict celle-ci fut fut sans équivoque , sa thèse fut rejetée car elle fut considérer comme une énorme spéculation scientifique
""la régénération virtuelle concept fantaisiste"" d'après le professeur Moritaka
""des programmes informatiques qui seraient capables de se réparer eux-mêmes" utopie scientifique argumenta par le professeur Weller
""et les intelligences artificielles si c'est si faciles d'en créer pourquoi ne l'avez-vous pas déjà fait M. Morillon lui fit adroitement remarquer le professeur zalinski.
à la fin de la séance Arnaud quitte la salle sans ajouter un mot, de leur côté les trois professeurs riaient intérieurement, quand il rentra dans sa chambre Arnaud tapa du poing contre le mur à la grande surprise de Jack qui n'avait jamais vu son colocataire agir de la sorte plus que jamais Arnaud avait profond dégoût pour les institutions
enfoirés de bâtard dit-il
Jack comprit tout de suite ce qui c'était passé et ne pu feindre d'étonnement ,il savait à quel point son ami avait travaillé dur sur sa thèse et qu'à cause de la rancoeur que lui portait 3 scientifiques de renommée ,tous ses espoirs venaient d'être balayés en un instant, les clés du futur venaient de lui être refusés.
Jack voulut faire preuve de sollicitude envers son ami, il préféra argumenter à sa manière
on devrait leur casser la gueule à ces bâtards dit-il a Arnaud.
Maigre consolation de la part de son ami, il venait de perdre la seule chance qu'il avait un jour pour travailler sur un super ordinateur,
Tu auras peut être ta chance ailleurs lui fit jack
Arnaud : pas dans une université en tous cas ni meme dans une entreprise privée.
Jack : dis pas ça je suis sur que des gens seraient intéressés par tes idées
Arnaud : aucune entreprise privée ne voudra accepter les délires d'une thèse qui n'a même pas pu être accréditée par une haute autorité scientifique
Jack : vu comme ça tu n'as pas tord.
Arnaud : a cause de ces trois enfoirés le monde va sûrement passés à côté d'une grande découverte.
Arnaud n'avait vraiment pas le moral il broyait du noir a tous les étages et comme pour ajouter à son malheur le surveillant des chambres Mr gonzales fit éruption dans la pièce
Arnaud M. le recteur veut te voir tout de suite lui hurla presque M.Gonzales
Cette annonce fut sans surprise pour Arnaud qui savait très bien ce que cette convocation signifiait, le refus de sa thèse avait marqué la fin de ses études désormais il pouvait faire une croix sur la vie l'université et sur son doctorat,mais tant pis il serait décidé à se battre et irait s'il le faut faire ses classes dans une autre université.
Ce fut le pas lourd que Arnaud se rendit dans le bureau du recteur, il n'avait pas spécialement envie de le voir, mais si il n'y était pas aller de son plein gré ce serait M. Gonzales qu'il y aurait envoyé de force, mais maintenant quelle importance cela pouvait-il encore avoir ? tout ce que serait susceptible de lui dire le recteur. Arnaud s'en foutait éperdument
Ce jour-là Arnaud en voulait à la terre entière.
Chapitre 08 les clés de Lyoko
Laboratoire 8 août 2005
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Décidément je crois bien que je n'arriverai jamais à voir le bout de cette histoire, le projet T est beaucoup plus compliqué à mettre en oeuvre que je ne l'aurais pensée.
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Pourtant au départ cela me paraissait si facile.
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Seulement voila Il y a tellement de paramètres de vecteurs dont je dois tenir compte, et surtout il ne faut rien négliger pas meme la moindre petite virgule sur le code source, la plus infime erreur pourrait avoir des conséquences catastrophique.
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Outre mon savoir en mathématiques et en informatique, il faut que je fasse appel à des connaissances en physique nucléaire.
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Et sur se point la j'ai plutôt intérêt a faire gaffe, franchement j'ai pas envie de faire exploser Lyoko et le super-calculateur au premier essai.
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Coûte que coûte je dois trouver un moyen de stabiliser le dégagement d'énergie..... peut être qu'en augmentant la résistance du champ de force de l'enveloppe virtuel j'arriverai a canaliser la déflagration.
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Plus facile a dire qu'a faire.
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Comme s'il était simple pour une personne de contenir une explosion atomique dans le creux de ses mains, alors un corp entier vous imaginez.....
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De plus la destruction moléculaire consomme plus de 40 % de la masse totale du corp lors de l'activation du procédé, la réactions en chaîne qui s'en suit finis de consumer les 60 % restant, ce qui veut dire qu'un Lyoko guerrier ne peut pas rester indéfiniment dans cette état second.
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En d'autres termes le procédé est limité dans le temps, selon mes calculs j'estime cette durée a moins d'une minute, au delà les conséquences sur l'organisme serait dangereuse pour son utilisateur... voir mortel en cas d'utilisation prolongée.
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Une minute pour vaincre sa peut paraître cour, mais vu la puissance déployer a se moment la, sa parais faisable, surtout s'ils si mettent a plusieurs.
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Mais une durée accrue serait quand meme souhaitable .
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La solution la plus évidente pour palier a ce défaut serait d'utiliser une matrice d'énergie renouvelable et infini, mais a ce jour il n'existe rein de telle dans le monde.
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Mais je ne désespère pas, je sais que je vais y arriver, je sais que je peux y arriver, c'est ce que me dirait Aelita si elle était la.
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AELITA...
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Pour toi Aelita je réussirait quoi qu'il m'en coûte, et quelque qu'en soit le risque.
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J'ai appris depuis longtemps que même quand la situation semble désespéré , il y a toujours un espoir.
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Est aujourd'hui l'espoir c'est tous ce à quoi je peux me raccrocher.
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Un jour j'ai bien cru que je t'avais perdu, est alors que tous semblais perdu et que Xana avait gagner, un miracle était survenu.
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En suis-je donc réduit à croire aux miracles ?
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Oui je dois y croire pour toi ... pour nous.
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois sixième partie.-----------------------------
Cela faisait 5 mois que Aelita était arriver sur terre, 5 mois que nous continuons la lutte dans le plus grand secret, dans la mesure du possible nous évitions les retours dans le passé pour ne pas renforcer Xana.
Si Aelita s'habituait de plus en plus à la vie terrestre, de mon côté je continuais mes recherches pour trouver un anti-virus,mais plus le temps passait et plus je me disais que la solution au problème devait se trouver dans les notes de Franz Hopper, la fausse réplique que Xana nous avait envoyée n'a fait que confirmer mes doutes.
Mais ce fut par l'intermédiaire de Sissi que mes doutes devinrent une certitude, à l'aide d'une tour dont il avait réussi à prendre le contrôle Franz Hopper nous avait fait parvenir un message codé.
Il disait vouloir nous aider et sur ce point-là je n'avais pas de doutes,pour que Xana s'emploie avec tant d'ardeur à nous cacher l'existence de Hopper, tous les subterfuges qu'il a employé pour nous empêcher d'entrer en contact avec lui, il était facile d'en déduire que Xana avait très peur de Franz Hopper.
Dès le début cela apparu comme une évidence,le faîte que Xana m'est fait détruire les disquettes informatiques était pour moi la preuve que leur contenu était une menace réelle pour Xana, mais ayant réussi à les sauvegarder dans une zone protégée du super-calculateur,il était devenu pour moi prioritaire d'en décrypter le contenu, peut-être y trouverai-je a l' intérieur le moyen de guérir Aelita.
Le seul moyen de déchiffré ces données était d'utiliser la puissance du super-calculateur, et seul Aelita pouvait faire ceci, à l'aide d'une tour du passage que j'ai activé a notre profit j'ai dérivées de l'énergie pour augmenter la puissance de calcul et nous commençâmes le décryptage des données qui étaient contenues sur les disques numériques.
Là encore Xana avait tout fait pour essayer de nous en empêcher et ce jour-là et il a bien failli réussir seule une intervention inopinée de Franz Hopper nous a permis encore une fois d'éviter le pire.
Les données cryptées étaient en fait le journal vidéo de Franz Hopper ,ce que nous allions apprendre allait bouleverser notre connaissance de Lyoko n'est plus encore celle de Aelita.
Et quelque choc cela fut pour elle de savoir quelle était humaine,et qui puisait la fille de Franz Hopper.
Dès lors tous ces rêves étrange donc elle faisait l'objet avait maintenant un sens il était les souvenir de sa vie passé.
Son père était le créateur du super-calculateur,c'est lui qui avait donné la vie à Lyoko et pour notre plus grand malheur il avait aussi créé Xana.
nous en apprîmes même un peu plus de la nature réelle de Xana a la base celui-ci était un programme d'attaque conçue pour détruire un mystérieux projet dénommé Carthage.
Encore Carthage !!
Nous savions que le cinquième territoire s'appelait Carthage et qu'il était le lieu où vivait Xana mais nous n'aurions jamais pensé que Xana puisse être à l'origine un programme destiné à nous protéger.
Xana un protecteur !!!
Cela pouvait paraître fou a croire mais selon les explications de Franz Hopper le projet Carthage était une menace qu'il fallait détruire, un très grand pouvoir qu'il ne fallait surtout pas laisser entre les mains de gens irresponsables.
Cette attitude pouvait paraître paranoïaque de la part de Franz Hopper mais peut-être que son éthique de savant lui avait dicté de s'opposer à ce projet.
nous n'en apprîmes une guère plus sur ce mystérieux projet Carthage si ce n'est que Franz Hopper avait toujours oeuvrée pour le bien-être de l'humanité.
C'est dans ce but qu'il avait créé le super-calculateur, Lyoko et Xana, mais le temps lui était compté il pensait que ces recherches ne pourraient jamais aboutir, c'est alors qu'il découvrit que cette machine était dotée d'une faculté incroyable.
Le retour dans le passé
Grâce à cette fonction il put mettre un terme à ces recherches,il effectua pas moins de 2546 retour vers le passé, en l'espace d'un jour Franz Hopper avait cumulé l'équivalent de 7 ans de travail le tout sur une machine dont la puissance ne cessait de grimper de façon exponentielle.
on peut dire sans se tromper qu'il a fait progresser l'informatique de plus d'une vingtaine d'années en une seule journée.
Dans son dernier message vidéo nous apprîmes que Franz avait l'intention de ce scanneriser sur Lyoko lui et sa fille ceci dans le but d'échapper à ses poursuivants
Dans ce nouveau monde et avec laide de Xana, il espérait se mettre à l'abri, ils seraient alors les maîtres absolus deLyoko et il pourraient y vivre pour l'éternité car tous deux étaient les possesseurs des clés de Lyoko.
Les clés de Lyoko
Voilà pourquoi Xana voulait s'emparer de la mémoire de Aelita, grâce aux clés de Lyoko il pourrait s'échapper du super calculateur.
il ne fallait surtout pas qu'il s'en empare.
En la date du 6 juin 1994 Franz Hopper se virtualisa lui et Aelita, mais pour une raison encore inconnue Xana échappa à tout contrôle, alors que sa fille était libre lui était retenu prisonnier quelque part dans Carthage.
En étudiant plus attentivement le journal je compris que ce qui reliait Aelita a Lyoko n'était pas un virus mais un fragment de sa mémoire que Xana lui avait voler,désormais le retrouver était devenu essentiel.
A l'aide des notes de Franz Hopper j'ai pus améliorer le super scan et j'ai découvert un signal d'énergie propre a Aelita, il devait sans nul doute s'agir du fragment volé.
Il fut décider que nous allions le récupérer le jour meme et ainsi en finir pour de bon avec Xana , mais Aelita était contre si Xana venait a s'emparer de sa mémoire il serait alors en possession des clés de Lyoko.
Pour tous nous protéger, Aelita tenta de mettre fin a ces jours, en désactivant le super calculateur, par chance je pus la secourir a temps.
Mais quelle folie avait elle voulu faire la.
Elle voulait nous protéger c'est sur, mais nous depuis le début nous la protégions conte tous les danger et contre elle si il le fallait,après avoir réussi a la résonner les lyoko-guerriers partirent a l'assaut de Carthage afin de récupérer sa mémoire.
Malheureusement ce fut une nouvelle embuscades que Xana nous avait tendu malgré l'aide de Franz Hopper nous ne pûmes empêcher l'inévitable.
Grâce a la méduse Xana parvint à s'emparer des clés de Lyoko , désormais il avait en main le moyen de s'échapper du super calculateur et de fuir sur le réseau.
Le départ de Xana signifiait la fin de Lyoko, tous les systèmes s'arrêterent les uns après les autres et seule le corp sans vie de Aelita demeurai dans Carthage.
Ce jour-là j'ai eu la peur de ma vie, j'ai bien cru que Aelita était morte mais heureusement son père se sacrifia en libérant toute l'énergie de son corp pour faire revivre Lyoko.
Quelle ne fut pas ma joie que de la retrouver en vie dans les scanners
Mais Xana était libre, le monde courait un grave danger sans le savoir ,pour Aelita arrêter et détruire Xana était désormais son but, mais elle ne serait pas seule a mener ce combat elle pouvait compter sur nous pour l'y aider.
En ce 12 juin 2004 nous renouvelions notre serment de tous lutter contre Xana
--------- Note annexe ---------------
Pour sauver sa fille Franz Hopper a libéré une grande quantité d'énergie, pour cela il a utiliser
un procédé que je ne connaissait pas.
Mais si lui avait put le faire pourquoi pas moi, c'est en me rappelant cette épisode que j'ai élabore ma théorie et je peux dire que c'est ce jour la que le projet T et vraiment née.
J'en viens meme a croire que Franz Hopper avait envisager se procédé bien avant moi.
si c'est le cas cela expliquerait pourquoi il n'avait plus de forme humaine sur Lyoko, n'ayant plus de Corp il ne pouvait pas revenir par les scanner ,désormais il ne pouvait subsister que sous la forme d'une sphère d'énergie pure.
aujourd'hui bien que Franz Hopper soit mort , il continue toujours de veillez sur sa fille, cette tache c'est a moi de l' assumer maintenant.
Et je jure sur notre serment que je sauverai Aelita.
############################ FLASHBACK ############################
"Non Aelita c'est notre mission"
Tour a tour les adolescents se prirent la mains pour former un cercle afin de symboliser leur unité et de leur amitié face a l' adversité.
un pour tous tous pour un dit alors Odd.
Dans sa lutte contre Xana Aelita savait qu'elle ne serait jamais seul, quoi qu'il arrive elle pourrait toujours compter sur ces amis pour l'aider, ils seraient toujours la pour la soutenir quelque soit le danger auxquelles il faudra faire face.
Jeremie leur dit alors qui fallait maintenant traquer Xana sur le réseaux et que pour cela il lui faudrait bien 6 mois de travail pour mettre aux point tous l'équipement nécessaire.
Mais déjà un autre problème se profilait a l'horizons, les grandes vacances s'annonçait et durant cette période l'internat du collège serait fermer, il fallait que Aelita trouve un endroit ou passer l'été
Jeremie se serait bien proposer de l' accueillir chez lui mais cela risquerait d'éveiller les soupçons de la part de ces parents, meme si ceux la étaient d'ordinaire très cool.
Ne pouvant loger ces aucuns de ce amis pendant un si longue période pas plus qu'a l'ermitage il fut convenu que Aelita dormirait a l'usine et quelle irait de temps a autres chez Yumi pour faire sa toilette, en retour Yumi lui fournirait de quoi manger et se changer.
Cela pressentait un avantage que Aelita soit a l'usine , présent sur place elle pourrait toujour surveiller le super-calculateur.
Pour tous l'été Jeremie mis alors le super calculateur en mode stanby, Lyoko était endormis mais toujours actif ,dans ce mode au moins Xana ne pourrait pas activer de tour, pratiquement tous les week-end Jeremie prétexta d'aller passer un séjour chez des amis, il prenait alors le train pour aller a paris afin d'y retrouver Aelita.
Ainsi ces longues semaines passer avec Yumi lui semblais moins longues des que Jeremie venait la voir.
Un samedi soir que Yumi était absente ils restèrent ensemble toutes la nuit au laboratoire,il se remémoraient ensemble tous ce qui c'était passé depuis le début de l'année, les bons comme les mauvais souvenirs furent évoquer.
Jeremie : ...et la Odd dis a Sissi.....
"c'est pas de chance qu'a ta naissance ils est perdu le mode d'emploi de ton cerveau cela t'aurais été utile fit-il en imitant la voix de Odd de façons assez maladroite.
Mais Aelita n'y accordait aucune importance,elle riait au éclat en se souvenant de ce passage et de la tête qu'avait fais Sissi devant tous la classe de madame Hertz .
Une bonne partie de la soirée fut un succession de blagues diverses, mais le ton n'était pas toujour a la plaisanterie il abordèrent aussi des sujet plus intime et existentiel notamment sur la vie passé de Aelita qui ne pouvait se confier qu'a Jeremie comme elle l'avait toujours fais a ce jours.
Aelita : Jeremie tu sais tous se temps passer ensemble a me demander si j'étais humaine
Jeremie : oui et bien ?
Aelita : et maintenant que je sais que je suis humaine j'ai de la peine
Pourquoi ? lui demanda Jeremie.
Aelita : quand je suis arriver sur terre je n'avais pas le moindre souvenir de mon passé jusqu'à la j 'étais considéré comme un être de pixel crée par un être inconnu.
Jeremie : et maintenant tu est humaine a part entière.
Cela faisait plaisir a Aelita que Jeremie lui dise ceci,elle se sentais plus valorisé de vraiment faire partis des humains meme si les souvenirs de sa vie antérieur était encore flou elle tenait a les partager avec Jeremie pour les faire revivre.
Aelita : tu sais Jeremie meme si c'est flou j'ai des souvenirs de mon passé.
Jeremie : sa fais longtemps
Aelita : depuis que mon père c'est sacrifier j'ai revécu une partie de mon passé.
Avec une l'oreille très attentive Jeremie écoutait les états d âme de son amie
Aelita : dans se passé j'ai revu mon enfance et surtout ma mère
Jeremie : ta mère !!
Aelita : elle était belle et très gentil elle avait les cheveux rose comme moi.
Ce qui en fait bien ta mère argumenta Jeremie.
Aelita : sa me rassure que se soit naturelle cette couleur, on aurait pus croire a un effet secondaire du a mon séjour sur Lyoko
Jeremie : il est vrai que ta couleur de cheveux en a étonner plus d'un la première fois
Aelita : une chance que le proviseur ne soit pas trop regardant sur ce genre de chose sinon j'aurais eut des problèmes.
Jeremie : tu peux le dire.
Aelita : tu sais Jeremie....
Aelita se tue un instant elle regarda Jeremie qui attendait de sa part la suite de sa phrase.
Aelita : ma mère... je ne connais meme pas son prénom.
Si Franz était le prénom de son père en revanche celui de sa mère ne lui revenait pas l'esprit, elle se rappelait seulement que sa mère l'aimait beaucoup mais qu'un jour pour une raison inconnu celle ci avait disparu, ceci par contre Aelita s'en souvenait parfaitement, elle éprouvât alors une sorte de nostalgie dut a cette perte, quelque part elle ne pouvait se consoler de cette perte d'une partie de son existence.
Pour Aelita son enfance lui avait été volé et ça elle ne pouvait l'accepter
Mon père a disparu ma mère aussi, Mr puck c'est tous se qui me reste , ça et quelques souvenirs très flou confia alors Aelita a Jeremie.
Je suis sur que cela te reviendras un jour lui dit Jeremie
Aelita : quand
Jeremie : difficile a dire, ton séjour sur Lyoko a dut affecter ta mémoire,il est possible que sous une forme numérique le non fonctionnement de la machine et puis provoqué des beugs qui on progressivement érodé tes souvenirs.
Alors Jeremie je dois te remercier lui dit Aelita
Jeremie : pourquoi .
Aelita : si tu n'avais pas rallumer le super calculateur j'aurais finis par disparaît pour de bon.
Jeremie : non je ne pense pas que ...
Ne dis pas le contraire tu sais très bien que c'est faux le coupa Aelita
Soudain le doux visage de Aelita s'obscurcit on pouvait lire dessus une expression de fermeté, ces sourcil froncé et son regard resserré en témoignait.
Aelita : si tu ne avait pas réveiller Jeremie, je ne me souviendrais peut être de rein et tous sa par la faute de mon père.
Pourquoi Aelita se remettait elle a en vouloir a son père ? il était apparu qu'il avait voulu la protéger contre ces ennemis, mais Aelita ne voyait pas la chose sous cette angle pour elle il était indirectement responsable de son malheur, cette vie de fugitive elle ne l'avait jamais voulu alors pourquoi avait il fallu qu'elle en fasse les frais ?
Jeremie : tu en veux a ton père.
Aelita : oui il ma pris ma vie, a cause de ces expériences.
Jeremie : il a fait sa pour te protéger
Aelita : me protéger de quoi ? de qui ?
Jeremie : des gens du projet Carthage
Aelita : les hommes en noir de mes rêves.
Jeremie : ceux la meme.
Mais cette excuse ne suffisait pas a apaiser la colère qui c'était soudainement manifesté chez Aelita, ce n'était pas la première fois que Jeremie vouait cette expression sur le visage de Aelita, la dernière fois cela avait conduit Aelita a commettre un acte désespère, Jeremie espéra que Aelita n'allait pas récidiver, mais la réponse que celle ci lui donna finis de le consterner.
Aelita : sa peut paraître ingrat de dire ça mais quelque part je hais mon père pour ça
Comment peux tu dire ça ? lui dis alors Jeremie qui n'arrivait pas a croire ce que Aelita puise dire ça.
Le petit génie fit choqué par ce que venait de lui dire Aelita, il savait bien qu'elle avait beaucoup souffert de tous ça, mais de la a haïr son propre père alors que celui ci c'était sacrifier pour la sauver quand Xana lui avait voler sa mémoire, Aelita finis par se calmer un peu ,elle retrouva vite sa lucidité bien qu'une colère sourde rugissait au fond de son coeur.
Je suis désole Jeremie je crois que la peine m'égare s'excusa Aelita
Jeremie : je comprend que tu soit contrarier par tous ça.
Aelita : je suis en colère mais sa va me passer
Je l'espère, la colère et toujours mauvaise conseillère lui fit Jeremie
Aelita : tu as raison je ne dois surtout pas me laisser emporter par mes émotions.
Jeremie : surtout par la colère qui et un sentiment puissant et très dangereux.
Aelita : ce sentiment mais tellement nouveau je ne crois pas l'avoir déja ressentis avec tant de force.
Jeremie : prend garde a ne pas t égaré a cause de ce sentiment sinon il te conduira vers bien pire.
Aelita : pourquoi me dis tu ça Jeremie.
Jeremie : c'est un cercle vicieux celui que cède a la colère finira par haïr tous le monde et en retour on haïra cette personne.
Aelita : pourtant il est si facile de haïr pour la moindre chose qui nous contrarie.
Aelita avait mûrir depuis son expérience de "mort" cela lui avait donner une nouvelle approche de la vie, qui était un peu cynisme malheureusement. Aelita avait besoin d extérioriser cette colère mais elle devait prendre garde de n'a pas ce laisser submergé par celle ci et Jeremie l exhorta a le faire.
Jeremie : tu sais Aelita sa demande beaucoup de courage et de volonté pour ne pas céder a la haine
Aelita : et tu crois que j'ai assez de volonté pour y résister,moi j'en doute
Jeremie : je te l'ai dis Aelita tu n'est pas comme ça tu sais aimer les gens ce qui fait que tu ne peut pas haïr ton prochain.
Aelita : sa ne suffit de le dire faut encore le prouvé.
Jeremie : tu mas déjà posé la meme question au sujet de ton âme
Aelita : maintenant que je sais que je suis humaine je sais que j'ai une âme
Une âme pure lui répéta le blondinet a lunette.
Mais la aussi Aelita fut en désaccord avec se que venait de lui dire Jeremie, Aelita savait qu'en se monde tous n'était pas aussi blanc que Jeremie pouvait se l'idéaliser.
La pureté n'existe pas Jeremie c'est une vison idéaliste de nos bon coté.lui dit alors Aelita avec une conviction dans le fond de sa voix.
Qu'est ce qui te faire dire ça Aelita lui demanda Jeremie.
Aelita : tu ne peux pas parler de pureté en désignant les humains car c'est faux.
Jeremie : comment ça faux !!!
Aelita : nous ne sommes pas aussi pure que ça,il n'y a qu'a voir comment nous nous comportons entre nous.
Jeremie : entre nous !!!
Aelita : les hommes disent vouloir s'aimer et se font quand meme la guerre, et meme ce qui semble bon a l'extérieur et en faite pourri a l'intérieur.
Jeremie : ce n'est pas une certitude.
Aelita : rein n'est jamais sure et les apparences sont parfois trompeuse , regarde Sissi elle se conduit comme une peste et pourtant elle a montrer quelle pouvait faire preuve de courage et de sollicitude envers les autres,et pourtant les gens pour la plus part la déteste.
Jeremie : oui mais la tu parle de Sissi.
Aelita : elle ou un autre quelle différence dans le fond , nous vivons tous derrière des masques, que nous fabriquons avec des mensonges.
Pour Aelita si les gens ne sont pas honnête envers eux meme comment pourraient ils l'etre envers les autres.
Aelita : avec un telle comportement entre nous on peut comprendre que Xana veulent nous anéantir.
Jeremie : ne dis pas se genre de chose
Aelita : nous sommes plein de contradiction par rapport a Xana.
Jeremie : et lui est logique c'est ça , sa revient a dire que Xana a raison de vouloir nous exterminer.
Aelita : non Jeremie ce que je veux te dire c'est que je ne suis pas aussi forte que tu veux bien le croire.
"JE SUIS FAIBLE"
Aelita avait beau vouloir détruire Xana elle savait que seul elle ne pourrait pas y parvenir car falliat pour ça un détermination de caractère qui commençait a lui faire défaut a cause du doute.
Voila qu'elle était l'origine de la colère de Aelita sa propre faiblesse de caractère en faisait la proie au doute et a la peur et logiquement a la colère,Jeremie le compris a cette instant et pour lui une seule solution s'imposait pour Aelita
Alors a toi de devenir forte lui dit il a ce moment la.
Comment veut que je devienne forte alors que je suis si faible. lui répondit Aelita qui avait presque les larmes au bord des yeux.
Jeremie : tu dis ne pas être forte c'est déjà un pas vers la force
Aelita : comment ça ?
Jeremie : savoir reconnaître qu'on a des faiblesse et chercher a les combattre c'est la première étape
Il avait chez Jeremie le caractère déterminer que semblait manquer a Aelita, elle retrouva a son contact un peu de confiance en elle.
Jeremie ou trouve tu cette volonté lui demanda Aelita
Jeremie : en toi Aelita
Aelita : en moi
Jeremie : tu as inspire ma vie et je me me bat car je crois en toi
La foi en Aelita que témoignai Jeremie finit par convaincre Aelita de se battre, elle devait se montrer la hauteur des attentes de Jeremie, et plus que jamais la lutte contre Xana serait son objectif quelle qu'en soit le prix a payer.
Alors je deviendrai forte dit elle a Jeremie
Et je vais t'y aider lui répondit Jeremie.
Par la suite sous la tutelle de Jeremie Aelita développa un nouveau pouvoir, elle était maintenant capable de créer des champs des force dans ces mains, elle allait sur Lyoko pour s'entretenait a maîtriser ces nouveaux pouvoirs en prenant garde de ne pas trop s'éloigner de la tour du passage par laquelle Jeremie pouvait la ramener.
Le reste du temps Yumi venait leur tenir compagnie elles jouaient au jeu de GO avec Aelita pour lui change les idées,d'aillieur Aelita était très forte a ce jeu,cela avait au moins eut sa de positif d'être rester aussi longtemps sur Lyoko grâce a sa Aelita était devenu très intelligente
De son cote Jeremie travaillait sur un moyen d'aller traquer Xana sur le réseau,pourtant un doute subsistait dans l'esprit de chacun
Que diable Xana pouvait-il bien faire sur le réseau ?
Sans le savoir la prochaine rentré scolaire allait s'annoncer des plus agiter pour eux.
- Je ne veux pas mourir.
- j'ai peur.
- il fait froid...très froid.
- pourtant je ne peux pas ressentir la chaleur.
- j'ignore ce que c'est.
- je le crois du moins.
- il fait si noir maintenant.
- et cette sensation étrange
- serait-ce la solitude ?
- mais est-ce que je sais seulement ce que c'est que d'être seul ?
- autour de moi j'entends des voix.
- on parle , on s'agite ,on se perturbe.
- mes yeux s'ouvrent a la vie.
- est devant moi ,elle sont la.
- les ombres.
- je les connais
- je crois !!!
- qui sont-elles ? que sont-elles ?
- les ombres dansent autour de moi.
- elles s'approchent et me regardent.
- que me veulent-elles ?
- les ombres me saisissent et m'emmènent avec elle dans leurs danses.
- je ne peux pas leur résister.
- je ne cherche même pas le faire.
- je me laisse porter par elles.
- mon corp flotte au milieux du ballet des ombres
- où suis-je ?
- quel est ce couloir ténébreux ?
- Pourquoi les ombres m'y emmène t'elle ?
- y' vais-je pour mourir ?
- soudain la lumière !!!!
- j'en sens la chaleur.
- il fait très chaud.
- les ombres s'agitent, la lumière leur fait peur.
- la lumière se rapproche.
- une à une les ombres disparaissent dans la lumière.
- la lumière me fait peur a moi aussi.
- va telle m'emporter ?
- je ne sens plus mon corps.
- suis je morte ?
- je m'élève dans les cieux, je vole.
- mon corp et si léger.
- plus rien, le néant.
- Le tumulte fait place au silence.
- les ombres ont disparu , la lumière aussi.
- je marche je me mouvois par moi meme.
- ou vont me mener mes pas ?
- j' ère sans but.
- il fait froid et je me sens seul.
- ma vision se brouille.
- les ténèbres pose un voile sur mon regard.
- je m'égare, je me perd dans mes pensés
- où suis-je ?
- quel est ce lieux ?
- et cette autre question à laquelle je n'ai pas de réponse.
- qui suis-je ?
- Simplement quelqu'un qui doit mourir me dit la voix
- il y a quelqu'un ici ?
- Oui moi me fait la voix.
- Ou ete vous je ne vous vois pas ?
- je suis partout.
- qui ete vous ?
-..........
- pourquoi ne répondez vous pas ?
- sache que je suis celui qui te haïs.
- Pourquoi me haïssez vous ?
- Juste parce que tu existe.
- Alors j'existe !!!
- oui et tu m'est nuisible,pour ma propre survit je dois te tuer.
- lâchez moi !!!
- lâchez m... !!!
- j'..j'étouffe.......
A secours .................................aidez moi.
Brutalement Maeva se réveilla dans son lit dans un gloussement de fureur étouffé par le son râle de sa voix elle porta sa main a sa gorge.
Mais rien
Tous était calme dans sa chambre la seule chose qui fasse du bruit c'était le vent en dehors qui soufflait entre les feuilles des arbres, très perturber Maeva prend un certain temps a reprendre son souffle, peu a peu elle recouvre ces esprits et se rend a la réalité.
Ce n'était qu'un rêve, un autre rêve se dit elle a cette instant.
elle se recoucha sur son oreiller et fixa le plafond, dans la pénombre de sa chambre éclairé par la demi lune Maeva ne parvenait pas a retrouver le sommeil, biens blotti dans ces drap Maeva se pencha de coté le regard fixant toujours le néant,le repos lui semblais interdis tant son esprit était agité par moulte questions.
Ce rêve que pouvait il bien signifier ? se demanda t'elle
"Non ce n'est pas un rêve c'est un cauchemar".
A force de tourner dans son lit sans jamais trouver l'apaisement que réclamait son corps ,elle décida de consigné cette événement dans son journal temps que celui était encore présent dans son esprit.
Elle se leva et se dirigea vers son bureau et alluma sa lampe de chevet ,la lumière éclaira la pièce les ombres furent chassé par la lumière vacillante, elle pris son journal et détailla tous ce quelle avait vu et resentie dans ce cauchemar, peut être qu'en en parlant demain au docteur elle y verrais plus clair,sur ces nouvelles apparitions.
Que lui voulait ces ombres ?
Et cette voix qui voulait sa mort ? qui était elle ?
Qui pouvait bien souhaiter sa mort ?
Et en quoi son existence pouvait elle être nuisible a autrui ?
A chaque fois qu'elle fermait les yeux, Maeva savait que ces rêves allaient l'emmener dans des lieux bien étrange, ce cauchemar était tout aussi mystérieux que les autres, mais cette fois point de Lyoko ou de lion, point de miroirs sans reflet ni de jeunes hommes blond.
tous avait disparu au profit des ombres,Maeva se demandait bien qui pouvait être ces ombres qui l'avait transporter dans les ténèbres et cette lumière qui leur faisait si peur qu'est ce que cela pouvait être ?
Ombres et lumière encore une dualité, des sentiment très partagés,chaque endroit que visitait Maeva durant ces périples onirique était rattaché a un sentiments bien précis.
Amour et haine semblaient être ce que certaines personnes ressentaient pour elle dans le monde de Lyoko.
Même sa vision du jeune jeune était assez confuse, elle éprouvait pour lui une attirance inexplicable et en meme temps un dégoût profond.
Mais dans ce rêve-là c'était un tout autre sentiment qu'il l'habitait, une sensation que Maeva ne connaissait que trop bien pour l'avoir mainte fois éprouvé, ce sentiment était ....
La peur.
Mais la peur de quoi ?
La peur de qui ?
La peur des ombres ?
la peur de cette endroit inconnu ?
la peur de cette voix?
Pour Maeva la peur ne lui était vraiment pas étranger, dans ces rêves les démons qui peuplaient Lyoko lui faisaient peur car elle savait qu'ils lui voulait du mal,alors que paradoxalement d'autres semblaient se battre pour la protéger et maintenant voila qu'une ombre indéfinissable voulait sa mort, une ombre emplis de haine.
Encore et toujour de la haine a son égard cela ne finira donc jamais ?
Peut être n'était-ce juste un banal cauchemar se dit Maeva.
Etait-ce du au faite qu'elle passait sa première nuit dans un lit qui n'était pas le sien, il faut dire qu'avec le temps Maeva c'était habitué à lit de l'hospital et meme si il n'était pas aussi confortable que celui ci, les raisons de ces insomnies étaient tous autres.
L'hôspital, sûrement le pire souvenir de sa courte vie que aurait bien voulu gommer de sa memoire, jamais au monde elle n'avait pu connaître un endroit plus effrayant que celui-ci hormis peut-être le monde de Lyoko.
Mais celui n'était pas un rêve, ce quelle y avait vécu avait été bien réel, un cauchemar éveillé donc elle ne pouvait pas s'échapper.
Dans cette endroit Maeva avait appris ce qu'était le mépris, mais paradoxalement elle y avait aussi appris la vie.
Elle se souvient parfaitement du premier jour où elle est arrivé à l'hospital et de ce qu'elle a ressenti ce jour-lÃ
cette impression d'être enfermé de n'être considéré comme une moins que rien par tous ceux qui la côtoyait.
Une prison voila ce qu'était l'hospital pour Maeva.
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Le Journal de Maeva chapitre 05 hospitalisation.
Bon il est temps dit aller fit le docteur.
Clarisse pris Maeva et la serra très fort dans ces bras, le petite fille en fit de meme en retour, elle pouvait ressentir la peine qu'éprouvait cette femme qui jusqu'à la avait été une mère pour elle.
Privée de l'usage de la parole Maeva ne pouvait pas exprimer ce quelle ressentait mais au fond d'elle ce départ lui faisait de la peine.
Même si la situation lui avait été expliquer par le docteur et Clarisse la séparation était inévitable et le docteur pressa la pas car plus sa durerait plus se serait douloureux pour tous.
Maeva regarda toutes ces personnes qui lui disait au revoir en lui demandant d'être forte, de faire attention et surtout d'être très sage avec le docteur, lui meme adressa ces remerciement au shérif et a Clarisse pour tous ce qu'il avait fait,il leur promis qu'il s'occuperait bien de Maeva et qu'il ferait tous l'aider a guérir.
Le docteur invita la petit fille a monter sur le siège avant du véhicule il lui attacha sa ceinture de sécurité,il monta a son tour a l'avant il pris le volant et mit en marche le moteur
tous doucement la voiture commença a faire demi-tour dans la cour avant de rejoindre la route.
Maeva jeta un dernier regard sur ceux qui lui faisait de grand geste d'adieux, au fur est mesure qu'ils s' éloignait Maeva ne les quitta pas des yeux et ceci aussi loin que son regard pu porter elle les regarda jusqu'à ceci ne fusse plus que des points noir imperceptibles.
Elle aurait du être effrayer par ce subite changement mais le docteur était a ces cotes et cela suffisait a la rassuré
Peu a peu la le véhicule quitta la petite ville de Kingston valley il passa par la route national N74 qui était de nouveau ouverte, d'après l' itinéraire choisit par le vendeur de locations de véhicules pour rejoindre l'hospital de Madison il faudrait une bonne heure et demie de route.
Les paysages défilaient sous les yeux de Maeva, la petite était en émerveillement a la vue des arbres qui se dressait sur les montagnes et des rivières qui coulait dans leur lit,rapidement aux paysage rupestre se succédèrent quelques étendues de praire verdoyante et a chaque fois qu'il croisait une voiture Maeva tournait la tête pour la voir passer.
Chaque chose que voyait Maeva semblais être nouvelle pour elle, les couleur or et vert de la nature et celle de ces animaux bizarre dans les champs qui semblaient manger le sol,tous en regardant le docteur elle pointa du doigt contre la vitre pour savoir ce que c'était.
Le docteur était surpris de cette réaction, Maeva n'avait t'elle jamais vu de vache de sa vie, c'était a croire qu'elle avait été tenu a l'écart du reste du monde,si cela s'avérait vrai il y aurait beaucoup de travail a fournir pour la guérir.
Au bout de 40 minutes de trajet le docteur fini par rejoindre la voie principal de l'autoroute qui devait les conduire jusqu'à là grande ville de Madison.
Roulant a vive allure le docteur alluma la radio histoire de mettre un peu d'ambiance, Maeva regarda avec curiosité cette étrange boite d'où provenait cette musique, mais elle ne s aventura pas a la toucher,Maeva se laissait bercer par cette musique et en particulier par cette chanson," a secret life" que diffusait la station radio.
A la sortie de l autoroute , les panneaux indiquèrent que l'hospital n'était qu'a 5 miles c'est encore la banlieue au bout de 10 minutes la voiture arriva devant le centre hospitalier de Wilbertown.
Le bâtiment était flambant neuf l'aspect un peu carré et les mur blanc qui parcourait l'enceinte lui donnait un coté bloc, c'était dans l'une des ailes de cet hospital que se trouvait le service de la petite enfance ou serait soigner Maeva.
Et elle pouvait espérer être bien soigner grâce a généreuse subvention octroyer par l'état et quelques entreprise privée, l'hospital était équipées des dernières technologies de diagnostique et il comptait en son sein de brillant médecin ,régulièrement l' université de Madison y envoyait beaucoup de stagiaires pour faire leur classe.
Le docteur avait le privilège d'y avoir son propre bureau, ce qui lui facilitait assez la tache lors de ces diagnostiques,arrivant par la petite entrée de service le docteur se gara sur son parking privé.
Une fois sortis du véhicule il prit Maeva par la mains et allèrent ensemble en direction de l' entré numéro 3 Maeva était un peu intimider par cette endroit
ils passèrent sans encombres les portes automatiques mais avant d'avoir pus aller vers son bureau le docteur fut interpoler par un infirmier.
Bonjour docteur Robinson fit bien un infirmier
Dr : bonjour Samuel comment allez-vous ?
Samuel : très bien et vous ?
Dr : de meme je suis en pleine forme.
Samuel : comment c'est passer votre voyage ?
Dr : bien je n'ai pas eut trop de problème pour revenir ça a été assez rapide.
Samuel : je vois nous ne vous attendions pas aussi vite.
J'ai précipite mon retour dis alors le docteur en regardant sa petite protégé.
Samuel : bien je vois que vous nous amener une nouvelle patiente
Dr : je vous présente Maeva
Bonjour Maeva lui fit alors Samuel.
Maeva eut un petit mouvement de recul a la vue de cette homme a la couleur de peau très différente, Samuel était un afro-américain et Maeva n'avait encore jamais vu personne avec cette couleur de gâteau au chocolat, de plus sa carrure massive d'ancien footballeur américain ne fit rein pour arranger les choses , elle se mit alors en retrait derrière le docteur Robinson .
elle peur de moi fit Samuel
Dr : elle est très traumatisé et elle a peur de étrangers
Je vois fit l'infirmier.
Sinon est ce que tous est près demanda la docteur.
Samuel : oui docteur nous avons préparé la chambre 24 A.
Dr : c'est parfait
Ayant pris le soin d'avertir l'hospital a l'avance le docteur avait fait préparer une chambre spéciale pour Maeva, c'est dans cette nouvelle environnemt que Maeva allait passer les 5 prochain mois a se faire soigner.
Vient Maeva je vais te monter ta nouvelle chambre fit le docteur
Samuel : attendez je prend mon pass et je vous accompagne
Dr : on vous attend
Après s'etre muni de sa carte électronique l'infirmier accompagna le docteur et Maeva jusqu'à sa futur chambre, en passant par les couloir Maeva croisa d'autre enfant comme elle,mais ils étaient très bizarre, ils portaient tous des sortes de grande robe verte et d'autre était dans des chaise avec de grande roues, il en eut meme un qui poussa des cris sans raison au passage des trois personnes cela fit très peur a Maeva qui se cramponna de plus belle au docteur,celui ci passa sa mains derrière sa tête pour lui signifier qu'il la protégeait.
Maeva n'était pas dans asile de fou mais dans un service qui s'occupait des enfant peu développé ou atteint de troubles de neurologique, Maeva ferma les yeux et se laissa guider par le docteur jusqu'au bout du couloir, il finirent par arriver devant une porte métallique vitrée
Nous y voila chambre 24 A dit alors Samuel.
L'infirmier pris sa carte magnétique et la passa dans la serrure électronique,le bruit significatif de la gâche électrique signala que le verrou était débloquer et la porte s'ouvrit.
tour a tour tous les personnes rentrèrent a l intérieur de la future chambre de Maeva.
La pièce était très dépourvu de mobilier particulier a par un lit sur lequel était posé une couverture et un oreiller il n'y avait guère de chose, la chambre avait une fenêtre qui donnait sur l'extérieur mais il y avait des barreaux et la fenêtre était derme l'infirmier expliqua au docteur que de nouvelle directive avait été donné par le responsable de l'hospital le docteur Holstein et que c'était pour sa propre sécurité se que le docteur approuva moyennement.
Elle ne le savait pas encore mais Maeva allait passer ici les pires moments de sa vie,l'hospital allait être pour elle un enfer aseptisée de tous sentiments.
C'est alors qu'un autre infirmier arriva il informa le docteur Robinson que le directeur voulait le voir immédiatement, le docteur ne voulait pas abandonner Maeva tous de suite mais vu l'urgence il dut s'exécuter , il expliqua la situation a la petite fille et lui promis de revenir le plus vite possible
Dr : écoute moi Maeva je vais absenter un petit moment mais après je vais revenir.
la petite fille le compris bien elle laissa le docteur s'en aller avec Samuel après que la porte se sois refermer Maeva fit le tour de la pièce elle regarda chaque chose qui si trouvait mais seul le lit et une table donc le coin était arrondi pour ne pas qu'elle se blesse
Dans le couloir elle pouvait entendre des voix mais elle avait du mal a comprendre se qui se disait
une drôle de sensation s'empara d'elle, elle eut soudain du mal a respirer elle se mit sur son lit pour essayer de se soulager mais rein n'y fit, cette sensation d'être enfermé lui était familliere mais elle ne savait en quoi et cela déclencha ces elle un crise d'angoise qui fut accompagne d'une respiration saccadée elle aurait voulu se lever mais sont corp refusait de lui obier, panique elle regardait de tous les cote sans pour autant pour faire quoique se soit,son manque de souffle finit par la faire sombrer dans l'inconscience.
L.T.I -Angleterre - 17 septembre 2004 - 10 h 52
Dans les allées de l'université deux personnes posé sur un banc en bois attendaient tranquillement que l'on vienne a leur rencontre.
Le colonel et le major avaient réussi a obtenir un rendez auprès du professeur Moritaka, en homme occupé qu'il était le professeur avait du faire attendre ces invités dans le couloir principal.
Pour passer le temps le colonel fit quelques allé et venu dans le couloir,l'université était un bâtiment de style assez ancien formé de plusieurs ailles parcouru par de grand couloir en forme de voûte et donc le sol était fait constitue de dalle marbré verte, lors de son petit tour le colonel en profita pour jeter un coup d' oeil sur les différentes vitrines en bois ou étaient exposer diplômes et trophées , tous le long du mur était accroché les photos des plus illustres professeurs et celle des élèves qui avait en leur temps marqué leur passage .
a contrario de son officier supérieur le major était très sereine, pour passer le temps elle avait amenée quelques revu scientifique,de son côté l'homme ne savait plus comment calmer son impatience cela faisait bientôt une heure et demi qu'on les faisait attendre.
C'est long fit le colonel au major
M. Cartwright : je vous avais prévenu mon colonel qu'on aurait sûrement a attendre
C.Perec : je me dis qu'on aurait puis venir avec une heure de retard cela n'aurais déranger personne.
Cela n'aurait pas été correct.lui répondit alors le major.
Ah parce que vous trouvez qu'il est correct de nous faire attendre pour rien rétorqua le colonel.
M. Cartwright : de toute façons maintenant que nous sommes la, nous n'allons pas rentrer.
Le colonel dut se faire une raison , il était embarqué dans cette histoire et il devrait attendre dans cette endroit de rigueur et de solitude, la seul animations qui vint briser cette monotonie fut l'apparition d'un surveillant général qui amenait avec lui un élève pour le moins récalcitrant.
Cette fois si Jack tu va pas y couper, je vais t'amène chez le recteur et la mon gaillard tu va voir ce qui t'attend lui fit l'homme
Vous pouvez me lâcher Mr gonzales je connais très bien le chemin lui signifia le jeune homme
On me la fait pas a moi , si je te lâche la bride tu serais capable de te sauver lui rétorqua l'homme.
L'homme dont la corpulence en imposait semblait savoir se faire respecte mais il avait un petit coté gros nounours qui lui donnait un air peu méchant.
il fallait croire que la disciple était très stricte dans ce genre d établissement, le major expliqua au colonel que l'on pouvait toujour trouver des "WILD GUYS " dans les campus.
Mais il ne fallait pas se leurrer sur la dégaine chaloupé du garçon elle n'était en rien le reflet significatif de sa vraie condition sociale, en effet seul des gens issu des milieu aisé pouvait s'offrir des études dans cette université a l'exceptions des élèves qui avaient put obtenir une bourse d'études.
Aussi rebelle qu'il pouvait en donner l'air ce garçon était sûrement un de ces fils a papa qui se la joue insoumis et qui rejoigne des confrérie qui préfère se faire appeler bande car sa rajoute un petit coté insoumis a leur démarche
mais il n'y a pas a douter que plus tard ces "Anarchistes" intégrerons la société comme de gentils petit moutons.
Le colonel se trouva alors une certaine ressemblance avec ce garçon il se rappela que dans sa jeunesse il faisait lui aussi partie d'une bande et que l' autorité il l'avait souvent bravé.
Mais depuis qu'il était rentrer dans l'armée il c'était assagit pour mieux répondre au attemte de sa hiérarchie mais au fond lui il y avait toujour conservé se petit coté adolescent rebelle et cela je traduisait encore un peu par son manque de patience.
C.Perec : bon il va encore nous faire attendre longtemps votre professeur ?
M. Cartwright : je vous en prie colonel modérer votre impatience.
C.Perec : je la modère je trouve juste que votre "doc" il fait une sacrée entorse à la ponctualité anglaise.
Son statut particulier du professeur l'en excuse lui répondit le major.
C.Perec : sa n' excuse pas tous major.
M. Cartwright : c'est parfaitement compréhensible colonel, c'est un homme très occupé il et donc normal qu'il accuse un léger retard.
C.Perec : un léger retard !!!! 1 h30 vous appelez ceci un léger retard.
M. Cartwright : n'éxagérons rien ce n'est pas un drame.
C.Perec : major je ne vais pas vous apprendre que le manque de ponctualité peut parfois tous gâcher.
Le colonel n'avait pas tort dans l'armée la ponctualité est une notion vitale, savoir respecter un horaire était une condition nécessaire à la réussite d'une bonne mission, mais apparemment le major faisait défaut a cette règle ce qui pouvait apparaître étrange de la part d'une personne si a cheval sur le règlement, mais comme cette dernière n'était prêt a vouloir en débattre le colonel préféra changer de sujet et demanda au major si celle ci avait progresser dans ces travaux.
Sinon de votre côté ça avance votre petit projet personnel dit le colonel
M. Cartwright : j'ai bonne espoir de réussir à trouver une solution aux problèmes
C.Perec : je le souhaite pour nous tous.
Le colonel ne pouvait évoquer ouvertement leur sujet de conversation, il devait avant tous se montrer discret au cas ou d'indiscrètes oreilles viendrait a entendre ce donc il discutait, alors ils parlèrent de choses un peu floues,de progrès accompli,ce qui ne pouvait que passer inaperçu dans un milieux aussi technologique.
Au bout d'une demi-heure d'attente supplémentaire une personne finit par venir à leur rencontre.
C'était un homme typée asiatique, la cinquantaine bien accompli, il étaient vêtu dune grande blouse blanche et d'un pantalon en tweed il portait avec lui une petite serviette, à sa vue le Major se leva et s'en alla le retrouver immédiatement.
Bonjour professeur Moritaka dit alors le major a l'homme
Bonjour a vous miss Cartwright lui répondit alors le professeur
M. Cartwright : je suis si heureuse de vous revoir.
P. Moritaka: et moi aussi cela me fait aussi tres plaisir de vous revoir, cela fait quoi maintenant ? 10 ans que nous ne nous sommes pas vu
M. Cartwright : 9 ans depuis la fin de mes études secondaires et l'obtention de mon doctorat, et depuis j'ai été très très occupé.
P. Moritaka: j'ai appris que vous aviez opter pour une carrière militaire.
M. Cartwright : en effet professeur je vois que vous êtes bien informer.
P. Moritaka: je trouve dommage que vous ailler choisit la voie militaire, alors que vous étiez promis a un grand avenir en temps que scientifique.
M. Cartwright : j'ai fait le choix de servir mon pays.
M. Cartwright : je ne suis pas surpris,j'ai toujours vu en vous une grand patriote.
Le colonel semble-t-il tenu a l'écart se mis a toussé pour rappeler que lui aussi existait
P. Moritaka: pardonnez-moi je crois que nous n'avons pas été pressente je suis le professeur Yusuke Moritaka
C.Perec : enchanté professeur moi je ...
Mais avant que le colonel n'eut le temps de dire quoi que se soit le major lui coupa la parole
Je vous présente M. Perec, mon secrétaire particulier fit alors le major
P. Moritaka: votre secrétaire !!!
C.Perec : son secrétaire !!!
M. Cartwright : mon secrétaire oui ,vous savez ce que c'est d'être occupé a la recherche on n'a pas le temps de s'occupé de l'administratif alors c'est lui qui prend en charge la plupart de mes dossiers.
comme je peux vous comprend lu dit le professeur
Et il m'est très utile pour preuve je l' emmène partout avec moi fit le major
P. Moritaka : un secrétaire particulier, j'ai impression que l'on vous bichone dans l'armée
Le privilège du grade répondit le major.
il semblerait dit le colonel tous bas
Le colonel se retint bien de dire quoi que ce soit devant le major et le professeur mais il ne pouvait pas encaisser ce coup bas
Apparemment il y avait aussi chez le major ce mépris qu'on les Anglais pour les Français, par tradition il savait que ces concitoyen avait toujours été rabaissés depuis la nuit des temps par les britanniques,il faut dirent qu'en contre partie il en avait toujour et de meme pour les français qui considérait les rosbif comme des être snob, il décida donc garder ces reproches pour plus tard et d'attendre le bon moment pour les ressortirent.
P. Moritaka : je vous envierait presque, nous n'avons qu'une secrétaire pour 5 professeurs ici
M. Cartwright : professeur je sais que nous pourrions passer des heures a évoquer tous ça mais ce n'est pas le but de notre visite.
Je m'en doute bien lui fit le professeur
M. Cartwright : je voudrais vous exposer la raison de notre visite
P. Moritaka: soit mais je ne pense pas que ce soit l'endroit le plus adéquate, venez allons dans mon bureau nous serons plus a l'aise pour discuter.
M. Cartwright : nous vous suivons professeur, venez Mr Perec.
Je vous suis Miss Cartwright fit le colonel en grinçant légèrement des dents.
Escorté par le professeur Moritaka, ils se rendirent dans son bureau ou plutôt sa loge comme elle était appelée ici , et à celui-ci ne tranchait pas beaucoup les autre pièce du bâtiment qu'avait pus voir , a la différence peut être de la présence de pleins de livres et bouquins d' astrophysique est de mathématiques ainsi que quelque ouvrages traitant sur les ordinateurs est bien sur sans oublier les mémorables récompense et diplômes qui étaient accrochés au mur qui montrait toute l'importance que cet homme avait et toute l' autorité qu'il pouvait exercer dans son domaine, le professeur s'assit sur son fauteuil et pria ces invités d'en faire autant.
P. Moritaka : asseyez vous.
M. Cartwright : merci professeur.
P. Moritaka : venons en faite quel est le but de votre visite miss Cartwright.
M. Cartwright : toujours aussi directe professeur
P. Moritaka : tous comme vous l étiez a l'époque.
M. Cartwright : et bien voila j'aurais besoin de votre aide professeur.
De mon aide !! dit le professeur.
Oui parfaitement de votre aide répéta le major
Et de quelle façon puis je vous aider demanda le professeur.
M. Cartwright : en faite se serait plutôt le concours du votre super-calculateur de votre université qui me serait utile
P. Moritaka : est en quoi notre super-calculateur peut bien vous intéresser ?
M. Cartwright : se serait pour effectuer une série de calculs très particuliers.
P. Moritaka : ne disposez vous donc pas de se genre de matériel dans vos laboratoire militaire.
M. Cartwright : oui mais il sont tous utiliser pour d'autres application et je n'ai guère l'occasion de pouvoir les utiliser pour mes recherches.
P. Moritaka : et sur quoi porte vos recherches
M. Cartwright : sur la télémetrie asymétrique et sur les ondes courtes des fréquence atomiques .
P. Moritaka : intéressant vous étudiez les effets des retombes atomiques.
M. Cartwright : en effet c'est cela.
Les explications que fournissait le major était des prétextes bidon elle ne pouvait pas informer le professeur que ces véritables recherches concernait la sécurité national
M. Cartwright : .... se sont des simulations que je dois effectuer.
P. Moritaka : et quoi cela pourra vous servit effectuer de telle simulations
M. Cartwright : je regrette mais mes recherches doivent rester secrète
P. Moritaka : je comprend,mais alors pourquoi passer par moi vous aurez dut voir le recteur pour ça ?
M. Cartwright : voyez vous professeur il se trouve que j'ai la un papier pour un ordre de réquisition de votre machine que je dois remettre au recteur, mais plutôt de le faire de force je préfère vous le demander comme un service de scientifique a scientifique et j'espère votre soutiens, après le reste ne serait alors qu'une formalité.
Par respect envers le professeur Moritaka le major n'avait pas voulu abuser d'un pouvoir qui lui avait été légué par ces supérieur, elle avait voulu la jouer tous en douceur , elle savait que le professeur Moritaka n'aimait pas qu'on lui force la mains et elle ne pouvait pas faire sa a son ancien mentor, en retour si il disait oui elle savait qu'elle pourrait compter sur son concours pour ces expériences pour la mise au point d'un filtre anti-parasite tous en prenant soin de lui cacher l'essentiel.
la chance voulu aucune expérimentation n'est prévue pour les deux semaines à venir ,se fut avec le plus grand plaisir que le professeur appuya la demande du major qui avait par le passé été sa meilleure élève.
Après être passer par le bureau du recteur afin d'officialiser la démarche le professeur Moritaka emmena ses hôtes visiter la salle du super calculateur.afin que le major puisse se familiariser avec son nouvel environnement de travail
Accompagné du professeur ils commencèrent à déambuler dans les différents couloirs de l université passant dans pavillon a l'autre la il arrivèrent devant une énorme porte en bois massif.
Ils entrèrent dans la pièce et la le major cru bien qu'elle allait défaillir quand elle se trouva en face du super-calculateur.
Celui avait la forme d'un demi cylindre posé sur le sol,les câbles d'alimentations électrique arrivait par derrière l'énorme machine sur les flan de laquelle se trouvait deux terminaux d' ordinateur.
C'est avec une certaine fierté que le professeur fit les présentations.
P. Moritaka: voici le N. H. K. 63 le dernier modèle de super-calculateur de simulation.capable de d' effectuer 40 téraflop a la seconde.
C'est une merveille technologique dit alors le major
Pour la première fois le regard d'austérite du major avait disparu , il avait fait place a une mine enjouer presque émerveillé , le major s'approcha de la machine pour mieux la contempler.
Le spectacle avait de quoi surprendre le colonel , le très sérieux major c'était soudainement effacé pour laisser la place a une autre personne, on aurait dit une petite enfant devant un succulent gâteau, comment une telle machine pouvait elle la mettre dans un tel émoi ?
Décidément je comprendrait jamais les scientifiques se dit le colonel Perec dans sa tête.
P. Moritaka: ce super calculateur nous permet de simuler des percussions d'atomes lancer a la vitesse de la lumière.
M. Cartwright : sur quelle base de travail effectuer vous simulations
P. Moritaka: sur les phénomènes de diffusion
M. Cartwright : les théorèmes de thompson
P. Moritaka: oui et nous extrapolons sur les éventuelles radiations et émissions d'énergies qui pourront être produites par ces percussions
M. Cartwright : par effet de.............
Alors que les deux scientifique parlaient physique nucléaire le colonel quant à lui était complètement en dehors de la conversation, il ne comprenait pas un mot de ce que disaient les deux personnes, il préféra regarder la machine qui était devant lui,pour sa part il n'avait jamais vu de super-calculateurs du moins un modèle qui soit intact.
Il se demandait bien ce que l'organisation de Xana pourrait bien faire avec une telle machine, il pris alors le risque d interrompre la conversation afin de s'assuré d'un petit détails qui le travaillait depuis peu.
Excusez moi professeur je pourrais savoir si cet ordinateur est connecté au réseau mondial.demanda alors le colonel au professeur Moritaka.
P. Moritaka: en quoi cela vous intéresse il Mr Perec ?
C.Perec : oh simple curiosité technique c'est pour un des rapport du major.
C'est exact confirma le major qui voyait ou le colonel voulait en venir.
P. Moritaka: oui par extension il est connecté au serveurs de l'université de façon à ce que d'autres laboratoires universitaires dans le monde puissent disposer en temps réel des calculs et des résultats que nous obtenons sur la machine.
C.Perec : et votre réseau et il sécurisé ?
P. Moritaka : en voila une drôle de question
C.Perec : simple question , mais de nos jour avec Internet et tous ces pirates du web ,je me disais qu'il serait tentant de le pirater pour s'amuser.
A cette instant le professeur faillit s'étouffer de rire mais il se retiens bien pour ne pas vexer son interlocuteur.
P. Moritaka : sachez que cette machine n'est pas un ordinateur de bureau, on ne peut pas le pirater comme ça.
C.Perec : vous savez moi je vois un clavier un écran et une unité central dune taille certes conséquente alors je me dis....
P. Moritaka :.. il n'y aucun risque de ce coté la car son principe de fonctionnement est très différent des ordinateurs que l'on peut trouver sur le marché, celui ci est pourvu de verrou de sécurité très performant,qui nous en protége contre toutes éventuelles intrusions extérieures.
C.Perec : je sais par expérience que rein n'est inviolables.
P. Moritaka: dans la pratique c'est autres choses, pour réussir a forcer l'accès il faudrait une puissance équivalent ou supérieur au 40 téraflop donc nous disposons et dans le cas présent je doute que cela soit possible surtout depuis que nous avons fait améliorer cette machine.
M. Cartwright : vous l'avez améliorer
P. Moritaka : oui il y as peu de temps nous avons intégré un nouveau composant qui nous ont permis d'augmenter de façon considérable sa puissance,
M. Cartwright : un Upgrade
P. Moritaka: c'est exactement ça et au niveau des expérimentations cela c'est connut immédiatement.
M. Cartwright : sur quelle échelle de proportion
P. Moritaka: la puissance de la machine a été multiplier par 4
M. Cartwright : par 4 ?!!!
oui par 4 confirma le professeur Moritaka
M. Cartwright : c'est une sacré mise a niveau mais comment cela est il possible
P. Moritaka: grâce a un nouveaux modèle de carte a puce révolutionnaire que nous avons a achète récemment.
M. Cartwright : un seule carte a puce a pus faire ça !!!!
P. Moritaka: sa peut paraître surprenant mais le résultat et la
M. Cartwright : vous n'avez pas eut besoin de tous changer pour amélioré le système de base
P. Moritaka: cela n'a pas été nécessaire nous avons juste eu a l interfacé avec le système existant et en un claquement de doigt notre ordinateur était 4 fois plus puissant.
Le professeur aurait continuer son explication mais le premier son de cloche des cours de l'apres midi venait de sonner.
P. Moritaka: il est l'heure je dois vous laisser on m'attend en cours
M. Cartwright : faite donc professeur je serais me débrouiller
P. Moritaka: je vous revois dans 3 heures
M. Cartwright : a tous a l'heure professeur Moritaka.
P. Moritaka : amusez vous bien miss Cartwright fit le professeur en clignant de l'oeil
Après que le professeur se soit absenter, le major et le colonel restèrent un moment dans la salle pour observer cette machine d'ailleurs le colonel profita de cette occasion pour faire quelques remarque au major.
Alors ainsi je suis votre secrétaire dit le colonel au major
M. Cartwright : je vous en prie colonel vous n'allez pas me le reprocher
C.Perec : non mais vous auriez pus trouver autre chose que "secretaire particulier"
M. Cartwright : et quoi donc ? je ne pouvais pas vous présenter comme étant un scientifique
C.Perec : vous auriez put
M. Cartwright : est quand le professeur Moritaka aurait commencé à vous poser des questions d'ordre technique qu'auriez-vous répondu ?
C.Perec : et bien...
Le Major venait encore de marquer un point, le colonel aurait été totalement incapable de répondre à la moindre des questions techniques qui lui aurait posées le professeur Moritaka, une fois de plus le major c'était montré plus perspicace que son supérieurqui dut reconnaitre sa défaite.
C.Perec : bon pour cette fois je vous concède la victoire.
M. Cartwright : je pensais que nous faisons équipe et non une compétitions
C.Perec : vous aimez toujours avoir le dernier mot vous
M. Cartwright : quand je conclus un exposé et je veux etre sur qu'aucun doute ne subsiste
C.Perec : c'est ce que je disais vous voulez toujours avoir raison.
M. Cartwright : peut importe maintenant nous avons accès au super calculateur je vais pouvoir expérimenter mes recherches.
C.Perec : sur vos fameux filtres anti parasite
M. Cartwright : et sur la détections des charges d'énergie sur le réseau, je vais en avoir pour des semaines.
C.Perec : on dirait que sa vous fit plaisir tous ça.
M. Cartwright : pourquoi dites vous ça ?
C.Perec : elle a l'air de vous fascinez cette machine
M. Cartwright : c'est vrai si nous pouvions bien avoir des super calculateur comme ça a la base je ne sortirait sûrement plus du laboratoire.
Ah bin bonjour les permissions lui fit le colonel.
Le major était vraiment un féru de travail a croire que manipuler des chiffres a longueur de journée était une passion pour elle,le colonel l'avait remarquer au nombre de grille de soduku qu'elle avait remplis en heure sur son magazine.mais le major avait d'autre objectif pour le moment, travailler sur cette machine en était un
M. Cartwright : au moins maintenant je pourrais mettre au point mes programmes sur ce super-calculateur durant les deux semaines a venir
C.Perec : et avec un peu de chance Xana cherchera peut être a s'en emparer.
M. Cartwright : vous croyez toujours que l organisation Xana cherche a prendre le contrôle des super-calculateurs.
C.Perec : j'en suis persuader
Vous vous basé sur quoi pour affirmer ceci demanda le major
Je fonctionne a l' intuition lui répondait aussi sec le colonel
Et moi a la logique rétorqua le major
C.Perec : chacun sa méthode
M. Cartwright : c'est a ce demander comment notre équipe peut fonctionner
C.Perec : je me le demande aussi
Les deux agent avait semble chacun de leur façons de procède mais pour le moment l'avantage était du cote du major qui avait une théorie pour repousser les attaques de xana mais le colonel n'entendait pas en rester la, il trouvait bien le moyen de prouver au major que lui aussi pouvait être utile.
Les deux prochaines semaines allait etre consacre a la mise au point d'un système de barrière pour contrer Xana, le colonel lui se demandait bien se qu'il pourrait affaire pendant ce temps le major lui conseilla de lire tous les dossiers quelle avait pris soin de mémoriser sur son ordinateur portable , a cette nouvelle le colonel sentais de nouveau le mal de tête le gagner.
Mais les événements qui allait survenir donnerai une nouvelle tournure a leur enquête.
Journal de Arnaud Morillon 29 juillet 2005
Compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 10
Le grand jour approche et je suis de plus en plus excité à l'idée de faire la présentation de mon projet Vger 2.0
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A coup sur cela va tous les étonner.
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En particulier mes trois ex professeur ou plutôt mes deux vu que l'un est a L'hôspital,
je l'ai appris récemment par jack mon ancien colocataire de chambre que l'un des membres du trio infernal avait finis a l'hospital suite a un accident, d'après ce que ma dit jack il aurait été blesser au cours d'une expérience sur le super-calculateur de l'université.
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En dépit de tous je souhaite au professeur Moritaka un prompt rétablissement.
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Je suis du genre rancunier mais pas au point de souhaiter la mort de quelqu'un.
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Ceci dit il me reste toujours les deux autres a me farcirent et croyez bien que dans deux jours je vais pas les louper.
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Se sera magnifique
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Quoi que .....
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Malgres cette réjouissante perspectives, je ne peux pas m'empêcher d'être un peu de jalousie vis a vis de Tanit
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Car je sais que toutes l'attention va être concentrer sur elle.
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Du coup sa va me laisser peut de place pour briller.
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Mais pas c'est grave je suis jeune et je sais que le jour venu mon heure de gloire viendra
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Comme l'as dit l'autre : "il faut savoir commencer dans l'ombre des plus grand"
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Et si j'avais voulu brûler les étapes peut être n'aurais je jamais rencontrer Sinon et la dieu seul sait ce qu'il serais advenu de moi.
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Mais aujourd'hui j'ai la chance de pouvoir controler mon destin et je vais montrer a tous que la vie n'est pas une fatalité.
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J'ai un regret tous de fois j'aurais voulu que ma mère soit encore la pour assister a sa
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elle aurait été si fier de son fils.
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( Maman...tu me manque.)
Bon je ne vais pas m'apitoyer sur mon sort j'ai depuis longtemps pris en mains les rennes de mon destin, avec la meme audace qui m'as toujours fait avancer je vais braver la foule et leur montre se donc je suis capable.
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Oui Arnaud tu peut le faire.
############################ FLASHBACK ############################
LTI ( london tecnhologie institute) 24 mai 2004 13 h 27
On frappa à la porte du bureau du recteur, la personne qui se trouvai a l'intérieur autorisa a ce que l'on rentre ,sans attendre un homme pénétra dans la pièce il s' agissait du surveillant général des dortoirs Mr Gonzales qui amenait Arnaud.
Gonzales : je vous amène Mr Morillon
Recteur : merci a vous Tim vous pouvez vous retirer
A vos ordres Mr le recteur fit Mr gonzales en faisant un salut militaire.
Recteur : et Tim je vous en pris arrêter d'être aussi formel ce n'est pas l'armée ici
Gonzales : Pardon Mr le recteur
Sans plus attendre Tim Gonzales se retira laissant Arnaud en compagnie du recteur de l'université et d'un autre homme qui était assit dans un fauteuil.
Arnaud regarda attentivement le recteur qui l'avait fait convoqué pour une raison qu'il devinait aisément, le recteur était un vielle homme a l'air austère âgée d' une soixantaine d'années très dégarnies le niveau de la tête, pour Arnaud il lui faisait penser a Jean Luc Picard le capitaine de l' entreprise D , en face de lui se tenait l'autre homme qui devait avoir la trentaine ,il portait un costume noir et gris très chic ces cheveux noir bien coiffé lui donnait un air BCBG seulement sont regard perçant avait de quoi vous glacer le sang.
Asseyiez vous Mr Morillon lui pria le recteur
Arnaud obéie sans discuter mais l'homme dans le fauteuil ne cessas pas de le dévisager, cette attitude parut pour le moins gênant pour Arnaud qui se demandait qui était cet homme.
Recteur : Mr Morillon je vous remercie d être venu.
Comme si j'avais eut le choix lui répondit froidement Arnaud qui était encore énerve par son échec.
Vexé par la réflexion de Arnaud le recteur préféra ne rein dire devant son invité, il fit d'abord les présentations avant de lui expliquer le but de sa convocation.
Recteur : en premier lieu Mr Morillon je voudrais vous présenté Simon Watson de la société Cyclotron.
Arnaud : Cyclotron !!
Le noms que venait de prononcer le recteur n'était pas étranger a Arnaud ,la société Cyclotron était le plus importants financier de l'université, elle était très réputé a travers tous le royaume unie pour son apport a la technologie informatique, c'est elle qui leur avait fournit le modèle de super-calculateur et bon nombre d'étudiants travaillait dure dans l'espoir de pouvoir un jour intégrer la société, mais seul l'élite était choisit
Intégré la société n'était pas seulement pour le prestige mais aussi dans l'espoir de pouvoir collaborer avec l'un des plus grand chercheur au monde en matière d'informatique.
Un homme très connu donc le noms était plus respectable a lui tous seul que celui de Weller Moritaka et zalinski réuni, il s'agissait du professeur Henry Hopkins,connu dans le monde entier pour ce contribution dans le domaine de l'informatique.
sans plus attendre Simon Watson tendit une main amical au jeune homme qu'était Arnaud.
Bonjour Mr Morillon cela faisait longtemps que je voulais vous rencontrez fit Simon Watson moi !! fit Arnaud
oui vous lui répondit Simon.
Recteur : c'est d'ailleurs la raison de votre convocation, Mr Watson ici présent souhaitait s'entretenir avec vous dans les plus bref délai.
Arnaud : c'est pour ça !! je croyais que.....
Mr gonzales ne vous pas évoqué la raison de votre venu coupa alors le recteur
Arnaud : pas un mot il ma juste dit que j'étais convoqué dans votre bureau de toute urgence sans plus.
Recteur : a celui la je le retiens toujours prés a faire le G.I américain mais pas foutu d'aligner trois mots correctement, je lui avait pourtant bien dit....
...Alors ce n'était pas pour mon orientation dit aussitôt Arnaud
Recteur : c'est n'était pas le but de votre convictions.
D'une façons plus général c'est bien de ça donc il s'agit reprit alors Mr Watson
Le garçon regarda cette individu avait beaucoup d inquiétude que pouvait bien signifier tous ça ?
Mr Watson : maintenant si vous voulez bien nous excusez Mr le recteur j aimerais entretenir seul a seul avec Mr Morillon .
Recteur : je comprend parfaitement donc si vous voulez bien m'excuser
Mr Watson : je vous prie.
Sans ajouter un mot de plus le recteur se retira sans un bruit laissant alors Arnaud avec le mystérieux Watson, Arnaud se demandait de plus en plus ce que pouvait bien lui vouloir cette homme que le recteur semblait redouter a l'attitude fuyante que celui venait d'adopter face a lui.
Dans le calme du bureau ou se trouvait les deux hommes se fut Mr Watson qui pris l initiative d'adresser la parole en premier.
Watson : Alors Arnaud comment sa gaze
Arnaud : comment !!!
Je veux dire tu va bien, tu est bonne santé lui dit l'homme qui se permit de le tutoyer comme s'ils étaient des vieux amis l'enfance.
Devant cette attitude désarmant de simplicité Arnaud ne savait quoi répondre, bizarre que cet homme en apparence bien sur lui puisse parler d'une façon très décontracté, Arnaud ne sachant comment réagir devant cette situation se contenta de dire que ça allait bien sans plus
Nickel chrome lui fit Mr Watson en souriant
vraiment cette personne est étrange se dit Arnaud
Mr Watson : et sinon sa se passe toujours bien les études
Arnaud : ouais ça va
Mr Watson : je te sent un peu tendu mon pote
Arnaud : c'est que votre attitude me déstabilise un peu et moi sa me crispe.
Mr Watson : il faut pas regarde moi je suis décontracte qu'est ce qui te gène ?
Arnaud : vous me tutoyer alors qu'on ne se connaît pas
Mr Watson : et bien c'est la que tu te trompe mon garçon parce que moi je te connais
Arnaud : d'où me connaissez vous ?
Mr Watson : disons que je suis ton parcours depuis un bon moment.
Arnaud : vous vous intéressez a moi
Et de très près lui dit MR Watson
Et ça fait longtemps lui demanda Arnaud légèrement intrigué
Mr Watson : depuis que tu est entré a l'université pour être plus exacte.
Arnaud : sa fait 3 ans alors
Mr Watson : un éternité en somme.
Pour quel raison cette homme s intéressait il a son parcours scolaire ? Arnaud avait pourtant la réputation d'être un élève douer mais son problème de discipline lui avait valu de mauvais point sur son dossier et voila qu'un homme inconnu lui dit qu'il l'observe depuis le début de son cycle universitaire.
Mr Watson : jusqu'à présent tu n'as jamais eut de problème en classe.
Arnaud : je m'en sort pas trop mal mis a part quelques blâmes ici et la.
Mr Watson : ont est tous passer par la mon garçons moi comme les autres.
Arnaud : si vous le dites.
Mr Watson : mais sa ne tas pas empêcher de continuer
Arnaud : c'est pas facile il faut s'accrocher pour réussir
Mr Watson : et heureusement pour toi que tu soit titulaire d'une bourse sans quoi
Arnaud : c'est vrai on peut dire que j'ai de la chance de se cote la.
A l'époque la mère de Arnaud n'avait pas les moyens financier d'envoyer son fils à l'université mais par chance grâce a ces bon résultat scolaire celui-ci avait réussie a décrocher une bourse universitaire, elle n'était général offerte qu'à quelques personnes candidat choisies au hasard et jusqu'à présent Arnaud avait toujours eut la chance de bénéficier d'une de ces bourses a chaque fin d'année se qui lui avait permis de continuer.
Mr Watson avait en mains le dossier scolaire de Arnaud, il pouvait y a voir les résultat que celui avait fournit durant ces dernière années, et sur presque tous les abord celui était exemplaire pas moins de 19.5 de moyenne dans toutes les matières ,et curieusement M Watson semblais assez satisfait de ce qu'il pouvait lire et ne le cacha pas a Arnaud.
Mr Watson : je peux dire que ton parcours scolaire et excellent , premier dans toute les matière sauf en sport.
Arnaud avait de ceci de commun avec la plus part des génie de l'informtique, il n'était pas de nature très sportive et forcement les cours dispensé pars Tim était pour lui un calvaire sans noms, qui le pénalisait un peu. surtout que la pratique du rugby lui avait laisser quelques bleu.
Le sport c'est pas mon truc répondit Arnaud
Sa m'étonne pas tu est comme toutes les grosses tête, tu n'arrive pas a traimer ton "big" cerveau dit Simon en rigolant.
La réflexion de ce dernier vexa légèrement Arnaud qui aujourd'hui n'était pas d' humeur a supporter qu'on se moque de lui.
Mr Watson : si je me trompe pas aujourd'hui tu as présente ta thèse.
Oui c'était ce matin lui dit Arnaud
Mr Watson : est ça c'est passe comment
Arnaud n'avait pas spécialement envie d'en parler mais Simon se fit très insistant, il voulait savoir ce que que les examinateurs avaient penser de son travail, mais Arnaud se mura dans un certain mutisme qui voulait dire bien des choses, a sa grande surprise Mr Watson lui parla alors du contenu des ces travaux.
Mr Watson : en tous qu'a tu as fait un sacré boulot avec ta thèse sur la régénération virtuelle et les intelligences artificielles.
J'y est passe du temps lui répondit Arnaud
Mr Watson : combien de temps exactement
Arnaud : sa fait plus de trois ans que j'y travaille
Mr Watson : et bien on peut dire que tu as consacré beaucoup de temps a tes théorie
Arnaud : c'est le moins que l'on puise dire.
Mr Watson : c'est con comme comportement de ta part tu aurais mieux fait d'aller faire la fête comme tous les jeunes de ton âge, au lieu de sa tu est rester comme un "geeks" dans ta chambre a travailler.
Que signifiait cette provocation, pourquoi cet homme semblait t'il s intéresser au travail de Arnaud et en meme s'amuser a le démonter, il y avait vraiment quelque chose qui tournait pas rond chez se type.
Mr Watson : tous ça au final pour nous pondre quoi !! une thèse assez flou.
Arnaud : comment pouvez vous dire ça
Mr Watson : pourtant si je me trompe pas le jury t'as recalé
Visiblement cet homme était au courant de la situation dans laquelle Arnaud c'était retrouvé,
Mr Watson : pourtant tu l'air de quelque de serieux et travailleur je trouve que tes effort aurait mériter d être récompense
Arnaud : oui mais cela n'a pas suffi à convaincre le jury.
Mr Watson : et pour cause un tel tissu d'annerie ne mériterai même pas d'être de figurer dans un livre de blagues.
Arnaud : quoi !!!!
Mr Watson : c'est vrai quoi tu as passé trois de ta vie a travailler au lieu de t'amuser et pour quoi je te le demande.
.....
Tous ça pour nous pondre une thèse bancale qui ne s'appuyait sur rein de concret et qui est purement fantaisiste lui fit alors Simon.
C'en était trop pour Arnaud pourquoi cet homme qu'il ne connaissait pas s'amusait t-il a le provoqué aussi ouvertement, cela ne suffisait-il pas de s'être fait recalé, fallait il encore en plus qu'on se moque de lui,vexé par cette remarque Arnaud préféra ne rien ajouter si ce n'est.
Arnaud : écoutez Mr Watson si c'est pour me dire des choses pareil c'est pas la peine qu'on continu l'entretien.
Vexé Arnaud se leva de sa chaise et tourna aussitôt les talons a Mr Watson, il alla en direction de la porte, mais qu'en il s'apprêtait a tourner la poignée de la porte Mr Watson lui dit une chose qui figea Arnaud sur place.
Bizarre cette attitude fuyante, elle ne ressemble pourtant pas a celle du jeune homme a qui j'ai financer les études lui dit alors Simon.
Arnaud resta clouer sur place par cette annonce,de son cote Simon était satisfait, son petit stratagème fonctionnait a merveille.
quoi !! c'était vous dit Arnaud en se retournant vers son interlocuteur.
Mr Watson : oui mon garçon c'est moi le mystérieux mécène qui t'a permis de continuer tes études.
Arnaud : alors c'est vous qui m'avez octroyer mes bourses d'études depuis trois ans.
Qu'elle surprise n'est-ce pas
Arnaud : je ne comprend plus rein a quoi vous jouer
Mr Watson : reviens vers moi et je vais t'expliquer.
Arnaud ne comprenais pas ou cette homme voulait en venir, depuis le début il n'avait pas cesser de le critiquer et voila qu'il lui annonçait que c'était lui qui avait financer ces études , Arnaud voulu comprendre ce que tous cela pouvait signifier, il retourna vers Simon pour obtenir des explications.celui ci pris un autre ton.
Mr Watson : d'abord tu m'excusera pour ma précedente attitude mais je voulais te mettre a l'épreuve.
Arnaud : pourquoi vous avez fait ça ?
Mr Watson : tout simplement mon garçon parce que tu as du génie et que selon moi tes théorie sont justes
Arnaud : vous le pensez vraiment
Mr Watson : tu ne crois pas on dirais.
Arnaud : je ne sais plus quoi penser venant de vous
Mr Watson : alors peut être me croira tu si je te montre ceci.
Simon sortit alors de sa chemise une feuille qu'il tendit a Arnaud ce dernier en fit la lecture et il reconnut tous de suite de quoi il s'agissait
Arnaud : c'est ma théorie ça.
Mr Watson : apparemment oui, sa parle de quoi déjà ?
Arnaud : ceci est la première ébauche de ma thèse sur les intelligences artificielles
Oui c'est juste, ça me reviens maintenant lui fit Simon avec un air faussement étonné
Ou avez trouvez ça lui demanda Arnaud
Mr Watson : ont as trouvé ça dans la partie science et technologie du site de "Star Trek fédération.uk.com".
Mr Watson : "Star Trek fédération !!!! mais sa remonte a quatre ans.
Mr Watson : quatre déjà c'est fou ce que le temps passe vite.
Arnaud : mais le site a fermé ces portes il y a 3 ans.
Mr Watson : je le sais ça,c'est a se demander comment ta théorie a put atterrir la dedans
Arnaud : c'est moi qui avait poste ceci a l'époque c'était pour débattre du sujet sur l'intelligence artificiel de Mr Data.
Mr Watson : le fameux robot Data, je vois et je suppose que tu as voulu affirmer tes dires en y mettant ta théorie
Arnaud : c'était juste pour le fun j'avais que treize ans a cette époque
Mr Watson : mais tu l'ai fait.
Arnaud : ce n'était que pour m'amuser sans plus, quel rapport cela a til avec vous
Mr Watson : et bien figure-toi que tes théories poste sur ce forum ont attiré l'attention de quelqu'un en particulier et de fil en aiguille c'est revenu a mes oreilles alors j'ai pris sur moi de financer tes études.
Arnaud : juste pour ça
Mr Watson : je voulais voir ce que tu serais capable de faire avec une bonne formation,par la suite j'ai suivit tes exploit en particulier ton petit tour de passe passe mathématique lors de la dernière conventions universitaire, ta démonstration n'a fait que confirmer mes doutes a ton sujet.
Arnaud : c'est a dire ?
Mr Watson : que tu est un vrai génie.
Vous le pensez vraiment lui fit Arnaud
Mr Watson : crois moi que si je n'avais pas la convictions que tes théories étaient réalisables je n'aurais jamais financé tes études.
Arnaud : seulement pour le moment mes théories ne sont que théories je ne suis pas en mesure de les appliquer.
ah bon est pourquoi ça fit Simon
Arnaud : car pour mettre au point de tels systèmes il faut disposer d'une puissance de calcul que je n'ai pas.
Mr Watson : pourtant votre université dispose d'un super-calculateur de type N. H. K. 63 je le sais car c'est nous qui vous l'avons vendu.
Arnaud : l'ennui c'est que le super calculateur n'est destiné aux professeurs,un élève comme moi n'a pas le droit de s'en servir.
Mr Watson : je trouve ça un petit stupide un brillant élève comme toi devrait avoir accès a cette machine pour ces expérimentations.
Arnaud : c'est pour sa que je travaille a l'obtention d'un doctorat
Mr Watson : je vois ainsi tu espère gagner ton droit d'accès a une telle machine.
Vous avez tous compris fit Arnaud :
Tous le travail qu'avait fournit Arnaud était dans but d'obtenir son doctorat qui serais pour lui le sésame qui lui ouvrirait les portes de plus grand laboratoire d informatique.
Mr Watson : seulement cela me semble compromis car ta thèse a été rejetée
Arnaud : ne me le rappeler pas c'est déjà assez dure comme ça a digérer.
Mr Watson : ça doit être frustrant de ne pas pouvoir utiliser un telle bijou de technologique.
Arnaud : les pseudo scientifique de notre université préfère analyser des particules qui s'entrechoquent, calculer les trajectoires explorées l'infiniment petit
Mr Watson : tu ne semble pas d' accord avec ça
Arnaud : c'est une perte de temps car l'avenir est virtuel
Mr Watson : les I.A et les mondes virtuel en somme
Arnaud : a dire comme ça je passe pour un rêveur
Mr Watson : les rêveur sont ceux qui font avancer le monde pourtant moi j'ai la conviction que tes idées pourraient révolutionner le monde.
Arnaud : vous ete bien le premier a me dire ça
Mr Watson : je suis un homme d affaire avec formation techno commercial et je sais reconnaître les gens qui ont un gros potentiel et toi mon garçon je te sens promis a grand
avenir.
Arnaud : pour cela il faut d'abord que je réussis a obtenir mon doctorat
Il était bizarre que ce jeune homme d'ordinaire peut bavard de ce besoin de se confesser d'une certaine manière ,il y avait chez Arnaud un désespoir que Simon allait exploiter.
Mr Watson : tu n'as pas besoin d'un super calculateur pour prouvé que tu a raison
Arnaud : vous me tester encore
Mr Watson : pourquoi dis tu ça
Arnaud : il est vrai que je pourrais programmer un système de base mais sa mise en fonction requière une puissance de calcul infini.
Mr Watson : infini !!!
Arnaud : pour ça il faudrait un ordinateur quantique.car il fonctionne sur un principe valeur infini.
Mr Watson : et selon toi sa suffirait
Arnaud : largement mais ont n'est pas près d'y voir il faudra encore un vingtaine d'année avant qu'un ordinateur de ce type n'existe et soi pleinement fonctionnelle a l'heure actuelle les les ordinateur quantique n'en sont qu'au stade expérimentale
Mr Watson : tu le crois
Arnaud : c'est une certitude
Mr Watson : que me dirais tu si je te disais qu'il existe une machine plus puissante que tous les super calculateur du monde réuni.
Arnaud : je vous répondrai que ce serait merveilleux si une telle machine existait.mais a part la trouver dans un film de science fiction je doute que sa puisse existé a notre époque
Mr Watson : c'est un point sur lequel je trouve que tu as tort.
Arnaud : comment ça ?
Mr Watson : tu vas le découvrir car c'est le but de ma visite,vois tu mon garçon j'ai un marché a te proposer.
Arnaud : quel genre de marché ?
Mr Watson : c'est simple je voudrais juste que tu renonces à tes études pour devenir docteur.
Arnaud : qu'est ce que vous venez de dire
Simon remit alors un papier a Arnaud, il s'agissait d'un document Arnaud s'engagait sur l'honneur a ne rein divulguer de ce qui allait voir sous peine de poursuite en justice, une clause avait cependant été ajouté il devait par la même renoncer a sa vie d étudiant et rentrer sur le champ dans le monde du travail.
C'est quoi se deal fit Arnaud
Mr Watson : un défi lui répondit Watson.
Arnaud : un défi.
Mr Watson : je offre la chance de ta vie
Arnaud : vous pouvez m'en dire plus
Mr Watson : pour cela il faut que tu signe cette décharge
Arnaud : mais c'est n'importe quoi si je fais ça je gâcherai la seul chance que j'ai de travaillé un jour sur un super-calculateur.
Mr Watson : c'est vrai mais n'est-ce déjà pas le cas avec le refus que tu viens d essuyer aujourd'hui.
Arnaud : pourquoi me mettez vous au pied du mur
Mr Watson : crois moi je n'ai pas financer tes études pour te voir gâcher ton avenir dans des petit laboratoire,si tu décides de venir avec moi a la compagnie alors je te montrerai
Arnaud : me montre quoi ?
Mr Watson : signe et tu le sauras
Arnaud : vous me tester c'est ça
Mr Watson : plus de test la je te demande de prendre un risque,celui de faire confiance a quelqu'un qui crois en toi
Arnaud : que pouvez m'offrir qui en vaille un telle sacrifice ?
Les clés du futur lui dit alors Simon
Arnaud : les clés du futur
Mr Watson : c'est ton expression il me semble.
Arnaud : c'est en effet mon expressions favorite mais je ne vois pas le rapport
Mr Watson : moi si tu en as souvent l'usage sur le site de Startrek et de ce que j'en est lu et représente pour toi l'espoir.
Arnaud : c'est l'espoir de lendemain meilleurs
Mr Watson : et c'est que je peux t'offrir un meilleur avenir.
Arnaud : comment le pourriez vous ?
Mr Watson : signe et tu le sera.
Simon sortis un stylo qu'il posa sur la table. Arnaud ne savait plus quoi penser,il se mit a réfléchir a cette proposition l'homme qu'il avait en fasse de lui proposait les clés du futur et si celui ci croyait vraiment en lui qu'avait t'il a perdre de tous façons pour lui la vie d' université était finis, Arnaud devait tenter sa chance, il prit le stylo est signa.
chapitre 09 la nouvelle recrue
Maman..papa.. je suis de retour dit Yumi en arrivant dans la cuisine.
Ta journée c'est bien passé ma chérie lui demanda Md Ishiyama qui faisait la vaisselle.
Yumi : bien a part une cliente qui ne savait pas faire la différence entre un paquet de nouille et de spaghetti, je vous jure les gens sont vraiment pas douer des fois.
Ah sa ma chérie c'est pas donner a tous le monde de faire la différence entre les deux lui dit
Mr Ishiyama qui lisait sont journal.
Yumi : les gens pourrait au moins faire un effort, c'est pas complique quand meme.
Md Ishiyama : on ne peut pas demander a tous le monde tous savoir.
Yumi : mais il pourrait au moins savoir ce qu'il achète.
Md Ishiyama : c'est ton travail que de conseiller les gens ma chérie.
Yumi : c'est pas facile des fois.
Mr Ishiyama : c'est le monde du travail qui veut ça, je suis bien placer pour le savoir.
Yumi ne répondit rein a cette argument, son père n'avait pas tord le monde du travail et impitoyable et elle en faisait aujourd'hui l'expérience, car depuis le début des grandes vacances Yumi avait trouvé un petit job d'été,elle travaillait comme vendeuse dans une grande surface ou elle passait ces journées a remplir des rayon et a conseiller des client sur tel ou telle chose.
Pour l'occasion elle faisait le service de nuit jusqu 21 heures ce qui présentait l'avantage d'être mieux payer meme si cela la faisait rentrer tard le soir, en moins d'un mois elle avait pris le rythme de vélo boulot dodo.
Ces parents voyaient d'un bon oeil que leur fille rentre si vite dans le monde de travail, ils croyaient a un prise de responsabilité de celle ci et a une envie de vouloir de se frotter a la dure réalité de la vie active.
pour se justifier elle avait prétexter vouloir économiser pour se payer un scooter afin de faciliter ces déplacement en cours,ces parent n'avait rien contre après tous Yumi était une adolescente cela leur paru tout a fait normale, ils lui avaient donc donner leur bénédiction,mais en réalité les motivations de Yumi étaient tous autres.
Ce travail ingrat elle l'avait accepté comme pénitence en se disant quelle faisait ça pour Aelita et Jeremie, mais c'était dure elle devait accuser tous les coups, Yumi dut a plusieurs reprise mettre sa fierté de coté a chaque foi qu'un client lui répondait mal,elle ne pouvait pas se permettre de perdre cette place.
Elle avait trop besoin d'argent pour acheter le matériel donc Jeremie avait besoin pour réparer le super calculateur et pour finalisé son projet secret, rein que son premier salaire était intégralement partis en composant électronique.Voila qu'elle était la vrai raison qui motivait Yumi.
Yumi : bon je vais aller me laver et après je mange.
Md Ishiyama : je t'ai préparer ton dîner il est dans le frigo.
Yumi : merci maman
Mr Ishiyama : tu dois être affamé après une si long journée
C'est le moins que l'on puisse dire dit Yumi.
Md Ishiyama : je trouve que c'est bien de ta part que faire se petit travail d'été.
Je le fais pour m 'offrir mon scooter dit Yumi.
Et c'est très bien de ta part dit Mr Ishiyama.
Bon je vais aller me laver dit Yumi en voulant écourté la conversation.
De ce pas Yumi monta a l'étage pour aller se prendre un bain après quoi elle prendrait un rapide petit souper avant d'aller se coucher pour attaquer le lendemain une nouvelle journée de travail.
Alors que leur fille se lavait dans la salle de bain ces deux parents passèrent dans le salon ou se trouvait Hiroki qui a son habitude jouait a un jeu vidéo sur sa console portative.
Outre les sujet de l actualité qui annonçait comme toujours les fait le plus divers entre la guerre en Stanilasie (3) la disparition d'un bateau dans le pacifique et les nouvelles sortie au cinéma tous n'était que banalité sans intérêt.
Pour changer de conversation ils vinrent a parler de Yumi et de son attitude très responsable et ainsi que de ces motivation au travail.
Mr Ishiyama n'y aucun inconvénient a se que sa fille travail pour d'offrir ce donc elle envie
meme si la perceptive que leur fille se déplace en scooter ne ravissait pas vraiment sa mère.
Md Ishiyama : quelle idée de vouloir s'acheter un scooter
Mr Ishiyama : tous les jeunes de son âge en ont, alors pourquoi pas elle, deplus elle travaille pour se l'offrir donc je ne voit pas ou et le mal.
Md Ishiyama : un scooter !
Mr Ishiyama : arrête de la couver que se passera il le jour ou elle voudra une voiture ?
Md Ishiyama : je trouve tousdefois son soudain intérêt pour le travail bizarre
Mr Ishiyama : elle veut se donner une première approche du monde du travail et c'est un bonne chose sa lui enseigne le sens des responsabilité.
Md Ishiyama : je ne sais pas
Mr Ishiyama : tu en doute notre fille et déjà une personne responsable, elle fait une expérience c'est une bonne chose pour elle
Md Ishiyama : je m inquiète peu être pour rien.
Mr Ishiyama : les parents de nos jours sont confronté a temps de problème nous devrions nous estimer heureux d'avoir un fille qui ne fait aucune grosse bêtise. il y a temps de jeune qui font tourne mal.
Md Ishiyama : c'est vrai de ce coté la nous ne sommes pas a plaindre,meme si il lui est arrive de nous cacher des choses se n' était rein de grave dan le fond.
Mr Ishiyama : tu parle de son histoire d'amour avec un de ces amis
Md Ishiyama : sa fait un ans quelle ne nous en a pas l'appeler
Mr Ishiyama : c'était juste un amour d adolescente ça lui est déjà passer, sa ne devait pas être sérieux
Md Ishiyama : on en sait rein tu sait a quel point notre fille est très réserve.
Mr Ishiyama : pour ça on la changera pas.
Les parent se félicitait de l'attitude de Yumi, il dirent meme a Hiroki de prendre exemple sur sa grande soeur et de faire preuve d'autant de maturité et de développer un sens des responsabilité aussi aigu qu'elle.
Mais le jeune garçons de 12 ans n'était pas aussi aveugle que ces parents, il avait bien vu que sa soeur avait changé, il savait parfaitement qu'elle était préoccuper depuis ces derniers temps et que cette histoire de scooter n'était qu'une façade qui cachait autre chose.
Certain soir quand il collait une oreille contre le mur de sa chambre. il lui était arrivé d'en-tendre Yumi pleurer dans sa chambre .
Etait-ce a cause de Ulrich ? ou y avait il une autre raison.
Après avoir un prendre un bain pour se délasser les muscles du corp Yumi descendit a la cuisine pour avaler un léger petit repas,après avoir saluer ces parents pour leur souhaité bonne nuit elle regagna sa chambre.
Avant daller se coucher Yumi devait encore se coiffer en fouillant dans ces affaires pour faire refaire son chignon elle tomba par hasard sur son journal intime
Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas rouvert son livre a la couverture noir et parsemer détoile, elle se posa sur une chaise pour en lire le contenu.
Elle pouvait y relire le récit de sa vie, tous ce quelle avait ressentis, ces promesses et ces espoir, en tournant chacune des pages charges de souvenirs elle poussait parfois des petits rire nerveux a lecture de ces épisodes tragi-comique.
Mais tous c'était arrêter un lundi de juin depuis rein d'autre n'avait été consigné dedans.
Éprouvant soudain le besoin de soulager sa conscience elle ouvrit son tiroir et pris un stylo.
------------------------------------Journal intime de Yumi Ishiyama------------------------------------
11 août 2005 - 22h 26
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Cela faisait longtemps que je n'avait pas rouvert ce journal, en faite depuis se fameux lundi de juin ou notre vie a de nouveau basculer dans l'angoise. (1)
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La semaine prochaine cela fera deux mois que Aelita a disparu, deux mois déjà que nous vivons tous un enfer quotidien et surtout le pauvre Jeremie.
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Sans relâche celui ci continu ces recherches pour retrouvez Aelita, travailler comme il le fait est mauvais pour lui je lui en est fait le reproche assez souvent.
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j'ai réussi a le résonner, maintenant il lui arrive de sortir pour pendre l'air, je crois que lui meme a pris conscience que ce n'est pas en se tuant a la tache et en tombant malade qu'il sauvera Aelita.
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Pourtant je réalise bien que le travail a accomplir pour un seul homme semble colossal,en plus des réparations qu'il effectuer sur le super-calculateur, il m'a confier qu'il travaillait sur deux projets importants.
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Je me demande bien ce qu'il peut inventer pour avoir besoin d'autant de pièce détaché , selon Jeremie ces projets seront vital pour sauver Aelita.
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D'après ce que j'ai put comprendre l'un serais une machine et l'autre un programme informatique, c'est tous ce que je sais il n'as pas voulu me donner plus d' explication.
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alors il travaille encore et encore , il culpabilise, il se sens responsable de la disparition de Aelita, je trouve qu'il trop dure envers lui meme
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Pour ma part je ne peut pas lui reprocher, personne n'aurait pu prévoir ce qui allait arriver .
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mais cela ne suffit pas a apaiser mes remords je me sens si coupable d'avoir dis OUI
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j'ai fais preuve de faiblesse ce jour la.
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j'aurais dut dire NON !!! m'opposer a ceci mais pour la première fois de ma vie j'ai laisser parler mes sentiments et voila ou cela nous a conduit.
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Le jour ou nous avions voter pour éteindre le super calculateur, de tous j'ai été la première a y a être favorable.
Au bout de 2 ans et demi de combat nous avions enfin réussi a vaincre Xana, Aelita et William était tous les deux libres, plus rein ne nous menaçais.
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De-lors Lyoko n'avait plus de raison d'être, nous pouvions tirer notre révérence, nous devions grandir,passer a autres choses, nous n'allions pas passer le reste note vie a jouer au super héros jusqu'à 80 ans.
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Le seul a abonder dans ce sens était William qui tous comme moi était conscient du danger que cela représentais si nous laissions cette machine en activité ,mais tous mes amis n'étaient pas de cette avis.
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Outre la vie trépidante d'aventurier que cela procurerait a certains, le super-calculateur et Lyoko était pour eux le symbole de notre amitié et si sous l' éteignons a coup sur cela ne serais plus pareil entre nous.
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Un telle raisonnement pouvait paraître égoïste et immature de leur part mais après bien des échanges se fut la raison qui finit par l'emporter sur les sentiments, le dernier incident avec Sissi nous a démontré a quelle point il était urgent d'en finir,un ultime retour vers le passé fut alors lancer.
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Par la suite Jeremie nous proposa de voter une deuxième fois et la nous fumes tous d'accord ce fois ci
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Lyoko avait vécu et nous devions tirer un trait sur nos vie de Lyoko-guerriers.
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En ce 29 mars 2005 Jeremie abaissa le levier qui contrôlais l'alimentations du super-calculateur ,la machine se désactiva dans un bruit d'agonie, les deux cylindre de l'unité central s'enfoncèrent dans le sol et la trappe principale se referma dessus pour l'éternité.
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fini les secrets, le danger et les attaques désormais le monde devrait apprendre a vivre sans ces protecteurs.
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Du moins c'est ce que nous pensions tous.
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Nous réprimes une vie de collégien/lycéen normal,nous pouvions a nouveau nous promener sans courir le risque de se faire attaqué par un ours en peluche géant ou qu'une pluie de météorite ne s'abatte sur nous.
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Mais très vite nous nous retrouvâmes face a des problèmes donc nous ne nous étions pas préoccuper avant, notre vie de guerrier nous avait fais passer a coté de bon moment nous avions pas moins de 2 ans de notre insouciante jeunesse a rattraper.
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Nous allions nous embarquer sans la savoir dans la plus effroyable routine qui soit ,et il ne fallut pas moins de 2 mois pour que tous bascule.
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Nos rapport devinrent plus froid les uns envers le autres, j' aurais penser que notre amitié était plus forte que ça mais je me trompais.
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Lyoko était ce qui nous avait unis et nous avions nous meme couper se liens très particulier,chacun a sa façons essaya de faire l' impasse dessus.
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Jeremie était retourné a la conceptions de ces robots un nouveaux concours était prévu a la fin de l'année et il voulait encore mettre une pâté a Hervé.
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Odd lui se consacrait pleinement au tournage de ces films il avait trouver dans la créations un exutoire qui lui faisait presque oublier les filles.
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Ulrich devint plus assidu au travail pour remonter ces résultat scolaire et de coté la il réussi son pari.
En deux mois il passa de juste 10 de moyenne a 13 a la grande surprise de madame Hertz qui se demandais bien qui avait bien put remplacer Ulrich par son frère jumeaux travailleur et consciencieux.
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Pour moi la disparition de Lyoko n'avait rein changer je me cantonnait toujours a mes 15.5 de moyenne général.
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Pour nous quatre tous allait pour le mieux Mais Aelita elle n'en menait pas large ces résultat était en chute libre
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elle souffrait meme si elle faisait tous pour le cacher j'en jetais consciente et je le voyais bien. #
je n'étais pas la seule, Jeremie aussi s'en était rendu compte, il était peut être un génie, il avait souvent négliger Aelita quand nous combattions Xana.
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Mais la il n'avait pas d' excuse, Xana n'était plus il aurait plus faire un geste envers Aelita.
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Mais se que nous ne savions pas c'est qu'il c'était mit en quête d'un moyen de redonner le sourire Aelita et que paradoxalement il avait créer un vide entre eux deux pour cette recherche.
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fatalement cela ne fit que renforcer le sentiment de solitude de Aelita qui avait un temps trouver un but dans sa vie en participant a un concours de film amateur mais derrière cette façade joyeuse se cachais une grande blessure. (2)
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l avenir pour elle lui semblais incertains car son passé avait disparu.
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Aelita ne cessait de se poser cette éternelle question sur ces origines, d'où venait elle ?
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Pour répondre a cette question Jeremie décida de rallumer en secret le super calculateur,afin de retrouver le passé de sa douce amie, Aelita approuva cette décision.
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mais nous découvrimes le pot au rose avant qu'il ne le fasse,de-lors le problème fut cornellien,jeremie voulait le faire et l'aurais fait si nous n' étions pas intervenu.
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Maintenant il ne s'agissait plus d'être unanime cette responsabilité Jeremie et Aelita voulaient l' assumer seul.
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Jeremie nous dit qu'il voulait compter sur notre soutiens, pour cela il fallait voter pour savoir qui serai de la partie,et cette fois ci se serait 50/50.
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A notre plus grande surprise Odd fut contre, il prétexta que se serais une mauvaise idée cela nous étonna tous lui qui d'habitude était toujour enclin a partir a l'aventure, c'est cela qui m'a le plus surpris.
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A mon grand regret cette fois ci c'est lui qui avait fais preuve de discernement, quelque part je trouve que Odd a bien mûris depuis son concours de vidéo amateur et sa relation avec Aelita avait changer.
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Il y a des signes qui ne trompe pas.
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Ulrich eut la meme réaction que Odd, Lyoko nous avais tous couter et nous ne devions pas nous y aventurer.
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Au final se fut moi qui du trancher.
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Et je suis coupable d'avoir dit OUI.
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il n'y a pas un jour ou je ne regrette pas cette décision.
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alors qu'il y a deux mois et demi j'avais voulu qu'on en finisse, je fus celle qui fit pencher la balance en faveur de la réactivation du super calculateur.
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Et ce jours la je crois bien que de tous ce fut Ulrich qui men voulu le plus.
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Avec tous ça je n'est jamais su ce que Ulrich avait voulu me dire dans le parc,ce fameux lundi nous nous nous étions donner rendez vous, il voulait me dire quelque chose de très important et il n'était pas le seul, le hasard avait fait que moi aussi je voulais mettre au claire un sujet nous concernant, j'avais tous préparer et rein ne semblait y faire obstacle.(4)
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Mais le destin a en décider autrement et cette foi William ou Sissi n'était en rein responsable.
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WILLIAM...
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peu de temps avant William m'avait dit qu'il ne serait plus jamais un obstacle entre moi et celui que j'aime.
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Quand je repense a son petit stratagème je me suis bien fait avoir par lui.
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pourquoi je me met a parlé de lui ? peut être parce que je lui doit beaucoup.
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Il m'as aider a me rapprocher de celui que j'aime,et je l'en remercie.
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Que fait il en se moment ?
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Tous se que je sais c'est qu'il est en vacance avec ses parents dans le sud de la France, dernièrement il m'a téléphoner une fois pour me demander si j'avais ou non franchis le pas.
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Que pouvais je lui répondre !!!
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Que nous avions rallumer le super calculateur sans lui dire et que Aelita c'était fais enlever par une mystérieuse sphère venu de la mer numérique.
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Non William avait eut son lot de souffrance je ne voulais pas qu'il continue a faire les frais de nos escapades virtuelle.
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WILLIAM...
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Sa peut paraître étrange de ma part que je sois si enclin a protéger William, mais je crois je suis la mieux placer pour parler de lui.
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A son arrivé il est vrai que je lui est trouver un certain charme et toutes ces attention a mon égard je trouvais sa adorable,j'ai quand meme toujours été méfiante envers lui, a la longue je n'aimais pas sa façons qu'il avait de me coller et son attitude de tête brûler n'inspirait aucune confiance, les autres aurait voulu en faire un des nôtres mais moi j'y étais opposer.
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Pourtant par la suite il deviens urgent de recruter un nouveau Lyoko guerrier et le choix le plus logique se porta sur William.
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Depuis son évasion de Lyoko les objectif de Xana avait changer il voulait détruire le super-calculateur pour nous empêcher de la traquer sur le réseau
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A l'aide la méduse il pris le contrôle de Aelita a plusieurs reprise pour lui faure détruire les territoire de lyoko.
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Sa manoeuvre consistait a lancer des attaques sur Lyoko pour forcer Aelita a y aller
quand il y arrivait a se saisir de cette derniere,il obligeait Aelita a détruire un territoire en lui faisant rentrer le code Xana dans une des tour du passage.
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A chaque fois qu'un territoire disparaisait il nous priverais du seul moyen de le combatte efficacement a plusieurs fois nous sommes parvenu a le contrecarré mais en en dépit de tous nos effort nous ne pumes empêcher Xana de détruire le dernier territoire.
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la priorité était de réussir a se matérialiser sur le cinquième territoire et de protéger le coeur de Lyoko
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mais il fallait se rendre a l'évidence a nous 5 nous ne suffisions pas a lutter efficacement contre Xana, il était temps de recruter un nouveau guerrier.
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Tous étaient d'accord pour intégrer William dans la bande, il nous avais prouver sa valeur en empêchant une bombe de détruire l'usine
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Mais ce jour la je m'étais opposer a son intégrations en votant contre lui, mais aujourd'hui il n'était plus question de faire la fine bouche la situation l'exigeait.
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Ce qui m'avait convaincu c'est que le jour meme il m'avait parler d'un rêve etrange dans lequel il m'avait aider et que cela lui avait fait très plaisir.
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se serait il douter que cela était la vérité,déplus il m'avait couvert lors de ma fuite du laboratoire photos
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il m'avait toucher pas son actions ,et il méritait qu'on lui donne sa chance
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Tous mes amis estimèrent que c'était moi de le lui demander et c'est ce que je fis le jour meme.
############################ FLASHBACK ############################
Ce jour la tous les Lyoko guerrier étaient réuni devant le préau, alors que dans un coin de la cour, posé sur un banc William discutait avec Yumi
2 heures auparavant Xana avait réussi a détruire le territoire montagne rien ne pourrait plus l empêcher de détruire le coeur de Lyoko
Mais Jeremie était parvenu trouver le moyen de matérialiser directement sur le cinquième territoire.
La lutte pouvait continuer.
Il avait été décider de recruter un nouveau guerrier et après bien des hésitations William fut designer comme étant le candidat idéal.
Fallait il encore lui annoncer la nouvelle, cette tache incombait a Yumi, le coup de mains que William avait donner a Yumi avait finis de la convaincre.
William : humm tu veux dire que mon rêve, ça n'avait rein d'un rêve
Yumi : et bin non
William : et que tous ça c'est vraiment arrivé.
Yumi : bin ouais
William : et c'est sérieux vous avez besoin de mon aide.
Yumi :ouais
alors que Yumi s'affairait a convaincre William de le rejoindre dans leur combat, les autres Lyoko guerriers observeraient la scène en se demandant si ce dernier allait accepter.
Aelita : vous croyez qu'il va dire oui ?
Odd : bien sur Yumi lui demanderais de sauter d'une falaise il plongerai sans hésiter.
Et Odd avait bien raison de dire ça, William accepta la proposition,il conclu accord avec Yumi dune bonne poignée de mains en lui signifiant qu'il était de la partie désormais.
Il allèrent retrouver la petite bande qui accueillirent tous William a bras ouvert,meme Ulrich sans le savoir, la nouvelle recrue, allait s'embarquer dans un aventure extraordinaire, Jeremie tiens a dissiper les doutes en demanda a William si on pouvait compter sur lui.
tu est avec nous William lui demanda Jeremie
il faudra que vous me donniez tous les détails mais oui lui répondit le beau ténébreux
Compte sur nous pour tous expliquer lui dit Aelita
Jeremie : sois le bienvenue dans la bande.
Le soir meme il se rendirent tous a l'usine en compagnie de leur nouveau compagnons d'armes, William était exciter a l'idée de combattre des monstres dans un monde virtuel, pour la premier fois Ulrich d'ordinaire si peu bavard lui expliqua les fondement de Lyoko.
Durant le trajet il ne cessa pas déposer des tonnes de question alors qu'avant et après le repas on lui avait fournit pleins d information sur Lyoko et Xana ainsi que sur la mission des Lyoko guerriers,il entra dans le monte charge avant d'aller au scanner il firent un arrêt par le laboratoire, William fut impressionner par l' ampleur de l installation.
William : alors c'est ça votre laboratoire secret.
Yumi : c'est ici que Jeremie contrôle tous le programmes
William : c'est cool et sa coûte combien se joujou.
Jeremie : c'est sérieux William.c'est pas un jeu
mais William était très enthousiaste, mais vu le coté autoritaire que Jeremie avait pris il devina qu'il était la tête pesante du groupe.
William : c'est Jeremie le chef si je comprend bien.
Yumi : pas vraiment
Ulrich : c'est plus le tacticien de service
William : le chef radar en somme.
Yumi : si on veux
William : et maintenant c'est quoi la suite
Jeremie : le plus intéressant est en bas
Sans plus tarder ils descendirent au niveau inférieur la William fit la connaissance des scanners.
La première étape consistait a le scanneriser de façons a ce que le retour vers le passe n'est plus d'effet sur lui
le temps n'était plus a la rigolade tous les Lyoko guerrier présent fixèrent William avec le plus grand sérieux, le moment était solennel car William devait prêter serment de toujours garder le secret,et comme c'était Yumi qui l'avait introduit dans la bande se fut a elle de lui poser la question.
Yumi : William ..... tu jure de toujours garder le secret
je le jure ouais dit William
ouais bien parler William dit Jeremie dans le microphone.
Alors que Jeremie donnait les dernière directives l'un des scanner ouvrit,William éprouva alors une petite appréhension a entrer dans le tube, il ne savait pas quel effet cela faisait de se faire scanneriser.
bon alors tu y va tu as peur lui lança Ulrich sur un ton moqueur.
pas du tous non lui répondit !! pourquoi tu as eut peur la première fois lui répondit William
moi non dit Ulrich
arrête tu parle fit odd
Ulrich : j'ai pas eut peur je te dis
ah bon alors désole c'est que je dois confondre avec un autre Ulrich Stern lui fit odd sur un ton sarcastique.
Tu peut encore changer d'avis tu sais lui alors Yumi
Quoi tu veut rire fit William.
Et d'un pas décidé il entra dans le tube, les portes se refermèrent sur lui, Jeremie lança alors le processus de scannerisation,sur son écran le corp virtuel de son avatar pris forme désormais les caractéristique physique de William faisait partis du super-calculateur.
Bien venu au club William lui dit Jeremie
Le tube s'ouvrit de nouveau laissant échapper de la fumée grise et un William légèrement étourdis qui pris appui sur le rebord.
Odd : alors comment tu te sens.
Près a aller en découdre avec Xana et ces monstres fit William a cette instant un sourire au lèvres.
En la date du 25 octobre 2004 William devient officiellement le sixième Lyoko guerriers.
(1) plus tard voir la fanfic "Tranche de vie" intituler "Lundi"
(2) voir la fanfic "Tranche de vie" intituler "Odd un artiste incompris" et " solitude"
(3) petit clin d'oeil a Général Xana pour sa fics "Xana et l'hypogriphe de l' empereur"
(4) voir la fanfic "Tranche de vie" intituler "cruel faiblesse"
chapitre 09 nouvelle thérapie.
continue Maeva
Maeva :... et la voix m'a dis quelle voulait ma mort.
Dr : et pourquoi voulait telle ta mort ?
Maeva : selon elle c'est parce que j'existe et que mon existence lui est nuisible
Dr : en quoi ton existence lui serait elle nuisible ?
Maeva : je ne le sais pas.
Dr : a telle préciser autre chose.
Maeva : non elle n'as rien dit de plus.
Dr : et cette voix tu ne sait vraiment rien d'autre a son sujet
Maeva : si une chose.
Dr : laquelle.
Elle me haïs dis alors Maeva en regardant le docteur.
Sur le divan ou Maeva était allongé le docteur se tenait a ces coté un calepin a la main pour relever toutes les informations que Maeva pouvait lui donner, aujourd'hui il débutait avec elle sa nouvelle thérapie basée sur des séance de relaxation et d'hypnose.
C'est dans une position allongé et les mains le long de son corp que Maeva faisait le récit du rêve qu'elle avait fait cette nuit, le docteur l'incita a extérioriser les angoisses quelle avait éprouvé face cette nouvelle menace, il voulait obliger Maeva a franchir le seuil, l'obliger a voir par delà le miroir.
De nouveau éléments étaient apparu ces derniers temps, Lyoko et de ces démons avait fait place a des êtres humains, bien que dans ces rêves tous ne soit encore qu'a l'état de forme abstraite , d'ombres et de cri de fureur.
Parmi les cris et les ombres Maeva avait clairement le souvenir d'un jeune blond vu de dos dans un couloir, mais cette vision lui inspirait des sentiments contradictoire, le docteur voyait dans ce jeune homme blond un manifestation évidente du passé de Maeva
le caractère particulier que revêtait cette personne montrait bien que Maeva y était très attaché.
Qui était il ?
- un parent ?
- un ami ?
Et en quoi pouvait il être lier a Lyoko ?
Maeva avait bien essayer de le représenter en dessin mais son visage lui échappait,parmi tous les croquis que Maeva avait dessiner les humains y avait toujour été absent, jusqu'à peu.
"Les humain ne font pas partis de ton monde" lui avait dis le lion violet dans un de ces rêves
meme si celui ci avait voulu la dévorer juste après les paroles du lion lui était rester, en quoi Maeva était elle si différente des autres hommes
Était ce a cause de ces pouvoirs ?
Ou était ce le faite quelle soit sans souvenir de son passé.
Maeva peinait a se définir elle meme, dans un rêve on ne peut pas se voir normalement, notre vision et toujours subjective car nous sommes témoin de la scène, mais il existait des exceptions de personne qui avait rêver se voir elle meme dans un lieu bien précis et qui était conscience quelle se voyait elle meme.
"C'est ce qu'on appelle la vision du miroir" lui avait expliquer le docteur.
Un miroir c'est le reflet de sa personnalité profonde, c'est généralement le fond de son âme qui se manifeste dans ce miroir et l'on peut y apprendre beaucoup sur soi on le regardant, mais il arrive la vision que l'on peut avoir de soit meme et parfois effrayante car on peut être confronté a la représentation d'une personne en lequel on ne se reconnaît pas forcement et pour Maeva c'était le cas.
Dans ces rêves le miroir qui lui servait de pont entre notre monde et celui de Lyoko renvoyait un curieux reflet de Maeva.
Dans ce qui semblais être notre monde Maeva n'avait pas de reflet dans ce miroir mais une fois passer de l'autre coté dans le monde de Lyoko elle pouvait s'y voir.
L'image quel avait d'elle meme dans le miroir était celui de la jeune fille au cheveux rose quelle était peut être dans le passé avant son amnésie.
Bien que sur ce dernier point un détails ne collait pas avec le reste.
Le docteur autant que Maeva savait que cette histoire de miroir avait un double sens,il était une séparation, il servait a marqué une différence dans sa vie celle d'une autre existence.
Maeva aurait elle eut une double vie ?
Si c'est le cas ces sentiments serai alors le mélange de sa double existence celle sur terre et celle sur Lyoko.
Mais comme Lyoko et un monde imaginaire les sentiments quelle peut y avoir éprouver le son tous autant
Maeva devait faire la part des choses,elle devait réussir a dissocier le vrai du faux pour trouver sa vérite, mais comme si lyoko ne suffisait pas voila qu'un nouveau monde venait de faire son l'apparition.
Le monde des ombres
D'où venaient elles ces ombres ?
qui étaient elles ?
Mais a la différence de Lyoko Maeva ne semblais pas éprouver de peur a leur contact car elle avait choisit de se laisser entraîner dans leur danse de son propre chef meme si celle ci voulait l'emmener dans le tunnel de lumière, ce qui interpella le docteur c'étaient alors la motivation des ombres a l'égard de Maeva
Dr : elle voulaient te tuer selon toi.
Maeva : je ne crois pas.
Dr : alors que te voulaient t'elles ces ombres ?
Maeva : je crois quelle voulaient me protéger
Dr : de protéger de quoi
Maeva : de la lumière.
Dr : mais la lumière a fait fuir ces ombres
Maeva : je sais
Dr : et cette lumiere a quoi peut on la rattacher.
Maeva : c'était sûrement la lumière de notre seigneur
Dr : la lumière de dieu.
Maeva : peut être que dieu voulait me rappeler a lui.
Dr : alors se serait de ta mort que les ombres voulaient te préserver
Maeva : c'est possible docteur.
Dr : ce qui est étrange c'est que de façons symbolique les ombres renvoi a l image qu'on se fait de la mort.
Maeva : et lumière a celle de la vie
Dr : bizarre.
mais ces ombres ... elles voulait que je vive dis Maeva a ce moment
Dr : tu en est sur
Maeva : mon heure n'était peut être par arriver
Quand sait tu lui demanda le docteur.
Maeva : quand dieu veut nous rappeler a lui on ne peut pas lui résister et rein ne peut si opposer ni ombres ni voix, rien....
La ferveur qui habitait cette enfant était étonnante, depuis que Maeva avait ouvert une bible sa foi n'avait cesser de croire,elle avait trouver dans la religion un réconfort, une raison d'exister, sa foi lui permettait de différencier ces deux concept que sont le bien et mal
Pour le docteur Robinson tous ces détails était précieux indice sur la dualité qui semblais habiter Maeva
Avait elle rêver sa vie ?
mais le sujet n'etait pas les croyances de Maeva mais bien le mystère qui entoure les ombres et la lumière
le docteur ne voyait pas d'un bon oeil que Maeva soi devenu si croyante mais cela était du au fait que lui avait perdu depuis longtemps la foi.
le docteur voulu ne apprendre plus sur la voix mystérieuse car d'une manière ou d'une autres elle était importante, si quelqu'un lui voulait vraiment du mal, le docteur était persuader que Maeva connaissait celui qui lui portait une telle haine, et si c'était le cas il se pourrais que cette personne soit responsable de son état et de tous le reste.
Dr : Maeva je voudrais en savoir plus sur la voix
Maeva : je vous et déjà dis tous ce que je savais.
Dr : pas tout a fait.
Maeva : que pourrais-je vous en dire plus ?
Dr : dis moi, comment décrirait tu le son de cette voix.
Maeva : assez froide et sans sentiments.
Dr : était elle grave, aigu, ou bien perçante.
Maeva : rein de tous ça,cette voix n'était pas humaine.
Dr : comment ça pas humaine !
Maeva : elle était métallique.
Dr : une voix métallique !
Maeva : comme celle d'un robot.
Dr : un robot !
Ou un être artificiel, je ne sais pas, je ne sais plus. c'est si confus dit Maeva en se prenant la tête.
Cette expérience avait été traumatisante pour Maeva le docteur ne voulait pas la brusquer il fallait procéder par étape pour réussir a discerner le vrai du faux et l'imaginaire du réel.
Dr : calme toi Maeva et revenons a des questions plus simple
Oui docteur fit Maeva en jetant un regard de chien battu au docteur
Dr : peut tu associer une forme a cette voix.
Maeva : non rein du tous, je n'est rein vu d'elle quand elle a commencer a me ...
Maeva ne dit plus rein elle ne voulais pas évoquer la tentative de meurtre sur sa personne , le docteur le compris très bien et se concentra sur le moyen et non la finalité des actes de la voix.
Dr : et cette entité comment voulais t'elle te tuer
Maeva : c'est assez confus.
Dr : essaye.
Maeva : disons que se n'est pas physiquement quelle voulait me tuer.
Dr : de quelle façons alors ?
Maeva : elle voulait tuer mon âme.
Dr : ton âme ?
Maeva : oui elle a cherchez a m'anéantir au plus profond de moi meme.
Dr : et avec quoi voulait elle tuer ton âme
Maeva : avec sa haine.
Dr : sa haine !?
Maeva : elle voulait me corrompre pour me faire mourir.
Pour l'avoir lut dans la bible Maeva savais depuis longtemps qu'il n'existais qu'une façons de tuer une âme.
Aussi immortelle et pure que puise être une âme a la naissance, celle ci pouvait s'avilir avec le temps si par faiblesse cette dernière ce laissait corrompre et qu'elle choisissait la voie du mal,alors le pire pouvait arriver.
Quand on éprouve de la haine pour son prochain, on porte la haine dans son coeur et irrémédiablement on se consume de l'intérieur, de-lors on est damné et condamné a subir une souffrance éternel.
Seul la foi peut nous préserver du mal et Maeva y puisait sa force en elle,ne pas céder au mal voila le combat auquel Maeva devait se livrer dans ces rêves et la voix avait chercher a la pousser au vices.
Maeva : je me suis sentis envelopper par la voix, elle voulait me pousser au péché elle ma susurrer de commettre des actes horribles.
Dr : quelle genre de pécher
Maeva : je ne sais plus mais cela m'as fait tres peur.
Dr : de quoi a tu peur.
Maeva : j'ai peur de faire du mal
Dr : a qui ?
Maeva : a tous le monde.
Dr : et comment pourrait tu faire du mal au gens ?
Vous le savez docteur répondit alors Maeva.
Maeva n'eut pas besoin d'en dire plus, elle avait fais assez de dégât autour d'elle pour que le docteur se doute bien de quoi il en retournait, il pouvait comprendre pourquoi Maeva avait tant peur de blesser autrui car meme sans le vouloir elle le pouvait, elle en avait le pouvoir.
Pour combattre cette malédiction Maeva cetait réfugier derrière la foi.
Le salut de son âme c'est tous ce quelle pouvait espérer en ce monde en me commettant pas volontairement le mal et pour cela elle luttait pour ne pas s'avilir, son caractère s' affirmait de jour en jour, et meme si cela devait arriver un jour elle préférerai mourir que de nuire.
Cette voix c'est le mal.dit Maeva au docteur
Dr : comme les ombres.
Maeva : non elle ce n'était pas pareil
Dr : en quoi.
Maeva : se que j'ai ressentis était différent
Dr : et qu'as tu ressentis
Maeva : je me suis sentis oppresser
Dr : une nouvelle crise d'angoise
Maeva : oui
Maeva était souvent sujet a des crises d'angoise qui lui coupait le souffle et la paralysait entièrement , c'est a l'hospital que cela lui était arriver pour la première fois, meme si c'était que passager elle courait a chaque foi le risque de mourir asphyxier,c'est pour cela que le docteur avait tous l'équipement sous la mains pour se tenir prés au cas ou il devrait intervenir pour la réanimer, il avait pour cela suivit un stage très pousser en premier secours.
Ce défaut respiratoire rendait Maeva très fragile et parfois sous le coup d'une vive émotion une crise pouvait se déclencher,comme si son amnésie ne lui suffisait il fallait aussi que son corp lui fasse défaut.
Mais les raisons réel de ces crises était connu par le docteur, selon toute vraisemblance cela était du a cette implant qui se trouvais dans le cerveau de Maeva.
Au cours d'un IRM le docteur avait déceler la présence d'un curieux objet métallique implanter dans le cerveau de Maeva, il avait la forme d'une micro araignée, et il se pouvait qu'il soit responsable de l'amnésie de Maeva et de bien d'autre choses.
l'extraire aurait put être une solution mais il était implanter dans une zone sensible du cerveau sans compter qu'il etait relier a une sorte de micro réseau filaire parallèle a celui du système nerveux de Maeva et comme toutes ces interconnexion était fragile , cela le rendait inopérable, quoi qu'on fasse Maeva devait vivre avec.
Les quelques expériences auxquels le docteur c'était livré avec Maeva avait montré qu'il était bien la source de ces dons particulier, une théorie que le docteur avait envisager et qui expliquerait pourquoi Maeva avait cette faculté de pouvoir s'interconnecter avec les ordinateurs juste en touchant le clavier.
Mais se qui restait le plus intrigant a part la fonction de cette objet c'était la manière dont il avait plus être implanter dans le cerveau de Maeva, car a bien observer le crâne de Maeva celui ne portait aucune race d'opérations, c'était a croire quelle été née avec ou que l'implant si était mis de lui meme.
Le docteur se demandait bien ce que l'on avait puis faire subir a Maeva, a quelle sinistre expérience avait ton pus se livrer sur son corp et dans quelle but ?
la seul question a tous ça c'était pourquoi ?
Il était claire pour le docteur que les réponses se trouvaient dans les rêves de Maeva et le docteur ferait tous pour percé le mystère de ces origines.
L.T.I -Angleterre - 24 septembre 2004 - 14 h 45
Cela faisait bientôt une semaine que le major s'affairait comme une diablesse sur le super calculateur de l'université pour mettre au point ces filtres anti-parasites.
Pour parvenir a ces fins elle effectuait des simulations de surcharge sur des répliques virtuel de super calculateur quelle avait programmé.
Elle soumettait ces derniers a une attaque de Xana et elle les protégeait a l'aide de ces programmes.
Grâce au résultat qu'elle obtenait elle pouvait mettre au point un système de boîtier électronique qui une fois intégré a un super calculateur devait en théorie protéger celui ci des décharge d'énergie de Xana.
la création de ces boîtiers se faisait de façons théorique dans un premier temps mais elle avait déjà commencer l'élaboration d'un prototype.
Au bout de 5 jours de manipulation et de simulations , un premier prototype avait put voir le jour,sur l'une des tables du laboratoire un curieux boiter noir entouré de multiple composant électronique côtoyait schéma technique et produit chimique, dans sa conceptions il devait être un réponse efficace au attaque de l'organisation Xana.
Mais pour le major une solution hardware ne suffisait pas, pour que la protection soit totale elle c'était aussi a employer a la créations d'un protocole de pare-feu,"Les barrière virtuelle de défense" comme elle les appelait était des sortes de grillage numérique destiner a contenir les effluves d'énergie,voir a les stopper.
Le major pensait qu'a l'aide de ces deux système de protection elle pourrait protéger les infrastructures de son pays et ceux de leur allier.
Le major était assez fière d'elle et pouvoir travailler sur le super-calculateur la ravissait, c'était une vrai scientifique dans l'âme ce qui expliquait finalement sont coté froid et distant vis a vis du colonel, pas de place pour le sentimentalisme chez elle seul la logique prime et le sens du devoir.
Alors qu'elle effectuait une dernières série de test elle fut rejoint par le professeur Moritaka
qui avait profiter d'un creux dans son emploi du temps de la journée pour venir prêter mains forte a son ancienne élève
A son arrive le major ne cacha pas sa joie, celui ci lui avait propose le matin meme de l aider dans ces recherches en effectuant une série de simulation, a peine fut il arriver qu'il se mit a son tour au travail en prenant place sur le deuxième terminal , la se trouvait les programmes destiner a créer des surcharges,les deux scientifique se préparaient sous le regard déconfits d'une autre personne qui ne manqua pas d'attirer l'attention du professeur Moritaka.
Et votre secrétaire il reste toujour avec vous demanda le professeur Moritaka en désignant le colonel qui était assis dans un coin du laboratoire
M.Cartwright : je lui est donné du travail, des dossier a classer
P.Moritaka : vous avez de la chance. d être débarrasse de l'administratifs
M.Cartwright : c'est vrai sa me soulage.
P.Moritaka : et il arrive a s'en sortir avec vos notes.
M.Cartwright : bien sur , il doit rédiger mes rapports et classe le reste il passe souvent des coup de téléphone et prend des notes a ma place.
P.Moritaka : des téléphones ici ?
M.Cartwright : oui on m'appelle souvent et je n'aime pas être déranger lors de mes expériences.
P.Moritaka : lui avez vous dis qu'il ne fallait pas brancher de portable dans un laboratoire
M.Cartwright : ce n'est pas nécessaire.
P.Moritaka : Miss Cartwright je ne vais pas vous apprendre a vous ce que les ondes des portables cellulaires peuvent provoquer comme dérèglement sur un ordinateur.
M.Cartwright : oui mais le revêtement structurel de celui ici le protège de se genre de désagrément.
P.Moritaka : bien observer Miss Cartwright je vois que vous pensez a tous comme habitude.
Je suis très consciencieuse dans mon travail lui répondit le major
P.Moritaka : vous l'avez toujours été, c'est pour ça que vous avez été ma meilleure élève.
J'ai eut pour ma part un bon professeur dit le major.
je ne vous le fait pas dire lui répondit le professeur en souriant
Alors que les deux savant se fourvoyait en compliment , le colonel Perec s attelait a sa tache, ne pouvant assister le major dans ces travaux, il passait donc ces journées a lire des revues scientifique pour parfaire ces connaissances en matière d'informatique ainsi que tous les dossier sur les récente activité de Xana et la liste était longue.
Des perturbions des communications avaient été détecter a travers toute la planète entière mais aucun incident n'avait été déploré pour le moment.
A première vu seul l' Angleterre et la France semblais atteinte par ces phénomènes se qui confirma les doutes du colonel au sujet des motivations de l' organisation Xana , quelque soit leurs objectifs ceux ci se trouvaient dans leur deux pays respectif.
Des lors le mystère était entier si la cible était précise quelle pouvait elle bien être ?
- une base militaire ?
- une usine ?
- une ville ?
- ou autre chose ?
Le colonel aurait bienfait part de ces intuitions au major mais il se doutait que celle-ci ni accorderait aucune crédit et qu'une intuition n'est pas un fait scientifique , le manque d' ouverture d' esprit du major était assez consternant, et pour l heure celle ci semblait bien trop occupé a débattre sur la nocivité des champs magnétique qu'a écouté son supérieur.
Elle ne se repose donc jamais pensât le colonel
Dans le laboratoire la seule chose qui soit plus agité que les électrons libre du super calculateur c'était bien le major, passant d'un terminal a l'autre montant et descendant les marches pour aller sur la table et souder un composant ou deux avant d écrire ces notes sur le papier pour aussitôt retourner observer les simulations encours et tous cela a un rythme effréné, le colonel se demandait comment cette femme arrivait a travailler 12 heures d'affiler sans ce reposer et si meme elle prenait le temps daller dormir dans sa chambre.
Pour l'occasion deux appartement universitaire avait été louer pour permettre au major de travailler le soir ci nécessaire ,le colonel avait trouvé l'endroit assez confortable bien qu'il puisent paraître étrange de voir un homme plus âgé se promener dans les couloirs de jeunes élèves cela le gênait d'ailleurs car beaucoup de jeunes étudiantes lui faisaient de l'oeil.
Il faut dire que le colonel était assez belle homme et qu'a bien des reprise il avait eut des relations amoureuse avec de nombreuses femmes mais ce n'était que des aventures d'un soir, le brave soldat n'avait pas encore trouver son âme soeur.
Sa mère lui demandait souvent si un jour son grand garçon allait lui ramener une gentille fiancé, mais le colonel n'était pas spécialement presser et dure de trouver quelque qui pouvait s'accomoder de son caractère particulier.Il fut tirer de ces réflexion par le major qui l'interpella a ce moment la.
Mr Perec pourriez vous m'apporté mon dossier bleu s'il vous plaît lui dit le major
Devant se plier au ordres du major en temps que son secrétaire le colonel lui apporta le dit dossier,il rejoignit les deux personnage sur la machine
C.Perec : voila pour vous Miss Cartwright
M.Cartwright : merci Mr Perec.
Sans prêter plus d'attention au colonel le major montra ces notes au professeur en lui demanda son avis par rapport au simulation en cours le vieux scientifique trouva que les calculent avaient l' air juste
le major lui expliquât que pour effectuer ces mesures, elle avait mis au point un système de filtre mais elle devait les perfectionner dans le cadre ces expériences.
le professeur lui dit qu'un telle système ne pourrais pas vraiment bloquer un signal d'énergie mais juste le freiner.
Un frein c'est pas vraiment un bouclier pensa le colonel mais si sa peut permettre de gagner du temps cela était toujour bon a prendre.
Le professeur Moritaka assista le major durant toute l'heure qui allait suivre, ensemble il se livrèrent a une véritable guerre atomique virtuel
P.Moritaka : vous éte prête je lance une seconde décharge
M.Cartwright : ce suis paré professeur
P.Moritaka : charge en cours je la lance dans 10 secondes
10-9-8-7-6-5-4-3-2-1.... feu s' écria Moritaka
Le professeur lança la surcharge d énergie depuis le terminal numéro 2 alors que le major la bloquait depuis le terminal numéro 1
Si il n'avait pas s'agit d'une expérience scientifique le colonel aurait bien cru assister a une partie de ping pong entre savant.
a chaque assaut du professeur le major contrecarrait la décharge en reprogrammant les filtres virtuel
le professeur augmentait l'intensité du courant de façons aléatoire pour vérifier comment les barrières pouvaient résister a un assaut d'ordre diffèrent, pour accomplir de telle simulation de puissance la machine devait répondre au doigt et a l'oeil, au bout de 6 simulations le major estima avoir pleinement remplis sa journée, les différend appareil de mesure étaient presque a saturation.
P.Moritaka : je pense que cela devrait suffire pour aujourd'hui
P.Moritaka : vous croyez que cela suffira.
M.Cartwright : avec la quantité de données que nous avons enregistrer je le crois, maintenant il va falloir que je traite une a une toutes le mesure relevée aujourd'hui
Le major se tourna vers son secrétaire pour lui demander ou celui en était avec ces dossier
Alors Mr Perec vous avez finis de classer les analyses du jour
C.Perec : presque miss Cartwright.
M.Cartwright : dépêchez vous Mr Perec on ne vous paye pas a rein faire
C.Perec : oui miss Cartwright
Décidément le major abusait de son statut, meme si il devait donner le change le colonel n'aimait pas la façons donc le major se comportait avec lui
il avait déjà rangé tous les dossiers de sont coté tandis le major récupérait les imprimé du dernier test.
Quand soudain l'un des appareil de mesure s'affola, le major regarda ce qui pouvaient en être la cause, sur le cadran celui venait de détecter une subite hausse d énergie, cela intrigua le major, cette monté d'énergie ne provenait pas de la simulation étant donné que les programmes étaient arrêter.
D'où cela pouvait il bien venir alors ?
Subitement la surface du super-calculateur fut parcouru d'éclair le colonel bondit de son siège pour se précipiter vers le major
Que se passe t'il ? demanda le colonel.
Je ne sait pas répondit le major.
Il faut consulter le système leur dit le professeur.
les trois individu se rendirent au terminal numéro 1, le major tapa quelques directives sur le clavier mais l'écran était parcouru de neige les données étaient a peine perceptible pour arranger la situation le major utilisa alors son protocole de filtrage.
Au bout de quelques instant l'image se stabilisa peut de temps après une nouvelle fenêtre fit sont apparition sur l' écran.
C'est quoi ça demanda le colonel
Mais le major autant que le professeur ne savaient pas quoi répondre si ce n'est qu'il l'ignorait cette fenêtre ne faisait partis d'aucun des programmes installé sur la machine,
cette fenêtre n'était qu'un écran moir dans un cadre rouge a l'intérieur duquel au fur a mesure des particules s'amoncelait entre elle pour former une sorte de nuage.
C.Perec : c'est un nuage ce truc ?
M.Cartwright : on dirait plutôt une entendue d'eau.
sous leur yeux le nuage se mua en une vaste entendu d'eau et le fond noir devient progressivement de couleur jaune
C.Perec : qu'est ce que sa signifie major
M.Cartwright : on dirait une tentative de piratage
C.Perec : je croyais que il était impiratable votre "pc"
voyons c'est techniquement impossible leur dit le professeur a cette instant.
M.Cartwright : je n'y comprend rein
Mais les faits parlaient deux meme un programme inconnu était entrain de s'exécuter sous leur yeux, par la suite de multiples lignes vectorielle se dessinèrent d'elle meme et commencèrent a donner naissance a des formes géométrique virtuel.
C.Perec ; et la il se passe quoi maintenant.
M.Cartwright : on dirait qu'en environnent est entrain de se créer.
P.Moritaka : ne dite pas de bêtise vous savez bien que c'est impossible.
Quand les premières ligne eurent fini de dessiner une sorte de plate-forme sur laquelle une texture jaune s'appliqua aussitôt, a celle ci d'autres se succédèrent mais le processus ne semblais pas vouloir s'arrêter la, très vite un bien curieux édifice en forme de cylindre commença a apparaître devant ce phénomène étonnant le major eut un éclair de lucidité.
Nous devons bloquer ceci criât t'elle aux autres.
Vous avez raison approuva le professeur
M.Cartwright : mettons en place la procédure de blocage que j'ai inventer, professeur Moritaka aller sur le deuxième terminal.
P.Moritaka : entendu j'y vais
Le professeur alla se placer pour bloquer l'intrusion, une fois le savant en place sur le terminal secondaire, le major lança son protocole de filtre le colonel Perec lui ne pouvait que ragerez sans pouvoir faire quoi que se soit, l'effet du filtre ne se fit pas attendre le procède d'intrusion ralenti.
Sa marche sa le ralentis s'écria fièrement le major
mais sa ne le stop pas lui fit remarquer le colonel
M.Cartwright : mais je n'ai pas finis
A partir d'autres manipulation sur ces filtres le major arriva a bloquer la transmission des données le processus de construction était au point mort
M.Cartwright : la c'est bon sa ne bouge plus nous venons de stopper l intrusion
P.Moritaka : en effet
Vous pouvez supprimer tous ça demanda le colonel
M.Cartwright : nous allons lancer un programme de nettoyage de ma composition
P.Moritaka : entendu
Alors que les deux scientifique était affairé a essayer de détruire cette mystérieuse intrusion le portable du colonel se mit a sonner sans raison.
Par réflexe le colonel se saisit de son portable pour savoir qui pouvait bien l'appeler a un telle instant, il vit sur l'écran le symbole W le meme que celui qui était apparu quelques jour plutôt, intrigue le colonel décrocha alors que la situation semblais de nouveau échapper au contrôle du major.
"Allô"
"Colonel Perec vous devez couper l' alimentions électrique du super calculateur" fit alors une voix métallique dans le combiné.
La surprise fut de taille pour le colonel non seulement son interlocuteur avait accès a une ligne sécurise mais il connaissait le non du colonel, prenant son téléphone a deux mains le colonel voulu connaître l'identité de son interlocuteur qui ne fit que répéter son avertissement
"Pas le temps de vous expliquez couper immédiatement l'alimentations électrique du super calculateur votre vie est en danger" dit la voix de façons plus instante.
La communication fut subitement interrompu mais le colonel saisit tout l'importance du message.
Son mystérieux interlocuteur venait de le prévenir d'un danger et lui avait par la meme indiqué la meilleur parade possible, et il fallait faire vite le major avait du mal a contenir la décharge qui avait soudainement doublé d'intensité alors que sur l écran de contrôle le cylindre était presque achevée.
il fut couper le courant lança le colonel au major
M.Cartwright : quoi !!!
C.Perec : il faut tous débrancher avant que le processus n'arrive a son terme
M.Cartwright : mais j'arrive a le bloquer.
Major !! je vous ordonne de couper le courant fit le colonel avec une voix très autoritaire
Devant un ordre clairement dictée par son supérieur le major commença activer le programme de coupure du courant mais quand celle ci allait valider le processus le symbole de Xana apparu sur l'écran.
C.Perec : Xana !!!
M.Cartwright : Xana !!!
Avant meme d'avoir pus faire quoi se soit le major se ramassa une décharge électrique venant du clavier qui la mis hors combat, sous le effet du choc elle s écroula sur le sol
Major !!! cria le colonel
Le colonel se précipita pour porter secours au major le professeur Moritaka en fit de meme, le colonel prit le pouls de la femme, sa respiration était faible mais elle était vivante par chance la décharge n'avait fait que la sonner mais la situation dégénérait le clavier de contrôle était brûler on ne pouvait plus couper le courant de manière informatique.
La vie du major n'étant pas en danger le colonel demanda au professeur si il y avait un autre moyen de débrancher cette satané machine,celui ci lui répondit qu'il falliat le faire manuellement.
C.Perec : on fait comment ?
P.Moritaka : il faut le faire manuellement en abaissant le commutateur situer dans l'armoire électrique au bout de la pièce.
C.Perec : allez y moi je reste avec le major.
P.Moritaka : je m'en charge
Courant le plus vite possible le professeur Moritaka se dirigea vers le disjoncteur principal il passa devant le second terminal ou également un symbole de Xana était apparu
arrivé devant l'armoire il ouvrit celle ci pour accéder au commutateur principal mais au moment ou il allait abaisser la manette une sorte d éclair violet le frappa a son tour de part en part, il resta immobile droit comme un i comme si il avait été pétrifier sur place le colonel qui venait d'assister a la scène lui demanda pourquoi il ne coupait pas le courant.
Qu'est ce que vous attendez pour couper l 'alimentation lui cria le colonel qui tenait le major dans ces bras.
mais le scientifique ne réagissait plus il s écroula sur les genoux le dos et la tête voûte en avant, le colonel se précipita alors vers lui lui pour voir comment il allait au moment il s'approcha de lui le professeur se releva aussi sec est s'interposa entre le colonel et le commutateur ,rassuré de voir que celui allait bien le colonel posa sa mains sur l'épaule du savant
vous allez bien professeur Moritaka demanda le colonel.
C'est alors que le professeur se retourna rapidement pour faire volte face a l 'officier ,celui ci fut stupéfait parce qu'il vit , l'espace d'un instant les pupilles du professeur avait disparu, a leur place se trouvait le symbole de Xana.
Ce spectacle le surpris tellement qu'il ne vit pas le professeur levée sa main ,il en jaillit une vague d' éclair qui frappèrent de pleins fouet le colonel, sous l'effet du choc il fut projeter 5 mètres plus loin, il chuta lourdement sur l'une des tables en contre bas en renversant au passage le contenu sur le sol.
malgres le choc il n'était que légèrement sonné mais il éprouvait quand meme une douleur au niveau du thorax suite au passage du courant, s appuyant sur le rebord de la table le colonel se releva la main gauche pose sur sa poitrine pour reprendre son souffle, la il vit le scientifique qui le regardais avec un air agressif,celui tendit a nouveau la mains en direction du colonel.
Réagissant au quart de tour le colonel se jeta sur le coté avant qu'une autre série d'éclair ne pulvérise le coin de la table il avait pris appuis pour se relever, a l'abri derrière une autre table laboratoire qui pressentais avantage d être couvert d'une paroi qui le dissimulais ,le colonel essaya d'analyser la situation, bien qu'il avait du mal comprendre se qui se passait.
Pourquoi et comment cet homme arrivait il a faire ça ?
Si cela restait un mystère ce qu'il l'était moins c'était bien ces attention a l'égard du colonel, cette homme cherchait a l éliminer, n'ayant pas le choix le colonel sortis son arme a feu caché derrières son dos.
Il fit une autre roulade sur le coté et se releva immédiatement en braquant son arme en direction du scientifique qui s'arrêta net a la vue du terrible objet.
Ne bougez plus lui ordonna l'officier qui tenait son adversaire en joue.
Mais l'effet de surprise ne dura qu'un temps le professeur afficha un sourire pour le moins amuser se qui étonna le colonel, il se mit alors a avancer vers le soldat le regard menaçant et le sourire au coin,le colonel intima l'ordre au scientifique de ne pas faire un pas de plus mais celui ne semblais pas vouloir obtempérer.
Ne voulant pas tirer froidement sur le professeur qui semble-t-il n'était pas dans état normal le colonel visa la cuisse gauche de celui ci, il ouvrit le feu, la balle siffla et alla se loger dans en pleins dans la jambe du savant, mais a sa grande surprise la jambe du savant ne fit que se déformer,il resta immobile quelques secondes avant que celle-ci ne retrouve sa cohésion.
Une fois rétablis il se jeta sur le colonel qui n'eut pas d'autre choix que de tirer dans le buste du scientifique, les trois balles atteignirent avec succès leur cible, mais tous comme avec la jambe le corp ne fit que se déformer sans pour autant se mettre a saigner,pour le colonel se phénomène était semblable a une image de télévision brouillé.
le savant parvient a saisir du colonel par le col, avec une force surhumaine il le fit passer par dessus son épaule pour le jeter sur une table sans pour autant le lâcher, sous l'impact le colonel sentis les morceaux de verre des éprouvette brisé lui renter dans la chair,mais celui avait réussi a garder son arme au poing.
maintenant fermement le colonel par les habits, le savant possèdé le fit glisser sur toute la longueur de la table avant de le faire voltiger contre l'une des armoires, allongé sur le sol
le colonel sentis quelque chose qui le brûlait dans le dos certains des acides contenu dans les éprouvette lui attaquait sa veste, il s'en défit vite avant de la jeter sur son agresseur qui la désintégra aussitôt d'un nouveau jet d'éclair.
Essayant de esquiver sur le coté le colonel fut rattraper par le professer qui fit un bon gigantesque par dessus la table avant de faire de nouveau face au colonel, d'un revers de la mains il lui donna une claque qui fit voler l'officier contre la paroi du super calculateur celui en lâcha sur arme sur le coup, couche a cote de la machine il avait très mal alors le major était toujour dans les vapes
Son adversaire visiblement grogis par le coup le savant souleva une table a roulette avec la ferme intention d'écraser son adversaire avec
voyant ça le colonel réussi a se saisir de son arme et tira 3 autres coup de feu sur le savant meme si cela était inutile sa lui donnait un peu de répits pendant que le savant se reformais.
C'est alors le colonel se remémorât le coup de téléphone, quelques chose avait pris le contrôle du scientifique et cela ne pouvait venir que de la machine, tentant le tous pour le tous le colonel vida tous son chargeur sur le panneau d' alimentation du super-calculateur.
Avec succès toutes les balles allèrent se loger dans l armoire électrique , les composant endommager par les projectiles créèrent un cour circuit il s'en suivi une violente explosion accompagné de gerbe d'étincelles , le super calculateur fut parcouru d'éclair et un cri bestial se fit entendre a cette instant.
Tous les système s éteignirent a cette instant, prie de convulsion le professeur s'écroula sur le sol en se faisant tomber dessus la table qu'il soulevait.
Le super-calculateur était totalement hors service,le colonel se releva péniblement en pointant toujours son arme en direction du savant bien que celle ci soit vide, le cour circuit déclencha un début d'incendie donc les flammes s'élevèrent jusqu'au plafond.
Le colonel évacua au plus vite le professeur et le major de la salle a l'aide de quelques élèves qui avait entendu l'explosion et qui s'étaient rendu sur place pour voir ce qui se passait.
Très vite les pompier et les secours furent dépêcher sur place, le professeur Moritaka fut transporter a hôpital ainsi que le major, le colonel lui était rester sur place pour constater les dégâts, un infirmier se contenta juste de lui panser ces brûlures.
Partout dans le campus se fut l'agitation et la panique, le colonel avait beau être habituer au champ de bataille quand la panique s' installe quelque part c'est tous de suite le chaos.
Si c'est le but que recherchais Xana alors les conséquences seraient catastrophique a l' échelle d'un pays entier, le colonel réalisa a cette instant que cette enquête allait être plus compliqué que prévu.
Journal de Arnaud Morillon 31 juillet 2005
Compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 11
Demain c'est le grand jour c'est l'exposition tant attendu je vais pouvoir faire la présentation de mon projet Vger 2.0.
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La tenue de rigueur est exigé.
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Je me suis acheter un smoking pour l occasion, sa va être grandiose.
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d'après ce que j'ai put comprendre cela sera assez solennel et en meme temps assez fun, un podium a été installer dans la salle de démonstration du niveau 01. il est meme prévu qu'un célèbre DJ sera de la fête,sa vas être très "show".
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On va avoir droit a un sacré spectacle demain.
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La première partie va être assuré par le docteur Henry Hopkins en personne qui va pas manquer de faire les traditionnelles discours d'usage sur l'histoire de l'entreprise et les valeurs que prône celle ci...et blablabla.....
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Par la suite le docteur Hopper prendra le relais pour faire la présentation officiel du projet Tanit.
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Et la sa va faire du bruit , croyez moi.
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Car avoir réunis dans la meme pièce le créateur du super-calculateur et de Neo-Carthage ainsi que celui de Tanit.
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Folie absolue garantie.
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mais il est aussi prévu qu'un autre invité de marque serais la pour la démonstration,une personne que les docteurs Hopkins et Hopper tiennent en grande estime...
Le docteur Sigmund Kessel.
Je n'ai jamais entendu parler de ce type, mais d'après Simon lui et les docteurs Hopkins et Hopper seraient tous des amis de long date et il serait aussi indirectement l'un des créateur du super-calculateur quantique.
Si c'est le cas j'ai hâte de pouvoir rencontrer cette homme.
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J'ai fait des recherche pour en savoir plus sur lui et sa contributions a la science, a premier vu il serais un spécialiste en physique quantique et en phénomène espace-temps mais a part ça il n'y' pas grand chose de plus sur son travail a part un article ou il traitait des paradoxes temporel, des multi-vers et des machines quantique.
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Dans cette article il expose un théorie selon laquelle des machines construit sur un principe quantique serait susceptible de gagner en puissance relative si celle ci subissait les effets d'une altération de l'espace temps.
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Jolie théorie ma foi a condition que l'on puisse revenir dans le passé de façons constante.et la c'est par encore le cas a notre époque mais qui sait dans le futur peut être qu'un jour on y arrivera.
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Pour en revenir a Sigmund Kessel, il semble qu'il ne se soit pas spécialement manifesté durant ces trente dernière années, a ce que j'ai lu il vivrait en reclus dans un chalet en suisse coupé du reste du monde.
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Je vous jure nous les scientifiques ont est vraiment des orignaux et des rêveur.
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mais c'est nous qui faisons avancer le monde d'après Simon.
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C'est assez gratifiant de savoir que nous oeuvrons pour le bien être de l'humanité bien que nous ne sommes pas vraiment les seul, sans des gens comme Simon Watson nous ne serions justement que des originaux que personne ne prendrait au sérieux.
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Les pragmatiques comme Simon savent reconnaître le talent quand il le voye
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bien que dans son cas je crois que ces préoccupation soi purement financière, mais temps pis sa fait partie du jeux.
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L'histoire nous enseigne que la plus part des grands savants on toujour bénéficier du soutien des rois ou de riches mécène pour mener a bien leurs recherches et au final c'est l'humanité qui y gagne.
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Et Simon Watson doit etre le type le plus bizarre que j'ai rencontrée, tousdefois j'ai bien cerné sa personnalité, c'est un homme intelligent et manipulateur qui sait ce qu'il veut et qui m'utilise pour parvenir a ces fins.
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Mais je suis loin d'être dupe et moi aussi je sais en tirer partie .
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il m'accorde tous ce je lui demande car je sais qu'il a besoin de moi pour gravir les échelons de la société et peut être qu'un jour il deviendra le nouveau PDG de Cyclotron, j'ai donc intérêt a faire tous ce qu'il me demande et a rentré dans ces bonnes grâce sans pour autant oublier que je suis sa poule au oeuf d'or et que tous comme moi ces rêves de grandeur ne tiennent qu'a ma réussite.
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En somme nous nous aidons mutuellement.
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Si lui il le fait pour l'argent,mon action est assez désintéresser car pour moi la science et se qui permettra a l'homme d' évoluer et de ne plus se faire la guerre...
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... et c'est la que ironiquement je fais défaut a ce que je dis, car dans le cadre de mon projet j'ai conçu des I.A guerrière.
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Pour un homme de paix comme moi c'est plutôt paradoxale.
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Mais qui veut la paix se prépare a faire la guerre,c'est bien connu,c'est pour ça qu'il faut rester prudent car dans le monde des gens ne sont pas aussi pacifiste que ça.
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Nous en avons eut la preuve en mars dernier lors de l'attaque et d'ailleurs a ce sujet je suis très inquiet, ces derniers jours les échos en provenance du réseau se sont amplifier.
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Serais les prémices a une contre attaque des nos ennemis ?
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si c'est le cas je dois me dépêcher de terminer la formation de mes Cartha-guerriers, afin qu'ils soit près a riposter en cas de nouvelle attaque
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leur tache risque d être ardu, mais leur entraînement se passe merveille,et leur performances sont assez spectaculaire en particulier chez Hannibal qui surclasse tous ces compagnons, voila qui promet pour la suite.
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Mais laissons se de cote pour le moment est concentrons nous sur l'essentiel... l'exposition demain.
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Tanit va en surprendre plus d'un.
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Je sens que les gens vont être aussi surpris que moi que lors de ma première rencontre avec Tanit.
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bon sang sa fait déjà un ans et deux mois
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Le temps passe si vite.
############################ FLASHBACK ############################
Société Cyclotron 25 mai 2004 10 h 00
La voiture arriva devant un immense bâtiment gris entouré de clôture, une fois le portail franchis le véhicule se dirigea vers une porte blindé en métal que se referma aussitôt derrière elle.
Le véhicule emprunta alors un long tunnel qui semblais descendre dans les entrailles de la terre après 5 minutes elle finit par se stopper au niveau d'un sas d'entrée.
Deux personnes en sortirent, il agissaient d'un homme au cheveu noir et d'un jeune garçons au cheveux bouclés.
Les deux personnes prirent un escalier puis arrivèrent devant un ascenseur,
l'homme passa sa carte magnétiques dans le lecteur et posa sa main l'endroit sur un lecture optique empreintes digitales,une voix informatique informa que l'identité du porteur était confirmé.
Bienvenue Mr Simon Watson dit la voix.
Ce fut au jeune homme de se présenté , pour l' occasion un badge spécial lui avait été remis,et son statut de V.I.P ainsi que sa venu aujourd'hui avait été au préalable enregistré dans la mémoire central,il n'avait juste qu'a confirmer vocalement son identité.
Je suis Arnaud Morillon dit le jeune homme devant le micro qui lui était présenté.
la machine autorisa le passage et une porte métallique ouvrit devant les deux individu , il embarquèrent alors dans un ascenseur,dans celui ci le panneau de contrôle comportait 4 bouton, a l'aide d'une clé Simon dévérouila l 'accès a un cinquième bouton.
En appuyant dessus l ascenseur commença sa descente vers les niveau inférieur,sur l'affichage les niveau défilaient passant de 1 a 5 assez rapidement, un fois le cinquième étage atteint les portes s'ouvrirent sur un grand couloir blanc en forme de spirale.
Ou sommes nous demanda Arnaud
Mr Watson : c'est un ancien complexe militaire que nous avons transformé en laboratoire de recherche, il est composé de cinq niveaux différents.
Arnaud : laboratoire souterrain sa fait très James Bond votre affaire
Mr Watson : nous sommes au cinquième niveau le plus sécurisé de tous, Arnaud sois le bienvenue dans la section 5
Arnaud : la section 5 qu'est ce qu'est ce que c'est?
Mr Watson : tu est dans la zone de recherche la plus perfectionner de l'entreprise Cyclotron
Arnaud : et vous faite quoi ici comme recherche.
Mr Watson : tu va vite le découvrir,
accompagné de Mr Watson Arnaud avança le long dune ligne jaune. sur le coté des machines automatisé se deplacaient sur des lignes de couleur rouge
Vous avez des robots a cette étage demanda Arnaud
Mr Watson : ce ne sont que des système de transport automatiser entre les diffèrent laboratoire.
Arnaud : et combien de laboratoire il y a ce niveau.
Mr Watson : il y en a 11 en tous
Arnaud : 11
Mr Watson : et tous effectuent des recherches dans diffèrent domaine
Arnaud : lesquels
Mr Watson : désole mon garçons c'est un secret industriel
Arnaud : je comprend et ou m'emmenez vous
Mr Watson : dans le laboratoire numéro 10.
Ils finirent par arriver devant le laboratoire numéro dix, la porte s'ouvrit avec un bruit de décompression significatif, il entrèrent dans un laboratoire qui ressemblait à une immense salle de contrôle où une grande baie vitrée surplombait une autre pièce plus immense.
Arnaud vit une grande salle ou milieu de laquelle se trouvait une énorme machine ,c'était une sorte de demi cylindre posé sur le sol composé de cinq colonnes de métal affublée du logo de radioactivité la partie principal était raccordé a de grande conduite métallique composé de câbles qui convergeaient tous vers ce point central.
Arnaud n'avait jamais vu un tel décor si ce n'était dans un épisode de Star Trek, a la vue de spectacle il se serait presque cru dans un film de science fiction
Qu'est-ce que c'est cet endroit demanda Arnaud
Mr Watson : nous sommes ici dans le centre de contrôle numéro 2
Arnaud : j'avais bien deviné que c'était un centre de contrôle, mais pour contrôler quoi
Mr Watson : la machine que tu as en face de toi.
Arnaud : et je pourrais savoir ce que c'est que cette machine justement.
Mr Watson : oh trois fois rien, tu as juste devant toi le super-calculateur quantique le plus puissant du monde.
Arnaud avait un peut mal a croire ce que Mr Watson venait de lui dire, il venait de lui parler de super calculateur quantique.
Arnaud : attendez là ! vous avez dit "super- calculateur quantique"
Mr Watson : c'est cela est la même.
C'est un prototype expérimental demanda Arnaud
Mr Watson : non c'est un machine finis et fonctionnelle
Arnaud : vous éte sérieux
Mr Watson : tous a fait.
Cela paraissait assez imcroyable, Arnaud regarda cette machine en détails, sa taille impresionante et son aspect inacheve fit planer quelque doutes sur état, mais il s'agissait bien d'un ordinateur, Aranud avait même du mal à croire que ça pouvait exister et pourtant il n'était pas encore au bout de ses surprises ce qui allait suivre allait le scotcher sur place
Arnaud : un super calculateur quantique, c'est fou je n'arrive pas le croire
Mr Watson : et tu n'as encore rein vu car pour tous te dire ce n'est pas vraiment cette machine que je voulais te montrer mais autre chose.
Et quoi d'autre demanda Arnaud intrigué
Simon : je voudrais te présenter la personne qui a remarqué tes théories sur le web
Arnaud : qui est ce ? un scientifique, un technicien ,
Mr Watson : humm disons qu'elle est tous ça a la fois.
Arnaud : elle !! c'est une femme .
Mr Watson : d'une certaine manière oui et elle veux te rencontrer
Arnaud : ou est elle ?
Mr Watson : dans cette pièce.
Arnaud regarda de droite a gauche mais a part un technicien il n'y avait personne d'autre dans la pièce, Arnaud ne vit pas l'ombre d'une femme.
Je ne vois personne dis le jeune homme.
Mr Watson : et pourtant elle est la je peux te le garantir.
Arnaud : c'est quoi encore cette blague ?
Mr Watson : tu vas comprendre, tu vois ce "miroir"
Pose au milieu de la pièce il y avait un socle en métal surmonté d'une énorme glace rectangulaire
Qu'est ce que c'est demanda Arnaud.
Mr Watson : ceci est un système diffusion d'images tridimensionnelles par rayons laser sur une paroi poly cristalline
Un projecteur holographique pour faire simple lui dit Arnaud
Mr Watson : c'est tout à fait sa
Simon fit un geste pour signaler au technicien qu'il pouvait lancer le programme, le socle s' illumina sous l'effet des diffèrent rayons laser qui le parcourait, et petit a petit une forme virtuel commença à naître de la lumière,très abstraite au départ voie fantomatique elle finit par prendre une silhouette plus humaine et devant les yeux ébahis de Arnaud une jeune fille fit son apparition.
Elle portait une longue robe blanche et ces cheveux autant que ces yeux étaient violets sa silhouette très fine et sa jeunesse apparente donnait l impression a aranud d être devant une jeune adolescente de 14 ans qui jugeat que son rendu graphique était très réussi pour un personnage virtuel, on aurait pus la prendre pour une vraie personne.
Mr Watson : Arnaud je te présente Tanit.
Arnaud : TANIT !
Mr Watson : c'est son noms.
Arnaud : drôle de noms on dirait celui d'un personnage de jeux vidéo.
Je trouve cette définition de mon même plutôt réductrice lui répondit alors l'hologramme.
Arnaud fut surpris par la réaction de hologramme il ne devait pas s'attendre a ce que celui ci lui réponde
Arnaud : attendez je rêve ou elle vient de me parler
Mr Watson : il y a des chance
Non seulement je peux vous entendre mais je peux aussi vous répondre lui fit Tanit.
c'est quoi se délire fit Arnaud
Mr Watson : c'est pourtant simple a comprendre... Tanit est une intelligence artificielle
La Arnaud ne pouvait pas en croire ces oreilles, Mr Watson venait clairement de lui dire que la jeune fille virtuel que se trouvait devant lui était une intelligence artificiel, mais cela lui fut difficile a avaler
Arnaud : attendez vous vous moquez de moi la
Mr Watson : pas du tous c'est la vérité
Tanit : je confirme je suis un programme artificiel motivé par un programme comportemental évolutif et dote d'une personnalise autonome. ou Intelligence artificiel abrégée I.A
En dépit de se que venait de lui dire Mr Watson et Tanit ,pour Arnaud cela sentais encore le coup fourré, il faut dire que le garçons était devenu très méfiant a cause de tous les faux semblant et test que son hôte lui avait déjà fait subir.
C'est encore un canular de votre part dit Arnaud
absolument pas lui certifia Mr Watson
Arnaud : je veux dire votre I.A c'est une blague que vous me faite.
Mr Watson : je te garantie que Tanit est bien une intelligence artificiel
Je confirme fit Tanit
Arnaud : soyez honnête Mr Watson vous voulez encore me testez
Mr Watson : je te garantit que non.
Tanit : je suis bien réel
Arnaud : vous me ferez pas avaler ça à moi, votre I.A c'est encore une imposture.
Mr Watson : mais que faut il que je fasse pour que tu nous croie
Arnaud : ne vous moquez pas de moi, je suis quand meme bien placer pour savoir qu'à l'heure actuelle on peine encore à définir des lois et des principes sur l'intelligence artificiel est vous voulez me faire croire que j'en ai en face de moi.
Mr Watson : tu en doutes pourtant elle te parle
Arnaud : ça c'est facile a faire, un micro et une personne caché dans une autre pièce et le tour est jouer
Mr Watson : pour toi c'est pas réel
Arnaud : plutôt oui, pour moi c'est juste l'image d'une jolie jeune fille en images de synthèse et mais en vérite derrière il y a un informaticien qui la contrôle ,pour moi votre Tanit c'est une arnaque du type Turque mécanique
le Turque mécanique est connue pour être un pantin qui était soi-disant capables de jouer aux échecs, une sorte d'intelligence artificielle avant le heure, alors qu'en vérité ce n'était en fait qu'un énorme canular qui donnait l'illusion de l'intelligence, pourrait paraître parfaite les méthodes et les outils ont changé mais le principe reste le même
Mr Watson : alors pour toi c'est une arnaque
Arnaud : et une belle
Mr Watson : si tu est si sur de toi tu n'as qu'a la mettre a l'épreuve et tu sera fixer.
Arnaud : vous me prenez pas les sentiments M. Watson vous savez que je suis un jeune homme qui adore les défis
Mr Watson : et bien la tu risque d'en avoir un a ta taille.
Arnaud : vraiment
Mr Watson : je peut te le garantir
Arnaud : c'est que qu'on va voir.
Mr Watson : et que propose tu pour confondre la supercherie.
Arnaud : une épreuve cognitive fera l'affaire
Voulez vous faire une partie d'échec proposa Tanit
Mr Watson : c'est une bonne idée.
Arnaud : vous me prenez pour un âne ou quoi !! depuis la défaite de Kasparov on sait tous que les ordinateurs ont le dessus sur les joueurs d échec
Mr Watson : que propose tu alors mon garçons
Arnaud : un petit problème de mathématiques.
Mr Watson : du calcul pour une I.A !
Arnaud : c'est le meilleur moyen de déjouer les arnaques.
Tanit : cela me convient
Mr Watson : puisque que tanit est d'accord alors allez y.
Arnaud : bon pour ça il faut juste que j'ai accès a un terminal
Mr Watson : tu peut te servir de celui ci
Mr Watson demanda aux techniciens de céder sa place à Arnaud de façon ce que celui-ci puisse procéder a son test, a l'aide du clavier il entra une séquence numérique sur la machine.
Arnaud : bon écoute moi "Tanit" je viens te donner une séquence numérique il s'agit en fait d'un message codé , tu vas essayer de le décrypter
Tanit : un test de décryptage c'est dans mes cordes
Arnaud : "dans tes cordes" on va bien voir.
Arnaud entra une série de 32 symboles q'uil separa par une virgule avant d'en rentrer une autre de 6 chiffres
Arnaud : "Tanit" voici une partie de la clé du code elle est base est un algorithme de 24 chiffres tirées des séquences de Banner.
Tanit : je connais
Arnaud : Et bien vas y Tanit montre-moi ce dont tu es capable de faire.
Tanit : je lance les calcules
On se revoit dans quelques mois avec la réponse lança ironiquement Arnaud
Arnaud se leva du fauteuil est se rendit vers Mr Watson avec un large sourire au lèvre ,cela témoignait de la grande confiance qu'il avait en lui
Mr Watson : vous semblez bien sûrs de vous Monsieur Morillon
Arnaud : et il y a de quoi l'être Mr Watson, les séquences de Banner sont des combinaisons quasiment infinies ce qui en fait un test parfait pour déjouer les arnaques, c'est un peu ma version personnelle du test de Turing a part que pour voir si mon interlocuteur était artificiel ou non,j'utilise un message codé et je donne une clé de code incomplète.
Mr Watson : c'est très astucieux comme méthode.
Arnaud : et fiable !! meme une dizaine de spécialiste en décryptage équipé d'ordinateurs de dernières génération mettrait en minimum 6 mois pour pouvoir cracker ce code et cela m'étonnerait fort que votre "intelligence artificielle" soit capable de.....
"Scotty il nous faut plus de puissance" dit alors Tanit.
Qu'est-ce que tu viens de dire Tanit demanda Mr Watson.
"Scotty il nous faut plus de puissance" répéta alors Tanit
qu'est-ce que c'est que ce charabia dit alors Watson
Arnaud lui ne répondit rien il était complètement estomaqué par ce que Tanit venait de dire
Ce n'est pas possible dit Arnaud.
Vous comprenez quelque chose a ce charabia lui demanda alors Mr Watson.
Arnaud : un peu oui cette phrase c'est ce que le capitaine Kirk dit toujours à son chef mécanicien dans les situations périlleuses.
"Scotty il nous faut plus de puissance"
Arnaud se tourna alors vers Mr Watson avec un regard désabusé.
Arnaud : c'est la phrase que j'ai encodée.
Tanit avait réussi a décrypter la séquence et cela laissat le jeune génie sur le carreau.
Arnaud : comment a t'elle en une minute pour réussir à décoder cette phrase.
En réalite il m' a fallu 54 seconds et 25 millièmes pour décrypter ce code corrigea l'I.A a cet instant.
Le seul qui ne fut pas surpris fut bien MR Watson qui attendait la réaction de Arnaud
Mr Watson : je vous l'ai dit M. Morillon , Tanit et l'intelligence artificielle plus développée du monde.
Arnaud : alors c'est vrai c'est vraiment vrai Tanit et bien une I.A
Mr Watson : c'est ce que je me tue a vous dire depuis le début
Arnaud : mais qui.. comment ... quoi....
Arnaud ne trouvait plus ces mots cela était tellement incroyable qu'il ne décolla plus son regard de celui de Tanit qui observait les deux être humains.
Mr Watson :
Mr Watson : tu ne t'attendais pas a ça.
Arnaud : jetais loin d'imaginer que se soit possible.
Mr Watson : se que tu as imaginer dans tes théories est déjà réel , il s'agit là d'un secret industriel de premier ordre que je te montre.
Arnaud : je veux bien vous croire la
Mr Watson : tu comprend pourquoi je t'ai fait singer une décharge de confidentionalité.
Arnaud : c'est le genre de secret que l'on veut garder pour soit
Mr Watson : et ça ne s'arrête pas la , Tanit gère a elle seule une cité virtuel
Arnaud : un monde virtuel
Mr Watson : un monde complet
Arnaud : c'est a peine croyable
mais le plus incroyable c'est ce que Mr Watson allait reveler a Arnaud
Mr Watson : c'est ce que je voulais te montrer, vois tu c'est en naviguant sur le net que Tanit a découvert l'existence de tes théories et comme celle-ci se rapprochait assez de celle qui lui ont permis de naître, en tant que responsable de ce laboratoire j'en fur informer de-lors j'ai financer tes études pour voir ou cela pourrait te mener et la réponse est facile a deviner
Ici fit Arnaud
Mr Watson : exact mon garçons ce que je t'offre c'est la possibilité de travailler sur cette machine et l'occasion unique de mettre en pratique des théories
Arnaud : c'est vrai
Mr Watson : la cité virtuelle dans laquelle vit Tanit est encore imparfaite, elle a besoin d'évoluer de progresser et toi tu peux apporter ta contribution à cet édifice
Arnaud : moi !! vous pensez que j'aurais ma place ici
Mr Watson : ton talent pourrais nous aider considérablement
Arnaud : c'est sérieux comme offre.
Mr Watson : bien sur, mais tu est libre de refuser après tout tu m'as dit toi-même que tu avais un doctorat à passer.
Tous les tests que lui avait fait passer MR Watson prenait un sens maintenant pour Arnaud , il voulait que Arnaud vienne au laboratoire de son propre chef pour y défier Tanit et voila qu'on lui proposait de rejoindre la société Cyclotron, l'opportunité était inespéré une telle proposition ne se représentera peut-être plus jamais.
Arnaud : vous pouvez me garantir l'accès a cette machine
Mr Watson : si tu arrive a faire tes preuves oui
Arnaud : alors croyez moi que je ferais tous pour y parvenir
Mr Watson : alors marché conclu.
marché conclu répondit Arnaud .
les deux hommes se serrèrent la main pour sceller leur accord, Arnaud allait faire partie des leur Tanit en fut ravit et Mr Watson aussi.
Mr Watson : Arnaud mon garçon soit le bienvenue dans le projet Neo-Carthage.
Chapitre 10 le début de la fin
Laboratoire 13 août 2005
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Bien je crois que je peux être satisfait de mon travail.
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le projet Magellan et enfin achever.
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Youpi.
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Bon il faut avouer que cela n'as pas été de tous repos, j'ai a mon actif un bon nombre de nuit blanche.
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Mais c'est pour la bonne cause.
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Encore quelques petits réglages a faire et je pourrais lancer la phase de tests.
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quoique là c'est encore pas gagné.
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Ma machine est un peu plus lourde que ce que j'avais prévu, la faire entrer dans un scanner ne va pas être de tout repos.
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C'est bien là que je me dit que les bras musclés de Odd et Ulrich me seraient utiles.
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(soupir)
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Heureusement pour moi j'ai été bien inspiré de la construire sur une table à roulettes au moins je n'aurais pas trop de mal à la descendre dans la salle des scanner
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Pour la suite j'essayerais d'improviser... comme d'habitude.
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Il faut dire que ces derniers temps,l'improvisation est un petit exercice dans lequel je suis devenu un expert.
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Même si la, sa risque d'être un peu lourd pour moi
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je sais bien que je suis chétif et pas très sportif, mais 90 kilos de haute technologie sa pèse son poids.
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seul sa ne sera pas simple.
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(re)(soupir)
Dans le pire des cas je pourrais toujours demander a Yumi de m'aider a la mettre en place.
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Bien que cela m'ennuie d'avoir à lui dévoiler une partie de mes projets avant que ceux ci ne sois totalement finis.
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si elle voyait ce que j'ai construit elle se demanderais sûrement ce qui a bien pu me passer par la tête a ce moment la.
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Même moi je me le demande des fois.
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Voyons le bon coté de la chose plus tard je pourrais toujours me reconvertir dans la recherche spatial ou maritime.
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Mais avec cette invention nous pourrons partir a la recherche de Aelita en toutes sécurité.
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C'est pour ça queJe voudrais bien leur faire la surprise.
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Ceci dit je pourrais la laisser cacher sous le drap et me contenter de la mettre dans le scanner sans pour autant lui dévoiler quoi que ce soit
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bien sur je n échapperai pas aux 'inévitable question de Yumi du genre...
qu'est ce que c'est ? , sa sert a quoi ?
Pour lui masquer la vérité je pourrais toujours lui répondre que c'est ce pourquoi elle travaille si dure et que temps que ce ne seras pas finis je préfère garder le secret
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je sais.... c'est pas chic de ma part d'avoir des petits secret pour mes amis.
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Mais ce n'est pas ma première trahison après tous.
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Qui veut la fin mais les moyens
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et le moins que l'on puisse dire c'est que je me suis très investi dans ce projet.
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le futurs essaie serons capital pour la suite des opérations.
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Mais je ne pourrais pas le faire seul.
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Je vais avoir besoin que quelqu'un m'assiste dans mes expériences.
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à ce sujet il faudra que j'en touche deux mots a Yumi prochainement.
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Je pense qu'elle fera une parfaite assistante.
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J'ai donc décidé de l'initiée à la manipulation du super-calculateur
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j'ai d'ailleurs commencer a lui préparer un petit cours accélère sur les manipulations secondaire du super calculateur.
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Pour l'aider ,j'ai élaboré toute une série de programmes qui permettront aux non-initiés de se servir du super-calculateur aussi bien que moi.
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Ces petites applications seront très utiles
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"le super calculateur pour les nuls" voila le titre de mon futur bouquin.
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déjà la grande époque j'avais jugé utile de leur enseigner la façon de se matérialiser et de faire apparaître les véhicules et a ce jour ces manipulations se sont avéré être payante.
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Alors pourquoi ne pas poussé l'expérience un peu plus loin.
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J'ai donc crée un programme d'émulation qui permettra à n'importe qui de se servir du super-calculateur aussi facilement que s'il s'agissait d'un jeu vidéo.
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Dans un soucis de simplicité, ces fonctions seront autonomes et très facile a prendre en mains
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cette fois j'ai fais un gros effort pour mes amis.
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ces programmes sont devenu incontournables maintenant.
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De toute façons ils découlent directement des modifications que j'ai été obligé de faire sur le super-calculateur.
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Cette mystérieuse sphère grise a causé beaucoup de dégât sur le hardware de la machine,certains composants ayant été irrémédiablement détruit pas moins de 14 cartes électroniques indispensables sont hors d'usage .
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Pour faire simple sans entrer dans le technique pure il m'a fallu en créer d'autres.
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Pour pallier à cette absence j'ai créé des dérivations que j'ai connectée à d'autres ordinateurs,et pour ça il me fallait du matériel électroniques.
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Une chance pour moi, c'est pas les décharges publics qui manque dans le coins, le soir au prix de quelques acrobaties j'allais faire "mes courses" dans les bennes a ferrailles,
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microprocesseurs, carte mère, RAM, disque durs, je récupérais tous se que je pouvais trouver pour bricoler du mieux que je pouvais.
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Si mes parents me voyaient en train de jouer au récupérateur
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Je vous jure que faut-il pas faire des fois
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(soupir)
Avec tous ça la salle du super-calculateur ressemble à un vraie laboratoire expérimental, il y a des câbles qui pendent de partout sur plusieurs endroits le super-calculateur et ouvert sur les cotes et plusieurs pièce sensible son exposé a l'air, mais je n'ai pas le choix.
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En dépit de toutes ces réparations je n'ai toujours pas réussi à remettre en marche le retour vers le passé.
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Et je crains bien que je n'y arriverai jamais.
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Le protocole particulier qui régissait cette fonction a lui aussi été endommagées et dans le notes de Franz Hopper il n'y a rien qui précise sa conception.
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les seuls qui connaissait ce protocole était Aelita, Franz et Xana.
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et sans Aelita impossible de réactiver ce programme.
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donc on ne peut plus compter sur le retour vers le passé.
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quelle ironie du sort
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De plus je ne peux pas m'investir pleinement a sa réparation, je dois me consacré au projet T.
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le projet T demande autant de soin et de minutie que les réparations du super calculateur ou la conception du projet Magellan.
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Et j'ai plutôt intérêt à un à réussir mon coup.
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Les équations de la dispersion d'énergie sont très complexes à mettre en oeuvre et comme je l'ai déjà précisé a la moindre erreur c'est l'explosion atomique
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du moins l'explosion atomique virtuel.
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franchement j'ai pas envie de rayer les territoires de Lyoko restant au premier essai.
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mais si j'y arrive...
"si j'y arrive"
Nous aurons entre nos mains l'arme ultime,avec laquelle nous libérerons Aelita.
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Je n'est pas le choix et il faut que j'y arrive.
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Pour ça l'aide de mes amis me sera très précieuse dans l'avenir.
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Si seul Yumi et a mes cotés pour le moment je sais que le moment venu les autres me rejoindrons dans mon combat.
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Cependant pour être honnête Yumi n'est pas la seule personne à me donner un coup de main.
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heureusement que je peux aussi compter sur " Maya 2."
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j'apprécie énormément ça compagnie.
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Par contre je me suis bien cacher de révéler ça a Yumi
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elle me prendrait pour un fou si elle savait à quoi je passe certaine de mes nuits.
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mais je pourrais difficilement me passé de "Maya 2"
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Sa présence me réconforte.
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ça peut paraître débile mais elle m'aide a garder intact le souvenir de Aelita.
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Un souvenir que je ne veux pas voir périr.
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est bien qu'elle soit à son image je n'ai pas voulu l'appeler du meme prenons que l'original
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Pour moi il n'y a qu'une seule vrai et unique Aelita
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CELLE QUE J'AIME.
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Aussi ressemblant que soit sa copie numérique elle ne pourra pas la remplacer.
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je ne peux pas tomber amoureux d'un souvenir et encore moins d'une réplique virtuel
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Franchement quel scientifique censée pourrait tomber amoureux de sa propre création ?
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je vous le demande.
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Même si je l'avoue que le jour du départ de la fausse Aelita, je me suis comporter de manière illogique.
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Après tous le coeur a ces raisons que la raison ignore.
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Quoi il en soit vu que j'ai un peu de temps devant moi je vais vous faire le récit de ce qui s'est passé après l'intégration de William
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois septième partie.-----------------------------
Depuis que Xana avait détruit le dernier territoire la situation avait bien évoluer
Nous devions recruter un nouveau Lyoko guerrier ,et tous naturellement se fut William qui fut choisit par le groupe.
Après avoir l'avoir informé de la situation et lui avoir fait prêter serment de toujours garder le secret j'ai virtualisé William dans le scanner de façon à rentrer sa forme numérique dans le super calculateur.
Ces paramètres en mémoire le retour vers le passé n'aurait plus aucun effet sur lui, il était donc devenu un membre à part entière.
Désormais William faisait partie de notre bande,pour le meilleur et surtout pour le pire.
Comment aurions nous peut prévoir se qui allait se passer
Bien sûr à cause de son statut de petits nouveaux, il n'était pas question de l'envoyer directement en première ligne,si nous l'avions lâché au plein milieu d'un champ de bataille son inexpérience lui aurait été fatale.
Et elle le fut...
Tous les territoires ayant été détruits Aelita ne courait plus le risque d'être capturés par la méduse pour l'obliger a rentre le code Xana ,la tour du cinquième territoire était à l'abri de ce genre de problème.
Non la seule partie vulnérable était le coeur de Lyoko, bien que deux bouclier le protège il suffisait d'un seul coup et sa en serait défini du monde de Lyoko , tous disparaîtrait dans son intégralité aux pires il ne subsisterait de lui que la mer numérique.
Dès lors nous nous retrouvions avec une machine puissante mais sans aucune possibilité d'interagir avec.
Pour faire simple à un ordinateur sans système d'exploitation.
Nous avions donc donné comme consigne à William que dans les premiers temps il devrait rester en arrière et se contenter d'observer, lui-même rétorqua qu'il n'était pas du genre tête brûler ni meme à foncer sans réfléchir.
Nous avions pris ces paroles comme une bonne résolution de sa part et nous pensions qu'il se montrait suffisamment discipliné pour respecter ses engagements
Malheureusement les circonstances firent que le lendemain même de son intégration Xana lança une attaque de grande envergure.
Se croyant l'abri de toute contre-attaque ce satané virus avait décidé d'en finir une bonne fois pour toutes avec le coeur de Lyoko.
Pour diverses raisons et coup du sort, les Lyoko guerriers officiels ne purent se rendre sur place, au moment même de l'attaque les seules qui parvint à se libérer furent Aelita et William.
Bien que ce soit sa première mission William allait avoir a faire a forte partie, si les circonstance avait été autres, ils auraient put attendre les renforts mais le temps était compté
s'il avait fallu attendre que tout le monde soit la Xana aurait eut le temps de détruire Lyoko 10 fois.
Aelita et William se virtualisèrent sur le cinquième territoire afin d'aller en protéger le coeur
William fut très surpris de se retrouver sous forme numérique,la combinaison qu'il portait était très futuriste, en faite son avatar était une sorte de guerriers cybernétique équipées d'un grande épée appeler Zanbatō
d'après Aelita William était très excités de ce voir en guerrier, il faisait preuve d'un grand enthousiasme a l'idée d'en découdre avec les monstres de Xana.
Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il fut servis, pas moins d'une dizaine de rampants furent là pour les accueillir à leur sortis de l' arena est aussi étonnant que cela puisse paraître pour ça première fois William parvint à lui seul à tous les dégommer.
Ce qui témoigne que William était un très puissant guerrier , Aelita eut l'occasion de s'en rendre compte par elle meme , malheureusement elle ne fut pas la seule.
A cause de son enthousiasme William tomba dans un traquenard que lui avait tendu Xana
(aujourd'hui avec du recul je pense que ce piège est en faite destiné à Aelita)ce qui se passa par la suite se passerait bien de commentaires , ce fut le plus terrible coup du sort que l'on puisse connaître.
La trahison de l'un des nôtres
Biens que celles-ci ne sont pas volontaire, Xana avait réussi à prendre le contrôle de William, en moins de temps qui ne fallut pour le dire il dévirtualisa Aelita d'un seul jet d'énergie de son épée par la suite en compagnie d'autres rampants il partit à l'assaut du coeur de Lyoko.
Bien sûr peu de temps après les autres Lyoko guerriers arrivèrent au laboratoire, avertis de la situation il se rendirent aussi vite que possible dans la salle du coeur pour essayer de stopper William et l'empêcher de commettre un acte irréparable, de mon côté j'avais réussi à retrouver la trace de Franz Hopper j'avais peut-être une chance de le ramener parmi nous.
Mais nous n'en n'ûmes pas le temps,sous le contrôle de Xana la puissance de William était décuplée il parvint à dévirtualités Odd et Ulrich en un clin d'oeil.
Yumi fut la dernière a être victime de William avant de disparaître, elle lui avoua que cela n'avait pas été une bonne idée de l' engager.
Et ce qui devait arriver arriva, William détruisit le coeur de Lyoko sous nos yeux, ce monde entier disparut alors dans une violente explosion.
Lyoko était détruit pour de bon, William était probablement tombé dans la mer numérique et Franz Hopper disparu à tous jamais.
Mais tout n'était pas perdu alors que nous nous lamentions sur notre sort et sur celui du monde nous reçûmes à messages codés en provenance du réseau celui-ci était signé Franz Hopper.
############################ FLASHBACK ############################
Ce jour-là à l'Ermitage, une ambiance d' enterrement flottait dans l'air le coeur de Lyoko venait d'être détruit par William, ce dernier posséder par Xana était peut-être tombé dans la mer numérique et virtualisé a jamais et Franz Hopper était probablement mort.
Mais ce dernier fit parvenir a Jeremie un message depuis le réseau ,des informations cruciales furent transmis à Jeremie permettant au petit génie de pouvoir recréer Lyoko.
L'espoir était encore permis.
Il faudrait une semaine de travail a Jeremie pour réussir cette exploit mais un nouveau problème se profilait déjà à l' horizon.
Comment allaient ils faire pour justifier la disparition soudaine d'un élève.
.... et pour William comment va-t-on faire pour expliquer sa disparition demanda Yumi.
Jeremie : on peut s'arranger pour faire croire qu'il est malade et qu'il a du rentrer d'urgence chez lui pour se soigner.
Yumi : et après.... mais il ne va pas être malade toute l'année le proviseur ne voudra jamais avaler une histoire pareille.
Aelita : sans oublier qu'il faut aussi trouver un moyen de le ramener si il est encore en vie.
Jeremie : chaque chose en sont temps, d'abord il nous faut convaincre le proviseur que William et malade et sera absent un certain moment
Et comment va tu faire demanda Aelita
Jeremie : je vais utiliser mon programme de synthèse vocale.
Odd : c'est quoi encore sa ?
Jeremie : une petite invention de ma composition basés sur un échantillonage de fréquence vocale en harmonique et...
... et pour simple sa donne quoi demanda Odd qui coupa la parole a Jeremie.
Sa permet d'imiter la voix de m' importe qui expliqua Aelita.
Jeremie : à l'aide de différents échantillons sonores que j'ai récupérés je suis en mesure de recréer n'importe quelle voie humaine.
Odd : mais c'est génial ça.
Aelita : et où as-tu trouvé ces échantillons sonores ?
Jeremie : disant que pour faire simple j'ai mit tous les téléphone de Kadic sous écoute
Aelita : tu as fait quoi ?!!!
Yumi : comment tu as réussi un tour pareil.
Jeremie : en me connectant sur l'antenne parabolique du laboratoire de science.
Aelita : aussi simplement ?
Jeremie : oui grâce à une dérivation des protocoles de communication sur un serveur....
... ok tu as des échantillons fit Odd
Aelita et d'où sa t'est venu une telle idée ?
Jeremie : c'est l'incident du satellite qui ma inspiré cette bonne idée
Cette attaque aura au moins servit a quelque chose dit Odd.
Jeremie : à présent j'ai le numéro de téléphone de toutes les personnes qui se trouvent au collège ainsi que ceux de tous leurs contacts les plus proche.
Une fois de plus Jeremie c'était surpassé,avec se programme il aurait la possibilité de duper le proviseur mais Odd s'écarta de la conversation pour demander au petit génie une petite information.
Dis moi Einstein tu as vraiment tous les numéro de portable du collège demanda Odd.
Jeremie : presque tous oui
Odd : par hasard tu n'aurais pas celui de Anaïs Fiquet
Jeremie : bien sûr je l'ai en mémoire sur mon ordinateur
Mais c'est génial ça s'écria Odd.
Jeremie : et pourquoi donc ?
Odd : ça fait un sacré bout de temps que j'essaie de lui soutirer sans succès
A ce moment tous le monde regarda Odd avec un air très fâché, comme ci la situation présente était propice au histoire de coeur du Don-Juan du collège.
Odd tu crois que c'est le moment de penser à la drague lui dit Ulrich
Aelita : l'avenir du monde est menacer et toi tu pense qu'a flirter
Odd : vous y connaissez rien de vous.
Ma parole il est incorrigible celui la dit Aelita en mettant sa mains sur son front.
Cela aurait put tournée au débat sur les utilisations dérivé de la technologie mais Odd ne préféra ne pas insister, quand a Jeremie qui n'avait pas perdu son sérieux il proposa donc a ces amis de procéder ainsi pour un temps.
Jeremie : on fait comme ça
Yumi : on fait comme ça
Aelita : sa me va
Odd : on a pas le choix de toute façons.
Le jour meme le proviseur reçu un appel de la part du (faux)père de William pour lui annoncer que son fils serait absent pendant un certain temps.
grâce au programme la supercherie fut sans équivoque, le proviseur n'y vit que du feu, il faut dire que Jeremie fut très convaincant dans son rôle.
Tous le reste de la semaine Jeremie et Aelita le consacrèrent a recréer Lyoko grâce aux informations que Franz Hopper leur avait fourni.
Désormais de tous les espoirs était permis.
chapitre 10 programme de soin. 12 septembre 2005 11h 30
Dr : bon je pense que cela suffira pour aujourd'hui.
Maeva : vous croyez Docteur.
Dr : ça ne sert à rien de trop en faire pour l'instant on déjà a bien progresser
Maeva : vraiment.
Le docteur avait poser son calepin de notes sur la table ou il venait d'y consigner tous se que la jeune fille lui avait raconter, il se tourna alors vers Maeva pour lui répondre.
Dr : en effet les nouveaux éléments que tu m'as fournis vont me permettre d'établir un premier schéma de tes rêves.
Maeva : vous penser pouvoir leur trouver un sens.
Dr : l'interprétation des rêves et révélateur de beaucoup de chose tu sais.
Maeva : notamment mes souvenirs.
Dr : absolument ma petite Maeva il est important pour nous de procéder par étapes et de rien brusquer.
Maeva : vous avez raison docteur après on vient juste de commencer.
Pour Maeva la thérapie venait à peine de débuter, il était claire qu'elle n'allait pas retrouvé la mémoire d'un seul coup, tout cela nécessitera un processus long et peut être pénible pour la jeune fille. Car en plus de son amnésie elle devait affronter les démons de ces rêves, des êtres qui apparemment lui voulaient du mal.
Des démons issu d'un passé obscur et troubles qui effrayait Maeva, mais en dépit de ça le docteur avait bonne espoir de réussir a la guérir.
Car plus le temps passait et plus le voile qui recouvrait la mémoire de Maeva se déchirait peu a peu, chaque jour de nouveaux souvenirs immergeait.
Mais ci ceux étaient assez confus et ils ne se manifestaient qu'au travers des songes de Maeva et forcement leurs interprétations allait devenir un enjeux crucial pour le docteur
Pour cela l'hypnose était le meilleur moyen de procéder, en plongeant Maeva dans un sommeil artificiel dit paradoxale le docteur pouvait avoir accès a ces rêves de jour comme de nuit.
Tous étant consciente quelle rêvait, Maeva guidé par la voix du docteur pouvait avancer sans crainte sur les territoires de Lyoko et en cas de danger il suffisait au docteur de claquer des doigts pour la ramener a la réalité.
Mais pour que l'hypnose fonctionne il fallait que Maeva soit détendu ,le stress et l'oppression ne sont pas des éléments favorable a la guérison et d'autant plus quand il s'agit des blessures de l'esprit, les diffèrent essaie a l'hospital avait démontrer qui Maeva n'arrivait pas se détendre suffisamment et jusqu'à présent les tentatives c'était toujours solder par des échec.
Mais en cette fin de septembre tous avait changer le simple fait d'avoir soustrait Maeva au milieux hospitalier lui avait déjà permis de débloquer de nouveau souvenir.
Il ne faisait pas de doute pour le docteur que le cas de Maeva allait allé en s' améliorant c'est pour ça qu'il avait fractionner son programme de thérapie en deux partie.
Le matin Maeva aurait droit a une thérapie sur le divan pendant une bonne heure et demi tandis que l' après midi se serais quartier libre.
Le docteur procédait méthodiquement pour retirer un maximum d'informations.
Comparaison et suppositions seront les méthodes qu'il devrait employer à l'avenir,mais pour l'heure il était important que Maeva se change les idées d'une manière ou d'une autre.
En offrant a Maeva une détente récréative, il pensait que cela lui ferait beaucoup de bien pour sa santé mental.
Pour ce faire le docteur avait prévu de l'emmener dans différends endroit qui serait susceptible de lui évoquer quelques choses de familier.
Il est prouvé que la vue d'une forme ,d'un son, d'une image, ou d'une couleur peut parfois déclencher un mécanisme complexe de flash-back.
Ce qu'il faut c'est être très attentif a se moment la,et le docteur comptait bien ne pas laisser Maeva sans surveillance.
Dr : donc cette après midi nous allons sortir
Maeva : pour aller ou
Dr : c'est a toi de voir
Entre les quatre murs de l'hospital où elle était fermer Maeva n'était allé que très rarement dans le parc elle n'avait rien vue ni de la grande ville ni de ces alentours pour cela le docteur c'était proposé de lui faire visiter la ville de Madison, pour commencer il pensa que Madison square serais un jolie endroit a visiter mais il fallait encore que Maeva soit d'accord.
Dr : alors cet après-midi que veux-tu faire
Maeva : je ne sais pas encore, peut-être vais je lire quelques livres de mathématiques pour me détendre.
Dr : il est vrai que se que je vais te dire peut te paraître bizarre....
Maeva attendait la suite de la phrase du docteur
Dr : ... mais tu devrais peut être arrêter de t'instruire pour le moment
Maeva : difficile Docteur je ne peux pas m'en empêcher
Je m'en doute bien lui fit le docteur en soupirant.
Si Maeva avait le pouvoir de dérégler les appareils électronique juste en les touchant elle disposait en revanche d'une faculté d'apprentissage incroyablement développé.
Maeva avait une excellente mémoire photographique et auditive ainsi qu'un don innée pour les langues étrangère notamment le français et l'allemand.
C'est en mémorisant des sons et des images que Maeva avait très rapidement retrouvé l'usage de la parole, a titre d'exemple il lui suffisait de lire la page complète d'un livre une seule fois pour pouvoir la récité par coeur 5 minutes après.
Cette capacité a retenir les sons et les images et de les interpréter aussi rapidement tentait a prouver quelle était loin d'être une attardée mentale comme certaine personne a l'hospital avait put le penser, non en réalité Maeva était une fille très intelligente pour ne pas dire une surdouée.
En l'espace de deux mois Maeva avait emmagasiner des informations a la pelle dans diffèrent domaine , cela allait de l'histoire au science physique.
Après lui avoir fait passer un test de QI, il en était ressortit qu'elle avait un quotient intellectuel de 198 et encore ce jours la elle était loin d'avoir répondu a toutes les questions.
Elle lisait tous se qui lui passait sous la mains mais cela ne s arrêtais pas la elle était tres douer pour les arts notamment la musique et le dessin.
Cela témoignait d'une grande sensibilité artistique, le docteur lui avait appris a ressentir les choses et non a les percevoir comme des donnes brutes, le docteur savait que Maeva avait besoin de ressentir la vie, Maeva était parfois trop sérieuse et avait tendance a s'enfermer derrière une logique stérile qui finirait pas la rendre aussi insensibles que les meubles de sa chambre si personne ne la prenait en mains.
Dans le fond Maeva était une jeune fille pleine de vie qui ne demandait qu'à s'épanouir pleinement, c'est pour ça que le docteur avait décidé de l'emmener faire une sortie cet après-midi, il proposa d'ailleurs à sa jeune protégé daller faire un tour dans le parc de Madison square.
Dr : je me disais que nous pourrions sortir cette après midi ,je crois que ces derniers mois tu est rester suffisamment enfermés comme ça
Maeva : vous avez raison docteur j'ai vraiment besoin de prendre l'air.
Dr : alors peut-être pourrions nous aller faire un tour a Madison square
Maeva : qui a t'il a voir la bas
Dr : il a le lac artificiel de roman et les statues des fondateurs de la ville.
ah juste ça ? dit Maeva
Maeva semblait un peu déçu par la proposition du docteur apparemment une sortie au parc ne semblais pas la ravir
Dr : sa n'a pas l'air de te faire plaisir
Maeva : c'est que je pensais que vouliez me faire visiter un autre endroit.
Dr : que propose tu.
Maeva : en vérité il y a un bâtiment ou je voudrais aller
Dr : la mairie.
Maeva : non
Dr : l université.
Maeva : non
Dr : une église alors
Maeva : plus tard
l'hospital fit le docteur un peu perplexe
Surtout pas lui fit Maeva en secouant la tête.
Dr : ou alors
Maeva : c'est lieu ou l'on s'instruit
oh par pitié ne dis pas que tu veux aller dans une bibliothèque fit le docteur en se lamentant.
Maeva : presque
de quoi s'agit-t-il demanda le docteur
Maeva : j'aurais envie de voir un musée
Dr : un musée !!
Maeva : oui un musée
le docteur fut assez étonné de cette proposition de Maeva parmi toutes les merveilles qu'elle pouvait voir en ville pour sa première sortie, il fallait qu'elle choisis d'aller s'enfermer dans un musée, cela ne cachait-t-il par quelques raisons obscures, c'est ce que le Docteur n'allait pas tarder à découvrir.
Dr : as tu une raison particulière de vouloir visiter un musée ?
Maeva : oui car le musée est un temple du souvenir.
Dr : un temple du souvenir en voilà une jolie expression
Maeva : c'est comme ça que je les considère
Dr : et pourquoi donc
Maeva : dans un musée ont trouve des fragments d'histoire.
Le docteur fini par comprendre ou Maeva voulait en venir, l'histoire était la matière préférée de Maeva, elle était particulièrement douer pour retenir date et événements le docteur compris assez vite la relation que Maeva faisait entre un musée et sa personne.
Dr : je vois la relation que tu fais .... fragments d'histoire égale fragment de souvenirs pour toi
Maeva : vous avez vu juste docteur, mais ce n'est pas la seule raison qui me motive
Dr : ah bon et quoi d'autre
Maeva : en faite j'ai très envie de voir un tyrannosaure.
Dr : un tyrannosaure ?!!!!
Voila une réponse a laquelle le docteur ne s'attendais pas, meme si par expérience il savait que Maeva était assez espiègle comme enfant et que parfois ces réponses pouvait paraître étrange,les motivations de celle ci était un mystère encore plus grand que celui de ces origines.
Dr : et pourquoi un tyrannosaurus rex
Maeva : c'est une bête qui me fascine.
Dr : et que trouve tu de si fascinant chez un monstre géant pourvu de mâchoires horribles .
Maeva : je sais pas mais sa m'intrigue.
Dr : et sa ne te fais pas peur.
Maeva : un ours en peluche géant me ferait sûrement plus peur que ça
Dr : sa serait moins monstrueux et plus jolie a voir
Maeva : sa peut paraître idiot mais au fond de moi je pense que sa serait le contraire, de plus docteur les dinosaures ne sont pas des monstres mais des créatures qui on vraiment exister.
Dr : c'est vrai, c'est juste qu'elles étaient plus grande que les autres.
Maeva : de toute façons des monstres j'en voit suffisamment dans mes rêves
A cette instant Maeva se mordit les lèvres pourquoi fallait-il qu'elle lui reparle de sa
le docteur ne dit rein sur cette accident, et redemanda a Maeva si c'est quelle voulait vraiment.
Dr : c'est ce que tu veux
Maeva : absolument
Dr : donc c'est décidé à cet après-midi nous allons faire un tour au musée
génial s'écria Maeva
Maeva fut plus que ravis a cette nouvelle mais savait elle seulement ce quelle allait y trouver
chapitre 10 hospitalisation
Hôpital militaire de Westfield -Angleterre - 26 septembre 2004 - 9 h 21
Dans une des chambres de hospital militaire de Westfield le major Cartwright se remettait doucement de son accident, par chance celui avait été sans gravité , la décharge électrique qu'elle avait reçu lui avait juste légèrement brûler les mains.
Mais avec un traitement adéquat elle ne devait pas en garder de séquelle trop visible.
Cela dérangeait quelque peu pour travailler, une infirmière était obliger de lui glisser un stylo dans ces bandages et son écriture était pour le moins assez maladroite mais elle pouvait aussi tapoter avec deux doigts sur les touches de son ordinateur portable.
Son travail était un peu plus lent mais au moins elle pouvait continuer ces recherches, elle avait pas spécialement besoin de repos pour guérir.
c'est donc assidûment qu'elle continuait ces recherches sur son ordinateur portable quand soudain on frappa à la porte.
Quand le major autorisa ce se que l'on rentre, la première chose qui émergea du coin de la porte fut un bouquet de fleurs cette apparition étrange ne manqua pas de surprendre le major
A cet instant le colonel entra dans la pièce il était venu rendre visite a sa partenaire
cette visite pour le moins inattendu fit plaisir au major, qui pour une fois en laissa tomber ses notes quand le colonel s'avança vers elle.
Bonjour major comment allez-vous aujourd'hui demanda le colonel
M.Cartwright : je vais très bien lui répondit le major.
C Perec : je suis ravi de d'apprendre que voulez aller bien.
M.Cartwright : grâce à vous oui
Je vous est apportez ces quelques fleurs en espérant que cela vous fera plaisir fit le colonel en lui tendant le bouquet.
Le major avait les deux mains enveloppés dans de larges pansements elles aurait volontiers pris les fleurs que lui tendait son officier, en voyant ça le colonel pris l'initiative de les mettre dans le vase qui se trouvait sur la table il alla dans la salle de bain pour le remplir d'eau avant de déposer le bouquet dedans.
Après avoir posé le tous la table il pris une chaise pour s asseoir a coté du major et entra sans détours dans le vif du sujet.
C Perec : alors vous en avez pour combien de temps
M.Cartwright : selon le médecin je pourrais sortir d'ici deux à trois semaines
C Perec : c'est une bonne nouvelle et comment vont vos mains ?
M.Cartwright : par chance les brûlures ne sont que superficielles,le docteur me traite avec de la pommade cicatrisante
C Perec : et c'est efficace
M.Cartwright : la douleur s'est estompée et des que je serais rétablies nous pourront reprendre notre enquête, je continue mes recherches dans ce but.
et bien je vois que vous ne perdez pas votre temps major dit le colonel
M.Cartwright : oui d'ailleurs à ce sujet j'aurais voulu avoir des nouvelles au sujet de cette affaire
lesquelles major demanda le colonel.
Comment va le professeur Moritaka demanda alors le major.
C Perec : d'après le médecin de l'hospital son état est stable.
M.Cartwright : c'est il réveiller ?
C Perec : non il n'a toujours pas repris connaissance.
M.Cartwright : et son état général
C Perec : selon le médecin il est difficile de se prononcer.l'espèce de mini coma dans lequel il est tombé laisse envisager toutes les possibilités
Cette nouvelle attrista le major, le timide sourire qui c'était peint sur sont visage avait disparut a cette annonce ,le colonel le vit bien
M.Cartwright : c'est dingue comment cela a pu lui arriver ?
Vous savez ça n'a rien de surprenant fit le colonel
M.Cartwright : vous trouvez-vous
C Perec : il c'est quand même pris une table à roulettes sur la tête, en général cela n'a pas tendance à laisser qu'une grosse bosse.
Lors de son combat contre le professeur possédé le colonel avait souvent fais usage de son arme a feu sans le moindre succès , le savant semblait alors invulnérable, quand le contrôle de Xana fut interrompu le Dr Moritaka c'était écroulée au sol malheureusement la table qu'il soulevait a cette instant lui était tombée sur le crâne, cela avait provoqué un traumatisme crânien assez important chez le vielle homme, pas assez grave pour le tuer mais suffisamment important pour le plonger dans un mini coma.
Transporter de toute urgence a l'hospital central de Londres il fut pris en charge par les meilleurs neurochirurgien.
Sa vie n'était pas en danger mais son rétablissement laissait les médecins très dubitatifs, selon eux il en aurait peut-être pour des mois voir pour des années avant de reprendre connaissance mais par chance aucune des voix périphérique nerveuse importante n'a été touchée ce qui était plutôt une bonne nouvelle.
Le major fut très peiné d'apprendre sa elle avait beaucoup d'estime pour le professeur Moritaka son mentor, elle avait beaucoup de mal à croire que celui-ci avait essayé de tuer le colonel mais ce qui était le plus à incroyable encore ce fut le rapport que le colonel avait rédigé sur cette accident.
Le contenu du rapport était assez incroyable, s'il ne faisait aucun doute que le super-calculateur avait été victime d'une attaque de Xana le récit de la soudaine crise de folie du professeur était beaucoup plus dure à avaler.
"crise de folie avait écrit le colonel dans son rapport"
le major connaissait très bien le professeur Moritaka , comment aurait pus penser une seule seconde que celui-ci use été capable d'un tel acte, mais les faits parlait d'eux-mêmes le colonel avait été obligé de se battre contre le savant et si le colonel n'avait pas usé de son arme pour détruire le super-calculateur il serait peut-être tous mort a cette heure-ci
Ce récit le major voulait l' entendre de la bouche meme de son supérieur, sa version des faits et non celle qu'il avait rédigé, elle avait beaucoup de question a poser a ce derniers
M.Cartwright : mon colonel le lieutenant Fraggle m'a fait la lecture de votre rapport
C Perec : ah oui je me demandais bien quand vous alliez m'en parler.
M.Cartwright : j'avoue que j'ai beaucoup de mal à croire ce que vous avez écrit
C Perec : si cela peut vous rassurer major j'ai beaucoup de mal à croire moi-même ce que j'ai vécu
M.Cartwright : vous dites que le professeur a été possède par Xana.
C Perec : je sais que ça peut paraître fou mais c'est la vérité.
M.Cartwright : c'est assez invraisemblables
C Perec : je comprend que vous doutiez
M.Cartwright : vous avez peut-être imaginé ceci
C Perec : mes blessures me disent le contraire
C'est sûrement du a l'explosion supposa le major.
C Perec : dans ce cas-là vous n'avez qu'à t'expliquer pourquoi le professeur a voulu me tuer
Cette fois-ci le major ne put trouver aucune explication quant à l'attitude étrange du professeur celui-ci était pourtant réputé pour être un homme très pacifique, pour quelle raison aurait-il voulu s'en prendre au colonel
Quelque chose ne collait pas dans cette histoire, pourtant jusqu'au bout le major essaya de trouver une explication rationnelle il était peut-être possible que le colonel avait imaginé la scène et tous n'était qu'une hallucination provoqué par les différents produit chimique du laboratoire répandu dans la pièce suite l'explosion de la console de commande.
Le colonel ne comprenais pas pourquoi le major faisait preuve d'un telle scepticisme
M.Cartwright : c'est une hallucination
C Perec : mes brûlures ne sont pas un rêve
M.Cartwright : il avait des produit corrosif sur les table ou vous avez été projeter.
Le major n'en démordait pas pour elle il devait y avoir une explication rationnel a tous ça, mais le colonel fut bref dans sa réplique.
C Perec : major il faut vous rendre a l'évidence l'organisation Xana peut contrôler des gens a distance depuis un ordinateur.
M. Cartwright : L'idée meme que Xana puisse s'emparer comme ça d'une personne me parait impossible
C.Perec : c'est une possibilité qu'il ne faut pas exclure
M.Cartwright : un programme informatique capable de prendre contrôle des gens
C Perec : ça paraît fou
M.Cartwright : admettons que se soit possible , il agissent comment ?.... par hypnose
C Perec : je ne sais pas.
M.Cartwright : c'était peut-être parle biais d'un message subliminal
C Perec : dans ce cas-là comment vous expliquez la force surhumaine et les éclairs
M.Cartwright : et vous dites qu'il vous a lancé des éclairs.
C Perec : pas seulement il m'as également soulever comme un faitu de paille avant de me jeter sur plusieurs mètre sans compter que je lui est tirer une dizaine de balles dessus sans pouvoir le blessé.
M.Cartwright : vous l'avez peut-être raté
C Perec : à bout pourtant ça m'étonnerait.
M.Cartwright : et vous dit qu'il était déformé comme une image télé
C Perec : on aurait dit qui n'était pas un réel que c'était un surhomme à ce moment-là .
M.Cartwright : c'est ridicule
C Perec : vous n'êtes pas aveugles major, vous comme moi avons vu le symbole Xana apparaître sur cette machine.
M.Cartwright : il est vrai que le symbole est apparu
sur ce point-là le major ne pouvait rien contredire avant de perdre cette naissance suite à la décharge elle avait pu constater l'apparition du symbole Xana sur l'ecran
M.Cartwright : et pour le reste
C Perec : c'est a dire ?
M.Cartwright : comment vous est venu l'idée de couper le super calculateur
C Perec : l'idée n'est pas de moi mais celle de mon mystérieux contact
M.Cartwright : le fameux W
C Perec : W comme je l'ai nommée m'as avertis du danger et m'as dis quoi faire
M.Cartwright : apparemment des gens sont au courant de notre enquête
C Perec : vous pensez qu'il y a eu des fuites
M.Cartwright : de la part de qui cette opération est censée être secrète
C Perec : pas si secrète que ça vu que mon interlocuteur connaissait mon nom et mon grade
M.Cartwright : en effet c'est très troublant..
C Perec : ...et dangereux si des gens sont au courant nous risquons d'être très exposé.
M.Cartwright : c'est un risque a courir mon colonel.
M.Cartwright :
C Perec : a l'avenir il nous faudra être plus prudent
M.Cartwright : je ne vous le fait pas dire
C Perec : actuellement le lieutenant Fraggle est en train de faire des recherches sur le répertoire de mon téléphone pour localiser la provenance de l'appel
M.Cartwright : il a déjà trouver quelque chose
C Perec : rien pour le moment.
M.Cartwright : c'est juste une question de temps
C Perec : si vous le dites major
M.Cartwright : un mystère de plus résoudre
C Perec : sinon pour parler d'autres choses vous aimez les fleurs que je vous ai apportées
M.Cartwright : je les trouve magnifique
C Perec : sa me rassure vu que je ne connaissais pas vos goût j'ai pris des fleurs blanches ,c'est neutre comme intentions.
M.Cartwright : je vois que vous avez même mis une carte
C Perec : a oui c'est vrai.
Dans le bouquet on pouvait voir glisser un petit cartons destiner au gens
M.Cartwright : peut-être pourriez-vous me la lire
C Perec : ce n'est pas a vous de le faire normalement
Colonel j'ai les deux mains dans les pansements fit remarquer le major
La réponse était tellement évidente que le colonel se sentit un peu bête à ce moment-là pour faire plaisir aux major il prit la carte qu'il avait glissée soigneusement dans les fleurs et en fit la lecture.
"voici un modeste cadeau de ma part en vous souhaitant un prompt rétablissement major Cartwright
- signé
- colonel François Pérec
le major fut très touché par cette délicate attention de son officier supérieur mais toutefois un petit détail la dérangeait dans ce qui avait été écrit sur la carte
M.Cartwright : c'est très gentil de votre part mon colonel
C Perec : je vous en prie major ce n'est rien
M.Cartwright : je trouve juste que le major sur le carton c'est un peu formel
C Perec : oui mais je ne peux pas vous appeler autrement,vu que vous n'avez jamais voulu me donner votre prénom alors pour vous ce sera Major...
Amanda
C Perec : pardon !!!
mon prénom c'est Amanda fit le major a cette instant.
M.Cartwright : vous voulez connaître mon prénom et bien voilà c'est fait je m'appelle Amanda Cartwright.
Amanda c'est un très joli prénom que vous avez la fit le colonel
M.Cartwright : je sais.
pourquoi vous vouliez me le cacher demanda le colonel
M.Cartwright : j'ai mes raison.
C Perec : qui sont ...
M.Cartwright : c'était le prénom de ma grand-mère maternel
C Perec : vous m'en direz tant, en tous qu'a cela vous va très bien
M.Cartwright : merci mon colonel
C Perec : dont je peux vous appelez Amanda maintenant.
M.Cartwright : si nous pouvions tous de fois à nous en tenir au protocole militaire
Le cordiale échange entre le colonel et le major n'avait pas duré longtemps , le major avait vite remis le masque d' austérité quelle portait depuis le début, mais au moins le colonel se connaissait maintenant prénom de sa partenaire.
C Perec : bon je vais vous laisser major j'ai rendez-vous avec le lieutenant Fraggle
M.Cartwright : vous voulez savoir si celui ci a rassure a localiser l'appel
C Perec : pas vraiment , il veut me voir pour me faire signer les formulaires A83 et A84
C'est quoi ces formulaires demanda le major
C Perec : ce sont les formulaires d'assurance pour autoriser les dédommagements que j'ai causés.
M.Cartwright : les assurance militaires.
C Perec : vous savez griller un super-calculateur comme je l'ai fait ça coûte cher
Je m'en doute bien fit le major
C Perec : reposez-vous bien major je passerai voir demain
M.Cartwright : merci et bonne chance avec la paperasserie
C Perec : je vais en avoir besoin.
Après avoir saluer le major , c'est avec un pas bien décidé que le colonel se rendit alors au bureau du MI5 où l'attendait le lieutenant Fraggle qui avait quelques réprimandes a lui faire concernant sa petite intervention, alors que la voiture de fonction du colonel faisait route vers le quartier général sont portable se mis de nouveau à sonner....
chapitre 10 le projet Tanit
1er aout 2005
Dans le complexe sécurisé de Cyclotron il y avait un nombre assez impressionnant de personnes amassé dans le grand hangar du niveaux 01
Les différentes délégation comprenait des scientifiques, des militaires des diplomate et des industriel de toutes horizons venues pour assister à la grande première.
Tous les haut membres et cadres de la société était la Simon Watson en tête de file il étaient accompagné des principaux acteur du projet Neo-Carthage, tous les scientifiques de la section 5 étaient la et parmi eux Arnaud.
Le buffet spécialement aménagé faisait le plaisir des plus gourmands, pour l'occasion la nourriture anglaise avait été mis de coté au profit des toast de saumon et de caviar et les fontaines a champagne coulaient a flot dans les verres.
Partout sa parlait, sa discutait, sa débattait de chiffres d'affaires, de thermodynamique, stratégie de guerre au moyen-orient,tous sa formait un broua de paroles inaudible ou chacun semblait quand meme si comprendre.
pour Arnaud cela être un grand moment, son talent allait être reconnu car les autres projet faisait assez pale figure en comparaison du sien,mais n'ayant personne avec qui en discuter il restait prés du buffet a manger des petit four une flûte de champagne a la mains, alors qu'il voulais prendre un autre petit four une autre mains se saisit de celui qu'il convoitait.
Eh vous gênez par surtout répliqua aussi sec Arnaud.
Mais se que Arnaud n'avait pas vu c'est que la personne qui venait de prendre le petit four faisait deux tête de plus que lui,
je vous demande pardon fit l'homme a cette instant
Sans pour autant se laisser impressionner Arnaud fit remarquer a l'inconnu qu'il avait voulu prendre se petit four ,cela pouvait paraître puéril de se comporte comme ça pour un apéritif mais Arnaud n'aimait pas qu'on lui passe devant, en revanche la réaction de l'homme fut étonnante.
Tenez je vous le laisse si vous voulez dit l'homme en tendant le petit four a Arnaud
Arnaud ne s'attendais a que ce grand gaillard au cheveux brun et a lunette se montre aussi docile que ça ,cela pris un peu le jeune au dépourvu.
Et bien merci fit Arnaud qui pris le petit four que lui tendait l'homme
Vous faite partie de la délégation demanda l'homme.
Non je fait partie de l'entreprise fit Arnaud en avalant le toast
Ah je vois vous éte un stagiaire fit l'homme.
Arnaud faillit bien avaler de travers a la remarque que l'homme venait de lui faire
Je suis chercheur dit il alors pour dissiper les doutes
homme : vous
Arnaud : oui moi
homme : vous éte pas un peu jeune pour travailler dans un laboratoire.
j'ai 18 ans et je appelle Arnaud Morillon scientifique du niveau 5 fit fierement Arnaud a son interlocuteur .
homme : et moi je me nomme...
Mais une femme arriva est interpella l'homme avant que celui eut finis les présentations
Mr Darbois venez on nous attend fit la femme.
j'arrive miss Sklodowski fit l'homme
Mr Darbois : et bien Mr Morillon se fus un plaisir de parler avec vous.
moi de meme fit Arnaud
Arnaud regarda cette homme qui s'en alla rejoindre une jeune femme rousse,avant que tous deux ne disparaisse dans la foule Arnaud eut pas le temps de s attarder sur ces deux personnes.
Une annonce faite au micro attira bientôt l'attention de tous les invités, en effet un représentant annonça que le spectacle allait bientôt commencer, tous les personnes se rapprochèrent du podium pour assister a la démonstration tant attendu.
A l'entrée un programme avait été distribuer a chacun des hôtes, il était mentionner dessus qu'en première partie aura lieux la présentation du projet principale et par la suite de toutes les déclinaison de celui ci.
Soudain la lumière se tamisa seul le podium resta éclairé, c'est sous une musique tonitruante que se présenta un homme en complet gris, il était grand et mince et était âgée d'au moins une soixantaine d'années, il portait des lunettes rectangulaire, il se déplaça sur le podium accompagné par le faisceaux des projecteur jusqu'au pupitre, à l'arrière-plan de lui une grande image holographique était apparue le représentant en gros plan a présent tous les regards et les caméras étaient braquées sur lui .
l'homme remonta légèrement ses lunettes et commença à s'adresser à la foule en ces termes
"Mesdames et Messieurs je vous souhaite à tous et à toute la bienvenue au sein de la société Cyclotron"
"je me présente je suis le docteur Henry Hopkins"
Parmi la foule des invités le jeune Arnaud était posé sur un banc il était avec tous les scientifiques de la section 5, enfin pratiquement tous un seul membres manquait à l'appel mais la raison en étaient connue de tous.
Sur scène le docteur Hopkins se lança alors dans la présentation de son entreprise de ce qui avait été fortement prévisible Arnaud l'avait bien prévu, sur le grand écran allait bientôt débuter la présentation officielle du projet Neo-Carthage.
La lumière se ralluma, un silence de plomb fut enregistré dans la salle le docteur Hopkins commença à faire le déballage de l' historique de Neo-Carthage
- "Mesdames et Messieurs avant de rentrer dans le vif du sujet laissez-moi vous faire un petit rappel historique de l'histoire de la mythique cité de Carthage"
- "jadis Carthage était la puissance cité maritime du monde antique, aucune autre flotte maritime ne pouvait rivaliser avec sa puissance, sa culture a rayonner sur tous le bassin méditerranéen.durant des siècles"
- "Bien sur avec le temps elle finit par faire de l'ombre a une autre puissance émergente que sera par la suite le colossal empire romain."
- "La cité fut détruite par les Romains lors des guerres puniques et plus précisément par le général Scipion, l'explication de sa chute est des plus simple"
- " sa puissance par rapport à sa petite taille faisait la jalousie des autres puissances de ce temps car toutes les nations s'inclinaient devant la puissance de Carthage"
- " et oui car la taille et la grandeur d'un empire ne se mesure pas forcément à son étendue mais au rayonnement de sa culture et si l'histoire n'avait pas été aussi injuste envers Carthage nous pourrions aujourd'hui dire que nous vivons dans une civilisation cartho-romaine"
C'est avec une maîtrise sans pareil de la rhétorique que le Docteur Hopkins faisait le récit de l'histoire de Carthage. il démontra incontestablement à quel point cette cité aurait pu avoir de l'influence à travers le monde.si celle-ci n'avait pas subi les aléas de l'histoire
"mais aujourd'hui je vous annonce le début d'une nouvelle ère car Carthage la cité des dieux va revenir à la vie"
"nous l'avons recréé artificielement dans un environnement virtuel"
" Mesdames et Messieurs voici Neo-Carthage
Dans la salle la cité virtuel apparus au-dessus des invités qui furent éblouis par le système de la technologie holographique, l'on pouvait voir des rues et des habitation antique des temples au aspect diverse se dressaient de part en part, la cité était entouré d'un énorme mur d'enceinte destiner a la protéger, au centre de la ville un énorme temple avait été bâti, et sur chaque façade le symbole de Tanit était omniprésent, le docteur repris alors la paroles pour continuer sa présentation.
"mais je vous entends déjà dire en quoi est ce que Neo-Carthage est telle différente des autres mondes virtuels qui existent à travers le monde et bien je vous répondrai simplement par ceci Mesdames et Messieurs."
"Neo-Carthage est gérés par un super ordinateur quantique le plus performant au monde"
cette nouvelle fit l'effet dune bombe dans la salle beaucoup de personne furent sidère de ce que venait annoncer le professeur Hopkins mais se dernier n'allait pas en rester la au niveau des révélations
"Et oui que nous avons la chance de posséder la machine la plus performante au monde capable d'atteindre 3000 téraflop de puissance
"bien sûr une telle puissance doit être maîtrisée, sinon cette derniere serait vaine"
"tous comme dans la mythologie phénicienne la cité avait ces dieux protecteurs et plus précisément pour Carthage il s'agissait d'une déesse protectrice"
bien sûr ici. pas de dieu ou de quelconques chimères mythologiques mais une entité supérieure dit le professeur Hopkins
"j'entends par là une intelligence artificielle."
à cette annonce le docteur se tu à pour écouter les quelques réactions à l'intérieur de la salle quelques rire étouffé se firent entendre certains des scientifiques présents dont notamment les professeur zalinski et Weller contenaient mal leur fou rire, Arnaud le vit bien mais il se contenta de les regarder il ne voulait surtout pas perdre une miette de ce qui allait suivre ,ne se laissant pas déstabiliser le Dr Hopkins continua.
"A ce que j'entend certaines personnes ont l'air plutôt sceptique a ce que je viens de dire"
"laisser-moi dont vous présenter notre intelligence artificielle"
c'est alors qu'un milieu de tous les invites sur un miroir de projection holographique, une forme gélatineuse commença à se matérialiser et laissa apparaître une belle jeune fille d'environ 14 ans ,ce fut avec une immense joie et un plaisir indescriptible que le professeur Hopkins fit les présentations
"Mesdames et Messieurs j'ai l'honneur de vous présenter"
____________________________TANIT_________________________________
très respectueusement le spectre s'inclina devant tous les invités
Soyez tous les bienvenus à Carthage dit alors Tanit
Devant la foule ébahi le spectre commença à sortir de sa glace sous une forme tridimensionnelle elle commença à déambuler au milieu de tous les invites, un peu partout dans laquelle des projecteurs holographique tridimensionnel a été placé il permettait à l'image de se déplacer parmi la foule
tous le monde fut stupéfait et en particulier deux scientifique vachard qui ne pouvait plus rien ajouter, beaucoup d'invites commencèrent à lui poser des questions Tanit y répondait très aisément et dans toutes les langues.
l'un des invités demanda si on pouvait la toucher
Peut on vous toucher fit l'un des invités
Je ne suis pas réel je n'ai pas d'enveloppes de chair je ne suis qu'une projection isomorphiques dépourvu de consistance fit Tanit.
Du haut de son podium le docteur pouvait contempler avec satisfaction le résultat de sa présentation ainsi que l'effet que Tanit avait sur les invités mais le spectacle se devait de continuer
" the show must gone "
"Mesdames et Messieurs je réclame votre attention ce n'est pas fini"
le public se tourna a nouveau en direction du docteur ,quelle autre surprise allait ont encore leur montrer ?
"maintenant j'aimerais vous présenter avec plaisir l'autre merveille de ce centre , a savoir la personne sans qui tout cela ne serait pas possible, le scientifique en chef du projet Tanit.
A ces mots une femme une blouse blanche les cheveux grisonnants fit son entrée sur scène juste avant de lui céder sa place le Dr Hopkins demanda à la foule de lui faire l'ovation qu'elle mérite.
"Mesdames et Messieurs je vous demande tous d'applaudir comme il se doit....
________________________le docteur Anthea Hopper.__________________
merci à vous lui fit à ce moment la femme placée devant le micro elle commença à faire l'explication de son oeuvre.
"je me présente à vous je suis le docteur Anthea Hopper je suis le créateur du projet Tanit.
" je suis là mieux placer pour vous dire que Tanit pas qu'une intelligence artificielle il s'agit en faite d'un modèle révolutionnaire de contrôle des environnements virtuels.
"A l'avenir la puissance des ordinateurs ne va cesser de croître de façon exponentielle, il ne suffira plus d'avoir des machines très puissantes il faudra encore que celle-ci soit réactive et autonome"
"L'émergence des intelligences artificielles est donc vitale pour l'évolution des prochaines générations d'ordinateur.
"Bien sur la mise en place d'un tel système est long et complexe"
la naissance d'intelligence artificielle comme Tanit n'a été rendu possible que grâce à une nouvelle génération de microprocesseurs
______________________________Les Quadrihoppes______________________________
"cette nouvelle génération de Neuro-microprocesseurs intégrés à la technologie des super calculateurs permettra à ces derniers d'en décupler la puissance"
"un super-calculateur ordinaire pourrait voir sa puissance multipliée par 4 d'où le nom de Quadrihoppes"
"Mais ceci ne constitue pas une nouveauté en soi cela fait des années que cette technologies a été mises au point d'ailleurs nous avons déjà commencé à équiper plusieurs succursales à travers le monde de cette technologie révolutionnaire."
"Tanit très chère pourrais tu nous faire une petite présentation globale."
Oui docteur fit Tanit.
au-dessus des invités une sphère représentant la terre apparut dans les airs, sur cette mappemonde holographique en plusieurs endroits bien distincts. des points rouges firent leurs apparitions, les continents ciblés furent alors encadrés d'une fenêtre qui s'ouvrit pour montrer des lieux bien précis en photos.
"Sur cette photo vous pouvez voir le super-calculateur qui gère les réactions nucléaires de la central russe de kaminski .
Super calculateur donc la puissance de calcul accru gère le contrôle de la fission nucléaire tous le système et parfaitement autonome et l'ordinateur gère a lui seuls les risques et tous les dérapages éventuels."
d'autres sites vers leur firent leur apparition des centrales nucléaires et des laboratoire de recherches pour la plus part des usines automatisées.
"comment on peu le voir sur cette carte pas moins de sept sites à travers le monde ont déjà disposé de cette technologie bien sur ses ordinateurs ne sont que des parties sous adjacentes du projet il sont bien moins puissants que le projet Neo-Carthage."
A l'avenir nous pensons équiper pas moins de 20 autres sites de se genre de dispositifs"
Quand le docteur eut finit son discours, elle dit au public que si celui ci avait des question ,elle y répondrais sans détour , les question fusèrent de partout et le Dr Hopper se dut d'être très sélect et lui fut demandé combien cela allait ils coûte , qui allait bénéficier d'une telle technologie ou encore si le capital de la société allait passer en bourse.
mais dans la foule un homme ce manifesta en particuliers en posant une question plutôt embarrassante.
Homme : Dr Hopper ont pourrait savoir quels sont les risques face à l'attaque dune intelligence artificiel diabolique.
tous le monde se retourna pour observer cet homme qui venait de poser une question pour le moins étrange, le docteur hopper interpella cette homme pour comprendre le sens de sa question.
excusez-moi monsieur mais je n'ai pas compris le sens de votre question fit le docteur
homme : je veux dire qu'elles sont le risque que vos systèmes tombent sous le contrôle d'une intelligence artificielle diabolique
Ce fut presque l'hilarité générale dans la salle à cette question, ou l'on crut d'abord à une blague de la part de cette homme et le docteur répliqua aussitôt.
DR Hopper : excusez-moi Mr mais je ne crois pas que votre question soit très sérieuse
homme : moi au contraire je trouve que cette question est parfaitement sérieuse et d' interet général meme.
le docteur Hopper demanda alors a l'homme de bien vouloir se présente et d'expliquer a tous le monde se que signifiait cette question , de son coté Arnaud reconnu l'homme avec qui il c'était entretenu quelques minutes plutôt
Je m'appelle Pierre Darbois fit l'homme cet instant.
Dr Hopper : et Mr Darbois peut-on savoir sur quoi vous fondez
Mr Darbois : en ma qualité d'ingénieur informatique j' émets des doutes quant à la sécurité de vos puces informatiques.
Et de quel nature son vos doutes demanda le docteur Hopper
Mr Darbois : sa concerne les risque de piratages.
Dr Hopper : alors je peux vous rassuré rein ne peut pirater notre système de puce
Mr Darbois : je n'en suis pas aussi sur que vous
Dr Hopper : vous mettez en doute l efficacité de cette tecnhologie.
Mr Darbois : je fais plus que sa, j'affirme meme quelle est dangereuse
Et sur quoi pouvez vous appuyer un telle affirmation lui lança alors le docteur Hopper
Mr Darbois : vous voulez vraiment le savoir
Dr Hopper : nous serions tous content de l'apprendre.
Mr Darbois : dans se cas la pourriez-vous nous donner quelques explications sur l'incident de Brayton Woods de la société Génitech.
à cet instant le Dr Hopper paru troublé par ce que venait de lui dire cet homme, elle resta quelques secondes sans voix, elle lui répondit alors en bafouillant qu'elle ne savait de quoi il pouvait bien parler.
Vous rester sans voix docteur, moi j'attend fit Mr Darbois
Si je savais de quoi vous parliez je répondrais volontiers lui fit le docteur Hopper
Mr Darbois : selon des sources-là à société Génitech a fait l'acquisition d'un super-calculateur qui aurait été équipé par l'une de vos Quadrihoppes
"or il se trouve que celle-ci aurait provoqué la panne du super calculateur qui avait la gestion de tout un complexe biochimique, a cause de sa la région a été victime d'un grave incident industriel, des hectares entiers de forêt ont été bruler plusieurs personnes ont perdu la vie dans la destruction du laboratoire dont le professeur Miller en personne"
"par conséquent nous sommes en droit de nous poser des questions si de tel incident ont pu se produire n'est il pas dangereux d'équiper des centres de recherche atomique avec un tel système."
"que pouvez vous répondre a sa ?"
A la fin de son annonce tous les invités alors se tournèrent en direction du docteur Hopper celle ci paru particulièrement troubler par ce que cet homme venait de révélé voyant que Anthea était dans le la difficulté le docteur Hopkins intervint pour se défendre d'une telle accusation.
Dr Hopkins : je ne sais pas où vous tirez-vous sur ce monsieur Darbois mais sachez que Génitech n'a jamais fait partis de nos client.
Mr Darbois : vous pouvez nous le prouver.
Dr Hopkins : bien sur sachez que j'ai rencontré le professeur Miller en personne il y a deux ans et a l'époque j'ai refusé de lui vendre un super-calculateur à cause de l'usage auquel il le destinait.
Mr Darbois : voilà qui étonnant de votre part que vous refusiez un contrat de 50 millions de livres Sterling.
Dr Hopkins : apprenez Mr Darbois que j'ai fondé Cyclotron sur une éthique scientifique selon laquelle la science doit servir le bien être l'humanité et non asservir celle ci
Mr Darbois : éthique est un beau mot qui fait bien à utiliser devant la presse mais devant des clients je doute fort que vous en usiez souvent
Dr Hopkins : comment pouvez vous dire une chose pareil
Mr Darbois : pensez vous que je dois vous croire sur paroles.
Dr Hopkins : je peux vous assurer que nous ne ferons jamais rien qui soit contraires à l éthique de l'entreprise et sachez tous que des sociétés comme Génitech qui se livre à des expériences sur le génome humain ne bénéficieront jamais d'un soutien de ma part.
Mr Darbois : cela n'empêche que le problème reste inchangé vous refusé peut-être de vendre des ordinateurs a des entreprises dans les agissements sont douteux mais vous n'avez pas répondues à mes questions sur la sécurité de votre système.
Dr Hopkins : se système et fiable a 100% vous ete bien le seul a en douter
Mr Darbois : je ne suis pas le seul à le penser la personne qui m'accompagne pense également moi
Dr Hopkins : vous parlez de la jeune femme rousse qui est a coté de vous.
je m'appelle Marie Skłodowski et je suis tout à fait d'accord avec mon partenaire
de tels systèmes présentes des dangers incommensurables, il est irresponsables de votre part d'équiper avec des installations aussi sensibles que des centrales nucléaires.
ce fut la consternation général dans la salle qui pouvaient bien être ces deux personnes pour ainsi osez mettre en doute plus de 20 ans de recherche informatique sur la seule base d'un incident isolé, ce que d ailleurs le docteur Hopkins ne se priva pas de faire remarquer
Dr Hopkins : vous ete bien les seuls voix qui soit dissonante à ce projet
ils ne sont pas les seules fit alors une voix venant des coulisses
tous le monde se tourna alors en directions de l'estrade, c'est alors qu'un homme apparut sur le podium, son entrée n'était pourtant prévue que vers la fin de la démonstration les docteurs Hopkins et Hopper furent surpris de son intervention,l'homme se presenta alors a la foule
"Mesdames et Messieurs je me présente sur le Dr Sigmund Kessel"
"m'a renommé n'étant pas à faire j'affirme publiquement que le projet de Neo-Carthage est un danger pour l'humanité"
Anthea et Henry n'en revenait pas comment leur amis de longue date pouvait-il leur faire un coup pareil.
Dans la salle ce fut la stupéfaction générale personne ne s' attendait à un tel retournement de situation à cause de sa déclaration le docteur Kessel venait de mettre publiquement dans l'embarras la sociéte Cyclotron et tout le projet Neo-Carthage.
Chapitre 11 Replika
Laboratoire 15 août 2005
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Aujourd'hui nous sommes le 15 août.
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En temps normal c'est un jour férié, un jour ou je pourrais me reposer.
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Mais je ne le peux pas.
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Dans 4 jours cela fera deux mois que Aelita a été enlevé.
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Deux mois... une éternité pour quelqu'un de captif.
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Je ne peux vraiment pas me permettre de perdre mon temps, ne serais-je qu'un jour.
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Si je devais apprendre que Aelita n'as pus être sauvé a cause d'un jour, c'est sur je ne me le pardonnerai jamais.
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Alors je travaille d'arrache pied, je bosse dur, je fais tout ce qu'il faudra pour la retrouver.
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Mais c'est pas facile de tenir le coup aussi longtemps.
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je fatigue
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Pas plus tard qu'hier j'ai reçu un appel de Odd en personne sur mon téléphone.
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j'avais pourtant débrancher mon portable.
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ça c'est un coup de yumi ,
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Elle a dut me le rallumer en douce.
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Ne pouvant pas lui raccrocher au nez je pris le temps de lui parler.
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Pour lui dire quoi ?
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Pas un seul moment nous n'avons évoqué nos vacances.
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Enfin lui il as des vacances au soleil alors que moi je suis cloîtré dans un laboratoire sombre a faire des expériences tordues.
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Il est bien conscient de ma situation et de tous les sacrifices que je fais.
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il m'as dit regretter de ne pouvoir être plus utile pour le moment.
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Malgres ça il m'encourage.
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Il me dit de tenir bon et de garder espoir car la rentrée approche.
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"nous pourrons vous aidez à ce moment-là " m'as il dit au téléphone.
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Nous aider moi et Aelita
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seulement il nous faut encore patienter.
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la rentrée je ne pensais pas qu'on y serait déjà ...
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Pourtant c'est vrai, dans un peu plus de 15 jours ce sera la rentrée scolaire.
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Nouvelle péripétie en perspective.
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École - Lyoko - dodo
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A part que cette fois ci se sera différend
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Notre objectif principal a changer
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Retrouver et sauver Aelita est notre seule but désormais.
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Heureusement que nous n'avons plus de tour a désactiver
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Sinon je ne vois se que nous pourrions faire sans Aelita
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sur un plan plus général cette année nous avons tous réussis à passer en seconde. et Yumi en première
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Ulrich et Odd ont fait beaucoup d'effort de leur coté pour remonter leur moyenne
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c'est grâce a ça qu'il sont devenu lycéens.
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Espérons seulement que nous ne seront pas dans la meme classe cette année.
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dans le cas contraire Je ferais tous pour que nous soyons séparé.
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Sa peut paraître idiot quand de telle circonstance que je souhaite ceci mais...
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... j'ai mes raisons.
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Si nous sommes dans la même classe, ce sera tous sauf une année de plus comme les autres.
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certaine choses on changer entre nous
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Il y a eu ma trahison et le reste...
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Mais que cela ne nous empêche pas de mener a bien notre mission.
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Comment je peux dire ça et me regarder encore dans un miroir
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des fois je me dégoute moi meme.
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Pourvu que tous Me et Se pardonnerons. Mes /Leurs fautes.
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j'espère sincèrement que nous allons retrouver Aelita.
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c'est pour cela que je prépare tous ce qu'il faut.
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Bien sur le projet T et le projet Magellan nous serons d'une grande aide dans cette aventure.
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Si l'un et finis ce n'est pas le cas de l'autre.
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A l'heure actuelle le projet T est encore un sacré casse tête a résoudre.
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En théorie et en simulation sa marche.
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Mais en pratique c'est une autre histoire.
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Il me reste encore améliorer toutes les extensions du super calculateur pour justement juguler la puissance au moment de l'activation du programme.
(petite annexe)
Ma théorie était juste, pour réussir à conserver la cohésion moléculaire lors de l'explosion il fallait bien que je renforce l'intégrité structurelle magnétique de l'enveloppe externe de l'avatar,
Et pour le moment mes simulations montre que sa tiens bon, meme si cela a tendance a déformer le tous.
Autant dire que ça donne un aspect assez particulier à son utilisateur.
Mais au moins celui-ci conserve son aspect humain tout en disposant d'une puissance énergétique considérable.
( fin de l'annexe )
Le projet T
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notre dernier espoir
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j'ai bien conscience que j'ai entre les mains un pouvoir considérable.
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avec une telle puissance tous deviens possible dans le monde Lyoko
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Bien sur toutes cette puissance sera utiliser pour une bonne cause.
________________________SAUVER AELITA_________________________
il ne faudrait pas surtout pas quel tombe entre les mains de quelqu'un de mal attentionné
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Sa serais une catastrophe a l'échelle planétaire si un être démoniaque s'emparait d'un telle pouvoir
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Je pense notamment a Xana.
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Je commence a me demander si il ne serais pas responsable de ce coup la.
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sa peux paraître fou alors que nous sommes sensées l'avoir détruit .
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et si il avait survécu ?
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après tous on as jamais su ce qu'il faisait avec les autres réplikas
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et si meme il les a tous utiliser.
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il aurait très bien put trouver refuge dans un super calculateur isolée du réseau.
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a moins que quelqu'un l'ai sauver
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Mais qui serais assez fou pour vouloir préserver un telle danger.
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Sa ne reste qu'une spéculation mais vaut mieux ne rein exclure.
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Qui c'est Xana est peut être définitivement mort est enterré
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tous de fois le doute subsistera toujours
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Pourquoi j'emet cette supposition maintenant ....?
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Ce n'est pas seulement du au faite que Aelita a disparu.
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c'est surtout a cause de la récente activité que j'ai découvert sur le réseau.
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En traçant le signal du kidnappeur de AELITA j'ai détecter des sortes d échos qui provenait du fin fond de la mer numérique.
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Il y a la bas une activité étrange qui provoque de légère perturbation.
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Et pas de doute a avoir sa vient des abysses.
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En Admettant que Xana n'y soit pour rein il n'empêche que quelque chose est responsable de tous ça.
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Ceux ou celle qui se cache derrière cette sphère grise en sont peut être a l'origine
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mais sa reste a prouver
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Une chose est sure ils ont maintenant la vie de Aelita entre leurs mains.
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Ou que se trouve Aelita j'espère qu'elle va bien.
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Si ceux qui l'ont enlevé ne savent pas ce que c'est, il serait bien capable de pratiquer des expériences sur elle.
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Et allez savoir ce qu'il peuvent lui faire en pensant qu'il ne s'agit que d'un simple programme.
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Car sous une forme virtuelle nous ne sommes rein de plus qu'une suite de données informatique.
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j'espère qu'ils ne l'ont pas effacé ou pire encore..........
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Sa serais trop horrible.
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Ne perdons pas espoir continuons quoi qu'il arrive.
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois huitième partie.-----------------------------
Au bout d'une semaine de travail, nous avons réussi a recréer le monde Lyoko grâce aux données fournit par Franz Hopper ,mais beaucoup de choses restaient encore à faire.
tous les autres territoires restait a recréer cela devrait me prendre encore deux jour pour le faire
A un moment nous nous sommes fait leurrer par le prétendu retour de William, visiblement les objectifs de Xana avait changer son but était d'envoyer Aelita dans la mer numérique pour une raison que nous ignorions encore.
Même si William était sous le contrôle de Xana nous savions au moins qu'il était vivant .
Pour lutter contre se nouvelle ennemis j'ai améliorer les équipement de mes amis
ils étaient pourvu de nouvelle tenue de combat plus résistante au coup et aux impacts des laser
certes ils étaient toujours vulnérable a la dévirtualisation mais c'était déjà un plus.
Pour sauver William et détruire Xana, moi et Aelita nous sommes mit à la conception d'un sous-marin virtuel.
Grâce à lui que nous serions en mesure de traquer Xana où qu'ils soient dans le réseau.
Sa mise en chantier a donner suite a bien des péripéties et sur le fond il avait une forme assez atypique.
Il ressemblait une sorte de pince surmonté d'un long dard amovible équipe de mini navette.
il était prévu que Aelita serais au commande de ce vaisseau tandis que Odd Ulrich Yumi serait répartis dans 3 des 4 mini sous marins
Nous avions également prévus une quatrième navette dans le but de ramener William ou Franz Hopper, dans les deux cas nous avions prévu la présence d'un quatrième et hypothétique passager.
Pour ce qui fut de lui donner un nom les propositions ne manquèrent pas
Nautilus - Mélanie - Sous-marin ?!
Se fut Aelita qui lui trouva le nom le plus approprier, en se rappelant les histoires que lui contait son père autrefois ,elle donna a notre navire le noms d'un vaisseau vicking légendaire capable de voyager sur l'eau et dans les air, notre sous marin fut donc baptiser.
____________________________SKIDBLADNIR______________________________
Bien entendu Xana a tout fait pour nous empêcher de concevoir notre sous-marin, il a envoyé tour à tour William et la méduse vous pour essayer de détruire le skid ( diminutif de Skidbldanir trouver par Odd)
Mais comme toutes ces attaques celui ci furent sans succès nous avons toujours réussi à l'empêcher et au bout de 2 semaines nous pouvions nous lancer à l'assaut du réseau.
Notre sous marin était stationner dans une partie spéciale du cinquième territoire une sorte de quai d'embarquement que Odd a affectueusement appelé "Garage Skid" ( on se demande ou Odd va chercher des âneries pareille)
Les autres étaient impatient d'explorer le réseau, moi par contre j'étais encore assez réticent, il faut dire que nous ne savions pas dans quel environnement nous allions évolué ni même si le sous-marin n'allait pas explosé dès son premier contact avec la mer numérique.
Je réussis à m'en convaincre et la récompense fut à la hauteur des effort fournit des la première plongée se fut un succès.
Qui se serait douter une seule seconde que le réseau était un océan numérique (sous une représentation virtuelle bien sûre)
Mais c'était un incroyable spectacle a voir selon mes amis,au travers de ma fenêtre visuel j'avais droit a une sacrée vue en relief, personnellement j'aurais jamais imaginé que cela était possible.
Le réseau était un monde à part entière où foisonnait une vie virtuelle
Il était constituer d'un abysse sans fond et n'avait pas de surface a proprement parler il s'agissait d'un ensemble de banque de données se perdant a l'infinie, ce monde donnait l' impressions d'une ville construite a l'envers le tous baignant dans une lumière bleutée.
On peut comprendre que Xana se soit donner autant de mal pour s'emparer des clés de Lyoko afin de vouloir s'y propager.
Mais Xana savait jouer de son influence dans ce nouveaux monde si celui-ci était bleuté en temps normal des que Xana s'y manifestait à celui-ci passait au rouge et de nombreuses nouvelles créatures appelé Kongres et Rekin nous barraient souvent le chemin.
Le Skidbldanir avait de quoi se défendre (bouclier & torpilles) et pour les combat au corp a corp les navettes ( appelé navskid) étaient détachables, nous eumes bien des combats à livrer en sous-marins contre cette faune hostiles.
Le hasard voulu qu'au cours d'une expérimentation nous découvrimes une énorme sphère métallique flottant au milieu de l'océan numérique par la suite je compris de quoi il s'agissait.
Un peu partout dans le monde Xana avait créé des répliques de Lyoko, des mondes virtuel que nous avons nommé réplika et derrière lequel se cachait évidement un super-calculateur.
Chacun des réplika que nous avons découvert étaient la reproduction exacte d'un territoire spécifique de Lyoko.
Carthage , Foret, Désert, Banquise, Montagne. aucun n'avaient été oublier
( note annexe)
Au cours d'une autre mission nous avons découvert une réplique du territoire montagne mais ce dernier semblait présenter un défaut puisque qu'il c'est auto détruit de lui-même.
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Au moins celui la nous n'avons pas eut a nous casser la tête pour le détruire, ce qui se révéla fort intéressant
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A première vu Xana n'était pas en mesure de contrôler n'importe quel ordinateur, seul des machines bien spécifiques étaient susceptibles d accueillir un monde virtuel, le réplika du territoire montagne en était un bonne exemple.
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L'ordinateur qui avait servi pour abriter ce réplika était celui d'un laboratoire de physique en Suisse , après quelques recherches j'ai découverts que celui-ci n'était pas un ordinateur quantique mais juste un super-calculateur amélioré par des étudiants.
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Ce qui explique l'imperfection de celui ci ( a ces amateurs je vous jure)
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Cela nous a donné une précieuse indications ,si Xana ne pouvait pas investir un super calculateur sans risque de le faire exploser alors son hégémonie était forcement limités ainsi que sont nombres de réplikas.
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restait a savoir combien il pouvait y en avoir a travers le monde.
( fin de l'annexe)
De lors le constat était évident plus nous en détruirons de réplikas plus nous affaiblission Xana,nous partîmes alors en croisade contre tous les réplikas. derrière chaque super-calculateur se cachait également un laboratoire secret ou Xana travaillait a la conception d'armes, la finalité de chacune des chaînes d assemblage nous la découvrimes en sibérie dans un laboratoire souterrains.
Xana avait conçu une armée de robot avec lesquels il projetais sûrement de conquérir le monde.
(annexe n°2)
Les laboratoires visiter était vide de toutes présence humaine.
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Ou pouvait être passer le personnel ? ou du moins qu'est ce que Xana en avait fait.
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A ce jour nous ne le savons pas, bien que la petite expédition en Sibérie mais laisser entrevoir une explication.
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Et si se que je suppose est vraie alors la réponse est sordide,et je préfère ne pas en parler.
(fin de l'annexe)
Nous avons quand meme fini par découvrir quelle était la vraie raison qui poussait Xana à vouloir enlever Aelita pour la jeter dans la mer numérique, en faisant ça il obligeait son père a venir la sauver.
Franz Hopper était devenu une sorte de sphère d'énergie capable de se mouvoir dans le réseau sans que Xana puisse la détecter.
Pour le détruire il devait le faire sortir de sa protection liquide et l'anéantir de façons classique en le dévirtualisant pour de bon, celui ci n'ayant plus de corp c'était la mort assuré.
Au début des vacances de noël il avait attiré Aelita dans un traquenard pour détruire Franz Hopper, bien sur il échoua.
Temps que Franz Hopper serait vivant il constituerait une menace pour Xana.
Et les craintes de Xana était justifier car en secret Franz Hopper préparait un moyen de le détruire.
############################ FLASHBACK ############################
En cette vielle de fête de noël Xana venait de tendre un piège a Aelita pour la jeter dans la mer numérique par chance Xana avait encore échoué grâce a une interventions de ces amis et du père de Aelita.
Réunis dans la chambre de Aelita il firent le bilan de la situation et sur les dessein de Xana, il apparaissait évident que Franz Hopper était une menace pour Xana.
Mais ce satané virus n'abandonnerait pas tant que Aelita ne serait pas tombée entre ses griffes et que Franz Hopper soit détruit.
Jeremie : au moins maintenant nous savons pourquoi Xana essaye de te jeter dans la mer numérique
Aelita : pour attirer mon père dans un piège et le détruire.
Jeremie : mais nous serons le stopper
Yumi : a nous d'être plus prudent a l'avenir.
Aelita : vous avez raison il ne doit pas réussir a tuer mon père.
bien dit Aelita fit Jeremie.
tous le monde avait retrouver le sourire et cette aventure ne fut plus qu'un mauvais souvenir, pour détendre un peu plus l'atmosphère Odd fit le pitre comme a son habitude
C'est pas tous ça mais j'ai quelque chose pour vous fit Odd a ces amis.
En ouvrant son sac Odd se mit a jouer au père noël avant l'heure il distribua une série de cadeau a chacun de ces amis, devant le coté farfelu de certain présent yumi et Ulrich évoquèrent la tradition japonaise qui consiste a ne pas ouvrir ces cadeaux en présence de celui qui vous la offert, l'excuse était toute trouver.
Après que Odd eusse offert a tous ces "cadeaux" Jeremie proposa a Aelita de venir passer les fête de noël chez lui, Aelita fut surprise de cette invitation, Jeremie lui dit que cela ne dérangerait pas ces parents et que meme si leur maison était toute petite il lui laisserai sa chambre tandis que lui irait dormir sur le canapé du salon.
tu sais Jeremie dit alors Aelita envelopper dans une écharpe rose
Jeremie : oui
Aelita : quand mon père et venu me sauver j'ai sentis sa présence autour de moi un peu comme si il me serait dans ces bras
Jeremie : je suis près a parier que lui aussi a ressentis la meme chose a ton contact
Cela pouvait paraître surréaliste mais sous une forme énergétique Franz Hopper pouvait communiquer avec sa fille d'une façons particulière,cette expérience Aelita l'avait déjà vécu le jour ou Xana lui avait voler sa mémoire, en lui redonnant la vie son père lui avait aussi rendu une partie de ces souvenirs et lui avait offert une façons de communiquer entre eux.
Jeremie : je te promet qu'un jour je trouverai le moyen de ramener ton père parmi nous.
puisses-tu dire vrai. fit Aelita qui regardait toujour en dehors.
Mais l'heure tournait et chacun se devait de partir pour passer les fête en famille
Bon c'est pas tous ça les amis mais il est temps d'y aller fit Odd.
Ulrich : m'en parle pas mes parents vont me tuer il doivent encore être dans la voiture coincé dans les embouteillages, il vont être d'humeur massacrante, surtout mon père.
mon vieux je t'envie fit Odd
Ulrich : et pourquoi
Odd : toi tu as juste tes parents a supporter pour moi sa va être les pires vacances de noël de ma vie
Ulrich comment ça les pires ?
Odd : Cette année toutes mes soeur seront présent a la maison, sur quelle vont pas me rater.
Ulrich : c'est vrai que la sa va être galère pour toi
Odd : dis Einstein il resterait pas une petite place pour moi chez toi
Désolé Odd mais l'hôtel Belpois affiche complet fit le génie a cette instant
Odd : et toi yumi tu pourrais pas m'accordé le statut de réfugier politique.
yumi : pardon Odd mais mes parents ne verrait pas d'un bonne oeil que je ramène un garçon chez nous pour les fêtes
Odd : vraiment
Yumi : il sont très méfiant sur mes fréquentation.
Alors je me demande comment tu feras le jour ou tu ramènera Ulrich a la maison fit Odd.
Ulrich : oh eh
Yumi : eh oh
C'est alors que les deux intéressé se regardèrent en rougissant, la petite taquinerie de Odd avait fait sont effet mais le problème de ce dernier semblais irrésolvable, et ces amis ne semblaient pas disposer a l'aider.
Merci les gars sa fait plaisir de voir que l'on compter sur les amis fit Odd
Jeremie : sa doit pas être si terrible que ça
Odd : pas si terrible on voit bien que tu ne connais pas mes soeur
yumi : moi j'ai un petit frère qui est énervant mais c'est supportable.
Odd : parce que c'est toi la grande soeur , a coté de se qui m'attend combattre Xana et William c'est un parcours de santé.
Jeremie : tu n'exagère pas un peu la
Odd : tu veux échanger pour voir
Jeremie : sans façons.
le pauvre Odd devait se faire une raison, il n'y couperait pas, et dieux sait ce que ces adorables grandes soeurs allait lui réserver cette année, si Odd se lamentait sur son sort Aelita elle demanda encore a Jeremie si il n'y a avait aucun problème a ce qu'elle vienne passer les fêtes chez lui.
Aelita : alors vraiment sa ne te dérange pas que je vienne pour les fêtes
Jeremie : je l'ai déjà proposer a mon père et il a avertis ma mère, ils seront ravis de t' accueillir chez nous .
Aelita : merci Jeremie
Aelita se jeta au coup du jeune blondinet dont les joues devinrent aussi rose que les cheveux de son amie le tous sous le regard amuser de ces amis, après cette touchante scène tous partirent avec le sourire.
Devant la grille du lycée le père de Jeremie attendais les deux adolescent pour les emmener a la maison.
Le noël qui se préparait allait être un des plus beau de toute leur vie.
chapitre 11 une journée au musée.
"Mesdames et Messieurs vous avez devant vous le tyrannosaurus rex"
Devant les yeux ébahi de la foule l'imposant squelette d'un tyrannosaure rex était exposé, La gueule grande ouverte il dominait tous le monde et semblais prêt a faire entendre son rugissement dans toute la salle paléontologique du musée de Madison.
Chacun pouvait observer sous les moindres contour les restes du terrible monstre qui faisait autrefois régner la terreur dans les jungles tropical et dernièrement sur les écran de cinéma.
Le guide faisait la présentation détaillé de ce fabuleux animal devant les enfants avide de sensation forte et leurs maîtresses ainsi qu'au curieux occasionnel et autres retraité qui fréquentait l'endroit.
"Ce dinosaure est considéré comme étant l'un des plus grands prédateurs de l'histoire"
"La carcasse reconstituer nous laisser librement imaginer toute la puissance que pouvait avoir cette animal ces impressionnante mâchoires en sont la preuve"
"Bien que de toutes récentes études tendraient à prouver qu'il était plutôt de la famille des charognards que celle des grands prédateurs"
"ces pattes avant n'étant pas vraiment utile lors d'un combat et d'une mise a mort de sa proie"
" Il n'empêche que dans l'imaginaire collectif il reste ancré comme étant un monstre sacré de la préhistoire "
"Le roi des dinosaures" voila comment il a été appelée autrefois par les premiers paléontologues qui l'avait découvert."
"Mais aujourd'hui ce grand et terrible carnassier de l'ère du jurasique fait bien pale figure a voir"
"Si vous avez des questions a me poser allez-y"
Une foule de doigt se levèrent parmi les jeunes enfants qui avaient sûrement milles questions a poser, le guide se dut d'en choisir une pour ne pas être submerger par le flot de questions
Vous mademoiselle dit le guide en désignant une jeune fille vêtu de bleu et blanc.
De quelle couleur était les dinosaures demandât alors la jeune fille.
C'est une bonne question fit le guide à ce moment-lÃ
Le guide pris le temps de répondre a cette délicate question qui lui était mainte fois poser
"A vrai dire nous n'en savons rien pour le moment tous n'est que sujets a spéculations"
"mais nous pouvons supposer que la couleur de leur épiderme était adapté à leurs environnements pour y survivre, elles devaient peut être tiré sur le gris ou sur l'orange voir le vert en certaine circonstance"
Le guide pouvait difficilement affirmé ce qu'elle disait car comme il ne restait que des os, pour répondre il fallait se baser sur les théories de l évolution de Darwin et sur les récente travaux scientifiques pour donner une réponse assez satisfaisante.
Et pourquoi pas le rose fit un badaud a se moment.
Ce fut alors l étonnement général devant cette question pour le moins atypique, était-ce la présence de la jeune fille au cheveux rose et a la tenue noire trés "emotional Hardcore" qui se trouvait a coté de lui qui pouvait l avoir inspiré une telle question ou était ce a cause du faite que cette homme semblait un peu ivre.
C'est vrai quoi les éléphants sont bien rose alors pourquoi pas les dino... ? fit il alors.
C'est ma foi une théorie qui en vaut une autre dit alors le guide qui ne voulait pas vexer cette homme.
Si cela eut pour effet d'amuser la galerie cette réflexion déplus a Maeva qui n'aimait pas voir sa question tourner au ridicule.
En ce bel après-midi de septembre Maeva avait décider de visiter le musée national de Madison pour ce détendre un peu de sa thérapie du matin.
c'est sans rechigner que le docteur l'avait conduit dans ce "temple du souvenir" comme Maeva l'avait ainsi nommer.
Elle se plaisait énormément a parcourir les grands hall qui composaient l'impressionnant musée, le sentiment d'espace et de liberté qui se dégageait de ce lieu était une sensation unique, Maeva courait de droite a gauche et semblait inépuisable au grand dan du docteur qui commençait a fatiguer, Maeva était comme survolter a la vue de tous ces objets et de toutes choses qu'elle pouvait voir.
Elle passait d'une pièce a l'autre sans perdre une miette de ce quelle voyait, volant de tableau en statue sa curiosité était aussi insatiable que son grand appétit.
elle arriva dans la nef principal surmonté d'un grand dôme en verre ou un vieux biplan datant de la première guerre mondiale.était suspendu.
Tableaux de maître, vielles machines , fossiles et squelettes, tous ces vestiges appartenaient à une époque bien précise.
Parcourant les pièces et les époques Maeva était aux anges sans cesse elle pressait le docteur a accélérer le pas,ce dernier avait beaucoup de mal a la suivre tant la jeune fille semblait s' amuser a naviguer de vitrines en vitrines.
C'est avec curiosité et un meme un peu de tristesse que Maeva contemplais les diffèrent artefact exposés,car il ne fallait pas se tromper sur ses intentions Maeva cherchais quelque chose dans ce lieu.
Elle voulait trouver un sens a tous cela.
Pour certaines personnes tous ces objets n'étaient que des vieilleries bonne a jeter alors que pour d'autres elle appartenait aux patrimoine de l'humanité et était d'une valeur inestimable,un point sur lequel Maeva était d'accord mais sont interprétation différait quelque peu.
A la vue de ces objets Maeva y attachais un sens particulier, pour elle ces "fragments d'histoire" avaient connu en leur temps la splendeur bien qu'ils est appartenu a des époques et des âges aujourd'hui révolu.
Ils étaient tous se qui restaient d'un passé disparu de la mémoire des hommes, ces témoins des âges étaient réduits à l'état de morceaux qui dépérissent lentement mais qui semblait vouloir vivre pour l'éternité temps que des gens serait la pour se rappeler qu'un jour ils avaient exister.
Alors que Maeva c'était arrêter pour regarder une collection de vielles pièce datant de la rome antique elle fut rejointe par le docteur qui put enfin reprendre son souffle
Maeva : vous allez bien docteur vous êtes tous rouge
Dr : c'est que j'essaie de te suivre mais je n'y arrive pas, tu est infatigable ou quoi
Maeva : non je suis curieuse de tous et forcement sa me galvanise d'être ici
Dr : forcement.
Maeva : je peux ralentir la cadence si vous voulez.
Dr : s'il te plais sa m'arrangerait je suis pas comme toi
Maeva : pourtant vous aussi vous êtes jeune
Dr : mais je ne suis pas tellement sportif
Maeva : vous n'avez jamais penser a faire du sport
Dr : sache que dans ma prime jeunesse j'ai fait du triathlon
Maeva : vraiment
Dr : une fois seulement pour être honnête.
Maeva : pourquoi vous avez arrêter
Dr : j'ai faillis me noyer au bout d'un kilomètre de nage
Maeva : dans se cas je comprend
Dr : dont tu vois mon seul sport consiste a lire des livres.
Maeva : docteur.
Dr : oui.
j'ai faim fit Maeva.
Le docteur ne fut nullement surpris de se que Maeva venait de lui dire, a force de déambuler comme ça de pièce en pièce il avait de quoi avoir les crocs, et par nature Maeva avait un solide appétits.
Maeva : c'est que sa creuse de courir comme ça
Dr : et que veux manger
Maeva : 3 cheese-burger, une grande frite, un maxi soda et une glace vanille aux noix de pecans
Sa sera tous fit le docteur
Maeva : oui sa devrait me caler jusqu'Ã 16 heures
Dr : toi tu m'impressionne tu mange comme quatre et tu prend pas un gramme comment tu fais ?
Maeva : soit doit être génétique, je dois être naturellement mince.
Dr : ça doit être ça car quoi que tu avale tu reste toujours mince.
Maeva : je suis très svelte comme fille.
Dr : on peut dire que tu as une taille de guêpe a en faire pâlir d'envie certains mannequins
et meme Sissi ajouta Maeva
...... Sissi ?!.....
Dr : qui est Sissi ?
je sais pas dis alors Maeva.
Dr : c'est le noms d'un top model
Maeva : peu être....
Dr : ou as tu été pécher un noms pareil?
Maeva : je l'ignore.
Dr : tu dois bien le savoir
Maeva : c'est un noms qui m'est venu comme ça
Le visage du docteur s illumina de joie, il semblais que la mémoire de Maeva se débloquait et que certains noms au événement sortais sans quelle s'en rendre compte sous l'effet d'une comparaison ou d'un souvenir.
Dr : si se trouve c'est le noms que quelqu'un que tu connais.
Maeva : vous croyez
Dr : qui sait cette Sissi est peut être une connaissance, une amie ou une proche parente
c'est possible fit Maeva.
Pour le docteur tous cela n'augurait que de bon présage pour la suite de la thérapie ,ce genre de situation n'etait pas inédite, c'était déjà arrivé une fois a l'hospital avec Mr Xana sa peluche favorite.
Est voila qu'un nouveau noms venait de faire son apparition, il faudra savoir plus tard en thérapie qui est cette Sissi.
Mais ne voulant pas brusquer Maeva par des question trop pointue le docteur ne lui demanda rien et préféra changer de sujet.
On verra sa plus tard fit le docteur
Maeva : comme vous voulez docteur
Dr : sinon comment trouve tu cet endroit Maeva.
Maeva : je le trouve magnifique docteur
Dr : content de voir que cela te plaît
Maeva : vous ne pouviez pas me faire plus plaisir
Dr : je crois que aucun autre endroit n'aurait pu te convenir
Si la bibliothèque municipal fit Maeva
évidemment fit le docteur un peu blasée par cette évidence.
Maeva : toutefois j'aurais une chose a vous demandez docteur
Dr : quoi donc.
Maeva : eh bien je me demandais, tous ces objets exposé appartiennent à différentes époques n'est-ce pas.
Dr : oui en effet on peut trouver ici des objet appartenant aussi bien a l'air contemporaine qui en cotoye d'autres qui ont plusieurs millions d'années, pourquoi cette question ?
Maeva : et bien voila c'est parceque je leur trouve une certaine familiarité avec moi
Dr : tiens donc et laquelle ?
Maeva : ces objets sont unique si chacun d'eux pouvaient raconter son histoire ils auraient sûrement des choses à dire
Dr : c'est vrai
Maeva : tous autant qu'ils sont ils ont été témoins d' événement que nous n'avons jamais vécu.
Dr : ou donc on ne garde pas le souvenir, c'est ce que tu veux dire
Maeva : oui et je trouve qu'ils ont bien la chance finalement
Dr : je comprends ce que tu veux dire.
Contrairement à tous ces objets exposés Maeva ne savait rien de son passé, elle devait le recomposé a la manière d'un historien, finalement la quête du souvenir s'apparente assez a une fouille archéologique, a partir de fragment de souvenirs on reconstitue l'histoire ou la mémoire.
Mais comme dans la terre il fallait creuser pour trouver une explication ,une origine à tout ça. Maeva savait que pour aller de l'avant elle devait savoir d'où elle venait.
Maeva : qui suis je ? d'où viens je ? ou vais je? les éternelles questions
Dr : les réponse viendront avec le temps
Maeva : je me prend peut être la tête pour rien.
Dr : au contraire en te posant des questions tu favorite un processus d'auto guérison
Maeva : vous croyez
Dr : notre thérapie repose sur ce concept
Maeva : alors je ne doit pas m'en faire.
Dr : Maeva.
Maeva : oui docteur
Dr : et si nous allions manger
Maeva : je vous suis docteur
Le reste de la journée se passa sans aucun souci, après avoir mangé un hamburger frites dans l'un des restaurant qui se trouvait dans l'enceinte meme du musée Maeva décida de faire un tour dans une salle ou se trouvait une exposition d'art moderne.
Maeva évoluait aux milieu des sculptures crée par des artistes dont elle n'avait jamais entendu parler, sous chacune des oeuvres il y avait un texte qui donnait le noms de la statue et une l'explication de ce que l'artiste a voulu exprimer.
alors qu'elle naviguait parmi les oeuvres les plus biscornu qui soit l'attention de Maeva fut soudainement attirer par une étrange sculptures ,elle se mit devant et commença a la fixer longuement, a la basse de la sculpture il était marquée "racine de nos fondations"
Sur le texte l'artiste expliquait que son oeuvre de 2 mètre de haut était constituer d'une souche arbre a sa base sur laquelle était posé une colonne grecque en pierre plus élaboré elle meme surmonte d'un cylindre fait de verre et d'acier, mais cette haute colonne était inachevée a son somment, pour justifier cette arrête subite une simple phrase résumait la vision de l'artiste.
"le progrès ne doit pas s'arrêter mais aller de l'avant"
Pour Maeva ce cylindre lui évoquait autre chose, curieusement ça lui rappelaient les édifices qu'elle avait maintes et maintes fois vues sur Lyoko.
Ces espèces de tour de couleur ivoire entouré d'un halo rouge dont elle ne comprenait pas la signification.
A quoi pouvait elle bien servir dans le monde de Lyoko ? En reve il lui était souvent arrivé de se voir rentré dans ces tour sans porte s
Pourquoi entrait elle là -dedans ?
Dans quel but ?
Toujours ces questions n'est pas les réponses, Maeva était dévoré par cette insondable soif de savoir , celle de son histoire celle de son passé.
Cette sculpture t'intéresse lui demanda le docteur
Maeva : cette forme...
Dr : et bien quoi
Maeva : cette forme m'est familières
Dr : a quelle point
Maeva : elle ressemble assez au tour que je peut voir sur Lyoko
les fameuses tour du mal fit le docteur
Maeva : oui docteur les fameuses tours
Maeva eut soudain l'envie de toucher la sculpture mais celle ci était derrière une paroi en verre pour empêcher les curieux de l'abimer et bien qui soit interdis de mettre ces mains dessus Maeva voulu poser ces doigts sur la vitrine, mais a peine eut elle effleurer le verre que...
###############################FLASH BACK ###############################
Alors comment ça vas aujourd'hui princesse ?..................................tour désactiver....................................tu ne les vaincra jamais......................................a tous de suite mon trésor ..................................elle réagis bien au traitement........................................tu est un monstre.................................. a tous de suite papa............................................... tant que tu existera tu seras une menace pour moi ................................ou suis je..................................................une attaque a été lancer..........................................tu est douer en musique.............................................va te réfugier dans la tour....................................... moi j'y suis............................................je suis partout..................................................je te hais...........................racine carré de X sur facteur 3......................tu mix super bien...........................c'est comme les mathématiques.........................je voulais te dire......................................les fréquences synaptiques sont stable...................................que dirais tu de Maya.........................................on devrait arrêter cette folie docteur................................................ce soir c'est coucous boulette..........................................j'ai froid.................................alors miss Einstein on as des insomnies........................et moi est ce que j'ai une âme ?..... je ne veux pas mourir........
###########################################################################
Maeva posa sa mains droite contre sa poitrine, elle commença a se plier en deux ne parvenant plus a reprendre son souffle, soudain sa vue se brouilla et elle tomba dans l'inconscience.
Quartier général du MI5 -Angleterre - 26 septembre 2004 - 13 h 44
L'appel sur le portable du colonel provenait du lieutenant Fraggle, celui ci voulait avertir son officier supérieur que leur réunions serait repousser a cause de divers petit problèmes techniques,et que celle ci n'aurait lieu qu'a 15 heures.
Arrivé au quartier général du MI5 le colonel fut immédiatement pris en charge par les hommes de la sécurité qui l'escortèrent jusqu'à la salle de réunions, ou pendant plus d'une heure il dut attendre la venu du lieutenant.
Visiblement il fallait avoir de la patience chez les britanniques, d'habitude ceux ci mettait généralement un point d'honneur a être a l'heure bien que dernièrement cette règle fut mise a mal,a croire que la discipline dans leur armée avait bien changé.
Alors que le colonel finissait de lire les derniers rapport sur les achats de matériel des différents sites touchés par Xana, il releva chaque détails qui pourrait être une piste.
Toutes ces attaques devait forcement avoir un point commun,le colonel restait persuader que l'organisations Xana cherchais a s'emparer de super calculateur ceci dans un but encore inconnu, l'incident de l'université n'avait fait que confirmer ces doutes.
En faisant la synthèse de toutes les informations donc il disposait il finit par recenser pas moins de 8 sites qui furent victimes de se genre d'attaque.
Mise a part les 6 premières attaques les dégâts les plus important avait été enregistrer chez Quantum Conductivity et a l'université
Quel pouvaient être le point commun entre toutes ces attaques ?
Le colonel ne pouvait s' empêcher de repenser a l'accident de l' université, en supposant que Xana cherche bien a prendre le contrôle de super-calculateur il y avait alors un détails qui clochait ,tous les précédent sites avait été détruit a cause de la surcharge lors des attaques, une question lui sembla alors évidente.
Pourquoi la dernière attaque avait réussi et pas les autres ?
Qu'est-ce qui rendait le super-calculateur de l'université si diffèrent des autres ?
Le colonel essaya de trouver une réponse dans les dossier d'assurance et d'achat des diverses société qui était rattaché a ces sites.
Pour le moment le seul lien que le colonel avait pu trouver c'est que la société Cyclotron avait été mentionner par 4 fois pour avoir fournit 2 super calculateur de type N. H. K. 63 et 2 de types N. H. K. 86 a des sociétés de production de matériel électronique.
Ces attaques avait il un lien avec cette société ou était ce juste le fruit du hasard, dans le doute le colonel évita de faire des supposition hâtive sans avoir plus d'éléments concordant
sans oublier que le mystère était entier sur la nature des attaques ,malgres ce que pouvait en dire le major, le colonel savait bien ce qu'il avait vu, meme si cela pouvait paraître fou que des gens soit capable par le biais d'un programme de prendre le contrôle d'autre personne a distance.
Et ce mystérieux environnement qui était apparu sur la machine a quoi pouvait il bien servir ?
Facilitait il la prise de contrôle du super calculateur ? ou était il la manifestation meme de la prise de contrôle ?
Mais les questions devrait attendre a cet instant le lieutenant Fraggle rentra dans la pièce, ce dernier avait les bras chargé de dossier qu'il posa aussitôt sur la table
le soldat se tordit le corp en arrière pour se remette les vertèbres en place, transporter de lourde charge n'est jamais bon pour le dos.
Il se tourna vers le colonel qui c'était lever pour le saluer mais le lieutenant semblait un peu éméchée d'ailleurs le colonel ne manqua pas de remarquer que l'accueil n'était pas spécialement chaleureux.
Que se passe-t-il lieutenant Fraggle vous avez l'air un peu tendu demanda le colonel
L.Fraggle : c'est le moins que l'on puisse dire mon colonel
C.Perec : c'est a dire ?
L.Fraggle : Il se trouve colonel que je voulais vous voir
C.Perec : et à quel sujet
à cet instant le lieutenant Fraggle sorti de son attaché caisse une petite note qu'il présenta au colonel, il en fit la lecture mais ne vit qu'une succession de chiffre dans des colonnes.
C.Perec : je peux savoir de quoi il s'agit.
L.Fraggle : simplement la facture de ce que va nous coûter votre petite intervention à l'université.
Le colonel cru qu'il allait s'étouffer en voyant la somme dans la case marqué Total, le chiffre inscrit était assez exorbitant, le colonel cru bon de faire de l'humour a se moment
Ah oui tiens j'avais oublié ce détail fit le colonel
L.Fraggle : est bien pas moi.....
__________________________20 millions de livres Sterling_________________________
L.Fraggle : 20 millions de livres Sterling voilà ce que ça va nous coûter votre séjour a l' université.
C.Perec : en effet la note est plutôt salée.
L.Fraggle : plutôt salée ?!! 20 millions de livres Sterling vous vous rendez pas compte de ce que c'est .....
C.Perec :.... c'est une sacrée somme
une sacrée somme c'est tous se que vous trouvez a dire mon colonel s'offusqua presque le lieutenant Fraggle.
C.Perec : que voulez vous que je vous dise de plus
L.Fraggle : je sais pas .... que vous pourriez être désole par exemple.
C.Perec : désole mais ce sont de petit imprévu.
L.Fraggle : "petit imprévu" ?!!.... colonel je vous rappelle que je suis quand même l'officier chargé de la logistique de cette mission et par définition c'est moi aussi qui suis obligé de régler les frais de tous les dégâts que vous seriez susceptible d'occasionner durant votre mission sur le territoire britannique, je dois justifier chaque Pence que l'on dépense
C.Perec : je comprend pas vous n'avez pas des assurances dans votre armée.
L.Fraggle : Si.... mais c'est pas une raison pour faire n'importe quoi.
C.Perec : bon sang vous savez bien qu'une guerre ou une mission sa génère des frais dans tous les cas.
L.Fraggle : si on peu éviter de faire des dégât on le fait.
C.Perec : c'est facile a dire ça on voit bien que vous étiez pas sur le terrain.
L.Fraggle : oui mais dans le cas contraire j'aurais éviter d occasionner autant de dégât.
C.Perec : j'aurais bien voulu voir ça.
L.Fraggle : je pense finance et budget dans une opération
C.Perec : pourtant vous avez de l'argent dans votre armée pour faire vos connerie en Irak
L.Fraggle : mais la il s'agit d'opération militaire de haute importance.
C.Perec : et que nous on essaie de sauver votre pays sa compte pas peut etre, donc sa coûte ce que sa coûte
L.Fraggle : mais c'est pas raison pour jeter l'argent par les fenêtres,vous allez voir je vais envoyer la facture votre état major on verra ce qu'il vont dire
C.Perec : si vous faite ça je crois que le général Dumont va avoir une attaque en voyant la note.
L.Fraggle : il y a des chances que sa lui face un choc.
La sa va me faire une sacré retenu sur mon salaire a la fin du mois fit ironiquement le colonel.
L.Fraggle : ravi de voir que vous prenez ça avec humour
C.Perec : une question lieutenant
L.Fraggle : oui colonel.
C.Perec : vous seriez pas écossais vous
L.Fraggle : pourquoi me demandez vous ça
C.Perec : juste pour savoir
L.Fraggle : je suis en effet originaire des Highlands mais je ne vois pas le rapport avec tous ça.
Moi si fit le colonel
Sans vouloir verser dans le stéréotype primaire le colonel se doutait bien que le lieutenant était un peu écossais sur les bords,sa façons de parler de l'argent et assez significatif des gens économe et par définition des écossais.
Si le colonel était détendu le lieutenant aurait eut besoin de lâcher la pression, tous le stress amassé sur cette affaire avait de quoi le rendre nerveux vu qu'il devait rendre des comptes auprès de l'armée et des services secret
Même si dans la cadre d'une missions ce genre de dérapages et dégâts collatéraux sont généralement couvert a 100 %
mais connaissant bien le système le lieutenant ne semblais pas aussi optimiste que le colonel a se sujet.
L.Fraggle : quand je vais présenter ça a la commission des comptes je vais me faire assassiner par mes supérieurs.
Le colonel essaya de convaincre le lieutenant que sa ne pouvait pas être si terrible après tous la sécurité de leur pays était en jeux.
Il lui lança meme une bonne vielle expression franchouillarde qui disait que l'on ne fais pas d'omelette sans casser des oeufs mais le Lieutenant n'écoutait rein,il c'était lancer dans un désespérant monologue sur la nécessite de faire des économies lors des mission et sur le sort qui l'attendais.
Le principal responsable des finances va me manger avec des petits oignons fit le lieutenant Fraggle.
C.Perec : vous dramatiser un peu trop je trouve
L.Fraggle : on voit bien que c'est pas vous qui risquer de vous faire muter en irak ou au en Afganistan.
C.Perec : et moi que devrais je dire , après avoir vu la note mon supérieur risque bien de m'envoyer dans les îles Kerguelen.
L.Fraggle : voila ce que sa coûte de vouloir jouer au héros
C.Perec : excusez du peu j'ai juste sauver ma vie et celle du major
Il fallu au colonel tous son pouvoir de persuasion pour faire comprendre au lieutenant que dans certaine situation on as pas forcement le choix et que devant l'acte il faut prendre les mesures qui s'impose et compter les points a la fin, bien que la facture semblais un peu élever par rapport au dégât occasionner, le colonel voulu avoir le détail des frais pour pouvoir se justifier auprès de son état majors si celui ci lui demanderais des comptes a son tour.
C.Perec : lieutenant Fraggle je pourrais voir le détail des réparations pour avoir une petite idée.
L.Fraggle : sa vous intéresse maintenant .
C.Perec : au moins je serais a quoi m'en tenir
L.Fraggle : si sa peu vous faire plaisir le voici
Le lieutenant pris alors la facture de chaque dossier et en fit la lecture au colonel, par moins de quatre bulletin de dédommagement avaient été adressé a l armée par le recteur de l'université.
L.Fraggle : alors pour commencer nous avons 5 millions de livres Sterling a payer a la société Cyclotron pour le diagnostique et la réparation complète de la machine que vous avez détériorée
C.Perec : sa fait 5 +...
L.Fraggle : ajouté à cela 2 millions pour les interventions des secours et les dommages moraux et les frais médicaux
C.Perec : 5 + 2...
L.Fraggle : rajoutez encore 3 millions pour les réparations sur le bâtiment de l'université
C.Perec : 5 + 2 + 3
L.Fraggle : et les 10 derniers millions serviront à u racheta de l'un des composants principaux qui a été endommagés.
Le dernier chiffre interpella le colonel par on coté exorbitant
C.Perec : quoi 10 millions pour quelques pièces.
c'est ça fit le lieutenant
C.Perec : dites moi , les pièces de rechange ne sont pas ce inclus dans les frais de la société Cyclotron.
L.Fraggle : la société Cyclotron fournit les pièces de rechange pour ces machines mais pour se qui est des extension la note est adressé aux autres sociétés , c'est logique
C.Perec : logique
L.Fraggle : leur achat se faisant a part il vont devoir la remplacer.
C.Perec : avec 10 millions l'université aura intéret a racheter plusieurs pièces de rechange a l''avance.
L.Fraggle : ça m' étonnerait au prix ou est vendu le composant il ne pourront en racheter qu'un seul
C.Perec : quoi vous allez me dire que c'est une seule pièce qui vaut 10 millions de livres Sterling.
L.Fraggle : et bien si il vont devoir changer l'extension de leur carte mère et comme c'est vous que l'avez détruit pas conséquent cette partie de la note sera adresser aux services financier de votre pays
C.Perec : il vont être être ravis chez moi
L.Fraggle : je n'en doute pas.
C.Perec : dites moi 10 millions pour une pièce vous trouver pas que c'est un peu excessif.
L.Fraggle : c'est le prix de ce composant, le recteur ma envoyer lui meme la facture.
C.Perec : votre recteur il aurait pas gonfler la note par hasard
L.Fraggle : pourquoi il aurait fait ça.
C.Perec : vous voulez mon avis, vu que c'est l'armée qui paye les gens on tendance a profiter de la situation des fois
L.Fraggle : mais la il n'y pas d'erreur c'est bien le prix.
C.Perec : quand même 10 millions pour une pièce, ma parole il ont achetée au prix de l'or ou quoi.
L.Fraggle : que voulez-vous que je vous dise mon colonel la haute technologie à son prix, si vous ne croyez pas regarder la facture par vous meme
C.Perec : montrez-moi ça.
Le lieutenant sortis le détail de la facture pour la présenter au colonel qui était assez dubitatif sur la somme que son pays allait devoir verser , a la lecture de celle ci il dut se rendre a 'évidence il n'y avait pas d'erreur, sur la facture était clairement indique le prix d'un composant de rechange pour un nouveau système de cartes mères qui avait été acheter il y a moins d'un an a la société Global computer.
C.Perec : Global computer ?!!!
A ce moment la le colonel se figea sur le noms de la société en question, Global computer ce noms ne lui était pas inconnu , sur le coup le colonel se saisit de l'ordinateur portable qu'il avait toujours en permanence avec lui il entra son code d'accès secret pour avoir accès aux données secrètes qui était stocker dedans.
il passa en revue les différents noms et lieux qu'il avait pris soin de classé la semaine dernière. le lieutenant se demanda bien quelle mouche venait soudain de piquer le colonel.
Que faite vous mon colonel ? demanda le soldat.
C.Perec : je fais des recherches
L.Fraggle : et que cherchez vous
C.Perec : depuis une semaine j'essaie de trouver un dénominateur commun à toutes ces attaques,jusqu'à présent rien ne les reliait entre elles mais c'est en faisant une comparaison des factures et liste d'achat que le noms d'une autre société et fréquemment réapparu
L.Fraggle : laquelle
C.Perec : là j'y suis regardez lieutenant.
________________________________Global computer._____________________________
L.Fraggle : Global computer
C.Perec : le non de cette société était déjà apparu dans l'un des rapport,
L.Fraggle : en quoi cette société vous interpelle t'elle ?
C.Perec : a cause d'une chose que m'as dis Mr Stenton
L.Fraggle : le PDG de Quantum Conductivity
C.Perec : il m'as dit avoir passer commande auprès de global computer
L.Fraggle : et alors
C.Perec : le but de cette commande était une pièce destiner a accroître les performances de leur super-calculateur.
L.Fraggle : ce que l'on appelle un UPGRADE
C.Perec : en effet et figurez vous que le professeur Moritaka nous as dit que leur super-calculateur avait subit une amélioration par l'ajout d'un nouveau composant.
L.Fraggle : la carte de global computer.
C.Perec : c'est exact
L.Fraggle : est qu'est ce que cela vous apporte ?
C.Perec : voyez vous lieutenant les deux dernier super-calculateur victime de Xana étaient du meme modèle fournit par la meme société
L.Fraggle : Cyclotron
C.Perec : des lors si il sont identique pourquoi l'un a sauté est pas l'autre ? je cherchais a savoir ce qui différenciait le super calculateur de l'université de celui de Quantum Conductivity.
L.Fraggle : et vous pensez que cette carte serait en cause
C.Perec : c'est ce que je suppose.
L.Fraggle : sa me parait tiré par les cheveux
Lieutenant vous êtes aussi ouvert d'esprit que le majors lui fit le colonel.
En cherchant dans les factures le colonel finis par trouver le liens qui lui manquait depuis le début
C.Perec : regarder ça la société Quantum Conductivity avait également fait commande d'un de ces composants pour la meme somme.
L.Fraggle : apparemment oui il y a la une commande faite pour une ....
C.Perec : .... une carte a micropuce Quadrihoppes .... c'est quoi ça Quadrihoppes ?
L.Fraggle : je n'en sais rein mon colonel
C.Perec : quoi qu'il en soit cette commande n'as pas pus aboutir a cause de la destruction de leur super-calculateur.
L.Fraggle : est alors je ne vois pas le rapport au colonel.
C.Perec : supposons un instant que ces composant favorise les attaques de Xana sa expliquerait tous.
L.Fraggle : ce n'est qu'une pure spéculation de votre part
C.Perec : c'est juste une intuitions mais sa vos la peine que l'on si intérrese , lieutenant pourriez vous me trouvez des informations sur Global Computer
L.Fraggle : vus que j'ai l'adresse sa sera facile de trouver des information sur cette entreprise.
le lieutenant Fraggle allait devoir faire des recherches sur le fichier central du MI5 pour trouver toutes les information possible sur la société global Computer après quoi le colonel irait faire part de sa théorie au Major Cartwright, mais pour l'heure une autre question vins a l'esprit du colonel.
C.Perec : parfaits sinon est ce que l'analyse de mon portable à révéler quelque chose
L.Fraggle : malheureusement non mon colonel, de ce côté-là nous n'avons rein obtenu, aucun appel n'a été enregistré sur votre portable.
C.Perec : j'ai pourtant reçu un appel dessus il devrait y avoir une trace sur vos système
Le téléphone du colonel était relier a un réseau sécurisé qui transitait par le système échelon tous les messages et conversation qui s'effectuait dessus était systématiquement enregistrer par les techniciens militaires, mais pour une raison inconnu il n'y avait aucune trace d'appel sur les banques de données,cela avait plutôt étonner le lieutenant Fraggle
C.Perec : donc sa n'as rein donner.
L.Fraggle : qui que ce soient, les personnes qui vous a contacter a tous fait brouiller les pistes C.Perec : comment c'est possible
L.Fraggle : d'après nos expert le seul moyen de contourner la surveillance c'est d'utiliser une communication via par un réseau informatique privée.
C.Perec : mon mystérieux interlocuteur m'aurais appelé depuis un ordinateur
L.Fraggle : sa doit être quelqu'un qui c'est connecter sur le réseau intranet de l université c'est pour ça qu'on a aucune trace.
C.Perec : sur un réseau interne ! donc pas de trace c'est très malin.
L.Fraggle : ainsi la personne reste donc anonyme et ne peut pas être localiser
C.Perec : se qui nous pose un sacré problème, on peut supposer que quelqu'un est au courant de notre opération.
L.Fraggle : c'est impossible votre mission et classer secret défense
C.Perec : il y a eut des fuites quelque part c'est obligé.
L.Fraggle : des fuites dans nos services !!!!
C.Perec : vous avez une autre explications
L.Fraggle : pas la moindre sir
C.Perec : j'ai déjà évoque se problème avec le major pour voir ce que nous allions faire.
L.Fraggle : sa peut devenir dangereux si quelqu'un vous a identifié votre couverture tombe a l'eau et votre vie et en danger
C.Perec : et c'est bien ça qui m'interpelle, la personne que j'ai eut au bout du fil nous a sauver la vie.
L.Fraggle : c'est peu être un ruse pour gagner votre confiance
C.Perec : j'y pense bien dans ce jeu d'espion la contre-vérité et une loi en vigueur
L.Fraggle : et sa ne vous fait pas peur
C.Perec : il faut bien que l'on résolve cette affaire on ne pas attendre ici que l organisation Xana mettent le pays a feu et a sang.
L.Fraggle : mais temps qu'on en sera pas plus il vaut mieux rester prudent
C.Perec : prudent est mon deuxième prénoms lieutenant
L'affaire devenait plus corsé et les pistes bien maigres tous cela n'augurait rein de bon pour la suite, le colonel s'éfforçait de trouver une piste alors que quelque part dans le monde Xana venait de s'emparer d'un nouveau super-calculateur et non des moindres puisqu'il s'agissait de celui d'un laboratoire en Sibérie.
Journal de Arnaud Morillon 1 août 2005 22 h17
Compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 12
Je suis vanné.
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Est bien le moins que l'on puisse dire c'est que cela n'a pas été une journée de tous repos.
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Ce qui devait être une présentation extraordinaire a bien failli dégénérer en pugilat général.
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N'exagérons rien quand même on va pas dire que la salle c'est transformé en champs de bataille.
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mais presque
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on peut dire que la présentation n'a pas eu l'effet escompté.
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voila qui ne vas pas redorer le blason de la société
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enfin Tanit a fait sont effet malgres les dires alarmistes de certaines personnes.
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Je crois que je suis obligé de réviser mon opinion sur le docteur Kessel.
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Je n'arrive pas a comprendre pourquoi il c'est comporter comme ça durant la présentation.
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c'est un coup en traître surtout envers des amis de longue date.
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allé jusqu'à affirmer que le projet Tanit serait une menace pour l'humanité.
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Comme si une intelligence artificielle pouvait être dangereuse (^_^)
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Je n'y crois pas une seule seconde
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il faut arrêter la parano on est pas dans 2001 odyssée de l'espace on travaille pas avec une I.A psychopathe.
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franchement de la part d'un grand scientifique, je trouve ça minable comme attitude.
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Je ne sais pas qui étaient les deux pseudo ingénieurs qui l'accompagnaient mais ont pas dire qu'ils n'ont pas été très tendre vis-à -vis du projet Tanit eux non plus
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Ce Pierre Darbois j'aurais du lui laisser le petit four pour qu'il s'étouffe avec
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D'après ce que j'ai put comprendre c'est le docteur Kessel qui les aurait introduit dans l'enceinte de la société.
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C'est malin de sa part mais j''ai bien roder son petit stratagème.
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Ces acolytes devaient sûrement être la pour créer la polémique et ainsi permettre au docteur Kessel de faire sa petite annonce en public.
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c'est bien jouer mais c'est gros comme une maison se genre de procéder
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tous ça pourquoi ?
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sûrement pour attirer l'attention sur lui.
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c'est pathétique d'en arriver la pour ce faire remarquer par la presse.
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heureusement que les docteur Hopkins et Hopper on du répondant
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Le docteur Hopkins ne c'est pas laisser démonter par ces accusations bidon.
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C'est vraiment un homme incroyable pas étonnant qu'il est réussi a créer le super calculateur et fondée la société Cyclotron.
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Par contre le docteur Hopper eut plus de mal a se défendre.
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c'est peut être une femme mais c'est aussi une grande scientifique
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cette histoire d'accident industriel a "Brayton machin truc" semble pourtant l'avoir ébranlé un peu.
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Pas étonnant se faire accuser d'avoir provoquer un accident, c'est le genre d'annonce qui déstabiliserai n' importe qui
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mais ces accusations sont grotesque.
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Je sais que dans la charte d'éthique de l'entreprise que j'ai signée il est stipuler que les recherches sont destiner dans un but de progrès et non de profit.
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nos recherches en informatique vise a améliorer des recherches médicales mais sûrement pas a cautionner des expériences sur le clonage.
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Meme si nous aussi on recherche a créer des vie elle sont avant tous artificiel ce ne sont pas des êtres humains.
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Bien que la limite entre les deux puissent être un peu flou parfois
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Dans les deux cas c'est une conscience que l'on cherche a créer.
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comme les clones humains, les I. A sont des consciences vivantes qui savent qu'elles existent mais la comparaison s'arrêtent lÃ
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On peut créer un humains ou une I.A partir d'un fragment d' ADN mais pas a partir d'un programme informatique.
Le jour où on arrivera créer un être vivant à partir d'un programme informatique se sera
vraiment une révolution et peut-être même une nouvelle évolution du genre humain.
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Par contre je me demande comment on pourrait transférer la conscience numérique d'une I.A dans un cerveau humain.
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???
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les connexion électronique d'un micro-processeur et celle des synapses d'un cerveau sont loin d'être le meme
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apparenter mes différentes.
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a moins doter la créature d'un cerveau électronique comme dans le film DARYL ou d'un cerveau positronique comme dans les oeuvres de Isaac Asimov.
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Ca je vous l'accorde c'est de la science fiction
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Ce n'est pas spécialement une application de la science que moi-même j'approuve.
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Ont a pas le droit de jouer avec la vie des être vivant..
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bien que certaine personne on des considération pour le moins glauque de se que devrait être la vie.
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dans le monde il y a des docteur Frankeinstein qui n'hésite pas a faire ce genre d'expérience tordu.
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enfin c'est comme ça.
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on peut pas enfermer tous les fou......
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...... sinon il n'y aurait plus personne pour fermer les portes
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(rires)
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désolé pour cette blague a l'humour si British, mais j'ai besoin de lâcher la pression de ces derniers temps.
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Et en particulier aujourd'hui.
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mais la je peux enfin souffle ,je suis enfin de retour dans le seul endroit ou je suis à l'abri des agitations et des débat sans fin.
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La quiétude de mon laboratoire
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Ici je me sens comme un poisson dans l'eau
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je vais bien y dormir cette nuit
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certes un laboratoire n'est pas un hotel
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mais la je m'y sens vraiment bien.
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allez comprendre :?:
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Au moins je sais que ce soir je serai tranquille.
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Les invités sont sûrement encore entrain de débattre des problèmes techniques et de budgets
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mêmes si j'ai pas pu présenter mon projet c'est pas grave, je préfère continuer à travailler à son amélioration pendant encore quelques semaines
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sans pour autant oublier que j'ai 4 I.A Ã perfectionner
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et la j'ai l'impression qu'elles vont me donner plus de mal que ma sonde vu l incroyable entende qu'il semble exister entre deux de mes créations .
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CG 01 et CG 03 on l'air de s'entendre comme chien est chat.
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faut que je fasse gaffe a ce que ces deux la ne s'entre-tue pas lors de leur entraînements
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oh la galère je vous jure (-_-)
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heureusement que CG 02 et CG 04 ne sont pas comme ces deux la
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sinon je pourrais bien préparer les pansements virtuel
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je pense qu'avec un peu plus de discipline sa va leur passer
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c'est pour ça que CG 01 sera le chef de leur troupe
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après tous c'est le plus puissant de tous.
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Avec une hiérarchie a respecter meme la très téméraire CG 02 devra se plier au ordre de son chef
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elle vas sûrement critiquer se choix comme je la connais
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elle as vraiment un caractère très particulier celle la
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faudra peut être que je revois deux ou trois point de sa personnalité.
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mais en premier lieu c'est surtout leur créateur qui va falloir mettre a l'amende
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Je suis incorrigible comme mec
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je leur donné des noms a mes IA mais j'arrive pas a me le mettre dans le crâne.
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J'utilise encore leur matricule alors que je déteste ça.
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le micro processeur qui me sert de cerveau a vraiment des beugs des fois
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Allez Arnaud secoue toi tu peut le faire.
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Si tes IA le peuvent pourquoi pas toi ?
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Après quoi faudra que je me vielle quand elle se battent entre elle
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Avec les capacités que chacune possède elle serait bien capable de bousiller Neo-Carthage sous le coup d'une dispute
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De la discipline voila se qu'il leur faut
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Discipline !!!!
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Amusant je me comporte comme Tim Gonzales mon ancien surveillant de l'université
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Avec le recul je comprend que sa tache n'était pas de tous repos.
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Maintenant que c'est moi qui doit jouer les "pions" je comprend mieux se qu'il a dut endurer le pauvre .
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Surveillez de jeunes excité n'est jamais facile.
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mais je m'acquitterai de ma tache.
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de plus si mes doutes se confirme mes Cartha-guerriers pourraient bien avoir autre chose a se mettre sous la dent que leur dispute.
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maintenant que ma nouvelle sonde est prête je vais pouvoir repartir dans la mer numérique
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Histoire de savoir ou est passé Vger 1.0
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Mais surtout pour essayer de tracer le signal que j'ai détecter récemment
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Les mystérieux échos que j'ai capté n'augure rien de bon.
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ils semblent provenir du fin fond de l'océan virtuel.
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cette fois-ci pas question de prendre de risques
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j'y ai déjà perdu une sonde je ne veux pas en perdre une deuxième
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les erreurs de la première fois m'ont été bien utiles j'ai beaucoup appris.
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j'ai considérablement renforcé la puissance des boucliers , lors des phases de transformation elle ne serat plus aussi vulnérables le blindage virtuel est plus perfectionner qu'avant et j'ai lui également intégré un système de balises qui permettra de la suivre où qu'elles soient
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au moins cette fois-ci je ne vais pas la perdre celle la.
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maintenant Vger 2.0 est au top
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quand je repense à ce que j'écris , je me dis que cette sonde a été la plus belle de mes inventions. ( hormis mes IA)
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Elle est le fruit de mes théories l' aboutissement de plusieurs années de travail
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au départ je n'aurais pas pensé à fabriquer une sonde mais des fois l'inspiration vient de la ou on l'attend la moins.
############################ FLASHBACK ############################
Arnaud travaillait désormais pour la société Cyclotron, Simon lui avait spécialement alloué un laboratoire de la section 4 pour lui tout seul, il s'agissait plutôt d'un bureau de recherches que d'un véritables laboratoire.
Néanmoins grâce a lui Arnaud avait accès a un super calculateur, certes celui ci n'était pas très puissant ni de dernière génération.
Mais pour Arnaud c'était toujours mieux que celui qu'il avait au campus, il s'agissait d'un modèle N.H.X 86 légèrement moins puissant que celui l'université.
Il faut dire aussi que c'était la société Cyclotron qui avait fournis a l'université un modèle N.H.X 63 flambant neuf avec garantie pièce et mains d'oeuvre.
Avec le N.H.X 86 il aurait tous de fois la puissance nécessaire pour effectuer les calculs préliminaires donc il avait besoin pour mettre en pratique ces théories
d'ailleurs dès les premiers jours Simon était venu trouver Arnaud pour voir si celui ci avait un projet en tête qui serait susceptible d'être profitable au projet Neo-Carthage.
Le majeur problème qui se posait toujours au jeune garçon était de trouver un moyen pour illustrer ses théories sur la régénération virtuel et les intelligence artificiel.
Car aucun des projets auxquelles il réfléchissait ne convenait, pour Arnaud la mise en forme de ces théories restait un sacré casse tête a résoudre.
Comment donner du corp a ces théories ? le problème semblais insurmontable pour le jeune homme mais curieusement ce fut Simon qui lui apporta la solution.
alors que Arnaud se creusait les méninges pour faire fusionner ces principes avec la structure général de Neo-Carthage Simon fit irruption dans la pièce.
Comment ça va aujourd'hui lui fit Simon.
Arnaud : quel surprise quel bon vent vous amène
Simon : et bien je suis venu voir comment se débrouille mon investissement dans son nouveau cadre de travail.
Arnaud : comme vous voyez je travaille.
Arnaud avait bien pris ces marques dans son nouveau bureau/labo,qu'il avait personnaliser a son goût en y mettant quelques effet personnel au mur, un peu partout sur la table il y avait des schémas techniques et des plans de structures sa faisait un peu désordre mais tous les génie sont comme ça, il sont dans leurs univers et ne prennent pas conscience que parfois ils vivent dans une décharge.
Simon : alors mon garçon sa progresse
Arnaud : pas vraiment
Simon : et pourquoi donc
Arnaud : je bute sur un problème de taille et sa me déprime
Simon : sa ne te plait pas ? tu as pourtant la un défi a ta mesure.
Arnaud : j'ai pas dit que cela me déplaisait juste que je bloque
Simon : et sur quoi tu bloque mon Arnaud
Arnaud : sur la forme que pourrait prendre mon projet.
Simon : tu sais pas qu'elle aspect lui donner, si c'est une question d'esthétique il suffit de demander a nos dessinateur.
Arnaud : c'est n'est de son aspect donc je parle mais de sa fonction principal
Simon : régénérer un programme c'est bien ça ta théories.
Arnaud : dans sa finalité oui mais dans sa conception je ne sais pas ou intégrer le coeur de régénération
Dans la théorie de Arnaud sur la régénération virtuelle tous venait d'un coeur principal mais se coeur se devait d'être intégrer a un programme sinon il ne serait rein d'autre qu'une source d'énergie inépuisable, et pour l'heure il ne pouvait pas l'intégrer au projet Neo-Carthage les données technique qu'il avait sur la cité lui montrait que c'était très difficile a implanter et que cela ne pourrait pas se faire s'en remettre en cause tous les fondement de la cité.
Simon : meme avec les plans que tu as en mains tu n'y arrive pas ?
Arnaud : les rapports technique que vous avez fournis sur le projet Neo-Carthage son fascinant mais sa ne suffit pas.
Pour le besoin de ces recherches Simon avait fournit Arnaud quelques informations sur le projet Tanit, sa comprenais notamment les plans de la cité virtuelle,et quelques codes source, en sa qualité de numéro trois Simon avait accès a de nombreux secret et la moitié des laboratoire de la section 5 était sous sa direction.
Le reste étant administrer par le docteur Hopper quand au docteur Hopkins il n'avait plus de temps a consacré a la recherche fondamentale il était trop occupé a tenir les rennes de son entreprise.
Ce qui faisait que Simon et Anthea jouissait d'une grande liberté au sein de la section 5, ce qui expliquait pourquoi Simon avait put introduire aussi facilement Arnaud dans l'entreprise
Simon : au sujet de ces plans, j espère que tu n'en as parler a personne.
Arnaud : pas un mot, personne ne sait que j'ai ceci entre les mains.
Simon : je l'espère car je te fais une sacré fleur la, normalement tu n'est pas autoriser a avoir accès a ces données.
Arnaud : je sais il sont tous frapper du sceau du niveau 5
Simon : secret industrielle de catégorie 5 donc top secret.
Arnaud : pourquoi me les avoir fournit alors ?
Simon : je te l'ai déjà dit pourtant, je suis persuader que tes théorie pourrait apporté un plus au projet Neo-Carthage
Arnaud : et a votre carrière au passage.
Simon : bien vu
Arnaud n'étais pas dupe il savait bien que Simon oeuvrait pour lui meme c'était la raison pour laquelle il avait fournit a son jeune protégé des données essentiel sur Neo-Carthage,il espérait bien que le jeune prodige y fasse une découverte aussi incroyable que Tanit.
Arnaud : dans les plans j'ai vu que vous m'avez fournit tous les codes sources d'accès a la cité
Simon : on peut dire que tu a les clés du monde de Neo-Carthage en ta possession.
Arnaud : a défaut d'avoir celle du futur c'est déjà pas mal.
Simon : avec tu pourrait y entrer et en sortir comme tu veux
Arnaud : et pour aller ou ? en dehors c'est la mer numérique et le réseau mondiale, on a déjà Internet pour ça.
Simon : vu comme ça il est vrai que sa ne présente pas vraiment d'intérêt.
Arnaud : je pourrai sûrement faire quelque chose pour améliorer la cité mais...
Simon : mais...
Arnaud : ....mais il faudrait revoir toute la structure et les fondements de Neo-Carthage pour ça.
Simon : est alors ou est le problème ?
Arnaud : Tanit est le problème
Simon : ah oui Tanit
Arnaud : on ne peut pas toucher a la cité sans toucher a Tanit.
Simon : c'est vrai que Tanit est le...
Arnaud : .... elle est meme que ça, et pour modifier quoi que ce soit il faudrait revoir la matrice complète de Tanit.
Simon : et la sa m'étonnerai que Anthea te laisse toucher a sa précieuse petite Tanit.
Arnaud : c'est marrant la façons donc vous parler de Tanit et du docteur Hopper
Simon : et bien quoi ?
Arnaud : vous utilisez un ton différend quand vous évoquer le docteur Hopper et Tanit
Simon : c'est un peu normal on peut pas faire autrement quand on parle de ces deux la.
Arnaud : et pourquoi ça?
Simon : c'est que la relation qui existe entre Tanit et le docteur Hopper est assez... "spécial".
Arnaud : vous pouvez m'expliquez.
Simon : et bien pour faire simple disons que le docteur Hopper considère Tanit comme sa propre fille.
Arnaud : sa peu se comprendre après tous il s'agit de sa création, vous savez nous les savants on a tendance a être un peu attaché a nos "bébés".
Simon : oui c'est vrai dés fois mais la tu comprend pas ce que je veux te dire.
Arnaud : si que le professeur Hopper et très attaché a son oeuvre.
Simon : non c'est que pour Anthea Tanit est sa fille
Oui sa création répéta Arnaud
NON SA FILLLE .fit Simon
Arnaud : ???
Arnaud était un peu perdu dans ce qu'essayait de lui dire Simon , pourquoi se dernier insistait temps sur le faite que Tanit était la fille du docteur Hopper et non sa création.
Arnaud : sa fille ?! que voulez vous dire ?
A ce moment Simon semblais un peu gêner par ce qu'il venait de dire mais s'il ne revelait rien Arnaud continuerai a lui poser des question et finalement il fut dans l'intérêt de Simon que de mettre Arnaud au courant sur la relation particulier qu'entretenait Anthea avec Tanit a condition que celui ci garde ça pour lui.
Simon : je veux bien t'expliquer mais tu garde sa pour toi
je vous le promet fit Arnaud
Simon : soit je te fait confiance
Simon pris une bonne inspiration et se mis a cherchez ces mots pour bien expliquer a Arnaud de quoi il en retournait en espérant que le jeune homme le croie car la vérité était assez dur a accepter.
Simon : alors comment te dire ça ... disons que ... le docteur ..... Anthea ... est une folle.
Arnaud : quoi ?!!
Folle est un mot un peu fort disons plutôt une obsédé.se corrigea Simon a cet instant
Arnaud ne croyait pas ces oreilles pourquoi Simon qualifiait il le docteur Hopper de folle, Arnaud avait eut la chance de la croiser lors de son embauche, elle lui avait donner l impressions d'une personne équilibre et saine d'esprit et encore très jolie pour une femme qui approchait la cinquantaine mais elle n'avait vraiment rien d'une folle.
Arnaud : comment pouvez vous dire ça sur le docteur Hopper
Simon : quand tu connaîtras son histoire tu comprendra mieux.
Simon ce lança dans le récit de la vie de Anthea ,de jeune chercheuse elle était passé a celle de directeur en chef du laboratoire 5 Simon racontât tous se qu'il savait sur elle meme si certaine zone d'ombre recouvrait sa vie cela ne manqua d'étonner Arnaud.
Arnaud : wouah son cursus est impressionnant
Simon : sont histoire ne s arrête pas la tu vas savoir ce qui la lie vraiment a Tanit mais attend toi a du lourd.
Arnaud : vu ce que vous venez de me raconter je peux m'attendre a tous.
Simon : voila de son premier mariage le docteur Hopper avait une fille du noms de Aelita, mais un jour elle l'a perdu dans des circonstances tragique voila plus de 15 ans
Arnaud : j'en suis navrée pour elle.
Simon : c'était une brillante scientifique mais la perte de son enfant la fait déprimer
Arnaud : pour une mère c'est toujour dure de perdre son enfant.
Simon : elle a meme faillit se suicider
Arnaud : mais c'est horrible.
Simon : c'est le docteur Hopkins qui l'a sauver.
Arnaud : son époux actuel
Simon : oui vu que son premier mari a disparu en meme temps que sa fille.
Arnaud : et que c'est il passé ensuite.
Simon : et bien le 8 juin 1994 quand le projet Neo-Carthage fut lancer elle fut solliciter a y participer , deslors elle a travailler a la création de la cité, en voyant les possibilité que lui offrait le super-calculateur elle c'est mis en tête de recréer sa fille.
Arnaud : comme ça sur un coup de tête.
Simon : elle voulait comblé sont manque affectif en se créant une nouvelle enfant a qui elle pourrait donner de l'amour.
Sinon expliqua Arnaud que Anthea avait passer des années a peaufiner une intelligence artificiel, intelligence quelle avait pus créer a partir de certaine notes que son premier mari avait laisser dans certain de ces cahiers personnel avant sa disparition, le plus incroyable dans tous ça c'est que cette femme est pus si facilement faire abstraction de sa fille naturel au profit d'un être artificiel cela choqua un peu Arnaud qui compris pourquoi Simon avait qualifié le docteur Hopper de folle bien que mère désespéré lui aurait mieux convenu selon le point de vue de Arnaud, mais sa restait difficile a avaler et se que Simon allait dire a Arnaud le serai encore plus.
Arnaud : c'est fou de replacer comme ça sa vraie fille par une créature synthétique.
Simon : pas si synthétique que ça en vérité.
Arnaud : comment ça ? Tanit et purement virtuel elle n'as rein d'organique que je sache.
Simon : en faite Anthea l'a créer a partir de la séquence ADN de sa vraie fille.
Arnaud : une séquence ADN humaine dans un ordinateur !
Simon : grâce a la puissance du super calculateur elle a réussi a décoder la séquence de base du génome humain et a en reproduire une copie numérique quasi conforme .
Arnaud : sa voudrais dire que Tanit est une sorte de clone virtuel de sa fille
Simon : c'est tous a fait ça.
Arnaud : c'est incroyable cette histoire.
Simon : grace a ça Tanit c'est vraiment substituer a son enfant.
Arnaud : c'est fou
Simon : c'est abstrait et depuis maintenant 6 ans Anthea éduque Tanit comme si c'était une vraie petite fille
Arnaud : et sa marche !
Simon : tu as vu par toi meme les réactions de Tanit, on pourrait croire qu'il s'agit d'une vraie personne.
Arnaud : c'est vrai qu'elle simule bien les émotions pour une IA.
Simon : Tanit ne simule pas elle vraiment capable de ressentir des émotions.
Arnaud : Une I.A émotive !
Simon : Tanit est un être pure car elle n'as pas de notion du mal elle n'agit que par logique mais en meme temps par amour.
Arnaud : par amour !!!
Simon : et oui par amour pour sa mère
Arnaud fut saisis par cette révélation il se mit alors a réfléchir sur le sens de tous ça et un constat lui paru rapidement évident
Simon : sa a l'air de te surprendre
Arnaud : surtout sa m'interpelle cette histoire d'amour
En quoi lui demanda Simon intrigué
Arnaud : Tanit est un être informatique donc par définition animé par un système de logique
Simon : oui
Arnaud : mais vous dites aussi quelle est capable d'aimer
Simon : c'est le cas
Arnaud : il se pose alors le problème de contradiction
Simon : que veut dire ?
Arnaud : passion et raison se sont toujour opposé chez l'être humain,et cela nous a toujour amener a commettre des actes illogiques.
Simon : c'est le propre de l'homme que d'être illogique a cause de ces sentiments
Arnaud : mais quand est il des Intelligence artificiel ?
Simon : eh ben
Arnaud : sous le coup d'une contradiction un machine pourrait beugger
Simon : de quel façons ?
Arnaud : sous l'effet combiné de la logique et des émotions un être intelligent peut perdre ces repères
Simon : je n'avais jamais penser a ça et quel pourrait être les effets
Arnaud : beugs court-circuit et dans le pires des cas la machine pourrait logiquement dépasser sa programmation de base pour résoudre son conflit.
Simon : tu en est sur
Arnaud : j'ai basé une partie de mes théories la dessus, un être artificiel pour dépasser sa programmation d'elle meme si cela peut lui éviter un conflit.
Simon : et sa présenterai un risque
Arnaud : seulement pour l'environnemt que contrôle la machine
Simon : mais Tanit est au dessus de sa
Arnaud : en théorie oui tant quel n'est pas soumis a une contradiction sa peut aller
Simon : c'est effrayant ce que tu me dis
Arnaud : c'est le genre de dérive qui donne mauvaise réputation au IA,la machine devient automne car elle a conscience quelle existe et du coup elle se rebelle généralement contre ceux qui l'on créer
Simon : heureusement qu'avec Tanit sa peut pas arriver
Arnaud : tiens donc et pourquoi
Simon : car lors de sa conception le docteur Hopkins a intégré des verrous de securité sur le super calculateur pour juguler la puissance de celui ci
Arnaud : et alors
Simon : ces verrous contraigne les programmes et le système ce qui évite a la machine de s'emballer
Arnaud : c'est bien vu de sa part ,le docteur est vraiment un génie il a meme anticiper la possibilité d'un ordinateur.
Simon : sa s'explique aussi par le faite que c'est un grand fan de "2001 odyssée de l'espace" il en a retirer de sage enseignement de ce film
Arnaud : et bien pour une foi que la fiction sert la science.
Simon : voila pourquoi Tanit et préserver de ce genre de dérapage.
Arnaud : quand vous me dites ça je me sens un peu a la traîne par rapport a eux
Simon : y'a pas de raison le projet Tanit a fête ces 7 ans sa lui donne une confortable avance sur toi.
Arnaud : je vais pas être jaloux surtout que moi aussi j'y réfléchis que depuis 4 ans a mes théories
Simon : et puisque que tu en parle comment compte tu les appliquer
Arnaud : je n'en sais toujour rein
Le problème était toujours inchangé Arnaud ne savait pas comment rendre sont projet concret
Simon : ton procédé tu pourrais l'intégrer a une IA
Arnaud : a par la régénérer et lui donner un formidable gain de puissance sa ne servirait a rien.
Simon : et pour ce qui est de la cité c'est aussi compromis
Arnaud : donc je suis dans une impasse.
c'est alors qu'il vint une idée a Simon, il y a avait a sa connaissance un environnent de Neo-Carthage sur lequel Arnaud pouvait travailler sans avoir a tous Re-programmer.
Simon : dis moi ton coeur il permet bien de réparer les programmes
Arnaud : c'est le principe de base de la régénération virtuel le coeur génère une énergie infinie si quelque chose endommage le programme il le répare instantememt
Simon : c'est peut être une piste a creuser
Arnaud : vous pensez a quelque chose
Simon : peut être , figure toi que nous avons un problème que nous n'arrivons pas résoudre
Arnaud : lequel
Simon : la mer numérique
Arnaud : celle qui entoure Neo-Carthage
Simon : en effet on ne parvient pas a y envoyer un programme car tous se qui y "plonge" est systématiquement détruit
Arnaud : oui car les flux d' énergie de cette environnemt désintègre tous ce qu'il touche.
Simon : conclusion on ne peut pas y aller et c'est la que je me dit qu'un programme qui se répare de lui meme aurait une chance de pouvoir y évoluer
Arnaud : pas besoin de la régénération pour ça c'est une question de bouclier, un objet qui y plonge devrait être protéger par un champ de force c'est logique
Simon : puisque qu'on ne peut pas toucher au fondement meme de la cité, tu pourrais créer une sorte de programme qui serait indépendante de celle-ci
Arnaud : un système indépendant mais dans quelle but ?
Simon : l'exploration.
Arnaud : mais il n'y rein a explorer c'est le réseau.
Simon : on en sait rein on y est jamais allé.
Arnaud : oui mais la c'est ridicule tous le monde c'est bien que le réseau c'est Internet et rein d'autre il n'y a rien au delà de la mer numérique
Simon : étrange c'est que les gens affirmait avant Colomb et Magellan
Arnaud : quoi !!
Simon : avant que n'arrive ces deux explorateur les gens croyaient que le monde était plat, puis un jour ces hommes leur on prouvé le contraire et la tous a changer, et toi tu m'as l'air aussi borné qu'un paysan du 15 siècles.
Arnaud : comment vous pouvez dire ça.
Pour un fan de Startrek tu m'as l'air plutôt coince dan ton système solaire lui lança alors Simon.
Arnaud resta sur le carreau Simon venait de lui faire un majestueux cour d'histoire et de logique ne rappelant au jeune homme que les certitude ne peuvent se basé que sur des fait, cela fit l effet d'une claque au jeune homme
Simon : c'est quoi deja le credo de startrek .... " Where No Man..." ( ou nul homme)
"Has Gone Before" n'est allez avant fini Arnaud
Simon : alors que dit tu de ça ?
Arnaud : c'est vrai que j'avais pas penser a ça
Simon : donc si je te crois il n y a rein a
Arnaud : maintenant je ne suis plus sur
Simon : a toi de dissiper ce doute.
Arnaud : en trouvant un moyen d'y aller
Simon : et bin voila tu l'a ton projet tu pourrais créer un programme capable daller dans le réseau.
Arnaud : vous voulez que je crée une sorte de bathyscaphe virtuel
Simon : je ne pensait pas un sous marin mais a quelques chose de similaire
Arnaud : et quoi donc ?
Simon : une sonde
Arnaud : une sonde ?!
Simon : pour explorer l'espace et les grand fond marin on envoie bien des sondes pour reconnaître le terrain avant d'y envoyer un navire
Arnaud : en général on fait comme ça
Simon : alors pourquoi tu ferais pas la meme chose.
L'idée d'exploser le réseau n'etait pas si absurde après tous et une sonde serais plus maniable que n'importe quelle autre bâtiment, sa résistance et sa vitesse pourrait l'être aussi , en l'espace d'un instant le cerveau de Arnaud se mit bouillir les idées affluaient de toutes part
Arnaud : sa pourrais marcher
Simon : et sa ressemblerait a quoi.
Arnaud : je sais pas encore mais je pourrais peut-être m'orienter sur les formes primitives 3D comme base de travail.
Simon : convaincu
Arnaud : sa vaut la peine de tenter le coup, j'ai une direction a suivre
Simon : alors au travail.
Pendant plusieurs mois Arnaud se mis a la tache, il créa alors tous les protocoles d'un système d exploration basé sur ces théories et durant tous ce temps il accumula nuit blanche sur nuit blanche chaque démonstration démontrait les limites de sons système , il devait alors revoir sa copie est ces notes a chaque beugs, perfectionnant ainsi chaque étape de la conception.
il devait souvent utiliser le super-calculateur et les résultat de ces expérience finir par revenir assez cher a la société en 5 mois il avait déjà dépenser 8 millions de livres pour ces simulations le conseil d' administration aurait du lui demander des comptes, Simon le couvrait du mieux qu'il pouvait mais les résultat se faisait attendre.
Un temps même Arnaud se laissa allez au désespoir en pensant qu'il n'y' arriverai jamais, il finis par prendre 10 kilos a force de ne plus bouger de son bureau et a se gaver de nourriture riche en sucre,et cela ne semblat pas aller en s'arrangeant dans sa vie personnelle puisque il dut faire face au déces de sa mère.
cela porta un coup dur au moral du jeune homme qui s'enferma dans le travail pour tenir le coup
A chaque fois qu'il croyait tenir la solution le programme buggeait et le coeur refusait obstinent de se former.
Pourtant un soir un miracle comme il en existe peu se produisit, alors qu'il travaillait sur une énième tentative d'assemblage Arnaud fut terrasser par la fatigue et finit par s'endormir sur son bureau ,il eut la surprise en se réveillant le matin de voir que les données avait réussi a se compiler.
en dormant sur son clavier il avait taper une série de séquence aléatoire qui c'était soldé par la réussite de son assemblage , meme si il ne serait jamais quel valeur il avait rentrer le résultat était la
Une version bêta de son coeur était prête il falliat encore créer l'enveloppe mais cela ne serais qu'un détails, en moins de trois semaines sont prototypes était enfin achevée.
En ce début de janvier 2005 le projet NX4759 voyait enfin le jour, il avertis Simon qui en fut transporter de joie mais fallait encore tester NX4759 et la Arnaud ferait tous se qu'il faut pour que sa se passe bien.
Les premiers essai était concluant la sonde arrivait a plonger dans la mère numérique sans se désagrégé, grâce au coeur les système pouvais se régénéré de façons infini, la sonde pouvait donc rester stationnaire aussi longtemps que Arnaud le voulais, sa sonde était capable de s'interconnecter avec tous les interfaces quelle rencontrait a un moment il causa un léger beugs en se branchant une fois sur une base de données.au hasard
Dans le Times du lendemain il fut rapporter qu'un monstrueux bouchon fut enregistrer sur le périphérique routier nord suite a un beugs des systèmes d'affichages qui fut heuresement sans conséquences grave pour les utilisateurs.
Arnaud garda pour lui se petit accident et se contenta de naviguer dans l'océan numérique sans plus rein y toucher.
Sauf pour testé le système acquisition des données, il voulait savoir si celui était capable de copier des données et de les compresser, la aussi se fut un succès
mais au cour d'une plonge sa sonde fut soudainement attaquer par un programme inconnu, selon le visuel qu'il eut a se moment la , le programme ressemblait a une sorte de requin qui crachait des laser.
la sonde étant capable de s'auto-régénéré ce monstre ne put la détruire mais pour ne pas prendre de risque Arnaud choisit la fuite.
Conscient de-lors que le réseau pouvait très dangereux il équipa sa sonde d'un système de défense élaborée
Ainsi la fonction SPECTRE fut créer ,NX4759 pouvant scanner et analyser n'importe quel programme, la sonde avait la possibilité de générer des fantômes d'un ennemis pris dans son rayon d'analyse et d'en faire une copie conforme qui avait la particularité de pourvoir s auto détruire avec son ennemi de qu'ils se collait a lui.
Si Arnaud avait pare a toute éventualité un détails le chagrinait
NX4759
Ce noms il le trouvais si impersonnel pour sa sonde, Arnaud trouvais que ça faisait plaque d' immatriculation, il fallait lui trouver un noms qui convienne mieux a sa création.
Il connaissait les capacité de sa sonde qui était capable d'emmagasiner des information a la pelle et d explorer le cyber espace.
Il chercha parmi tous le noms de grand navigateur les pionnier de l'aviation et de l'air spatial
mais chaque noms le laissait insatisfait, dans son bureau adosser a sa chaise il se tourna vers l'affiche du film de Startrek qu'il avait accroché au mur, il en vient a demander de l'aide au personnage de la série.
Arnaud : Mr Spock prêter moi de votre logique.
il eut soudain une révélation, le film sur l'affiche était "Star Trek le film" premier du noms Arnaud fit le lien entre sa situation et celle du film sur le coup il rejeta cette idée un peu farfelu pour lui.
Arnaud : je vais quand meme pas .....
Il était hésitant après tous le rôle principal n'était pas tenu par l'un acteur mis par un être artificiel , c'était l'histoire d'une sonde "voyager" qui revenait sur terre après 4 siècle d' absence et sur bien des point son projet se rapprochait des caractéristique du vaisseau de ce film
Arnaud : apres tous il l'on bien appeler comme ça dans le film et finalement mon projet est se qui s'en rapproche le plus
Il se força a trouver autre chose mais l'envie fut plus forte que tous et finalement il céda au sirène de la science fictions se fut sur un ton très solennel que Arnaud parla a son projet
Arnaud : projet XN 4759 je te baptise du noms de la seule sonde intelligente de toute l'histoire de la science fiction, désormais tu t'appellera.
__________________________________Vger_____________________________________
chapitre 12 le Noël de Aelita
Ce matin en fouillant dans les affaires de Aelita je suis retomber sur un objet donc j'avais oublié l'existence.
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Cela m'a fait énormément de plaisir de le retrouver
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Tant de merveilleux souvenir y sont rattaché.
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C'est un présent très particulier que j'avais offert a Aelita pour noël,quelque chose d'unique.
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C'est un cd des Subdigitals,ce qui peut paraître banal a notre époque.
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Mais ce qui le différencie des autres c'est sa pochette très particulière ainsi que sont son contenu qui n'était autre qu'un gage d' amitié de la part de tous ces amis.
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C'est sûrement l'un des plus beaux de Noël que j'ai passé de toute ma vie mais pour Aelita c'était bien plus que ça.
############################ FLASHBACK ############################
23 décembre 2004 soir
Alors comment trouve tu ma tarte Aelita demanda la femme.
Elle est délicieuse Madame Belpois fit Aelita.
Je suis content de voir que tu l'apprécies par contre si tu pouvais me rendre un petit service demanda la femme.
lequel ? fit Aelita
s'il te plaît fait moi plaisir et appelle-moi Laurence dit alors la mère de Jeremie
Aelita : Laurence
Oui parce que Madame ça fait penser à ma vielle mère les rides en moins fit Laurence en mettant sa mains contre sa joue.
Moi je trouve qu'elles te vont bien tes rides ironisa sont mari sur le coup.
Vexé Laurence se gonfla a en devenir toutes rouge a cause de se que son mari venait de lui dire mais le regard amoureux que lui lança Michel à cet instant suffit à estomper cette fausse colère.
Tu est bête toi de fois fit Laurence a son mari.
C'est pour ça que tu m'as épousé fit Michel
C'est vrai fit Laurence en posant un furtif bisous sur le lèvres de sont époux
Cette scène pour le moins curieuse se déroulaient autour d'une grande table en bois soigneusement décoré pour les fêtes de fin d'années, mous sommes le 23 décembre 2004 dans le petit pavillon de banlieue de la famille Belpois
A chaque réveillons toutes la famille se retrouvait pour fêter ensemble noël mais cette année il devait compter a leur a table un invité de plus.
Pour marquer l'année qui se finissait Jeremie avait invité Aelita a venir passer les fêtes a la maison familiale,ce geste pour le moins étonnant avait fortement impressionné la jeune fille aux cheveux roses ainsi que les parents de Jeremie.
Mais Michel et Laurence éprouvaient une certaine fierté a ce que leur fils se comporte ainsi ,il était ravi de voir que peu à peu leur jeune et timide garçon se transformait en un beau jeune homme au final ils leur apparu que le choix du collège Kadic avait été très judicieux.
Jeremie si c'était fait des amis et il avait rencontre Aelita pour qui il nourrissait de profond sentiment, ce qui n'avait pas échapper au parents de Jeremie
Le repas étant fini Laurence commença a débarrasser la table alors que sont mari se proposa de l'aider Laurence déclina son offre préférant demander son concours a Aelita
Aelita tu veux bien m'aider faire la vaisselle lui fit Laurence.
Aelita : oui mad... Laurence
Laurence : alors prend les couverts et viens avec moi jusqu'Ã la cuisine.
Oui Laurence fit timidement Aelita.
Jeremie : je vais t'aider Aelita
Non merci Jeremie sa ira fit Aelita
Alors fiston ta petite amie se sent gêné lança son père a cet instant
les deux adolescent rougirent aussitôt à l'embarrassante affirmation que Michel venait de faire sur le coup.
Jeremie papa c'est gênant ce que tu dit.
Michel : mais je n'est rien dis de spécial juste que....
papa arrête s'il te plaît lui ordonna presque Jeremie qui était plus rouge que jamais
Il était adorable de voir à quel point les deux adolescent étés gênés par ses déclarations, ni Jeremie ou Aelita n'osèrent se regarder a cette instant craignant que leur regard se croissent se qui ne ferait qu'accentuer leur gêne mutuel ,Michel amuser par la situation n'ajouta rien de plus, il vit que sont fils était encore timide sur le sujet et il ne voulu pas ajouter a son malaise
Bien qu'ayant mûris a travers les épreuves de ces dernier temps Jeremie était encore incapable de s'avouer a lui même ces propres sentiments alors comment pourraient-ils le faire à ses parents et encore plus a Aelita.
Plus aucune autre allusion ne fut évoquer durant le reste de la soirée, une fois la vaisselle finit Aelita pris congé de ces hôtes pour aller se coucher.
Loger Aelita n'avait pas été un gros problème, elle dormait dans la chambre d'enfance de Jeremie, elle l'avait reconnu tous de suite au côté désorganisé de Jeremie, et surtout a cause de tous les ordinateurs présent sur le bureau ainsi que les prototypes de robot qui dépassait des cartons empilé sous le bureau et sur le placard.
Sans compter le poster de Albert Einstein qui était affichée au mur, ce détails avait amusé Aelita qui se disait que Jeremie devait l'avoir en double.
Le lit de Jeremie était particulièrement confortable, Aelita se sentait bien dedans, l'odeur de Jeremie imprégnait la couverture certes c'était plutôt la lessive que Laurence utilisait pour laver son linge mais le parfum de lavande était un peu sa touche personnel.
Cette senteur familière ne dérangeais nullement Aelita,au contraire cela la mettait en confiance un peu comme si c'était Jeremie qui l'enlaçait dans ces bras.
Elle pouvait alors s'endormir d'un paisible sommeil sans avoir à penser au lendemain alors que Jeremie lui couchait dans le salon qui était devenu sa chambre à coucher personnel
24 décembre 2004 le matin
Au petit matin du 24 le soleil inonda la pièce de ces chaud rayon tirant de sa torpeur Aelita, sa nuit avait été très douce et son réveil le fut tous autant.
elle s'étira avant de se lever et pied nu sur le sol elle s'en alla regarder a l extérieur,au travers de la vitre elle put voir que la neige était tomber cette nuit et avait recouvert tous le jardin de son blanc manteau, après avoir déjeuner Aelita irait y faire un tour.
9 h 52
Aelita ou est tu ? fit Jeremie
Mais personne ne répondit, il multiplia les appels qui restèrent sans réponse.
Bons Aelita ou est-ce que tu te cache sa devient lourd a la fin dit Jeremie de façons plus instante.
Jeremie était dans le petit jardin qui se trouvait a l'arrière du pavillon de quartier de ses parents, ce petit espace vert n'était pas spécialement grands.
Jeremie avait beau regarder de droite à gauche il ne voyait pas ou Aelita avait pus se cacher, il décida de suivre ces traces de pas dans la neige, cela le mena jusqu'à la cabane à outils.
Jeremie se demanda bien ce que Aelita avait bien pu aller faire là -bas, il avançait difficilement car ces grosses boots s'enfonçaient dans la neige a chacun de ses pas, tous en se rapprochant de la remise il continua à appeler Aelita.
Jeremie : Aelita tu est la ?
C'est alors que surgissant de derrière un arbre Aelita apparu en criant champ de force une boule de neige à la main, Jeremie surpris par ceci n'eut pas le temps d'esquiver le projectile qui alla s'écraser sur sa parka bleue.
Je t'ai eu le dit malicieusement Aelita.
Ce prêtant à la comédie Jeremie posa sa main sur sa poitrine et commença à vaciller en disant...
" tu m'as touché en pleins coeur aaaahhh .... je meurs....."
Non Jeremie ne meurt pas je voulais pas te blesser fit Aelita inquiète en mettent ses deux mains devant sa bouche.
Je t'est bien eut lui fit alors Jeremie en lui décochant un sourire au coin.
Idiot lui fit Aelita qui prépara alors une deuxième boule de neige
Il s'en suivit une mémorable bataille de boule de neige, l'ambiance qui régnait dans le jardin était bonne enfant pourtant en temps normal se genre de comportement puéril de la part de l'un de ses amis Jeremie l'aurait ouvertement critiqué si on lui avait fait un coup pareil au collège. mais aujourd'hui il n'était pas au collège.
Le collège, ces amis , Xana .... tous sa était si loin en se moment
Il était chez lui avec Aelita entrain de jouer dans le jardin, et il n'y avait qu'eux, tous les deux riant de bon coeur à se lancer des boules de neige en pleine figure, d'ailleurs le pauvre Jeremie en fit les frais, il n'arrivait pas éviter tout ce que lui envoyait Aelita alors que elle avec la grâce qui lui était propre esquivait sans mal tous se que Jeremie lui lançait, il faut dire qu'à force de se battre sur Lyoko elle avait fini par acquérir une certaine expérience de l'esquive.
Ce petit jeu se solda par la réédition inconditionnelle de Jeremie qui préféra se rendre avant de finir ensevelie, dans un registre plus pacifiste Aelita lui proposa une autre activité moins violente.
Elle proposa a Jeremie de faire un bonhomme de neige mais ce dernier lui suggéra autre chose.
A la place si on faisait un ange dans la neige lui dit alors Jeremie
Un ange ?! fit Aelita
tu ne sais pas ce que c'est lui fit Jeremie dubitatif.
je sais ce que c'est qu'un ange lui dit Aelita
Un ange voila un concept qui n'était pas inconnu a Aelita,sur lyoko ces ailes roses faisait d'elle une sorte d'ange virtuel mais ce que lui proposait Jeremie lui était inconnue.
Aelita : mais un ange dans la neige je ne connaît pas
Je te montre alors lui fit Jeremie
Pour donner l'exemple Jeremie se mit à tendre les bras en croix et se laissa tomber en arrière son corps entier s' enfonça dans le sol enneigé du jardin, Aelita se demandait bien a quoi Jeremie pouvait jouer.
Jeremie : est maintenant en exécutant des mouvements semi-circulaires on bat des bras et des jambes et sa forme un ange.
Pour illustrer son explication Jeremie se mit a exécuter les mouvement décris , la forme qui dessina ressemblait en effet a un ange avec le corp est les ailles,devant ce jeu amusant Aelita rejoint alors son compagnons dans sa démarche ludique.
Aelita : attend j'essaie moi aussi.
à son tour Aelita se laissa tomber en arrière et commença à reproduire les mêmes gestes que Jeremie ,du haut de la fenêtre du premier étage Michel et Laurence pouvait contempler le spectacle de deux petits anges dans la neige.
Michel : c'est pas mignon tout ça ma chérie
Laurence : je crois bien ne jamais avoir vue notre fils aussi heureux.
Confortablement au chaud Michel enlaça son épouse par derrière pour poser un doux baiser dans son cou sans perdre du regard le spectacle au dehors, ce qu'ils voyaient avait réchauffer leur coeur.
20 h 00
Tous le reste de la journée Aelita et Jeremie le passèrent à s'amuser ensemble, le soir venu la dinde de Noël fut cuisinée par Laurence qui avait pris Aelita comme assistante, la jeune fille se débrouillait bien pour battre les oeuf en neige avec un fouet, Laurence fit remarquer a Aelita que plus tard elle ferait sûrement une bonne épouse au foyer et que l'homme quelle épousera aura beaucoup de chance , ce compliment attentionné fit très plaisir a Aelita qui failli en oublier le gâteau quelle avait mis au four.
Le repas fut l'un des plus succulent que la famille est jamais goûté c'est avec les honneurs que les deux cuisinière se firent féliciter , pour le dessert ce fut un gâteau au chocolat qui fut servis aux convives.
Ce dernier était très crémeux Aelita s'en resservie deux fois sous le regard amuser des parents Belpois,ça faisait plaisir de voir qu'elle avait un si bonne appétit en plus d'un sacré coup de fourchette.
Michel : ma parole tu as un sacrée appétit Aelita,tu manges toujours comme ça
Aelita : assez souvent meme.
Laurence : pourtant tu es tellement svelte.
Aelita : je sais.
Comment Aelita pouvait elle avaler tous ça et rester aussi mince ? Laurence demanda a Aelita quelle était son secret.
Laurence : comment fait tu pour être aussi mince?
Aelita : je ne sais pas mais je ne prends pas 1 g à chaque fois que je mange.
Laurence : je suis presque jalouse alors que moi pour garder la ligne je suis obligé de faire des régimes hypocaloriques.
Aelita : mais vous n'êtes pas si grosse pourtant
car je suis obliger de faire attention fit Laurence.
Aelita : vous devriez faire du sport.
Cette remarque très innocente laissa un blanc sur le visage de tous les membres de la famille Aelita compris vite que la nature peu sportive de Jeremie était finalement héréditaire.
23 h 50
Après le repas les parents abandonnèrent les deux adolescents dans le salon fatigué de leur journée ceux était restèrent sur le canapé a regarder la télé le film du 24 au soir.
Demain ce serait la fête de Noël un grand repas avait été prépare pour accueillir toutes la famille, les parents de Jeremie devaient donc se reposer pour le lendemain pour être en forme pour accueillir toutes la famille Belpois et Duchêne.
Dans la cheminée le feu crépitait et Jeremie moins timide qu'à son habitude avait pris Aelita dans ses bras pour la tenir au chaud toutes cette journée a s'amuser les avaient fatigués et ce repas très copieux n'avait pas arranger la chose.
Pourtant aucun des deux ne voulais dormir , Il était tellement bien l'un contre l'autre que rein n'aurait pus les séparé.
La pendule du salon affichait minuit moins 10 quand le film se termina enfin, il allait bientôt être le 25 décembre, Jeremie avait demandé à Aelita de ne pas aller ce coucher avant minuit pour faire plaisir a Jeremie Aelita attendit encore quelque minutes pour pouvoir aussi lui souhaiter un joyeux noël
Elle savait que Jeremie avait une chose importante à lui dire, une chose qui ne pourrait pas attendre le lendemain matin c'est pour cela que Jeremie avait demander a Aelita d'être un peu patiente et de ne pas s'endormir
la jeune fille se demanda bien ce que Jeremie pouvait avoir de si important à lui dire mais elle n'allait pas tarder à le découvrir , minuit sonna 12 coups
25 décembre 2004 minuit.
Nous sommes le 25 lui fit Jeremie en regardant l'horloge du salon.
Cacher sous un cousin il sortit alors un paquet cadeau de couleur rose décoré d'un joli petit noeud doré qu'il tendit a la jeune fille.
Joyeux noël Aelita fit Jeremie en souriant.
Aelita ne répondit rein, elle ne s'attendais pas a cette action de la part de Jeremie meme si elle savait que c'était la coutume d'offrir des présent a noël.
Pourquoi Jeremie demandait elle simplement
Jeremie : c'est la tradition d'offrir des cadeaux à Noël mais je ne pouvais pas attendre demain matin alors c'est maintenant.
Jeremie lui tendais toujour le petit paquet a Aelita qui le pris elle le posa sur ces genoux elle resta alors immobile a contempler se beau présent .
Tu ne l'ouvre pas fit Jeremie
C'est un merveilleux cadeau que tu me fais la Jeremie dit Aelita qui ne faisait que tenir le paquet dans ces mains.
Attend de l'avoir ouvert avant de dire ça dit Jeremie un peu surpris.
Il vit une timide larme s'échapper des yeux de Aelita vraiment il ne comprenais pas sa réaction
Aelita tu pleure fit Jeremie .
Aelita : se n'est rien ,c'est juste l'émottions
Jeremie : alors ouvre le
Non fit alors Aelita
Bien pourquoi fit Jeremie qui ne comprenais pas l'attitude de Aelita
Aelita : parce que le contenu n'est pas aussi important que le geste et tous ce que tu viens de m'offrir
Sans rien ajouter de plus elle s'approcha de Jeremie et lui fit une bise sur la joue en lui murmurant a l'oreille
"tu m'as offert le plus beau cadeau qui soit... le premier noël donc je peux vraiment me rappeler et pour ça je t'en remercie".
Sans un mot elle quitta la pièce en laissant Jeremie assez abasourdit par ce quelle venait de lui dire , elle se retira dans sa chambre, tradition japonaise oblige on n'ouvre pas le cadeau devant celui qui vous la offert.
Plus tard dans l'intimité de la chambre de Jeremie elle déplia l'emballage, c'était un cd des Subdigitals dédicacé par tous ces amis, sur la pochette dessiner par Odd on pouvait lire le message suivant
"pour Aelita tes amis"
Et pour une fois c'est avec joie indescriptible qu'elle pouvait verser des larmes.
Fin du noël de Aelita
httpi222.photobucket.comalbumsdd247iggy-folCode%20Tanit/BarreTanit.jpg
pour lire ce passage je vous conseille d'ecouter cette chanson
http://www.youtube.com/watch?v=-BtcnY6NjoQ
Section 05 laboratoire 01
Dans le laboratoire numéro 01de la section 5 tous les techniciens avaient quitté leur poste, il était affiché 17 h25 a l'horloge, c'était la fin de journée tous étaient rentre chez eux pour retrouver leur famille ou leur lit avant de recommencé le meme cycle de travail le lendemain.
Cette zone d'ordinaire si agité avait retrouvé sa tranquillité, un silence profond régnait dans ce lieu, un silence seulement perturbé par le bruit des machines en état de veille donc le ronronnement constituait la seule forme d'activité dans tous le laboratoire.
C'est le pas tranquille qu'une femme vêtu d'une blouse blanche fit sont entré dans la pièce maintenant inoccupée, dans la salle éclairé d'une lumière blanche cette femme tenait un paquet dans ces mains elle dévérouila le sas d'accès et pénétra dans un grande pièce au centre de laquelle une immense machine se trouvait.
La femme se dirigea alors vers une zone précise de la pièce , elle passa a coté des tables de laboratoire ou diverse instrument scientifique était posé, elle arriva devant un miroir de projection installer a droite dans la pièce. se tenant devant la glace translucide elle se mit a appeler quelqu'un.
Tanit tu est la fit la femme
Le miroir s' illumina et le spectre holographique de la jeune I.A fit alors son apparition devant la femme pour répondre a l'appel.
Mère tu est la fit Tanit
Anthea : comme tu vois
Le docteur Hopper car il s'agissait bien d'elle avait du attendre la fin de la journée et le départ du personnel pour se retrouver seule a seule avec Tanit
Elle profitait de chaque fin de journée pour passer un moment intime avec Tanit loin des regards et oreilles indiscret des autres scientifique du laboratoire.
Anthea tenait ses mains dans son dos pour cacher la présence du paquet a Tanit qui elle la regardais au travers de ces capteurs optique placer sur la face avant du miroir, Tanit fut la première a prendre la parole.
Tanit : comment c'est passer votre journée mère.
Anthea : très bien et toi ma petite.
Tanit : j'ai assumer mes fonctions habituelle, j'ai calculer des phases de désintégration pour le docteur Howard Kinsley puis j'ai fais des extrapolations pour le docteur Boris Goliakof ensuite....
Tanit fit alors le récit de sa journée de travail, outres les aménagement de Neo-Carthage elle travaillait en collaboration avec tous les autres laboratoires de la section 5 bien que ces activités se limites finalement a faire des simulations ou des calculs a la demande de chacun des scientifiques.
la puissance du super calculateur était elle que Tanit pouvait se projeter dans plusieurs laboratoire a la fois.
Tanit : ... et le jeune Arnaud Morillon fini de mettre au point ces concepts d intelligence Artificiel.
Anthea : c'est une bonne nouvelle pour toi ça
Tanit : pourquoi mère ?
Anthea : sa vas te faire des compagnons de jeu
Tanit : je n'ai pas le temps de m'amuser et en plus c'est des garçons et des filles qui ne pensent qu'a se battre,moi sa ne m'intéresse pas leurs jeux guerriers.
Anthea : tu préférait jouer a la dînette avec eux.
Tanit : c'est quoi une dînette ?
Anthea : c'est un jouet pour petite fille qui veulent s'amuser a faire la cuisine.
Tanit : c'est quoi faire la cuisine.
Anthea : c'est une activité qui consiste mélangé des ingrédients pour faire des plats destiner a sustenter les êtres humains.
Tanit : comme la chimie organique en laboratoire.
C'est une façons de voir les choses fit Anthea.
Tanit avait beau avoir accès a une connaissance infinie elle était très étonner de certains aspect du comportement humain,meme si elle tentait de s'en rapprocher le pus possible
pour cela sa mère lui expliquait patiemment tous les concepts qui régis la vie humaine
Anthea faisait ainsi son éducation et cela lui procurait une grande joie que d' enseigner a Tanit.
En retour Tanit aussi éprouvait un grande joie, car au fil du temps Tanit avait développer plus que la reconnaissance du ventre pour le docteur Hopper et Anthea faisait tous pour que Tanit se comporte comme une petite fille ordinaire.
Sa petite fille
Pour cela Anthea avait passer du temps a établir un profil de personnalité qui se rapprochait assez de sa vision de l'enfant idéal, elle avait mis du coeur a l'ouvrage pour concrétiser ce projet le docteur Hopper enseignait tous ce qu'elle savait a Tanit depuis 6 ans, L'I.A enregistrait tous ce que sa mère lui apprenait.
Anthea se souvenait du jour ou Tanit c'était compiler pour la première foi, dans le laboratoire ou elle était apparu elle ne disait rein et semblais un peu perdu au milieux de cette espace virtuel.
Anthea fut la première personne avec qui elle pris contact, Anthea se présenta alors a Tanit comment étant sa mère et non son créateur.
Dés le début Anthea avait voulu gommer cette notion de créateur et créature qui pourrait exister entre elle est Tanit, Anthea ne considérait pas Tanit comme une suite de données mais comme la manifestation de son amour maternel pour sa fille disparu ,mais paradoxalement elle refusait de voir en Tanit un pale reflet de Aelita.
En créant Tanit Anthea avait voulu chasser Aelita de sa mémoire et non la faire revivre,quelque part Anthea avait perdu un peu pied avec la réalité, sa longue captivité en cellule y était pour beaucoup au fond d'elle meme elle savait que Tanit n'était pas humaine mais qu'importe elle la considérait comme telle, a ces yeux sa chimère était réel.
Quoi qu'en dise le personnel du niveau 5 de Cyclotron qui pour beaucoup étaient conscient que leur chef de projet était un peu obsédé par sa création,mais personne n'osait rien dire car Anthea n'avait jamais rein fait de mal et puisque cela ne se ressentait pas sur son travail on passait l'éponge sur sa lubie, on s'abstenait bien de faire des blagues a ce sujet
Bien que son mari s'en soit rendu compte lui meme, le docteur Hopkins n'avait pas le coeur a l'empêcher, après tous le mal qu'il c'était donner pour la sauver il n'allait pas la faire replonger dans le désespoir en la privant de la seule chose qui comptait a ces yeux.
Son enfant.
Anthea consacrait une partie de son temps améliorer la personnalité de Tanit chaque jour elle lui apportait un peu plus passant avec Tanit nuit et jour a se parler.
Mais aujourd'hui c'était un jour spécial quelle voulait fêter avec Tanit Anthea sortis alors le paquet de derrière son dos pour le tendre a Tanit.
Anthea : bonne anniversaire ma petite Tanit.
Tanit : tu as y penser mère et moi qui croyait que tu avais oublier.
Anthea : tu crois que j'allais oublier ce jour alors que j'y pense depuis des mois
Tanit : non évidement sa parait logique.
Anthea : aujourd'hui sa fait 7 ans que tu as vu le jour et comme sa fait dans ces cas la je t'ai apporter un cadeau.
Tanit : de quoi s agit il ?
Anthea : a toi de le deviner et tu n'as pas le droit utiliser tes scanner a rayons x, sinon sa serais de la triche.
Obéissant au moindre souhait de sa mère L'I.A se mit a chercher ce que le paquet pouvait bien contenir, connaissant les attentions de sa mère Tanit savait qu'il s agisait peut etre d'une amélioration technique ou d'un programmes informatique il était donc logique dans cette continuité du plaisir qu'il ne pouvait s'agir que de ça.
Tanit : serait-ce une nouvelle interface de régulation de mes système annexe
Anthea : non
Tanit : un code séquentiel de compilation
Anthea : non plus
Tanit : est ce hardware ou software ?
Anthea : ni l'un ni l'autre .
Tanit : c'est n'est pas technique comme cadeau ?
Anthea : Tanit ne raisonne pas technique, pense en petite fille
Mais le raisonnement d'un être humain était encore assez abstrait pour Tanit, elle n'arrivait pas deviner ce que pouvait cacher les attentions humaine et le faite que sa mère n'agisse pas de façons logique lui posait des problèmes a déterminer la nature du présent.
Mais Anthea avait toute le patience qu'il fallait, elle savait que sa fille finirait par y arriver mais il fallait pour ça lui donner un petit coup de pouce.
Anthea : pour t'aider je vais te donner des indices
Tanit : je vous écoute mère.
Anthea : pour commencer de quoi avons nous parler hier.
Tanit : nous avons débattu sur la résistance des structure atomiques des....
...Tanit fit Anthea pour reprendre a l'ordre L'I.A
Sur le plan personnel des fleurs et des couleurs se reprit L'I.A
Anthea : bien et cela nous a amener a parler de quoi.
Tanit : a parler du printemps
Anthea : très bien et j'ai évoquer quoi en parlant du printemps.
Tanit : vous avez parler des balades au bord de l'eau entre une mère et sa fille.
Anthea : hummm parfait et d'après ce que je t'ai dis comment commémore t'on le printemps.
Tanit : par les cadeaux du renouveau qu'offre les mère a leur fille.
Anthea : et qu'offre les maman a leur petites filles a ce moment la
Tanit : des vêtements
Anthea : alors tu ne devine toujours pas le contenu du paquet.
Tanit : c'est un vêtement ?!
Anthea : oui regarde ce que je t'ai acheté.
En dépliant le paquet Anthea en sortis une jolie petite robe violette décoré de fleur blanche
Anthea : comment la trouve tu ?
Tanit : elle est magnifique mère
Anthea : je savais quelle te ferais plaisir
Tanit : mère pourquoi m'offrez vous un telle présent
Anthea : car tu est ma fille
Tanit : mais je ne peux pas la porter.
Anthea : pas encore mais un jour viendras ou tu le pourra
Tanit : j'ai hâte d'être ce jour la
Anthea : il viendra d'ici la je te garderai cette robe. j'espère seulement quelle sera taille
Tanit : si vous avez bien choisit cela ne devrait pas poser de problème
Anthea : je voudrais tant te voir avec.
Tanit : pour ça c'est facile mère..... ne bougez plus.
A cette instant des faisceaux laser balayèrent la pièce pour frapper la robe qui fut aussitôt scanner sous toutes les coutures est en moins de temps qu'il ne fallut pour le dire un modèle numérique parfait de la robe fut reproduire, Robe que Tanit portais sur elle, elle se mit alors a tourner sur elle meme pour montrer a Anthea quelle points son cadeau lui seyait a ravis
Anthea en eut les larmes au yeux de voir que sa petit fille était encore plus belle avec cette robe.
Tanit : elle me va bien mère.
Anthea : c'est vrai mais celle-ci n'est que virtuel je voudrais que tu porte la vrai.
Tanit : c'est impossible je suis...
Anthea : je sais... mais un jour viendra ou tu pourras la porter pour de vrai
Tanit : vous le croyez vraiment mère
Anthea : je travaille dans ce but
Tanit : j'en serais si heureuse
Anthea : et moi je me réjouis à l'idée qu'un jour tu puisse être une vraie petite fille
Tanit : je suis déja votre enfant
Anthea : oui Tanit tu est ma fille
Tanit : tous comme grande soeur Aelita
Soudain le visage de Anthea s'obscurci a cause du noms que Tanit venait de prononcer ,L'IA vit bien qu'elle avait fait du tord a sa mère,sans le vouloir elle avait rouvert une vielle blessure que Anthea tentait de cicatriser, Tanit s'en excusa aussitôt
Tanit : pardon mère je ne voulait pas vous faire de la peine.
Sa ne partais d'une mauvais attention fit Anthea en relevant le visage tous en s'efforçant de sourire.
Tanit : je suis vraiment désole mère
Anthea : je sais ma petite fille tu n'as pas a t'excuser, sa ne change rein a tous ça
Anthea ne voulais plus parler de son passé seul l'avenir comptait maintenant, l'avenir qu'elle se construisait avec Tanit dans le but de faire de l'IA une vraie petite fille, une humaine faite de chair et de sang pour ça elle employait tous les ressources qui était a sa disposition pour que un jour.....
... je puisse te serrer dans mes bras fit Anthea.
Tanit : je l'attend aussi mère.
Anthea : mais il nous faut encore être patient
Tanit : ne n'aviez vous tu pas dit qu'un projet était en cour pour cela.
Anthea : il est compromis, l'homme avec qui j'ai passé un accord est mort.
Tanit : que c'est il passé ?
Anthea : apparemment l'expérience a mal tourner et le prototype a été détruit ainsi que le laboratoire et toutes les recherches.
Tanit : donc plus d'enveloppe de chair pour moi.
Anthea : pour ce qui est de te fabriquer un corp de substitue c'est terminé, il va falloir se rabattre sur mon deuxième projet
Tanit : la matérialisation.
Anthea : la matérialisation en effet , le docteur Howard Kinsley de la section 5 a bonne espoir de réussir a mette au point un système de scanner
Tanit : cela peut il marcher ?
Anthea : si sa marche la matérialisation serais la plus grande découverte qui soit.
Tanit : la matérialisation est telle un concept viable ?
Anthea : mon ancien mari avait lui meme émis une théorie pour un projet de scanner et de virtualisation.
Tanit : et que cela a t'il donner ?
Anthea : rien il n'as jamais put concrétiser sa théorie
Tanit : donc rien ne prouve que sa marche
Anthea : d'apres le docteur Kinsley les notes de Waldo sont justes mais incomplète
Tanit : donc se procéder est inachevé.
Anthea : pas tous a fait le scanner du laboratoire 4 est près mais il est encore expérimental , pour l'heure on sait décomposer un corp mais le restructurer c'est une autre histoire.
Tanit : si je comprend bien le processus est a sens unique
Anthea : c'est a cause que la théorie n'était pas achevée
Tanit : que lui manque 'til pour fonctionner de façon optimale.
Anthea : un protocole de matérialisation qui fonctionne, sans ça le systeme ne peut pas fonctionner en gros nous avons la serrure mais il nous manque la clé
Tanit : la clé ?
Anthea : oui la clé de la matérialisation.
Tanit : c'est donc un probléme mathématique basée sur un code.
Anthea : pas seulement le code génétique et aussi un obstacle car il faut pouvoir le recréer durant la phase de matérialisation.
Tanit : donc sans la clé et sans un code génétique il va être difficile de me matérialiser
Anthea : ton code génétique c'est celui de ma fille, je t'ai créer partir d'elle de ce coté c'est un plus,bien que pour l'adapter il y a fallu faire faire des concessions et modifier certaines chose
Tanit : comme la couleur de mes cheveux.
Anthea : le violet c'est imposer bien que aux départ j'avais opter pour le bleu.
Tanit : bleu ou violet quelle différence.
Anthea : tu as raison l important c'est que tu puisse venir,quand se jour arrivera j'aurais tant de chose a te faire découvrir dans notre monde , pour commencer nous irons nous promener au bord de la Tamise puis on iras voir les animaux au zoo
Tanit : sa sera merveilleux mère il me tarde déjà d'y être.
Moi aussi ma petite moi aussi soupira Anthea.
Anthea mis sa mains sur la vitre du projecteur Tanit en fit de meme en signe d'amour, une mains faite chair et l'autre de pixel poser l'une contre l'autre séparé par le verre, une barrière infranchissable pour deux coeur battant a l'unisson.
chapitre 12 Bon retour parmi nous.
Je ne sens plus son souffle...................son coeur bat encore...................vite apporter moi une assistance respiratoire ...................dépêchez vous...................infirmier...................injecter lui deux milligramme de...................respire bons sang................... respire.................n'abandonne pas...................
Au bout de quelque instants Maeva commença à reprendre ces esprits, ces yeux s'ouvrir de nouveau à la vie.
La réanimation artificielle avait porter ces fruits, Maeva respirait a nouveau normalement, quelle satisfaction cela fut pour le Docteur Robinson de voir sa petite protégé renaître,grâce a une intervention rapide des médecins le pire avait été évité sur le coup Maeva voulu se lever mais le docteur la pria de rester allongé.
Non Maeva reste allongé,surtout ne bouge pas.lui fit le docteur en la tenant sur le lit
On lui avait mis un masque a oxygène sur le visage pour stimuler sa respiration, elle voulu porter sa mains a sa bouche pour le toucher mais le docteur lui dit de ne pas le toucher, qu'elle devait garder ce gênant accessoire car c'était pour son bien.
Maeva regarda autour d'elle pour savoir ou elle se trouvait en clin d'oeil elle reconnu cette endroit...
___________________________Chambre 24A___________________________
Sur le coup cela lui paru incroyable elle était de nouveau dans la chambre d'hôspital ou elle était arrivé la première foi.
en voyant sa elle voulu vraiment se lever mais son corp refusait de bouger de plus le docteur insista de plus belle en lui disant de rester coucher.
Pourquoi l'avait t'on ramener dans cette chambre ? mais le plus étrange encore fut la présence du docteur Holstein et de Samuel l'infirmier.
Samuel ?! il n'avait pas été renvoyer se souvenait elle et comment avait telle put revenir Ici aussi vite ?
Est bien ont peut dire que tu nous fait une sacrée frayeur lui fit le docteur
Elle chercha a répondre mais en était incapable sa voix avait disparu, elle voulait ouvrit la bouche mais ne le pouvait pas car tous son corp était comme paralysé, Maeva venait d'être victime d'une attaque respiratoire elle ne parvenait plus trouver son souffle et risquait de mourir par suffocation.
Par chance le Dr Robinson accompagné de son directeur l'avait retrouver allongé sur son lit inanimé ils avaient pus la sauver en lui faisant une réanimation artificielle.
Mais le doute planait encore quant à son état de santé, par mesure de sécurité Maeva fut emmener dans la partie soin intensif de l'hospital pour y être placé en observation.
Tous ceci n'était pas étranger a Maeva cette situation elle l'avait déjà vécu, le Dr Robinson resta tous le temps à côté d'elle en lui tenant bien la main ne la quittant pas une seule seconde.
Il fallait rassurer Maeva qui devait être effrayer d'avoir subit une telle crise,accompagnée de son chef de service le docteur Holstein ils mirent Maeva sur un brancard, ils roulèrent tout le long du couloir franchissant porte sur porte pour finalement arriver dans une grande salle blanche que Maeva reconnu tous de suite.
C'était la salle des scanner ou elle avait passer son premier IRM elle la connaissais déjà mais pourquoi l'avait-on ramener de nouveau dans cette endroit ? , ne lui avait ton pas déjà fait passer tous ces test.
Maeva été incapable de bouger elle ne pouvait rien faire de plus que d'assister au spectacle
Dr : nous allons te faire une radiographie des poumons tu te souviens de ce que c'est une radio ? c'est ce qu'on a fait quand on était avec Clarisse.
Bien sur que Maeva savait ce qu'était une radiographie des poumons par onde magnétique elle l'avait appris en lisant des magazines scientifiques, pourquoi diable le docteur lui parlait comme si elle était une attardé ? il savait bien qu'elle avait un QI sur-développer.
Maeva fut allongé sur la table d'analyse,alors que les gros appareils étaient en train de lui passer dessus pour prendre de multiples photographies puis de nouveau Maeva fut prise de panique elle commença a s'agiter le responsable lui ordonna de se calmer mais Maeva ne parvenait pas a se calmer elle ne le contrôlait plus son corp celui ci semblais agir de lui même.
Calmez moi cette patiente fit le docteur Holstein
A cette instant Samuel l' infirmier se saisit de Maeva pour la plaquer contre le lit, ces lourdes mains firent mal a Maeva qui était plus agiter que jamais le docteur Robinson pria l'infirmier de ne pas serrer si fort mais celui si prenait un certain plaisir a maintenir la jeune fille de cette façon.
Le docteur Holstein arriva vers Maeva et lui fit une piqûre dans l'avant bras, la vision de Maeva se troubla et elle s'endormit, une fois les examen finis son lit fut transporté dans une autre chambre.
En attendant les premiers résultats des scanners le docteur resta auprès de la jeune fille qu'il ne quitta pas d'un sourcil, celle-ci dormait paisiblement sous l'effet du sédatif qu'on lui avait administré.
Le docteur Robinson espéra que ce genre d'incidents était seulement isolé et que celui-ci ne cachait pas quelque chose de beaucoup plus grave.
Il faut dire que les premiers tests du docteur Robinson n'était pas complets il avait surtout cherché à détecter un traumatisme crânien sans approfondir le reste.
Il fallait faire a Maeva un check-up complet pour s'assurer quelle n'avait par d'autres troubles et seule une analyse poussée permettrait de le déterminer
Le docteur Holstein demanda au Dr Robinson de sortir avec lui dans le couloir afin de statuer sur le cas de cette enfant. tous de suite le docteur Holstein ne cacha pas son mécontentement
Dr Holstein : et bien docteur Robinson on peut savoir ou vous avez été la pêché cette enfant ?
Dr Robinson : que voulez vous dire docteur
Dr Holstein : je dirais que vous avez dénicher la un sacrée cas
Dr Robinson : c'est en effet un cas particuliers
Dr Holstein : c'est une vraie sauvageonne que vous nous avez ramener la.
D'emblée le docteur Robinson n'appréciait pas le ton que venait de prendre le directeur, il faut dire que les deux hommes ne s'appréciait pas vraiment a cause de leur différent sur leur méthodes de travail.
Dr Robinson : elle n'est pas sauvage elle est juste traumatiser
Dr Holstein : c'est votre diagnostique préliminaire
Dr Robinson : le premiers que j'ai établis concernant cette patiente.
Dr Holstein : donc il n'est pas complet
Dr Robinson : au vu de la situation il ne m'as pas été permis de l'approfondir.
Dr Holstein : donc vous ne savez pas quelle trouble peut présenter ce cas
Dr Robinson : pas dans l'immédiat.
Dr Holstein : alors dans le doute il faudra prendre des mesures plus strictes si sont comportement ne s'améliore pas
Dr Holstein : que voulez vous dire ?
Dr Holstein : dans les premiers temps il faudra la tenir a l'écart des autres patients et maintenir sa chambre fermé.
Dr Robinson : vous voulez l'enfermer !
Dr Holstein : c'est pour son bien et celui de nos autres patient, on ne peut laisser une telle "agitée" au contact des autres enfants.
Le docteur Robinson resta sans voix , il n'aimait pas ce genre de méthodes venant d'un autre siècle mais le docteur Holstein était de la vielle école, pour lui les "cas particulier" devait être traité de manière particulière, concernant Maeva il doutait du faite que son subalterne puisse faire quoi que se soit pour aider ce cas la.
Dr Holstein : vous croyez pouvoir guérir son coté "sauvageonne"
Dr Robinson : je doute quelle soit si "sauvage" que ça, elle avait juste peur
Dr Holstein : peur ou pas si elle vient a faire ce genre de crise elle pourrait blesser d'autre enfant
Dr Robinson : c'est une possibilité que j'ai envisagé
Dr Holstein : je vous rappelle que vous êtes responsable de cette patiente
Dr Robinson : je le sais
Dr Holstein : en cas de problème tous vous retombera dessus
En ayant engagé sa responsabilité personnel le docteur c'était lui meme mis dans une position inconfortable tous ce que serais susceptible de faire Maeva lui retomberai automatiquement dessus.
Le docteur Holstein ne pouvait pas rêver d'une meilleure opportunité pour réprimander son subalterne d'avoir pris une telle décision sans en avoir informer ces services au préalable.
Le fait que le docteur Robinson introduise Maeva dans l'établissement de son propre chef avait irrité le docteur Holstein
Celui ci avait pris ceci comme un affront de la part du docteur Robinson de plus cela faisait longtemps que celui ci avait une dent personnel contre lui, il n'appréciait pas les méthodes de ce dernier qu'il jugeait trop simpliste et non conforme.
Mais les bon résultat obtenu part le docteur Robinson lui avait valu une certaine forme de jalouse de la part de son directeur
Le docteur traitait ces patients avec beaucoup d'humanité ce qui le différenciait assez des autres médecins
Mais son directeur ne l'aimait pas tellement il aurait bien voulu se débarrasser de ce médecin qui allait souvent a l'encontre des règles,il passait pour un original dans son approche des troubles psychologique mais jusqu'à présent il avait toujours réussi a soigner ces patients, le docteur Holstein ne pouvait rein intenter contre lui sans que le syndicat des médecin ne lui tombe dessus, donc il dut prendre son mal en patience.
Dr Holstein : vous avez de la chance d'être un bon médecin mais a l avenir ne prenez plus ce genre d initiative
Dr Robinson : vous voulez me blâmer
Dr Holstein : non juste vous avertir
Si jusqu'à présent le docteur Robinson n'avait pas commis d'impair de récent événement dans sa vie avait affecter son travail, il avait un peu perdu sa concentration et voila qu'il ramenait
un patiente visiblement "attardé"
Cette sensiblerie le docteur Holstein ne manquerait pas de la rappeler a son subalterne a la moindre incartade de sa nouvelle patiente.
Le docteur Holstein se frottait les mains, intérieurement il savait que a la moindre faute il pourrait éjecter ce docteur indélicat et cette enfant sauvage allait sûrement lui être très utile a limoger cette encombrant médecin, c'est pour ça qu'il avait accepter qu'elle vienne en a sachant qu'il ne ferait rein pour l'aider.
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Loin des ces manigance médicales Maeva se reposait dans la chambre des soins intensif,elle était relier a un respirateur artificielle par un masque qui lui apportait de l'air, à côté d'elle le ballon d'oxygène n'arrêtait pas de monter et de descendre dans l'appareil.
Quand elle rouvrit les yeux elle ne pouvait toujours pas bouger son corp, elle put juste constater qu'au dehors la nuit était déjà tomber
- Que lui arrivait il ?
- Pourquoi sont corp se mettait il a la trahir ?
- Et cette impression de déjà vu !!!
Cette situation était vraiment bizarre, elle l'avait déjà vécu au début de son hospitalisation puisqu'elle l'avait consigner mot pour mot dans son journal.
Maeva se posait tous un tas de question quand soudain le docteur entra dans la chambre du moins elle supposait que c'était lui car subitement la pièce commença a s'obscurcir.
Maeva regarda autour d'elle, petit à petit tous les murs commencèrent à s'effacer et il fut remplacé par un environnement noir, son lit semblait flotter au milieu de l'espace, toujour paralyser Maeva ne pouvait que regarder que de droite à gauche avec ces yeux
Qu'elle pouvait être ce mystérieux phénomène qui lui arrivait il encore ?
Le docteur apparu soudain devant son lit Maeva poussa un cri sans bruit par ce quelle vit cette instant.
Le visage du docteur avait disparu, il n'y avait plus rein, les yeux le nez la bouche tous avait disparu la tête n'était plus qu'une face lisse, effrayée Maeva voulu se relever mais elle était incapable de bouger aussi bien les bras que les jambes ,elle compris rapidement pourquoi
De droite à gauche elle vit que des ombres translucide étaient apparues, ces ombres commencent à prendre une forme humaine,on aurait dit des enfants mais comme le docteur eux aussi n'avaient point de visage, il se saisirent de Maeva,son bras droit fut maintenu par ce qui semblait être une fille toutes vêtues de noir avec des cheveux mi longs alors que son bras gauche était maintenu par un garçon vêtu d'habit de couleur kaki très militaires il avait des cheveux marrons en face d'elle le docteur avait été remplacer par un être violet très svelte qui lui maintenait les jambes Maeva ne pouvait absolument plus bouger ne serait-ce qu'une partie de son corps.
Elle sentit aussi que quelqu'un d'autre lui maintenait la tête mais elle n'arriva pas à voir de qui il s'agissait.
Cette situation cauchemardesque qu'elle vivait lui paraissait suréaliste
C'est alors qu'elle put voir au-dessus d'elle le mystérieux jeune homme blond de ces rêves,celui-ci semblait flotter au dessus d'elle alors que les autres apparition se contentaient de la maintenir
Le jeune homme commença à se retourner pour faire volte-face a Maeva,mais lui aussi n'avait pas de visage cela effraya de plus en plus Maeva
Le jeune garçon en bleu commença à descendre lentement vers elle ,tout en restant a l' horizontal, arrivé a 50 cm de Maeva il s'arrêta alors, ces bras commencèrent à se reprocher du visage de Maeva doucement il posa ces mains sur ses joues comme si il voulais l'embrasser.
Ces mains étaient si glacé quelle auraient pus lui brûler la peau lentement il les fit glisser le long du menton de Maeva pour arriver au niveau de sa gorge l'éffleurant a peine du bout des doigts
Soudain le jeune homme lui serra violemment la gorge il commença alors une étreinte mortelle de plus en plus fort, Maeva suffoquait ne parvenant plus à respirer
Pourquoi faisait il cela ?
Au cour de cette torture il lui sembla entendre des rires joyeux, chacune des apparitions semblait rire de la voir souffrir alors qu'elle était en train de sombrer dans l'inconscience elle vit que des sourires commencèrent à se dessiner sur ces visages sans expression....
------------------------------------- je ne veux pas mourir-------------------------------------
Maeva se réveilla subitement sa respiration saccadée lui était revenu , elle était allonger sur le sol froid du musée alors que tous autour d'elle une foule de personnes c'était amassée pour voir ce qui se passait.
Elle vit le docteur qui était presque en pleure il n'avait pas pu contenir pas sa joie de la savoir en vie il s'inclina légèrement vers elle et lui demanda si tout allait bien.
Une fois de plus Maeva venait de subir une nouvelle attaque et celui-ci l'avait plongé dans un rêve paradoxale
Comme quand on revoit sa vie défiler sous ces yeux avant de mourir, l'espace d'un instant elle revécu l'un des épisodes les plus troublants de sa vie.
Celui de son hospitalisation et de l'attaque qu'elle avait subie par chance ce jour-là le docteur avait réussi à la ranimer à temps et aujourd'hui il venait à nouveau de lui sauver la vie
Elle voulut se lever le docteur lui dit de ne pas bouger mais Maeva insista pour se remettre debout parce qu'elle avait froid a cause de la dalle glacé du musée sur laquelle elle se trouvait
Tous cela n'était donc qu'un rêve pensât elle
Son attaque,l'infâme docteur Holstein et le tyrannique Samuel tous n'était qu'un cauchemar de plus ou du moins un souvenir de son journal.
Elle regarda le docteur avec des yeux étonné, comment avait-elle pu imaginer un instant que le docteur puisse lui vouloir du mal
Se pourrait-il que les souvenirs déclenchent chez elle ces crises ? Pour Maeva se fut un cauchemar sans noms, bien sur de nouveaux éléments étaient encore apparues
Cela faisait beaucoup d'informations assimilées d'un seul coup pour Maeva mais les réponse approchaient de plus en plus, elle le sentait
Lyoko est ces démons , des miroirs sans reflets , des ombres qui dansent , et maintenant des humains sans visage , mais une seule constante a tous cela
Sa mort...
Pourquoi voulait t'on la tuer dans chacun de ces rêves ?
Il faudrait sûrement encore des semaines de thérapie pour élucider ce mystère, mais elle ne voulait pas que cet incident gauche une journée qui avait pourtant très bien débuté
Mais cette incident ne fut pas sans conséquence pour Maeva, le docteur estima que Maeva devait impérativement retourner a l'hospital pour faire des examens supplémentaires,
il décida alors de la ramener à l'hospital pour une nuit histoire la mettre en observation
Quelle malheur pour Maeva voilà deux jours qu'elle n'avait pas quitté hospital qu'elle était déjà obligée d'y retourner, à croire vraiment que le sort s'acharnait sur elle.
Mais c'est sa vie qui était enjeux et le docteur ne voulait pas prendre la moindre risque.
Son supérieur lui avait bien rappelé les règle a suivre et le docteur comptait bien appliquer ces règles à la lettre.
Malgrés une protestation de la jeune fille,il en fut décider ainsi qu'elle le veuille ou non ce soir Maeva retournerai a l'hospital.
chapitre 12 W
Appartement 47 - Londres -Angleterre - 26 septembre 2004 - 21 h 05
Le soir venu le colonel avait regagné son appartement privée, pour les besoins de l'enquête on lui avait allouer un petit appartement d'immeubles de 5 pièces tous équipés plutôt luxueux pour un revenu moyen mais il ne fallait pas s'y fier.
Cette immeuble en apparence banal appartenait au MI5 il servait en faite de base pour des opération secrète,autant dire que de nombreux agent vivaient dans ce bâtiment , mais tous contact était interdis entre eux hormis les formules de politesse d'usage.
Bonjour - au revoir - a se soir - etc...
le colonel pouvait donc dormir sur ces deux oreilles, en sous sol des agents assuraient la surveillance du bâtiment derrière leur écran de contrôle via toutes les micro caméra caché dans le couloir question sécurité toutes les vitres de l'appartement était blindé et les appel téléphonique était filtré.
Le colonel aurait très bien pu rester sur la base militaire de Westfield mais pour les besoins de la missions il fallait qu'il soit très mobile,dans se bâtiment a la James bond il pouvait sortir en toute discretions en utilisant les passages secret du sous sol ou il pouvait accéder a un parking souterrains ou des véhicules de fonction l'attendais ce qui lui évitait de se faire repérer ou d'être surveiller par un éventuel ennemis.
Étant en parfaite sécurité le colonel pouvait travailler sans craindre de se faire attaqué en pleine nuit ,voila qui le changeait des champs de bataille en Afganistan ou il était dangereux de s'endormir.
Pour son enquête il avait emmené avec lui son ordinateur portable pour continuer la lecture de ces dossiers secret ,ceux-ci ne s'avérait pas tellement intéressant dans la mesure où le colonel les avait pratiquement déjà tous étudier.
Dans leur analyse il essayait pourtant de faire le lien entre ces affaires et les 8 sites visé par Xana,ceci dans le but de trouver un dénominateur commun à toutes ces attaques.
Mais a part les sociétés Cyclotron et Global computer rein ne semblait lier entre elle ces différente affaires.
A part le noms de ces deux sociétés il n'avait que ces deux pistes mais fallait il qu'elle soit bonne,en bref son enquête piétinait et beaucoup de choses restait a élucider
Il se frotta les yeux a cause de la fatigue, sa journée il l'avait passé a remplir des formulaires avec le lieutenant Fraggle ,il alla alors dans sa petite cuisine aménagée pour se servir un petit remontant.
C'est un verre a la mains qu'il sa posa a nouveau sur son canapé pour réfléchir calmement a tous ça.
En repensant a tous ces événements il se disait qu'il avait été plus de chanceux que le major dans cette affaire, quelques coupures dans le dos, des broutilles en comparaisons de la balle qu'il c'était pris dans la jambe gauche, une sale blessure de guerre qui lui avait valut plusieurs mois d'hospital et de rééducations et qui l'avait conduit a être muter au services du renseignement ou il avait du jouer aux analystes
Pendant un an il avait passer ces journées a filtrer des écoutes téléphoniques et a classer des dossier d'archives, ce travail était si peu passionnant qu'il prenait souvent le temps d'étudier des vieux dossier d'archives pour s'occupé,il avait lut par exemple tous les détails de l'affaire Farewell ou celle des projets secret des années 70 auxquelles sont père avait pris part.
En parlant paperasse il lui revint en mémoire que le lieutenant Fraggle lui avait fait signer les formulaire de dédommagement pour les dégât occasionner a l'université
Il imaginais déjà les piles de formulaire qu'il aurait a remplir lors dés son retour en France cela lui fit froid dans le dos ,l'administration française n'était pas en reste par rapport a celle des anglais, un vrai casse tête a elle seul plus difficile a détortiller qu'une pelote de laine cela avait au moins l'avantage de la mettre a l'abri des actes terroristes.
C'est donc sans entrain qu'il se mit à lire le reste des dossier, il parcouru les lignes avec beaucoup d'attention sans pour autant trouver la moindre correspondance.
A croire que les objectifs de Xana étaient vraiment commis au hasard.
Pour le colonel il fallait résonner autrement pas en terme d'attaque mais de conquête ,a l'aide d'un calepin il se mit a établir un raisonnement logique.
< Raisonnement >
"Si attaque il y a qu'est ce que l' organisation Xana cherche a faire ?"
"destruction massive et aléatoire"
" Non avec de telle moyen mis en oeuvre leur objectif et sûrement autres"
"Admettons alors que l' organisation Xana veuille prendre le contrôle des super-calculateur pour y aménager un environnement virtuel et après ?
"si c'est bien pour semer la destruction c'est réussi, ce serait la panique totale"
"mais si c'est dans un autre but ,ce serait quoi ? "
" préparer un invasion en neutralisant les moyen de communications"
" sa se tiendrais mais alors quelle intérêt a viser des sites civil non stratégique"
" serait ce un test ou une répétitions avant une attaque de plus grande envergure"
" si c'est le cas quelle est la cible ? et quel est leur modus operandi "
" Explosion et possession des gens par ordinateur ?!!!"
Le colonel avait du mal a croire ce qu'il disait, il devait forcément y avoir une raison plus sérieuse que ça,mais dans sa réflexion il m'arrêtait pas de repenser a l'accident du super calculateur de l'université avec tout ce que cela avait impliqué
"Si ils peuvent hypnotiser des gens il sont alors capable d'anéantir tous les structures de commandement d'un pays depuis l'intérieur"
" delors ils pourrait prendre en otage un pays en entier"
"mais pour cela il leur faut des bases, des sortes d'avant poste"
Le colonel raisonna en militaire en considérant que cette organisation pouvaient cherchez a implanter des avant postes via les super calculateur
" mettre en place des avant postes qui servirait de point de chute a une attaque plus massive"
" ça se teins.... on place les pions et on attaque c'est comme au échec"
Les échec et la guerre sont similaire, les plus grand généraux de l'histoire contemporaine savait tous jouer au échec car cela consistait a placer ces pions avant de lancer une attaque donc le but final etait de mettre le roi adverse en échec
"des lors si les super-calculateur sont les pions que l'on prend et place, qui est le roi qu'on recherche a mettre en échec ?"
"autrement dit quelle est l'objectif final"
le colonel tapota la pointe de son crayons sur le mot objectif , puisque l' activité de Xana se concentrait sur l Angleterre et la France et n'avait été recensé nul part ailleurs cela voulait dire que leur objectifs principaux si trouvait.
Mais le colonel n'avait plus la tête a ça fatiguée de sa journée de tout ce que lui avait dit en plus colonel commençait à se laisser a la fatigue
Avachi sur son canapé dans le calme de son appartement de fonction il se remit a penser au major.
Major Cartwright..............Amanda...................pensât il
Un sacrée petit bout de femme dotée d'un caractère bien trempé meme si il lui n'arrivait d'avoir des moment d'égarement une vrai scientifique en somme, le colonel se demanda si elle...
A quoi bon François tu n'as pas besoin de ça pour le moment se dit il en se frappant les joues avec ces mains.
Il sentis de plus en plus porté par la fatigue,il fut sur le point succombé au sommeil quand tout à coup son téléphone portable se mit à sonner tirant le colonel de sa torpeur il se jeta sur le téléphone posé sur la table et quelle surprise de voir sur l'affichage a cristaux liquide le symbole W
W fit le colonel
Le W était de nouveau apparu, aussitôt le colonel posa le téléphone sur la station de travail et mis le mode de détection en marche, au bout de la huitième sonnerie le téléphone était en phase avec le système de localisation le colonel décrocha alors son portable.
"Allô" fit-il
" François Perec" fit une voix métallique.
Le colonel n'avait plus aucun doute a avoir son mystérieux interlocuteur le connaissait, mais il ne devait pas se démonter est rester prudent cette appel inconnu ne lui inspirait que moyennement confiance,c'est alors qu'un subtile petit jeu de questions/réponses allait bientôt s'engagé entre les deux.
"qui est à l'appareil"
"cela n'a pas l'importance sachez seulement que je peux vous aider dans votre enquête"
"je ne vois pas de quoi vous voulez parler" fit le colonel en feignant l'ignorance.
"je comprends bien que vous fassiez l'ignorant vous êtes bien un militaire"
à cet instant le colonel ne répondit rien, son interlocuteur semblait en savoir énormément sur lui ,mais sans connaître la nature exact de W , il était hors de question de confirmer quoi que se soit ou de divulguer une quelconque information
C'est alors que la voix reprit de plus belle,apparemment celle-ci avait le temps de discuter cette fois.
"Écoutez colonel le temps nous est compté donc je serai donc bref veillez donc ne pas m'interrompre avec vos questions"
Le colonel était rompu écouter des ordres sans broncher il pris donc la peine d'écouter ce que son interlocuteur avait à lui dire sans poser de questions.
"Je vous écoute" fit le colonel
"vous voulez savoir ce qui provoque des perturbations alors sachez juste ceci"
pour stopper Xana je vous conseille d'enquêter sur les agissements de la société global Computer."
Global Computer voila que se noms sortit de nulle part prenait soudain une importance capital, le colonel rompit le silence en posant une question
"est-ce que vous pouvez m'en dire plus" demanda le colonel
"Non sinon votre vie serais en danger" fit la voix
W mettait en garde le colonel contre un nouveau danger de mort oui mais lesquels ? le colonel voulu vraiment en savoir plus.
"Mais qui êtes-vous" fit le colonel.
"Un allié" répondit la voix
"Un allié !" fit le colonel
"je n'ai plus le temps je vous recontacterai plus tard"
attendez ........ fit le colonel.
La communication fut coupée seul résonnait dans le combiné le signal des bip sonore, le colonel regarda sur la balise de son ordinateur pour voir si la source du signal avait été localisé,malheureusement cela n'avait rien donné l'appel semblait venir de nulle part, il avait sûrement été déroutée par de multiples satellites de télécomunication se qui rendait sa localisation impossible.
Il fallait croire que son interlocuteur avait pris toutes les précautions nécessaire pour ne pas être repéré par les services secret ou par ces ennemis ,car si effectivement le mystérieux W était un allié, il y avait des chances qu'il soit un ennemis de l'organisation Xana
Mais est ce que le colonel pouvait se fier à ce que lui avait dit son interlocuteur ?
Il lui avait pourtant sauver la vie lors de incident du super calculateur de l'université.
Mais les ruses de se genre était légion dans ce milieux fleurie qu'est l'espionnage et gagner la confiance d'un agent pour mieux le tromper et monnaie courante, la question alors etait de savoir si il fallait jouer ou non le jeu de W.
Mais si W était honnête peut-être le colonel tenait il enfin une piste,Global Computer il avait lui-même déjà suivit cette piste mais comment W pouvait il etre au courant qu'ils enquêtaient sur l'organisation Xana ?, y avait il eut des fuites dans les services secret ?
Le lendemain le colonel s'en alla retrouver le major Cartwright pour lui faire part de ces informations au détour il passa auprès du lieutenant Fraggle pour lui remettre son téléphone portable afin que celui-ci puisse en extraire les indications sur l'origine du signal.
Au passage le lieutenant lui remis a son tour un dossier sur Global computer le colonel se rendit alors en trombe a l'hospital pour apporter les dernières nouvelles au major Cartwright
Sur le chemin qui le conduisit a l'hospital il fit d'intéressante découverte dans le dossier concernant Global computer.
Le doute n'était plus permis... cette fois ci il l'avait sa piste.....
chapitre 13 le retour de William
laboratoire 20 août 2005
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Aujourd'hui nous sommes le 20 août.
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Soit 1 jour et deux mois après l'enlèvement de Aelita.
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Triste anniversaire je ne vous le cache pas.
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Mais a quoi bon se lamenter ce n'est pas ça qui va la ramener.
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Ce sont les efforts que je fournis pour la retrouver qui le permettrons
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Mes amis et mes projets
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Enfin ça c'est quand tous sera près
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jusqu'à présent toutes les modifications que j'ai effectué sur le super-calculateur tiennent le coup.
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J'ai enfin réussi à stabiliser les matrices virtuelles
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Cela m'a permis de réactiver quelques programmes de base
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Je peux a nouveau créer des véhicules
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Se sera toujours un avantage de plus si on doit affronter nos ennemis
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Mais leur reprogrammation définitive attendra un peu
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Il me reste encore beaucoup d'éléments a remettre en service.
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C'est long est compliqué.
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C'est pas facile a faire sans avoir a éteindre le super calculateur
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Mais je suis obliger de le laisser brancher pour maintenir ma réplique active et poursuivre mes travaux.
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Déplus si je l'éteint j'ai peur qu'il ne se rallume jamais.
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ça ne me facilite pas la tache
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Mais après tous ce n'est pas la première fois que je suis obligé d'intervenir sur cette machine a coeur ouvert.
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Lorsque Xana avait essayé de la saboter j'ai bien été obligés de la réparer une première fois mais il faut dire qu'à l'époque le retour dans le passé avait grandement contribuer a ça remise en état.
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Mais je ne dois plus compter dessus, il m'as fallut apprendre a faire sans.
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et j'y arrive aussi
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Pour information, j'ai aussi également mis en place un protocole de protection autour du coeur de Lyoko
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A l'avenir les surcharges d'énergie ne risqueront plus d'endommager le système comme elle l'ont fait la première fois.
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Pour la sauvegarde du super-calculateur la défense et devenu essentiel.
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Pare feu , bouclier externe et interne assureront sa protection.
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Mais ces modifications ne suffiront pas tant que je n'aurais pas terminé mon grand projet
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Le projet T sera notre meilleur défense.
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la prochaine foi ces espèces de spectre ne feront pas long feu face a un guerrier qui leur sera 100 fois supérieur en force,en puissance et en vitesse.
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La revanche est un plat qui se mange au zéro absolu.
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Il faudra espérer qu'à l'avenir que nous n'aurons pas a faire a de telle ennemis
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Mais j'en doute (-_-)
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Bon mais avec tous ça n'oublions pas l'essentiel.... la rentrée.
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La rentrée approche à grands pas
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Ce sera une nouvelle année qui commencera pour tout le monde sauf pour moi.
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C'est un peu le retour de tous a la vie normale,enfin presque normale
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Alors que certain vont revisser pour leurs examens mes amis et moi,nous allons devoir partir à la recherche de Aelita
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"Passage secret - Insomnie - recherche active sur le réseau et combat"
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Une rentrée normale quoi (-_-)
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Du moins j'espère que nous n'aurons pas a nous battre
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La aussi je ne dois pas me leurrer
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On va pas aller frapper a la porte de nos ennemis en leur disant simplement.....
"Bonjour vous nous remettez ! vous nous avez attaquer il y a peu de temps et vous avez enlever notre amie donc maintenant si sa vous dérange pas on vient juste la récupérer et après on s'en vas.
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Faut vrai pas rêver mon pauvre Jeremie sa ne sera pas aussi simple
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( soupir )
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De plus on sait pas grande chose sur cette agresseur
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Si ce n'est qu'il est très dangereux, mais a par ça rien....
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C'est comme a la grande époque où nous combattions Xana.
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On plonge dans l'inconnu sans savoir se qui nous attend au bout.
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C'est vrai que nous n'avons que très peu d'indices pour nous aider
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Surtout des questions
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qui se cache derrière cette sphère ?
qui la contrôle ? est dans quelle but ?
pourquoi nous avoir attaquer et capturer Aelita ?
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Tant de questions sans réponse
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Pourtant ceux qui sont responsable de son enlèvement on bien une raison pour avoir agit de cette façons.
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On ne débarque pas dans un monde comme Lyoko juste pour faire du tourisme.
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D'ailleurs comment ont ils réussi a découvrir Lyoko et a si introduire ?
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(note annexe)
je ne parviens a pas comprendre comment ils ont réussi a contournée les défenses de Lyoko
normalement l'accès par le réseau est sécurisé et le système principal très protéger.
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Si Xana lui pouvait passer c'est parce qu'il avait les clés de Lyoko en sa possession et si nous en retour nous pouvions rentrer dans ces réplikas c'est parce qu'il les avait construit sur le meme principe que Lyoko.
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Ceci explique cela mais comment cette agresseur a put faire pour esquiver la barrière ?
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A moins d'être natif du monde Lyoko c'est impossible de cracker ce système de l'extérieur ou alors il aurait fallut pour ça profiter d'une faiblesse du bouclier virtuel de la sphère comme une brèche dans un mur
Mais la aussi c'est impossible a aucun moment le bouclier n'as subit d'avarie sinon j'aurais eut un signal d'alerte qui m'aurait avertis a cette instant
En plus l'enveloppe externe de Lyoko a n'as qu'une résistance limité, sans le bouclier l'océan numérique la détruirait en moins de 30 secondes.
Il faut absolument que je comprenne ce qui c'est passé sinon notre agresseur serait susceptible de revenir quand bon lui semble (1)
( fin de l'annexe )
Pour les retrouver j'ai juste un signal émis que j'ai réussi à localiser dans le réseau
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ça me semble assez floue et sans une recherche plus approfondie difficile de donner un avis
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Pourtant au cours de mes recherches j'ai capté deux types de signaux
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Le premier est celui de la sphère qui nous a attaquer.
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Seulement voila j'ai perdu sa trace 3 semaines après l'attaque.
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Pourtant je suis sur que la sphère n'as pas été détruit.
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elle a juste "disparu" ,comme si l'océan l'avait happé.
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j'ai les coordonnées précise de l'endroit ou le signal c'est interrompu
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c'est la que nous devrons commencer l'enquête
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Par contre ce qui m'intrigue un peu plus c'est le deuxième signal qui semble venir du fin fond de la mer numérique.
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C'est plus une sorte d'échos en continue qu'un vrai signal.
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Je ne veux pas émettre de théories alarmistes pour le moment mais cet écho pourrais bien être le signe d'une activité de Xana.
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là ce serait vraiment un cauchemar si Xana avait survécu et qu'en secret celui-ci prépare son retour.
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C'est une sacrée ironie du sort en soit.
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Enfin de compte réactiver le super calculateur n'aura peut-être pas été une erreur.
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Car si nous devions de nouveau avoir affaire à Xana nous serions mal barré.
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Sans Aelita nous ne sommes pas en mesure de désactiver une tour.
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Et impossible de détruire les tours car elle font intégralement partie du monde de Lyoko, elles en sont un peu le squelette
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Désactiver le super-calculateur serais la seule chose qui pourrait nous protéger d'une attaque.
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Mais sans Lyoko pas moyen de sauver Aelita
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Sacrée dilemme
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Notre derniers espoir sera le projet T
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l'arme ultime.
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Enfin ça c'est si je peux le finir avant une future "hypothétique" attaque
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Si je l'achève dans les temps nous seront prêts à recevoir Xana.
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Et la ce satanée virus aura la surprise de sa vie..
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Mais en priorité notre nouvelle mission sera de retrouver Aelita et par la suite de s'assurer que Xana est bien mort.
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Encore une fois-ci nous seront tous de la partie hormis peut-être William
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William ... pour parler de lui a encore été au coeur d'une vive polémique
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Pour ou contre sont retour !
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Moi j'étais assez pour sont retour, un guerrier de plus nous serait utile dans le cas pressent
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Mais les autres est en particulier Yumi se sont opposé a sa réintégration.
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ils ont vraiment la rancune tenace.... a moins que sa soit autre chose.
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Peut être estime t'ils que William ne devrais plus être mêlée a tous sa et que dans le fond ils veulent le protéger .
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Sa pourrait se comprendre après tous le mal que nous nous sommes donner pour le récupérer ---
Ont aurait pas envie de le voir replonger du mauvais coté.
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois huitième partie.-----------------------------
La traque des réplikas de Xana sur le réseau se passait plutôt bien.
Derrière chaque réplikas se trouvait un laboratoire de recherche, les Lyoko guerriers sous une forme translater pouvaient aisément détruire le super calculateur sans être trop déranger vu qu'il n'y avait personne dans les laboratoires.
( note annexe récapitulative )
Les laboratoires visiter était vide de toutes présence humaine.
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Ou pouvait être passer le personnel ? ou du moins qu'est ce que Xana en avait fait.
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A ce jour nous ne le savons pas, bien que la petite expédition en Sibérie mais laisser entrevoir une explication.
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Et si se que je suppose est vraie alors la réponse est sordide,et je préfère ne pas en parler.
( fin de l'annexe récapitulative )
En l'espace de 4 mois nous avons réussis à détruire pas moins de trois réplikas + celui de la montagne bien que ce ne soit pas vraiment nous qui l'avons détruit.
La découverte du dernier réplikas a été plus qu'instructive car nous avons fini par découvrir le véritable plan de Xana.
Tous ces réplikas lui servait en faite à concevoir une armée de robots donc le principale site d'assemblage se trouvait être en Sibérie, tous les composants que nous avions pu trouver dans les différentes réplikas servait à ceci.
Mais nous ne fumes pas au bout de nos surprise lors de la première exploration du réplika banquise,Odd et Yumi furent confrontée à un adversaire inattendu.
Xana avait également inventé une technologie de translation, se qui lui permettait de transférer William sur terre.
Un combat furieux se déroula au sein de cette installation entre William et Yumi,finalement nous sommes parvenu a le stopper en interrompant son processus de translation en désactivant la tour qui la contrôlait, par la suite sa dévirtualisation ne fut qu'une formalité pour Ulrich et Aelita.
Alors que nous croyons que nous allions pouvoir détruire ce réplikas aussi facilement que les autres,nous découvrimes avec stupeur que Xana avaient en sa possession pas moins d'une centaine de réplikas.
A l'aide de ces réplikas il pouvait générer une énorme énergie et avec celle-ci il avait créé un nouveau monstre et non des moindres car il saisissait du....
------------------------------------------COLOSSE------------------------------------------
Le colosse un monstre d'au moins 50 mètres de haut donc le corps était composé de roches volcanique en fusion,outre sa taille impressionnante son puissant bras était armé d'une grande épée qui pouvait d'un seul geste dévirtualisé n'importe qui.
heureusement qu'il avait de petites jambes ce qui faisait que ces déplacement n'était pas très rapides,mais sa ne le rendait pas moins dangereux.
Sa puissance énergétique le rendait quasiment invincibles a titre de comparaison la seule chose qui pourrait égaler un telle dégagement d'énergie serait le projet T ,c'est vous dire a quel point il était puissant.
Lors de notre première confrontation une évidence apparue, détruire un a un les réplikas n'était plus la tactique a adopter.
Il fallait réorganiser notre stratégie pour sa l'élaboration d'un programme multi-agent s'avérait être la meilleure solution pour pouvoir se débarrasser définitivement de Xana.
Si la stratégie avait changé un nouvel espoir était apparu, ce jour-là Xana avait commis une erreur en translatant William
Grâce au code source récupérer dans la tour j'ai put concevoir un protocole qui permettrait de le récupérer
Nous sommes donc retourner une deuxième fois sur le réplika banquise pour lancer notre opération sauvetage,et la encore nous eumes a faire a forte partie l'armée de robot de Xana était opérationnelle et elle comptait nous empêcher de mener a bien notre mission.
Mais grâce au effort combiné de Odd et Aelita nous parvinme a récupérer William, il réapparu soudains dans la salle des scanner sous les yeux de Ulrich et Yumi, et il ne semblait pas avoir garder le moindre souvenir de sa capture par Xana.
Mais ce sauvetage eut un prix, durant l'opération nous perdimes le Skidbldanir pour de bon.
Sans notre sous-marin les futur combat sur Lyoko s'annonçait plus que difficile,du moins c'est ce que nous avons cru.
############################ FLASHBACK ############################
Dans la salle des scanners William était encore un peu étourdi par son retour sur terre, c'est au prix de grand effort que ces amis avaient réussis a l'arracher des griffes de Xana, troublé par le retour il n'avait pas gardé le moindre souvenir de sa malheureuse expérience sur Lyoko.
Ca va bien William fit Yumi un peu inquiète
Oui ça vas je crois fit William.
Yumi : tu est sure
Je crois oui mais je sais plus ce qui c'est passé dit William
C'est pas grave ou va t'expliqué fit yumi qui passa ses bras autour du cou de William
Yumi était si heureuse que William soit revenu qu'un moment elle oublia tous le mal que celui ci lui avait fait ,tous les soucis qu'elle c'était fait pour lui elle pouvait les oublier, dans cette étreinte elle se sentais libéré d'un sacrée poids sur la conscience.
Et bien mon vieux tu reviens de loin lui fit Ulrich en lui donnant une petite tape sur l'épaule.
Sa tu peux le dire lui répondit William.
Tous les Lyoko guerriers c'était réunis dans la salle des scanner pour fêter le retour du beau ténébreux ,Odd lança meme un petite vanne pour détendre atmosphère en faisant remarquer que Xana avait perdu son "bad boy"
Maintenant il fallait que le véritable William remplace la copie et la situation l'exigeait car les parents de l'original étaient venus récupérer leur fils a cause de son attitude pour le moins étrange.
La réplique avait largement éveillé quelques soupçons et tous ça commençait à tourner au vinaigre quand Sissi s'en était encore mêlé
Elle avait convaincu son père que le vrai William était sûrement le sujet d' expérience scientifique louche pratiqué par Jeremie et sa bande.
Alors que le petit groupe d'adulte se rendaient a la chambre de Jeremie pour obtenir des explications une substitution fut effectuer à ce moment-là le seul en être témoin fut Jim mais par chance personne d'autre ne s'en rendit compte.
Le vrai William se tenait alors devant ces parents il leur expliqua que depuis un certain temps il était un peu déboussolé mais que ça allait bien mieux maintenant, les parents furent très rassurés de voir que leur fils était redevenu sain d'esprit.
Lui-même n'était pas fâché que cette situation se termine enfin, il passa le reste de l'après-midi avec ces parents pour les rassurer de son état de santé, convaincue que leur fils allait bien il partirent en lui souhaitant de passer une fin d' année en meilleur forme,ce que William leur promis.
Le soir venu il réintégra sa chambre, par chance la réplique n'avait pas mis beaucoup de bazar dans celle-ci par contre quand il vit ces résultat scolaire William se dit qu'il aurait beaucoup de travail a fournir pour remonter tous ça.
Mais l'heure n'était pas a se lamenter sur sa moyenne général mais sur l'avenir , William s'allongea sur son lit les bras croisé derrière la tête a fixer le plafond, il se mit a réfléchir sur les derniers événements ,William essaya de faire un point sur la situation histoire de voir si des choses lui revenaient à l'esprit,mais a part quelques flash il ne se souvenait pas de grand chose de son expérience post-lyoko sous la domination de Xana.
Il n'avait pas vraiment les idées claire car il éprouvait au fond de lui une colère insondable.
Xana dit il en grinçant des dents
Il se dit que ce maudit programme lui avait voler une partie de son existence et qu'il l'avait utiliser pour faire des choses horrible.
Bien sur William n'en avait aucune preuve mais il s'en doutait bien, mais une partie de sa colère était aussi dirigé contre lui meme.
Il ne pouvait pas s'empêcher de s'en vouloir un petit peu, quelque part à cause de son imprudence il était devenu l'esclave de Xana et en retour il avait combattu ces propres amis essayer de tuer le père de Aelita et dieux sait qu'elle autre méfait avait-il commis contre son pleins grès, mais cela n'était rien en comparaison de ce que Xana lui avait fait perdre
A cause de Xana il avait perdu la confiance de ceux qui croyait en lui et il savait qu'elle serait très dure a regagner
Il était clair que William aurait beaucoup de choses à se faire pardonner Après tout il avait sa part de responsabilité dans l'histoire mais il ne voulait pas qu'on fasse de lui une victime ni même qu'il soit un bouc émissaire.
Même si il était responsables de certains événements,tous n'était pas entièrement de sa faute et dès que l'occasion s'en présenterai il ferait tout pour aider ses amis
Après tout il leur devait bien sa.
Et l'avenir en donnera l'occasion à William mais pour le moment le plus important pour Jeremie et sa bande était de vaincre Xana une bonne fois pour toutes
Mais la partie était loin d'être gagnée de Xana n'avait pas encore jouer toutes ces cartes et avec le colosse en sa possession, sa destruction n'était pas encore pour demain la veille.
Selon Jeremie l'armée de droides stationner en Sibérie n'était peut-être que l'avant-garde d'une autre armée plus importante donc le but serait de détruire l'humanité, stopper Xana était donc devenu une priorité, le programme multi agent de Jeremie était apparue comme la solution la plus efficace.
Mais sa mise au point nécessiterait encore quelques jours et d'ici la Xana aurait encore le temps de se renforcer encore plus,maintenant tous n'était qu'une question de temps.
a suivre
(1) les réponses seront dans les chapitres 17 et 18
chapitre 13 Ma petite protégée
14 septembre 2005
En cette fin d'été les nuits commençaient à se rallonger et les journées a se raccourcir,Il était déjà assez tard quand le docteur Robinson rentra chez lui après avoir passé une journée complète à l'hospital afin de s'assuré que Maeva allait bien ,suite a l'accident du musée il avait décide de la laisser en observation.
Maeva avait vivement protester mais le docteur c'était montrer assez ferme avec elle, ils eurent alors un échange verbal des moins cordial qui soit.
Maeva était en colère contre le docteur elle considérait ceci comme une trahison mais le docteur lui meme lui dit de ne pas se montrer aussi ingrate après tous se qu'il avait fait pour elle
Aussi intelligente quelle soit Maeva était avant tous une adolescente, et elle se comportait comme telle en refusant l' autorité parental.
Mais Maeva n'avait pas de parent contre qui se retourné et ce fut le docteur qui devait faire les frais de ces sautes d' humeurs juvénile,pour la peine le docteur lui avait dit quelle resterait trois jour et non une nuit
Cette punition il l'avait infliger a Maeva histoire de la faire un peu réfléchir, cela pouvait paraître assez sévère mais le docteur devait lui aussi fixer des limites.
Ce fut bien la première fois qu'une telle dispute éclatait entre ces deux la, jusqu'à présent tous n'avait été que bonne entende , compliment mutuelle et joyeuse accolade mais s'en était trop Maeva par son comportement de petite fille gâtée avait excédé le docteur qui par son professionnalisme et son expérience n'avait pas voulu céder aux caprices de Maeva.
Le devoir du docteur était de soigner ces patients et l'état de santé de Maeva primait sur tous et aussi capricieuse quelle pouvait l'être Maeva n'eut pas le dernier mot cette fois ci,de plus de nouveau examen avait révéler que l activité cérébrale de Maeva c'était encore amplifier.
Possible tumeur ou signe de guérison ?
Personne ne le savait et comme le docteur ne voulait pas prendre de risque Maeva se devait de rester a l'hospital en vue d'un examen plus intensif mais la jeune fille ne l'entendait pas de cette oreille
La dispute tourna vite cours quand le docteur dit Maeva qu'il allait rentré a la maison et ce fut bien la première foi en plusieurs mois que Maeva ne souhaita pas une bonne nuit au docteur en signe de protestation cela n' échappa pas au docteur qui en fit de meme, a bien y regarder le comportement de tous deux était des plus puéril qui soit.
Mais il fallait aussi comprendre Maeva , pour la jeune fille sa chambre était une prison au barreau doré, elle avait très mal pris le faite d'y retourner
sa dispute avec le docteur avait commencer par la, elle avait dit au docteur que celui ci n'était qu'un sale cabotins qui voulais la laisser dans cet enfer stérile.
Il lui avait répondu a son tour quelle n'était qu'une petite égoïste doublé d'une ingrate et que si il suait sang et eau c'était pour elle, il lui fit remarquer qu'elle pourrait au moins faire preuve d'un peu de reconnaissance.
Maeva c'était donc retrouver toute seule dans la pénombre de sa chambre éclairé par une demi lune mourante,avec le recul Maeva avait finis par s'en vouloir d'avoir proférer de telle insulte a l'encontre du docteur.
Elle savait bien que le docteur oeuvrait pour son bien et que sont attitude envers lui avait été démuséré,elle réalisa soudain qu'elle c'était conduite comme une petite peste.
Assise sur son lit en conflit avec sa conscience elle se mit sur le rebord et se mit a prier dieux de lui pardonner ces fautes et son attitude envers le docteur.
Pendant ce temps la a plusieurs kilomètres de l'hospital, le docteur avait finit par regagner son domicile situer dans la banlieue chic de Madison,ne prenant pas la peine de rentrer par le garage il laissa sa voiture dans sa cour , marchant le long de son allée fleurie il fut éclairé par sa lampe automatique des que celle ci détecta à sa présence arrivant devant le pas de sa porte il prit son trousseau de clés, dévérouila la serrure pour finalement entrer dans sa maison... dans sa grande maison.
Il faisait très sombre dans le hall d'entrée il ballada sa mains contre le mur pour chercher l'interrupteur, aussitôt qu'il l'eut trouver la lumière chassa les ténèbres en illuminant la pièce
Mais pour lui la pièce lui sembla toujours aussi sombre,il posa sa mallette sur la première chaise qu'il trouva et ne prit même pas la peine de ranger son manteau dans son armoire.
Il déserra légèrement le noeud de sa cravate et déboutonna les deux premiers bouton de sa chemise histoire de respirer un tout petit peu,il en avait plutot besoin après sa rude journée
En passant à côté du meuble du téléphone il consulta son répondeur, en sont absence il avait reçu pas moins de cinq messages malgres sa fatigue il prit quand meme la peine de les consulter, il brancha le haut-parleur puis pressa la touche lecture tout en écoutant il se rendit vers la cuisine alors que les messages étaient entrain de défiler.
"Bonjour nous avez la chance d'avoir été choisi pour participer a notre grande loterie du....."
Un message publicitaire voila qui n'avait aucun intérêt,le docteur pris un verre dans le placard alors que le deuxième message fit son arriver
"Ne manquez pas la grande promotions de votre Méga-Marché le 28 septembre prochain a 18 h..."
Décidément les publicitaires n'ont rein d'autre a faire de leur vie que d'harceler les gens au téléphone !! le docteur se servit un peu de glace dans son frigo Américain alors que débutait le troisième message
Docteur Robinson ici Karin Taylor je vous appelle pour vous rappeler que demain vous devez venir a notre groupe de ......
ah oui il avait ce rendez de prévu depuis des semaines , cela était complètement sortis de la tête du docteur qui maintenant versait le fond d'une bouteille dans son verre alors qu'aux autres messages se succéda le quatrième.
Docteur Robinson ici le docteur Sorbier cela faisait longtemps que j'essaie de vous avoir mais a chaque fois vous étiez en déplacement donc .......
Le docteur sorbier cela faisait longtemps que le docteur Robinson ne l'avait pas revu , 3 ans en faite depuis une conférence international sur les troubles nerveux infantile, entendre sa voix fit très plaisir au docteur.
Les deux hommes avait sympathisé durant son séjour en France, il avait notamment appris que le docteur Sorbier tenait une clinique a Paris
Jl faut dire qu'il avait beaucoup de chose en commun avec cet homme, tous deux avait la meme approche de ce que devait être la thérapie chez les jeunes enfants
Celui ci lui demandait de ces nouvelles, le docteur Robinson se dit qu'il devrait lui répondre un de ces jours prochain pour lui exposé le cas de sa petite protégée.
Alors que le docteur c'était poser sur son canapé, il avala son verre d'un trait quand le dernier message fut lancer
Joseph ici Sarah je t'appelle pour savoir si tous va bien, je n'ai pas eut de tes nouvelles récemment, tu ne m'as pas rappelée pour prendre des nouvelles de notre enfant...
tu est peu être déborder par ton travail mais je t'en pris appelle moi cela me rassurera.
j'attend ton appel
Sarah
< Fin >
Le répondeur se rembobina a la fin du message, ce dernier avait attiré l'attention du docteur,avec tous les soucis qu'il avait accumulé récemment le Docteur avait fini par négliger certains de ces devoirs en particulier celui qu'il avait envers son ex-femme et sa fille.
Il regarda l'horloge du salon, celle-ci affichait 23h 23 avec le décalage horaire qu'il y avait entre l'état du Wisconsin et celui de la Californie il avait encore le temps d'appeler son ex-femme pour prendre de nouvelles de sa petite-fille
Mais ce soir il ne se sentait pas le courage et n'en avait plus la force, ces deux derniers jours l'avaient moralement et nerveusement épuisé et si il appelait son ex femme se serait sûrement pour entendre des reproches.
il se dirigea vers son mini bar et commença à se servir un autre verre de glace il ouvrit une bouteille de whisky complète et alla se mettre sur son canapé posant le verre sur l'accoudoir il commença à réfléchir à la situation actuelle, il réalisa que ces derniers temps il avait été tellement accaparé par Maeva qu'il en avait oublié sa propre fille
Sa petite Camille
même si à l'heure actuelle cette dernière n'était pas en mesure de rendre ses intentions a son père et que celui ci de son coté s'occupait de Maeva à L'hôspital,a cause te tous ça il était devenu moins présent pour sa famille
avant toutes les deux semaines il organisait au moins un voyage de l'autre côté du pays pour se rendre au chevet de sa fille ,avec le recul il se rendit compte qu'il ne la voyait plus aussi souvent qu'avant
Pris dans sa réflexion il se demanda finalement si ses collègues n'avaient pas raison et que l' attachement qu'il portait à Maeva ne lui servait finalement qu'à combler son manque affectif.
- Peut-être que Maeva l'accaparait trop
- Peut être que finalement les avertissements de Dr Holstein n'étaient pas si négatifs que ça. - Peut-être qu'il risquait beaucoup à vouloir s'occuper de cette jeune amnésique.
- Peut-être devait il arrêter la les frais
- Peut-être ....
Mais qu'en était il au fond ?
Devait-il abandonner pour autant ?
De par sa nature généreuse le docteur ne pouvait pas se résoudre à laisser Maeva a sont triste sort, il ne pouvait pas non plus sous l'effet d'un coup de "blues" renoncer à tout ce qu'il avait entrepris avec elle,il savait qu'elle était dans la détresse et qu'il se devait de l'aider c'est la le devoir de tous bon médecin, pourtant quelque part il se sentait un peu fatigué.
Combien de temps pourrait-il encore assumer ce rythme sans se tromper ,sans commettre une erreur qui pourrait être dangereuse.
Ce n'est pas dans le fond d'un verre qu'il trouvera la solution pensat-il mais là il ne pouvait rien faire d'autre, terrassé par la fatigue il finit par s'endormir sur le canapé pour se réveiller que le lendemain matin
Dans ces rêves il revit la scène qui c'était dérouler peu avant la crise de Maeva a l'hospital
_________________________Le rêve du docteur Robinson_________________________
Maeva venait de découvrir sa future chambre en compagnie du docteur et de Samuel l'infirmier alors qu'il s apprêtait a faire visiter le reste du bâtiment a Maeva un autre infirmier vint transmettre un message au docteur Robinson,
Le directeur de l'établissement voulait le voir de toute urgence, laissant Maeva il se rendit alors au bureau de son supérieur pour voir ce que celui ci avait de si important a lui dire
Arriver dans la porte en chêne massif du directeur il frappa en trois coup bref et attendit que le docteur Holstein le prie d'entrer
Entrer fit une voix rauque derrière la porte
Assis derrière son bureau le docteur Holstein vit entrer le docteur Robinson, celui ci resta debout a attendre.
- Je vous en pris docteur prenez un siège on n'est pas a l armée ici fit le docteur Holstein
Le docteur ne se fit pas prier et s'assit sur la chaise qui faisait face au bureau,derrière lequel se trouvait son supérieur.
Dr Holstein : bon je vois que vous nous êtes revenu en pleine forme de votre petit séjour a Brayton Wood
Dr Robinson : comme vous pouvez voir
Dr Holstein : tous c'est bien passer la bas
Dr Robinson : cela n'as pas été sans mal c'était un peu l'enfer la bas
Dr Holstein : moi qui est fais les champs de guerre je me doute bien de ce que cela pouvais être.
Le docteur Holstein était un ancien médecin de guerre il avait l'habitude de ce que pouvait être un hôpital bondée lors d'une urgence,de ce coté la sa réputation n'etait pas a faire
"le chirurgien de guerre" voila comment il avait été surnommée par certain de ces anciens collègues.
cet homme savait parfaitement maîtrise ces nerf mais il lui arrivait aussi d'être explosif dans son caractère se qui le rendait difficile a cerner, d'ailleurs c'est cette attitude qui avait saisit le docteur Robinson qui se demandais quelle mouche avait piquer le docteur Holstein le jour ou il l'avait décider de l'envoyer a Brayton Wood en pleine crise.
Dr Holstein : vous en êtes revenu vivant c'est pas si mal
Dr Robinson : d'ailleurs je me demande pourquoi vous m'y avez envoyer la-bas.
Dr Holstein : tous le reste du personnel étant mobiliser ici vous étiez le seul disponible.
Cette excuse le docteur Robinson n'y cru pas une seule seconde, il se doutait bien que son supérieur avait fait exprès de le designer comme volontaire afin de l'éloigner quelques temps de l'hospital, mais le docteur avait surmonté ce "bizutage" et en était revenu plus fort.
Et comme vous pouvez vous en douter je suis près a reprendre du service répondit le docteur Robinson sans se laisser démonter
Dr Holstein : je le vois
Dr Robinson : donc vous voyez tous va bien
Dr Holstein : je vois aussi que vous nous avez rapporté un petit souvenir de votre séjour
Un souvenir voila un drôle de façons de qualifier Maeva le docteur Robinson vit bien que son supérieur n'utilisait pas l'ironie dans son discours, il semblait plutôt convaincu de ce qu'il disait.
Dr Holstein : j'ai en main son dossier complet.
Dr Robinson : heureux de voir qu'il vous et déjà parvenu
Dr Holstein : je vois que vous avez placer cette enfant sous votre garde personnel
Dr Robinson : c'est en effet le cas
Dr Holstein : Etait-ce obliger que vous fassiez ceci
Dr Robinson : pourquoi me dit vous ça ?
Dr Holstein : vous ne pouviez pas la laisser aux services sociaux, c'est leur boulot après tous
Dr Robinson : sauf votre respect monsieur les services sociaux sont des incapables et vu le cas particulier de ma patiente il n'aurait rein arranger du tous
Oui mais cette hôpital n'est pas un foyer d'accueil, cela nous coûte beaucoup d'argent d' accueillir de nouveau patient fit alors le Dr Holstein qui haussa le ton.
Nous noterez que les frais sont a ma charge repondit calmement le docteur robinson
Dr Holstein : j'ai bien vu et cela m'interpelle
Dr Robinson : sur quoi
Dr Holstein : c'est a se demandez ce qui vous est passé par la tête,vous connaissez pourtant les règles en vigueur dans cet établissement
Dr Robinson : oui bien sur
Dr Holstein : dois je vous rappele qu'aucune implication émotionnel n'est permis dans ce travail ,vous devez faire preuve de détachement vis a vis de vos patient
Dr Robinson : je le sait bien
Dr Holstein : et bien on ne dirais pas, nous avons des règles et vous les avez transgresser
En amenant spontanément Maeva a l'hospital et en la prenant a sa charge le docteur avait lui meme mis de coté un pan important du règlement et de l'ordre des médecin qui interdis se genre d'attachement,et ça le docteur Holstein n'allait pas se priver de lui faire remarquer
Dr Holstein : franchement docteur si tous le monde se mais a faire comme vous se sera vite l'anarchie dans se service
Dr Robinson : je suis conscient d'avoir légèrement outrepassé mon devoir
Dr Holstein : légèrement !! le mot est faible
Dr Robinson : un peu beaucoup meme si vous voulez
Dr Holstein : a l'avenir éviter ce genre d initiative
Dr Robinson : je ferais attention
Dr Robinson : très bien il est donc inutile de vous le rappeler par écrit
Dr Robinson : sa ne sera pas nécessaire
Le docteur Holstein était un homme assez froid par nature il tenait se centre médicale avec une poigne fer et n'autorisait pas les écart au règlement, et ce que son subalterne venait de faire l'avait irrité au plus au point,mais le docteur Robinson était un homme au talent réputé lui aussi il avait une approche de la thérapie était assez différente de celle de ces collèges, ce qui était aussi un sujet de discorde entre les deux hommes , mais pour l'heure le sujet était tous autres.
Dr Holstein : comme convenu vous aller débuter une thérapie avec elle j'espère que vous n'aurez pas de problème
Dr Robinson : je ne devrais pas trop en avoir
Dr Holstein : n'en n'oubliez pas pour autant vos autres obligations Dr Robinson
Dr Robinson : rassurez-vous je sais ce que j'ai a faire
Dr Holstein : maintenant la vie de cet enfant est entre vos mains vous vous en êtes porter garant
Dr Robinson : et j'assumerai ma responsabilité
Dr Holstein : je l'espère pour vous docteur Robinson
Tous était dis le docteur savait a quoi s'en tenir maintenant, il donnerais pas a son supérieur l'occasion de pouvoir lui nuire,il se jura a se moment la qu'il ferait tous pour guérir Maeva
Dr Holstein : et si nous allions la voir votre patiente.
Dr Robinson : allons y.
les deux hommes arrivèrent devant la chambre 24A, le docteur Holstein regarda aux travers du carreau de surveillance et mis que sur le lit la patiente c'était allonger
Dr Holstein : alors c'est elle
Dr Robinson : oui c'est Maeva
Dr Holstein : allons lui souhaiter la bienvenue
Dr Robinson : comme vous voulez mais faite attention elle est très craintive devant les étranger
Dr Holstein : je serais la persuader du contraire
Espérons le dis le docteur Robinson tous bas
Le docteur Robinson entra en premier dans la pièce pour avertir Maeva de la venu d'un autre homme, mais celle-ci gisait inerte sur le lit
Debout Maeva tu as de la visite lui fit le docteur
Mais la petite fille ne réagit pas le docteur voulu la secouer mais aucune réaction, il compris tous de suite que quelque chose n'allait pas, il ne l'avait pas vu respirer il porta son oreille sur le corp de Maeva
Dr Holstein : que se passe t-il
Dr Robinson : je ne sens plus a sa respiration.
Dr Holstein : quoi !!!
Dr Robinson : elle a fait un arrêt respiratoire
Dr Holstein : elle est....
Dr Robinson : non son coeur bat encore il faut la réanimer au plus vite.
Le docteur Holstein fit appeler les autres infirmiers ceux ci amenèrent un kit de réanimation le docteur Robinson se lança alors dans un d'exercice de respiration artificiel en faisant un bouche bouche a Maeva quand les machines arrivèrent Maeva fut placer sous assistance respiratoire le docteur fit tous se qu'il put pour la réanimer
Respire bon sang... respire n'abandonne pas Maeva je t'en prie fit le docteur.
l'espoir revint soudain chez le docteur Robinson quand Maeva réouvrit les yeux...
chapitre 13 nouvelle piste
Hôpital militaire de Westfield -Angleterre - 27 septembre 2004 - 8 h 57
"Non mais vous n'êtes pas sérieux mon colonel
C.Perec : pourquoi je ne suis pas surpris que vous ne croyez pas.
M.Cartwright : disons parce que cette histoire me parait un peu tirer par les cheveux
C.Perec : et pourtant que vous le vouliez ou non c'est la vérité
En ce beau matin de septembre le colonel était venu faire son rapport au major Cartwright sur les dernier événements de l'affaire , il informa le major qu'il avait de nouveau reçu un appel du mystérieux W et qu'en retour celui ci lui avait donner une piste a suivre, comme a son habitude et avec le scepticisme donc elle faisait preuve le major avait beaucoup de mal a croire ce que le colonel venait de lui dire mais elle voulu bien lui laisser le bénéfice du doute.
Donc si je vous comprends bien le colonel le mystérieux W veux nous aider fit le major
Il semblerait que ce soit le cas Major répondit le colonel
M.Cartwright : quelle fiabilité peut ont donner a cette source
C.Perec : aucune.
M.Cartwright : qui vous dit alors que ce n'est pas un piège.
C.Perec : j'ai déjà envisager cette possibilité.
M.Cartwright : ce mystérieux W pourrait bien vouloir nous égarer au profit de l'organisation Xana
C.Perec : c'est probable.
Le major essaya de garder la tête sur les épaules car apparemment des fuites au niveau des services secret avait eut lieu, si quelqu'un d'extérieur les avait repéré la mission devenais dangereuse pour eux.
A supposer que W était un allié ce dernier semblais bien renseigner sur le déroulement de leur enquête,des-lors qu'en était il de l'organisation Xana ?savait-il que des agents secret étaient sur leur trace
Pour le colonel W était une personne qui cherchais a les aider meme si son identité était un mystère pour le moment.
M.Cartwright : avez-vous une idée de l'identité de notre mystérieux indicateur informateur
C.Perec : pas la moindre pour le moment
M.Cartwright : savez au moins d'où provient l'appel
C.Perec : le lieutenant Fraggle travaille pour essayer de le localiser mais c'est pas gagné apparemment W prend toutes les précautions pour ne pas être repéré.
M.Cartwright : je vois cela aurait été trop simple
Comme vous dites major approuva alors le colonel.
M.Cartwright : sinon pensez-vous que les informations qu'il a donné soient fiables
C.Perec : difficile à dire mais c'est peut-être une piste
M.Cartwright : maigre piste
C.Perec : mais c'est la seule piste que nous avons pour le moment.
M.Cartwright : il n'empeche que sa peut être une fausse piste pour nous égarer
C.Perec : sa se pourrait sauf que pour l'heure tous les éléments concorde entre eux
M.Cartwright : quels éléments ?
C.Perec : je vais vous montrer.
Le colonel sortit alors tous les dossiers que le lieutenant Fraggle lui avait préparé sur global computer ainsi que les dossier des deux dernières attaques de Xana, il commença par présenter au major le dossier sur Quantum Conductivity.
M.Cartwright : le dossier de Quantum Conductivity !!
C.Perec : oui major Quantum Conductivity.
M.Cartwright : quel rapport cela a t'il avec la piste de global-computer
C.Perec : vous vous rappelez quand on est allé faire notre enquête sur les lieux de l'attaque nous avions enregistré la conversation de Mr Stenton
M.Cartwright : en effet c'est moi même qui est fait l' enregistrement
C.Perec : et bien je l'ai réécouter hier soir suite a l'appeler de W et la j'y est trouver un début de piste.
M.Cartwright : lequel ?
C.Perec : Major vous vous souvenez de ce que nous avait dit M. Stenton
M.Cartwright : a quel sujet ?
C.Perec : il nous a dit que la société global -Computer lui avait proposé de lui vendre ainsi un système de cartes à puce qui devait permettre de multiplier par 4 la puissance d'un super-calculateur
M.Cartwright : je m'en rappelle maintenant
C.Perec : et bien figurer vous que l'université a fait l'acquisition de la meme technologie
M.Cartwright : vous trouvez et que c'est une piste, je ne vois la rein d'autre qu'en coïncidence C.Perec : je le pensait aussi vu qu'après tous les deux super calculateur était fournit par la meme société.
M.Cartwright : Cyclotron
C.Perec : Cyclotron pouvait aussi constituer une piste sérieuse, pourtant un détail me chagrinait dans tous ça
M.Cartwright : quel détail?
C.Perec : vous voyez je cherchais un point commun a toutes ces attaques,et finalement j'ai finis par le trouver
M.Cartwright : et quel est-il ce point commun ?
C.Perec : je me demandais pourquoi l'attaque de l'université avait réussi et pas celle de Quantum Conductivity.
M.Cartwright : et vous avez découvert pourquoi
C.Perec : simplement que le super -calculateur de l'université était équipé d'une carte électronique supplémentaire par rapport a celui de Quantum Conductivity
M.Cartwright : quoi c'est ça votre détail un composant supplémentaire ?
C.Perec : oui major un seul composant différenciait ces deux machines pourtant du meme modèle.
M.Cartwright : et vous pensez que cela suffirait a créer une telle différence
C.Perec : sa explique simplement pourquoi l'un a explosé et pas l'autre alors que les deux ordinateur était du meme modèle
M.Cartwright : et la raison serait ....
C.Perec : que se composant rends les super calculateur insensible au décharge de notre ennemis
M.Cartwright : vous êtes entrain de me dire que ce composant serai capable d'encaisser les décharges d'énergie
C.Perec : oui car se composant est issue dune tecnhologie révolutionnaire
M.Cartwright : mais quelle technologie ?
C.Perec : une technologie appelé carte a micro puce Quadrihoppes
M.Cartwright : Quadrihoppes ?
C.Perec : vous savez ce que c'est ?
M.Cartwright : je n'en est pas la moindre idée c'est la première fois que j'entends parler de cette technologie.
C.Perec : et vous n êtes pas la seule personne ne sait de quoi il s'agit.
M.Cartwright : comment ça ?! c'est pas possible il doit bien exister un détail concernant cette technologie
C.Perec : c'est ce qui est étrange il n'y a rien
M.Cartwright : ce n'est pas logique il doit bien y avoir des brevets déposée qui en donne un descriptif.
C.Perec : et bien non justement nous n'avons rein trouver qui concerne cette tecnhologie
Dans le dossier que lui avait fournit le lieutenant Fraggle des noms et des lieux était indiquer mais aucun détail technique n'avait pus être trouver concernant la nature des produits vendu par global computer,cela avait suffit a attirer l'attention du colonel mais les fait troublants ne s'arrêtais pas la.
C.Perec : il n'a aucun brevet d'exploitation pour cette tecnhologie.
M.Cartwright : dans ce cas la comment peut ton la vendre sans autorisation légal.
C.Perec : grâce a une astuce commercial major
M.Cartwright : une astuce commercial ?
C.Perec : oui major car c'est une carte dans son ensemble qui et vendu et non pas la puce toute seule.
M.Cartwright : astucieux ainsi ils contournent les barrières légal sur l'approbation des nouvelles tecnhologie et leur commercialisation.
C.Perec : avouer que c'est plutôt malin comme procédé.
Le colonel avait découvert que la société Global-Computer c'était spécialisé dans la vente de carte informatique mais curieusement son catalogue ne comportait qu'un seul produit celui des cartes a Quadrihoppes cela avait aussi attiré son attention
M.Cartwright : donc cette société vendrait de la technologie non certifier le plus légalement du monde
C.Perec : bizarre n'est-ce pas
M.Cartwright : en effet c'est pas claire cette histoire, mais qu'elle pourrait bien être le lien entre notre affaire et ces fameuse cartes
C.Perec : j'y arrive.....
Le colonel remis au major le dossier que lui avait préparé le lieutenant Fraggle sur global-computer, elle commença a en faire la lecture,mais a part l'absence de détail technique sur les cartes elle ne vit rein d'anormal , du coup elle ne comprenais pas ou le colonel voulait en venir
Le contenu est il intéressant demanda le colonel
M.Cartwright : plutôt j'ai de nombreux détail sur cette société notamment que celle-ci est implanté au état unis a San José.
C.Perec : et rein ne vous choque dans ce que vous venez de lire.
M.Cartwright : j'ai beau regarde tous a l'air en règle je ne vois rein d'anormal
C.Perec : approfondissons un peu et vous allez voir
le colonel avait aussi en mains une copie du dossier il aborda point par point avec le major les diffèrent éléments présent dans le dossier, il voulait démontrer quelques chose au major mais il fallait que se soit elle qui constate les anomalies c'est ce que le colonel allait s'employer a lui faire découvrir a laide d'un petit jeu très subtil
C.Perec : pour commencer cette société à été créé il y a deux ans et c'est tous de suite spécialiser dans la vente de carte informatique.
M.Cartwright : c'est ce qui est marqué
C.Perec : par la suite cette société a rapidement faisait fructifier son capital en deux ans
M.Cartwright : la rein non plus anormal
Faux major déjà la sa cloche dit alors le colonel
A quel niveau demanda le major
C.Perec : et bien figurez vous qu'en moins tant qu'ils le faut pour le dire ils ont réussi à développer leur capital de façon considérable et l'année dernière cette société a meme fait son entrée en bourse.
M.Cartwright : il n'y a rein d'anormal la dedans, les entreprises qui réussisse sont légions
C.Perec : c'est vrai mais quand on y regarde de plus près vous savez ce qu'on trouve.
Je ne sais pas mais je sens que vous allez me le dire fit le Major
C.Perec : rien ......
M.Cartwright : comment ça rien ?!
C.Perec : rein , nul , zéro , que dalle , le désert total, le puits sans fond...
M.Cartwright : la je ne vous suis plus.
Le major était perdu par l'attitude que venait d adopter le colonel a quel jeu celui ci jouait il le major voulait bien le savoir
M.Cartwright : que voulez vous dire par rien ?!!
C.Perec : quand je dis rein c'est parce que cette société ne produit rien.
M.Cartwright : comment ça elle ne produit rien ?!
C.Perec : je veux dire par la qu'elle ne produit aucun composant,elle se contente juste d'en vendre
M.Cartwright : c'est ridicule comme affirmation pour vendre il faut bien produire.
C.Perec : je suis d'accord avec vous major mais c'est pas le cas de cette société
M.Cartwright : pourtant elle doit bien les fabriquer ces composant pour les vendre puisque il y a la une adresse pour leur entreprise.
C.Perec : certes major Global-Computer existe en temps que bureau ça c'est sur, puisque leur siège social se trouve au état-unis.
M.Cartwright : c'est parfaitement normal alors puisque la région ou il sont implanter et connu dans le monde entier pour leur production dans le domaine informatique.
A cette instant le colonel fit un large sourire au major, celui ci semblait ravis de la réponse du major ,ce qui intrigua encore plus l'officier scientifique.
M.Cartwright : pourquoi souriez vous mon colonel ?
C.Perec : parce que votre réponse m'amuse beaucoup major
Et puis-je savoir ce que ma réponse a de si amusante fit le major qui semblais être un peu véxé par le comportement puéril que le colonel avait soudainement adopter
C.Perec : juste parce que vous vous êtes fait avoir comme les autres.
Que diable le colonel voulait il dire ? en quoi le major pouvait elle setre tromper et pourquoi celui ci s'amusait il de cette situation pour le moins rocambolesque
Et ou me suis-je tromper dans ce que j'ai dis demanda le major.
C.Perec : vous avez juste fais remarquer qu'il ne pouvait rein y avoir d'anormal dans la provenance des pièces, puisque elle celle-ci sont produite dans un endroit mondialement réputé
M.Cartwright : c'est que j'ai dis et personne ne pourra vous dire le contraire car c'est endroit connu
C.Perec : vous avez raison major sa confirme se que je pensais .... c'est le camouflage parfait
Sa n'as aucun sens ce que vous dite fit le major qui se demandait si le colonel n'était pas devenu fou
C.Perec : vous allez vite comprendre , major vous pouvez me dire ou se trouve leur laboratoire de recherche ?
M.Cartwright : vous moquez vous de moi ?
C.Perec : pas du tous et je répète ma question, ou se trouve leur laboratoire ?
M.Cartwright : oh c'est facile laissez moi juste consultez le dossier.
Je vous en pris fit le colonel en souriant
Le major feuilleta tour a tour les pages du dossier pour trouver l'adresse de leur laboratoire de recherche mais elle ne parvint pas a mettre le doigt dessus,de son coté le colonel commença a lui mettre la pression.
C.Perec : alors major j'attend
M.Cartwright : une minute s'il vous plaît je cherche.
Ne cherchez pas major il n'existe pas.fit alors le colonel
M.Cartwright : qu'est ce que vous me dites la !!
C.Perec : vous ne trouvez pas d'adresse pour le laboratoire car il n'y pas de laboratoire
M.Cartwright : mais c'est impossible.
C.Perec : et pourtant c'est le cas.
En détaillant le dossier le major vit qu'il n'était fait mention nul part que la société disposait de laboratoire de recherche ni au États-Unis ni ailleurs dans le monde, la seule photo jointe dans le dossier montrait le bâtiment de la société mais celui n'avait pas l'air d'un laboratoire, et cela fut aussi l'un des nombreux détail louche que le colonel avait remarquer
C.Perec : major vous ne trouvez pas ça étrange vous,nous avons a faire a une société qui vends du matériel informatique de pointe a prix d'or mais qui n'as pas de laboratoire de production
M.Cartwright : c'est assez troublant en effet
C.Perec : et sa ne s'arrête pas la
M.Cartwright : qu'avez vous découvert d'autres
C.Perec : que cette société et administré par un certain Romuald H Landsey
M.Cartwright : Romuald H Landsey
C.Perec : voila sa photo
Le colonel présenta au major la photo d'un homme d'environs 40 ans les cheveux noir et les yeux bleu il avait une carrure assez athlétique pour un homme de son âge.
M.Cartwright : c'est lui Romuald H Landsey
C.Perec : affirmatif major
M.Cartwright : et quel est le problème avec se monsieur
C.Perec : voyez vous cet homme est originaire du Brésil et aurait été naturalisé américain la meme année ou il a fondé la société global computer.
M.Cartwright : et ou est le détail qui cloche cette fois.
C.Perec : simplement qu'a part ce que je viens de vous dire on n'as aucune autre information sur son passé.
M.Cartwright : quoi vous n'en savez pas plus cette personne ?
C.Perec : rein de plus, ce type semble débarquer de nul part
M.Cartwright : vous avez pas trouver la moindre trace
C.Perec : rien major , ni acte de naissance ni état civil au Brésil, nous avons affaire a Mr personne venant de nul part.
En fouillant plus attentivement dans les archives le lieutenant n'as pas puis fournir plus d'infos sur les origines de Romuald H Landsey, alors que celui avait bénéficier de nombreux appuis pour lui permettre d'obtenir la nationalité américaine, cela fut sans compter la facilité avec laquelle il avait pus fonder sa société
C.Perec : ... et plus étrange encore c'est que c'est ce monsieur personne a fondé une société aussi facilement que moi je pourrais ouvrir un stand de limonade dans la rue.
M.Cartwright : comment a t'il fait ?
C.Perec : des le début ce monsieur a obtenu des capitaux faramineux de la part des banques
M.Cartwright : vous voulez dire qu'on lu aurait accorder des crédit sans justification
C.Perec : oui car les versement provenait de banques étrangère
M.Cartwright : de quelle pays?
C.Perec : la suisse notamment et le Liechtenstein
M.Cartwright : des versements anonymes !!
C.Perec : en effet aucune trace des sommes investis si ce n'est les factures des divers entreprise du bâtiment qu'ils on contacter pour s'établir a San José.
le colonel venait de mettre le doigt sur un véritable mystère cela faisait beaucoup d'inconnu pour une seule société jeune de deux ans
C.Perec : sa fait beaucoup de coïncidence je trouve , nous avons la un homme qui sort de nul part et qui fonde une société qui développe sans laboratoire des composant électronique de haute technologie... faut il que s'ajoute autre chose
M.Cartwright : sa ne sera pas nécessaire mon colonel j'ai bien compris se que vous voulez dire, nous avons a faire a une société fantôme
C.Perec : et oui major une société fantôme.
M.Cartwright : donc cette société ne serait qu'une façade
C.Perec :vous comprenez mieux mon allusion au camouflage maintenant
M.Cartwright : c'est une ruse, du faite que cette société soit établis dans cette régions tous le monde pense forcement que leur laboratoire s'y trouve.
C.Perec : il joue sur la notoriété de l'endroit pour masquer leur activité.
M.Cartwright : et les gens tous comme moi se font avoir par ça
C.Perec : et comme cette société ne fait que vendre par des intermédiaires personne ne se rend jamais sur place pour vérifier.
M.Cartwright : c'est l'escroquerie parfaite.
C.Perec : sauf que si on commencer a gratter ou voit qu'il n'y a pas grand chose derrière
M.Cartwright : vous pensez donc qu'un organisme tire en secret les ficelles derrière tous ça.
C.Perec : et combien seriez vous près a parier que c'est l'organisation Xana
M.Cartwright : sa se pourrait
Les coïncidences et les fait troublant était trop important pour les ignorer , de plus si le mystérieux w les avait mis sur cette piste c'est qu'il devait y avoir une raison.
C.Perec : voila pourquoi W nous a mis sur cette piste, on peux supposer qu'il vendent leur composant pour faciliter l'implantation de leur programme a travers le monde est en plus on les paye pour le faire, c'est très rentable comme système.
M.Cartwright : payer pour ce faire détruire c'est assez paradoxale.
C.Perec : tordu serait plus exact avec mes termes.
M.Cartwright : que faisons nous maintenant mon colonel
C.Perec : pour l'heure remettez vous de vos blessures.
M.Cartwright : et après
C.Perec : après votre sortie nous irons rendre une petite visite a se Mr Romuald H Landsey
M.Cartwright : vous voulez aller enquêter sur place
C.Perec : en effet Major
Beau voyage en perspective fit le major
C.Perec : dites moi major vous n'avez jamais visité la Californie
M.Cartwright : Non jamais mon colonel
C.Perec : et bien à vous allez en avoir l'occasion major , en route pour la Silicon valley .
chapitre 13 ils sont les Cartha-guerriers
Journal de Arnaud Morillon 05 août 2005
compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 13
Depuis le mois de juillet j'ai passé un bon bout de temps a travailler sur la conception de ma sonde Vger 2.0
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Mais le temps investit et les nuits blanches passé ont été payante j'ai pu décrypter une bonne partie des données prélève par Vger 1.0
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Enfin pas toutes puisse que certaines on été perdu en meme temps que ma première sonde
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mais j'ai obtenu l'essentiel et cela ma m'a beaucoup apporté
- ma nomination comme scientifique a la section 5
- un protocole d'interface 3d
- les clés de la téléportation
- et 4 profil d'intelligence artificiel
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Finalement sa valais la peine de perde 13 millions de livres Sterling
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A bien y regarder on ne les as pas vraiment perdu vu que j'ai put créer vger 2.
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en fin de compte ma petite mésaventure et globalement positive
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Cependant quel poisse d'avoir perdu le backup principal
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je ne saurais jamais ce qu'était ce programme étrange
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pas grave sa ne dérangera personne après tous....
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CE N'ÉTAIT QU'UN PROGRAMME INFORMATIQUE
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Et rien de plus
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Et en comparaison de ce que j'y est gagné sa peu paraître dérisoire
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Le reste des données m'as quand même permis de créer mes gardiens.
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Je ne suis pas peu fière du résultat obtenu... quatre intelligences artificiel
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Mes propres intelligences artificiel
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Celle que j'ai conçu a partir de mes théories et des données recueillis
Elles ont tour a tour pris naissance sous mes yeux
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j'ai accouche de 4 magnifique petit bébé virtuel
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c'est une image je vous rassure je suis un homme
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mais j'ai le sentiment d'être papa
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Père a mon âge je vous jure (^_^)
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Enfin comme tous parent qui se respecte j'ai commencer a les éduquer
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Et la sa m'as demander un travail monstre.
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Car mes I.A sont devenu de vrai conscience douer de raison.
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Quelle progrès.
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Le docteur Hopper n'est plus la seule a savoir créer des IA autonome.
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Maintenant je vais pouvoir faire mon entré dans la cour des grand scientifique la tête haute
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Prenez ça dans les dents docteur Weller zalinski et Moritaka
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Arnaud est dans la place
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YO......
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Tous de fois je trouve qu'elle on évoluer plus rapidement que n'importe quelle autre prototype d' I.A que j'ai déja conçu.
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Je n'ai pourtant utilisé que les programmes de bases qui ont servi à la concession de Tanit
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Ceux que Simon m'as fournit
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Sa ma bien aider pour leur donnés leurs intégrité structurelle
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mais sa n'explique pas tous ... ???
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le plus étonnant c'est qu'elle ont commencé à développer lors propres personnalité au cours de ces 2 dernière semaines.
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il semblerait que leur personnalité oui je peux bien parler de personnalité pour ne pas parler du mot âme sois une propriété émergente des données que j'ai recueillis.
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ils sont en quelques sortes des avatars des modèles originaux.
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C'est a ce demander ce qu'était les originaux ?
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Des anti-virus plus élaboré que je ne le pensais
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Il y aurait donc d'autres I.A dans le monde.
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Finalement sa n'as rien d'étonnants quand on sait ce que j'ai découvert....
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en tout cas on ne pourra pas me taxer d'être un misanthrope ou un misogynie.
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Car la parité a été respectée.
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Deux hommes et deux femmes.
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enfin plutôt deux garçons et deux filles.
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Sur la forme mes IA sont plus proche d'adolescent que de véritables adultes
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foutu propriété émergente aléatoire (-_-)
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tant pis je ne vais pas modifier leur physique sa va très bien comme ça
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Et vu quelle doivent se battre je ne vais pas en faire des top model.
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Seulement quelle soit soldat ou projet toutes création se doit d'avoir un nom et qui a en faire les gardiens de la cité, il fallait leur trouver un noms qui colle au poils
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je les est donc nommées
____________________________Cartha-guerriers____________________________
c'est un noms qui en jette...
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....et plus c'est classe (^_^)
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Mais bon ici dans cette société ils aiment donner des matricules a leurs projets
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je savais pas que j'avais atterris au service des plaques minéralogique
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j'exagère un peu
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Mais quand meme ils abusent il font ça pour tous les projets
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Quand je pense que Tanit était connu sous le noms de projet XN 4321
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oh je me marre
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4.3.2.1 zéro et feu
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LOL
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Pardon désole j'ai pas put m empêcher de la faire celle la
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Je devrais pas trop me marrer ,après tous Vger s'appelait bien projet XN 4759
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et pour mes Cartha-guerriers ils voulaient faire la meme chose
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heureusement que j'ai pris le devant et nommée mes IA
CG01 - CG02 - CG03 - CG04
---
au moins je leur est épargnez le NX .......
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bon sa c'est pour l'appellation officiel.
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mais je trouvais que c'était un peu stérile.
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je voulais leur donner un noms qui leur soit propre, quelque chose qui leur corresponde.
---
Vu que ce sont des guerrier(e) j'aurais pus utiliser l'univers de star-trek , en leur donnant le noms de grand guerrier Klingons
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mais sa collait pas vraiment avec l'ambiance antique de la cité.
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J'ai donc renoncer a la science fiction pour me concentrer sur la mythologie
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C'est fou ce que l'on peut apprendre sur notre monde en lisant des bouquin d'histoire des fois
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après avoir fait quelques recherches dans les livres d'histoire par rapport a la cité de Carthage j'ai décider de donner à chacune de mes IA un nom qui y serait rattacher.
---
Donc j'ai choisi des noms qui on marqué l'histoire la cité de façons réel ou légendaire
---
Et le moins que l'on puisse dire c'est que j'ai encore une foi été bien inspiré.
---
Je suis génial (^_^)
---
Bon commençons par CG01
---
Parmi toutes mes intelligences c'est celle qui a développé un talent naturel à l'autonomie et la prise de décision, les différents tests préliminaires sont sans équivoques c'est un vrai chef j'ai donc décidé d'en faire celui qui commanderai les troupes de mes gardiens.
Je l'ai donc appelé...
_______________________________Hannibal _______________________________
en référence au célèbre général qui a jadis défier les troupes romaines avec succès
---
ensuite CG02
elle par contre elle très forte c'est sur, mais elle a aussi un sacrée tempérament, c'est une vrai guerrière dans l'âme, je la trouve très agressive par rapport a la douce CG04
De plus elle n'arrête pas de se battre contre Hannibal et chose étrange elle arrive a le vaincre a chaque foi.
---
la il y a un truc qui cloche c'est pas normal.
---
enfin bref vu son caractère je lui est trouvé un noms au poil
_______________________________Astarté _______________________________
la déesse vindicative d'après les ancien écris
---
sa lui va comme un gant
---
bon passons a CG03
---
lui par contre il est bizarre, je serais pas vraiment comment dire mais il est "différent" ,sa façons de se battre est assez "casse-cou" donc je lui est donné le noms d'un dieu aussi étrange.
_______________________________Merkal _______________________________
et pour finir CG04
---
C'est un peu la timide du groupe elle ne s'impose pas vraiment en combat mais reste assez sur la défensive, elle admire beaucoup Astarté avec qui elle s'entend très bien ,elle sont devenu bonne amie meme si leur caractère est assez opposé
CG04 c'est faire preuve de discernement et peut-être de sagesse , en cette honneur je lui est donné le noms de première reine connu de Carthage
_______________________________Didon _______________________________
---
Ensemble ces quatre-là formeront la garde rapprochée de Tanit, il auront comme fonction de protéger la cite de Neo-Carthage contre toute nouvelle attaque.
---
c'est-on jamais ce mystérieux géant qui nous a attaqué en mars dernier pourrais revenir.
---
dans la vie on n'est jamais assez prudent.
---
Bon je vous laisse je vais allez voir comment se passe leur entraînement du jour
---
-----------------------------------FIN DU JOURNAL VIDEO N° 13-----------------------------------
############################ NEO-CARTHAGE ############################
Bat toi comme un guerrier !!!
Le disque volant arrivait droit sur Hannibal ,celui ci eut juste le temps de l'esquiver en sautant sur la gauche mais déjà Astarté lui fonçait dessus son autre disque a la mains,
elle sauta par dessus son adversaire pour se retrouver derriere lui, les deux combattant était maintenant dos a dos Astarté fit un tour sur elle meme pour frapper le flan droit de son adversaire.
Hannibal bloqua le coup avec son glaive déstabilisant du meme coup Astarté mais au lieu de lui lancer une estocade avec son deuxième glaive il poussa Astarté en arrière avec le plat de son arme,Astarté lui saisit le bras a cette instant elle s accroupit et lui fit un chassé dans les jambes, Hannibal en perdit l'équilibre est se retrouva au sol,Astarté s'agenouilla sur son corp elle lui mis aussitôt le tranchant de son disque sous la gorge.
Tu as perdu lui lança alors Astarté
Hannibal était a la merci de Astarté celle ci n'avait qu'un geste a faire pour lui trancher la gorge,mais elle n'en fit rein.
Admet tu t'as défaite lui dit Astarté
Je ....je me rend fit honteusement Hannibal
réédition accepter fit Astarté
A ce moment la guerrier retira son arme est se releva alors que son adversaire resta au sol elle raccrocha son arme a sa ceinture soudain au loin elle put entendre des applaudissement
Bravo Astarté tu a encore gagné fit une voix
C'est alors qu'un jeune garçons et une jeune fille firent leur apparition dans la salle ,la jeune fille portait un costume de boéhmiene c'est long cheveux vert lui descendant jusqu'aux épaule son visage était mince mais ces yeux était tous vert, ils n'avaient pas de pupille, Le garçons lui avait les cheveux rouge, il était vêtu comme Robin des bois mais dont le costume aurait virée au bordeaux.
Tu est très forte Astarté fit la jeune fille au cheveux vert d'une façons tres enthousiaste
merci pour le compliment Didon lui fit Astarté
Astarté était une fille au cheveu mi long dans la couleur était un peu plus foncé que sa peau café au lait elle venait de se battre contre le chef des Cartha-guerriers lors de leur entraînement et lui avait infliger une cuisante défaite, malgres sa carrure athlétique et son armure le brun Hannibal se faisait toujour battre par Astarté a chacun de leur entraînement alors qu'il était encore au sol a ruminer sa défaite le jeune garçons roux s'approcha de lui
Alors chef tu as encore perdu lui fit le garçon.
Hannibal : je t'en pris Merkal c'est assez humiliant comme ça sans que tu est besoin d'en rajouté
Oh je disais ça comme ça fit Merkal
Merkal aida Hannibal a se relever Hannibal s'en alla retrouver Astarté pour sportivement la félicité de sa victoire en lui disant que celle ci c'était bien battu et quelle avait remporté une victoire honorable.
Aussitôt Astarté se tourna vers Hannibal en lui jetant un regard aussi sombre que ces deux yeux , Hannibal le vit bien ce qui le figea sur place.
Il n'y pas d'honneur vaincre un plus faible que soit lui répondit elle sèchement
La réponse de Astarté fut cinglante Hannibal ne répondit rein, la défaite qu'il venait de subir ne lui permettait pas se répondre il devait accepter cette réplique comme une punition,mais Astarté ne s'arrêta pas la pour rabaisser son adversaire, par nature Astarté était un peu orgueilleuse et ne privait pas de souligner la différence qui existait entre elle est Hannibal
Astarté : pour un chef tu fait pale figure meme Merkal me donne plus de mal que toi
Sa veux dire quoi ça "meme Merkal me donne plus de mal que toi " interpella le principal intéresse
Ca veut dire ce que sa veut dire fit Astarté en se tournant vers Merkal
Je ne comprend pas fit le garçons en se grattant la tête.
Astarté : je veux dire qu'en comparaison de toi Hannibal est plus faible
Merkal : ouah sa veux dire que je suis plus fort que Hannibal
le pauvre Hannibal ne trouva rein a redire alors que Merkal était comme un fou a jubiler en criant a tue tête qu'il était plus fort que leur chef, Astarté souriait a voir Hannibal si désemparé la seule a ne pas être d'accord avec tous ça fut Didon
Didon : oui mais ça c'est pas possible Hannibal et plus fort que nous tous
Astarté : et bien c'est pas impression qu'il me donne
Ce ne qu'un entraînement sa ne révèle en rien la vrai valeur d'un guerrier fit Didon
Astarté : meme en combat réel sa ne changerait rein il est moins fort que moi
Didon : tu est bien trop sur de toi Astarté cela pourrait te porter préjudice
Astarté : sa m'étonnerai dans un vrai combat si il avait été mon ennemi il serais mort
Hannibal : mais nous ne sommes pas des ennemis mais des ...
Bon sa suffit pour aujourd'hui vous deux fit une voix venant du ciel
C'est alors que les Cartha-guerriers se mirent a genoux quand Vger 2.0 fit sont apparition dans pièce en passant par l'ouverture du toit.
La sonde se stabilisa devant eux, elle émit un faisceau de lumière qui format une sorte d écran sur lequel Arnaud fit son apparition celui depuis son bureau avait une vue de la salle entraînement, ou il communiquait avec ces IA par caméra interposés
Nous vous servons maître Arnaud firent toutes les IA en signe de respect devant leur créateur.
Bon sang mais c'est pas vrai je vous est déjà dit mille fois de pas m'appeler maître mais Arnaud fit alors Arnaud
Tous le monde aimerait surement se faire appeler maitre par des êtres soumis a leur volonté mais Arnaud avait une autre considération , il ne voulait commander personne et encore moins se faire qualifier de seigneur, mais ça il n'arrivait pas le faire comprendre a ces IA qui s'obstinaient a toujour l'appeler maître.
Mais ça y'a pas moyen de vous le faire entrer dans votre tête leur dit Arnaud
Astarté : nous vous respectons maître et ne voulons pas vous manquer de respect en vous tutoyant.
Arnaud : c'est bien Astarté de vouloir faire preuve de respect mais vous pouvez me tutoyer
Astarté : nous n'oserons jamais maître
apparemment ce n'est pas aujourd'hui que Arnaud arriverait a leur faire comprendre le concept du tutoiement
bon on oublie ça fit Arnaud
Astarté : en quoi pouvons nous vous servir maître
Arnaud : je viens de lire les statiques du jour et je suis être satisfait vous avez bien progresser
Merci maître firent toutes les IA
Arnaud : continuer comme ça
Depuis que Arnaud avait créer les Cartha-guerriers il n'y avait pas un jour ou ceux ci ne c'était pas entraîner au combat ou a améliorer leur performances , pour cela il leur faisait passer tous un tas d' épreuves donc il retirerait un maximum de donnés,grâce a ces relevés il pouvait juger des progrès de chacune de ces IA, il était très satisfait a chaque foi des résultats obtenu, si ces entraînements semblais ravir les IA une parmi leur groupe était assez insatisfaite de tous ça .
Astarté : j'aurais une question a vous posez a maître
Arnaud : que veux tu savoir Astarté ?
Astarté : maître allons nous bientôt nous battre.
Arnaud : Astarté va tu me poser la question a chaque fois que je viens vous voir
Astarté : c'est que je veux savoir pourquoi nous nous entraînons comme ça
Arnaud : je vous l'ai dit pour améliorer vos performances
Astarté : maître je n'est pas l'impressions de progresser
Arnaud : et pourtant tu progresse les chiffres le montrent meme si c'est lentement.
Astarté : mais pour progresser plus vite il nous fautt de vrai adversaire qui soit fort
Astarté était une redoutable guerrière virtuelle Arnaud l'avait créer a l'image de Xena la princesse guerrière, ces armes était semblable a l'original, Astarté possédait deux disques volant capable de trancher tous se qu'ils touchaient mais a la différence de son modèle d'origine sa peau était de couleur café au lait, Arnaud avait choisit une métisse comme symbole du combat et pour démontrer aussi que les origines ne sont pas un obstacle a la vrai valeur d'une personne.
Mais Astarté elle semblais assez mécontente de sa situation elle voulait se battre et devenir plus forte et cela était bien son principal défaut
Astarté : je n'ai pas d'adversaire qui soit a ma hauteur
Arnaud : faux tu as Hannibal comme adversaire
Astarté : maître je vous parle d'un vrai adversaire un de ceux qui peuvent me donner du fil a retordre
Arnaud : tu trouve que Hannibal n'est pas a ton niveau ?!!
Astarté : il est indigne de se battre contre moi et vu je suis la plus forte vous devriez faire de moi le chef du groupe
Arnaud : désolé mais seul le plus fort d'entre vous peut prétendre a se titre et c'est le cas de Hannibal
Astarté : mais c'est injuste maître alors que ....
Silence Astarté ne critique pas mes choix lui lança Arnaud qui perdit a un peu son sang froid
Astarté ne dit plus rein elle se contenta de baiser la tête en serrant des dents elle jeta un rapide regard sur Hannibal,elle ne pouvait pas comprendre pourquoi cette être qu'elle avait si souvent battu puisse avoir les bonnes grâce de son maître, elle nourrissait envers lui un très fort sentiment jalousie a son égard, mais Arnaud lui connaissait les raison de son choix et Astarté ne pouvait nullement aller a son encontre.
Arnaud : l'incident est clos,on en reparlera plus tard pour le moment partez inspecter la cité
Bien maître firent les IA
Les Cartha-guerriers se relevèrent tous et commencèrent a partirent faire leur inspections quand Arnaud les interpella
Arnaud : attendez une minute
Qui y'a t'il maître demanda Hannibal.
Arnaud : Hannibal reste ici j'ai a te parler
Hannibal : a moi maître ?!
Arnaud : oui toi quand aux autres vous pouvez y aller
A vos ordres maître firent les autre I.A
Cartha-guerriers en avant fit Arnaud.
Les Cartha-guerriers partirent pour allez faire leur patrouille habituel, sautant de toit en toit a la manière des ninjas il parcouraient a vive allure les abord de la cité,pendant ce temps Hannibal était au prise avec Arnaud qui avait pas mal de chose a lui dire.
Arnaud : dis moi Hannibal peut tu m'expliquez ce qui se passe
Hannibal : que voulez vous dire maître
Arnaud : arrête de m'appeler maître bon sang je t'ai créer pour que tu soit indépendant
Hannibal : mais je dois vous respecter en ....
oublie le respect lui fit aussitôt Arnaud
Maintenant qu'il était en tête a tête avec Hannibal Arnaud pouvait prendre un air plus décontracté car il avait beaucoup de chose a évoquer sur le plan personnel et cela ne regardait en rien les autres, Arnaud voulait que Hannibal lui explique les raison de son étrange comportement lors des combats
Arnaud : Hannibal ... je voudrais savoir ce qui ne va pas chez toi
Hannibal : c'est assez difficile a expliquer.
Arnaud : sa tombe bien je lui la pour comprendre.
Hannibal : et bien je crois que j'ai un problème d'autorité.
Arnaud : je ne te comprend pas Hannibal tu est leur chef
Hannibal : c'est le titre que vous m'avez donner mais...
Arnaud : mais.....
Hannibal : mais sa ne suffit pas a me faire respecter par les autres
Arnaud : visiblement Astarté ne semble pas t'apprécier
Hannibal : mes rapport avec elle sont assez tendu car elle ne reconnaît pas ma légitimité en temps que chef
Arnaud : mais elle est obliger de t'obéir a cause de moi.
Hannibal : est a cause de ça elle se prive pas de me le faire payer en m'humiliant a chacun de nos entraînement en voulant me rappeler a quel point je suis faible.
Arnaud : mais tu n'est pas faible
Hannibal : il faut croire que oui sinon comment expliquer que je perd a chaque foi.
Arnaud avait un peu de mal a comprendre pourquoi Hannibal se comportait comme cela, il était le premier protocole qui avait vu le jour et par définition le plus achevée de tous ,Arnaud avait concentrer tous ces efforts sur sa création en allant jusqu'à inclure des données supplémentaire que les autres I.A n'avaient pas, mais cela n' expliquai pas pourquoi Hannibal avait autant de problème.
Arnaud : il y'a vraiment un problème chez toi
Hannibal : je doit être beugé quelque part
Arnaud : je t'ai fais un diagnostique complet tu n'as pas le moindre beugs en toi Hannibal tes aptitudes ne sont pas en cause.
Hannibal : le problème viendrais pas de ma programmation.
Arnaud : la question est de savoir pourquoi tu perd a chaque fois contre Astarté
Hannibal : c'est parce qu'elle est plus forte que moi
Arnaud : ce n'est pas possible ton niveau d énergie et le plus élevé de tous, lors des simulation d'entraînement contre les sceptres de Vger 2.0 tu a facilement surclassé tes frères et soeur d'armes
Hannibal : mais sont ne sont la que de petit test individuel
Arnaud : des petits test individuel qui montre que ta force ta rapidité et ton agilité son largement supérieur a celle des autres.
Hannibal : peut etre mais dans combat au corp a corp c'est diffèrent
Arnaud : pas temps que ça la preuve tu as réussie a vaincre Didon et Merkal a toi tous seul en combat singulier
Hannibal : eux c'est facile mais Astarté c'est autre chose
En dépit de puissance qui était la sienne Hannibal n'arrivais jamais a avoir le dessus sur Astarté ,cette guerrière parvenait toujours a le contrer et l'envoyer a terre, Arnaud se demandait si le problème ne venait pas plutôt de la personnalité de Hannibal.
Arnaud : bizarre quand meme que tu ne perde qu'en face elle
Hannibal :comme je vous l'ai dit elle est plus forte que moi
Arnaud : dis moi quand tu est face a elle comment tu sens
Hannibal : je ne comprend
Arnaud : te déstabilise t'elle ?
Hannibal : non pas du tous
Arnaud : c'est peut être dut a son physique, quelle nouille je suis, moi et mes fantasmes d'adolescent et de guerrière en cuir je lui et peut être donner des formes trop généreuse.
Hannibal : je suis un guerrier et une IA de surcroît rein ne serait me troubler
Arnaud : mais tu es sujet a des émotions
Hannibal : je ne sais pas
Arnaud : sa présence pourrait avoir une influence sur ta façons de te battre,si sa se trouve votre comportement humain et plus dévellopé que celui de Tanit.
Hannibal : nous serons plus humain que Tanit ?
Basé sur le meme principe de construction que Tanit les Cartha-guerriers pouvaient aussi ressentir des émotions des lors il devenait possible que Hannibal soit victime d'une sorte de blocage en face de Astarté, en considérant que Tanit avait des sentiments il se pouvait que les IA de Arnaud soir aussi affecter par cela.
Arnaud : Tanit a des sentiment pour sa mère nous le savons tous
Hannibal : notre maître a tous et plus évoluer que nous
Arnaud : et pourquoi ne seriez vous pas capable d'en avoir vous aussi.
Hannibal : c'est pas possible ça
Arnaud : c'est aussi impossible que de créer des intelligence artificiel et pourtant vous existez
Hannibal : c'est vrai vous avez raison maître
Arnaud : vous êtes plus qu'une suite données vous êtes aussi un espoir
Hannibal : un espoir !
Arnaud : je vous est donner une part de moi en vous ,je vous est créer pour que vous vous rapprochiez des être humains
Quel révélation de la part de Arnaud celui avait créer ces IA dans un but précis,il voulait les voir évoluer et devenir autonome il en avait fait des guerrier a cause des circonstances présente mais sinon il en aurait fait des êtres destiner a aider leur prochains
Il était navré que Hannibal se sente si mal, il voulu lui remonter le moral comme le ferait un père pour son fils
Arnaud : Hannibal tu est fort et courageux ne doute pas et crois moi j aimerais être comme toi
Hannibal : vous maître ?!
En créant les Cartha-guerriers Arnaud voulait faire plus que ça il avait une part de lui dans chacune de ces création, elles étaient pour lui ces clés du futur
Ces espoirs
Arnaud : oui Hannibal je voudrais être comme vous un guerrier pour vivre des aventures extraordinaires et pas un rat de laboratoire avec un problème de sur poids
Hannibal : pourtant nous ne faisons que passer nos journée a nous battre et nous entraîner
Hannibal :
Arnaud : seulement dans le but de vous améliorez et de devenir plus humains
Hannibal : je n'avais jamais vu la chose sous cette angle la
Arnaud : vous devez pas seulement devenir fort mais aussi améliorer votre caractère
évoluer
Arnaud : si un jour vous pouviez dépasser votre propre programmation se serais merveilleux
Hannibal : mais dans quelle but
Arnaud : a cette question je n'ai pas de réponse a vous de la trouver
Hannibal : je ne sait pas ou chercher
Arnaud : c'est la destiner de chaque être vivant que de trouver son but,cela me ferait plaisir de vous voir accomplir de grande chose
Hannibal : nous ne vous décevrons pas maître je vous servirais toujours et ferais tous ce que vous voulez
Arnaud : alors commence par m'appeller Arnaud sa serai bien
Hannibal : Arnaud !!!
Arnaud : ne vois pas comme ton créateur mais comme un ami
Hannibal : un ami ?!
Arnaud : une personne avec qui tu peut partager des choses ,une personne avec qui tu peux avoir confiance .
Hannibal : un ami c'est ça ?
Arnaud : c'est aussi une personne avec qui tu peux être unis par de vrai liens affectif
Hannibal : unis comme les Cartha-guerriers
Arnaud : oui comme les Cartha-guerriers d'ailleurs il sont eux aussi tes amis
Hannibal : tous sauf Astarté elle est moi sommes loin d être si amis que sa
Arnaud : il y a vraiment quelque chose qui cloche entre vous deux
Hannibal : je ne sais que dire
Arnaud : bon je te laisse joindre les autre pour ta patrouille et oublie ce que je t'ai dis tu dois croire en toi
Hannibal : oui mait... Arnaud
Hannibal disparu de la pièce pour aller rejoindre ces amis ,d'avant son fauteuil Arnaud sentait satisfait de se dire que son IA allait progresser mais déjà un autre problème ,il ne devait pas seulement consacrer son temps a l amélioration de sa sonde Vger 2.0
Simon lui avait confier depuis peu un autre travail celui d analyser les deux autres protocole qu'il avait récupérer lors de son expédition,Simon tenait a voir des détails sur ces deux programme en particulier celui en forme de tour. Arnaud ne le savait pas encore mais il avait mis la mains sur un système qui allait faire gagner Tanit en puissance et permettre a d'autres d'accomplir de sombre dessein.
chapitre 14 La mort de Xana
Laboratoire 22 août 2005
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Aujourd'hui constitue un grand tournant dans mes recherches.
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J'ai peut-être fini de mettre au point le projet T.
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Pas tous a fait , il ne s'agit encore pour le moment que d'une version bêta.
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On va plutôt dire que j'ai juste une solide base sur laquelle travailler.
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Deux mois d'effort on été nécessaire pour parvenir a cela.
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Deux mois déjà !!
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Le temps passe si vite
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Sur que si j'avais put utiliser le retour vers le passé il ne m'aurait fallut qu'un jour pour tous mettre au point.
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Enfin c'est comme ça on n'y peut rien.
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Reste maintenant a savoir si celui-ci fonctionne.
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Marche ou marche pas ?
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Tant qu'un test a échelle humaine n'aura pas été réalisé difficile de savoir si celui ci est au point.
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Une chose est sûre si personne ne l'essaie on ne saura jamais
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bien sûr avant de vouloir procéder à un essai réel il faut que j'effectue toutes une série de test supplémentaire pour m'assurer que celui-ci est vraiment sans danger.
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En tous cas mes premières simulations montre que les commandes vocales ont l'air de bien fonctionner.
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Le programme s'active et se désactive a la prononciation de son nom sans le moindre problème.
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Mais les simulations ne suffisent pas.
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Seul un essai grandeur nature pourra m'apporter les certitudes donc j'ai besoin.
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Un "cobaye" voila ce qu'il me faut.
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Si jusqu'à présent je n'ai pas employé le mot "cobaye" c'est parce que j'avais de bonne raison de le faire.
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Pour le moment je me refuse à une telle extrémité de test.
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Pour palier a ce problème de "cobaye" j'ai mis au point petit bonhomme qui servira de simulation.
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Une sorte de mannequin crash-test.
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Au moins celui-ci ne présentera pas le danger d'exploser vu que sa taille est tellement infime. ---
Il est à peine plus grand qu'une poupée.
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Sa limitera les dégâts en cas d'erreur de ma part.
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Selon mes estimations si celui-ci venait à exploser il ne détruirai tout au plus qu'un plateau
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Je peux dont me lancer, meme si c'est risqué.
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Mais qui ne tente rien n'Ã rien.
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Si le procédé peut s'appliquer sur lui sans problème je passerait alors a l' échelons supérieur
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Un test sur personne réel
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Avec un être humain les résultats risquent d'être des plus (d') étonnants.
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Aujourd'hui l'espoir renaît enfin.
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois neuvième partie.-----------------------------
En cette fin de mars 2005 nous allions engagé le combat final contre Xana
Mon programme anti-Xana était presque finis quand je reçus un message de la part de Franz Hopper nous demandant de la rejoindre sur Lyoko, les données qu'il allait me transmettre me permettrais d'achever mon programme multi-agent .
Franz Hopper nous donna rendez-vous sur le territoire banquise afin de nous transmettre les dernières informations .
Cette nouvelle pouvait paraître à peine croyable,mes compagnons avaient beaucoup de mal à le croire mais si cela n'était pas une ruse de Xana alors nous allions bientôt pouvoir en finir avec Xana.
Après deux ans et demi de combat la victoire semblait proche, la lutte finale approchait enfin.La première étape fut de nous rendre au laboratoire et je ne sais pas ce qui passé dans la tête de Sissi ce jour-là mais celle-ci a tout fait pour nous empêcher d'y accéder, heureusement grâce à l'intervention de William qui fit diversion nous avons eu le champ libre, nous avons pus nous rendre en toute quiétude dans le laboratoire.
< petite annexe 01 >
J'attire votre attention pour vous révéler une petite information sur William.
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Bien que nous l'ayons libéré de Xana nous avions beaucoup de mal à le percevoir comme un allié.
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La transition allait encore être longue.
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Avec le recul je trouve que nous avions agit de façons stupide
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< fin de la petite annexe 01 >
Nous nous sommes tous retrouver au laboratoire pour avoir des détails , le message de Franz Hopper nous demandais de le rejoindre sur le territoire banquise ,alors que mes amis s' apprêtaient a si rendre William fit son apparition dans le laboratoire, il manifesta tous de suite le désir de venir avec eux dans cette aventure afin de régler ces comptes avec Xana.
Ce n'est pas que nous avions une dent contre William, mais après tout ce qu'il nous avait fait subir un certain doute planait sur ces attentions, la confiance met parfois du temps avant d'être regagné et comme à son habitude la plus bornée de nous tous, fut bien la seule personne a s'opposé à ce que ce William remette ne serait-ce qu'un pied sur Lyoko.
Yumi estima que se serait trop dangereux, car William serait susceptibles de retomber sous l'influence de Xana, le beau ténébreux accepta la sentence mais prévint qu'au moindre problème il interviendrai
Quand tous le monde fut d'accord sur la manière a adopter je les est tous virtualisé sur Lyoko afin que Aelita puisse retrouver son père qui c'était caché quelque part dans une grotte du territoire banquise.
Sous sa forme de bulle virtuel Franz Hopper me transmis des données complémentaires pour terminer la mise au point de mon programme multi-agents malheureusement Xana activa une tour à ce moment-là , il réussi à reprendre le contrôle de William, celui-ci se dépêcha de me neutraliser avant de filer a la salle des scanners.
Sur Lyoko le colosse et quelques mantas firent leur apparition pour nous attaquer, leur attaque fut si subite que mes amis eurent toutes les peines du monde a s'organiser.
N'ayant plus de contact avec moi et sentant que quelque chose d'anormal se passait dans le laboratoire Yumi se fit dévirtualisé par le colosse en se mettant délibèrement sous son pied, elle réapparu juste à temps dans la salle des scanner alors que William était entrain de saboter l'un d'eux.
< petite annexe 02 >
Selon moi tout le temps que William a passé sous l'influence de Xana a peut-être modifié quelque chose chez lui.
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Il se pourrait qu'il est développé une résistance a certains effet de Lyoko et notamment le faite qu'un être scanneriser ne pouvait pas tomber sous le contrôle de Xana.
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Bien sur c'est une théorie que je n'ai jamais pu vérifier
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Mais ça expliquerai pourquoi malgré que nous l'ayons libérée de l'emprise de Xana,qu'il est put retombées sous son contrôle aussi facilement.
< fin de la petite annexe 02 >
Le combat qui allait opposé Yumi et William risquait d'être terrible bien sûr de toutes parts la situations tournait a la catastrophe.
Sur Lyoko Ulrich, Odd et Aelita étaient seuls pour faire face au colosse pour protéger Franz Hopper,mais la survie de ce dernier était essentiel tant qu'il ne m'aurait pas fournis toutes les informations nécessaire.
Et la se fut a peine croyable mais les données fournis par Hopper me permettait de parachever mon programme multi-agent, nous avions maintenant la possibilité de détruire Xana.
Une fois qu'il eut finis de me transmettre ces informations Franz Hopper regagna la mer numérique pour s'y mettre a l'abri.
Désormais deux choix s'imposaient a nous, soit il fallait que Aelita désactive la tour pour Sauver Yumi de William soit elle devait se rendre dans le cinquième territoire pour lancer le programme multi agents ce qui reviendrait au même puisque au final Xana serait détruit et yumi sauver, sans hésiter la deuxième solution fut adopter.
Mais ce n'etait pas encore gagné, il fallait encore que Aelita puise parvenir au bord du territoire pour emprunter le transporteur, mais avec ce maudit colosse sur leur trace cela paraissait impossible.
Ulrich pris sur lui de ralentir le colosse du mieux qu'il pouvait afin de donner a ces amis le temps donc ils auraient besoin, il parvint a le paralyser en lui plantant son premier sabre dans l'oeil de sa tête mais ce fut pour un cour instant qui suffit largement a Aelita et Odd pour emprunter le transporteur.
Soudain le colosse reprit du poil de la bête et déstabilisa Ulrich qui tomba,lors de sa chute Ulrich planta son deuxième sabre dans le bras gauche du monstre qui mortellement blessé s'abattis a son tour sur le sol durant l'opération Ulrich fut dévirtualisé, mais l'exploit était mémorable il était parvenu à lui seul a terrassé le terrible colosse.
Pendant ce temps Aelita et Odd avaient réussi à gagner l'extrémité du cinquième territoire il fallait maintenant activer le programme multi agent et le temps pressait car yumi n'avait plus la force de lutter contre William.
Malheureusement l'énergie du coeur nous fit défaut le programme ne pouvait pas se lancer, décidément le sort semblais s'acharner sur nous alors que nous étions a ça d'en finir avec Xana nous ne le pouvions pas a cause de trois fois rien.
C'est alors que Franz Hopper fit son apparition, grâce a sa condition de sphère énergétique il transmit toute l'énergie qui le constituait pour faire remonter les paramètres du système, mais les monstres de Xana n'entendaient pas le laisser faire, les mantas mitraillèrent alors la sphère sous le regard horrifier de Aelita, pour la jeune fille tout se passait exactement comme elle l'avait rêvé le matin même.
Aelita essaya de protéger son père malheureusement cela fut sans effets et la sphère fut détruite par les mantas dans un dernier geste Aelita posa sa main pour activer le programme.
Mes écrans s'éteignirent et le système tous entier subis alors une chute de tension énorme un bruit sourd se fit entendre dans la salle du coeur de Lyoko, c'est alors que de celui ci émergea des centaines de petites particules d'énergie qui se déplacèrent dans l'espace comme une nuée de poisson dans l'eau détruisant impitoyablement sur leur passage tous trace de Xana sur Lyoko.
Ces particules sortir du monde de Lyoko pour se répandre dans tous le réseau, petit à petit sur mes écrans je put voir disparaître chacun des réplikas,sur terre les effets ne mirent pas longtemps a se faire sentir, le spectre qui avait possédé William commença à s'échapper du corps de celui-ci en ce tordant de douleur, dans le réseau Xana était à l'agonie au fur et à mesure que tous les réplikas se faisaient détruire par le programme multi-agents.
Face a ceci Xana n'avait aucune échappatoire ou qu'il aille le programme le traquait est l'anéantissait inlassablement et en moins de temps qu'il ne fallut pour le dire toute trace de Xana disparu du réseau.
Bien que le dernier super-calculateurs dans lequel il se sont réfugia mis un plus de temps à être détruit a cause sûrement que les barrières de protection de celui ci etaient beaucoup plus résistantes.
Sur le coup je restais paralysé par ce que je pouvais lire sur mes écrans ,mais il fallait se rendre a l'évidence...
XANA ETAIT MORT.
Le tumulte de la bataille avait fait place au silence, la victoire était total notre redoutable ennemis venait d'être anéantis a jamais.
Mais cette victoire eut un prix lourd a payer, Franz Hopper avait dut se sacrifier pour nous assurer la victoire,alors que Aelita pleurait la perte de son père sur le cinquième territoire je dut la ramener sur terre, délaissant le terminal je descendit l'accueillir dans la salle des scanners ,a sa sortis elle me tomba dans les bras et se mit a pleurer , nous nous réunîmes tous autour d'elle pour la soutenir dans cette épreuve.
Pour Aelita se serait un souvenir douloureux qu'elle garderais sûrement en elle tout le reste de sa vie.
############################ FLASHBACK ############################
Mon père c'est horrible pleura Aelita
Dans la salle des scanner l'ambiance était des plus moroses, Xana était mort mais Franz Hopper aussi, terrassé par la peine Aelita c'était blottit dans les bras de Jeremie pour y verser toutes les larmes de son corp.
Tous c'étaient retrouvé pour soutenir la jeune file dans cette épreuve, le seul qui manquait à l'appel était William qui gisait totalement inconscient allongé dans une partie reculé de l'usine,vu que sa vie n'etait pas en danger ces amis avaient préféré le laisser pour venir voir ce qui c'était passé.
Au vu de la tristesse que affichait Aelita même Odd versa une larme devant ce triste spectacle, Yumi et Ulrich quand a eux se murèrent dans le silence.
Aelita pleurait comme jamais,ce qui aurait dut être un jour de grandes joies c'était finalement mué en jour de deuil ,ce combat contre Xana c'était achevé par le sacrifice d'une seule personne qui avait décidé de faire le bien autour d'elle.
Quand Aelita retrouva la force de marcher il rentrèrent tous au collège, Ulrich et Odd transportèrent William encore inconscient pour l'emmener discrètement dans sa chambre quand William revient a lui il fut surpris de ce retrouver dans sa chambre il n'avait pas le moindre souvenir de ce qu'il avait fait.
Plus tard ils se retrouvèrent tous dans la chambre de Jeremie pour faire le point de la situation sur leur victoire et bien que cela puisse paraître étrange personnes n'avaient le coeur à la fête
Se faisant déjà tard Yumi était rentrée chez elle alors que Odd et Ulrich regagnèrent leur chambre, Jeremie resta avec Aelita pour la consoler du mieux qu'il pouvait
C'est horrible Jeremie mon père est .... fit Aelita qui ne finis pas sa phrase
Jeremie : je sais Aelita mais... mais...
Jeremie ne savait que dire pour apaiser sa douce amie celle ci se cramponnait au vêtement de Jeremie la tête posé contre son torse, Jeremie enlaçait Aelita pour la réconforter c'était la seule chose qu'il pouvait faire pour elle.
Papa... dit elle
Je sais Aelita je sais fit Jeremie
Mon père n'est plus maintenant se lamenta la jeune fille.
Jeremie : nous n'y pouvons rien même un retour dans le passé ne pourrait pas le ramener
Je sais Jeremie je sais dit elle.
Jeremie dit alors a Aelita que le courage de son père avait été exemplaire et que sans sont sacrifice il seraient tous mort ,il demanda alors a Aelita de se montrer aussi forte que lui pour honorer son courage.
...en agissant comme il l'a fait il nous a tous sauvés dit Jeremie.
Je sais Jeremie fit Aelita qui avait cesser de pleurer
Jeremie : je pense qu'il doit être fière de toi.
tous comme je suis fière de lui dit Aelita
tu le peux fit Jeremie.
Aelita : et maintenant que vais-je devenir ? je suis seule au monde
Désormais Aelita n'avait plus de famille le seul liens qui lui restait avec son passé était son père et celui était mort, maintenant elle pouvait vraiment prétendre être une orpheline, mais elle ne pouvait pas dire qu'elle était seule alors que ces amis étaient la pour elle
Tu n'est pas seule Aelita,, je te l'ai déjà dis... nous sommes la .... je suis la fit alors Jeremie
Jeremie serra encore plus fort Aelita dans ces bras pour marquer toute l'affection qu'il avait pour elle et surtout pour lui faire comprendre qu'elle pouvait plus que jamais compter sur lui, rassuré et apaiser ils finirent par s'endormir l'un à côté de l'autre.
Au petit matin ils se réveillèrent cote a cote,Aelita avait passé toute la nuit dans les bras de Jeremie, la journée de la veille avaient été charger en émotions et cela n'etait pas encore fini car en ce 29 mars 2005 une importante décision se devait d'être prise.
Une décision qui devait a jamais influencé le cours de la vie de chacun a savoir...
L'extinction définitive du super-calculateur
Chapitre 14 le séjour.
14 septembre 2005
Retour à la case départ pour Maeva, alors qu'elle avait tout fait pour quitter L'hôspital, voilà maintenant qu'elle y était revenu à cause de ces problèmes de santé,c'était à croire qu'elle n'arriverait jamais à se sortir de ce milieu-là .
Miss Wałęsa fut la première infirmière qui vint lui rendre une petite visite, certes ce n'était pas une visite de courtoisie c'était juste pour passer prendre ces relevés de température.
Visiblement ces derniers jours rien n'avait changé par rapport à la première fois Maeva était toujours tenu à distance par le personnel de l'hôspital,quelque part Maeva se doutait bien que cela devaient les gêner de savoir quelle était revenu ici.
Le petit monstre, la chose difforme, la coloré, les pseudonymes n'avaient pas manqué pour la qualifier durant son précèdent séjour.cela lui rappela de bien mauvais souvenirs, elle avait l'impression d'être retourné en enfer en plus elle avait dut subir une nouvelle série d'examen, ces test avait été éprouvant pour Maeva et comme a leurs habitude ils n'avaient rein révélé d' anormal., pas de lésion pas de tumeur et aucune présence de toxine dans son organisme
C'était a se demander ce qui ne fonctionnait pas chez Maeva, ces crises de suffocation qui la paralysait était il dut a ce mystérieux implant relier a son système nerveux ? ou était-ce le fait de revivre les souvenirs d'une vie passé donc elle ignorait tous qui lui déclenchait ces crises.
Non vraiment quelque chose clochait chez Maeva,elle se coucha sur son lit et ferma les yeux en essayant de se convaincre que tous ceci n'était encore qu'un autre cauchemar ,mais elle ne pouvait tromper personne a commencer par elle meme.
Elle savait très bien que tous ceux-ci étaient parfaitement réels, son "cauchemar éveillée" comme elle l'appelait, Maeva en n'arrivait meme de vouloir que le personnel se transforme en monstre et viennent la tuer.
Au moins elle saurait que ce qu'elle vivrait a se moment la ne serait qu'un cauchemar, il fallait quelle soit vraiment désespéré pour arriver a souhaité une chose pareille.
De plus sa récente dispute avec le docteur Robinson n'avait pas arranger ces affaires au lieu d'une nuit elle allait devoir passer les 72 prochaines heures en observation.
Trois jours dans cet endroit c'était déjà trop pour Maeva , elle qui avait goûter a la liberté venait a nouveau de replongé dans cet enfer tous ça parce que son corps lui faisait défauts.
Conscient qu'elle ne pourrait rein changer a sa situation pour le moment, elle pris donc son mal en patience, cette incident était similaire a celui qu'elle est vécue le jour de son arrivé ici
Quel ironie du sort pensa Maeva
Bien que terrassé par la fatigue il lui revint en mémoire les évènements qui avait suivit sa sortis des soins intensif,elle allait découvrir a quoi ressemblait cet hôpital et toutes les personnes qui y travaillait.
--------------------------------- Le journal de Maeva sixième partie ---------------------------------
Maeva venait de passer trois jours au soin intensif dans un état semi végétatif a cause de toutes les drogues qu'on lui avait injecter pour la calmer,durant cette période elle avait été soumis a toutes une batterie de test et d'examen pour déterminer si elle ne pressentait pas de trouble spécial.
Examen du coeur et des poumons, analyse du groupe sanguin,réflexe, on lui avait fait un bilan de santé complet
Mais au final les analyses n'avaient rein décelé d'anormales, aucune trace de lésion ou de tumeur n'avait été détecter, si se n'était une petite défaillance au niveau des yeux,
un problème oculaire bénin si sa se trouve Maeva serait obliger de porté des lunettes.
Une fois qu'il fut rassurer sur l'état de santé de sa petite protégée le docteur Robinson fut autorisé a la ramener dans sa chambre, de retour a la chambre 24A il expliqua a Maeva ce qui allait se passer maintenant.
Donc maintenant tu va dormir ici lui fit le docteur on lui montrant son lit
Maeva l'avait déjà compris, mais elle redoutais cette endroit a cause ce qui si était passé il y a trois jours, le docteur essaya de se montrer le plus rassurant possible
La petite fille n'avait aucun problème à comprendre ce que le docteur lui disait mais ceci était assez étrange pour elle, mais avec tous se quelle avait déjà vécu elle commençait a si habituer
Dr Robinson : maintenant tu va venir avec moi je vais te montrez le reste du bâtiment pour que tu te familiarises avec cet environnement .
Le docteur lui tendit la main et la petite-fille la pris, le docteur s'approcha de la porte, il avait lui aussi une carte électronique qu'il passa dans la serrure sous l'oeil attentif de Maeva par la suite ils se promenèrent tous les deux le long du couloir, Maeva observa avec curiosité tous se qui l'entourait,les couloirs, les salles, les autres patients, elle n'en perdit pas une miette
finalement ils arrivèrent dans une grande pièce remplis de table, ou des adultes travaillaient avec d'autres enfants.
Ces enfants se livraient à des activités qui parure pour le moins étranges a Maeva,certains tenaient des espèces de bouts de bois avec lesquels il faisait naître des couleurs sur des surface blanches alors que d'autres s'amusaient avec de la terre pour faire des objets tout biscornu.
Dr Robinson : tu vois Maeva ici et c'est ce qu'on appelle la pièce commune où tous les enfants se retrouvent pour pratiquer des activités ludique.
La pièce commune était un atelier créatif qui faisait partie de la thérapie,en effet dans cet endroit les enfants se livraient à toutes sorte d'activité ludique destinée à stimuler leur sens de la création.
Le dessin et la sculptures étaient les principaux exercices auxquelles les enfant s'adonnaient,tout ceci intervenaient dans le cadre des thérapies de plusieurs docteurs.
Alors que le docteur allait expliquer a Maeva ce quelle devait faire ici, une grosse femme s'avança vers le Dr Robinson et Maeva , elle était grande est assez forte âgée d'environ 40 ans et pourvu d'une voix assez rondelette cette une femme était une infirmière, sa stature imposante impressionna fortement Maeva.
Comment allez-vous Docteur demanda la femme a cette instant
Dr Robinson : ah Miss Wałęsa sa faisait longtemps
Miss Wałęsa : un semaine en faite docteur.
Dr Robinson :une semaine déjà comme le temps passe vite.
Depuis son retour de Kingston valley le docteur n'avait pas été très présent dans le autres services il était rester essentiellement avec Maeva du coup beaucoup de membres du personnel ne l'avait vraiment revu que aujourd'hui.
Vous avez l'air de tenir la forme lui dit Miss Wałęsa
Dr Robinson : comme vous pouvez le voir j'ai la forme.
Miss Wałęsa : oui parfaitement est qu'est ce que vous nous amenez ici ? serais ce la nouvelle patiente ?
Dr Robinson : en effet Miss Wałęsa je vous présente Maeva.
Bonjour Maeva fit l'infirmière en se penchant vers la jeune fille.
Maeva se cacha alors derrière le docteur Robinson quand la grosse dame s'approcha d'elle, le docteur lui mis la mains derrière la tête pour la rassurer tous en lui demandant de ne pas avoir peur, cette réaction étonna l'infirmière
Miss Wałęsa : qu'est-ce que là ?
Dr Robinson : je crois que vous lui avez fait peur.
Je ne suis pas si effrayante que ça fit l'infirmière
Dr Robinson : c'est ce que je lui explique
Miss Wałęsa : et pourquoi ne vous répond elle pas ? elle a perdu la parole ou quoi
Dr Robinson : justement elle ne parle pas.
Miss Wałęsa : elle est muette ?
Dr Robinson : peut être.
Miss Wałęsa : dois-je comprend qu'elle est autiste.
Dr Robinson : on ne le sait pas encore c'est ce qu'il faut que je le détermine.
A cause de son cas particulier aucun diagnostique psychologique claire n'avait pus être établis, pour le moment personne ne savait de quoi Maeva était atteinte,Amnésie - autisme - syndrome de clover , ceci le docteur se devait de le déterminer a laide de sa thérapie.
Miss Wałęsa : et tous lui fait peur.
Dr Robinson : non seulement les étranger mais après elle s'habitue vite au gens
Miss Wałęsa : sa me rassure sinon on s'en serait vu avec les autres patient
Dr Robinson : comme vous dites, donc étant fragile évitez de trop la brusquer.
Miss Wałęsa : soyez sans crainte je connais mon travail.
Dr Robinson : je n'en doute pas
Miss Wałęsa : par contre docteur j'aurais une question a vous poser
Laquelle demanda le docteur
Miss Wałęsa : sa couleur de cheveux c'est naturel ou elle c'est fait un shampooing aux ...
...c'est naturel coupa le docteur qui ne voulait pas se lancer dans des explications
Miss Wałęsa : et bien c'est la première fois que je vois ça.
Dr Robinson : vous n'êtes pas seul.
Miss Wałęsa : c'est du a quoi.
Dr Robinson : allez savoir de nos jour on voit tellement de chose bizarre.
Miss Wałęsa : elle va pas manquer d attirer les regard sur elle
Je n'en doute pas se désola alors le docteur
Il faut dire que l'entrée de Maeva dans la pièce avait l'interpeller bon nombre de personne, les docteur aussi bien que les enfant avaient tous remarquer Maeva, il faut dire que Maeva attirait les regards,cette impression d'être la cible de tous les regard se traduisait chez la jeune fille par un malaise et une gêne constante, et cela serait ainsi durant tous le long de son séjour a l'hôspital.
Ayant un emploi du temps très chargé pour la journée le docteur confia la garde de Maeva aux bon soin de miss Wałęsa,celle-ci devait s'occuper de Maeva aux atelier ludique
le docteur donna des consignes précise pour que ne l'on ne mette pas Maeva en contact avec les autres patients.
cette tenue a l'écart pouvait paraître injuste mais le docteur Holstein avait été très clair ,dans un premier temps Maeva ne devait pas avoir de rapport direct avec les autres enfants pour ne pas blesser ceci, Maeva fut donc placer sur une table a part, a se moment le docteur lui expliqua qu'il devait partir mais qu'il reviendrais assez vite il demanda a Maeva d'être sage est de ne pas bouger de la table, et c'est ce que la petite fille allait faire toutes la journée.
Ici tu sera bien pour travailler fit le docteur.
Le docteur sortis de la pièce laissant Maeva seul devant sa table, sous la garde de Miss Walesa Maeva ne savait pas ce qu'elle devait faire, allaient ton lui donner a manger ?
Assis à sa table elle se contenta de regarder à droite à gauche pour voir ce qui s'y passait, c'est alors que Miss Wałęsa lui mit une feuille blanche sous les yeux elle lui donna ensuite une sorte de stylo qu'elle posa a coté de Maeva.
Intrigué Maeva ne savait pas quoi faire avec cet objet étrange et pourtant instinctivement elle le prix avec sa mains droite, Miss Wałęsa lui montra comment fonctionnait l'objet en dessinant plusieurs cercles concentriques sur la feuille.
Tu vois c'est pas compliqué lui fit l'infirmière.
Prenant le stylo comme on prendrait un manche de pelle Maeva gribouilla des choses sur la feuille, elle appuyait tellement fort qu'elle faillit déchiré le papier et casser la mine du stylo .Au début les traits que dessinait Maeva était assez grossier mais rapidement sur la tutelle de l'infirmière qui lui guida elle améliora rapidement la prise en mains de son stylo, ces lignes commencèrent à devenir très droites, cela étonna meme l'infirmière les progrès de Maeva étaient assez étonnant meme si ces dessins ne représentait pas grand-chose mais tous ceci n'etait qu'un première essai Maeva avait bien compris le principe du dessin.
Durant plus de 2 heure elle dessina tous se qui lui venait a la tête, parmi ces dessin on pouvait voir des formes bizarres et des sortes de paysages meme si c'était maladroit Maeva semblais faire preuve d'une grande adresse, a la fin tous ces dessin n'allait pas être jetée, au contraire il seraient collecter et allait servir pour la thérapie car si par le dessin Maeva pouvait s exprimer cela constituerai une base de travail que le docteur pourrait utiliser pour la soigner.
La matinée fila sans que Maeva ne s'en rends compte quand midi sonna tous les enfant furent renvoyé dans leur chambres, il fallait maintenant manger et là c'était une autre histoire,au meme titre que les autres enfants Maeva retourna dans sa chambre sous la conduite de miss Walesa
Par la suite les plats cuisinés furent apporté dans les chambres, chaque infirmières devaient mourir les enfants pour éviter que ceux-ci ne se blesse avec les couverts ou ne s'étouffent avec la nourriture.
Ce fut Miss Wałęsa qui fut chargé de nourrir Maeva, mais elle n'avait pas été informer par le docteur de la manière a suivre avec cette enfant spécial et comme il fallait si attendre Maeva refusa de manger cette nourriture a l aspect peu appétissant il faut dire que le dîner n'était pas spécialement bon , c'était des petits pois avec de la viande cuite a la vapeur.
L'infirmière eut tous le mal du monde a faire avaler a Maeva une seule bouchée et quand elle y arrivait Maeva avait beaucoup de mal à avaler, mais la faim fut plus forte que tout est elle dû se forcer, vraiment cela ne valait pas la cuisine de Clarisse ni les petits gâteaux dont Maeva raffolait.
Ce fut une des raisons qui fit aussi que Maeva se sentit mal à l'hôspital la nourriture y était vraiment infecte ,mais il faut croire que c'est une règle en vigueur dans tous les hôpitaux.
Cela expliqua aussi pourquoi par la suite Maeva ne voulait manger que des hamburgers est choses grasses ,heureusement pour elle que son métabolisme particulier lui permettait de tous digéré,sinon Maeva aurait fini par devenir obèse.
Si la nourriture fut une grande épreuve le plus dur était encore à venir car il fallait bientôt que Maeva passe sa première nuit dans sa chambre
Elle devrait la passer seule alors que depuis le début Maeva avait toujour été accompagné durant ces nuits mais la elle allait être livré a elle meme.
Le soir venu le docteur passa dans sa chambre pour s'assurer que Maeva allait bien,il la quitta avec une certaine angoisse, il espéra que Maeva ne subirait pas une nouvelle crise durant son sommeil, pour cela il devait se montrer extrêmement prudent.
Le Docteur savait bien que la thérapie allait prendre un temps énorme peut-être serait-il obligé d'y consacrer des mois, mais il avait mis au point un nouveau procédé de traitement quel comptais expérimenter sur Maeva mais cela allait lui demander du temps
Il avait aménagée son emploi du temps pour le consacrer pleinement à Maeva en pesant que cela serait facile
Mais il se trompait prochainement d'autres événements allaient survenir qui allaient influencer Maeva pour le reste de sa vie.
chapitre 14 petit tours à la Silicon Valley
12 octobre 2004
Monsieur ... thé ou café ?
Je prendrai un café fit l'homme
Et vous madame ... thé ou café demanda l'hôtesse.
Non merci sans façons je préfère éviter de consommer des excitants répondit la femme.
Sans plus attendre l'hôtesse commença à servir le café chaud dans la tasse qu'elle posa sur le plateau repas placer devant l'homme qui l'en remercia, après quoi elle fit avancer son chariot jusqu'aux sièges qui se trouvait derrière, la elle réitéra la même question aux autres passager
Monsieur thé ou café ? fit a nouveau l'hôtesse
L'homme secoua son sachet de sucre avant de l'ouvrir et d'en verser le contenu dans son café, il pris sa cuillère et touilla le tous, il souffla sur le précieux nectar avant d'avaler presque la moitie de la tasse d'un seul trait.
Ah c'est vraiment bon fit l'homme ravit.
vous avez une sacrée descente constata la femme a coté de lui
C'est normal j'adore le café répondit l'homme.
Femme : c'est ce que je vois
Et vous Janet vous n'aimer pas le café demanda l'homme
Janet : Désolé Mr Powell mais sans vouloir faire de mauvais jeu de mot les excitant comme le café ne sont pas vraiment ma tasse de thé.
Homme : pas votre tasse de thé c'est de l'humour anglais ?
Janet : je vous en prie Mr Powell ne soyez pas si...si
...Tatillon c'est le mot que vous cherchiez je suppose fit l'homme
Janet : ce n'est pas a celui ci que je pensais
Homme : vous m'en direz tant.
Janet : j'aurais plutôt dit suffisant.
Homme : suffisant !!
Janet : suffisant sa colle bien avec votre caractère.
Homme : je vous trouve un peu dure la je disais ça histoire de détendre l'atmosphère, vous avez l'air si tendu.
Janet : raison de plus pour ne pas boire de café ou de thé
Homme : c'est vrai que c'est pas ce qu'il y a de mieux pour se détendre.
Janet : nous sommes au moins d'accord la dessus.
Janet paraissait assez distante avec MR Powell il faut dire que la jeune femme était assez nerveuse par nature, et le faite de prendre l'avions n'avait rein arranger, ce que son collègue ne manqua pas de lui faire remarquer.
Homme : vous pourriez être un peu plus sympathique ont est collègue après tous.
Janet : oui collègue est puis c'est tous ....... (^_^)
Homme : sa veut dire quoi ceci.
Rein de spécial fit Janet.
Homme : tiens donc !!
Janet : sa veut dire quoi ce "tiens donc"
Oh rien de spécial fit l'homme
Janet : vous pensez a quoi la
Homme : je pense que vous devriez lâcher cette ordinateur un instant et regarder le film
Janet : je ne peux pas j'ai du travail
Homme : il n'y a rein a faire vous êtes toujours aussi tendu.
Janet : c'est une critique de votre part ?
Homme : une observation de ma part rien de plus.
Sachez que le jour ou je pourrais me détendre se sera quand j'aurais finis mon exposé Mr Powell dit Janet pour seul défense.
Homme : après tous vous faite comme vous voulez Janet
Janet : heureux que vous le compreniez enfin Mr Powell
Homme : dites quand même en tant que collègue on pourrait pas s'appeler par nos prénoms
Janet : si vous voulez... Robert
Robert : alors vous voyez quand vous voulez vous pouvez être sympathiques
Qu'est ce qui vous fait dire que je ne le suis pas. lui fit Janet
Des petites choses par ci par la fit Robert
Janet Parker et son partenaire Robert Powell alias le major et le colonel avaient tous deux repris du service, pour les besoins de leur futur mission il avaient ré-endossé leur couverture d'agents d'assurance, afin d' enquêter sur les agissements de global computer.
A peine le major était elle sortis de l'hospital qu'ils avaient pris le premier vol en partance pour les états unis
Pour mener leur investigations ils devaient se rendre en Californie dans les locaux meme de la très suspecte société d'informatique.
pendant le voyage le major avait voulu continuer ces recherches sur ces filtres anti parasitages alors que le colonel lui ne pouvait que regarder les film a la télévision, tous de fois sa petite critique a l'encontre du major avait interpellé cette dernière.
Janet : et en quoi je ne suis pas si sympathiques
Robert : c'est a cause de votre caractère distant et absorbée
Janet : et bien quoi je suis consciencieuse de mon travail
Robert : vous l'êtes a l extrême je trouve
Janet : pas temps que ça
Robert : vous trouvez
Sachez Robert que je suis très drôle quand je veux se défendit Janet.
Robert : c'est une blague de votre part ou une affirmation ce que vous dites la
Le major se retint bien de dire quoi que ce soit car il semblait que le colonel avait décider de se jouer d'elle, il fallait pas qu'elle trahisse sa couverture alors elle se prêta a cette comédie et comme le major aimait toujour avoir le dernier mots...
Janet : je peux être drôle si je veux
Robert : prouvez le moi.
Janet : et comment ,
Robert : et bien racontez moi une blague
Janet : et bien...
Robert : alors j'attend
Le major était bien piégé a part des blagues scientifique sur des équations elle n'avait pas l'humour terre a terre du colonel elle préféra battre en retraite en se réfugiant derrière une excuse bien rodée.
Janet : j'ai du travail à terminer on verra sa plus tard
Robert : vous déclarer forfait
Janet : pas du tous je me réserve pour plus tard
J'avais raison vous voyez fit le colonel content d'avoir eut cette foi le dernier mots
Non fit Janet
Robert : si
Janet : non
Robert : si
Janet : arrêtons ces jeux de gamins s'il vous plaît
Robert : comme vous voulez Janet, mais je vous rappellerai a l'ordre un de ces jours
Janet : d'accord on verra sa plus tard pour le moment j'ai encore beaucoup de statistiques à mettre au point
Robert : Décidément vous n' êtes qu'un bourreau de travail.
Janet : je suis obliger, mes dossier sont prioritaire
Robert : mais pas autant que notre rendez vous de demain.
Janet : d'ailleurs puisque vous évoquer le sujet, comment nous allons procéder pour rencontrer Mr Romuald H Landsey.
Robert : très facile, j'ai avec moi le chèque d'achats
Janet : quelle chèque ?
Robert : celui qui va nous servir a payer Mr Landsey
C'est quoi cette histoire de chèque demanda Janet
Robert : c'est notre billet d'entrée a la société Global computer.
Janet : vous voulez acheter quelque chose la bas
Robert : sa se pourrait
Janet :pourtant ils ne vendent que des cartes a puce
Robert : c'est ce que ont va acheter justement
Janet : ne me dites pas que...
Robert : si j'ai avec moi un chèque de 10 millions de livres streling pour l'achat d'une puce a Quadrihoppes
Janet : d'où sortez vous cette somme ?
Robert : tous est en ordre je me suis arranger avec Mr Starkey
Janet : il a accepter ?!!!
Robert : sa n'as pas été sans mal mais oui.
Janet : comment avez vous réussi a le convaincre de débloquer les fond nécessaire
Robert : en signant des formulaires.
Mr Starkey était le noms de code donner au lieutenant Fraggle, pour le besoin de la mission et pour donner le change le colonel avait convaincu ce dernier de débloquer les fond nécessaire a l'achat d'une carte a micropuce Quadrihoppes, le lieutenant faillit bien s'étouffer a cette demande mais comme elle émanait directement du colonel les frais allait donc être partagé.
Pour ça le lieutenant avait fait signer une quantité impressionnante de paperasse au colonel de façons a ce que les services secret français verse la somme de 5 millions de livre a l'état britannique
Janet : sa va coûter chère a notre entreprise.
Robert : ne m'en parler pas la mienne va sûrement me muter en arctique après un coup pareils Janet : était il nécessaire de donner une telle somme
Robert : c'est notre ticket d'entrée.
Janet : sa fait chère la place.surtout ne perdez pas le chèque.
Robert : aucun risque sinon Mr Starkey va me bouffer si je commet cette boulette.
Janet : ne soyez pas si pessimiste Mr Starkey n'est pas un ogre
Robert : un pingre en tous cas ça c'est sur.
Janet je dirais plutôt une personne soucieuse des dépenses.
Robert : grâce a ce chèque nous avons plus conclure un arrangement avec Mr Stenton
Janet : nous ne m'aviez pas avertis
Robert : je voulais garder ça pour moi
Janet : et quel arrangement
Robert : en échange de la somme verser il nous confère un droit de représentant légale de sa société
Janet : si je comprend bien nous travaillons donc pour Quantum Conductivity maintenant
Robert : seulement en qualité d' acheteur intermédiaire, ainsi nous éveillerons pas les soupçons.
Janet : et après que compter vous faire ?
Robert : nous aviserons sur place
Janet : c'est un peu hasardeux
Robert : certes mais comme on ne sait rein sur ce Mr Landsey il va falloir improviser, il faut le pousser a commettre un faux pas
Janet : plus facile a dire qu'a faire comment voulez vous lui faire avouer quoi que se soit.
Robert : j'ai ma petite idée mais nous en s'appeler plus tard a l'hôtel
Janet : vous ne pouvez pas me le dire
Robert : disons juste que tact est subtilité nous serons nécessaire
Janet : c'est pas gagner alors
Robert : est pourquoi dit vous ça
Janet : comme ça.
Pour réussir a confondre le directeur de Global computer le colonel avait déjà établis son plan d'attaque mais pour l'heure il en avait garder les détail pour lui , bien sur une fois a l'hôtel il donnera au major les instructions a suivre,mais en attendant il essaya encore de convaincre le major de ce changer les idées
Robert : et bien Janet regarder donc les films sa vous détendra
Janet : merci mais je n'ai pas besoin de ça.
Robert : faite un effort
Janet : Mr Powell si vous pouviez cesser de m'importuner je vous en serais quitte
Décidément mais sous une fausse identité le major était toujours aussi stricte, elle n'était pas disposer a parler d'avantage, le colonel décida de ne pas insister, mais il se promit de revenir a la charge,au fond de lui il était persuader qu'il arriverait a briser la glace entre eux
Dans l'avion qui les emmenait a New York les films n'était pas vraiment intéressants, le colonel préféra se concentrer sur les actualités, en zappant il finit pas tomber sur une petite chaîne de télévision international relier par satellites
____________________________BTV____________________________
Btv était une chaîne prive d information en continue a cette heure ci c'était la chronique de Minnie Ruskofief , la présentatrice faisait le résumer de l'actualité en 5 minutes.
"Bonjour ici Minnie Ruskofief (1) pour des BTV qui vous présente les actualités du monde en cinq points essentiels."
L'écran titre se tinta en bleu et vert pour laisser apparaître les 5 point qui allait être développé
- Conflit en Stanilasie
- Tuerie sanglante dans un lieu public
- enlèvement d'une adolescente
- Naufrage dans le pacifique
- Crash d'un avion de British Airway
< Conflit en Stanilasie >
Le conflit qui secoue la Stanislasie fait toujours fureur dans les Balkans, malgres les avertissement de l'ONU, le kaiser Ervig 1er fait front au soulèvement en appliquant la plus sanglante des répression, pour l'heure le conseil de sécurité a voté pour l'envoie de nouvelle troupe de casque bleu afin d'assuré la sécurité des réfugié.
Les images montrait des chars d'assaut de la garde impérial entrer dans la ville de Benkoski dans le sud ouest de la province de Amgkruk, a celle ci s' enchaînérent les images des milliers de civil qui fuyaient par les routes le conflit
Vint ensuite le deuxième sujet du jour
< Tuerie sanglante dans un lieu public>
Un homme pris sous l'effet de stupéfiant a fait irruption dans un commerce huppée de la ville de kaminski en russie il a commencer a ouvrir le feu sur les passants, on dénombre pour l'heure pas moins de 6 morts parmi lesquels le forcené qui a été abattu par les forces de l ordre selon la police l'homme semblais complètement possédé et a refusé de se rendre
Vint ensuite le troisième sujet du jour
On est toujours sans nouvelle de la jeune adolescente canadienne qui été enlever a Paris dans nuit du 19,selon les premiers témoins un homme grand et maigre aurait été aperçu dans les alentour peut avant la disparition de la jeune fille.
Un avis de recherche a été lancer mais les chances de la retrouver en vie sont devenu mince depuis que son pull taché de sang a été retrouve vers le bord de la seine.
A cette triste annonce s'en succéda une autre
< Naufrage dans le pacifique>
Nouvelle disparition d'un cargo dans le pacifique sud, tard dans la nuit un S.O.S du cargo San Angora a été capté par les autorités Australiene les secours maritime dépêchées sur place n'ont trouvé aucun survivant le navire a sombrer corp et bien avec toutes sa cargaison.
< Crash d'un avion de British Airway >
Ce matin un avion de British Airway c'est écrase 5 minutes après son décollage le nombre de victimes et pour le moins inconnu et.....
Cette dernier nouvelles ne rassura pas le colonel, il posa ces écouteur et demanda au major de lui confirmer un doutes.
Dites moi Janet c'est bien British Airway la compagnie qu'on a pris demanda le colonel
Janet : oui en effet 'est un British Airway pourquoi cette question ?
Pour rein fit Robert qui s agrippa alors au poignée des sièges.
Tous le reste du vol se passa sans le moindre problème, arrive a new York ,après 1h30 de pause les deux agent prirent le vol domestique en partance pour la Californie, ce fut en fin de journée qu'ils arrivèrent a l'hôtel ou il devaient se reposer de leur voyage et faire le point de la situation en attendant de poursuivre leur enquête.
(1) pour le gag sachez que Minnie Ruskofief et un personnage de ma fanfics Code Ryoko,elle est en faite la parodie de Milly Solavief,c'est pas essentiel j'ai juste pour le signaler...un peu humour sa fait pas de mal.
chapitre 14 c'est la tour
Journal de Arnaud Morillon 09 août 2005
Compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 14
La je suis dans une impasse
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Je n'arrive toujours pas à comprendre a quoi ce système peut bien servir.
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J'essaie pourtant de procéder par étapes
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Une première constatations c'est que ce programme n'est en rapport ni avec la téléportations ni avec les intelligences artificielles.
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Il leur est différend sur bien des points.
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Pour commencer il n'est pas automne il nécessite un apport d' énergie extérieur.
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D'ailleurs il semble que se système est besoin de beaucoup d'énergie pour fonctionner.
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C'est ce qui le distingue des IA qui elles sont largement moins consommatrice de ressources
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la première étape est donc de brancher ce programme sur un réseau pour l'alimenter en énergie.
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Une fois qu'elle a reçue suffisamment d'énergie,elle peut enfin fonctionner
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Si je dis elle c'est pas par hasard.
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Si sa fonction reste un mystère c'est sa forme général n'en est pas un.
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Globalement ont a faire a une tour.
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ça n'a rein de nouveau je le savais depuis le début.
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Mais cette tour puisqu'il faut l'appeler comme ça et vraiment d'une conception étonnante
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sa structure virtuel et assez hors norme.
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Ce qui me laisse supposer que ce programme serai une sorte d'interface
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Une interface d'accord mais avec quoi ?
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La question est donc de savoir avec quoi ce système peut s'interfacer.
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Un autre super-calculateur, d'autres programmes ,des machines externe ?
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C'est a moi de le déterminer.
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Procédons par ordre.
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Ce système a une structure extrêmement complexe
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Il y a l'intérieur pas moins de 1000 systèmes de paramétrages repartis sur toutes sa surface le tous sous la forme de fenêtres.
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C'est fenêtres binaires semblent être des vecteurs de commande.
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Grossièrement chaque fenêtre serais une sorte d'interrupteur
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leur activation et désactivation aurait une influence sur le fonctionnement de la tour.
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Ce qui m'a amène a penser que se système et bien une interface de contrôle.
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Mais la une autre question se pose.
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Sa peut contrôler quoi ?
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Des machines ou des ordinateur.
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et pourquoi pas les deux.
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Le mieux serait que je procède à des tests et a des analyses.
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Normalement ce système est prévu pour fonctionner en réseau.
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A l'origine elle était relier a d'autres systèmes de tour.
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Mais contrairement aux autres celle ci avait la particularité de permettre d'accéder a d'autres niveaux.
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C'est ce qui la rendait très différentes des autres systèmes que j'avais déjà pu analyser
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Et c'est bien pour ça que j'ai voulu l'analyser de plus près.
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Mais suite a mon problème d' anti-virus durant opération de transfert on a été interrompu
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résultat des course le programme transmis était incomplet.
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A l'aide du temple que Tanit m'as alloué j'ai pus reconstituer cette tour dans son ensemble en la complétant de quelques programmes de ma composition pour les fragment manquants
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Pour la décompresser et la réparer j'ai procéder a quelque modification sur sa base structurelle.
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garce a mon habilite légendaire j'ai réussi a les rendre compatibles avec les systèmes de la cité.
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la encore la régénération virtuelle m'as bien aider.
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J'ai donc intégrer ces paramètres a ma sonde Vger 2.0
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Et la le résultat a encore dépasser mes espérances
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les deux systèmes on comme qui dirais ... fusionner
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Ma sonde a assimiler les propriétés émergente de cette tour.
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Pour faire simple disons que ma sonde peut se transformer en cette tour maintenant
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Décidément ma sonde est vraiment polyvalente.
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Mais cette tour l'est tous autant.
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Sa confirme se que je savais déjà .
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Ma tecnhologie est compatible avec celle de ce monde.
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Imaginer donc les possibilité que sa offre
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je serais en mesure de m'interfacer avec ce monde et d'en utiliser les ressources.
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C'est une piste a creuser.
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On sait jamais sa pourrais être utile.
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Passons a la suite.........
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Une fois que j'ai réussi a la reconstituer j'ai donc essayé de le faire fonctionner
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Mais la j'ai fait chou blanc.
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Pas moyen de l'activer
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pourtant les paramètres sur mes écrans confirme que l'énergie insufflé a la tour devrait la faire fonctionner.
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il faut donc un protocole spéciale pour l'activer
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Un programme qui permettrais qu'utilise l'énergie et ces systèmes.
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Conclusion il me manque la clé de contact.
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Il est peut-être possible que les clés de la téléportation que j'ai trouvée soi finalement complémentaire que ce programme.
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Ce qui voudrait dire que cette tour serait capable de contrôler le processus de téléportation
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elle serait vraiment multi-fonctions.
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Alors en n'ayant pas plus d'information pour le moment il est difficile de faire des théories
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Mais je pense que l'on peut contourner se problème
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vu quelle a fusionner avec Vger 2.0 ma sonde serait peut être en mesure de l'activer.
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Si sa marche sa va devenir très intéressant
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Je pense que Tanit serait aussi en mesure de pouvoir s'en servir.
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Simon voulait que j'apporte ma contribution a la cite et bien voila c'est fait.
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avec se système d'interface Tanit serait en mesure d'augmenter son interaction avec le monde extérieur
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En théorie car il faudra brancher des machines sur le super calculateur.
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Avec cette tour elle pourrait contrôler les environnements des laboratoires
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machine automatiser - système de production - et que sais-je....
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Ce qui fera d'elle la parfaite assistante de laboratoire
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Finit pour elle le temps des calculs
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désormais elle pourra aussi agir sur la production du matériel.
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avec elle au moins on sera sur que tous ce qu'on produira sera a 100% fiable.
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Avec elle les phase de teste de matériel deviendra superflu.
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En contrôlant la production et elle pourra s'assurer de par elle meme de la qualité des produits
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Revers de la médaille sa va sûrement créer du chômage dans les laboratoires de test
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C'est pas bien de ma part mais c'est comme ça.
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Chaque nouveau progrès entraîner forcement la disparition d'un corp de métier
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Enfin ont fait d'omelette sans casser des oeufs.
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et l'être humains sera toujours indispensable a la machine pour exister.
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je vais devoir passer a la partie test de ce programmes
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---------------------------------------------------PAUSE---------------------------------------------------
Durant tous le reste de la journée Arnaud procéda a des essais sur la tour via sa sonde vger 2.0 , pour se faire il connecta sur son ordinateur un bras automatiser afin de vérifier comment la tour allait pouvoir le contrôler.
En agissant sur certains paramètres il parvient a faire bouger celui ci,la tour avait la particularité de s'adapter automatiquement aux système auxquelles elle était connecter.
Ces premiers essais ravir Arnaud qui voulu pousser l' expérience plus loin, en influant sur d'autres paramètres il obtint alors un résultat inattendu.
-------------------------------------------------REPRISE-------------------------------------------------
C'est de la folie.
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Et encore je pèse mes mots
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je vous expliquer et la vous allez comprendre
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Voila en voulant tester les possibilité de la tour, je l'ai donc connecter a un bas robotiser
---
Puis en agissant sur certaine fenêtres j'ai commencer a vouloir le faire bouger
---
et la sa a marcher a merveille.
---
Le bras montait descendais tournait sur lui meme sans le moindre problème.
---
Satisfait du résultat j'ai voulu pousser les essai un peu plus loin.
---
Car vous devez savoir que dans cette essai je n'ai utiliser qu'une cinquantaine de fenêtres sur un totale de 1000.
---
Donc je me suis dit " voyons ce que l'on peut faire avec le reste.
---
Et la le moins que je puisse dire c'est que je n''ai pas été déçu du résultat.
---
En influent sur 100 fenêtres supplémentaires il c'est passé un phénomènes incroyable
---
Tenez vous bien c'est du costaud.
---
Et bien voila juste après avoir activer la centième fenêtres...............un arc électrique c'est formé a l extrémité de la pince du bras.
---
Je vous jure que c'est la vérité
---
Incroyable
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Bien sur au début j'ai cru a un court circuit venant du bras.
---
J'ai donc coupé le système pour contrôler l'état du bras
---
Mais en le diagnostiquant je n'est trouver aucun défaut technique.
---
j'ai donc retrancher le tous et recommencer l'expérience avec les mêmes manipulations
---
Et la Re-belote.
---
Le meme phénomènes c'est reproduit a l'activation de la centième fenêtres
---
Il faut donc que je me rende a l'évidence
---
c'est la tour qui est responsable.
---
Comment diable un programme informatique pourrait il faire ça
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la seule théorie que j'ai et que se protocole est capable d'agir sur la matière.
---
Et plus précisément a l aide a d'un phénomène de physique très connue appelé
__________________________l'éléctro magnétisme__________________________
---
Bien qu'a la base se système devait plutôt contrôler l'électricité.
---
Mais les modifications que j'ai dut apporté sur cette tour a semble t'il modifier ces propriétés d'interaction avec le monde extérieur
---
je l'aurais donc améliorer sans le vouloir
---
Je suis vraiment balèze des fois (^_^)
---
c'est vraiment étonnant cette expérience
---
Et sa seulement avec 10 % de la puissance nécessaire
---
Allez savoir ce que cette tour utiliser a pleine puissance serait capable de faire.
---
Mais sa je ne le serais pas pour le moment.
---
Car lors de cette expérience il se trouvait que Simon était dans la pièce
---
Tous comme moi il a vu c'est qui c'est passée.
---
Bien sur il ma tous de suite demander ce que je faisait
---
Et la j'ai été obliger de lui expliquer.
---
Je crois que mes révélations l'ont autant scotché sur place que moi.
---
Franchement qui pourrait croire une chose pareil.
---
Simon m'as alors demander de garder sa pour moi et de lui transmette a lui seul le résultat des mes expériences.
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je suppose qu'il va confier ces test a d'autres laboratoires
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il fait ce qu'il veut après tous c'est le patrons de cette section
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Curieusement Il m'as aussi demander de mettre un pont une télécommande pour Vger 2.0
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Quels idée bizarre
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Pourquoi vouloir contrôler ma sonde depuis l'extérieur ?
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Il a sûrement ces raisons
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Allez savoir ce qu'il a derrière la tête
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Je lui est donc répondu que c'était faisable, mais qu'il me faudrait un peu de temps pour ça
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Il m'as dit de faire au plus vite
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j'ai donc accepter
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En contre parie il m'a augmenter mes crédits
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Sa veut dire plus de moyen pour mes recherches.
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et je vais pas m'en plaindre
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Il m'as demander de me concentrer sur le reste de mes recherches
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A savoir la téléportation...
Chapitre 15 L'extinction du super-calculateur
Laboratoire 24 août 2005
----------------------------------------ENREGISTREMENT----------------------------------------------
En cette fin de mois d'août beaucoup de choses ont changé
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Je peux dire que les simulations sur le projet T sont plus que satisfaisante
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Je n'ai n'est pas détecté le moindres beugs lors de son lancement.
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Activation - OK.
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Résistance - OK.
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Puissance - OK.
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Tous les paramètres en général - OK.
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le bonhomme crash test n'as pas exploser.
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L' enveloppe virtuel a tenue le choc malgres le dégagement d'énergie généré par le processus. de T...............
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Je peux donc en conclure que sa marche.
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Mais j'ai quand meme un doute a cause de mon petit bonhomme justement.
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Il ne s'agit là que d'une réplique virtuelle de petite taille.
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A peine 20 cm de haut
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Sa fausse un peu les résultat en faite.
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Si sa marche sur lui il est en revanche très difficile de savoir qu'elle seront les véritables effets sur un corps humain.
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Un être réel a taille humaine.
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Pas besoin d'avoir fait math Sup pour deviner que le dégagement d'énergie va être bien supérieur
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Par mesure de sécurité d'autres simulations vont être nécessaire.
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Et j'ai plutôt intérêt a me dépêcher de finir se programme.
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Car les Échos détectées sur le réseau ont tendance à s'amplifier de plus en plus
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Ceci ont même pris une amplitude que je n'aurais jamais soupçonnée.
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Cela m'inquiète beaucoup.
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Alors il devient indispensable que je finisse le projet T le plus rapidement possible afin de pouvoir détruire Xana pour de bon.
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Car si ces échos sont bel et bien la manifestation d'une quelconque activité de Xana sur le réseau.
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Sa serait une catastrophe.
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j'ai fait part de mes inquiétudes a Yumi.
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Elle meme a du mal a y croire
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Le retour de Xana.
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Un scénario catastrophe digne des pires film d'horreur de ce bon vieux Odd
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A part que la c'est réel.
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Malheureusement pour le moment je ne peux rien entreprendre.
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Je n'ai pas l'énergie nécessaire pour pouvoir réactiver le programme multi-agent.
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Et surtout je n'ai plus Aelita pour lancer la séquence du programme depuis le cinquième territoire.
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Quel poisse.
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Et meme si j'avais les deux sous la mains, je doute que le programme multi agent soit vraiment efficace
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Si celui-ci n'a pas réussi à éliminer Xana la première fois, je doute fort qu'il puisse le faire aujourd'hui.
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Donc il faut que je travaille sur une amélioration de ce dernier
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On peux supposer que Xana a évolué au-delà de ce que l'on peut imaginer.
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C'est la seule explication que j'ai pour expliquer qu'il est survécu la première foi.
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Il a dut trouver un moyen de changer sa programmation de base pour ne pas etre affecter par le programme multi agent
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Ce qui voudrais dire qu'il aurait été capable de survivre dans un autre type d'ordinateur que ceux construit sur un principe quantique.
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Car tous les super-calculateurs dans lesquels il se trouvaient ont été détruit.
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De ce coté la je n'ai aucun doutes.
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J'ai mené mes petites investigations pour savoir quels incidents avaient émaillé le monde ce jour-là .
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Et je n'ai pas été déçu de se que j'ai trouvé.
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On peut dire que l'influence de ce satané virus c'était répandue partout
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États-Unis, Russie, Japon, Amérique du Nord du Sud, pays scandinave, Moyen-Orient
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d'après ce que j'ai pus en lire la plupart de ces machines sont tombés en pannes de façons quasi simultanés au quatre coins du monde.
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Le réseau a été très perturbé par l'action du programme multi agent lors de son lancement.
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Une très sérieuse revue scientifique a même établi qu'un nouveau type de virus était apparu ce jour la.
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Il n'était pas loin de la vérité.
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A part que celui-ci était beaucoup plus dangereux qu'un simple petit virus informatique.
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D'un point de vue global la destruction de Xana n'as provoqué aucun dégât majeur
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C'est une bonne chose
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Malgres ces bonnes nouvelles un autre doute persiste
_____________________ L'armée robotisé de Xana_____________________
Qu'est t'elle devenu ?
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J'ai fait des recherches sur les activités de la base en Sibérie.
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Aucun événements n'as été relatés concernant la présence des robots
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Et cela m'interpelle, ou sont passer ces machines ?
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Détruite ou bien...?
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Si sa se trouve les militaires russes on étouffer l'affaire et se sont emparés de cette technologie.
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Si les russes sont en possession d'une telle tecnhologie le pire a a craindre pour plus tard.
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Une telle puissance serait tentante a utiliser contre d'autre pays.
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A condition que se soit eux que se soit emparé de cette technologie.
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Dans le cas contraire sa voudrais dire que Xana les a lui meme évacués.
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Il est possible que ce sentant menacé il est choisit de les mettre en lieux sur en attendant je jour ou il pourrait contre-attaquer en force.
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si c'est le cas je me demande bien où il a put stocker une telle armée ?
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Je ne vois pas d'endroit sur Terre susceptible d'accueillir ces soldats de métal
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Sans oublier qu'il faut qu'elle soit à proximité d'un super-calculateur
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On peut des-lors supposer que pour éviter les gêneur il a dut choir un endroit qui soit difficile d'accès
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Mais ou alors ?
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Une montagne - Une foret tropical - une île déserte - un volcan
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Allez savoir !!!
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La perspective que Xana soit de retour et qu'il serait a la tête d'une armée d'androide surpuissant n'augure rien de bon pour l'avenir.
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Effrayant
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Si c'est le cas nous devrons a nouveau le combattre
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Mais sans Aelita sa s'annonce mal engagé pour désactiver les tours
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Il faudra faire sans.
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Quelle poisse,a croire que le sort s'acharne sur nous.
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Maudit Xana meme soi-disant mort il continue a nuire.
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Reste que sa possible survit est un mystère
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Comment a t'il put échapper au programme multi agent ?
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A t'il bénéficier d'une aide extérieur ?
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Ce qui m' amène aussi à me poser une autre question
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Serait il possible que des gens est pus reprendre a leur compte les expérimentations de Xana.
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Et si sa se trouve ces mêmes personnes sont celle qui sont responsable de la disparition de Aelita.
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Avec la technologie de Xana ils ont accès au programme des tours et a celui des monstres.
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Sans oublier les clés de Lyoko
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Ce qui expliquerai le faite qu'ils est pus s'introduire sur Lyoko aussi facilement malgres la présence du bouclier.
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Mais la sa ne colle pas avec se que j'ai découvert.
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Car si ont y regarde de plus près , nous avons a faire a deux signaux bien distinct
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Nous avons donc deux "possible" adversaires.
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Le signal de ceux qui on enlever Aelita. et celui de Xana.
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Il y aurait donc deux super-calculateur qui se cache derrière tous ça.
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Pour les kidnappeur de Aelita je ne sais pas, mais en ce qui concerne Xana sa reste trouble.
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à supposer que Xana est utiliser un autre super calculateur pourquoi le programme multi agent ne la t'il pas découvert ?
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Techniquement ce système aurait dû le détruire comme les autres.
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A moins qu'il n'ai pas été connectés aux autres super-calculateurs.
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mais comment pourrait il avoir eut un lien avec Xana si il n'était pas en contact tous les deux ?
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de plus pour Xana s'isoler de cette façon-là lui aurait été fatale.
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Car son programme de base ne pas survivre en dehors d'un environnement virtuel comme Lyoko.
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Xana et lier a Lyoko il ne peut vivre en dehors de se monde.
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C'est pour ça qu'il a créer les réplikas.
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Pour Xana les réplikas étaient en quelque sorte un espace vert artificiel.
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Comprenez par la un endroit où il pouvait survivre.
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Car en théorie Xana ne pouvait vivre de façon définitive dans le réseau et il n'aurait pas put se réfugier dans un super-calculateur classique
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Car aucune de ces machines n'étaient assez puissante pour le contenir
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Ce qui fait qu'a court terme sa conscience aurait fini par se disloquer
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et si il avait pu survivre un instant sa ne n'aurait pas pu être dans notre super calculateur
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vu que nous allions le débrancher lendemain meme de notre victoire.
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois dixième partie.-----------------------------
En la date du 29 mars 2005 nous avions décidé d'éteindre le super-calculateur, cette décision avait fait l'objet de longues tractations beaucoup d'entre nous n'était pas favorable à son extinction définitive.
A part William et yumi nous n'étions pas près a voir se finir comme ça l'aventure de Lyoko,pourtant nous étions tous conscients du danger que cela représentait si cette machine demeurait en activité.
Ce jour la nous avions décider de voter pour son extinction mais a part yumi personne n'arriva a se résigner a cette extrémité.
Yumi ne parvient pas a comprendre une telle attitude de notre part, pourtant chacun avait ses raisons de ne pas vouloir en finir, les raisons étaient nombreuses, mais si il avait fallu n'en retenir qu'une seule alors sa serait celle-ci.
"Lyoko était bien plus pour eux que le symbole d'une vie d'aventure c'était celui de leur amitié."
Avec le temps et les épreuves un lien très fort nous avaient unies et ce qu'ils craignaient tous au fond c'est que ce lien soit couper si jamais nous venions à débrancher le super-calculateur.
Le matin meme aucune décision ne fut prise, il fallait donner a tous le monde un temps de réflexion afin de faire le point sur tous ça.
Si les raisons qui poussait yumi et William a vouloir éteindre cette machine ne faisait pas l'ombre d'un doute quand était il vraiment pour nous autres ?
Pourquoi moi le premier a avoir réactiver le super-calculateur .
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Pourquoi moi je ne voulais pas être celui qui voulais le désactiver ?
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Pourquoi ?
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La raison est simple
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c'est dut au faite que Lyoko m'avait beaucoup apporté.
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A l'origine moi qui étais le garçon timide et réservé tous juste débarquer en cinquième de la meme année.
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Moi qui avant d'arriver au collège Kadic était systématiquement le bouc émissaire des petites brutes de mon ancien collège en sixième
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Même a Kadic ma vie me paraissait morne est sans intérêt
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Mais quand j'ai découvert cette machine et rencontré Aelita
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Ma vie a changer
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j'avais un but a présent.
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Et cela a fait la différence
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pour moi tous ces aventures m'avait changé, elle m'avait aguerri d'une certaine manière.
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Et je pensais qui si tous s'arrêtais ,je risquait alors de retomber dans l' anonymat.
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Sa peut paraître égoïste comme comportement mais c'était ainsi
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Mais Yumi me fit comprendre que les chose devait changer , pour elle nous n'allions pas continuer a jouer aux super héros jusqu 80 ans.
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Je pouvais pas lui donner tort car au fond de moi je savais qu'elle avait raison
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Après une longue cogitation de ma part ,la logique finit par emporter sur les sentiments
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Je devait éteindre cette machine est passer a autres chose
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Mais si pour moi mes raisons étaient évidentes qu'en était-il pour les autres ?
De nous tous Odd était bien le seul à trouver quelque chose d'amusant à se balader dans cet univers virtuel.
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pourtant tous le monde savait a commencer par lui que chaque aventure dans ce monde pouvait s'avérer dangereux
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Voir mortel
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pour lui Lyoko c'était avant tous le "Fun " l'éclate total
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Après tous notre casse-cou national n'en était pas a sa première excentricité
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On peut pas lui reprocher d'être comme ça.
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Bien qu'un peu de maturité ne lui ferait pas de mal
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Mais je crois que finalement lui aussi était conscient du danger que cela représentait
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Et il fallut l'incident avec Sissi pour finir de l'en convaincre.
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Finis l'aventure pour lui, meme si dans sa vie future il ne s'amuserait plus autant que lorsque il allait sur Lyoko.
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Mais sa décision était prise.
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Cette machine devait être éteinte
C'était un peu différent pour lui.
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Certes il y avait du combat ce qui quelque part ne lui déplaisait pas plus que sa représentation imaginative qu'il était un guerrier.
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Non ces raisons étaient plus sentimentales
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Yumi en était la cause
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le peu de relation qui lui arrivait d'avoir avec elle
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c'était par le biais de Lyoko
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Et si jamais on débranchais cette machine tous serait vraiment finis entre eux
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Le copains et puis c'est tous prendrait alors un tous autre son sens.
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Et ça Ulrich avait du mal a l'accepter
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A cause de ça il était particulièrement indécis
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Mais contre toutes attente le salut vint de yumi elle meme
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elle lui fit comprendre que meme si Lyoko ne serait plus il y aurait encore de bon moment a venir entre eux
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Cela avait finis par convaincre le jeune homme de tourner la page.
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Le samourai allait ranger son sabre au fourreau pour toujours.
< Pour finir Aelita >
Comment la blâmer ?
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De nous tous elle est celle pour qui cette décisions serait la plus lourde de conséquence
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Lyoko était avait tous sa vie.
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C'était avant tout l'endroit où elle avait vécu ces 10 dernières années.
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Avant Lyoko elle ne se souvenait de presque rein de sa précédente vit terrestre.
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Elle avait bien des brides de souvenir de son ancienne vie qui parfois refaisait surface.
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Mais tous était si flou.
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Lyoko était tous se qui lui restait de son père.
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Lyoko était un peu son chez-soi
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quelque part elle aurait beaucoup de mal à se passer de ce monde.
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En éteignant le super calculateur elle devait dire adieux a Lyoko et a son père.
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Son arrêt marquerait définitivement la mort de Franz Hopper.
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Mais la vie devait continuer lui avais je dis un jour.
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Désormais Aelita se devait d'aller de l'avant.
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Aelita savait que le passé et le passé.
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et qu'il n'est pas possible de revenir en arrière sur le long terme.
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C'est maintenant vers l'avenir qu'elle devait se tourner.
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Un avenir que elle est moi nous allions découvrir.
---
Ensemble
Voici un peu le tour d'horizon de ce que chacun de nous quatre ressentait , pourtant une décision se devait d'être prise en se qui concernait cette machine.
Alors que nous étions tous indécis un événement particulier allait nous pousser à agir
Sissi avait découvert notre secret, elle avait lu une partie de mon premier journal vidéo et savait a pressent tout ce que nous avions fait durant ces deux années et demie.
Comprenant que nous étions une menace elle avait alerter son père afin de tous lui révéler sur nos activité heureusement pour nous celui ne la pris pas au sérieux et il la conduisait aussitôt a l'infirmerie ,pour empêcher un désastre un ultime retour dans le passé fut lancé
mais ce dernier incident démontra quel point il était maintenant urgent de prendre une décision.
Une fois que l'incident de Sissi fut clos nous nous retrouvâmes une dernières fois en face du super-calculateur
Je proposais a nouveau à tout le monde de choisir en votant pour ou contre l'extinction maintenant que chacun avait prit le temps de réfléchir.
La décision fut unanime le super-calculateur devait être éteint pour toujours
D'une manière très solennel je me suis alors tourner pour faire face a la machine, le moment allait être historique j'aurais pu retenir ma respiration au moment d'abaisser la manette,ce geste j'avais cru que jamais je ne pourrait le refaire depuis la première fois ou nous avions réussi a ramener Aelita sur terre.
Mais cette fois-ci c'était la bonne, nous allions enfin pouvoir en finir une bonne fois pour toutes, c'est en expirant que j'ai alors abaisser la manette de contrôle.
Aussitôt tous les systèmes commencèrent à s' éteindre la lumière doré qui émanait du super-calculateur se mit a faiblir le cylindre cnetral se rentra dans lui-même et la machine commença à s'en-foncer dans le sol, la coupole ornée du symbole de Xana recouvrit la machine.
Quand les portes du monte charge se refermèrent je crus apercevoir un dernier semblant de lumière émaner du super-calculateur,sûrement un effet résiduel dut aux charges statiques accumulées pas de quoi s'alarmer
En passant par le laboratoire j'entrais les codes de blocage sur le terminal pour empêcher qui que ce soit à l'avenir de faire démarrer cette machine a par moi je me suis avancé près du disjoncteur qui étais caché dans le sol et j'ai activer le système de vérouillage temporiser de la porte principale, j'ai également bloquer la porte d'accès de la chaufferie une dernière programmation avait été effectuée sur le monte charge ,celle-ci a été conçue pour l'emmener au fond du puits afin d'y resté bloqué, comme sa personne n'oserait s'aventurer dans le puits Sauf en passant par l'échelle.
Bien sur toutes ces précautions n'étaient que temporaires plus tard j'avais prévu de revenir et de démonter moi-même cette machine pièce par pièce, pour l'heure Lyoko n'était que endormi.
Ce jour nous devions faire table ras du passé sans pour autant oublier que cette aventure était celle qui nous avait tous unis.
Pour nous tous était finis, notre vie de Lyoko guerrier venait de s'achever ce jour-là désormais un nouvel avenir se dressait devant nous ,un avenir prometteur et propice au bonheur
Du moins c'est ce que je croyais.
Chapitre 15 La thérapie
15 septembre 2005
- Bon c'est quoi son problème à celle-là ?
- On n'en sait rien apparemment elle est plutôt du genre de sauvageonne cet enfant.
- elle veut pas manger ces haricots,
- pas moyen de lui faire avaler quoi que se soit.
- et bien elle n'as qu'a rien manger.
- tu veux pas lui donner son plat.
- et pourquoi je ferais ça ?
- parce que c'est ton travail
- facile comme excuse et pourquoi tu n'irais pas toi
- sa va pas la tête, j'en est marre de laver ma blouse
- tu n'en fait pas trop la.
- c'est pas toi qui t'est pris le plat contre la tête
- est en plus elle est agressive en plus d'être "dérangé"
- écoute tous les autres enfant même les plus "attardé" mangent ce qu'on leur donne.
- mais cette "coloré" elle fait sa petite princesse
- et bien la petite princesse va se mettre a la diète pour ce soir.
- bien dit sa lui fera les pied.
- elle est vraiment bizarre cette gamine.
- et tu as vu sa couleur de cheveux, c'est pas naturel.
- tu crois que c'est une mutante.
- vas savoir avec tous se qu'on voit de nos jour on peut se le demander.
- en tous cas "le petit monstre" c'est pas elle qui va faire la loi ici ça je peux vous le garantir.
- il exagère le docteur Robinson , pourquoi il nous as ramené "ça" ici ?
- Ne me demande pas ça a moi, je ne suis pas docteur.
- qui sait il c'est peut être pris de pitié pour elle.
- dans ce cas la il aurait mieux fait de nous ramener un chien, sa aurait été plus docile.
Ce discours assez singulier se tenait entre trois infirmières qui avaient eu l'occasion d'observer Maeva depuis son arrivé.
des le départ Maeva c'était attirer les foudres de certaines infirmières a cause de son comportement sauvage, elle refusait systématiquement de manger les plats que l'on apporterait ,la nourrir était un vrai calvaire il fallait lui cuisiner un menu spécial et encore il lui arrivait de faire la fine bouche.
Son attitude avait excéder les infirmières qui en était arriver a tirer au sort celle qui aurait la déveine d'aller nourrir la "coloré"
En retour Maeva arrivait a percevoir l'hostilité que lui manifestai les infirmières et bien que apeuré elle nourrissait a leur égard un sentiment de défiance ce qui finalement n'arrangeais en rein sa situation déjà suffisamment instable.
Cela faisait bientôt deux semaines que Maeva était arrivée a l'hospital pour y suivre le programme de thérapie que le docteur Robinson avait conçu.
mais cela n'etait pas gagné un conflit entre le docteur Holstein et Robinson avait failli éclaté a nouveau sur le méthode a adopter .
Le docteur Holstein voulait que son docteur applique la technique dites du "Programme A.B.A" alors que le docteur Robinson voulait une approche plus développementales des problèmes de sa patiente.
Cette méthode du traitement développementales déplaisait fortement au docteur Holstein qui ne la jugeait pas assez efficace et beaucoup plus longue a utiliser.
Mais celle ci avait la caractéristique de permettre a un patient de développer ces facultés de manière très complète.
Les dessins que Maeva avait faisait montrait que celle-ci avait une aptitude a la création elle avait appris a se servir d'un stylo plus rapidement que n importe quelle enfant, elle avait aussi compris le système des couleurs.
Rouge -vert - bleu - rose - jaune - violet - orange - noir et blanc
il était drôle de voir qu'elle affectionnait en particulier le bleu comme couleur, elle en mettait partout sur ces dessins elle avait l'air de savoir assimiler tous ce qu'on lui disait,ce qui démontrais chez elle une disposition très net a l'apprentissage et se n'était pas ces problème de santé qui allait être un gros obstacle.
Quelques jours auparavant Maeva avait subi toute une batterie d'examen pour évaluer son état de santé général suite à son accident, il était indispensable pour le docteur Robinson de savoir si Maeva n'avait pas de liaisons ou d'autres problèmes de santé qui serait liée à son état physique.
Les premiers examens n'avaient relevé aucune anomalie particulière au niveau de ces poumons , les examens sanguins avait révélé que Maeva était du groupe O négatif mais sinon rien d'anormal n'avait été détecté mis a part une petite faiblesse oculaire.
Apparemment Maeva avait des problèmes de vision pour cela il fallait lui faire une petite correction optique
Le port de lunettes ou de lentilles allait lui être nécessaire, d'aillieur aujourd'hui le docteur allait lui faire essayer a Maeva quelques montures de lunette pour voir celle qui lui correspondrai le mieux, le temps que l'accessoire soit près il avait fallu attendre trois jours.
Des lunettes allait être obligatoire ,inutile de débuter une thérapie si Maeva ne pouvait pas voir correctement les dessins que le docteur allait lui présenter.
Mais a cause de son mutisme il allait être difficile de savoir si la correction oculaire allait être suffisante voir approprié a Maeva
ll fallait donc procéder par étapes l'heure n'était plus au tergiversions il fallait maintenant commencer la thérapie.
Le jour était arrivé accompagné de Maeva le docteur se mit alors dans une pièce isolée avec quelques instrument pour procéder à des tests préliminaires, le docteur allait s'efforcer à expliquer à sa jeune protégé à quoi allait lui servir ce curieux objet qu'elle devrait mettre sur son nez.
Maintenant le docteur expliqua aMaeva comment fonctionnait ce drôle d'accessoire, pour bien se faire comprendre de la jeune fille et lui montra de droite à gauche de haut en bas toutes les coutures de la monture, et pour parfaire sa démonstration il prit les montures et les mit sur son nez
ça lui donnait un air si diffèrent que cela amusa beaucoup la jeunes fille de voir le docteur avec ce curieux objet, par la suite le docteur lui fit comprendre que ce curieux objet lui était destiné et qu'elle devait la mettre pour illustrer son t'expliquer il demanda Maeva si celle ci pouvait voir les objets qui avait été poser au fond de la pièce.
Dis moi Maeva tu vois les objets qui sont au fond la salle lui demanda le docteur
Le docteur désigna une table sur laquelle avait été posée diffèrent objet, Maeva regarda en direction de la table mais ne parvenait pas a en distinguer le contenu, tous était très flou pour elle.
Bon Maeva est ce que tu reconnais les objet posé sur la table lui redemanda le docteur
Maeva hocha la tête en signe de négation elle ne parvenait pas vraiment avoir de quoi le docteur lui parlait.
Ce doutant bien de la réaction de la jeune fille il lui mis délicatement les lunettes sur le nez a peine les avait-elle posées sur sont nez que ce fut pour elle une révélation.
Le monde qui l' entourait lui paraissait soudain moins flou, elle put voir distinctement les objet qui avait été poser sur la table Il y avait la un vase et un des dessins qu'elle avait exécuté la veille
De toute évidence Maeva était atteinte d'une forme de myopie qui l'empêchait de voir très très loin maintenant qu'elle avait mis les lunettes il pouvait parfaitement distinguer les différent objet déposé au fond de la salle.
Alors tu vois mieux maintenant lui fit le docteur
Maeva hocha de nouveau la tête en signe d'approbation le docteur lui demanda alors si les lunette ne la dérangeait pas,la petite fille lui signifia que non,apparemment les prothèse ne la dérangeais pas,elle se plaisait meme a porter ces étranges objets, le docteur compris que cela n'indisposait pas Maeva, se souvenant de sa réaction quand lui meme avait mis les lunettes il se demandât alors comment réagirait Maeva en se voyant avec.
Tu veux voir a quoi tu ressemble avec ces lunettes lui demanda le docteur.
Maeva ne compris pas ce que le docteur venait de lui dire c'est alors que le docteur prit une sorte de petit miroir et le mis en face de la jeune fille, Maeva fut très étonné de voir son reflet comme si se voir elle-même était une première, elle voulu toucher cette drôle personne qui lui ressemblait, ces doigts touchèrent la surface lise du miroir ce qui la surpris légèrement mais ne l'effraya point.
cette réaction étrange étonna d'autant plus le docteur c'était à croire qu'elle n'avait jamais vu son propre reflet dans un miroir.
Comment te trouve tu ? tu vois c'est toi lui fit le docteur
Ce voyant pour la première foi Maeva eut une bonne impression d'elle meme Maeva afficha alors un grand sourire pour répondre au docteur et cette personne qui était en face d'elle souriait ce qui plaisait a la jeune fille
Quand Maeva souriait c'est tous son visage qui s' illuminait, jamais elle ne laissait transparaître le chagrin ou la peur qui l'habitait son sourire aurait put a lui seul amadouer les plus sauvages, attendrir les plus froid et réconforter les plus malheureux.
Quoi qu'il en soit il fallait maintenant que le docteur procède a la mise en place d'une thérapie afin d'évaluer quelle était le potentiel de Maeva , il devait savoir si celles-ci étaient vraiment atteints de troubles neurologiques graves ou s'il y avait chez elle un quelconque espoir de guérison.
Pour cela il sortit quelques uns des tests d'aptitudes qu'il avait conçu baser principalement sur des couleurs et reconnaissances de forme.
De toute évidence Maeva pouvait comprendre ce que les gens disaient ce qui voulait dire qu'elle avait une certaine compréhension du langage, elle était seulement incapable de s'exprimer si ce n'est que par des gestes de la tête ou par des signes.
Ce qui était déjà une bonne chose, cela signifiait simplement qu'elle serait en mesure de communiquer avec son entourage mais a sa façons.
Il y avait chez Maeva une certaine forme d'intelligence un certain éveille ce qui la différenciait depuis le début des autres d'enfants qui étaient généralement atteints de troubles graves comme l'autisme
Le docteur n'avait pas de doutes a ce sujet si Maeva était passé par une troublante épreuve c'était a lui de la guérir en lui apportant son soutiens.
------------------------------ Le journal de Maeva septième partie FIN-------------------------------
Quand Maeva ferma son journal c'est parce que la fatigue lui commandais
Lors de son deuxième jour d'hospitalisation forcé le docteur avait eut la bonté de le lui rapporter son journal pour Maeva puissent le relire, il avait en particulier marqué la page du jour pour attirer l'attention de Maeva.
était ce par gentillesse ou pour la faire réfléchir sur ces actes ?
Les deux peut être...
Quoi qu'il en soit elle devait aller se coucher,sous ces drap elle ne parvint pas a trouver le sommeil, les événements que venait de lui rappel le docteur était ceux qui c'était passer un peu avant le début de sa thérapie.
Contrai ment a tous les autres souvenir qu'elle avait de l'hôspital les moments quelle avait passé avec le docteur avait été les plus intimes qui soit,il c'était temps investit a ce moment la pour elle
Que Maeva se demandait comment elle pourrait un jour lui rendre ces bienfaits.
Peu importe elle trouvera un jour, elle se le promit
Chapitre 15 Global Computer
Bureau de la société Global computer - 14 octobre 2005 - 10 h 30
" Bonjour Mr Landsey "
Mr Landsey : bonjour.
Janet : je me présente, je m'appelle Janet Parker et voici mon partenaire Robert Powell Nous sommes les représentants de la Royal Insurance Banque.
Robert : Mr Landsey : Oui je vous attendais.
En ce vendredi matin d'octobre Janet et Robert avait réussi a obtenir un rendez vous avec Mr Landsey,celui-ci les avait avait directement accueillis dans son bureau qui se trouvait au premier étage des locaux de global Computer,d'emblée l'aspect sobre et dépouillé des locaux ne reflétait pas vraiment la richesse qu'une entreprise aussi riche pouvait se targuer d'avoir.
Un fois dans le bureau Mr Landsey tendis sa mains droite pour serrer celle de Janet en guise de salut ,sa poigne était tellement forte qu'il lui fit légèrement mal au major par le suite il sera a son tour celle de Robert.
Ravi de vous rencontrer lança t'il a Robert.
Les deux hommes se serrèrent la main mais contrairement au major le colonel était du genre costaud, chacun essaya de transmettre la force qu'il avait dans cette vigoureuse poignée de mains afin de monter a l'autre que celui qu'il avait en face de lui n'était pas une demie portion.
Humm vous avez une sacré poigne fit remarquer alors Mr Landsey a Mr Powell.
Je vous retourne le compliment dit alors Robert.
Les deux hommes se regardèrent alors dans le blanc des yeux, chacun des deux avait un regard très perçant au travers duquel ils arrivaient a faire passer leur attentions, ce jeux de regard ne trompait généralement pas, il était coutume de ce l'échanger lorsque deux adversaire de meme niveau se faisait face.
Parfois un seul regard suffit a impressionner votre adversaire le colonel le savait bien car si votre ennemis arrive a y lire la détermination alors celui ci sait qu'il est dangereux de s' attaquer a vous, les deux hommes étaient juste étonner de se trouver mutuellement en face d'un homme avec la meme détermination.
Bien sur ceci n'échappa au major qui intervint pour interrompre les deux hommes, la poignée de mains n'avait pourtant duré que 8 secondes , 8 secondes qui avait largement suffit a donner le ton de ce que allait être la conversation avenir.
Sans plus attendre Mr Landsey pria a ces invités a prendre place sur leur siège, ce que les deux agent firent aussitôt sans se faire prier, maintenant chacun se trouvait de son coté du bureau la discutions pouvaient commencer, Mr Landsey était assez curieux de savoir ce que deux agents d'assurance pouvaient bien lui vouloir.
Et que me vaut le plaisir d'avoir la visite de deux représentant de la prestigieuse R.I.B.demanda alors Mr Landsey.
Janet : nous sommes venu pour traiter avec vous d'une affaire très importante.
Mr Landsey : et de quelle affaire je vous pris ?
Janet : comme vous le savez sûrement déjà nous venons de la part de Mr Stenton le P.D.G de la société Quantum Conductivity.
Mr Landsey : c'est ce qui était mentionner dans le courrier de Mr Stenton qui m'annonçait votre venu.
Janet : il est un de vos clients d'après se que nous en savons.
Mr Landsey : En effet il s'agit d'un de nos clients... futur client en vérité.
Janet : et bien sachez qu'il est aussi un de nos client en tant qu'assuré.....
Mr Landsey : sa je ne ne le savais pas.
Sans plus attendre le major entra dans le vif du sujet, il fallait être percutant et direct et de se coté le major n'avait pas a faire ces preuves le colonel avait déja eut l'occasion de s'y frotter, il savais à quelle point cette femme était direct.
Janet : ....et en tant que votre client nous savons qu'il a passé commande chez vous pour l'achat d'un composant informatique .
Mr Landsey : ce qui est un peu normal vu que c'est ce que nous vendons.
Il n'y avait pas la grand mystère dans le registre du commerce la société global computer était inscrite comme fabricant de système informatique, mais ce n'était pas sur ce point la que Janet voulais insister,mais sur la nature des produits vendu.
Janet : nous savons que vous êtes spécialiser dans la vente de carte électronique a micro puce quasi .... quado... quadro....
Quadrihoppes reprit alors Mr Landsey :
Janet : c'est cela Quadrihoppes
Mr Landsey : c'est notre produit phare.
D'aillieur vous ne vendez que ça fit remarquer Robert.
Cette remarque pour le moins faussement innocente de la part de Mr Powell ne laissa pas indiffèrent MR Landsey,mais sans se déstabiliser celui ci fit semblant de ne pas l'avoir entendu et continua a écoutez se que lui racontais Janet.
Janet : nous avons été informer que Mr Stenton voulait vous en acheter une pour son super calculateur
Mr Landsey : en effet Mr Stenton voulais nous en acheter une.
Janet : mais ça ne c'est pas fait
Mr Landsey : malheureusement non !! la vente a été annuler suite a la panne de leur machine...
...La destruction reprit au aussitôt Robert
Mr Landsey : je vous demande pardon !
Robert : vous avez dit panne mais en réalité il s'agit d'une destruction.
Janet : je confirme sa machine a été détruite suite a un accident industriel.
Mr Landsey : Je ne le savais pas Mr Stenton ne pas vraiment préciser la nature de son désistement.
Robert : c'est sur Mr Stenton n'allait pas crier sous tous les toits que sa machine avait été détruire a cause d'une "surcharge d'énergie"
Le colonel avait particulièrement appuyer dans le ton de sa voix sur les termes "surcharge d'énergie" en espérant que cela fassent réagir MR Landsey ,mais celui ne broncha pas d'un sourcils et fut meme étonne de l'apprendre,Il fallait croire que cette homme était vraiment imperturbable dans sa comédie.
Mr Landsey : je regrette qu'un telle accident soit arrivé
Robert : c'est vraiment pas de chance surtout que personne ne sait comment c'est arrivé.
Mr Landsey : regrettable en effet .
Robert : quel dommage a cause de ça c'est un beau contrat que vous avez perdu la.
Mr Landsey : je le regrette qui nous ayons pas plus conclure cette affaire
Janet : et bien figurez vous que le contrat n'as pas été annuler
Que dois je comprend demanda Mr Landsey.
Janet : et bien le but de notre visite et pour négocier l'achat d'une de vos cartes.
Cette annonce surpris pour le moins Mr Landsey qui ne s'attendait pas a une telle réponse de la part des deux personne qu'il avait en face de lui,mais apparemment ceux ci avait l'air très sérieux, cela aurait pus ravir Mr Landsey de savoir que le contrat n'était pas annuler pourtant ,il dut contenir sa joie a cause d'un détails qui lui semblais pour le moins curieux.
C'est une excellente nouvelle que m 'apprenez la mais cependant un détail me chiffonne lança t-il a ces interlocuteur
Lequel de demanda Robert
Mr Landsey : j'avoue que vous surprenez je ne vois pas pourquoi la RIB s occupe de cette transaction, ce n'est pas le rôle des assurances d'habitude.
Janet : je vous l'accorde mais nos raisons a vouloir être les intermédiaires sont assez particulière en faite.
Et quel sont telle demanda Mr Landsey.
C'est une bête question de sécurité fit alors Robert.
A nouveau les deux hommes se regardèrent on put voir sur le visage de Robert un petit sourire qui ne manqua pas de surprendre encore plus Mr Landsey, et pourquoi celui ci avait il évoquer la raison de la sécurité ?
Mr Landsey : j'avoue ne pas comprendre, pourriez vous m'expliquez.
c'est pourtant simple lança alors Robert de façons désinvolte
Janet : bien sur comme Mr Stenton et client chez nous nous lui avons rembourser les dégâts sur sa machine.
Mr Landsey : c'est normal après tous c'est le rôle d'un assureur.
Janet : je ne vous dirais pas le contraire, mais voyez vous cette accident a écouter assez chère a notre compagnie d'assurance.
Mr Landsey : et pour quelle raison ?
Robert : comprenez il est client chez Cyclotron...
.... et comme sa machine est complément détruite cette société va devoir lui fournir un nouveau modèle de super calculateur dit Janet.
Mr Landsey : je suis heureux de l'apprendre
je n'en doute pas fit Robert
Janet : et comme Mr Stenton a toujours l'attention de procéder a l upgrade de sa machine il a donc décider de vous achetez une carte a micro puce a Quadrihoppes.
Mr Landsey : c'est une excellente nouvelle.
en ce qui vous concerne je n'en doute pas fit Robert.
Décidément c'est a se demander ce que signifiait les petites réflections que Mr Powell n'arrêtais de faire celle-ci avait le donc d'agacer Mr Landsey qui malgres tous garda un calme pour le moins anormal,mais celui-ci ne pouvait pas s empêcher de se demander pourquoi cet homme s'amusait le provoquer de cette façons,et tous cela n'expliquait toujours pas en quoi deux agents d'assurance pouvaient être concerné par cette affaire.
Mr Landsey : mais dites moi quelle est votre rôle la dedans.
Janet : comprenez que dans la mesure où nous avons remboursé les dégâts nous sommes en droit d'avoir un certains regard sur tous ce qui touche au nouveau super calculateur de Mr Stenton.
Robert : c'est pour ça que notre agence a convaincu Mr Stenton d'organiser la transaction lorsque MR Stenton nous informer de ces attentions.
Mr Landsey : je n était pas au courant de cette décision.
Janet : c'est une décision qui a été prise il y a tous juste une semaine.
Robert : autant dire que c'est récent et comme Mr Stenton veut procéder a l amélioration de sa machine nous nous devons de procéder a la transaction
Mr Landsey : il vous a déléguer cette tache si je comprend bien
Janet : en effet au vu le montant de la somme investit il est normal que nous prenions part a cette affaire.
Robert : c'est vrai avec tous ce qu l'on voit de nos jours avec la tecnhologie, il est légitime de nous assurer que tous soit fait dans les règles.
Je comprend fit alors Mr Landsey
Janet : et comme nous assurons le remboursements nous avons également pris en charge l'achat de ce nouveau composant afin de s'assurer que celui-ci soit bien conforme aux normes, c'est pour ça que cette carte sera installer par nos propres service technique.
Mr Landsey : mes technicien sont la pour faire cette installation
Robert : tiens c'est pas ce qu'on nous as dit
Mr Landsey : que voulez vous dire ?
Robert : on nous a laissez entendre que cette carte n'avait besoin d'aucune installation particulière.
Je me demande bien vous pouvez tenir une telle information aussi éronné dit alors MR Landsey .
Robert : c'est le professeur Moritaka de l'université de technologie de Londres qui nous a donner cette informations, vous le connaissez je crois puisque c'est par son intermédiaire que vous avez vendu une de vos cartes au LTI.
Landsey : oui bien sur le LTI et un de nos client.
Robert : il sont aussi client chez nous et manque de chance il on aussi eut un problème de super-calculateur
cette nouvelle étonna d'autant plus Mr Landsey alors que qu'il leur avait vendu leur produit a l'université il n'y a pas plus d'un mois.
Ma parole c'est une vrai hécatombe avec ces machines en se moment s'étonna alors Mr Landsey.
Je ne vous le fait pas dire ,c'est a ce demander ce qui peut en être responsable dit alors Robert en regardant MR Landsey droit dans les yeux.
Encore un sous-entendu que Mr Landsey ne parvenait pas a comprendre,mais il apparaissait claire que Mr Powell avait une dent particulière contre lui, mais les raisons n'en restait pas moins flou.
Robert : résultat des courses nous avons encore été obliger de payer pour les dégâts.
Janet : et comme tous ces "accidents" sont arrivé dans un laps de temps très court cela nous a particulièrement interpellé.
Mr Landsey : en effet c'est assez étrange.
Robert : vous comprenez bien que pour notre établissement tous ces " accidents "commence a nous coûter très chère
Janet : c'est pour ça que notre banque se doit de prendre des précautions.
L'excuse était toutes trouver grâce a leur couverture d'agents d'assurance et aux fait qu'il venait d énumérer le colonel et le major pouvaient cuisiner Mr Landsey leur guise, si celui si était impliquer dans ces évènements cela ne manquerait pas de le faire réagir.
Janet : c'est pour ça que nous sommes très méfiant par rapport a votre composant.
Le pavé était maintenant jetée dans la marre, comment allait donc réagir Mr Landsey a ces accusations , le major et le colonel ne voulait pas perdre une seule réactions de leur "suspect"
- un geste - un mot - une expression du visage suffirait a le trahir.
Mais comme un acteur qui récite son texte avec convictions sa réponse était déjà toutes prête
Mr Landsey : je peux vous garantir que nos produits sont fiable.
Robert : c'est ce que vous dites mais sa reste a prouver a nous et autres clients.
Mr Landsey : quel autres clients ?
Janet : vous serez sûrement heureux d'apprendre que d'autres organismes ont également souhaité passer par nous pour le financement de leur projet.
Mr Landsey : pour l'achat de nos carte électroniques
Janet : précisément c'est pour vous et nous des clients potentiels,seulement avant d'engager notre responsabilité nous aimerions pouvoir leur donné une approche concrète de vos produits.
Mr Landsey : les bon résultats de ma société sont a eux seul une preuve suffisante que...
Nous n'en doutons pas, mais la se ne sont que des chiffres, pour notre part nous aimerions pouvoir en juger par nous meme fit alors Robert.
Mr Landsey : et de quelle manière ?
Nous aimerions visiter vos laboratoires de production lança alors Robert
A ce moment Mr Landsey fut pris au dépourvu par la demande de Robert, celui ci vit bien que son petit stratagème fonctionnait bien, le petit numéro que lui et le major avait prépare dans leur chambre fonctionnait a merveille
Grâce a leur couverture d'agent d'assurance et de d'acheteur potentiel,il venait de mettre mal le système de vente par intermédiaire qu'utilisait Global computer pour masquer ces activités
Le colonel et le major savait bien qu'aucun laboratoire n'existait, comment Mr Landsey allait il pouvoir se justifier, mais celui ci était pleins de ressources et sa réponse fut assez inattendue
Mr Landsey : je comprend vos doutes mais dans l'immédiat cela n'est pas possible
Janet : pourrions nous savoir pourquoi
Mr Landsey : car nous sommes actuellement dans une phase de transformation de nos installation et pour l'heure toute visite est impossible.
Tiens donc comme par hasard fit Robert
Cette réflections n'échappa au Mr Landsey apparemment sont excuse ne semblait pas satisfaire Mr Powell, mais il était important pour Mr Landsey de gagner du temps
Robert : pas besoin de tous nous monter une vue d'ensemble nous suffira.
Mr Landsey : Oui il s'agit d'un secret industriel hautement protégé et je ne peut pas permettre a...
Rassurez vous,nous ne sommes pas des espions industriel vous savez fit Robert en affichant un léger sourire
Je n'en doute pas répondit Mr Landsey.
Le colonel est le major virent bien a cette instant qu'ils avaient réussi a mettre la pression sur leur interlocuteur, l'absence du laboratoire était le piège parfait Mr Landsey était obliger de battre en retraite et comme tous offensive mener en règle le colonel allait aller de l'avant pour obliger son adversaire a se rabattre dans ces derniers retranchement, mais il fallait faire preuve de tact le colonel l'avait lui meme rappeler au major dans l'avion, donc pour éviter que le poisson ne file il fallait lâcher un peu la ligne.
Ceci dit rein ne presse dans l immédiat nous avons du temps devant nous fit alors Robert.
Janet : c'est vrai la visite de vos laboratoires n'est pas forcément indispensable.
Robert : sa peut attendre que tous soit finis, de toutes façons le temps que Mr Stenton reçoive son nouveau super calculateur il y en a bien pour un mois.
Janet : dans un mois je pense que vos travaux seront finis
Mr Landsey : sa risque d'être un peu long que ça.
Robert : et combien de temps doivent durer vos travaux
Mr Landsey : nous en avons pour 3 mois au moins.
Robert : trois mois c'est long
Janet : très long je trouve meme
Robert : mais ce n'est pas grave nous attendrons
Janet : Mais rassurez vous Mr Landsey nous repasserons d'ici peu
Robert : nous pourrions fixer un rendez pour le 15 du mois prochains
Mr Landsey : sa va être dure j'ai beaucoup de rendez de prévu dans les prochaines semaine avenir
Robert : vous êtes un homme être pris je n'en doute pas mais vous n' allez pas vous envoler toute l'année quand meme.
Façons détourner par le colonel de dire que : " vous n'allez pas vous enfuir"
Robert : vous partez en vacances
Mr Landsey : oui en fin d'année.
Robert : nous ne sommes qu'au mois d'octobre pourtant
Mr Landsey : en fin d'année l activité économique ralentis et dans le sud il fait chaud en cette période donc j'en profite.
Robert : dois je comprendre que le climat de la Californie n'est pas assez chaud pour vous.
Mr Landsey : c'est un peu frisquet pour moi.
Robert : avec 20 degrés toute l'année c'est plutôt étonnant enfin je peut vous comprendre que vous ayez besoin de plus chaleur en hiver et le sud me parait un bon choix , on dit que le Brésil est superbe en saison de l'année.
Façons imager par le colonel de dire que : " ont sait d'où tu viens mon pote"
La petite phrase du colonel mit Mr Landsey dans une fâcheuse position il voulait le pousser a la faute en sachant parfaitement que celui ci était originaire du Brésil, pris en tenaille le directeur de global computer devait écourte au plus vite cette discutions qui tournait a son désavantage.
regardez ! avec tous ça j'avais pas vu l'heure qu'il était lança t-il au aux deux agent
Sur la pendule au mur il était déjà 11h30 passé ,leur entretiens avait duré plus que prévu, Mr Landsey allait se servir de cette excuse pour mettre un terme a leur conversation.
Mr Landsey : donc je vous pris de m'excuser mais j'ai d'autre rendez vous de programmer
Robert : nous comprenons vous êtes un homme très pris
Janet : nous pouvons convenir d'une date de rendez vous prochainement
Mr Landsey : disons le 15 de 1'année prochaine au mois de janvier 2005
Robert : c'est un peu long mais sa ira d'ici la nous aurons le temps de réfléchir un peu plus aux suite a donner a notre affaire.
À la sortie de l'entreprise Mr Landsey les raccompagna et ne les quitta pas du regard jusqu'à ce qu'ils finis par disparaître de son champs de vision, de retour à l'hôtel où ils étaient établis, le colonel et le major firent le point de la situations et ils avaient beaucoup de chose a se dire sur le rendez vous du jour.
Mais cela dut attendre car le colonel reçu un nouveau coup de téléphone sur son portable a cette instant la.
Chapitre 15 les clés de la téléportation
Journal de Arnaud Morillon 11 août 2005
Compte-rendu d'analyse journal vidéo numéro 15
Décidément je vais de surprise en surprise avec les programmes que j'ai en mains.
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Après avoir découvert les propriétés extraordinaires que possédait la tour.
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A savoir cette capacité a influer sur notre monde au travers des champs magnétiques.
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c'est tous bonnement extraordinaire
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meme moi j'ai encore du mal a croire.
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Mais les faits parle d'eux mêmes.
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c'est aussi la ça la science.
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Un terrain de découvert infini et mystérieux.
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j'aurais dut m'engager dans la recherche spatial après tous
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moi qui suis si souvent dans la lune
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et pis non !!!!
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si j'avais fais ça je serais passer a coté de ces découvertes.
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et avec le recul je m'en serais sûrement mordu les doigts.
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Ma place actuelle me convient parfaitement
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Elle me permet d'exercé mon art
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Mon " art '' !!!
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de l'art ?!!!
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Ouais finalement se que je fais s'apparente assez a de l'art
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je suis un artiste si on y réfléchis bien.
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j'ai créer des IA a qui j'ai donner une forme très particulière et une vie propre.
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j'ai créer une sonde qui a une forme conventionnelle mais qui a la possibilité de se modelé en plusieurs formes géométrique très distinctes.
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javelot - tour -sphère et j'en passe....
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Si c'est pas de l'art ,je me demande ce que c'est alors ?
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Sa fait bien de moi un artiste alors
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"Arnaud Morillon l'artiste"
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Sa sonne plutôt bien comme noms
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MDR
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Voila qui promet pour la suite.
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Soyons sérieux j'ai quand meme un nouveau gros mystère sur les bras a percer.
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Je dois comprendre comment fonctionne ces fameuses clés de téléportation.
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Clés ou protocoles si vous préféré.
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j'avais fais déjà une première expertise de ce que pouvait être ces clés /protocoles dans mon précédent journal vidéo.
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Le numéro 7 je crois.
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J'avais évoqué les différentes phases qui composait le processus de téléportation.
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d'après les données le processus de téléportation comporte 3 phases bien distincte donc j'ai finalement trouver l'ordre d'exécution.
- le transfert
- la scannerisation
- la virtualisation
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Jusqu'à présent je pensais avoir a faire a un système de téléportation mais voila...
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...Depuis ce matin je commence a à douter de l'existence même de la nature de ce procédé.
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Finalement après réflexion je peut déjà dire que ce n'est pas de la téléportation.
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Oh j'ai bien peur Arnaud mon gars que tu ne te soit encore emballés pour rien
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Je ne suis pas en face d'un procédé de téléportation, mais bien face a un système de transformation de la matière en matière
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Quel différence me direz vous
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simple si le principe et bien de transformer la matière en énergie dans un premiers temps pour le transporter aillieur
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La finalité n'est pas reconstitution du corp a l'identique
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Non la matière devient une autre forme de matière.
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Ce qui veut dire que si un corps physique est transformé en énergie cette énergie sera transférer quelque part pour être transformé en autre chose.
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Dans ce cas on ne peut pas vraiment parler d'une téléportation mais plutôt d'une transposition
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une sorte de transfiguration,la transformation d'un corps en un autre corps
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Ce qui finalement reprendre bien les théorèmes de Lavoisier en chimie qui dit
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Rien ne se perd - Rien ne se créé - Tous se transforme.
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La question est de savoir en quoi l'énergie va se transformé ?
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une certitude quoi que sa devienne sa peut garder l'aspect initiale
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c'est juste que le tous est différend
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La dessus je n'ai pas de doutes.
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Sur quoi je me base pour avancer ça
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Simplement sur le faite que la troisième phases du protocole s'appelle la virtualisation.
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Sa ne serait pas une erreur de traduction français/anglais
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Mais bien le vrai non du procéder.
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la virtualisation.
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Si on se fit au noms alors il est facile de devenir a quoi sa sert.
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Avec se procédé on pourrait transformer la matière en programme informatique
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Ca peut paraître dingue de dire ça.
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Je pourrais dire que c'est fou
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Que c'est de la science fiction
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mais depuis le début je vais tellement de découverte en découverte que ce cas de figure me parait très probable.
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comment j'en suis arrive a cette conclusion ?
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et bien voila récemment je me suis entretenu avec le docteur Howard Kinsley du laboratoire 4 de la sections 5
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je vous avait dis que celui si travaillais sur un processus de téléportation.
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Du moins c'est ce que je croyais
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Après avoir débattu avec lui de ces recherches il c'est avéré qu'il ne s'agissait pas de ça
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Ce qu'il cherchais a mettre au point était tous autres.
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Il voulait réussir a transférer de la matière virtuel dans notre monde.
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Créer de la matière a partir de données informatique en somme.
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Utopique pour certains scientifique
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Sauf que moi je trouve ça très sérieux au contraire
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Il essayer de mettre au point une sorte de chambre de matérialisation.
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Même si pour le moment tous ça s'apparente plutôt a une sorte d'accélérateur de particule géant.
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En théorie le système fonctionne mais ces recherches piétine car il n'arrive pas a établir un protocole qui soit viable.
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les cobayes qui on été matérialiser était plutôt du genre "toast grillé"
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c'est pas une réussite sont truc pour l'heure
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Donc le pauvre il essaye de trouver la solution sans pour autant y parvenir
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En temps normal sa devrait rester secret mais j'ai demandez a Simon de me laisser avoir accès son travail.
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Simon a accepter que je m'entretienne avec lui, mais cela n'as pas été sans contrepartie
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Je devais déjà lui bricoler une télécommande pour le contrôle de Vger 2.0 et en plus il m'as demander aussi de mettre au point un système de réparation des données vidéo.
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Un algorithme de traitement basée sur les flux vidéo cryptée.
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Bizarre comme demande a quoi sa pourrait bien lui servir ?
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Franchement a par pour décrypter de films XXX péché sur le net je ne vois pas.
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C'est un mariole le gars derrière son costard trois pièces
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il cache bien son jeux et sa nature euh ... disons folâtre...
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Je sais que ce genre de programme servent a ça vu que moi je les utilise aussi pour mater des ....
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Oups " (^_^)..... euh merde....... on efface le dernier passage la.......
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______________________EFFACEMENT_____________________________
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Donc je disais que sa sert aussi a réparer certains fichier vidéo endommager.
< Annexe >
Dernièrement Simon m'as transmis d'autres données informatique qu'il voulait que je lui décode.
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Quand je lui est demander d'où sa venait ,il m'as répondus que cela provenait d'une source extérieur a la société et que ces données avait été transmis le 28 mars derniers.
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le 28 mars le jour ou tous le réseau mondial a été attaqué par le virus "Tsunami"
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Selon le magazine "science et vie senior" ce jour la un virus d'un type inconnu a provoqué de grave perturbation sur tous le réseaux.
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Une chance que le projet Neo-Carthage est été épargné par ceci.
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Sa n'a pas empêcher que nos serveur soit perturbé ce jour la.
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Beaucoup d'information on été d'endommager a cause de ce virus.
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sa a pris du temps pour tous réparer
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Les données que Simon m'as donné a décryptée venait justement d'un de nos serveur privé qui les avait reçu le jour meme.
---
Mais elles n'avaient été découvert que le 30 mars.
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le 30 mars soit un jour après la disparition du monde virtuelle que j'avais découvert
---
Ces informations venait elle de la bas ?
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difficile a dire car Simon ne m'as fournit qu'un fragment de ces données
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il voulait juste savoir si je pouvais les décoder.
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Sa ma pris du temps mais j'y suis arriver
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Ces archives ont été endommagé mais grâce a la régénération virtuelle j'ai été en mesure de les réparer.
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Mais le peu que j'ai décoder m'as intrigué.
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visiblement c'était un message vidéo mais je n'avais que le flux audio.
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il y avait une voix féminine avec un accent asiatique qui parlais sur ce message
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le message étant incomplet je n'ai pus capter que quelques mots.
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Parmi tous le charabia inaudible j'ai perçu les mots "prototype" et "destruction"
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Étrange certes mais pas autant qu'un morceau de la phrase qui a évoqué le projet NX4321
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de toute évidence sa parlait de Tanit.
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Bizarre tous ça
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Cela voudrais dire que des personnes extérieur a la société étaient au courant pour le projet Tanit
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et cela a une date antérieur a la présentation officiel du projet qui c'est déroulé le 1er août dernier.
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vraiment bizarre, mais puisque ces infos était destiner a notre société j'en conclus qu'il devait s'agir d'une communication privée entre laboratoire.
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Un laboratoire extérieur a la section 5 ferait des expérience sur Tanit ?!!!
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Difficile de le savoir
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Ici le secret est de mise
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Qu'est ce que sa cache ? ('-_-)
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et puis je m'en fou.....
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je ne suis pas concerné par les déclinaisons extérieure du projet Tanit.
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il font ce qu'il veulent dans les autres laboratoires
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Si il veulent équipé toutes les centrales atomique du monde avec des clones de Tanit libre a eux.
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Pour moi seule comptes mes recherches
< Fin de l'annexe >
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Pour en revenir a la virtualisation et au docteur Kinsley
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Lors de notre rencontre il ma expliquer en quoi consistait son travail
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contrairement a la rumeur il ne travaillait pas sur la téléportation
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non il s agissait d'un autre procédé très similaire.
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la matérialisation
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Un procédé qui permettrais de transformer un programme informatique en structure réel
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un peu comme les synthétiseur de Startrek
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La j'ai tous suit saisis l'importance des donnes que j'avais entre les mains
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elle était complémentaire a ces recherches
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c'était vraiment un comble lui qui essayait de crier de la matière a partir de données informatique.
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Alors que moi j'avais entre les mains un procédé pour effectuer le contraire
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J'aurais bien voulu lui en parler
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mais le problème c'est que sont laboratoire était sous la gestion du docteur Hopper
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Hors de question dans ce cas la de dire quoi que se soit a se sujet ou de révéler une information aussi capital
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Qui pourtant pourrait résoudre tous ces problèmes et faire avancer ces recherches de plusieurs années en 5 minutes.
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mais le protocole de recherche est très stricte a se sujet
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les information conçu dans chaque laboratoire sont classé " secret industriel de catégorie 5
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c'est vraiment étrange cette histoire.
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On travail tous pour la meme société mais on dirait que chaque laboratoires a ces petit secret qu'ils veulent garder pour eux.
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C'est que la hiérarchie de la société Cyclotron n'est pas simple
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Elle est meme carrément tordu
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Pour commencer nous avons le docteur Hopkins ,le grand nabab qui est l'actionnaire principale de sa propre société avec 40 % des part actives.
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Il est suivit de près par sa femme le docteur Hopper qui en possède 15% se qui fait d'elle la numéro deux de la société.
---
Compter les 10 % de part que Simon possède ce qui fait de lui le numéro trois
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Enfin tous le reste qui est en bourse est partagé par de gros actionnaire et diverses petites société dans la plus influente est appelé Global computer qui a 7% de notre capital
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voila on en gros qui sont les têtes pesante de cette entreprise et forcement sa créer des conflits.
---
Le docteur Hopper j'apprécie pas vraiment Simon.
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Le docteur Hopkins lui n'est pas spécialement hostile a Simon mais il le considère trop porter sur le bénéfice que sur la recherche scientifique pure.
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Certes Simon n'est pas un scientifique n'y un grands mathématicien.
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Ca n'empêche pas qu'il manipule les chiffres comme personnes.
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Ces qualités de gestionnaire sont hors pair.
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Sans lui la société aurait sûrement déjà fais faillite depuis longtemps.
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Et sa personne ne peut lui reprocher de nous donner a tous du travail.
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Mais a cause des tension qui existe entre lui et le docteur Hopper sa pourri un peu lambiance
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ils se libre a une petite guerre intestine.
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Résultat la moitié des laboratoires de la section 5 sont sous le contrôle du docteur Hopper et le reste sous celui de Simon.
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Et comme c'est la géguerre entre eux pas question de s'avantager entre nous
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Tous le monde y vas de son petit secret
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voila pourquoi Simon me demande de garder le secret absolu sur mes recherches.
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Il a pas envie que cela servent les intérêts du docteur Hopper.
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Franchement ils agissent vraiment comme des gosses pour des adultes je vous jure des fois !!!!
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Enfin l' intérêt la dedans c'est que la science progresse.
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je crois comprendre le but qui pousse Simon a vouloir garder pour lui le secret de la virtualisation
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il veut sûrement lancer son propre projet de scanner pour concurrencer celui du docteur Kinsley.
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Je serais près a le parier
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Curieux de voir ce que sa pourrait donner si nous étions vraiment capable d'envoyer des êtres humains dans un monde virtuel.
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Sa serait sûrement comme dans le film Tron.
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mais la sa ne serais pas de la science fiction
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Car moi je sais que c'est réalisable.
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Dire que tous cela est possible grâce au données que j'ai récupérer dans ce monde étrange.
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je me sans un peu coupable d'utiliser comme ça ce que d'autres on conçu avant nous.
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Mais comme personne ne c'est jamais manifester pour se plaindre et que ces personnes n'ont pas exister a nous attaquer.
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Je ne vois pourquoi je devrais culpabiliser comme ça
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D'aillieur depuis le temps que je vous en parle de cette autre monde il serait temps que je vous donne quelques explication a sont sujet.
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Mais cela sera pour mon prochain journal vidéo.
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Au revoir...
chapitre 16 routine
laboratoire 27 août 2005
----------------------------------------CAMESCOPE----------------------------------------------
Adèle rend moi tout de suite mon pantalon fit alors Odd
viens le cherchez petit frère fit alors la fille.
Odd sautait dans tous les sens pour essayer d'attraper son pantalons violet, Adèle sa grande soeur venait de lui piquer et le pauvre adolescent était obliger de courir de droite a gauche en caleçons pour essayer de rattraper son insupportable grande soeur, qui faisait voler le vêtement dans tous les sens bien sur tous les autres soeur de Odd étaient dans le coup.
Elles lui avaient piqué le seul pantalons qu'il avait pris pour les vacances et comme il en avait besoin il devait le récupérer, il n'allait tous de meme pas sortir en bermuda en soirée, mais l'effort que cela demandais commençait a l'épuiser surtout que Odd n'avait rien manger de puis ce matin.
Alors mon petit Odd on fatigue lui lança Adèle
Si je t'attrape tu vas voir cria Odd qui se ressaisit a cet instant
Dans tes rêve mon chaton lui fit Adèle.
Début des vacances Odd n'arrêtait pas de subir les aléas de ses grandes soeurs celles-ci ne se privaient pas de le faire tourner en bourrique
c'était sa chaque foi la meme histoire pour passer leur nerf ces chipies de première classe jetaient leur dévolu sur Odd, il aurait espérer qu'avec l'âge ces grandes soeur se calme mais au meme titre que leur petit frère elle étaient toutes aussi intenable et pleine de vie.
Il était le petit dernier de la famille et son statut de "petit" "petit" "petit" frère lui pesait lourdement.
Pour compléter le tous la scène était filmé au camescope par Louise qui comme Odd partageait le meme goût pour le cinéma, mais la le film en question risquait d'en amuser plus d'une mais sûrement pas lui
Mais a 5 contre un la lutte semblait inégale,qu'est-ce que Odd n'aurait pas donné pour avoir ces pouvoirs de translater a ce moment, la au moins il aurait pris une revanche méritée sur chacune de ses grandes soeurs donc la moins âgée avait quand même 16 ans.
Ces parents étaient avait beau être cool il considérait que les grandes soeur de Odd ne faisaient que le taquiner, de se coté il ne pouvaient pas non plus espérer de l'aide de leur part et pour compléter le tableau elles avaient toutes un défaut particuliers, elles avaient toutes comme animal de compagnie des chat.
Grenade - Mr Smith - Chesterfield - Félix- et Flip Flap étaient le noms respectif de chacun des félins
c'était plutôt ironique alors que Odd lui avait choisi d'avoir un chien, d'ailleurs kiwi lui-même n'en menait pas large car dans la bande des chat qui lui menait également la vie dure, le pauvre canidé restait souvent cache dans son paniers pour ne pas avoir a se frotter a la bande des félins.
Comme on dit tel maître tel chien, l'un comme l'autre ils étaient des souffre douleurs, qui sait c'est peut-être la vue de tous ces chats qui avait inspiré l'imaginaire de Odd sur Lyoko son costume venait sûrement de la transposition de son cauchemar en fin de compte.
Mais en dépit de toutes les misères que ces soeur lui faisait subir Odd avait la tête ailleurs il était en faite très préoccuper ,intérieurement une angoisse le rongeait, un angoisse si profonde a coté de laquelle les brimades lui paraissait dérisoire.
En vérité Odd ne pouvait pas s'empêcher d'avoir une pensée pour ces amis Yumi,Ulrich, Jeremie et Aelita.
Mais il avait une pensée particulière pour Jeremie et Aelita
Si l'un se trouvait en se moment a l'usine entrain de travailler ou pouvait se trouver Aelita.
Ou était elle ?
Et que pouvait elle bien enduré sous l'emprise de son mystérieux kidnappeur?
Ces questions Odd se les posaient depuis bientôt plus de deux mois,Odd se disait que finalement ce que lui faisait endurer ces soeur n'était rien du tout et qu'il n'allait pas se plaindre car quelques par ailleurs quelqu'un en particulier subissait une torture encore plus dure.
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Jeremie
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Seul dans l'usine le pauvre Jeremie se tuait à la tâche pour retrouver Aelita, a plusieurs reprise il avait appelé Yumi pour avoir des nouvelles, car le tous les messages qu'il avait laisser sur le portable de Jeremie était rester sans réponse à croire que celui-ci n'avait pas envie de lui parler et cela pouvait se comprendre après se qui c'était passer,Jeremie avait sûrement besoin de faire le vide autour de lui.
Mais contrairement a se que l'on pouvait croire Odd n'était pas aussi indifférent a la souffrance des autres, il avait un vrai respect pour le sens de l'amitié pour lui les amis étaient quelque chose de sacrer,et malgres l'attitude distante de Jeremie il voulait croire comme lui que tous n'était pas perdu et que leur amitié devait surmonter cette épreuve.
Pourtant cette situation il ne l'avait jamais souhaité tout comme Ulrich comme lui aussi avait pourtant voté contre le ré-allumage du super calculateur.
D'une certaine manière il en voulait à Jeremie et a Yumi qui avait décider de le rallumer, si pour lui c'était facile de les incriminer ,pouvait-il blâmer Aelita
Bien sur que non il ne le pouvait pas, comment aurait-il pu prévoir ce qui allait se passer ce jours la sur le territoire foret
Cette attaque surprise les avaient tous pris au dépourvu,lui-même avait été impuissant à combattre les spectres que cette mystérieuse sphère grise leur avait envoyée.
Le seul de tous qui avait réussi à faire quelque chose c'était Ulrich qui au prix d'une incroyable acrobatie avait réussi à infliger une blessure à son assaillant.
Même cela n'avait pas servi à grand-chose puisque la sphère avait quand même réussi a plonger dans la mer numérique en emportant avec elle Aelita.
Quelque part Odd nourrissais à un certain regret de n'avoir pas put empêcher ceci. meme quand Lyoko fut en partie détruit a cause de l'explosion généré par les spectres il avait été en dessous de tous et malgres la violence de la déflagration ils avaient pus tous s'en sortirent idem.
Malheureusement les dégâts avaient été tellement été important sur le super calculateur qu'il n'y avait plus moyen de retourner sur Lyoko avant longtemps sans compter a cela qu'a cause de la surcharge, le retour vers le passé avait été détruit.
Partir a la poursuite du kidnappeur n'etait donc pas possible dans l'immédiat et la situation allait se compliquer
Comment expliquer la disparation de Aelita ?!
Il fallut donc adopter une solution d urgence, Aelita fut alors remplacer par une réplique que Jeremie avait put créer avec les ressources intact du super calculateur, par le suite le proviseur reçu un coup de téléphone de la part des parent de Odd l'informant que Aelita devait repartir pour le Canada, si la ruse fit sont effet son faux départ fut des plus agité.
Peu de temps après se fut Jeremie qui envoya une fausse réplique de lui meme a sa maison afin de masquer son absence, il pouvait ainsi rester au laboratoire tous l'été sans que cela n'inquiète qui que se soit, sauf ces amis qui comprirent bien que le jeune homme allait sûrement passé en été en enfer, et la suite des évènements allaient leur donner raison.
Yumi avait dit a Odd que Jeremie travaillait ardemment sur des projets qui selon lui permettrait de sauver Aelita
Einstein était déterminer a retrouver Aelita et Odd l'était tous autant et si dans le futur il fallait désigner un lyoko-guerriers pour une mission dangereuse Odd n'hésiterait pas une seule seconde a se porter volontaire, ce serait sa façon à lui de se faire pardonner de ne pas avoir été assez fort ce jour-là pour la protéger.
Jusqu'à présent Odd n'avait jamais pris la peine d'éditer un journal intime, il pensait que c'était juste bon pour les amoureux ou les passionnés d'informatique comme Jeremie.
Einstein en avait besoin pour consigner tous ces travaux alors que des filles comme yumi et Sissi s'en servait plutôt pour raconter leur émois d'adolescente,même Ulrich l'avait surpris en tenant une sorte de carnet de bord.
Les seul cahier que Odd n'est jamais remplis était ceux qu'il consacrait à la réalisation de ces films, ils étaient remplis de scénarios et de plans mais jamais il n'avait éditer de journal intime.
Mais depuis ces événements il avait besoin de rédiger ses impressions il cherchai une cause a tous cela et semblais l'avoir trouver, pour lui tous avait commencer depuis le
jour ou Xana avait été détruit et que le super calculateur avait été désactivé
Tous croyaient qu'ils arriveraient a faire l'impase sur leur ancienne vie de Lyoko guerriers, si certains y arrivait ce n'était pas le cas pour tous le monde.
Et sans le savoir il étaient tous tombés sans exception dans une effroyable monotonie, Odd serait le témoin privilégier de ce qui allait être petit à petit l'érosion de leur amitié.
Cette fois ci le danger ne viendrais pas d'une entité intelligence artificielle mais bien d'eux meme,ils allaient devoir faire face a un ennemis redoutable qui s'appelait la routine.
----------------------------------- Carnet intime de Odd della Robbia ----------------------------------
Cela faisait bientôt deux mois que nous avions éteint le super-calculateur, deslors nous pouvions tous reprendre notre vie normale
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Mais sans le savoir nous allions entrer dans une ère horrible.
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Si jusqu'à présent le un futur était incertain a cause de Xana tous était désormais finis
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Xana était mort est l'avenir nous tendais les bras.
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Nous devions tous trouver notre place dans cette avenir meme si nous n'y étions pas préparé.
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Pourtant les premiers semaines chacun d'entre nous semblaient avoir trouver ces marques pour débuter cette nouvelle vie.
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Ulrich c'était mis a travailler pour remonter sa moyenne général et on peut dire qu'il a réussi son paris.
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Certes il n'était pas du niveau de Jeremie mais avec 12 de moyenne c'était largement suffisant pour continuer ces études, au moins il pourrait passer en seconde sans trop de problème un peu comme moi finalement.
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Yumi était égale a elle meme toujours sérieuse ( trop parfois meme) elle avait également pu remonter sa moyenne
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Ont peut dire qu'avec Jeremie et Aelita elle était bien la seule a pouvoir concilier études et lutte contre Xana.
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C'est vraiment une fille extraordinaire, dommage quelle soit si coincé dans sa relation avec Ulrich .
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On peut dire qu'ils font bien la paire ces deux la.
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Qui se ressemble s'assemble ... Hi Hi ... (^_^)
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Quand a notre Einstein national....
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Ah je vous jure lui il n'en manque pas une.
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Alors que Xana était mort et enterré il aurait enfin pu profiter de la vie, comme tous adolescent normal.
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Mais Non monsieur préférait rester a travailler dans sa chambre et sur quoi je vous le demandes ?!!...
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Des robots
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Je ne comprendrais jamais les génies
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enfin c'est comme ça...
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Bon voila le point délicat
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Je ne sais pas comment aborder le sujet
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allez je me lance...
__________________________________AELITA__________________________________
Je ne sais pas comment le dire....
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Mais il faut savoir que même si elle ne le montrais pas ,Aelita souffrait a cause de la mort de son père.
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Les autres ne le voyait
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Ni meme se benêt de Jeremie qui pourtant était si proche d'elle.
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moi j'étais bien conscient de tous ça
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Aelita passait par une phase difficile
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Celle du deuil
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La disparation de son père l'avait laisser sans famille.
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meme si elle nous avais nous
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elle se sentais seul au monde
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Pourtant Aelita avait une mère ça nous le savions tous.
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Anthea Hopper.
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Une mère que malheureusement elle n'avait jamais pu connaître à cause de toutes les manigances qui concernait le mystérieux projet Carthage.
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Ajouter a ça la vie de fugitive a laquelle son père l'avait contrainte pour d'obscures raison.
Aelita Lyoko - Aelita Hopper - Aelita Schaefer - Aelita Stones
Plusieurs noms mais un seul visage...
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....et une seule souffrance.
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j'avais pensé qu'avec le temps cette blessure pourrait guérir
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Mais rien n'y faisait.
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Chaque jour je la voyait de plus en plus déprimer
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cette situation ne pouvait pas durer.
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Si mes blagues ne suffisait pas alors je devais trouver un autre moyen de lui redonner le sourire.
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je me disais que ça lui ferait peut-être du bien que de s'exercer a une création artistique
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je lui est donc propose de participer a mon prochain film histoire de lui changer les idées
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après moulte tractations et demande a genoux elle finit par accepter
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Je savais que cela lui ferait du bien.
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le film que j'allais réaliser serait une histoire de science fiction
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Se serais une sorte de parodie de notre vie de Lyoko guerriers
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Que j'ai appelé Code Ryoko (1)
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Rien de très nouveau en faite.
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j'avais déjà proposés de réaliser cette histoire il y a quelque temps en arrière
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A l époque j'avais meme proposé le rôle principal a Sissi
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Quel idée
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qu'est-ce qui a bien put me par la tête ce jour la.
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Bref elle est moi devions jouer le rôle d'un couple d'amoureux qui devaient vivre une histoire tragique dans le monde de Ryoko.
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bien sûr ceci était en fait une énorme parodie notre propre histoire mais bon qui aurait pu croire à une histoire aussi invraisemblable que celle-ci
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Malheureusement pour nous ce qui devait être un film amateur comique c'est vite transformé en une rivalité artistique entre Aelita et moi
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Aelita n était pas d'accord sur la façons donc les personnages devaient inter agir.
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En particulier le personnage de Edmondo que j'incarnais
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Aelita le trouvait trop superficiel alors que elle incarnait la douce Akilina qui est en faite une redoutable combattante.
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Et bien sur se fut la dispute entre nous
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Je me rends compte maintenant que pour créer mes personnages je me suis inspiré de ma propre vie
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alors que je croyais avoir créer des personnages totalement inédits
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Quoi qu'il en soit une rivalité artistique était née entre nous.
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Nous nous étions donner rendez vous en juin lors du concours de film amateur animé par Mr Chardon
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j'allais présenter mon film et Aelita le sien
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Avec une arrogance qui m'était propre jetais persuadé de la victoire.
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Est ce jour-là je ne m'attendais pas à essuyer une défaite mémorable.
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Sur tous les point Aelita c'était montré bien meilleur que moi
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Sur le coup je lui en ai voulu
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Nous avons meme eut une violente dispute a ce sujet dans ma chambre.
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et je le regrette maintenant car se jour la j'ai souhaité qu'elle ne soit jamais venu parmi nous.
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Cela lui a fait beaucoup de mal.
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Je me suis rendu compte à temps et j'ai couru dans les escaliers pour la rattraper et m'excuser de mon attitude envers elle.
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elles-même m'as avouer sans le dire qu'elle souffrait beaucoup.
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Après nos aveux et excuse respective nous nous sommes réconcilier elle est moi.
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Se jour la je lui est fait une promesse
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Celle que je serais toujours la pour la protéger.
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mais voila cette promesse je n'ai pas réussir a la tenir
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Aelita a disparu
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Tous ça a cause de ....
______________________________Jeremie___________________________
Quelque part je ne pourrais jamais pardonner à Jeremie de l'avoir laisser de cote alors quelle souffrait.
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Mais se que je ne savais pas c'est qu'il en était conscient en faite
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Il avait délibèrement laisser Aelita de coté
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Non pas par méchanceté
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Mais parce que lui aussi avait ces raisons de la délaisser
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Des raisons que nous ne découvrirons que bien plus tard.
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Ce vide qu'il avait volontairement créé entre lui et elle n'a fait que renforcer le sentiment de solitude qui habitais Aelita.
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voilà ce qui le faisait le plus souffrir mais dans l'ombre...
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Dans le plus grand secret Jeremie s'apprêtait à rallumer de super calculateurs.
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il poursuivait un but bien précis
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Si le père de Aelita était bien mort qu'en était-il de sa mère ?
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Anthea Hopper
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Qu'était elle devenu ?
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Jeremie avait bien l'attention de la découvrir mais pour cela il lui fallait utiliser le super-calculateur sans que personne ne le sache.
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voila la raison qui faisait qu'il tenait Aelita a distance
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Plus tard quand tous fut près il convoqua Aelita un soir pour lui faire part de ces attentions
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et curieusement Aelita n'eut aucune opposition a cela
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elle l appuya meme dans sa démarche.
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tous ceci serait arrivé dans notre dos si je n'avais pas découvert le poteau rose.
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comment j'ai découvert tous ça ?
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En en allant dans la chambre de Jeremie je suis tombé sur son ordinateur.qui était rester allumé
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J'avais souvent l'occasion d'aller sur son ordinateur pour envoyer des mails ou pour faire des blagues a Sissi
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Mais la je m'attendais pas à tomber sur le schéma technique d'un système de réouverture du super-calculateur
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Rassurez vous je ne suis pas devenu un technicien hors paire qui reconnaît se genre de système au premier coup d' oeil.
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Non c'est juste que je sais lire une entête de fichier
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(-_-)
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"système de réouverture du super-calculateur"
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c'etait assez claire pour que tous le monde le comprenne meme moi.
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il faut dire que sur ce coup la Einstein n'as pas été malin
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Il avait laissé ouvert le dossier réactivation du super-calculateur à la date du jour
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Ce que je puis lire sur le dossier n'avais consterné
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Jeremie s'apprêtait à réactiver de super-calculateurs à notre insu .
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il y avait donc pas une seconde à perdre il fallait que j' avertisse Ulrich et Yumi
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Mais ces deux-là était introuvable et leur portable sonnait occuper
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à se demander ce qu'ils pouvaient bien faire en ce moment
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Après une course effrénée j'ai eut la chance de croiser William qui me dit les avoir vus aller quelque part dans le parc.
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Connaissant bien leurs habitudes il n'y avait qu'un endroit où ils pouvaient être aller
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Vers le petit banc en bois vus en bois qui jouxte le parc.
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je suis donc dépêché de les prévenir et ce jour-là croyez-moi ils ont eu du mal à me croire.
-----------------------------------------FLASH-BACK-----------------------------------------
Dans un coin reculé du parc du collège Ulrich et Yumi c'étaient donné rendez-vous, ce jours la tous deux avaient des choses très importants ça se dire.
Surmontant sa timidité légendaire Ulrich s'apprêtait a faire a Yumi la déclaration la plus importante de sa vie.
Yumi elle meme avait quelque chose de très important a avouer a Ulrich , cela faisait depuis lundi dernier qu'elle y réfléchissait, tous une semaine a attendre cette instant lui avait paru interminable.
Tous deux étaient maintenant assis sur le banc, sans sans rendre compte leur visage c'étaient
mutuellement rapproché, Ulrich mis sa main dans sa poche et s'apprêtait a en sortir une sorte de petit coffret qu'il avait gardé précieuse ces dernier temps.
Ulrich avait la gorge nouer et les mains tremblante a l'idée de se qu'il allait devoir faire,mais il etait trop tard pour faire machine arrière il fallait se lancer.
Mais au moment d'ouvrir la bouche Odd fit alors son apparition en sortant de derrière un fourré, surpris par cette intervention à laquelle il ne s'attendait pas Ulrich retira vite sa main sa poche.
Ah bah vous voila depuis le temps que je vous cherche fit alors Odd a ces amis.
La soudaine irruption de Odd parmi eux ne fit par particulier ment plaisir aux deux adolescent qui voyait encore la un magnifique moment de gâcher.
Odd !! bon sang qu'est que tu fou la demanda Ulrich échaude
Odd : Quelle question je vous cherchais voyons.
Ulrich : oui mais la tu vois on voudrais rester seul.
Visiblement compris qu'il n'etait pas le bien venu mais la situation présente était tellement grave que Odd se devait d'intervenir et meme si pour ça il devait se mettre ces amis a dos.
Pas le temps de roucouler vous deux nous devons aller au plus vite a usine leur lança Odd
A l'usine que ce que tu veux qu'on y fasse demanda Yumi
Odd : Nous devons y aller pour stopper Jeremie est Aelita
Ulrich : mais qu'est ce que tu raconte comme bêtise.
Odd : c'est pas une blague Jeremie a l'intention de rallumer le super-calculateurs.
Cette simple annonce suffis a stupéfaire Ulrich et yumi qui n arrivait pas a en croire leur oreille, Odd devait sûrement leur faire une blague mais l'air paniqué que ce dernier arborait laissait plus penser le contraire.
Yumi : attend mais c'est du délire ton histoire
C'est pas un délire j'y est lut sur son ordinateur fit Odd
Ulrich : attend mais pourquoi il ferait ça c'est stupide,on avait tous dits que ce serait fini cette histoire .
Odd : apparemment Jeremie ne l'entend pas de cette oreille.
Ulrich : mais il est malade.
Odd : j'en sait rien mais il faut l'arrêter avant qu'il ne soit trop tard
Ulrich se tourna vers Yumi en lui demandant se qu'il fallait faire,mais la belle japonaise elle-même ne savait pas quoi répondre
Alors qu'ils avaient cru avoir fait une croix définitive sur le monde de Lyoko il semblerait que Jeremie se soie mis en tête de le faire revenir a la vie.
Yumi se demanda alors ce qui pouvait bien passer par la tête de Jeremie, certes ces motivations étaient inconnues mais quand même de la a trahir leur secret.
Quoi qu'il en soit il fallait intervenir avant qu'il ne soit trop tard , ils emprunter donc le passage souterrain par les égouts.
Ils durent faire tout le chemin à pied car ils avaient retirer les skates et les trottinettes,ces dernier n'avaient plus de raison d'être ici ,a cause de ça il mirent une bonne dizaine minutes a rallier l'usine, il coururent a en perdre haleine jusqu'à ce qu'ils finissent par arriver devant la grille de la le chemin leur étaient familier vu qu'ils l'avaient parcouru des centaines de fois
Quand ils arrivèrent dans le laboratoire il surprirent Jeremie et Aelita en train de travailler sur le super calculateur, il faut dire que l'accès n'avait pas été protégé par Jeremie n'importe qui a ce moment la auraient s' introduire dans le complexe souterrains, bien-sur les deux intéresser ne s'attendait pas à la réapparition de leurs amis quand il se retrouvèrent tous face a face les deux fautif ne savaient pas quoi dire pourtant Aelita et Jeremie allaient devoir fournir des explications.
(2) cette histoire de film est raconté dans le premier épisode de ma fanfics préquel "tranche de vie" dans la partie " Odd un artiste incompris"
(3) cette séquence clos les dernières histoires de ma fanfics "tranche de vie" qui raconte tous les événements qui se sont passé entre l'extinction du super calculateur et le moment ou celui-ci sera rallumer et qui constitue la préquel a Code Tanit
chapitre 16 projets XN 4321
xx/xx/xxxx
laboratoire xxxxxxxx
"Docteur croyez-vous qu'il soit raisonnable de continuer une expérience de ce genre"
DR .. : Bien sûr que oui, il n'y a aucun risque après tout nous savons tous les deux a quoi nous avons affaire.
Toutefois j'ai quand même des doutes sur la nature même de ces expériences,cela ne présente t-il pas un danger demanda alors la femme en blouse blanche.
DR .. : Miss Aka pourriez vous me rappelez pour quelles raisons je vous ai engagé.
Miss Aka : pour mon talent de neuro-chirurgienne.
DR .. : exacte miss Aka je vous ai engagé pour vos talents en micro-chirurgie.
Miss Aka était un femme spécialisé dans le domaine de la micro-chirurgie, sa connaissance du cerveau et des systèmes nerveux en faisaient la collaboratrice parfaite pour le docteur..., mais a cause de la nature des expérience que celui ci pratiquait il arrivait a Miss Aka d'avoir des doutes.
Miss Aka : permettez-moi de vous dire docteur que l'expérience que nous sommes en train de tenter est loin d'être est loin d'être des plus normal.
DR .. : si nous devions rester dans la normalité et suivre les règles nous ne pourrions pas progresser.
Miss Aka : c'est un point de vue qui peut se défendre mais dans le cas présent je trouve juste que nous faisons n'est pas tellement "éthique"
DR .. : si c'est une question d'éthique quelques zéro de plus sur le chèque que je vous ai promis suffiront à faire taire les émois de votre conscience.
Miss Aka : on peut dire que vous savez parler aux femmes
Je sais surtout où sont mes intérêts et comment les conserver lui répondit alors le docteur ...
Miss Aka n'était pas le genre de femme qui en temps normal se faisait acheter si facilement mais a cause d'une faute professionnel elle c'était fait un jours radier de l'ordre des médecins, ne pouvant plus exercer dans sa profession elle avait pus retrouver du travail dans ce laboratoire indépendant qui n'était pas très regardant quand au règle d éthique et pour le docteur ... elle serait un atout précieux pour la réalisation du projet et c'est bien se que celui ci se bornait a lui faire comprendre.
DR .. : si nous devions suivre toutes les règles d'éthique la science ne progresserait jamais, rendez-vous compte nous sommes en phase de créer quelque chose de nouveau, du jamais vu à ce jour.
Miss Aka : certes le projet dans lequel nous nous sommes lancés est loin d'être conventionnels mais tout de même ce que vous voulez faire va bien au-delà de créer une simple vie.
DR .. : vous avez parfaitement raison nous n'allons pas créer qu'une simple vie....
.... nous allons créer un surhomme dit alors le docteur a son assistante.
La réaction presque euphorique que venait d'avoir le docteur n'etait pas pour étonner Miss Aka qui connaissait bien la réputation de son employeur.
Elle avait entendu dire bien des chose quand au agissements contre nature de cet homme mais depuis quelle avait pris part au projet elle avait pus constater que cette réputation n'etait nullement usurpé
Cet homme était un fou génial qui se prenait pour un Prométhée moderne voir dieu le créateur,son ambition affiché était a la démesure de son génie et se qui était en train de croître dans l'incubateur en témoignait bien.
Un surhomme vous êtes sur docteur dit alors miss Aka en pointant du doigt le petit détail qui coupa le docteur dans son élan.
DR .. : Ne soyez pas mesquine miss Aka quand je disais surhomme je généralisait
Miss Aka : je voulais juste défendre une notion
DR .. : je n'en doute pas et si je parlais plutôt de super être humains sa vous conviendrais mieux
Miss Aka : sa définirait encore mal le prototype mais sa serait déja mieux
DR .. : voyons miss ce que nous avons créer et carrément une révolution nous n'allons pas nous battre sur les termes a employer
Miss Aka : je disais ça comme ça après tous on appelle bien un chat un chat alors pourquoi le projet ne pourrait pas se définir pas un autre terme.
DR .. : et vous avez un suggestion peut être
Le débat en le docteur... et miss Aka sur l' appellations du projet aurait pus s'éterniser pendant des heures mais voila il restait encore beaucoup de travail a abattre aujourd'hui
DR .. : si nous continuons a débattre comme ça le travail va prendre du retard
Miss Aka : vous avez raison il ne faudrait pas tous gâcher alors que nous sommes si près du but
DR .. : une erreur de notre part ruinerait des mois d'effort
Miss Aka : espérons seulement qu'a la fin le projet sera viable.
DR .. : il n'y a pas de raison que cela échoue, les simulations que nous avons effectuées sur notre super-calculateur ont démontré que le développement du corp se passait normalement.
Miss Aka : en théorie oui mais en pratiquent on navigue quand meme en eau trouble avec se projet.
DR .. : que voulez vous que je vous dises nous sommes les pionniers d'une toute nouvelle science
Miss Aka : est voulu et trouvé un nom à cette nouvelle science
DR .. : dites miss Aka c'est une obsession chez vous de donner des noms a tous le monde
Miss Aka : pas du tous docteur mais vous conviendrez que nos expérimentation non pas de noms propres pour les définir.
DR .. : la je vous l'accorde et sachez que j'ai déjà trouver qui lui conviendras bien a cette nouvelle science.
Miss Aka : c'est-Ã -dire ?
__________________________La Cyber Biotechnologies__________________________
Miss Aka : La Cyber Biotechnologies... oui je trouve que sa va bien comme noms.
DR .. : et si le projet arrive à son terme ce sera là aussi une redéfinition même de ce qu'est l'être humain
Miss Aka : que voulez vous dire ?
DR .. : si vous préférez le mot humanité va prendre une nouvelle définition dans le dictionnaire.
Miss Aka : vu ce que nous avons créer il n'y pas de doutes meme si le projet est encore tres primitifs et incomplets
DR .. : de toutes façons nous travaillons sur un modèle très simplifié que nous avons amélioré grâce à la technologie qui nous a été fournie.
Miss Aka : il est vrai que sans ce super calculateur ce projet n'aurait jamais pu voir le jour
DR .. : ce super calculateur est quatre fois plus puissants que ce que l'on peut trouver dans le monde à l'heure actuelle
Miss Aka : sa je ne serais pas le dire.
DR .. : le développement du projet est assuré par l'ordinateur la plus infime partie de son être est gérée par informatique
Miss Aka : du moins seulement son système psychomoteur ,pour le moment je vous rappel que seul les muscles le coeur et les poumons sont contrôlé de façons artificiel par les implants .
DR .. : ce qui démontre bien qu'aussi perfectionné que soit l'informatique la main de l'homme est toujours nécessaire et sans votre talent naturel Miss Aka se projet n'aurais pas put aller bien loin.
Miss Aka : il faut dire que je ne suis pas habitué à toutes ces nouvelles technologies je suis plutôt de la vieille école vous savez un ordinateur et un bras automatisé.
DR .. : vraiment vielle école comme vous dites
Miss Aka : travailler comme nous le faisons sur un réseau cérébraux spinal à l'aide de nano-robots c'est une première pour moi.
DR .. : il est vrai que cette nano- technologies est une vraie merveille sans elles nous ne pourrions pas faire grand-chose
Miss Aka : au faite cette technologie fait elle aussi partis des cadeaux que vous a fait notre partenaire.
DR .. : non cette nano-technologies est le cadeau d'un autres associé
Miss Aka : tiens donc vous ne n'aviez pas avertis que nous avions un troisième partenaires.
DR .. : en faite ce n'est pas vraiment un partenaire mais plutôt une personne qui voulu me faire un cadeau.
Miss Aka : un cadeau ?!
DR .. : en faite ces nano-robot je les est reçu par la poste avec une série d'instruction pour les faire fonctionner avec notre super-calculateur.
Miss Aka : comment ça sans raison !!! on vous envoie de la haute tecnhologie.
DR .. : sur sa lettre notre mystérieux partenaire ma juste dit que le jour ou nous serions près il se manifesteraispour nous devoiler sont identité
Miss Aka : c'est assez bizarre tous ça.
DR .. : je ne vous cache que cela m'as étonner mais comme le colis provenais de la société Cyclotron je n'ai pas de raison de méfier
Miss Aka : ce troisième partenaire serais aussi rattaché a la société Cyclotron.
DR .. : il semblerai que oui
Miss Aka : dans ce cas la sa change tous, il n'y pas de raison de s'inquiété
DR .. : en effet aucune raison
Miss Aka : et vous savez ce que attend de nous ce troisième partenaire
DR .. : pas du tous mais nous le serons sûrement le jour venu
Miss Aka : en cas tous docteur je ne vous cache pas que cette nano tecnhologie me plaît beaucoup
DR .. : vraiment vous !!! une habitué de la veille ecole vous succomber a la modernité
Miss Aka : relativison docteur ,cette technologie me plaît car plus tard elle pourrait servir dans le traitement des maladie cancéreuse ou pour réparer des réseaux nerveux endommagé comme celui des colonnes vertébrales.
DR .. : oui mais dans l'immédiat elle nous sert pour la concrétisation de notre projet et je vous rappelle à quel point celui ci est important
Miss Aka : rassurez-vous Docteur je n'ai pas oublié que notre première partenaire attend de nous des résultats probants.
DR .. : il serait malvenu de notre part de la décevoir après quelle nous est fournit ce super-calculateur.
Miss Aka : sans oublier ce système de micro puce a Quadrihoppes
DR .. : et on peut dire que grâce a tout ça nous formons un trio imparable
Miss Aka : un trio de qui voulez-vous parler Docteur ?
DR .. : mais de vous de moi et de ce super-calculateur bien évidemment
Miss Aka : je ne vois pas cette machine comme un partenaire mais plus comme un outil.
DR .. : vous avez tort de dire ça, pour la réalisation de ce projet chacun de nous et complémentaires.
Miss Aka : a quel niveau ?
DR .. : je suis doué pour manipuler le génome humain, vous vous êtes doués pour operer sur les systèmes nerveux et cette machine elle gère la croissance du projet tout en s'assurant de son maintien en vie.
Miss Aka : d'ailleurs pensez-vous que ce projet sera viable à la fin ?
DR .. : pourquoi ne le serait-il pas
Miss Aka : une erreur ou une panne du super-calculateur signifierait la mort du prototype.
DR .. : quelle importance cela peut-il avoir même si celui-ci venait à mourir ce ne serait pas un problème on pourra toujours en créer d'autres, après tout nous avons assez de matière première pour en créer des milliers si nous le voulions.
Miss Aka : il serait toutefois regrettable que le premier prototype meurt,
DR .. : en effet il nous faudrait des mois pour qu'un projet arrive à terme dans ce cas inutile de tergiverser sur le bien-fondé de nos expériences.
Miss Aka : vous avez raison a lorsque nous touchons au but sa serais dommage.
DR .. : je vois que vous rallier a mon point de vue
Miss Aka : d'une certaine manière oui ,il n'enpêche que sans technologie rien de tous cela n'aurait pas été possible.
DR .. : je ne vous le fais pas dire j'ai eut beaucoup de chance de pouvoir en disposer,car au début le fabricant de ces machines n'était pas très disposé à me fournir la technologie dont j'avais besoin pour les expériences sur le clonage.
Miss Aka : il aurait refuser de vous la vendre.
DR .. : oui a cause de l'éthique de son entreprise.... ironique non
Miss Aka : plutôt
DR .. : une chance pour moi qu'une personne dans cette entreprise a une vision de ce que devrait être la vie.
Miss Aka : je suppose que vous pensez en particulier à notre partenaire le docteur Hopper.
DR .. : exact sans le docteur Hopper cette expérience n'aurait sûrement jamais vu le jour.
Miss Aka : étonnant qu'une scientifique de sa trempe soient d'accord pour que vous pratiquez de telles expériences
DR .. : ne vous leurrer pas Miss Aka si le docteur Hopper nous a fournit ce matériel c'est pour que nous effectuons un travail de commandes
Miss Aka : la création d'un corp artificiel
DR .. : et vue de tous les éléments que le docteur nous a fournis il est bien normal que je lui fournisse un prototype qui soit viable
Sans plus ajouter un seul mot le docteur... se tourna alors vers l'immense tube en verre dans lequel un corps humain en suspension baignait dans une sorte de liquides verdâtres, il écarta les bras en les levant au ciel et ce fut presque en souriant qu'il dit alors
NX 4321 bientôt tu verras le jour.
XX/XX/2005
---------------------------------------- ######## de secours----------------------------------------
Ici ###### je lance un appel au secours , ######## a me réfugier dans le bureau du ######## et j'utilise son terminal de communication ########## pour ######## se message de ########
---
c'est ######## notre projet ######## et devenu ######## quelque chose a pris ######## de notre ########.
---
Nous ######## enfermé dans le laboratoire ######## le complexe ######## de ########
---
le prototype a tuer ######## et deux de ces ######## alors que ces derniers on essayer de ########
---
j'ai réussi ######## a temps de la salle ########
---
######## traque et décime tous ceux qui lui ########je ne sais ######## de temps la porte blindé ########
---
On ne peut laisser ######## j'ai donc lancer le processus ######## conçu pour éviter ######## bactériologique
---
Tous ######## va être détruit.
---
si je ######## échouer qui que ######## nous devrez ######## détruire
---
Quoi qu'il arrive cette chose ne doit pas survivre.
FIN DU ########
chapitre 16 les aptitudes de Maeva.
15 septembre 1005
Trois jours venaient de s'écouler depuis l'incident du musée, la punition /guérison que Maeva avait dû subir aller bientôt être levé.
Elle pourrait bientôt retourner chez le docteur Robinson, bien évidemment ce dernier s'attendait à ce que ça petite protégée soir en colère contre lui, mais a sa plus grande surprise il n'en fut rien, Maeva n'éprouvait aucune forme de colère ou de rancoeur vis-à -vis de lui, plus étonnant même elle était même reconnaissante que celui-ci l'est renvoyé à l'hôpital.
Sa réaction était des plus étranges jusqu'à présent elle qui avait toujours manifesté un dégoût profond pour cet endroit à cause de l'attitude du personnel à son égard ou encore la façon dont elle avait été malmenée sans compter la crainte qu'elle avait a s'endormir depuis la tentative de viol qu'elle avait subi et toutes les conséquences que cela avait eues sur elle et sur son entourage.
Et même si revenir à cet endroit ne lui fit pas plaisir sur le moment, ces trois derniers jours passés lui avaient été très bénéfiques,cela lui avait donné l'occasion de réfléchir sur sa situation, finalement elle c'était rendue compte que même après sa sortie elle n'avait pas toujours eut les idées claires.
Et le fait d'être revenu ici lui avait montré à quel point elle avait de la chance d'avoir le Docteur Robinson pour l'aider
a tous regarder son petit caprice de fillette gâter lui paraissait de-lors complément dis-proportionner et ça elle venait de le comprendre.
Tous ce a quoi elle aspirait maintenant c'était de pouvoir guérir et par la suite de reprendre une vie normale en compagnie du docteur.
Le docteur pensât elle ,son bienfaiteur , son sauveur , son ...
son... ?!!
Elle ne s'en était pas rendu compte avant mais Maeva nourrissait au fond elle des sentiments plus fort que de la simple reconnaissance pour le docteur,mais aussi fort que puise être ces sentiments Maeva avait choisit de les faire taire, ce que Maeva voulait avant tous voir chez le docteur c'était l'image du père et non celui de ....
Ma pauvre Maeva tu est entrain de nous faire un beau complexe d'oedipe(version fille) se dit t'elle a cette instant.
Convaincu que tous ceci n'était qu'un mauvais passage elle décida d'y faire abstraction en se concentra sur l'essentiel,a savoir son départ de l'hôspital
Il était déjà 4 h 30 à l'horloge accroché sur le mur dans quelques minutes le docteur viendrait la chercher pour la ramener à la maison, son sac de voyage et sa trousse de toilette était prêt depuis ce matin, Maeva avait quasiment passé toute la journée à compter les heures en attendant la fin de sa captivité,quand le docteur entra dans la pièce elle ne lui sauta pas au coup comme a son habitude, lui meme me manifesta aucune réaction a la vue de Maeva. Pendant quelques secondes il restèrent a s'observer sans s'echanger le moindre mots tous ça dans le but de voir qui serait le premiers des deux a réagir en premiers.
Vu la façon dont ils s'étaient quittés il y a trois jours en arrière il y avait rien d'étonnant a ce que se séjour est quelque peu refroidi leurs ardeurs mutuelles, lassée par cette nouvelle attitude qu'il avait adopter le docteur fut le premier a engagé la conversation.
Alors Maeva tous s'est bien passée lui demanda le docteur avec précautions.
Aucun souci de mon côté docteur et vous ça s'est bien passé ces trois jours a la maison lui répondit Maeva.
Dr : Oui pas trop de problème et toi tous vas bien.
Maeva : moi ça va bien est vous.
Dr : moi sa va et toi.
Maeva : je vais bien en forme comme vous voyez est la santé comment ça va.
Dr : très bonne et toi tu a l'air d'être en forme.
Maeva : je le suis sûrement autant que vous.
Dr : et bien.........
Visiblement il y avait encore un certain malaise qui planait entre deux, leur conversation ne dépassait pas le stade de la question de santé,chacun n'arrêtant pas de demander a l'autre comment il allait, il faut dire quand le récent incident du musée avait occasionne pas mal de dégâts ajouter a cela l'attitude mutuelle que chacun des deux avait eut a ce moment la.
Tous cela n'avait pas arranger la situation entre le caprice de Maeva et l'attitude obstinée de docteur à vouloir la laisser à l'hôpital histoire de lui faire comprendre la leçon, au final tous deux s'étaient comportés comme de véritables gamins capricieux.
Et maintenant comment tous cela allait t-il se passer entre eux ? pourtant ce fut Maeva qui se décida a faire le premiers pas pour briser la glace.
Docteur ... dit elle sans continuer sa phrase
Maeva : Docteur ... je voulais vous dire... que...Je suis... je suis... désole pour tous.
Dr : désole mais de quoi ?
Maeva : Je tenais à m'excuser auprès de vous à cause de mon attitude.
Dr : Non Maeva c'est à moi de m'excuser j'aurais jamais dû de laisser à l'hôpital.
Maeva : mais vous l'avez fait pour mon bien sa je l'ai compris
Dr : qu'as tu compris
Maeva : que je faisais fausse route car j'étais en colère contre vous
Dr : et maintenant
Maeva : maintenant je me sens ridicule d'avoir agit comme ça
Dr : c'est à moi aussi a moi de m'excuser Maeva
Maeva : je crois que finalement tous les deux on a été un peu idiot dans cette histoire
Tu as raison et j'en suis désole pourras tu me pardonner lui demanda le docteur.
Soudainement Maeva commença à s'énerver un petit peu à cause de ce que venait de lui dire le Docteur apparemment elle ne voulait pas des excuses de ce dernier.
Désolé Docteur c'est trop facile de s'excuser comme ça fit alors Maeva
le docteur resta sans voix devant le subite état de colère de Maeva.
Si vous voulez vraiment vous faire pardonner vous savez ce qui vous reste à faire dit-elle alors ce moment
Le docteur demandait bien ce que Maeva voulait dire, que pouvait-il bien faire pour se faire pardonner auprès d'elle s'est alors que la jeune adolescente lui dit soudainement
Maeva : Je ne vous pardonnerai que si vous n'emmener manger une glace dans le parc.
Propositions pour le moins étonnante de Maeva qui étaient capables de passer d'un état de colère à celui d'un état de plaisanteries avec une facilité incroyable, le docteur venait de se faire avoir par une de ce nouvelles blagues donc la fille avait le secret, le docteur fut autant soulagé que interpeller par la réaction de Maeva.
Dr : Attend je ne comprend pas Maeva, je t'envoie a l'hôpital et tous ce que tu veux pour que je me fasse pardonner c'est que je t'offre une glace !!
Maeva : Une grosse glace parfum vanille/pistache/banane avec supplément de crème chantilly et éclats de noix de pecans et attention je ne veux pas de la petite coupe mais bien le format familial.
Visiblement Maeva n'avait pas perdu le sens de la réalité elle était toujours pourvue d'un appétit gargantuesque, et bien que incongru cette demande ne put que réjouir le docteur, car pour lui cela était le signe d'une bonne santé et dune confiance retrouve entre lui et Maeva.
Dr : je veux bien t' emmener dans le parc aujourd'hui mais pour ce qui est de la glace
Quoi vous ne voulez pas me l'offrir ronchona Maeva
c'est pas ça dit le docteur
Maeva : c'est quoi alors demanda Maeva
Et bien je me dis que qui a t offrir une bonne glace autant que cela en soit une qui en vaille la peine lui fit le docteur.
Maeva : vous pensez a quoi
Dr : disons je connais un endroit où on mange les meilleures glaces
C'est ou demanda Maeva.
Dr : a la fête foraine.
Maeva : la fête foraine !!
Dr : oui une grande fête va être organisée a la sortie de la ville et toutes les années il y a la bas un glacier qui croit moi te fais toutes les glaces que tu veux avec les parfums les plus incroyables seulement....
Maeva : seulement ....
Dr : sa ne serait que dans deux semaines
Maeva : deux semaines...
Dr : veut tu attendre tous ce temps.
Maeva : je ne sais pas j'ai vraiment envie d'une glace maintenant
Dr : tu sait les glaces de ce glacier sont succulentes
Maeva : vraiment
Dr : tu ne sera pas déçu
Maeva : alors dans ce cas j'attendrais deux semaines mais attention a vous parce que sinon je risque d'avoir des exigences encore plus élevées d'ici la.
Sa ne m'étonne pas de toi lui dit le docteur.
Le docteur avait réussi a convaincre Maeva de patienter jusque la,je fut donc sur cette note joueuse que les deux compères sortirent de l'hospital, se fut sans le moindre regret que Maeva franchis les portes de ce centre elle monta dans la voiture et ne pris meme pas la peine de se retourner alors qu'il s'éloignait du bâtiment.
Maeva voulait tirer un trait sur se passé en espérant tous de fois qu'une nouvelle crise ne l'y renverrait pas de si tôt.
Le soleil étant encore assez haut dans le ciel le docteur emmena Maeva dans le parc publiques de Madison, ce parc était connu comme étant un endroit magnifique à voir il y avait un petit lac artificiel et une superbe foret, alors que Maeva attendait sur un banc au bord du lac elle ne put s'empêcher de regarder la surface miroiter de l'eau ou brillait les milliers de reflet du soleil couchant, chacun de ses reflets lui inspirait 1000 merveilles de son côté le docteur est parti cherchez une petite classe auprès d'un glacier histoire de ne pas laisser Maeva sur sa faim, Maeva se frottait déjà la peau du ventre à l'idée de déguster une succulente glace à la vanille.
le docteur revint vers Maeva celui-ci portait deux cornets de glace enveloppée dans une serviette en papier, faute de parfum il c'était contenté d'une glace à l'italienne mais enfin c'était toujours mieux que rien
le docteur tendit le cornet à Maeva qui le prit délicatement dans ses deux mains, le docteur s'assit à côté d'elle sur le banc et commença à manger sa glace et se tourna alors vers Maeva il fut surpris de voir que cette dernière n'avait pas encore attaqué la glace et se contentait de le tenir entre ses mains,elle semblait bien son songeuse
Eh bien Maeva qui se passe-t-il ? tu ne mange pas tas glace lui demanda le docteur.
Maeva ne répondit rien,le docteur lui demandât alors si tous allait bien,Maeva lui dit que oui,seulement elle semblait un peu absorbe par ces pensées, elle fit alors part au docteur de se qui la tracassait.
Maeva : vous avez docteur j'ai bien réfléchis ces dernier jours
Dr : a quel sujet ?
Maeva :et bien j'ai repensé à tout ce qui m'est arrivé depuis le début de la thérapie
Dr : c'est a dire
Maeva : ne trouvez vous pas que beaucoup d'événements pour le moins curieux sont arrivés depuis.
Dr : c'est sur que ça n'as pas manquer.
Maeva : il y eut mes rêves étrange, les malaises que j'ai faits, l'incident que j'ai causé avec le système de fermeture des portes et mon...
le dernier événement Maeva ne voulait pas en parler car c'était un mauvais souvenir pour elle, Maeva n'eut pas besoin de prononcer le mot tabou le docteur comprit bien de quoi il s'agissait,le sévice qu'elle avait subis dans sa chambre l'avait profondément affectée ceci aussi bien par se qu'on lui avait fait que ce qu'elle avait fait en retour.
Mais s'il avait fallu retenir quelque chose de positif à tout ça c'est que cette incident avait permis à Maeva de pouvoir se quitter l'hôpital sans le moindre problème, sans que qui que ce soit n'y fasse obstacle et surtout pas le docteur Holstein qui maintenant n'avait plus son mot à dire.
Le docteur demanda a Maeva d'essayer de faire abstraction de ces évènements qui en aucun cas ne devait renforcer le malaise de Maeva, mais c'est plus facile a dire qu'a faire, si incident de la chambre n'aurait pus en être que un parmi les autres,mais celui ci avait été particulièrement terrifiant car outre la peur quelle avait ressentit c'était surtout cette sensation malsaine de plaisir qu'elle avait éprouvé a cette instant qui la terrifiait le plus.
C'était comme si le mal quelle avait fait était parfaitement légitime pour elle et cela effraya Maeva , l'idée quelle puisse être une personne aussi diabolique n'avait rien de réjouissant
Le petit monstre, la chose, la décolore, a cette instant précis tous ses surnoms lui parure justifier, il fallait vraiment être un monstre pour avoir commis un telle acte
Ce pouvoir qui était le sien n'était qu'une malédiction, elle en avait eut la preuve se soir la,
finalement toutes ces personnes qui cherchaient a lui nuire dans ces rêves avaient peut être des raison de lui en vouloir
Qui était elle ?
D'où venait elle ?
Si ces questions restaient toujours sans réponses une nouvelle lui était apparu depuis peu
Que lui avait t'on fait ?
Elle savait qu'elle était différente et pas seulement parce qu'elle avait les cheveux bleu, le bleu une couleur détesta table pour Maeva car cela lui avait valu le surnom de "décoloré" ou de "mutante"
"La mutante au cheveux bleu" d'après les infirmières
Et cette couleur elle ne l'avait pas usurpé elle était vraiment née avec ,voila un héritage génétique pour le moins étrange mais sa ne s'arrêtais pas la
Non sa vrai différence était en elle, a commencer par cet implant dans son cerveau et tous se réseaux de fibre métallique qui lui parcourait le corp
A quoi pouvait il servir ?
C'est sans l'ombre d'un doute que Maeva avait deviner que ces pouvoirs venait de la ,cette capacité a dérégler les appareil électronique rein quand les touchant était du a la présence de cette appareillage dans son corp.
mais comment ce dernier était il arriver en elle?
A quel genre d' expérience c'était ton livrer sur elle ?
Et quelle rapport cela avait il avec le monde de Lyoko ?
Les réponses a tous ces mystères se trouvaient dans ces rêves, elle en avait la certitudes maintenant
Les rêves de Maeva était sans conteste les clés de son passé, a elle de trouver ces clés et sa elle comptait bien y parvenir a l aide du docteur.
a suivre
chapitre 16 Mr X
Lieu inconnu / date inconnue / heure inconnue
"Mr X ici Mr Ficsix."
Mr X : Mr Ficsix puisse-je savoir pourquoi vous m'appelez ? vous savez très bien que nous avons des heures précises pour ça.
Mr Ficsix : je le sais Mr X mais voyez-vous j'ai une information importante à vos communiqués qui ne pouvait pas attendre lundi prochain.
Mr X : qu'avez-vous de si importants me dire pour me déranger a une heure aussi tardive.
Mr Ficsix : c'était pour nous signaler que nous avons un petit problème.
Mr X : Quel genre de problème ?
Mr Ficsix : des gens sont venus me poser des questions au sujet de nos cartes informatique.
Mr X : serais ce de nouveaux clients ?
Mr Ficsix : je n'en suis pas sûr.
Mr X : comment ça vous n'en êtes pas sûr ? pourriez vous m'expliquez ?
Mr Ficsix : ces personnes se sont présentés comme étant des agents d'assurance.
Mr X : des agents d'assurances !!
Mr Ficsix : exacte Mr X. ils auraient été dépêchés par la RIB de Londres.
Mr X : et savez-vous pourquoi des assureurs sont venus vous trouvez.
Mr Ficsix : ils sont venus au sujet de l'accident de l'université de Londres.
Mr X : l'incident du LTI.
Mr Ficsix : vous est déjà au courant Mr X?
Mr X : mes autres agents m'ont informé de ce petit "incident" j'en conclus qu'ils sont venus vous demandez si nous étions responsables.
Mr Ficsix : c'est justement ce qui me perturbe Mr X. ce n'était pas le but de leur visite
Mr X : dans ce cas-là que voulaient t-ils ?
Mr Ficsix : c'est justement la raison pour laquelle je vous appelle Mr X , ils voulaient nous acheter une de nos micros puces a Quadrihoppes sans avoir a passer par notre service d'intermédiaire.
Mr X : Mais pourquoi avez vous accepter de les rencontrer ?, vous connaissez bien les consignes que je vous est donner.
"Pas de contact direct avec les clients" fit alors Mr Ficsix
Mr X : puisque vous le savez pourquoi avez vous outrepassé mes ordres.
Mr Ficsix : Je me suis fais avoir il sont venu sur une lettre de recommandation de MR Stenton Le P.D.G de Quantum Conductivity.
Mr X : c'est un de nos client si je ne m'abuse.
Mr Ficsix : il aurait été un de nos client si son super calculateur n'avait pas aussi a été victime d'un accident
Mr X : je suis également au courant de cette affaire vu que nos services s'en occupe en ce moment.
Mr Ficsix : je vois que tous est sous votre contrôle.
Mr X : tous ce qui touchent de près ou de loin a notre opération me concerne,sinon que pouvez vous me dire au sujet de ces assureurs que vous avez rencontrez.
Mr Ficsix : ces deux assureurs m'ont affirmé que Mr Stenton était client chez eux et que pour effectuer le remboursement de sa machine ce dernier leur avait accorder les pleins pouvoirs afin de négocier l'achat d'une carte a Quadrihoppes
Mr X : c'est assez inhabituel généralement ce n'est pas le rôle des agents d'assurances que s'occuper de ce genre de transactions
Mr Ficsix : c'est bien cela qui m 'interpeller Mr X. mais ça ne s'arrête pas lÃ
Mr X : qu'avez vous d'autres a m'apprendre ?
Mr Ficsix : j'ai des doutes sur leurs identités et je tenais a ce que vous le sachiez
Mr X : serait-ce la une de vos intuitions de mercenaire ?
Mr Ficsix : exacte Monsieur mon intuition de soldat, lorsque j'ai été confronté à ces deux-là je les ai longuement observés.
Mr X : est que pouvez-vous m'en dire.
Mr Ficsix : je suis prêt à parier que ce ne sont pas des assureurs.
Mr X : qu'est-ce qui vous fait dire sa ?
Mr Ficsix : leurs comportements étaient très différent des gens que l'on rencontre habituellement ce genre de profession.
Mr X : vous êtes sûrs de sa
Mr Ficsix : affirmatif Mr X. ils étaient particulièrement provocateur et ont essayé de me piéger avec de nombreuses questions très subtiles, par chance je suis habituer a faire des interrogatoires et je connais bien toutes les subtilités de la profession...
Mr X : la profession vous voulait dire que ?
Mr Ficsix : affirmatif monsieur je pense avoir eu affaire à des agents secrets ou à des militaires.
Mr X : vous etes sûr de cela
Mr Ficsix : un seul regard à suffit a m'en convaincre.
Mr X : quel poisse il ne manquait plus que ça,et quel genre de question vous ont-ils posée ?
Mr Ficsix : la plus embarrassante de toute Mr X.
Mr X : c'est-Ã -dire
Mr Ficsix : ils m'ont demandé à visiter notre laboratoire de production.
Mr X : et voila je me doutais bien qu'un moment ou un autre ce problème allait se poser ,et que leur avez-vous répondu ?
Mr Ficsix : que notre laboratoire était en pleine aménagement et que je ne pourrais pas leur faire visiter avant trois bons mois.
Mr X : trois mois seulement
Mr Ficsix : croyait bien Mr X que c'est tout ce que j'ai pu obtenir comme délai, ils étaient très tenaces.
Mr X : finalement trois mois c'est mieux que rien.
Mr Ficsix : que voulez vous que je fasse maintenant.
Mr X : par mesure de sécurité nous devrions stoppé toutes les opérations en cours.
Mr Ficsix : cela risque de paraître suspect car je suis prêt à parier qu'ils m'ont déja mis sous surveillance.
Mr X : si se sont des agent secret ou des policier c'est fort probable.
Mr Ficsix : si c'est le cas ne craignez-vous pas qu'ils interceptent cette communication.
Mr X : rassurez-vous Mr Ficsix le réseau de communication que nous utilisons est parfaitement sécurisé, il n'ont pas entre les mains la puissance informatique nécessaire pour pouvoir le décrypter.
Mr Ficsix : donc quel sont vos instruction pour l'heure.
Mr X : puisque vous avez réussi à négocier un délai profitons-en pour vendre un maximum de nos produits aux dernières sociétés.
Mr Ficsix : les transactions risque d'être surveiller.
Mr X : je m'en doute bien mais c'est un risque a courir, vous devez impérativement écouler les dernières cartes que je vous est livré.
Mr Ficsix : au vu des derniers problèmes rencontres le client risque d'être frileux.
Mr X : je me charge d'étouffer les affaires quand a vous accélérer les transaction, pour cela proposer une réduction de 20 % a tous nos client pour les convaincre avec bien sur paiement immédiat.
Mr Ficsix : et si jamais je n'ai pas le temps de finir les ventes
Mr X : dans se cas détruisez tous le stock pour effacer les preuves.
Mr Ficsix : vu le temps donc je dispose je pourrais sûrement vendre les dernières cartes ce qui nous fera une bonne centaine de transaction effectuer en bonne éduforme
Mr X : déjà 100 ?!
Mr Ficsix : ça fera pas mal de super-calculateurs équipés de ce système.
Mr X : et pour nous une sacrée rentrer d'argent.
Mr Ficsix : et une fois que j'aurais fini les transactions que faisons-nous
Mr X : vous mettrez en place l'opération "terre brûler"
Mr Ficsix : la destruction totale de toutes nos activités.
Mr X : puisqu'il semble que l'étau se resserre un "petit accident" est nécessaire.
Mr Ficsix : j'ai bien compris Monsieur je détruirais toute trace de mons existence et de notre présence le moment venu.
Mr X : quant à moi je m'occuperai de la partie financière
Mr Ficsix : je crois que d'ici peu les actions de la société vont tomber en flèche.
Mr X : de toute façon c'était prévu nous avons maintenant amassé assez de capitaux pour pouvoir lancer la deuxième partie de l'opération.
Mr Ficsix : dois- je comprends qu'ils sera bientôt temps pour moi de m'occuper de H&H
Mr X : seulement dans un an
Mr Ficsix : un an
Mr X : c'est le temps qu'il me faudra pour pouvoir nuire à notre objectif depuis l'intérieur,après quoi vous pourrez vous occuper du sort de H & H
Mr Ficsix : puisque nous abordons le sujet monsieur avez-vous une préférence sur la manière dont ils devront "décéder"
Mr X : un accident voyons!! un regrettable et tragique accident.
Mr Ficsix : j'ai déjà ma petite idée sur la manière de procéder.
Mr X : je n'en doute pas Mr Ficsix vous êtes un professionnel après tout
Mr Ficsix : je le suis et concernant nos deux "agent d'assurances" que voulez-vous que l'on fasse ?
Mr X : a rien pour le moment contentez-vous seulement de les faire suivre
Mr Ficsix : et s'il s'avère qu'ils sont une menace.
Mr X : si ils deviennent trop gênant employer tous les moyens qui seront nécessaires,mais dans l'immédiat ne tenter rien contentez-vous seulement de trouver des informations à leur sujet.
Mr Ficsix : c'est comme vous voulez Mr X je découvrirais a qui nous avons a faire.
Mr X : je sais que vous réussirez après tous je ne vous ai pas engagé que pour vos qualités de comédien.
Mr Ficsix : Oui Mr X. ne vous en faites pas je suis un professionnel.
Mr X : je l'espère bien je vous engager pour ça de toute façon.... éliminer les éventuels petits problèmes.
Mr Ficsix : si sa s'imposse je ferais ce qu'il faudra
Mr X : tenez-moi au courant si vous avez du nouveau c'est devenu une priorité maintenant
Mr Ficsix : je serai sur le qui-vive Mr X
Mr X : parfait tous est dit pour le moment
Mr Ficsix : oui Mr X
_________________________FIN DE COMMUNICATION_________________________
Dans une grande pièce sombre une mains ganté de noir ferma alors le terminal qui lui servait de comunicateur avec Mr Ficsix tournant le dos a la machine l' inconnu s'en éloigna ,quelques secondes après avoir quitté la pièce l'écran de veille se mit en marche et l'on pouvait voir que sur le moniteur venait de s'afficher le symbole de Cyclotron.
Chapitre 17 prémices au déluge.
Laboratoire de l'usine - 28 août 2005 - 21 h 06
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Dans une semaine c'est la rentrée scolaire.
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Dans une semaine pour beaucoup d'élèves c'est le retour à une vie normale.
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Dans une semaine cela fera bientôt plus de deux mois que je n'ai pas revu Odd et Ulrich.
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Quand on va se retrouver je suis sûr qu'ils auront beaucoup de questions a me poser.
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et bien sûr il sera difficile pour moi de pas pouvoir y répondre.
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As-tu réparé le super calculateur ? as-tu réussi à retrouver Aelita ?...etc.....
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Ca sera sûrement les deux principales questions qui vont m'être poser.
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Et que pourrais je leur répondre ?
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Rien évidement....
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Si j'avais retrouver Aelita je les aurait tous de suite avertis.
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mais la c'est loin d'être le cas.
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Donc rien de nouveau part ça.
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Si ce n'est mon aspect physique.
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je crois que mes amis auront beaucoup de mal à me reconnaître.
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Depuis qu'on c'est quitter en juin dernier j'ai passablement changé.
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A force de travaillé comme je l'ai fait sur cette machine j'ai terriblement maigri.
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Selon mes estimations j'ai au moins perdu une dizaine de kilos.
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et à cause d'un problème de nutrition et de fatigue je suis tombé à plusieurs reprises dans les pommes.
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Je sais que ce n'est pas raisonnable de ma part que de mettre abîmer la santé comme ça.
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Mais je vous en ai déjà expliqué les raisons, donc je ne reviendrai pas là -dessus.
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Mêmes si ces derniers temps je me suis mis à manger comme quatre afin de reprendre du poids.
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Certes je n'ai pas l'appétit de Odd mais je me force.
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Il faut impérativement que je reprenne du poil de la bête.
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Histoire de donner un peu le change pour ne pas éveiller les soupçons
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Surtout qu'il va falloir que je fasse revenir la réplique
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Et croyez moi il était grand temps.
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Aux dernières nouvelles cette dernière voulait m'inscrire dans un club de kick-boxing
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Là mes parents se seraient vraiment posés des questions.
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Mais apparemment tout est passé comme une lettre à la poste et mes parents n'ont visiblement rien soupçonné.
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il était vraiment temps pour eux aussi que ses vacances se terminent
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Parce que je crois bien qu'a se rythme la mon double aurait fini d'achever mon père.
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et la sa aurait été le bouquet.
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Détail amusant cet été j'ai gagner une épreuve de triathlon en établissant un temps record.
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et ceci devant des "pro" de la discipline
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Ca a meme fait là une du journal local de mon quartier.
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Un comble pour tous ceux qui me connaisse dans la famille
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bonjour la prochaine réunion de famille
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j'ai pas finis d'en entendre parler de ma "victoire"
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De plus si cet événement venait à revenir aux oreilles de Jim je vais avoir beaucoup de mal à sécher les cours de sport a l'avenir.
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Sur qu'il risque de plus me lâcher après ça.
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Jeremie Belpois ou l'art de se mettre dans les pires situation
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Le livre de ma vie.
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Mais bon les cours de sport et les études sont devenu le cadet de mes soucis pour le moment.
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les études sont passées sur un plan secondaire
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Cette année je sens que ma moyenne va chuter "grave"
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Mais bon en temps que bonne élève je peux me le permettre.
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Ont parlera sûrement d'un passage a vide dans mes futur bulletins scolaire.
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Au pire il me restera toujours la réplique pour donner le change la aussi.
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Sa devrais aller
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Je l'espère
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Sinon sur un plan personnel ces deux mois n'ont pas été improductifs
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Je peux dire sans me vanter avoir accompli de véritables miracles pendant cette période
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et tout ça pourquoi je vous demande ?
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Pour réparer les erreurs que j'ai commises par le passé.
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Sacré punition.
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Si je vous dis ça c'est parce que je viens de regarder mon journal vidéo.
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en écoutant le récit de cette histoire j'ai été pris d'un sacré remords et dune colère envers moi mêmes
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Car si je suis dans cette situation aujourd'hui c'est que je l'ai mérité.
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Comme je l'ai dit à Yumi
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Tous est de ma faute est uniquement de ma faute.
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même si quelques par Yumi aussi ce sent fautive de ce qu'elle a fait.
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Mais je ne peux pas lui en vouloir pour ce quelle a fait.
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Comment le pourrais-je.
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tous comme moi elle a écouter ces sentiments aux lieux de la raison.
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mais j'aurais beau dire , je sais qu'au fond d'elle Yumi nourrit les mêmes sentiments de culpabilité que moi.
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Si moi j'ai choisi de rallumer le super-calculateur avec le concours de Aelita
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C'est Yumi qui a fait pencher la balance en faveur de la réactivation du super calculateur alors que tous nos autres amis s'y étaient opposés.
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Je crois qu'il est temps pour vous de savoir ce qui c'est passé ce jour-lÃ
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Je n'ai plus grand-chose à nous apprendre sur mes expérimentent elles sont maintenant toutes terminées.
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je n'ai maintenant plus que la grande phase de test a effectué.
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et ce sera la phase la plus importante, le couronnement de ces deux mois de travail.
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J'ai tous consignés dans une annexe principale et j'ai sauvegarder mes recherches au cas où il m'arriverait quelque chose.
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Maintenant je me concentre uniquement sur l'édition de ce journal
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Je vais vous faire le récit de ce qui s'est passé le jour où nous avons rallumé le super-calculateur.
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Vous aurez tous et vous pourrez juger de ce que j'ai fait.
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Le jour ou nous avons rallumée le super calculateur j'allais sans le savoir relancé un engrenage infernal qui serait un véritable prémice au déluge.
-----------------------------Journal de Jeremie Belpois onzième partie.-----------------------------
Nous sommes le 18 juin 2005 une date que je maudirais sûrement toutes ma vie.
Ce jour-là j'avais décidé de rallumer le super-calculateur dans le plus grand secret, la veille j'avais donné rendez-vous à Aelita au foyer pour lui expliquer quelle était mes intentions, je voulais la convaincre du bien-fondé de mon action, bien sûr je m'attendais à ce qu'elle me juge d'une façon très dure en me qualifiant d'irresponsables, j'avais déjà anticipés sa réaction.
J'avais pesé le pour et le contre mais que voulez-vous que je vous dise nul n'est infaillible et sans m'en douter j'allais commettre la plus grande erreur de ma vie alors que tout cela partait d'une bonne intention.
Je voulais retrouver la mère de Aelita ..... Anthea Hopper
et pour réussir cette prouesse j'allais commettre l'irréparable, rallumé le super-calculateur si j'ai voulu faire ceci c'était pour Aelita, s'il y avait encore un espoir de retrouve sa mère il fallait tenter notre chance.
Et c'est là que la réaction de Aelita fut la plus surprenante car elle critiqua nullement la décision que je venais de prendre, elle appuya meme ma démarche en me disant quelle ferait tous pour m'aider
Je ne vous cacherais que cela ma surpris de se part mais après tous de son propre aveux elle ma confier plus tard que elle aussi y songeait, curieusement cela m'as fait déculpabiliser d'avoir a le faire en douce,elle est moi complice d'un meme crime.
Comme c'était le soir nous ne pouvions pas réactiver la machine car cela demandait un processus très long et comme le lendemains nous n'avions pas cours cela semblais plus propice
elle est moi nous nous sommes séparée en nous promettant de nous retrouver le lendemain aux alentours de 11 heures
la processus de réactivation du super-calculateur prendrait au moins trois bonnes heures
car je devais désactiver toutes les sécurités que j'avais mise en place un peu partout sur la machine pour éviter que quelqu'un d'autre ne s'en serve.
Le lendemain matin sur le coup des 11h Aelita et moi nous nous sommes rendus discrètement à l'usine en passant par le passage souterrain des égouts pour la suite nous connaissions le chemin jusqu'au monte-charge.
A présent il nous fallait être très prudent nous avons dû descendre dans le puits par l'échelle de secour pour pouvoir accéder à la porte secrète cachée contre le mur, de la j'ai rentrer le code secret de déverrouillage que j'avais installé.
Quand la porte s'ouvrit et je me suis retrouvé dans le laboratoire, sa faisait si longtemps
La première étape fut de réactiver le monte-charge afin d'y faire venir Aelita.
Petit à petit le laboratoire a commencé à reprendre vie et me fallait remettre le courant dans le terminal d'accès du super calculateur avant de Re-branché l'unité centrale.
durant toute l'opération Aelita m'a insisté en travaillant elle-même de son côté avec les directives que je lui avais données.
Au bout de trois heures de tests et de contrôle technique nous étions prêt a réactivé le super-calculateur c'est alors que sans crier gare nos trois amis arrivèrent dans le laboratoire
Apparemment Odd avait découvert mes plans, ceux que j'ai eu l'imbécillité de laisser traîner sur mon ordinateur, j'étais tellement pressé de retrouver Aelita que j'avais négligée de les faire disparaître.
Évidemment Odd avait compris mes intentions, il avait tout de suite été appelé Yumi et Ulrich à la rescousse et apparemment ils étaient tous fermement décidé à nous empêcher de réactiver le super calculateur et ceux qui allaient suivre aller être si terribles que je m'en souviens encore.
############################ FLASHBACK ############################
les trois amis venaient d'arriver au laboratoire, quelle ne fut pas leur surprise de se retrouver face à Jeremie et Aelita, Odd avait découvert les intentions de Jeremie et tous c'étaient rendu sur place pour les arrêter.
Sur les visages de Jeremie est Aelita on pouvait lire la stupéfaction de se retrouver face à leurs amis alors que sur ceux de Yumi Odd et Ulrich étaient affiché la plus grande consternation.
Ces derniers arrivaient pas à comprendre comment leurs deux amis avaient pu leur faire un coup pareil comment avaient-ils pu trahir le secret ?
Jeremie comment as-tu pu nous faire un coup pareil lui dit alors Ulrich.
Mais qu'est-ce que vous faites la demanda alors Jeremie
C'est moi qui posé la question en premier Jeremie comment as-tu pu nous faire ça répliqua alors aussi sèchement Ulrich.
Mais le petit génie ne voulut rien répondre, du moins il ne savait pas quoi répondre face à une telle question Aelita eut la meme réaction que lui, ils venaient d'être pris la main dans le sac, au yeux de leur amis les deux fautif avaient commis une véritable trahison.
Yumi : Jeremie je comprend pas ont s'étaient pourtant mis d'accord...Lyoko c'est fini.
Jeremie : je regrette mais je dois le faire.
Yumi : mais pourquoi ?
Jeremie : vous ne pourriez pas comprendre.
Yumi : ce que je comprend c'est que tu as trahis notre confiance et ça pourquoi ?
Jeremie : c'est compliqué a expliquer.
Sa tombe bien nous voudrions comprendre pourquoi tu fais ça lui lanças alors Yumi
Alors que le petit génie s'appretais à donner une réponse à ces amis ce fut Aelita qui le devança en lui coupant la parole.
Si il fait ça c'est pour moi dis alors Aelita
Pourquoi ? demanda yumi
Il le fait pour m'aider à retrouver ma mère fit alors la jeune fille aux cheveux roses.
Yumi : ta mère !!
Oui ma mère ... Anthea Hopper leur dit Aelita
Cette annonce consterna un peu le groupe qui s'attendait pas à une telle révélation de la part de Aelita, il faut dire qu'aux sujet de Aelita il ne savaient pas grand-chose de son passé ni même de sa famille si ce n'est que son père s'appelait en vérité Waldo "Franz" Schaefer et sa mère Anthea Hopper mais part sa rien d'autres n'avait jamais filtré sur la vie de Aelita.
Le peu qu'ils savaient il l'avaient appris dans le journal de Franz Hopper, ça ainsi que l'existence du mystérieux du projet Carthage que Franz avait essayé de détruire, il savait juste que sa mère avait été enlevé par les hommes noirs mais à part ça c'était vraiment tous
Tous ce qui concernait la mère de Aelita était un véritable mystère, il n'était pas difficile a comprendre que Aelita voulait la retrouver mais de la a rallumer le super-calculateur....
C'est dingue pourquoi vouloir rallumer cette machine demanda Yumi.
Parce que je souffre dit Aelita
Tu souffre fit Yumi
Oui je souffre vous ne savez pas ce que j'endure vous n'êtes pas à ma place leur lança la jeune fille.
Yumi : mais voyons Aelita se n'est pas de raison pour vouloir réactiver le super-calculateur. Vous n'en savez rien, mais regardez-vous tous leur dit Aelita d'un air accusateur
Aelita : regardez vous, vous avez tous un père, une mère, des frères ou des soeurs alors que moi je n'ai rien, tous ce que j'avais c'était mon père est maintenant il est mort, aujourd'hui le seul membre de la famille qui me reste peut être c'est ma mère.
Les motivations qui animaient Aelita était claire ,a la fin de son explication la jeune fille avait presque fondu en larmes, étrangement c'était un mélange de colères et de peines,elle avait exprimé le fond de sa pensée et cela était très inhabituels de sa part.
Cette souffrance Jeremie l'avait bien compris, il savait ce que ressentait véritablement Aelita, même si ces derniers temps il avait choisi de la tenir à distance il ne fallait pas croire qu'il est indifférent a sa souffrance bien au contraire voilà quelles étaient les vrai raisons qui avaient poussé Jeremie à vouloir rallumer le super-calculateur.
Ces derniers temps il avait fait des recherches pour retrouver la trace de Anthea Hopper
il avait ici à la manière la détective il a décidé de remonter la piste de Franz Hopper jusqu'aux début des années 90,
Pendant presque 13 ans les parent de Aelita s'étaient comportés comme des fugitifs et toutes traces officielles concernant Waldo Schaefer semblaient avoir disparu, la seule solution que Jeremie avait, c'était de fouiller dans les tréfonds du réseau là où certaines archives sont généralement cachées.
Il était parti sur la théorie que si effectivement se sont bien les services secrets qui c'étaient acharnés à poursuivre Franz Hopper et sa femme alors il devait existé quelques part une trace de ces opérations.
Malheureusement il c'était toujours heurtés à des sites sécurisés de la défense national qu'il ne pouvait pas craquer avec son ordinateur, pour réussir a passer les sécurités il avait besoin d'une puissance considérable et seul le super-calculateur lui donnerait le moyen de la faire.
En d'autres termes Jeremie s'apprêtait à faire de l'espionnage pur et simple mais pour réussir un tel coup d'éclat il lui fallait incontestablement une puissance informatique incommensurable et seul le super-calculateur lui en donnait les moyens, de plus grâce au retour vers le passé il lui serait possible d'effacer toute trace de ses activités d'espionnage.
Ce qui voulait dire qu'il pourrait en toute tranquillité investir un système sécurisé en recueillir les informations les stocker sur le super-calculateur puis lancé le retour dans le passé,comme sa personne ne saurait jamais ce qu'il avait fait.
Bien sûr il savait très bien que ce qu'ils s'apprêtaient à faire était illégal mais finalement combien de fois en avait-il transgressé la loi et les règles pour sauver le monde
En se qui concernais Aelita Jeremie n'avait pas de cas de conscience
Même si c'était pour de bonnes raisons il avait toujours agis dans la pure égalité ne serais-se quand falsifiant l'identité d'Aelita ou en détruisant des super-calculateurs à travers le monde ou encore en mettant en danger la vie de nombreuses personnes et tout ça dans le plus grand secret.
Cette même politique du secret Jeremie s'apprêtais encore a l'appliquer, mais cette fois-ci le secret concernait ces propre amis, il avait voulu les tenir en dehors de toute cette histoire.
Mais si les raisons qui poussaient Jeremie a aider Aelita étaient parfaitement compréhensible il n'en demeurait pas moins que tous avaient pourtant juré de ne plus jamais rallumer le super-calculateur.
Puisque maintenant le secret de Jeremie n'en était plus un et que tout avait été remis en cause il fallait maintenant que la situation se débloque.
Et pourquoi ne nous a tu rein dit on aurait pus comprendre lui reprocha alors yumi
Et quel aurait été votre réaction, hien !! vous croyez que vous auriez été d'accord leur répondit le petit génie.
Odd : mais c'est pas sympa .
Ulrich : tu te rend que ce que tu a fait est une véritable trahison envers nous, nous tes amis, tu n'as pas eut confiance en nous
Ce n'est pas sa leur fit le petit génie
C'est quoi alors demanda yumi
Jeremie : je ne voulais pas vous impliquer dans cette histoire car j'étais sûr que vous auriez voulu m'en dissuader est de ce côté là je n'avais pas totalement tort ,voyez votre réaction
Jeremie se posait comme une accusateur maintenant, il savait très bien que ses amis n'auraient jamais accepté que l'on rallume de cette façon le super calculateur, leur réticence n'était pas compliqué a deviner, il craignais tous ce qui pourrais arriver si jamais sa se faisait
Le retour de Xana
Mais que pouvait il arriver, il n'y avait plus de danger à rallumer cette machine puisque Xana était mort, cela constituait un argument imparable mais ils ne pouvaient oublié l'incident avec Sissi car si quelqu'un d'autres venait à découvrir cette installation il pourrait y avoir du grabuge
Mais Jeremie voulu les rassurer en leur expliquant qu'il avait pris tous les précaution qu'il fallait ,son plan était simple il voulait effectuer toutes les recherches en une seule journée.
Jeremie Je peux effectuer toutes les recherches dont j'ai besoin en une seule journée
Yumi : en une seule journée !!
Jeremie oui grâce au retour vers le passé je pourrais prolonger le mardi comme ça pas de risque
Yumi : et après...
Jeremie : si je trouve les infos donc j'ai besoin nous pourrons éteindre cette machine le jour meme, et comme demain nous n'avons pas cours puisque nous sommes en pleine semaine de révision nous ne risquons pas d'attirer l'attention par notre absence.
Yumi : tu est sur de toi ?
Jeremie : absolument mais pour ça j'ai besoin de votre collaboration
Yumi : pourquoi ?
Jeremie pour réussir l'opération on doit accéder au réseau depuis une tour de passage que je dois activer ce qui veut dire que Aelita va devoir retourner sur Lyoko.
Yumi : c'est indispensable
Jeremie : vital meme.
Yumi : ce serait pas dangereux de l'envoyer toute seule
Jeremie : pourquoi !! Xana est mort maintenant c'est pour ça que je compte sur votre collaboration.
ulrich: notre collaboration !!
Jeremie : oui car je compte sur vous pour la protéger.
Yumi : Protégez Aelita mais de quoi
Jeremie : de l' imprévu bien que je doute que quoi ce soit arrive.
Ulrich : tu crois ça et si Xana avait survécu est que cette Reactivation lui profite
Jeremie : impossible il n'y a plus aucune trace de lui sur le réseau j'ai vérifier durant ces trois derniers mois.
Odd : sa veut pas dire qu'il ne se cache pas dans le réseau.
Jeremie : impossible je vous dit... et meme si le dernier réplika a mis plus de temps à se détruire que les autres il n'as pas put trouvé refuge ailleurs, dont maintenant quel est votre décision à tous.
C'est alors que tous se regardèrent entre eux à chercher une réponse maintenant il fallait voter , il fallait savoir qui serait pour ou contre la réactivation du super-calculateur Jeremie et Aelita était d'accord pour ne pas agir sans le soutien de leur amis, mais le choix qui allait être fais serait démocratique seul la majorité ferait foi,il était cinq a voter donc le résultat serait alors celui du plus grand nombre, et cette fois ci pas de billet se serais un vote a voix haute et chacun a sont tour.
Bien évidement Jeremie et Aelita était pour, restaient a savoir ce que leur amis allaient décider,le premier qui fut à donner une réponse fut Odd
Je vote contre dit alors Odd à cet instant.
Cette cette réponse surprit tout le monde, Odd qui d'habitude été si enclin à partir sur ce genre d'aventure semble complètement opposé à cette histoire, mais sa decision était prise et il n'allait pas revenir sur son choix.
Pourquoi et tu contre demanda alors Aelita a Odd
Parce que c'est trop dangereux et se sera tous ce que j'ai a ajouter lui répondit Odd.
Puisque Odd avait choisi personne ne pouvait critiquer sa décision, Aelita pris mal le choix du jeune félin, elle ne parvenait pas a comprendre pourquoi Odd lui faisait un coup pareil alors que ce derniers lui avait pourtant jurer dans le couloir de l internat qui la protégerait toujour et qu'a ces yeux elle était pour lui une petite soeur, dans le fond était ce pour la protéger qu'il faisait ça ? ,mais Aelita n'eut pas le temps d approfondir sa réflexion a son tour Ulrich vota
A ce moment-là Ulrich regarda Yumi puis il se tourna vers Aelita un instant avant de poser son regard sur la machine, il semblait perdu dans ces pensée jusqu'à ce que Jeremie lui demanda quel était son choix, la réponse de Ulrich fut quasiment immédiate.
je suis également contre la réactivation du super-calculateur dis alors le jeune homme avec détermination.
Nouveau coup de théâtre Ulrich venait clairement de s'opposer à ce que le super-calculateur soit réactivé évidemment il fallait qu'il explique ces raisons mais comme a son habitude il ne voulu pas se justifier,mais ce força quand meme a donner une explication
Ulrich : la vérité c'est que notre vie de Lyoko -guerrier nous a déjà pris une bonne partie de notre d'adolescente, je ne peux plus continuer, je suis fatigué et c'est tout ce que j'aurais à vous dire.
Facile de comprendre que Ulrich avait choisi de faire une croix sur sa vie de Lyoko guerrier pour mener une vie plus studieuse que celle qu'il avait avant, pourtant une personne compris qu'il y avait autre chose derrière ce refus, Odd savait parfaitement que les paroles que venait de prononcer son ami était fausse, il se doutait bien que dans le fond Ulrich agissait par égoïsme, un égoïsme motivée par une raison qui s'appelait... Yumi.
A présent tous les regards se tournèrent vers Yumi ,la pression était énorme pour la jeune fille,elle devait départagée les votants désormais tous reposait sur elle, le choix qu'elle allait faire ferait pencher la balance en faveur ou en défaveur de l'un des deux groupes dissident
Yumi était elle meme partagé dans ces pensées le conflit qui habitait son coeur et son esprit semblait insoluble.
Entre sentiments et raison que choisir ? se demanda t'elle.
Elle regarda Ulrich dans l'espoir de trouver une reponse dans ces yeux ,mais rein le vide ,le jeune garçons était impassible , faute de quoi yumi ne pouvait y trouver un réconfort quelconque,elle se tourna alors vers Aelita et la regarda longuement celle-ci avait un regard désespéré et ses yeux semblait pleins d'attente, Yumi compatissait a la souffrance de Aelita et comprenais parfaitement se que la jeune fille ressentait.
La solitude un sentiment qu'avait trop bien connu Yumi avant de rencontrer ces amis
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La solitude un sentiment horrible
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La solitude qui habitait le coeur de Aelita et qui la faisait souffrir
Aelita était la seule amie qu'elle n'avait jamais eue et elle souffrait cela yumi ne pouvait l'accepter,on ne saura jamais vraiment ce qui a put passer par la tête de Yumi à cet instant, elle ferma les yeux serra les dents et les poings et baissa la tête, elle semblait résigner
tous son corp tremblait car en elle le terrible conflit qui avait éclater entre sa raisons et ces sentiments venait de trouver son dénouements elle donna alors sa réponse à la surprise générale.
"Je suis pour"
Tous le monde fut stupéfait, tous sans exceptions s'attendais a ce que yumi dise non,mais nul ne put prévoir un telle revirement de situation de la part de la jeune asiatique
honteuse Yumi jeta un regard à Ulrich, elle vit lors que chez le garçon une forme d'incompréhension c'était dessinée sur son visage yumi ne voulu pas en voir plus,Ulrich ne comprenait pas comment avait-elle pu dire oui ?
Cette question tous le monde se la posa, mais quoi qu'il devait arriver la décision de yumi était irrévocable, désormais le sort en était jeté, le super calculateur allait être réactiver le jour même
Mais si cela pouvait paraître assez extraordinaire un autre problème venait de se poser car il existait ailleurs une autre personne qui devait être mise au courant.
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Il s'agissait de William Dumbar.
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Devait-il prévenir William de ce qu'ils avaient l'intention de faire, fallait-il le mettre dans la confidence ?
la seule personne qui s'exprimer ce moment-là de façons claire et sans hésitation fut Yumi
Yumi : Il n'en est pas question !!! il ne doit pas être au courant de ce que nous avons fait pour lui nous avons tourné la page, Lyoko pour lui c'est fini.
De toute évidence il fallait croire que Yumi était toujours en colère contre William ou peut-être y avait elle quelque part une autre raison de ne pas vouloir le mellée a sa quoi qu'il en soit il fut décider que William ne serait pas mis au courant.
Bon et bien que je vois que tout le monde a décidé par conséquent il me reste plus qu'une seule chose a faire leur dit Jeremie à cet instant
Il n'était pas compliqué de deviner ce que Jeremie allait faire, sans plus tarder il se dirigèrent tous dans la salle du super-calculateur, quand la porte du monte-charge s'ouvrit la machine émergea à nouveau du sol ou elle devait reposer pour l'éternité, les quatre adolescents restèrent en arrière pendant que Jeremie s'approcha de la sinistre machine celui-ci s'avança près du panneau de contrôle et appuya sur un bouton , un panneau s ouvrit et le levier fit son apparition Jérémie posa alors sa main sur la poignée à cet instant il eut un grand moment d'hésitation sur ce qu'il s'apprêtait à faire
Sans le savoir une fois qu'il aurait relevée la manette Jeremie allait bouleverser le destin à tout jamais de ses amis ce fut avec la même expiration qu'il avait jadis utilisée pour le désactiver qu'il releva à ce moment-là la manette.
CLAC
à cet instant un grand vrombissement se fit entendre venant de la machine toutes les séquences matérielle du super-calculateur se remirent en marche et le monde virtuel que l'on croyait disparu pour toujours revint à la vie.
En remontant au laboratoire Jeremie s'assit alors sur le fauteuil, la place qui lui avait toujours été réservée , il commença à rentrer toute une série d'opération pour contrôler l'état du système, le super-calculateur semblait parfaitement fonctionnel et Lyoko était réapparu dans ces moindres détails.
Mais avant de procéder à un quelconque retour sur Lyoko il devait lancer toute une batterie de tests afin de s'assurer que cette période de sommeil n'avait pas été néfaste ,maintenant Jeremie devait laisser tourner la machine toute la nuit afin d'effectuer toute une série de calculs,leur présence n'étant plus nécessaire il décidèrent de tous retourner au collège, il allait bientôt être 17 heures et les cours était théoriquement finis et tous devait réintégrer leur chambre alors qu'ils étaient tous sur le pont un des d'adolescente semblait un peu à la traîne,il avait la tête baissé et les mains dans les poches, c'était Ulrich qui semblait soucieux cela ne manqua pas d'attirer l'attention de Yumi qui demanda de autres de partirent devant
Les autres partirent sans se faire prier comprenant que ces deux la avait quelque chose a se dire une foi que ces amis eurent emprunter le passage des égout la japonaise s'en alla trouver Ulrich qui c'était arrêter sur le rebord du pont,ce dernier regardait le fleuve et semblait complètement happé par ces pensées
Et bien que se passe t'il demanda Yumi
mais le samourai ne répondit rein celui semblait vouloir ignorer l présence de Yumi qui n' apprécia pas l' attitude de Ulrich a son égard
Eh !! je te parle fit elle en insistant
Quand le jeune homme se décida a lui répondre sa réponse fut assez sec
tu me pose la question lui fit Ulrich
De quoi fit Yumi.
Pourquoi t'as fais ça lui demanda Ulrich
Se fut au tour de la japonaise de se terrer dans le silence ,elle mene ne savait pas vraiment pourquoi elle avait dit oui, alors que aujourd'hui aurait du être un grand jour voila que tu venais d'etre remis en cause, sans le savoir chacun nourrissait le meme regret, mais aucun ne trouva le courage de l'avouer.
Ulrich : j'avais quelque chose à te dire mais je vois que maintenant ce n'est pas la peine
Yumi : je suis désolé la situation est compliqué.
Ulrich : pourquoi tu as voulu mettre ça entre nous ..
Yumi : Je crois que je n'ai pas à me justifier devant toi
c'est ça oui fit Ulrich
Yumi : si c'est tous ce que tu as me dire autant finir cette discutions.
Quel discutions on n'as meme pas commencer lui dit Ulrich
Yumi ne voulut pas répondre, une nouvelle dispute avait semblent il éclatées entre eux, alors que pourtant cette journée aurait dû être une journée merveilleuse pour les deux amis, Yumi tourna le dos et partit sans prendre la peine de dire au revoir a Ulrich.
Ulrich a son tour se tourna en direction de l'usine avait le regard froid quelque part il nourrissait un certain sentiment de colère envers yumi qui avait décider de rallumer de super-calculateur et de ce faite avait tous gâcher entre eux
Encore une fois Lyoko se mettait entre elle et lui pensât il a ce moment.
Le soir venu au réfectoire l'ambiance n'était pas tellement festive entre le groupe de Jeremie et Aelita et celui de Odd et Ulrich, chacun avait décider de faire table à part, pourtant au fil du temps chacun de deux garçons avaient finalement accepté l'idée de retourner sur les Lyoko mêmes s'il avait émis une certaine réticence a cela tandis que Jeremie se perdait en discutions technique avec Aelita sur la façons donc il allaient recueillir des informations sur sa mère
Et comment vas tu faire lui demanda Aelita
Jeremie simple : j'ai lancé ce soir un programme de recherche pour collecter des données.
Aelita : est après
Jeremie après se sera a toi de faire le plus gros du travail
Aelita : je sais mais en se moment j'ai beaucoup de choses à faire, d'ici une semaine nous allons passer notre brevet
Jeremie : ne t'en fait pas pour ça pour toi et moi c'est dans la poche y'a aucun problème
Jeremie se montra très rassurant dans ces propos lui est Aelita figuraient parmi les deux meilleur élèves du collège, leur examen de fin d'années leur étaient comme qui dirais acquis, par la suite il continua a expliquer a aelita la nature des operation que celle ci devrait effectuer.
Sitôt le planning de la journée de demain établis tout le monde alla se coucher afin de se préparer physiquement a la journée de demain, cette nuit tous le monde dormi plus au moins bien si Odd dormi comme un loir les autres avait des pensée assez agité
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Jeremie ne pouvait pas s'empêcher de réfléchir aux procédure qu'il devrait employer pour mener a bien les recherches
--
Ulrich lui ne pouvait pas s'empêcher a la dispute qu'il venait d'avoir avec yumi sur le pont, de son cote la jeune japonaise en avait autant a son sujet.
--
Quand Aelita ,elle ne pouvait pas s'empêcher de a la perspective de retrouver a mère
--
Cette nuit tous le monde ne pus s empêcher de penser a la journée de demain ,mais le sommeil fut plus fort que tous et tour a tour il finirent par s'endormir.
Dans le laboratoire le super calculateur continuait son auto diagnostique sans le moindre problème, tous le paramétrages du système était fonctionnel et rein n'allait s'opposer a ce que les lyoko-guerriers reviennent dans ce monde
C'est alors qu'un phénomène étrange se produisit, un des programmes de Jeremie qui était en veille et se mit alors à fonctionner
Il s'agissait du radar celui-ci venait de capter une étrange émission en provenance de la mer numérique
C'est alors qu'une masse de lumière émergea de celle-ci et commença à monter à la surface des territoires de Lyoko sans plus attendre celle-ci commença à émettre des faisceaux de lumière qui balayèrent chacun des plateaux qui était sa porté,cette mystérieuse masse lumineuse commença alors à se rendre de territoire en territoire sans que qui que ce soit ne puisse détecter sa présence, elle finit par arriver dans le cinquième territoire, elle fit alors le tour de la sphère principale, après plusieurs tours elle finit par s'engouffrer dans la salle du coeur de Lyoko et y resta toutes la nuit.
chapitre 17 cauchemars
17 septembre 2005
Voilà docteur c'est fait dit alors de Maeva en tendant le livre au docteur
Dr : quoi !! tu as déjà fini l'ouvrage que je t'ai donné à lire hier
Maeva : oui Docteur j'y est passé toute la nuit mais j'ai fini de le lire.
Dr : c'est incroyable je n'arrive pas à y croire
Et pourtant c'est vrai fit Maeva
Dr : tu as vraiment lu les 800 pages du livres en une nuit !
Maeva : 802 pages docteur il faut aussi compter la préface
Dr : et tu as retenu tout ce qui était marqué dessus
Maeva : je pourrais vous le réciter par coeur si vous me le demandiez
Dr : sa ne sera pas nécessaire je te crois sur parole
Pour permettre a Maeva de comprendre et d'interpréter ces rêves le docteur lui avait donné un ouvrage sur l'interprétation des rêves, pourtant ce traité de psychologie représentait un pavé assez important à lire et il semblait qu'en une seule soirée Maeva avait lu et retenu l'intégralité du livre.
En temps normal n'importe qui pourrait crier a la fumisterie ou à l'imposture de la part de la jeune fille mais le docteur savait très bien qu'il n'en était rien il connaissait bien les capacités et les aptitudes de sa patiente et savait que celle-ci ne se serait pas amusée à tricher ou même à lui mentir
Dr : et cet ouvrage t'a-t-il aidé à faire la part des choses ?
Maeva : il a donné une autre approche de ce que pourrait être mon existence
Dr : a ce point la ?!
Maeva : cela se pourrait docteur, les trois derniers jours que j'ai passés à l'hôpital m'ont permis d'établir une théorie sur mon propre cas
Dr : une théorie sur quoi.
Maeva : sur le fameux miroir sans reflets que je vois dans mes rêves
Dr : le fameux miroir
Pendant ces trois derniers jours de réflexion Maeva avait commencé à établir une théorie sur son propre cas et après avoir lut ce livre ces propre doute c'était confirmer et elle voulait en faire part au docteur.
Maeva : comme indiqué dans le livre j'ai procéder a une sorte d'auto analyse de moi-même
Dr : donc que peux-tu me dire sur ce miroir
Maeva : dans le livre des rêves il est dit que la représentation d'un miroir peut avoir deux signification.
Dr : lesquels ?
Maeva : la première est une vision de sa propre personnalité, ce qui veut dire que dans le miroir on se voit telle qu'on est réellement, l'image qu'on a alors en face de nous et celle de notre véritable personnalité et parfois on refuse de la voir parce que le reflet ne correspond pas forcément a l'idée que l'on peut se faire de soi-même.
Dr : oui mais dans ton cas à toi tu n'as pas de reflet
Maeva : oui justement et je vais y revenir après
Dr : et la deuxième interprétation.
Maeva : la deuxième approche du miroir est celle du passage
Dr : le passage !
Maeva : oui ce que l'on appelle le syndrome d'Alice au pays les merveilles,dès lors le miroir ne se comporte plus comme l'objet qui renvoie une image mais comme celle d'une porte d'entrée donnant un accès a un autre état de la conscience
Dr : d'où la notion de passage.
Maeva : puisque dans mes rêves je franchis le miroir pour aller de l'autre côté et vous savez où cela m'amène
Dr : Dans le monde de Lyoko.
Maeva : exact dans le monde de Lyoko
Dr : ton miroir serais un porte alors
Maeva : peut être, mais vous savez qu'à l'inverse depuis ce monde j'ai un reflet dans le miroir
Dr : celle de cette fille aux cheveux roses qui te ressemblent
Maeva : cette fille aux cheveux roses qui apparemment serait mon passé.
Dr : cette fille serait donc t'as véritable identité.
Maeva : mais le problème c'est que ça ne colle pas à cause de la couleur de mes cheveux.
Dr : oui mais c'est un rêve c'est peut-être une vision de toi que tu as idéalisée.
Maeva : en tout cas un chose est sur cette fille me ressemble énormément comme deux gouttes d'eau ,pourtant quelque part je me sens très différente d'elle.
La vision de la jeune fille que Maeva avait, était pour le moins étrange elle se sentait très proche d'elle car physiquement elle lui ressemblait, malgres cette ressemblance il y avait comme un mur entre elle comme si quelque chose séparait leurs deux existences
Se pouvait il que le miroir soit une séparation ? une sorte de mur infranchissable serait-ce la le secret Lyoko, une existence partagé entre deux réalité par un miroir cela aurait été une bonne explication pour définir l'état de trouble de Maeva mais il apparaissait que c'était bien plus complexe que ça en vérité.
Dr : donc selon toi laquelle des deux théorie s'applique a toi ?
Maeva : il n'y a pas de choix à faire docteur car en vérité ce sont les deux
Dr : les deux
Maeva : oui Docteur je crois que les deux explications se valent pour expliquer mon cas et même cela va bien plus loin encore.
Dr : que veux tu dire
Maeva : je ne veux pas jouer la psychologue Docteur mais si on considère que le miroir est un passage et qu'il ne reflète que l'image de moi que je veux bien voir on peut en conclure que...
Dr :...que l'absence de reflet serait une partie de toi que tu ne veux pas voir
Maeva : ou bien une partie de moi que j'ai oublié.
Dr : cette absence se serait dont la représentation de ton amnésie.
Maeva : est elle constitue mon passé.
Dr : admettons alors mais se serait quelle partie de ton passé puisque nous ignorons tout de celui-ci ?
Maeva : c'est bien la le problème mais si on admet que je suis cette fille aux cheveux roses j'ai forcément dut rencontrer des gens et je devrais m'en souvenir.
Dr : le fameux garçon blond que tu ne vois que de dos ou encore les deux noms sur lesquels tu n'arrive pas à mettre de visage
Maeva : Mr Xana et Sissi..
Dr : qui sont-ils pour toi ?
Maeva : je n'en sais rien je n'ai pas d'émotion particulière à l'évocation de leurs noms, j'ai seulement des impressions.
Dr : quels genre d' impressions.
Maeva : c'est assez confus, je suis partager entre attirance et répulsion, c'est étrange
Dr : en effet et ce n'est pas la première fois qu'une telle ambivalence ce produit chez toi
Maeva :oui docteur il y a aussi les autres.
Les autres Maeva les avait évoqué au docteur que aujourd'hui, les autres ils étaient apparu dans le dernier rêve qu'elle avait fait lors de l'incident du musée elle avait tellement été en colère contre le docteur qu'elle avait complètement omis de lui parler de ces nouvelles apparitions.
Maeva : je m'excuse Docteur de ne pas vous en avoir pas parlé plus tôt
Dr : tu aurais dû c'est peut-être des détails très importants
Maeva : avec l'accident du musée et tous ce qui s'est passé par la suite j'ai été un peu perturbé cette épreuve a été particulièrement éprouvantes de plus j'étais tellement en colère contre vos que j'avais pas envie de vous en parlez
Dr : je peux te comprendre mais maintenant qu'en est-il
Maeva : j'ai également réfléchi à la nature de ces nouvelles apparitions et...
Dr : et ...
Maeva : ces nouvelles apparitions sont comme les autres elle ont voulu me tuer
Dr : encore
Maeva : mais elles n'étaient pas seule il y avait quelqu'un d'autre qui voulait les aider
Dr : et qui est sa personne.
Maeva aurait voulu éviter d'aborder le sujet mais il fallait quand même que le docteur sache ce qui c'était passé dans ce rêve, meme si cette aveux était difficile a faire Maeva se lança.
Maeva : la personne qui voulait me tuer c'était...
Dr : c'était...
c'était... vous fit alors Maeva
Dr : quoi !!!
Maeva : oui docteur dans mon rêve je vous ai vu et vous avez voulu me tuer.
Le docteur était sous le choc a cause de la révélation que venait de lui faire Maeva comment avait-elle pu imaginer une chose aussi horrible ?
Bien sûre Maeva lui expliqua que l'image qu'elle avait eue de lui-même n'avait pas agi directement contre elle, mais elle avait juste ressentit chez lui se désir de mort.
Cette représentation du docteur était similaire aux autres ce qui signifiait peut-être que le docteur nourrissait les mêmes attentions que ces jeunes gens
Maeva fit alors le récit de son rêve en décrivant les personnes quelle y avait vu et ce qui s'y était passé.
Maeva donna au docteur une description assez précise du physique de ces adolescents mystérieux qui n'avait pas de visage.
Cela avait dut être effrayant pour Maeva que d'être confronte a de telle créatures, mais que cela pouvait il bien signifier, pourquoi Maeva ne côtoyait telle que des gens pleins de haine pour elle.
Dr : donc si je comprends bien nous aurions affaire à quatre d'adolescents
Maeva : cinq en faites docteur
Dr : cinq !!
Maeva : je suis catégorique à ce sujet il y avait une cinquième personne puisque c'est elle qui m'a maintenu la tête.
Dr : et toutes ces personnes te voulaient du mal.
Maeva : je n'en suis pas sûr en fait
Dr : que veux tu dire !
Maeva : je crois qu'en vérité ces personnes me voulaient du bien
Affirmation pour le moins étrange de la part de Maeva, alors que dans ces rêves les représentation des personnes lui avait toujour sembler hostiles ,Maeva ne semblait pas d'accord avec ça, comment pouvait elle soudainement penser le contraire.
Comment peut tu croire qu'elle te veulent du bien lui demanda le docteur.
Maeva : j'ai rêvé que vous vouliez me tuer que vous vouliez me nuire alors que nous savons pertinemment tous les deux qu'il n'en est rien.
Dr : c'est vrai.
Maeva : jusqu'a présent toutes les personnes que je croisé dans mes cauchemars on toutes chercher à me tuer ou a me faire du mal et je commence à me demander si ceci ne serait pas une idée qu'on m'aurait "suggéré"
Dr : qu'est-ce que tu veux dire par idée "suggéré"
Maeva : je veux dire par là qu'une partie de moi essaie de me convaincre que ces personnes veulent du mal alors qu'il n'en est rien
Dr : et quelle partie de toi
Maeva : la partie de moi que je ne peux pas voir, la partie de moi que je ne veux pas voir.
Dr : le reflet invisible du miroir.
Maeva : cette partie de mon passé dont j'ignore tout
Dr : donc nous ignorons tous
Maeva : admettons que cette partie de moi et une influence plus grande qu'on ne le pense
Dr : quelle influence ?
Maeva : peut être qu'a cause d'elle je serais en train de subir une sorte d'inversion
Dr : une inversion ?!
Maeva : je crois qu'il serait temps pour nous Dr d'aborder le problème à l'envers
Dr : comment ça ?
Maeva : le miroir pourrait avoir pour moi un troisième sens
Dr : et que serait ce sens
Maeva : si il n'est pas qu'une partie de moi si il n'est pas un passage alors...
Dr : alors....
Maeva : cela voudrait dire que je suis le reflet du miroir
Dr : mais c'est impossible.
Maeva : je vous l'accorde docteur on ne peut pas être à la fois le modèle est le reflet.
Dr : je te l'accorde tu ne peux pas être et ne pas être en même temps
Maeva : c'est une citation de Shakespeare que vous nous faites la et vous savez très bien qu'on peut l'interpréter de bien des manières
Dr : et qu'elle serait ton interprétation à toi
Maeva : c'est très simple ne pouvant ne pas être les deux en même temps je suis peut-être aucun des deux.
Dr : ça voudrait dire que tu n'as pas d'existence
Maeva : ou alors que je n'ai jamais existé.
Dr : oui mais là ce n'est pas possible physiquement tu existe
Maeva : il est vrai que je suis réel
Dr : dont forcément tu as eu à une vie, tu n'est pas arrivé à ton âge sans avoir vécu.
Maeva : des fois je vous avoue que j'ai des doutes sur mon existence
Dr : que veut tu dire
Maeva : sincèrement docteur vous savez bien que je ne suis pas quelqu'un de normal, vous avez vu la couleur de mes cheveux vous n'allez pas me dire que ce naturel
Dr : et bien c'est que....
Maeva : vous en connaissez beaucoup vous des adolescentes qui sont nés avec des cheveux bleus.
Dr : pas vraiment
Maeva : et toute cette espèce "d'électronique" que j'ai dans mon corp vous pouvez me dire d'où ça vient.
Dr : la non plus je n'est pas de réponse.
Maeva : qui suis-je ? d'où viens-je ? et qu'est-ce qu'on m'a fait ? voilà les trois seules questions qui me concerne
Les question existentiel de Maeva était toujours présente chez la jeune fille et plus que jamais Maeva mettait en doute son existence mais jamais jusqu'à aujourd'hui cela n'avait pris une telle ampleur
Des fois je ne me sens pas humaine, je n'en suis peut-être pas une finalement fit Maeva.
Dr : eh bien je trouve que tu en as mis du temps avant de te rendre compte.
Pourquoi dit vous ça docteur demanda Maeva qui fit très surprise par la réponse soudaine de ce dernier.
Dr : voyons je t'en prie ne te fait pas plus idiote que tu ne l'est.
à cet instant le docteur se leva et se dirigea vers Maeva pour lui saisir le poignet,la jeune fut transis par le comportement de ce dernier, sa poigne était forte et la pression qu'il exercerait sur Maeva faisait souffrir la jeune fille.
Maeva : arrêtez docteur vous me faites mal
Dr : en comparaison de tout le mal que tu as fait c'est peu de chose....
le docteur commença à traîner de force Maeva dans un endroit précis celle-ci ne comprenant pas ce qu'il se passait essaya de résister
Lâchez-moi docteur lâchez-moi dit-elle à cet instant précis
Mais le docteur semblait complètement sourd à ces suppliques alors comme mué par un réflexe d'auto défense Maeva se mit à lui mordre le poignet,à cet instant l'homme s'arrêta mais ne sembla pas bronché par rapport à la douleur qu'était en train de lui infliger Maeva, il va se tourna alors vers elle pour la dévisager ce que Maeva vit à cet instant-là la glaça d'effroi, les pupilles du docteur avaient disparu celle-ci avaient été remplacées par un curieux symbole.
Effrayer mais pas déstabiliser Maeva réussi à se libérer de l'emprise du docteur qui semblait comme posséder alors que Maeva se reculais le docteur lui souriait.
Mais qui êtes vous à la fin lui demanda alors la jeune fille
Dr : pourquoi poses-tu donc une question donc tu connais la réponse..
quel réponse lui demanda la jeune fille.
Dr : tu sait qui je suis et ce que je veux
Maeva : je ne sais pas qui vous êtes ni se que vous me voulez mais....
Dr : réfléchis voyons...
Maeva : que voulez vous de moi ?
Dr : je veux ton âme, ton existence ,ton corp,tous ton être....car il me revient de droit... je suis....
Mais le sceptre ne finis pas sa phrase,lui et tous le décor qui entourait commença disparaître sous les yeux de Maeva c'est alors Maeva se retrouva dans un endroit qu'elle ne connaissait pas,cette pièce étrange étaient toute blanche en regardant autour d'elle Maeva vit qu'il y avaient des machines qui côtoyaient d'énormes tubes en verre.
C'est alors qu'une femme asiatique avec des lunettes fit son apparition celle-ci portait une blouses blanches est semblait observer Maeva avec beaucoup d'attention.
Je vois que tu te déplaces toute seule c'est très bien fit alors la femme en s'adressant a Maeva.
Qui était donc cette femme qui semblait s'adresser à elle, Maeva aurait voulu lui poser la question mais comme a son habitude elle ne pouvait rien faire d'autre qu'observé ce qui se passait.
Encore une fois son corps ne voulait pas lui obéir, il semblait évident qu'elle revivait une scène qu'elle avait déjà vécue c'est alors que la femme s'adressa à Maeva en des termes pour le moins étrange.
Allez NX 4321 vient voir par ici s'il te plaît fit la femme qui c'était agenouillé pour se mettre a la hauteur de Maeva.
Maeva ne pouvait rien faire pour s'empêcher d'avancer vers cette femme son corps refusait de lui obéir, alors quelle se rapprochait vers la femme qui l'attendais les bras ouvert son corp s'immobilisa soudainement.
Une main venait de se poser sur son épaule l'empêchant alors d'avancer plus loin c'est alors que devant les yeux de Maeva l'image de la femme deviens plus ou moins floues et soudainement une voix se fit entendre.
"Non Aelita n'y va pas c'est un piège si la méduse te capture .."#*&.. pourra s'emparer de ta mémoire il faut que tu restes ici" fit alors la voix.
le décor qui était apparu devant les yeux de Maeva commença a devenir flou puis il finit par s'estomper peu à peu pour laisser place à l'obscurité la plus totale, maintenant Maeva était libre de ses mouvements elle voulut se retourner pour voir d'où venait la voix qui l'avait interpellé mais rien... personne.... c'était le néant le plus total
il y a quelqu'un demanda alors Maeva.
Mais personne ne répondit Maeva semblait marcher au milieu de nulle part c'était le noir le plus total mais elle pouvait curieusement se voir elle-même, elle semblait lumineuse s'est alors que Maeva trébucha sur quelque chose et tomba au sol en relevant la tête elle vit qu'elle était arrivée dans un nouvel endroit au premier coup d'oeil il semblait s'agir d'une chambre et même pour être plus précis de la chambre d'une petite fille à en juger par la décoration et le rose omniprésent.
Quel était ce nouvel endroit ? Maeva se redressa sur ces jambes et explora du regard ce nouveau lieu, il y avait un lit posé contre le mur et une fenêtre qui donnait sur l'extérieur Maeva jeta un coup d'oeil à travers la fenêtre elle vit un petit jardin qui bordait une grande forêt son attention fut alors happé par un son curieux, en se concentrant davantage elle finit par reconnaître une petite mélodie.
Intrigué Maeva voulu savoir d'où venait se son,elle s'approcha de la porte et se retrouva dans un couloir c'est avec une grande prudence elle commença à déambuler au milieu de ce couloir ,elle arriva près d'un escalier visiblement la mélodie venait d'en bas tout aussi prudemment elle descendit les marches à sa gauche il y avait une sorte de cuisine mais la musique venait de sembler venir d'une pièce encore située à côté elle continue à s'avancer et finit par arriver dans une espèce de salon, la elle vit alors au fond de la pièce un homme plutôt mystérieux qui était en train de jouer du piano.
Maeva s'approcha de plus près de qui il s'agissait-elle prévoir cet homme que de dos à cet instant l'homme s'arrêta de jouer et se tourna alors vers la fille celle-ci fut surprise c'était un homme avec des lunettes rondes et une barbe grisonnante lui aussi était vêtus d'une blouse blanche, impassible l'homme se contenta seulement regarder la jeune fille.
Qui êtes vous demanda alors Maeva.
Tu ne me reconnais pas pourtant c'est moi fit l'homme.
Je ne vous connais pas fit Maeva
Mais moi je te connais et je sais tous de toi lui répondit l'homme.
vous connaissez tous de moi fit Maeva étonne
Bien sur après tous je suis ton #{|`^\@\<{~~###{{<......
Maeva ne parvint pas à comprendre ce que venait de lui dire l'homme à cet instant le son de sa voix était parfaitement inaudible, Maeva fut soudain prit d'un horrible mal de tête elle commença alors à se prendre la tête entre ses deux mains et commença à se mettre à genoux sur le sol une douleur lancinante lui martelait le crâne
A nouveau tous devin noir autour d'elle quand elle rouvrit les yeux la première chose qu'elle vit et c'était les pages d'un livre grandement ouvert devant elle.
Elle était maintenant assis sur une sorte de banc à lire un livre elle regarde alors autour d'elle à ce moment-là et vit qu'elle se trouvait au milieu d'une immense cour entourée de bâtiments assez anciens ou plusieurs jeunes enfants comme elle semblait discuter.
mais contrairement aux précédent rêve elle semblait complètement libre de ses mouvements elle commença à se regarder qu'elle était donc ces vêtements donc elle était affublée cette espèce de robe à bretelles, ces pontons et ses bottines roses et le livre qu'elle était en train de lire de quoi s'agissait-il ?
La langue ne lui était pas inconnu car c'était du français le contenu parlait de la photo-synthèse elle ferma le livre et le retourna pour voir ce qui était marqué sur la jaquette
"Biologie quatrième année"
C'était un livre de cour de biologie,apparemment Maeva était entrain d'en lire les pages au moment ou elle c'est réveiller dans cette endroit
Mais cette endroit qu'était il ?
Une école visiblement----
Mais quels école ? et ou était elle cette école ? et pourquoi Maeva si trouvait elle ?
Maeva compris que ce lieux comme tous les autres était forcement rattaché son passé et puisse qu'elle était libre de ces mouvements c'était le moment ou jamais d'en apprendre plus, il lui fallait mémoriser un maximum de détails qui l'entourait cela serais autant d'indices qui l'aiderais a percé se mystère, mais avant d'avoir pus faire quoi que se soit une voix l'interpella
Est bien alors princesse tu fais banc à part fit alors une voix
c'est alors que devant Maeva se dressa le mystérieux jeune homme violet qu'elle avait vu la première fois dans son cauchemar mais cette fois ci celui-ci avait un visage et qui puisait-il lui souriait.
Et bien que se passe-t-il tu cherches à nous éviter remarque ceci peut se comprendre lui fit le jeune homme
La aussi Maeva aurait bien voulu s'exprimer mais aucun son ne semblait vouloir s'échapper de sa bouche elle était de nouveau aphone est incapable de s'exprimer mais elle n'en avait pas spécialement l'occasion car c'était plutôt le jeune homme blond qui dominait la conversation
Regardez-moi ça elle sait toujours pas parlé fit le garçons blond a la mèche violet
Maeva: ...
Eh vous autres venez voir elle est toujours sans parole fit le garçons vêtu de violet
C'est alors que s' approchèrent un garçon et une jeune fille, plus exactement il s'agissait d'une asiatique vêtu de noir et d'un garçon habillé de façons militaire, les deux se mirent a coté du jeune garçon blond ,et la ils commencèrent tous a dévisager Maeva.
Pincez moi je rêve elle est encore vivante fit la jeune fille.
tu vois c'est ce qui arrive quand on bâcle le travail lui répondit le jeune blond.
Je vous assure on aurait dû l'a tuée d'une autre manière fit le jeune homme en tee shirt kaki
Et comment tu t'y serais pris gros malin lui fit le jeune blond
Avec mon sabre fit le garçons qui soudain avait en mains une arme blanche
cette vision et ces paroles effraya alors Maeva et le pire était encore venir car la jeune fille en noir proposa une autre solution
Je pourrais l'égorger avec mes éventails fit l' asiatique qui en tenait deux dans ces mains. Vous êtes complètement à côté de la plaque les gars il faut à transpercer a mort et la laisser se vider de son sang leur rétorqua le jeune blond.
Une dispute commença éclater entre les trois adolescents sur la manière de trucider Maeva, voulant profiter de l'occasion pour fuir,Maeva se leva mais elle fut stoppée dans sa course par le jeune homme blond qui venait de lui saisir les cheveux.
Eh princesse ou crois tu aller comme ça lui fit le jeune en la ramenant en arrière
Prisonnière Maeva voulut se débattre pour s'échapper mais avant d'avoir faire quelque chose le jeune garçons la jeta en direction de l'autre jeune homme celui-ci lui asséna un grand coup de poing dans le ventre sous l'effet du choc et de la douleur Maeva se plia en deux et tomba sur le sol.
Alors que Maeva était allongée sur le sol la jeune asiatique commença a s'approcher d'elle et lui donna un violent coup de pied en prenant soin de bien viser les cotes de Maeva la douleur que cette dernières ressentis à ce moment-là étaient très intenses, toussant et se tenant le flan Maeva était dans l'incapacité de se défendre face ces agresseur qui maintenant l'entourait
Joli tacle tu devrais faire du football lui fit alors le garçon en tenue militaire
Désole je n'aime pas les activités rustre des hommes de plus les femmes ont besoin d'un traitement plus raffiné lui répondit la fille.
bon qu'est ce qu'on fait de ça leur demanda le jeune blond en parlant de Maeva couché sur le sol.
on la brûler fit le garçons
On la noye fit la fille
et si on électrocutait leur proposa alors le jeune garçon blond
bonne idée fit la fille
C'est alors que tous se tournèrent vers Maeva qui avait puis reprendre son souffle, tour a tour a la manière d'un peloton d'exécution ils tendirent leurs mains en direction de Maeva, dans leur yeux les pupilles avait disparu pour faire encore une fois place a se mystérieux symbole
C'est alors qu'un jeune homme qui son apparition et s'interposa entre eux est Maeva
C'est pas bientôt finis vos histoires vous voulez toujours lui nuire fit alors le jeune homme.
Couché sur le sol Maeva releva la tête et vit alors de dos un garçon qu'elle n'avait encore jamais vu, celui-ci portait un Jean bleu est une sorte de tee-shirt noir et rouge ses cheveux noir étaient coupés très courts
Décidément il faudra toujours que tu interposée entre nous et elle fit la jeune fille
Tant que je serais vivant vous ne la toucherez pas lui répondit le garçon
Toi et l'autre vous êtes pareil vous chercherez toujours à la protégée lui lança le jeune blond
Je ne peux pas laisser des espèces sadiques comme vous lui faire du mal dit le garçons a la carrure athlétique.
de toute façons ça ne change rien, regarde elle est entrain de mourir fit la fille.
Le corps de Maeva était entrain de s'enfoncer dans le sol,celui-ci était devenu une sorte de sable mouvant, Maeva voulu se débattre mais rien à y faire elle fut complètement engloutis par le sol.
C'est alors que Maeva poussa un énorme cri d'effroi et se réveilla au plein milieu de la nuit paniqué ,transpirante, elle regarda autour d'elle et vit qu'elle était de nouveau dans sa chambre, la chambre de la maison du docteur, sous le pas de la porte elle vit que la lumière du couloir s'alluma est si tôt après le docteur fit son entrée dans la pièce
Qu'est-ce qui se passe mal lui demanda le docteur
Mais la jeune fille était complètement prostrées elle venait de vivre est un horrible cauchemar et Maeva n'était plus sûre de ce qui était vrai de ce qui était faux, elle venait de s'immergé dans un monde où la souffrance était plus que réel,le docteur la pris dans ces bras pour la rassurer.
Blottis dans les bras du docteur Maeva ne bougea plus,cette douce chaleur que Maeva éprouva la réconforta , il n'y avait que dans les bras du docteur qu'elle se sentais bien.
la psychanalyse du jour , ces théories sur le miroir, tous ce qu'elle avait vécu aujourd'hui avait tourné au cauchemar dans son sommeil et meme si cela pouvait encore paraître effrayant il y n'avait plus de doute à avoir pour le docteur sa mémoire lui revenait, les événements se précipitait chaque jour et le flou qui entourait certaines situation s'estompait de plus en plus
Maeva était sur la bonne voie et mais un doute subsistait chez la jeune fille.
Ou cette voie allait elle la mener ?
chapitre 17 le retour de W
Hôtel Milton - 14 octobre 2004 - 12 h 30
"Est bien qu'attendez vous pour décrocher qu'il vous envoie une invitations peut-être."
C Perec : un peu de patience major j'attend juste la huitième sonnerie.
Une nouvelle fois le mystérieux logo W. était apparu sur le portable du colonel,il s'apprêtait a lui répondre et cette fois-ci le major était présents au coté du colonel, celui avait monté le volume à fond et brancher le mode de micro il posa alors l'appareil sur la table lorsque le téléphone sonna pour la huitième fois le colonel décrocha
"Allô"
Colonel François Perec fit alors une voix métallique.
Qui le demande fit alors le colonel.
Colonel quand cesserez vous ce petit jeu avec moi,je sais très bien que c'est vous fit la voix.
Voyant qu'il ne pourrait pas tromper son interlocuteur le colonel décida alors au mépris du règlement de confirmer son identité.
C Perec : c'est bien moi
je le sais c'est pour ça que je vous appelle fit alors la voix.
C Perec : et vous vous êtes W. n'est-ce pas
W !! à ce que je vois vous n'avez pas perdu de temps pour me donner une identité lui dit la voix.
C Perec : nous n'avons pas vraiment le choix contenu que tous ce que nous savons de vous c'est mystérieux le W qui apparaît chaque fois mon portable.
W : Sa reste la seule façon que j'ai trouvée pour me manifester à vous,est bien soit appelez moi W cela facilitera les échanges
C Perec : et W pourriez vous me dire pour quels raison vous m'appellez cette fois
W : direct a ce que je vois, très militaire de votre part ceci dit
Sa se pourrait dit le colonel avec prudence
W : je suppose colonel que votre partenaire est à côté de vous en ce moment
Décidément le mystérieux W avait l'air parfaitement renseigné sur les agissements du colonel et du major, qui que soit cette personne elle semblait en savoir long sur cette affaire,cela ne manqua pas d'étonner le major qui se demandait qui avait bien pu les repérer.
W : est bien colonel je ne vous entends plus me serais-je trompé ?
Le colonel regarde le major il était hésitant à donner cette confirmation mais apparemment W. semblais bien renseigner il n'aurait servi à rien à ce moment-là de lui mentir ce fut même le major Cartwright et qui prit la parole pour confirmer sa présence
Il semblerait que l'on peut rien vous cacher W. dit-elle à cet instant
W : heureux de savoir que vous êtes parmi nous Madame.
C Perec : comment savez-vous que le major est avec moi
W : très simple je vous suis à la trace depuis votre départ de l'aéroport de Londres et ceci jusqu'à votre chambre 314 de l'hôtel Milton
C Perec : vous nous avez fait suivre ?
W : n'ont pas vraiment c'est moi qui vous est suivi.
C Perec : cela confirme ce que je pense vous nous espionnez.
W : disons plutôt que je garde un oeil attentif sur vous et vos agissements.
C Perec : cela voudrait dire que vous êtes dans le secteur
W : d'une certaine manière on pourrait dire ça.
il semblerait que les faits et gestes du colonel et major soit discrètement observés par une tierce personne mais encore il fallait savoir qu'elle était les intentions de cette personne vis-à -vis d'eux, par la suite ce fut W. qui commença à engager la conversation en donnant ses instructions.
W : colonel et major si ce n'est pas déjà fait je vous prierait de vous asseoir sur votre canapé
C Perec : tiens et pourquoi ça ?
W : car j'ai énormément d'informations à vous communiquer, veuillez donc vous asseoir se sera plus confortable pour vous.
Tous comme la première fois le colonel se confirma aux instructions que venait de lui donner W. il s'assit et invita le major en faire autant, le colonel se doutait qu'une foi encore il ne faudrait pas interrompre W. car il savait que celui-ci était très limité dans le temps ,écoutez était donc une priorité toutefois le colonel se risqua quand même a poser une petite question hasardeuse.
W : vous êtes bien assis
C Perec : oui ça va le canapé est confortable, toute de fois il semblerait que cette fois vous disposiez de plus de temps pour nous parler.
W : exact de colonel j'ai tous mon temps.
Y a-t-il une raison particulière à cela demanda le colonel
W : disons que nous avons la chance de nous trouver dans une zone géographique qui n'est pas encore tombée sous l'influence de notre "ennemi commun"
C Perec : notre ennemi commun ?!
W : ne jouez pas ce petit jeu là avec moi colonel vous et moi savons très bien de qui nous parlons.
Cela confirmait les doutes que le colonel avait déjà sur les agissements de W. apparemment celui-ci serait bien l' ennemis de l'organisation de Xana mais se refusant toujours à confirmer quoi que ce soit à son interlocuteur le colonel se contenta seulement d'employés les termes "ennemi commun"
C Perec : devons nous comprendre que vous et nous aurions le même ennemi
W : je vous l'ai déjà dit le colonel je suis votre allié
C Perec : pour un allié vous êtes plutôt du genre timoré et mêmes avares d'information
W : comprenez colonel pour des raisons de sécurité je ne peux pas vous révéler toute la vérité sans mettre votre vie en danger, moins vous en saurez plus vous aurez de chance de vous en sortir vivant.
C Perec : voilà une affirmation pour le moins curieuse.
W : croyez-moi colonel vous combattez un ennemi dont vous ne savez rien et dont la puissance dépasse tout ce que vous pouvez imaginer.
C Perec : personnellement je pense avoir une idée de ceux quoi notre ennemi commun est capable
W : vous faites sûrement références à l'incident de l'université de Londres
C Perec : précisément.
W : je veux pas vous effrayer mais ceci n'est qu'un petit aperçu de ce que notre ennemis est véritablement capable de faire.
C Perec : puisque j'ai vécu moi-même cette situation pouvez-vous me confirmer ce que notre ennemi a fait.
W : si vous parlez du fait qu'il est capable de prendre possession du corps des gens alors oui je vous le confirme.
j'en étais sur dit alors le colonel en se tournant vers le colonel major
Le major elle-même arrivait pas à croire ce que W. venait de dire, mais celui-civenait de confirmer que leur ennemis était bien capable de posséder des gens depuis un terminal d'ordinateur ce que le colonel lui avait dit était donc vrai, mais en bonne scientifique qu'elle était le major avait quand même beaucoup du mal à y croire tellement tous cela lui semblait tirés par les cheveux.
M Cartwright : une minute vous êtes sérieux quand vous dites ça.
W : absolument Madame je le suis.
Mademoiselle ou major s'il vous plaît reprit aussitôt le major.
Major si vous préféré répondit W.
M Cartwright : quoi qu'il en soit ce que vous dites là est scientifiquement impossibles
W : d'après ce que je sais vous êtes une scientifique.
M Cartwright : en effet je le suis.
W : est bien pardonnez-moi de vous dire ça mais pour une scientifique je trouve que vous manquez cruellement d'ouverture d'esprit.
A cette soudaine remarque de W le colonel se mit à rire, mais un rire étouffé qui n'échappa pas au major qui se mit à le regarder avec des éclairs dans les yeux ,pour une fois que quelqu'un remettait en place le major c'était un spectacle qui en valais le détour.
M Cartwright : je vous en prie colonel un peu de sérieux c'est grave ce qui se passe
Oui désolé Major s'est juste une réaction nerveuse de ma part fit le colonel
M Cartwright : pouvons nous continuer
Oui bien sur fit le colonel qui retrouva aussitôt son sérieux.
W : quoi qu'il en soit je vois que vous avez suivi la piste que je vous ai indiquée
C Perec : en parlant de cette piste pourriez-vous nous dire quel est le lien qui existe entre cette société est notre ennemi commun
W : la malheureusement colonel même moi je l'ignore.
C Perec : comment ça vous l'ignorez ?
W : je m'explique colonel je ne connais pas le lien réel qui existe entre cette société est notre ennemi.
C Perec : alors pourquoi nous avoir envoyé sur cette piste
W : tout simplement parce que s'il n'y a pas de lien direct entre notre ennemis et cette société sachez seulement que cette dernière est directement ou indirectement responsable de la propagation de notre ennemi
C Perec : que voulez-vous dire par propagation ?
W : j'entends par là qu'elle favorise le jeu de notre ennemi.
C Perec : pouvez vous préciser de quelle manière cette société contribue a aider notre ennemis.
W : vous aurez déjà compris que notre ennemis ne s'attaque qu'aux super calculateurs
C Perec : ça nous le savons déjÃ
W : çe que vous ne savez peut-être pas en faites c'est qu'il ne peut pas s'attaquer à n'importe quel type de super-calculateur, il est obligé de suivre des cibles bien spécifiques.
C Perec : ceux équipés de cartes à micro puces Quadrihoppes
W : brillante déduction colonel
Depuis le début les intuitions du colonel était donc fondée, tous ordinateur équiper d'une micro puce a Quadrihoppes étaient susceptibles d'être acquis par leur ennemi ce qui n'était au départ qu'une intuition venait de ce changer en certitude grâce a W
W : sans ces micro puce un super-calculateur infecté serait automatiquement détruit
C Perec : voilà qui expliquent les dégâts
M Cartwright : si ce que vous dites est vraies alors le but de notre ennemi n'est pas la destruction du réseau informatique.
W : malheureusement major le but de notre ennemi final est une destruction de plus grande ampleur.
M Cartwright : vous voulez dire qu'il veut s'attaquer à la terre entière
W : c'est fort probable
Cette révélation aurait eut de quoi tétaniser n'importe quoi mis les deux soldat était formé a maîtriser leur nerf , il n'empêchait pas que cette nouvelle était terrifiante ,sur tout quand on sait de quoi leur ennemis était déjà capable avec une seul super-calculateur.
C Perec : mais c'est terrible ce que vous nous dites la
W : rassurez vous dans l'immédiat notre ennemi n'est pas capable de lancer une telle offensive, il n'a pas encore la puissance nécessaire c'est pour ça qu'il essaie d'investir un maximum de super-calculateurs
C Perec : il se fabrique donc des postes avancées, nous sommes bel et bien en face d'une prise de territoire
W : et quand vous dites le mots territoire vous ne savez pas a point vous êtes près de la réalité.
C Perec : vous parlez sûrement de cette espèce de mondes virtuels qu'il s'emploie à créer sur chaque super-calculateur infecté
W : ma parole vous avez bien compris à ce que je vois.
C Perec : j'essaie seulement de coller entre eux les différents morceaux de l'énigme que j'ai à ma disposition.
M Cartwright : bon ces agissements sont quand meme flou puisqu'il poursuit un but de destruction cela nous ne nous explique toujours pas le rapport qui existe entre lui et cette société Global Computer
W : cela parait pourtant évident major, Global Computer vend des cartes qui favorisent l'implantation de notre ennemis à travers le monde
C Perec : voila pourquoi vous dites qu'il font le jeu de notre ennemis.
W : je surveille aussi les agissements de notre ennemi commun et je sais qu'il n'est en aucun cas lié aux agissements de cette société.
M Cartwright : mais si il ne sont pas lier qu'elle est leur intérêt a eux ?
W : c'est la tous le mystère et le drame
C Perec : le drame !! quel drame ?!
W : le drame colonel c'est qu'au début de ces agissements notre ennemi n'aurait théoriquement eut aucune marge de manoeuvre,sans ces cartes il n'aurait jamais pu faire ce qu'il fait à l'heure actuelle.
C Perec : vous voulez dire que notre ennemis aurait été inoffensif
W : pire encore il n'aurait jamais put "survivre" sans ces cartes.
C Perec : que voulez vous dire par "survivre"
W : interpréter par capable d'agir
Le son de la voix de W avait changer comme si celui venait de commettre un erreur et qu'il essayait de se rattraper
C Perec : il serait "mort" selon vous
W : sans aller jusque-là je vous dirai juste qu'il ne serait pas aussi puissant qu'il l'est à l'heure actuelle s'il n'avait pas bénéficié de ce coup de main providentiel.
M Cartwright : dans se cas que faisons nous ?
C Perec : il n'y a donc pas 36 solutions si nous voulons stopper notre ennemi il faut stopper la diffusion de ces cartes.
W : malheureusement colonel j'ai peur que vous n'arrivez un peu trop tard
C Perec : que voulez vous dire.
W : j'ai déjà référencé par moins de 86 super-calculateur dans le monde qui ont déjà été équipé de ce système.
C Perec : 86....
M Cartwright : .... super-calculateur !!!
les deux officiers se dévisagèrent soudain l'un l'autre, il ne pensaient pas quel leur ennemis avait déjà acquis une telle influence,et cela n'était pas en passe de s arrêter
W : ça fait autant de super-calculateurs qui sont tomber sous le contrôle de notre ennemis
C Perec : autant de poste avancé dicéminé a travers le monde
M Cartwright : et personne ne c'est rendu compte de rein.
W : si le personnel de ces super-calculateur et sous le contrôle de notre ennemis croyez bien que personne n'est en mesure de sonner l'alarme.
C Perec : sa parait logique si les sites sont sous contrôle notre ennemis ne va pas s'amuser a le crier sous tous les toits.
M Cartwright : on doit intervenir on ne peut pas laisser faire ça il faut stopper l'activité de Global computer tous de suite.
C Perec : j'ai bien peur que se ne soit pas aussi facile major.
M Cartwright : comment ça
C Perec : si nous intervenons comme ça nous arrêtons peut-être quelques responsables mais comme cette société est fantôme et que nous ne savons pas qui la contrôle....
M Cartwright : .... j'ai compris, le vrai responsable de tous ça pourrait très bien reprendre ses activités sous une autre identité.
C Perec : on est coince cette société est la seule piste que nous ayons pour pour trouver le laboratoire de production de ces cartes.
W : de ce côté-là vous n'aurez pas à chercher je sais où sont fabriqués ces éléments à la base ou plus exactement je sais d'où sont originaires ses micros puce et c'est bien ce qui me pose problème
C Perec : que voulez vous dire ?
W : le site de production et un endroit ultra protégé, deplus le règlement est très strictes en se qui concerne leur recherches, normalement notre ennemi ne pourrait pus y avoir accès.
C Perec : ce qui veux dire.
W : que pour une raison inconnue les gens qui se cachent derrière Global Computer arriva avoir accès à cette technologie est à la détourner à leur profit.
M Cartwright : vous voulez dire qu'il volerait cette technologies a d'autres et la revendrait pour leur propre compte
W : c'est exactement ça
C Perec : sa expliquerait pourquoi Global Computer n'a pas de laboratoire, si ils se contentent de voler la technologie produit par d'autres pour la revendre
M Cartwright : dans ce cas il faut donc coupé l'approvisionnement à sa source.
C Perec : pourriez-vous nous dire où se trouve le site de production
W : je regrette mais je ne peut pas vous communiquez cette information
C Perec : et pourquoi donc je vous prie
W : à ce stade de votre enquête vous n' êtes pas encore prêt.
C Perec : prêt à quoi ?
W : à découvrir toute la vérité
C Perec : mais quelle vérité ?! c'est quoi se jeu auxquelles vous jouer avec nous la ?
W : je ne peux pas vous donnez plus d'information car cela mettrait votre vie en danger je vous le rappel.
C Perec : mais c'est ridicule si notre ennemis est si dangereux,coupe sa source de survit serait l'ideal pour en finir.
W : c'est vrai mais cela ne serait pas sans conséquence et croyez que pour l'heure la situation est suffisamment compliqué comme ça.
C Perec : vous voulez dire que cela pourrait empiré
W : d'une certaine manière ... oui..
C Perec : et c'est tous ce que vous pouvez nous dire.
W : non il y a encore une chose.
C Perec : laquelle
W : le cerveau de l'affaire se fait appeler Monsieur X.
C Perec : MR.X
W : c'est lui qui contrôle tous, c'est cette personne inconnue qui est responsable de tout ça, je sais aussi que c'est elle qui volent les cartes et les revend par le biais à la société globale computer.
C Perec : c'est ce qui complique considérablement la chose.
W : en effet il vous faut découvrir qui est Mr.X et le neutraliser pour de bon.
C Perec : si nous arrêtons les agissements de Global Computer ce MrX pourra toujours recommencer ailleurs et avec d'autres personnes et dans ces cas-là nous perdrions la seule piste que nous avons.
W : c'est exact colonel vous arrêterez les jambes mais pas le cerveau.
C Perec : c'est un comble nous sommes obligés de les laisser continuer pour pouvoir remonter jusqu'à la tête pensante de l'opération.
M Cartwright : et pendant ce temps-là notre ennemi va continuer d'accroître son influence sur les super-calculateurs du monde entier
C Perec : nous avons donc affaire à deux adversaires différents
W : et c'est le cas colonel
C Perec : je ne comprends pas quelles serais les motivations de ce MrX.
W : il semblerait que ce soit le profit.
C Perec : le profit vous voulez dire que cette personne mettrait la sécurité du monde juste pour de l'argent.
W : ce serait une possibilité
C Perec : c'est la total la
Non comptant de ne pas en savoir plus sur leur ennemis voila que les deux agent étaient confronte a un nouvel adversaire en la personne de MrX, si leur ennemis ne leur étaient plus inconnu qu'en était il de leur "allié"
C Perec : et vous dans tout ça vous vous situez où
W : à ma manière j'essaie de combattre notre ennemis commun pour empêcher son influence de trop s'étendre
C Perec : et vous y arrivez
W : d'une certaine manière j'arrive à limiter les dégâts en diminuant son influence mais en ce qui concerne la prolifération des cartes je ne peux malheureusement pas agir
C Perec : je commence à comprendre pourquoi vous nous avez mis sur la piste de global computer.
W : vous avez enfin compris
C Perec : vous voulez que ce soit nous qui arrêtions la diffusion de ces cartes n'est ce pas.
W : vous avez tous compris le colonel dans la mesure ou je suis incapable d'agir il n'y a que vous qui le puissiez
C Perec : mais dans ces cas-là et il nous faudrait savoir quels sont les super-calculateurs qui ont été affectés par ces cartes et les retirer à ce moment-lÃ
W : ça risque d'être dur pour la plupart se sont des organismes scientifiques privés ou internationaux qui ont fait l'acquisition de ces systèmes.
M Cartwright : traçabilité impossible en plus du faite que nous ne pouvons pas agir notre guide à travers le monde
C Perec : si le problème était une question de sécurité nationale ça pourrait le faire mais là c'est à l'échelle mondiale.
M Cartwright : notre autorité dans le domaine et dont limiter
C Perec : Ã moins que...
M Cartwright : Ã moins que quoi
C Perec : à moins que nous n'agissions que dans le plus grand secret est que nous n'allions débrancher nous-mêmes ces machines
M Cartwright : vous pensez ..... sabotage
C Perec : oui major des opération de sabotage
M Cartwright : vous êtes sérieux
C Perec : vous voyez une autre solution
Ne pouvant pas agir de façons légale il apparaissait que le sabotage était la seule solution mais la mises en place de telle opération et long est complexe et demande parfois des mois de préparation selon le site a attaquer,et le temps n'était pas leur allié en se moment.
M Cartwright : on en aurait pour des mois a tous préparer.
C Perec : raison de plus pour ne pas attendre il nous faut prévenir nos services.
M Cartwright : seulement nous ignorons ou frapper
C Perec : c'est vrai j'avais oublier ce détails
W : dans ces cas-là je suis en mesure de vous aider
C Perec : et de quelle manière
W : j'arrive à prévoir les mouvements de notre ennemi, ce qui fait que je sais exactement qu'elle sont les cibles qu'il va frapper
C Perec : vous pouvez nous communiquer les endroits
W : je vais vous envoyer une liste des endroits qui sont susceptibles d'être frappés par notre ennemis.
C Perec : et en ce qui concerne les endroits déjà infectés.
W : pour cela je ne peux rien faire.
C Perec : que voulez-vous dire
W : tout simplement que notre ennemi s'est arrangé pour masquer leurs positions il est impossible pour moi de vous indiquer où il se trouve en ce moment
C Perec : que poisse pour le détruire sa va être coton.
De toutes évidence leur ennemis avait pris tous les précautions nécessaire pour ne pas être inquiète par qui se soit ,il c'était constituer un réseau informatique au nez et a la barbe des plus grand service d'espionnage du monde, mais cela ne le rendais pas pour autant invincible.
M Cartwright : relativisons colonel si l'on peut déjà stopper sa progression se serait pas mal.
W : votre partenaire à raison colonel si on peut l'empêcher notre ennemis d'accroître sa puissance détruire les sites affecté ne sera plus qu'une formalité,de plus je travaille a une solution pour ceci
C Perec : c'est a dire.
W : j'essaie mettre un point un système qui pourrait localiser et détruire tous le sites affecter
C Perec : vous en êtes en mesure de faire ça
W : j'y travaille mais c'est long
M Cartwright : pourquoi ne collaborer vous pas avec nous,nous pourrions le mettre ensemble au point ce système
W : j'ai mes raison
M Cartwright : je ne vois pas lesquels
W : je préfère ne pas en parler pour le moment.
C Perec : vous voulez garder pour vos petit secret
W : on peut dire ça
C Perec : et maintenant que fait ton
W : je vais vous communiquer une liste après quoi colonel je compte sur vous pour réussir à stopper cette folie.
C Perec : vous pouvez conter sur nous
W : maintenant je dois vous laissez pour ne pas être repéré mais je vous recontacterais sous peu.
C Perec : attendez W j'ai une dernière question.
W : laquelle ?
C Perec : pourquoi est ce que vous me contactez-moi.
W : parce que vous êtes en charge de l'enquête.
C Perec : c'est vrai, mais vous auriez très bien pu communiquer ces informations à notre état-major dès le début sans avoir à passer par moi.
W : vous avez raison colonel je vois que vous êtes aussi perspicaces que l'était votre père
C Perec : mon père !!! qu'est-ce que mon père vient faire là dedans ?
M Cartwright : son père ?!
W : il a tout à voir là -dedans.
C Perec : je ne comprends pas
W : disons qu'aujourd'hui j'ai la possibilité de m'acquitter d'une dette.
C Perec : une dette !!!
à ce moment-là la communication fut coupée,laissant le colonel sans réponse
allô allo ..... plus personne fit le colonel
une dette mais de quelle dette ce que W. pouvait bien parler et qu'elle rapport l'affaire présente avait elle avec son père ?
plus tard en fin de journée les deux officiers discuterent sur les informations que leur avait fournit le mystérieux W. quelques minutes après que la communication est été interrompue le colonel avait reçu un message privé sur son téléphone portable.
Le message ne contenait rien d'autre que l'adresse d'un site ainsi qu'un mot de passe
en se rendant sur le site concerné ils découvrirent qu'il s'agissait d'un site de stockage de données grâce aux mots de passe ils purent télécharger le fichier concerné, qui était un petit fichier texte le contenu de celui ci n'était qu'une suite de séries mathématiques qui visiblement n'avaient pas grand sens.
Il apparaissait évidents au deux officiers qu'il s'agissait d'un message codé , W avait pris toutes les précautions nécessaires pour que personne ne puisse intercepter ce message ni même en comprendre le sens.
Pour seule explication il y avait un petit texte pour le moins étrange marqué en français en bas de la page.
"mon petit filou"
si cela ne dit au major cela interpella grandement le colonel,pour le major il semblait évident que le code était en fait un cryptage alpha-décimal est qu'à partir d'un mot précis il était possible de décoder tout le message mais la question reste de savoir quel pouvait être le mot clé.
le major avait rentre ces infos sur un programme de sa composition mais sans le mot clé aucun moyen de déchiffrer se code, si le major se cassait les dent sur cette enigme le colonel lui se demandait pourquoi la notion "petit filou" figurait en bas du texte,soudain il réalisa ce que cela voulais dire....
Ce message lui était destinée
Sans tarder il alla voir le major pour voir comment celle si avancerait dans le décryptage du message
C Perec : Vous avez trouvez major
M Cartwright : désole Colonel je ne comprends pas,sans le mot-clé je ne peux pas activer mon programme
C Perec : vous avez essayer les mots "mon" "petit" "filou"
M Cartwright : bien sur et sa n'a rien donner
C Perec : sa ne m'étonne pas.
M Cartwright : "mon petit filou" n'est pas spécialement une indication qui me parle beaucoup
C Perec : peut-être pas a vous Major mais c'est pas mon cas.
M Cartwright :Qu'est-ce que vous voulez dire mon colonel
C Perec : Essayer de décrypter ça en utilisant le mot-clé.... François
M Cartwright : François ?!
C Perec : oui allez y
M Cartwright :très bien mon colonel
Le major entra le mot François dans la partie mot clé de son logiciel et lança de nouveau le décryptage, quelle ne fut pas sa surprise de voir que cela fonctionnait, les série de chiffres se transformèrent en texte lisible en en chiffre.
M Cartwright : Comment vous avez découvert le mot clé
C Perec : Eh bien c'est justement ça qui m'interpelle major.... François c'est mon prénom
M Cartwright : Comment avez-vous eu l'idée dut user votre prénom
C Perec : a cause de "mon petit filou"
M Cartwright : oui est alors
C Perec : notre mystérieux interlocuteur à ses références à mon père à la fin de son message
M Cartwright : c'est ce que j'ai compris mais je ne vois pas où est le apport.
C Perec : Mon petit filou c'est comme ça que mon père m'appelait quand jetais jeune
"Mon petit filou"
C Perec : mon père ne m'appelait jamais pas mon prénom toujours de cette façon.
M Cartwright : qu'est-ce que ça veut dire.
C Perec : que de toute évidence W connaissait mon père et qu'il savait que je serais le seul a pouvoir trouver le mot de passe.
M Cartwright : en utilisant votre propre prenons comme mots clé.
C Perec : tous simplement
M Cartwright : astucieux un message codé personnalisé
C Perec : difficile de trouver la réponse de-lors
M Cartwright : comment W savait que cela vous interpellerait
C Perec : il doit me connaître ou alors il a connu mon père (1)
W était vraiment un personnage pleins de surprise en quels circonstance avait t'il put rencontrer le père du colonel pour connaître un détail si intime de la vie du colonel, il faudra qu'un jour celui ci lui donne des explications sur ce mystère mais pour l'heure il y avait plus important a faire.
Le message était décodé il fallait donc savoir de quoi sa parlait,le major commença a étudier les données qui venait d'être fournit,dessus il avait la position géographie de plusieurs site qui serait sucpectible d'être attaque, mais aucun n'était encore concerne pour le moment selon le message.
pourtant parmi tous les fichier un en particulier avait capté leur attention car il semblait qui soit la cible d'une attaque en cours.
C Perec : vous avez découvert quelque chose d' intéressant major
M Cartwright : colonel j'ai peut être découvert la prochaine cible de Xana
C Perec : vraiment !
M Cartwright : d'après ces informations il semblerait que la prochaine cible soit située dans ce pays
C Perec : vous êtes sur major
M Cartwright : les coordonnes géographique sont unanimes, la prochain sera dans ce pays.
C Perec : et ou ça
M Cartwright : selon les coordonnes la prochaine cible serait située dans le Wisconsin un État du nord des États-Unis.
C Perec : et qui y' t'il la bas de si intéressant.
M Cartwright : La prochaine cible serait semble-t-il une usine chimique qui se trouverait dans le comté de Brayton Wood
C Perec : il aurait donc un super calculateur équipé d'une Quadrihoppes là -bas
M Cartwright : il semblerait que oui sinon quelle serait l'intérêt de Xana d'attaquer cet endroit
C Perec : vous avez raison.
M Cartwright : donc colonel qu'est-ce que nous faisons ? continuons-nous la surveillance sur global Computer ou nous nous rendons sur place pour stopper tous ça.
C Perec : en premier lieux nous allons communiquer ces informations a l'état-major pour qu'il envoie une équipe de surveillances pour suivre les fait et geste de notre amis Landsey
M Cartwright : et nous que faisons nous ?
C Perec : quant à nous, nous allons mener notre petite enquête à Brayton Wood
(1) voir la fanfics préquel Carthage 75
chapitre 17 le Nouveau Monde
journal Arnaud Morillon 14 août 2005
Compte rendu d'analyse journal vidéo numéro 16
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Aujourd'hui je n'ai pas grand chose à vous apprendre sur mes travaux.
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Vger 2.0 et parfaitement au point
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Mes intelligences artificielle sont parfaitement fonctionnel même si elles ont encore un petit problème de discipline.
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Le protocole de la tour est maintenant parfaitement intégré a Vger 2.0
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Et pour finir le procédé de virtualisation est selon Simon sur le point d'aboutir.
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Tous roule en somme
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Ce qui fait que maintenant j'ai beaucoup de temps libre devant moi.
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On peut se demander comment je vais l'occuper.
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Et bien moi je sais....
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Je vais repartir à l'exploration du réseau.
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Sa peut paraître déraisonnable de ma part vu ce qui s'est passé la dernière fois que j'y suis allé.
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j'y est perdu ma première sonde Vger 1.0
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Mais cette fois-ci ce sera différent.
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J'ai tiré la leçon des erreurs que j'ai commises.
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Je ne devrais pas avoir de problème cette fois.
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Je suis près
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Et je vous cache pas que quelque part ça me brûle le bout des doigts de retourner sur le réseau.
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Et je crois que la raison est facile à deviner.
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J'ai envie de retourner dans le monde mystérieux que j'ai découvert il y a maintenant 7 mois.
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Je sais que c'est un monde dangereux
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Mais le jeu en vaut la chandelle.
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Avec toutes les merveilles qu'il semble receler ce serait vraiment dommage de passer à côté.
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Allez savoir quelle autres découvertes je suis susceptibles de faire la bas.
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Ma décision est prise
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Même si ces risqués et je vais y retourner
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J'ai le goût du risque est de l'aventure.
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Finalement nous les scientifiques nous avons un trait commun avec les grands navigateur d'entend.
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On ne peut pas s'empêcher d'aller vers l'inconnu et ceci au mépris du danger.
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Reculer les limites pour toujours aller plus loin c'est aussi ça la philosophie de Star Trek.
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Et c'est pour ça que ce monde mystérieux je me doit de l'exploré.
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Et puis quelque part je n'avance pas vraiment dans l'inconnu puisque je l'ai déjà exploré il y a quelque temps en arrière.
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Ce monde est étrange très similaires au notre est à la fois très différent.
---
Du moins c'est ce que je peux en conclure à partir des informations dont je dispose sur lui.
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Il est le coeur d'un système très complexe de mini mondes
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pour vous donner une l'image concrète de ce qu'est à ce monde, imaginons que le réseau soit l'univers et que les petites sphères qui le constituent sont des planètes.
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Donc toutes proportion gardé on pourrait dire que ce monde-là en serait le Soleil
------
alors pourquoi perdre mon temps avec les satellites quand je peux explorer la source même de tout.
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Comme je vous l'avais déjà fait remarquer à la suite de la première attaque j'ai réussi à capter un signal
---
en traçant les sources du signal j'ai découverts tous les petits mondes
---
Mais impossible d'y entrer
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j'ai donc continué mes investigations jusqu'à ce que j'arrive à la source principale
------
Ce monde mystérieux
---
Mais à l'instar de ces petits satellites impossibles d'y rentrer
---
Cette sphère en lévitation semblait disposer d'un bouclier impénétrable
---
J'ai beau eut la scanner sous toutes les coutures il n'y avait pas une faille dans sa protection
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autrement dit j'étais en face de la défense parfaite
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Ah je vous entends déjà dire ....''ça y est l'autre il à trouver une solution pour contourner la défense''
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Ou bien encore ....."il est sûrement passé de force" ou " bien alors grâce à son génie incommensurable il a réussi à percer le bouclier"
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Vous pourriez dire ça
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Est bien là je vais vous étonner mais j'ai réussi à m'introduire dans cet incroyable environnement que grâce à l'outil scientifique le plus improbable qui soit...
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La chance.
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Est oui monsieur dames grâce à un énorme coup de chance j'ai réussi à contourner les défenses.
----
et encore je ne sais pas comment j'ai réussi.
---
à mon avis j'y suis parvenu dans une autre réalité espace et cela c'est répercuté dans notre trame temporel.
---
"ça y est qu'est ce qu'il dit encore l'autre taré " me direz-vous.
---
Seulement la pure vérité.
---
__________________< ANNEXE TOP SECRETE >____________________
Il faut que je vous évoque un détail très important.
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C'est quelque chose de très secret que seuls quelques membres de la société et quelques scientifiques de la section 5 connaissent.
---
Apparemment il semblerait que nous voyageons dans l'espace temps.
---
Ce n'est pas un délire de ma part mais un fait scientifique.
---
Pour une raison inconnue il y aurait des jours où la planète entière remonterait le temps.
---
Un phénomène inconnu fait que parfois nous revivons la même journée sans nous en rendre compte.
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ça peut paraître incroyable mais c'est la vérité j'ai moi-même pu le constater.
----
A plusieurs reprises je me suis retrouver entre les mains avec des travaux que j'avais moi-même créé mais que je n'avais jamais créé
------
comment vous expliquez ça ?
---
Très simplement, admettons que je travaille lundi sur un projet X et qu'à la fin de cette journée j'enregistre mon travail sur l'ordinateur quantique.
---
si à ce moment-là nous subissons un retour en arrière je pourrais par exemple me retrouver le matin avec l'intention de travailler toute la journée sur le projet X
---
Mais à ce moment j'aurais la surprise en ouvrant l'ordinateur de découvrir le projet X que j'avais moi-même prévu de faire.
---
L'explication serait la suivante
---
Dans une version future de moi-même j'aurais créé ce projet X et part la suite j'aurais remonté le temps sans le savoir pour me retrouver le matin meme.
---
Techniquement aucune trace du projet X ce que j'aurais fait dans la journée ne devrait exister
---
Puisque théoriquement je ne l'aurait pas créer du moins dans cette réalitée temporel
---
Vous me suivez toujours la.
---
Mais comme a la fin de la journée j'aurais enregistré mon travail sur le super calculateur quantique,se serait très différend
---
Car celui ci fonctionne sur un principe de déphasage espace temps très particulière ce qui fait qu'il est affecte par le phénomène d'une tous autres façons.
---
les données qui y sont enregistré y sont conservé malgres le "retour en arrière".
---
Et c'est grâce à ce procédé que nous avons découvert que parfois le temps subissait ces altérations.
---
Si on n'en connaît pas la cause on sait quels en sont les effets
---
à chacun de ces "retours en arrière" notre super calculateur quantique voit sa puissance augmentée.
---
grâce à tous "ces retours en arrière" notre machine dispose d'une puissance de plus de 3000 Qbits quantique a l'heure d'aujourdhui.
---
Et ce n'est pas la première fois qu'un tel phénomène se produit.
---
Depuis bientôt deux ans et demi nous subissons ces fluctuations temporelles de manière plutôt aléatoire.
---
Bien que ces 5 derniers mois il n'y est plus aucune manifestation du phénomène
----
Se pourrait-il que ce phénomène se produise que tous les 9 ans.
---
Je ne pourrais pas dire vu que je n'en sais rien, je suppose seulement.
---
la seule personne qui pourrait vous donnez un explication serait le professeur Kessel
---
en effet ce charlot de manifestant est un spécialiste dans le domaine
---
c'est meme lui qui a établis cette théorie du "retour en arrière"
---
sans tenir compte du cirque qu'il a fait avec ces deux assistants lors de la manifestation on peut lui accordé ce fait scientifique.
---
Il avait raison sur ce point au moins.
---
mais sa n'explique la cause de tous ça.
---
Tous ce que je peux vous dire ce que la plus importante manifestation de ce phénomène a eu lieu le 6 juin 1994.
---
Ce jour-là notre super-calculateur qui n'était encore qu'un prototype expérimental est devenu surpuissant.
---
Il c'est soudainement vu crédité d'une puissance de 2548 Qbits quantiques en une seule journée.
---
Pour une raison inconnue ce jour-là l'espace temps a subi une modification de grande ampleur.
---
comment ? pourquoi ? allez savoir
----
il y a la derrière un mystère bien étrange.
____________________FIN DE L'ANNEXE TOP SECRETE____________________
---
Donc mon coup de chance il vient de la
---
Voila ma théorie sur ce qui c'est passé
---
Quand j'ai découvert cette structure je n'avais pas moyen d'y rentrer.
---
J'ai donc laisser ma sonde en mode automatique et stationnaire pour surveiller cette sphère
---
Si il se passait la moindre chose elle était programmé pour agir d'elle meme
---
Et la j'ai eut bon nez
---
au petit matin du 18 mars 2005 j'ai eu la surprise de découvrir les codes d'accès de la sphère sur mon ordinateur.
---
Grâce a ces codes je pouvais maintenant passer à travers l'harmonique des boucliers sans la moindre difficulté.
---
D'où venait ces codes ?
---
Je me les suis envoyer a moi mêmes.
---
Car au petit matin j'ai découvert un enregistrement de moi-même qui datais du jour même
----
à première vue ce jour-là il y avait eu un nouveau retour en arrière.
---
Ce qui finalement n'avait rien d' extraordinaire par rapport aux autres que nous avions déjà subis
---
à ceci près que ce jour là quelque chose s'était passé dans cet environnement
---
Pour une raison pour le moins inconnu les boucliers semblaient avoir subi une faiblesse.
---
et apparemment dans cette première réalité temporelle mon autre moi-même aurai profité de cette faiblesse pour faire passer la sonde à travers.
----
Si cette immense structure semblait inviolable depuis l'extérieur une fois l'intérieur l'histoire est toute autre
---
Ma sonde avait réussi à analyser les harmoniques du boucliers et à décrypter les codes d'accès.
------
et c'est là justement que la chance intervient
---
ma version future de moi-même a enregistré ses informations sur le super-calculateur quantique via le réseau d'accès privé de la section 4
---
ce qui fait que quand le retour en arrière s'est activé j'ai logiquement conserver aucun souvenir de ce que ma version future avait fait.
---
Mais par contre les données qu'il avait stockées dans la mémoire du super-calculateur quantique avait été conservé.
----
je ne sais pas si ce jour-là mon moi futur avais anticipé cet éventuel "retour vers en arrière" mais on peut dire qu'il a eut une bonne idée.
---
Car cet étrange faiblesse des boucliers ne s'est pas reproduit le jour même.
---
J'avais donc a faire un phénomène unique qui ne c'est pas reproduit dans la deuxième réalitée.
---
voilà pourquoi j'appelle ça un coup de chance.
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je me suis donné un coup de main sans le savoir
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c'est plutôt ironique.
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Quoi qu'il en soit les portes de ce monde n'étaient grandes ouvertes désormais.
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enfin presque grande ouverte (-_-)
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Ce qui semblait ressembler à un sas d'entrée était verrouillé par une suite alphanumérique.
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Ça m'a pris plus de deux semaines pour trouver le moyen de casser cette serrure car celle-ci était vraiment performante
---
et c'est là que comble de tous j'ai jouer de malchance.
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Pour une raison tout aussi inconnu que le "retour en arrière " le 29 mars 2005 ce monde avait disparu.
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plus une trace volatilisé comme par magie.
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et il n'était pas le seul
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La centaines de petits satellite qui semblait gravir autour avait également cessé d'exister
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Apparemment il fallait croire que quelqu'un avait débrancher le tous.
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Ou peut être avait été t'il victime du "virus Tsunami " qui avait ébranlé le réseau mondial le jour d'avant
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Ou est ce due au fait que j'avais détectée sa présence et que les personnes qui contrôlaient cet univers ont cessé toutes leurs activités.
---
Qui peut savoir ?
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En tous cas c'était vraiment rageant à peine j'avais découvert ce monde que celui-ci avait déjà disparu.
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au départ je me suis dit que ça ne se durerait peut-être que quelque jours que c'était simplement une question de maintenance.
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Mais très vite les jours se sont transformés en semaine et les semaines sont devenues des mois.
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si au début j'y revenais de façon régulière j'ai très vite lâcher l'affaire.
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afin de ne plus m'éterniser sur le vide j'ai laissé une balise de détection à l'endroit où le monde avait disparu.
------
Qui sait un jour peut-être réapparaîtra il est ce moment-là je serais immédiatement averti.
---
J'ai donc laissé tomber ce monde pour me consacrer à mes autres recherches
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notamment sur l'élaboration de mes intelligences artificielles.
---
la vie avait repris un cours normal pour moi
---
Métro boulot dodo
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Pourtant le lundi 18 juin 2005 tout a basculé
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alors que je m'apprêtais à rentrer ma sonde a émis un signal d'alarme.
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intrigué et je me suis demandé ce qui pouvait bien se passer
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et la quelle ne fut pas ma surprise de voir que le signal d'alarme était émis par la balise que je avais laisser en plan.
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Et après avoir fait quelques recherches le doutes n'était plus permis.
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Ce monde mystérieux était de retour
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Sans plus attendre que j'ai tout de suite envoyer ma sonde Vger 1.0 sur le réseau
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Je peux vous dire que ce soir-là je ne suis pas rentré à mon appartement
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J'avais enfin réussi à m'introduire dans ce monde.
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et ce que je venais d'y découvrir était extraordinaire.
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Et comme a mon habitude c'est mon clavier qui m'a servi d'oreiller.
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au petit matin c'est Simon en personne qui est venu me tirer de mes rêves.
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et croyez-moi que devant tous ce que j'avais découvert je n'ai pas perdu mon temps je l'ai tout de suite informé de ma découverte
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Il m'as demandé si j'avais appris beaucoup sur ce monde
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Je lui est dit que non
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Car je voulais lui faire l'honneur de la découverte qui vienne avec moi assister à ce grand moment
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Il m'as demander si c'était sans risque.
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Je lui est garantie que oui
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Alors il m'as inciter a poursuivre mes recherches et a acquérir le maximum d'infos sur cette environnement
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Ce que je fis en tous confiance
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j'étais bien à mille lieux de me douter de ce qui allait se passer.
Attention chapitre spéciale Lyoko guerrier et XXX.
Chapitre 18 l'attaque
Dans le laboratoire de l'usine Jeremie c'était confortablement installé à son poste de travail habituel ou il s'apprêtait a prendre en mains la suite des opérations lancer la veille.
Les procédures de vérification avaient tourné toute la nuit sur le super calculateur pour vérifier l'état de celui-ci.
Le premier diagnostique n'avait établis aucune anomalie sur le système à première vue tous semblais en ordre, Jeremie effectua donc les dernières vérifications avant de procéder a la virtualisation de ces amis.
Jeremie mit alors en marche l' holomap pour calculer le point de chute des virtualisé il fallait qu'il soit très prudent lors de la virtualisation, afin d'éviter toutes fausse manipulation Jeremie avait choisi un large plateau a l'extrémité du territoire foret comme point de chute.
Pour limiter les risques d'une éventuelle mauvaise rencontre , Odd ,Ulrich et Yumi allaient être virtualiser en premier , ils ouvriraient la voie et s'assureraient de l'absence de tous danger sur Lyoko.
Alors que Jeremie pianotait sur le terminal du laboratoire Aelita et ces trois amis étaient stationné dans la salle des scanner.
Tous attendaient le feu vert de Jeremie pour grimper dans les scanners afin d'être virtualiser sur Lyoko,mais une ambiance inhabituelle semblait régner entre eux les quatre adolescents
Tous est près demanda alors Odd qui s'impatientait en tapant du pied.
Minute Odd lui fit Jeremie dans son micro.
minute... minute... sa fait un quart d'heures que tu nous le dit ça lui signala le jeune blondinet.
Cela faisait plus de 15 minutes maintenant que Jeremie faisaient poireauter ces amis dans la salle des scanners, le petit génie n'en finissait plus de faire ces contrôles sur les phases de virtualisation, aujourd'hui sa lui prenaient plus de temps que d'habitude car il c'était un peu rouillé depuis alors qu'en temps normal ces opérations ils les avaient fait des centaines et des centaines de fois par le passé.
Bon tu en est ou lui demanda alors Ulrich.
C'est presque bon lui fit Jeremie.
Odd : c'est dingue Einstein tu vas pas me dire qu'en a peine trois mois t'as déja tous oublier.
Jeremie : rassure-toi de ce côté là il n'y a pas trop de risques mais je préfère quand même être sûr.
Odd : te presse pas surtout on tous le temps si tu veux on repassera dans dix ans quand tu sera près.
Jeremie : oh ça vas lâche moi Odd,c'est pas ça qui me fera avancer plus vite.
C'est vrai Odd arrête de déranger Jeremie dit alors Aelita qui voulu prendre la défense du génie.
Oh non tu vas pas t'y mettre aussi fit Odd a Aelita.
Je mis met parce que je trouve que tu exagère lui dit Aelita.
Quoi c'est pas la vérité ce que je vient de dire fit remarquer Odd aux autres
Jeremie : ne soit pas si pressé Odd ça vient.
Bon bin dépêche toi Jeremie, plus vite on en aura fini plus vite on en sera débarrassé lança à cet instant Ulrich qui avait les bras croisés.
Oh non tu vas pas t'y mettre toi aussi plus fit remarquer Yumi
Je ne crois pas avoir demandé ton avis à toi lui lança sèchement Ulrich
La japonaise préféra ne pas répondre face à ce que Ulrich venait de lui dire,au même titre que leurs deux autres amis firent comme s'il n'avait rien entendu.
Ces petites piques assassine entre Odd Aelita Yumi et ulrich traduisait bien l'ambiance qui semblait régner dans le groupe, celle-ci n'était pas forcément au beau fixe vu ce qui c'était déjà passé la veille lors de la réactivation du super calculateur et cela concernait tous les membres du groupe cet anicroche n'avait pas non plus arrangée la relation entre Ulrich et Yumi, la situation étaient toujours aussi tendus entre eux à première vue.
C'est alors que Jeremie avertit ces amis que les dernières vérifications d'usage étaient terminées il pouvait maintenant procéder à la virtualisation
Sans plus attendre ces trois amis embarquèrent chacun a leur tour dans les scanners,les portes se refermèrent sur chacun des Lyoko -guerrier et Jeremie commence à donner ces directives.
Transfert Odd... transfert Ulrich... transfert Yumi...
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Scanner Odd... scanner Ulrich...scanner Yumi...
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Virtualisation
Une éclatante lumière envahit chacun des scanners et les adolescents aux cheveux ébouriffés par le souffle furent tous décomposer en particules d'énergie qui furent projetés à la vitesse de la lumière dans le système informatique afin d'y être transformé en matière virtuelle.
petit à petit des enveloppes de synthèse 3D commencèrent à faire leur apparition dans les airs une fois le processus de texturage terminé les trois corps générés par ordinateur atterrirent sans encombre sur le plateau du territoire foret.
Odd atterrit sur ses pattes sans le moindre problème ,il fut suivi de ses amis qui était également en pleine forme, visiblement Jeremie n'avait pas oublié la méthode de transfert,les trois amis se contemplèrent les uns les autres avec un regard assez étonné, aux fond d'eux-mêmes cela leur faisait assez étrange de se revoir sous leur forme de Lyoko guerrier.
tout s'est bien passé leur demanda à ce moment-là Jeremie.
Deux jambes,deux bras,une tête, une queue est un corps magnifique...tous est la dit à ce moment Odd.
Jeremie poussa un ouf de soulagement à première vue le transfert c'était bien passé, ces trois amis étaient arrivé sans encombre sur le territoire foret.
il demanda alors à ses amis d'inspecter les lieux afin de vérifier la présence éventuel de monstres avant de pouvoir envoyer Aelita les rejoindre.
Bon les amis allez faire un petit tour de reconnaissance leur demanda Jeremie.
Yumi : tu crois vraiment que ça craint quelque chose ? après tous Xana est mort
Jeremie : On ne sais jamais il vaut mieux en être sûr.
Ne voulant pas contredire jeremie les lyoko-guerriers firent un petit tour d'inspection du territoire afin de s'assurer de l'absence de tout danger potentiel,de son coté Jeremie avait lancé le radar afin de détecter la présence de tout ennemi
Mais au bout de 10 minutes d'inspection ponctuée d'aller retour,rien ne fut détecter
Jeremie : vous avez trouvé quelque chose ?
Rien Jeremie y'a pas l'ombre d'une bebête fit Odd.
Ulrich : je confirme c'est pareil pas de trace de Xana de mon côté.
Yumi : pareil du mien Jeremie c'est sans risque.
Rassurées par ce que venait de lui dire ces amis et par le faîte que lui-même n'avait détecter aucune trace d'activité sur le territoire Jeremie autorisa alors Aelita à retourner sur Lyoko.
C'est parfait Aelita tu peux y aller il n'y a pas aucun danger dit Jeremie en informant Aelita.
Sur le coup la jeune fille eut un moment d'hésitation à pénétrer dans le tube qui s'ouvrit devant elle, mais à la pensée qu'elle puisse revoir sa mère suffi à vaincre les doutes de la jeune fille, Aelita prit alors une grande inspiration et grimpa dans le scanner central, quand elle fut en place elle le signala à Jeremie qui appuya sur le bouton de fermeture du caisson, les portes se refermèrent sur Aelita , Jeremie entra les lignes de commandes sur son clavier est lança la procédure de Virtualisation.
Transfert Aelita
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Scanner Aelita
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Virtualisation ... dit-il en appuyant sur la touche entrée.
Tous le processus habituel se mit en place, une forme virtuelle commença à se générer sous le regard des trois autres lyoko-guerriers, la jeune humanoïde atterrit également sur le sol du territoire foret sans aucun problème,à peine était-elle arrivée que Jeremie demanda à ses amis si le transfert c'était bien passé ils lui confirmèrent immédiatement pour le rassurer.
Est-ce que Aelita est arrivée demanda alors Jeremie.
y'a pas de sushi Einstein notre princesse est arrivée a bon port et ces trois chevaliers servants sont là pour l'accueillir répliqua Odd qui avait retrouve un peu de son humour d'entend.
je suis arrivée sans encombre Jeremie dit alors la jeune fille pour rassurer Jeremie.
Odd : bienvenue au bercail princesse,tu nous excusera si on a pas pensé aux colliers de fleurs.
La jeune humanoïde pris la plaisanterie de Odd comme une forme de trêve entre les deux même si cette dernière était encore partagée par une étrange impression.
pas au sujet de Odd mais sur le fait de se retrouver sur Lyoko alors qu'elle avait pensé ne plus jamais y remettre les pieds.
Odd : est bien princesse que se passe-t-il tu as l'air bien soucieuse.
Aelita : ce n'est rien Odd c'est juste que cela me fait une drôle d'impression de revenir ici après tout ce temps.
Odd : Ça fait même pas trois mois qu'on n'est pas revenu.
Aelita : je sais mais ça fait quand même bizarre.
Dites les deux pies au lieu de papauté je vous rappelle que vous avez du travail vous aurez le temps par la suite d'échanger vos impressions leur fit Jeremie de derrière son écran.
Jeremie à raison on va pas passer toute la journée reprit aussitôt Ulrich
Visiblement Jeremie partageait la même anxiété que les autres à avoir réactivé Lyoko mais son état de stress avait pour origine le faite qu'ils avaient beaucoup de travail sans oublier que cette journée allait s'éterniser pour une durée indéterminée car Jeremie serait obligé de lancé de nombreux retours dans le passé afin d'effacer toute trace de ses activités cette journée s'annonçait déjà comme allant être un jour sans fin.
Si il fallait voir le bon côté des choses c'est qu'à la fin de cette journée Aelita aurait peut-être une chance de retrouver sa mère et qui sait cela donnera peut-être l'opportunité à certains d'améliorer leurs relations.
C'est sur cette pensée optimiste que Jeremie commença la programmation des véhicules, en l'espace de quelques secondes les très célèbres Over-bike,Over-board,Over-wing firent leur apparition pour la plus grande joie de certains, Odd était particulièrement ravi de retrouver son Over-board quelque part cette planche anti-gravitationnelles lui avait peu manqué.
les véhicules de ces Messieurs dames sont avancés leur dit le génie.
Chacun des Lyoko-guerriers enfourcha son terrible engin,à son habitude Odd fit un saut périlleux en arrière pour atterrir sur sa planche,est en signe de réconciliation il proposa à Aelita de venir avec lui.
Princesse voulez-vous m'accorder l'honneur de montez avec moi sur mon carrosse lança Odd
Je ne sais pas dit-elle à cet instant un doigt sur la bouche.
Aelita était quelque peu hésitante devrait être devait-elle monter avec Yumi sur son Over-Wing ou avec Odd sur son Over-board ,? finalement elle se décida à monter avec son chevalier servant de toujours.
Allez pour te faire plaisir Odd je monte avec toi fit Aelita
Le félin tendit une patte aimable pour aider sa princesse a monté à son bord,cette dernière s'accrocha ensuite à la taille de Odd.
de son côté Jeremie exhorta ce dernier à être très prudent ,Odd lui répondit qu'il serait aussi prudent que d'habitude ce qui n'eût pas comme effet de rassurer Jeremie.
Soit prudent odd ce n'est pas le moment de commettre une imprudence lui répéta Jeremie.
Ne t'inquiète pas prudent c'est mon deuxième prénom fit Odd
Ah tiens !!! je croyais que c'était "casse cou" lui fit remarquer Aelita sur le ton de la plaisanterie.
Très drôle fit Odd
Aelita et Odd c'est bon en a compris pas la peine d'en rajouter leur dit Jeremie
Odd : Jeremie tu es à rabat-joie en puissance.
je dirais même plus un rabat-joie très stressé fit Aelita
Oh ça va je n'insiste pas dans ces cas-là leur dis Jeremie qui ne voulut pas s'éterniser sur le sujet.
Il semblait que même la jeune fille au cheveux rose avait décidé d'y aller de sa petite blague aujourd'hui, voyant que les deux compères avaient décidée de se jouer de lui Jeremie préfèrà passer outre cette plaisanterie pour indiquer à ses amis à quel endroit se trouvaient la tour du passage où il devait aller, celle-ci était située au nord-ouest de leur position ils devaient sans attendre la ralliée au plus vite afin de pouvoir commencer les recherches.
les réacteurs vrombir et tous les véhicules démarrèrent sur les chapeaux de roue,au bout de quelques minutes de trajet ils arrivèrent en vue de la tour du passage, ils atterrirent tous devant et sans perdre un instant Aelita rentra à l'intérieur,arrivée au milieux du plateau elle commença à s'élever dans les airs pour accéder a la plate-forme secondaire arrivés à proximité du centre la fenêtres d'interface apparue.
Aelita posa sa main dessus,son nom s'afficha sur la fenêtre, le système venait de la reconnaître soudain toute une série de paramètres commencèrent alors à se mettre en marche grâce à sa Aelita allait pouvoir commencer ses recherches
Pour ce faire de l'énergie fut dérivé du coeur de Lyoko afin d'être insuffler à la tour,au bout de quelques manipulations Jeremie parvint à activer la tour à son profit.
Le plan de Jeremie était simple pour effectuer ses recherches sur le réseau il allait utiliser une version modifiée du programme multi-agents
Ce dernier avait la capacité de pouvoir se répandre sur le réseau à grande vitesse,mais cette fois-ci au lieu de détruire il avait été créé pour rechercher des informations,pour se faire Jeremie avait entré les mots-clés suivants.
Anthea - Hopper - Projet Carthage - enlèvement - Waldo - Schaefer -
Il espérait qu'à l'aide de ces mots-clés le programme multi agents serait susceptible de trouver une piste dissimulée quelque part sur le réseau bien sûr il fallait agir avec beaucoup de prudence car la dernière fois que Jeremie avait lancé le programme multi-agents celui-ci avait aussi provoqué quelques dégâts à l'échelle planétaire sous les traits d'un phénomène connu sous le nom de "virus Tsunami".
Bien entendu Jeremie voulait éviter de provoquer une nouvelle panique pour ce faire il avait considérablement diminué la puissance du programme afin de limiter les dégât collatéraux se ceux qui en contrepartie faisait que celui-ci mettrait plus de temps à trouver des informations, mais après tout le temps ils en disposaient de suffisamment grâce au retour vers le passé.
Alors que Jeremie et Aelita étaient en train de rechercher activement des informations sur Anthea Hopper les trois autres lyoko-guerriers montaient la garde devant la tour dans l'attente de quelque chose.
Le territoire forêt baignait toujours dans une lumière crépusculaire ceux qui donnaient à cet endroit un charme particulier mais personne jusqu'à présent n'avait pris le temps de l'apprécier
alors que Odd faisait quelques petits tours dans le secteur sur son Over-board en guise de reconnaissance il avait laissé Ulrich et yumi aux abords de la tour pour monter la garde.
Chacun des deux se trouvait à côté de la tour et ne c'était presque pas adressé la parole depuis le début, l'ambiance entre eux était aussi froide que celle du territoire banquise
Dire que la veille chacun des deux avaient prévu de s'avouer quelque chose de très importants à l'autre dans le parc,mais que suite aux événements aucun des deux n'avait pu se déclarer à l'autre
ça pouvait paraître stupide comme scene mais le faite de se retrouver à nouveau dans une forêt avait ravivé chez eux se souvenir ainsi que les désirs que chacun éprouvait au fond de lui
Mais la présence de Odd à leurs côtés n'était pas spécialement idyllique pour une romance même si le cadre si prêtais.
Peut-être leur faudrait-il encore attendre un petit peu, finalement tous ceci n'était au pire qu'une mauvaise passe et le temps arrangerait sûrement les choses voilà l'espoir auquel chacun des deux secrètement se raccrochait.
Plusieurs minutes venaient de s'écouler depuis le début de l'opération, Jeremie est Aelita avait déjà commencé à récupérer quelques données en provenance de la mer numérique,notamment des dossiers confidentielle faisant référence à Carthage.
mais il n'y avait rien de bien secret dans ces informations puisque ces dernières étaient parfaitement accessibles au public.
Pour trouver une trace sérieuse et fallait sans conteste s'attaquer à des réseaux sécurisés cela allait demander beaucoup de prudence et un surcroît d'énergie pour la tour
Jeremie fit un nouvel apport d'énergie en provenance du coeur de Lyoko à fin de Booster les performances du programme Multi-agents
Et la miracle ils finirent par trouver une banque de données des plus intéressantes sur les serveurs cachés de la Défense nationale, il s'agissait de la copie numérique d'un vieux rapport militaire qui parlait justement de Waldo Schaefer.
Aelita et Jeremie comprirent vite qu'ils tenaient là une piste, sans plus attendre Jeremie ouvrit un accès direct à la zone protégée du super calculateur.
c'est dans cette zone qu'il avait stocker toutes les informations sensibles sur Lyoko
Programme de matérialisation - programme des véhicules -programme des tenues de combat - journal vidéo de Jeremie - et notes secrètes de Franz Hopper.
Il venait à l'instant de donner à aelita un accès direct à cette zone via l'interface de la tour,la jeune fille pouvait à loisir y stocker en toute sécurité toutes les informations qu'elle venait de trouver.
Lorsque Jeremie lancerait le retour vers le passé personne ne conserverait le moindre souvenir de leur intrusion mais toutes les informations qu'ils auront récoltées seraient sauvegardées dans cette zones ce qui leur donnerait le loisir de pouvoir les étudier tranquillement sans que personne ne les dérangent.
Le rapport que venait de trouver Aelita semblait particulièrement complet, le survolant brièvement elle avait juste pu voir qu'il faisait référence au projet Carthage eset a une histoire de sabotage, sans s'attarder dessus elle vit juste que ce mystérieux rapport avait été rempli par un certain Colonel Antoine Perec.
Jeremie je crois que nous tenons un piste dit alors Aelita
Je le crois aussi fit Jeremie
Le rapport qu'ils avaient trouvé datait de 1979,il constituait là le meilleur point de départ pour leur enquête
alors que le rapport venait juste d'être stocké dans la zone tampon du super calculateur un phénomène étrange se produit soudain.
Une fenêtre s'ouvrit alors sur le moniteur de Jeremie,ce qui interpella rapidement le petit génie,c'était une des fenêtres de détection radar annexe que Jeremie utilisait rarement,en temps normal cette fenêtre lui permettait de détecter les dégagements d'énergie sur le réseau ,pourquoi venait-elle soudainement de s'ouvrir sur Lyoko ?
Que se passe-t-il Jeremie il y a un problème lui demanda Aelita
je ne sais pas lui fit Jeremie
le petit génie commença à pianoter sur son clavier pour voir de quoi il s'agissait,mais curieusement les instructions de commandes qu'il tapait avaient beaucoup de mal à s'exécuter,c'est tout juste si il put ouvrir cette fenêtre pour en avoir le détail
apparemment le radar avait détecté une fluctuations d'énergie anormale qui semblait provenir de l'extrémité du territoire foret,soudain sans raison l'affichage des écrans de Jeremie commença à se brouiller.
Mais bon sang qu'est-ce que c'est que ce "binz" dit alors Jeremie
Qui y a-t-il Jeremie demanda Aelita
on dirait que le système et beuger fit Jeremie
Aelita : beuger mais comment ça ?
Jeremie : je ne sais pas Aelita je ne contrôle plus rien.
Jeremie avait beau s'acharner sur le clavier aucune des lignes d'instructions qu'il rentrait ne voulait s'exécuter de son côté Aelita elle-même ne plus ne pouvait plus agir sur la tour,l'interface de commande semblait complètement hors service,cette effervescence soudaine attira l'attention des locaux guerriers qui à leur tour demandèrent ce qui se passait
Eh Jeremie qu'est-ce qui se passe fit Yumi.
je l'ignore le système semble être devenu fou lui répondit Jeremie.
Mais les lyoko-guerriers n'eurent pas le temps de poser d'autres questions,le phénomène qui affectait les écrans de Jeremie eut le même effet sur eux et plus exactement sur leur véhicule,
alors qu'il était dans les airs au dessus de la mer numérique le Over-board de Odd devint soudain incapable de voler, il commencèrent tous les deux a chuté.
Non Odd s'écria Yumi en tendant la main.
Par chance Odd eut juste le temps de prendre appui sur sa planche pour s'éjecter contre le rebord abruptes du plateau où il réussit à s'agripper a temps,il jeta un rapide coup d'oeil sur sa planche pour la voir tombée dans la mer numérique avant d'exploser dans une colonne de lumière, en grimpant a laide de ces griffes il parvint à remonter sur le plateau
là il vit que les véhicules de ses amis étaient également devenus obsolètes,l' Over-wing gisait sur le sol alors que l' Over-bike refusait obstinément de démarrer.
Bon sang Einstein tu veux ma mort ou quoi !! qu'est ce que tu as encore fait ? lui demanda Odd
Mais j'y suis pour rien je te jure lui répondit Jeremie.
Entre deux grésillement sur l'écran Jeremie arriva à distinguer d'où venait le problème,le phénomène mystérieux qui semblait affecté Lyoko à ce moment-là avait pour source un curieux objet en déplacement sur le territoire foret
Nous avons un problème leur dit ce moment-là Jeremie.
Sans rire on n'avait pas remarquer lui fit Yumi.
est quels genre de problèmes lui demanda Ulrich
Jeremie : le radar vient de détecter l'apparition d'un objet inconnu
Yumi : comment ça un objet inconnu ?! qu'est-ce que tu nous raconte la.
Jeremie : je vous dis ce que j'arrive a lire sur mes écrans, un objet étrange viens d'apparaître quelque part à l'extrémité du territoire Foret, on dirait que c'est lui est responsable de ce phénomène et c'est pas le pire...
Est c'est quoi le pire se risqua à demander Yumi
Sa vient vers vous leur dit Jeremie.
Devant cette nouvelle les lyoko-guerriers ne surent pas comment réagir, se pouvait-il que ce soit de Xana qui fasse volte-face
Sans plus attendre Jeremie demanda à Aelita de prendre les devants en fermant toutes les applications en cours,malheureusement la jeune fille ne pouvait rien faire le système était complètement bloquée.
Rien a faire Jeremie c'est bloqué lui dit Aelita qui n'essuyait qu'un refus a chaque foi qu'elle voulait clore la fenêtre de commande
Ah bravo il ne manquait plus que ça fit Jeremie
Odd : je crois qu'on est bien parti pour se battre
Chacun des locaux guerriers commença à sortir ses armes pour se tenir prêt à recevoir leur mystérieux visiteur mais Jeremie débordé par la situation ne voulut pas prendre de risques et voulu ramener ses amis sur terre mais là encore il ne put pas.
Le mystérieux phénomènes interféreraient avec les commandes de matérialisation,ce dernier non plus ne pouvait pas fonctionner au grand désarroi de Jeremie c'est alors que Jeremie reçu un appel de la part Odd
Einstein on a un problème fit Odd.
et même un problème de taille repris Ulrich
C'est alors que devant les trois Lyoko guerriers le mystérieux objet venait de faire son apparition,c'était une sorte de sphère grise en lévitation donc émanaient une étrange lumière blanche ,elle était beaucoup grosse qu'un méga-tank et faisait pas moins de 6 mètres de diamètre autour delle il y avait un sorte d'anneau de couleur noir
Bon sang mais qu'est-ce que c'est que ce truc demanda Yumi.
je dirais une méga-bouboule volante lui fit remarquer Odd.
La méga-bouboulle comme l'avait appelé Odd flottait dans les airs et venait dans leur direction,elle s'immobilisa juste au-dessus d'eux, ne voulant pas rester en dessous les lyoko-guerriers s'écartèrent sur les cotes pour se prémunirent de toutes attaques.
Se désintéressant totalement des lyoko-guerriers, la mystérieuse sphère commença à émettre un faisceau de lumière en direction de la tour,le faisceau traversa de long en large la tour à l'intérieur de cette dernières Aelita fut soudainement paralysée le mystérieux faisceau l'empêchant de bouger ou de parler.
Aelita que se passe t-il demanda alors Jeremie qui pouvait assister a la scène depuis son terminal.
Devant l'absence de réponse de Aelita Jeremie demanda ses amis ce qui se passait, Yumi lui expliqua ce que la sphère était entrain de faire,sentant que Aelita était en danger il demanda à ses amis de faire quelque chose
Mais dans leurs positions actuelles il était incapable de pouvoir intervenir la sphère était beaucoup trop haute tous de fois Odd s'aventura quand même a tirée quelques flèches laser il fut rejoint par Yumi dans sa démarche
Les projectiles de Odd et les éventails de Yumi touchèrent avec succès la sphère, mais celle-ci sembla à peine affectées par les coups qu'elle venait de recevoir, toutefois cette offensive préventive entraîna une riposte pour le moins étonnant de la part de la sphère.
Alors que le faisceau étaient toujours entrain de balayer la tour la sphère en émis un autre qui a sont tour frappa les lyoko-guerriers, maintenant Odd,Yumi, Ulrich et Aelita étaient tous prisonniers de ces mystérieux faisceaux qui les empêchèrent de bouger.
Pendant au moins une minute ces faisceaux les maintenir dans un état de totale immobilité de son côté Jeremie renouvela les appels mais ceux-ci restèrent sans réponse ne sachant pas ce qui se passait et ne pouvant que les appelés,ses amis pouvaient l'entendre mais il était incapable de répondre.
C'est alors que la sphère cessa d'émettre les rayons,tous les lyoko-guerriers retrouvèrent leur liberté de mouvement,ce fut Aelita qui reprit rapidement la parole pour signaler à Jeremie que tout allait bien.
Jeremie tu m'entend lui fit Aelita
Dieux merci Aelita tu vas bien, que s'est-il passé lui demanda-t-il
je ne sais pas fit Aelita
C'est la sphère qui nous a envoyer une sorte de rayon paralysant fit Yumi
Jeremie : un rayon
Yumi : il semblerait oui et c'est pas fini il se passe encore quelque chose
La sphère commença à faire une rotation sur elle-même pour faire apparaître une autre partie de sa surface, l'anneau qui semblait lui servir de bague commença à s'étendre et un autre rayon commença à être émis
Mais ce nouveau rayon avait un effet des plus étranges il commença à désintégrer la tour par le haut,les particules de la tour qui était désintégrée semblait comme être aspiré par cette sphère.
En voyant ça Aelita n'eut d'autre choix que de sauter sur le plateau inférieur pour échapper à cette désintégration, elle sortie rapidement de la tour provocant alors sa désactivation, elle rejoignit ces amis pour se mettre a l'abri derrière eux, là totalement impuissant à faire quoique ce soit les lyoko-guerriers ne pouvait assister qu'à la décomposition subie de la tour et ceci jusqu'à ce que celle-ci est totalement disparue.
Maintenant les quatre locaux guerriers étaient tous réunis et avertir immédiatement Jeremie de la situation, cela déplut fortement au génie qui fut inquiété, après la tour cette sphère seraient bien incapables de s'attaquer à il préconisa ses amis de s'éloigner le plus vite possible.
Les lyoko-guerriers s'exécutèrent sans discuter, ils commencèrent donc a entamer une retraite stratégique pour échapper à cet adversaire.
malheureusement les craintes de Jeremie se justifièrent après en avoir fini avec la tour la sphère se tourna dans leur direction et ceci n'échappa à personne en particulier à Odd
Oups je crois que la nous allons servir de dessert à Mme la sphère fit Odd.
Mais la blague ne fit rire personne car en effet la sphère commença a leur foncer dessus, par chance le relief environnant la ralentissait de façon considérable,à cause de sa grande taille elle ne pouvait pas se déplacer aussi vite que les lyoko-guerriers
au bout d'une minute d'une interminable course poursuite la sphère finit par s'immobiliser
Je crois qu'elle a jeter l'éponge fit Odd
il semblerait, elle s'est arrêtée d'avancer sur mes écrans de leur dit Jeremie
La sphère resta immobile un instant mais un nouveau phénomène commença également se produire une partie d'elle-même commença à se détacher et à se scinder en une sphère beaucoup plus petite.
Elle passa rapidement à côté des lyoko-guerriers et fonça en direction de Aelita, en se jetant au sol la jeune fille arriva juste à esquiver la sphère qui avait failli lui rentrer dedans mais celle-ci avait déjà opéré une manoeuvre de retour pour revenir à la charge.
De toute évidence la sphère avait pris Aelita pour cible ces amis durent s'interposer pour protéger la jeune fille.
Cette chose en a après moi dit Aelita à Jeremie.
j'ai vu fit Jeremie
Yumi : Jeremie il faut que tu nous ramènes.
Malheureusement je ne peux pas toutes les commandes sont bloqués seulement alors le jeune génie
Dans ce cas-là il faut dévirtualisé Aelita, puisque cette sphère en as après elle fit Ulrich.
surtout pas à cause de ces perturbations on n'a aucune idée de ce qui se passerait si vous étiez dévirtualisé leur défendit Jeremie.
Quelle poisse fit yumi
Encore une fois Aelita parvint à esquiver la sphère en se cachant derrière un arbre, les lyoko-guerriers arrivèrent pour faire rempart de leur corps alors que la sphère fonçait à nouveau sur Aelita.
quand elle fut à sa portée Ulrich lui asséna un violent coup sur le côté ce qui fendit une partie de la sphère, mais l'enveloppe de celle-ci se comporta comme du chewing-gum, l'entaille provoquée par le coup de sabre se referma presque aussitôt.
Génial on peut pas la détruire dit Ulrich
Les flèches laser aussi bien que les éventails étaient inefficaces face à cette chose, le seul moyen qu'ils avaient pour protéger Aelita c'était la fuite, mais à ce moment-là un autre phénomène se produisit,voyant qu'elle ne pouvait pas atteindre son objectif la micro sphère s'immobilisa soudain à son tour.
Aelita : Jeremie la sphère vient de s'arrêter.
Jeremie : j'ai vue je ne sais pas pourquoi.
je crois que là elle a compris qu'elle ne pourra pas t'avoir sans nous passer dessus fit Odd
Ulrich : ça m'étonnerait beaucoup regardez
Bon sang mais qu'est-ce qui va encore se passer fit yumi a ces amis
A peine Ulrich eut-il dit sa qu'un nouveau phénomène étrange se produisit,la sphère principale commença à générer 3 autres micro sphère violette qui fonçérent en direction des lyoko-guerriers,chacune d'entre elles s'immobilisa devant un des guerrier et la elles commencèrent à se transformer.
Ce qui apparut sous les yeux de yumi Odd et Ulrich était tout simplement incroyable,ils avaient a faire a des représentations d'eux mêmes ,on aurait dit des sortes de statues moulées dans de l'argile violette, sans crier gare ces espèces de créatures commencèrent à les attaquer avec leurs propres armes.
ces espèce de réplique s'attaquèrent évidemment à chacun de leur modèle original,les lyoko-guerriers n'eurent d'autre choix que de se défendre face aux assauts de leur "double"
Mais par chance,les doubles meme si ils ressemblait aux lyoko-guerriers,avec leurs mêmes armes ils n'avaient pas les mêmes pouvoirs que ceux qui donnaient un avantage certain au protecteur de Aelita.
Mais à cause de ce combat la micro-sphère était libérée de toute entrave elle pouvait donc sans problème partir à la traque de Aelita, voyant ce qui se passait Aelita c'était de nouveau enfui la jeune fille courait à en perdre haleine afin d'échapper à sa pour suivantes
Jeremie lui indiquait a distance les chemins à suivre de façon à ce qu'elle puisse se réfugier dans la tour la plus proche, mais Aelita n'eut pas le temps de la rejoindre la sphère fonça à toute vitesse sur elle, elle bouscula la jeune fille qui déséquilibré fit plusieurs roulades sur le sol avant d'aller s'écraser contre un arbre
légèrement étourdis Aelita se releva en prenant appui sur l'arbre pour constater rapidement avec effroi que la sphères maintenant lui faisaient face.
complètement acculées et ne pouvant plus s'échapper Aelita s'appuya contre l'arbre et appela Jeremie au secours, sur les écrans d'ordinateur qui était redevenu stable Jeremie ne pouvait qu'assister impuissant à la scène.
La mystérieuse sphère commença à se déformer et prit alors la forme d'une bouche géante armée de tentacules qui commencèrent à se saisir de Aelita.
au secours Jeremie s'écria Aelita en se débattant.
Aelita s'écria alors Jeremie
Jeremie implora alors à ces amis de venir en aide a Aelita, malheureusement ceux-ci avaient fort à faire avec les spectres,alors que les tentacules gluantes commencèrent à envelopper de plus en plus les parties du corps de Aelita, elles commencèrent à l'emmener à l'intérieur d'une sorte de bulle transparente Aelita avait beau se débattre mais rien à faire cette force irrésistible l'attirait de plus en plus à elle.
Jeremie... au secours cria désespérément Aelita.
Aelita cria alors Jeremie
Jeremie Jere......
Le son de sa voix se tue,Aelita était désormais prisonnière de cette bulle translucide à genoux à l'intérieur elle tapait des mains pour briser la paroi mais en vain,
Alors que ces amis avait fort à faire avec les spectres qui bien que n'étant que des copie ces dernières semblaient avoir le dessus mais bientôt la lutte tourna à l'avantage des Lyoko guerriers.
mais pas assez vite pour réagir la sphère leur passa dessus et chacun d'eux pu voir l'image de Aelita prisonnière de la bulle,la micro-sphère se se rendit en direction de la sphère principale
Faites quelque chose il faut absolument libérer Aelita leur supplia Jeremie.
Non parce que tu crois peut-être qu'on s'amuse-nous lui fit Odd qui venait juste d'esquiver une flèche laser violette que venait de lui lancer son double.
la micro-sphère rentra en contact avec la grande sphère,c'est alors qu'une sorte de processus d'assimilation se produisit,la petite sphère fut englobée par la grande,à ce moment-là la carte de Aelita disparu plus aucune communication ne semblait filtrer depuis l'intérieur de cette sphère.
Non !!!!!!! c'est pas vrai s'écria Jeremie
Soudain sans raison apparente la mystérieuse sphère pivota sur elle-même et commença à s'éloigner du champ de bataille emmenant avec elle Aelita
La sphère Jeremie elle se sauve dit alors Ulrich qui venait de parer un double coup de lame de son adversaire
J'ai bien vue vous ne devez surtout pas la laisser filer lui Jeremie
On fait comment demanda yumi qui dévia de justesse les éventails de sa copie
Jeremie : il faut là neutraliser coûte que coûte
Dans ce cas-là je m'en occupe fit Ulrich
le jeune samouraï bloqua une nouvelle estocade de son adversaire et d'un coup de pied le chassa au loin il activa alors son triplicata et se scinda en trois personnes par chance les spectres n'étaient pas capables de reproduire les pouvoirs des lyoko-guerriers Ulrich laissa dont ces deux répliques de lui-même s'occuper du spectre tandis que lui parti à la poursuite de la sphère.
Super-sprint s'écria alors Ulrich.
Laissant derrière lui une traînée de lumière jaune le jeune samouraï se mit alors à poursuivre la sphère alors que ces deux répliques restèrent combattre le spectre, le modèle original en profita pour s'échapper, Jeremie compris que la sphère essayait de regagner la mer numérique mais pour cela elle était obligée de suivre un couloir spécial.
Le relief particulier du territoire foret l'empêchant de se déplacer à grande vitesse ce qui donna le temps a Ulrich de pouvoir la rattraper.
Plus vite Ulrich lui cria Jeremie
Je fais ce que je peux lui dit alors le jeune homme.
Grâce à son super pouvoir le jeune homme sauta de plateau en plateau en zigzaguant à travers les arbres et en prenant tous les raccourcis que Jeremie lui indiquait étant donnés que la sphère était obligée de suivre un couloir très particulier
mais Ulrich devait se dépêcher car la sphère allait bientôt arriver à l'extrémité du territoire si elle se plaçait au-dessus de la mer numérique Ulrich ne pourrait rien faire pour l'en empêcher.
grâce à un dernier bond il réussit a devancer la sphère et à se placer sur sa trajectoire, lui faisant volte face Ulrich ne vit qu'une seule solution pour intercepter la sphère.
Quand la sphère fut a portée de lui il déclencha un nouveau super sprint et c'est à toute vitesse qu'il commença à monter à la verticale d'un arbre arrivé au milieu de celui-ci il s'accroupit pour prendre un élan et avec une détente extraordinaire se jeta sur la sphère arme au poing.
Cette manoeuvre périlleuse lui permit de transpercer la sphère avec l'un de ces sabres,maintenant Ulrich était accroché à la sphère pour parfaire son équilibre il embrocha la sphère avec son deuxième katana, a cette instant il arriva a infliger à celle-ci des dégâts, accrochés à cette dernières il commença à lui asséner des coups de sabre déchirant la sphère sur les flancs
l'attaque de Ulrich ne fut pas sans effet elle commença à perturber la sphère continuant ses attaques il réussit à blesser la sphère a de multiples endroits endommagés que celle-ci commença à perdre progressivement de l'altitude Ulrich poursuivit ces effort sous les applaudissements de Jeremie qui derrière son l'écran pouvait voir que les émissions d'énergie dégagée par la sphère étaient en train de diminuer.
Bravo Ulrich continue comme ça tu est entrain de l'affaiblir dit Jeremie en encourageant son ami
au bout de quelques secondes la sphère s'écrasa sur le sol et semblait incapable de pouvoir se déplacer Ulrich récupéra son deuxième katanas et commença à cisailler l'endroit où Aelita était retenu prisonnier avec des mouvements précis il entaillà la sphère en plusieurs endroits découpant et ouvrant créant de grandes ouvertures sur celle-ci une énorme brèche son but prioritaire était d'extirper à Aelita de cette chose et les armes de Ulrich étaient les plus adaptés pour ça
Tous semblait bien parti sur les écrans de Jeremie la mystérieuse sphère perdait de plus en plus d'énergie il n'était qu'une question de secondes avant que Ulrich ne puisse récupérer Aelita, Ulrich aperçu soudain la bulle transparente ou était retenu captive Aelita, le corp de cette dernière était inerte elle semblait avoir était plonger dans un sommeil artificiel, un sommeil donc Ulrich allait s'empresser de la tirer.
Alors que l'espoir semblait renaître la sonde émis un signal étrange,c'est alors qu'une lumière intense commença à se dégager de celle-ci et un champ d'énergie se forma autour de la sphère qui repoussa le pauvre Ulrich contre le sol.
La sphère devint extraordinairement lumineuse le champ d'énergie qui fut générée se propagea sur toute la structure avec un résultat pour le moins inattendu, les parois endommagées et éventrées de la sphère commencèrent à se restructurer rapidement de part elle-même.
cette étrange spectacle fut étonnant à voir pour Ulrich mais sur les écrans de Jeremie c'était encore plus extraordinaire, pour une raison inconnue le niveau d'énergie de la sphère était en train de remonter de lui-même.
Qu'est-ce qui se passe encore demanda alors Ulrich
Jeremie : je n'y comprends rien c'est la première fois que je vois un phénomène de ce genre.
En moins de temps qu'il ne fallut pour le dire tous les dégâts que Ulrich avait occasionnée sur la sphère avait complètement disparu sur toutes sa surface plus aucune cicatrice n'était visible
sans plus attendre la sphère se remit à flotter dans les airs pour reprendre le chemin de la mer numérique situé a l'extrémité du plateau.
Impressionné mais nullement déstabilisé Ulrich reprit alors la chasse et cette fois-ci tous allait se jouer de peu car la sphère venait enfin d'arriver à l'extrémité du territoire est comme se le doutait Jeremie elle commença se déplacer au-dessus de la mer numérique.
elle est s'immobilisa à une vingtaine de mètres du plateau pendant quelques instants elle resta immobile elle opéra subitement une sorte de transformation d'une forme sphérique elles se mua en une sorte de javelot très effilé posait à la verticale la pointe orientée vers le bas.
cette nouvelle forme plus profilée ne pouvait signifier qu'une seule chose, la sphère avait l'intention de plonger dans la mer numérique si elle parvenait personne ne serait en mesure de la suivre.
Devant cette situation Ulrich n'avait pas d'autres choix,il décida de tenter le tous pour le tous il monta à nouveau contre un arbre pour prendre appui sur celui-ci contrat et se jeter sur cette flèche d'argent.
Ulrich effectua alors le bond le plus extraordinaire qui soit et à nouveau il parvint à planter son katana sur les flancs de la sphère et comme précédemment il planta également son deuxième sabre à l'intérieur de celle-ci pour bien s'y accrocher.
Mais cette fois-ci la réaction fut très différente,les dégâts que venait d'occasionner Ulrich semblait beaucoup plus important que la première fois à cause peut-être de sa forme de javelot la sphère était peut-être devenue plus vulnérable aux assauts du jeune samouraï.
Maintenant Ulrich était suspendu à la sphère celle-ci fut secouée par des mouvements irréguliers ce qui faisait que Ulrich était ballottée de droite à gauche mais ces sabres bien enfoncer lui permettait de se maintenir à ce petit numéro de rodéos improvisé ,il savait bien qu'il était au-dessus de la mer numérique et que si jamais il venait a lâché prise sa en serait fini pour lui.
De son côté Jeremie l'incitat continuer mais rien à faire la sphère continua à amorcer une descente progressive vers les flots, Ulrich tend à un geste désespéré essaya de scinder la masse en la déchirant sur le flanc retirant et plantant à nouveau son sabre il prit appui avec ses pieds commença à se recroqueviller pour tirer les sabres à lui afin de déchirer la sphère sur toute sa hauteur
Tous d'un coup un cri déchirant se fit rapidement entendre dans la blessure que Ulrich venait de causer sur le flanc de la sphère se mit à jaillir une étrange lumière violette
Sur les écrans de Jeremie il apparaissait clairement que Ulrich venait de toucher ce qui semblait être le coeur principal du système malheureusement la plaie n'était pas suffisamment profonde pour empêcher celle-ci de fonctionner pleinement la sphère amorça un plongeon de plus en plus rapide dans sa chute Ulrich risquait d'être virtualiser dans la mer numérique.
C'est alors que sans raison apparente une violente explosion secoua l'ensemble du monde de Lyoko une énorme vague d'énergie commença à déferler, elle balaya sur son passage tous les territoires d'un seul coup
à première vue le coeur Lyoko qu'on venait d'exploser entraînant avec lui la disparition quasi totale de tous les territoires
Par chance l'explosion fut tellement intense quelle dévirtualisa d'un seul coup tous les lyoko-guerriers en particulier Ulrich qui était sur le point de toucher la mer numérique ,Malheureusement la surcharge qui venait d'être générée commença à faire sauter plusieurs partie du super-calculateur certaines des tôles qui recouvraient la machine volèrent a travers la pièce et plusieurs composants furent grillés ou explosèrent sur le coup,toute la machine fut parcourue d'électricité à sa surface
La surcharge fut si importante que les coupe-circuits de sécurité du système se mirent en marche automatiquement,ce qui entraîna la désactivation partielle du super calculateur,les effets furent tels que le courant fut également coupé dans l'intégralité du laboratoire.
Pendant quelques secondes tout le complexe resta plongé dans l'obscurité la plus totale jusqu'à ce que les systèmes de secours prennent le relais mais quand la lumière revint le spectacle à voir n'était pas joli.
Dans la chambre froide du super-calculateur celui-ci était complètement endommagé griller de partout et certaines parties étaient même encore en train de brûler.
Dans la salle des scanner les trois lyoko-guerriers étaient parvenus à revenir sur terre mais le choc avait été si terrible qu'il gisait inconscient dans chacun des scanner.
Mais c'était dans le laboratoire que c'était le pire,Jeremie était complètement effondré sur son clavier il n'osait même plus bouger ce qui venait de se passer l'avait totalement tétanisé,mais Jeremie dû admettre la cruelle évidence.
Aelita venait de se faire enlever.
Chapitre 18 l'attaque
"alors vous êtes sûrs de vous il s'agit bien d'un univers virtuel"
Arnaud : absolument Simon je m'y suis rendu hier soir afin d'en faire une première expertise
Simon : et qu'avez-vous appris ?
Arnaud : que ce monde.... et je suis catégorique là -dessus.... et un univers virtuel différent mais très proche du notre.
Simon : vous me le confirmez donc,nous avons bien affaire à un autre projet Neo-Carthage.
Arnaud : pas vraiment.... je dirais plutôt une sorte de sous déclinaisons moins évolué mais tout aussi complexes de notre propre projet.
Au soir du 18 juin 2005 alors qu'Arnaud s'apprêtait à rentrer chez lui il avait reçu un message d'alarme de la balise qu'il avait laissée dans le réseau,cette dernière venait de lui signaler que le monde mystérieux qu'il avait découvert quelques mois auparavant venait de faire sa réapparition,sans plus attendre Arnaud y avait envoyé sa sonde vger 1.0 sur les lieux pour enquêter
Arrivés sur place il constata qu'en effet le monde était bien réapparu,à l'aide des codes qu'il avait réussis à craquer il parvint à faire pénétrer sa sonde à l'intérieur de la sphère par ce qui semblait être un sas d'accès.
La première chose qui étonna le jeune homme c'est que sa sphère soit sortie de la mer numérique pour immerger dans une sorte d'atmosphère virtuelle,en prenant de l'altitude sa sonde arriva près d'un système de plateau,immédiatement Arnaud avait lancé une analyse de cet environnement à l'aide de ces faisceaux scanner.
Et ce qu'il découvrit cet instant lui parut tout simplement extraordinaire, il s'agissait d'un monde qui était aussi grand que celui de Neo-Carthage,à la différence près que celui-ci n'était pas composé d'une seule île mais de tous un système de territoire très complexe géré par un noyau central qui constituait une sorte de cinquième territoire.
Les premières analyses lui avait permis de comprendre que ce cinquième territoire était une sorte de noyau central autour duquel gravitait les autres,le plus prudemment du monde Arnaud parti à l'exploration de ce territoire.
Vger 1.0 finit par arriver dans une sorte de sphère géante creuse à l'intérieur de laquelle se trouvait une autre sphère de taille plus petite,apparemment tous les flux de données semblaient converger vers cet endroit,piqué par la curiosité Arnaud voulu en savoir plus ,fallait-il encore pouvoir y entrer.
Après avoir fait plusieurs fois le tour de cette sphère,Arnaud eut la chance de découvrir une petite ouverture située à sa base.
après s'y être prudemment introduit par le sas Arnaud avait fini par se retrouver dans un grand puit pour arriver devant une espèce de forme étrange autour de laquelle gravitaient deux cubes en suspension imbriqué l'un dans l'autre.
Ne voulant rien tenté pour le moment avant d'en savoir Arnaud mis en place le système de brouillage de sa sonde, une sorte d'occulteur qui rendait sa sonde totalement indétectable.
Arnaud savait très bien que ce territoire était une zone ennemie car le signal qu'il avait remonté provenait de cet endroit,la prudence était donc de mise.
Le matin même quand Simon fut averti de la découverte de Arnaud, il demanda à ce dernier de tout lui expliquer ce que le jeune homme fit sans la moindre hésitation,conscient que cet environnement représentait un danger potentiel Simon voulut que même s'assurer que personne n'était au courant de cette histoire aussi bien les gens de la société que les individus qui se cachaient derrière la gestion de ce monde,Arnaud dissipa les doutes de Simon le plus simplement du monde.
Simon : vous pensez qu'ils ont détecté votre votre intrusion.
Arnaud : pas de risque de ce côté-là ma sonde émet un signal de brouillage très particulier qui la rend pratiquement invisible.
Simon : quel genre de signal de brouillage
Arnaud : si vous préférez c'est en quelque sorte un occulteur "maison" qui la rend invisible au radar.
Simon : dont ils ne savent pas que vous êtes la.
Arnaud : si c'était le cas il m'aurait déjà attaqué ne croyez-vous pas ?
Simon : c'est vrai ils auraient sûrement lancé contre vous leur monstre géant.
Arnaud : de plus j'ai caché ma sonde près de ce qui semble être le coeur de leur système,franchement il ne penserons pas à venir a me chercher la.
Simon : très malin de votre part et ce coeur du système vous pouvez m'en dire quoi.
Arnaud : pas grand-chose si ce n'est qu'il a l'air de gérer ce monde et je crois même que s'en est le point vulnérable.
Simon : vous auriez trouvé le point faible de ce monde.
Arnaud : au même titre que Tanit ce système est le talon d'Achille de cet environnement,ce qui veut dire que si je lançais un de mes spectres contre lui je le détruirais à coup sûr.
Simon : si je vous comprends bien vous pourriez facilement détruire ce monde.
Arnaud : c'est à ma portée,est à part ces deux boucliers de protection rien d'autre ne semble protéger ce coeur.
Simon : pourquoi ne l'avez-vous pas fait alors
Arnaud : pourquoi aurais-je fait ça ?
Simon : dois-je vous rappeler qu'il nous ont attaqué il y a quatre mois de cela.
Arnaud : ça on n'en est pas sûr.
Simon : quoi !! vous doutez de l'existence de ce monstre géant qui s'est attaqué aux remparts de la cité en mars dernier.
Arnaud : je ne nie pas cet événements, je dis juste qu'on a aucune preuve que l'attaque était dirigée depuis cet environnement.
Simon : pourtant si je ne m'abuse vous m'avez dit avoir suivi le signal émis par ce monstre et que ce signal vous avait conduit jusqu'ici.
Lors de l'attaque du mois de mars contre la cité,le monstre géant qui s'en était pris au rempart avait laissé derrière lui un signal,à l'aide de sa sonde Arnaud avait réussi à remonter l'origine du signal,tel un fil d'Ariane cela l'avait amené à découvrir plus d'une centaine de petits mondes qui étaient tous reliés les uns aux autres,mais le terme de ces investigations c'était achevé par la découverte du monde d'origine de ce signal.
Il n'y avait pas de doute à avoir sur le sujet,si le monstre colossal au corp de lave tirait sa force de tous les petits mondes selon la théorie de Arnaud il semblait que la cause de tout ça avait pris naissance dans ce monde.
Et puisque Neo Carthage n'avait jamais ouvert les hostilités,Simon estima que par principe de précaution il fallait détruire ce monde,mais Arnaud lui n'était pas de cet avis,pour lui ce monde se devait d'être exploré car dans son optique de chercheur il supposa que cet environnement pouvait être une riche mine renseignement pour qui serait les exploités.
Cet argument avait suffi à convaincre Simon qui décida d'attendre,Arnaud avait réussi à se montrer très convaincant,il prouvât à Simon qu'avec sa sonde il était en mesure d'en apprendre beaucoup sur ce monde est que si on lui en laissait le temps il pourrait peut-être apprendre des choses intéressantes,mais en cas de nouvelle attaque Arnaud donna l'assurance à Simon qu'il serait en mesure de riposter si cela s'avérait nécessaire.
Dans cette éventualité Arnaud avait généré une cinquantaine de spectres qu'il avait placé tous autour du coeur du système si les événements venaient à mal tourner elles seraient la garantie que leurs ennemis ne l'emporteraient pas en pas au paradis.
Arnaud : avec mes spectres postés autour du coeur de leur système ils y réfléchiront sûrement a deux fois avant de nous attaquer
Simon : espérons que tu es à raison mon garçon.
Arnaud : c'est garantie à 100 % vous pouvez me faire confiance
Simon : très bien et maintenant que comptes-tu faire ?
Arnaud : eh bien puisque nous sommes ici autant effectués quelques recherches.
Simon : et ou compte tu procéder à tes recherches ?
Arnaud : ici même dans cette salle,car dans cette matrice toute les informations vitales à ce monde y sont concentrées si j'arrive à analyser ce code source il pourrait peut-être nous en apprendre beaucoup sur ce monde.
Simon : pourtant ne m'avez-vous pas dit que cette matrice est protégé par des boucliers
Arnaud : en effet cette matrice est protégée par deux boucliers il va falloir que je les perce pour atteindre cette source d'information.
Simon : les scanners de votre sonde ne peuvent pas traverser ces boucliers
Arnaud : j'ai déjà essayé mais ces boucliers filtrent le signal de mes scanner.
Simon : et vous ne pouvez pas contourner les défenses comme vous l'avez fait avec le bouclier principal de ce monde.
Arnaud : ceux-là sont très différents du bouclier principal qui contrôle cette sphère j'ai bien peur que pour pouvoir les percés je doive les détruire.
Simon : mais si vous faites ça, les créateurs de ce monde ne risque-t-il pas de vous repérer.
Arnaud : c'est bien la le problème justement mais c'est le seul terminal d'accès virtuel que j'ai trouvé.
Simon : pourtant vous m'avez parlez de tout un réseau d'édifices reliés entre eux par un système de conduit artificiel.
Arnaud : oui ces édifices mystérieux ont l'air d'être des terminaux qui convergent tous vers ce point central, c'est-à -dire la matrice de ce système.
Simon : alors peut-être devriez-vous contourner les bouclier en passant par ces édifices
Arnaud : j'y est bien penser malheureusement ces terminaux ne sont pas activer.
Simon : que voulez-vous dire par "activer" ?
Arnaud : ces édifices sont reliés au coeur principal pour une bonne raison celui-ci leur sert apparemment de sources d'alimentation en énergie.
Simon : dont ces édifices ne seraient qu'une extension de ce coeur
Arnaud : vous avez tout compris Simon et pour le moment tous ces systèmes ne sont pas actif.
Simon : dont si je vous comprends bien à vous connectez à ces systèmes pour le moment ne servirai à rien.
Arnaud : c'est sûr que si l'un de ces systèmes était actif je pourrai alors en scanner le contenu est ainsi prélever toutes les informations.
Simon : et vous ne savez pas comment faire pour activer artificiellement ces systèmes
Arnaud : pas encore je manque de données pour le moment,mais avec du temps je finirai par trouver.
Pendant plus de trois heures Arnaud s'efforça à analyser le coeur du système malheureusement à cause des boucliers,il ne parvenait à retirer qu'un minimum de données,sur le coup Arnaud avait essayé d'utiliser toutes les ruses et parades qu'il connaissait en matière de défense mais la aussi ces efforts furent vains.
La sonde était en position stationnaire durant tout le procédé d'analyse,bien sûr le problème ne venait pas seulement des boucliers du coeur mais aussi de son système d'occulteur,
Si l'occulteur permettait a la sonde de ne pas être détecté par leurs ennemis en contrepartie il empêchait à Arnaud d'utiliser toutes les fonctions de sa sonde notamment les radars et les systèmes de capture,Arnaud ne pouvait utiliser qu'un système de scanner de base nettement moins efficace que les autres systèmes d'analyse dont était pourvue Vger 1.0.
Cela pouvait être rageant mais Arnaud ne pouvait pas prendre le risque d'être détecté,il devait donc prendre son mal en patience et attendre
Pourtant au bout d'une demi-heure un phénomène étrange se produisit Arnaud détecta soudainement une fluctuation d'énergie pour le moins anormal en provenance du coeur.
Bon sang qu'est-ce qui se passe encore dit alors à Arnaud en pianotant sur les touches de son ordinateur.
il y a un problème lui demanda Simon qui fut intrigué par la soudaine activité du jeune homme.
Arnaud : c'est étrange je viens de capter une fluctuation d'énergie en provenance de ce coeur
Simon : vous savez ce que c'est..
Soudain un sourire illumina le visage du jeune homme,les informations qui venaient de s'afficher sur son écran d'ordinateur venait de le ravir.
Simon j'ai une bonne nouvelle à vous annoncer dit-il à cet instant
et laquelle demanda Simon.
Arnaud : quelqu'un vient d'activer l'un de ces fameux édifices.
A son tour Simon se mit à sourire, il venait de comprendre ce qui semblait ravir le jeune homme,le faite qu'un de ces édifices vienne de s'activer signifiait simplement que Arnaud avait là une possibilité de se connecter au coeur du système.
Simon : vous allez pouvoir vous connecter ?
Arnaud : maintenant que l'édifice est alimenté j'ai une véritable voie romaine à ma portée.
Simon : est bien c'est parfait qu'attendez-vous pour agir
Votre autorisation Mr fit alors Arnaud d'une manière très protocolaire.
Alors que depuis le début Arnaud c'était comporté comme un véritable intrus celui-ci semblait émettre quelques réticences à vouloir continuer son petit travail d'exploration car à la longues Arnaud avait fini par se convaincre que ce qu'il faisait était de l'espionnage pur et simple est que pour se dédouaner de toute responsabilité il voulait qu'un supérieur lui en donne l'ordre.
Sans l'ordre de son supérieur ils ne tenterait rien et bien sûr le supérieur auquel Arnaud faisait référence était Simon Watson le numéro trois de Cyclotron.
Donc Mr Watson qu'elles sont vos instructions fit Arnaud sur un ton très martial.
Simon : mon garçon je n'aurai qu'un mot à vous dire.... action !!!
Arnaud : merci Mr. Watson.
Sans plus attendre Arnaud programma sa sonde pour qu'elle abandonne sa position stationnaire afin que celle-ci puisse se rendre vers le terminal d'accès, toutefois pas mesure de sécurité il laissa plusieurs spectres en mode occulté dans cette étrange salle.
La sonde sortie par dessous le puits d'accès de la sphère secondaire pour pouvoir emprunter le tunnel de données située au nord de la structure,la sonde s'y engouffra sans le moindre problème et naviguant à contre flux elle finit par sortir du cinquième territoire pour se rendre à la périphérie nord d'un territoire composé d'arbres virtuels,mais à peine la sonde était-elle arrivée aux abords de cet environnement qu'un problème venait de se poser à Arnaud.
Simon : tout se passe bien
Arnaud : si on veut
Simon : pourquoi dites-vous ça
Arnaud : est bien disons que nous avons un "petit problème"
Simon : quel genre de "petit problème"
Arnaud : le bouclier occulteur.
Simon : quoi ne me dites pas qu'il a été désactivé.
Arnaud : non je vous rassure il est toujours actif et d'ailleurs c'est bien ça le problème
Simon : que voulez-vous dire ?
Arnaud : le champ magnétique que génère le bouclier occulteur empêche la sonde de pouvoir se déplacer dans cet environnement.
Simon : qu'est-ce que vous me chantez la ?
Arnaud : je m'explique, cet environnement est une sorte forêt bordée d'arbres tout le long ce qui fait que les allées sont très étroites et que ma sphère ne peut pas y passer.
Simon : visuellement parlant votre sphère n'est pas si grosse que ça elle devrait normalement pouvoir y circuler.
Arnaud : en temps normal que je vous l'accorde,mais la le champ magnétique que génère le bouclier occulteur double le volume qu'occupe ma sonde dans l'espace.
Simon : ce qui veut dire que vous ne pouvez pas passer à cause du volume que vous occupez.
Arnaud : c'est tout à fait exact,le volume qu'occupe ma sphere n'empêche de me mouvoir dans le relief particulier de cet environnement.
Simon : si je vous comprends bien c'est comme si vous conduisiez 36 tonnes dans une rue étroite.
Arnaud : exacte ma marge de manoeuvre est plutôt réduite pour ne pas dire inexistante
le bouclier occulteur de la sonde était une sorte de champ magnétique qui la rendait invisible est totalement indétectable,mais l'inconvénients c'est que ce champ prenait une place considérable,jusqu'à 2 fois le volume original de la sphère,quand il s'agissait de se déplacer dans l'espace ce n'était pas un problème,mais le relief particulier de ce territoire faisait que la sonde était incapable de s'y déplacer,bien sûr le problème n'était pas insoluble il existait une solution.
Simon : mince alors !! pouvez vous faire quelque chose contre ça ?
Arnaud : j'ai bien une solution mais elle ne va pas vous plaire.
Simon : et quelle est cette solution ?
Arnaud : il faut que je désactive le bouclier occulteur pour gagner de la place.
Simon : attendez mais si vous faites ça ils vont vous repérer.
Arnaud : c'est bien la le problème, nous sommes devant deux cas de figure, soit on renonce à analyser cet édifice pour conserver notre anonymat soit on se dévoile au grand jour mais là il faudra se dépêcher d'emmagasiner un maximum d'informations et ne pas traîner ici.
la situation venait d'être clairement exposé par Arnaud, il appartenait maintenant à Simon de choisir, ils avaient peut-être là une opportunité unique d'en apprendre un maximum sur leur ennemi,de plus si comme Arnaud le prétendait son système est capable d'emmagasiner des informations à vitesse grand V,à coup sûr un risque se devait d'être pris, Arnaud resta suspendu aux lèvres de Simon qui se perdait dans ses réflexions
Alors que faisons-nous demanda le jeune homme a Simon
Simon : si nous pouvons retirer quelques informations susceptibles de nous défendre par la suite alors je crois que le jeu en vaut la chandelle.
Arnaud : dans ce cas cela veut dire que je peux y aller
Simon : allez-y Arnaud désactiver le bouclier, prélevé toutes les informations à votre portée et filez aussi vite que possible une fois que ce sera fait.
Sans plus attendre Arnaud s'exécuta aux ordres de Simon le jeune prodige de l'informatique pianota quelques instructions sur son clavier,quelques secondes après le bouclier occulteur de sa sonde fut désactivée,l'aura magnétique qui entourait la sonde la rendant invisible aussi bien visuellement que physiquement venait de s'estomper
Désormais Vger 1.0 était parfaitement visible,il ne faudrait donc pas longtemps pour que l'on repère sa présence,si l'absence du bouclier occulteur présentait le désavantage d'être visible parallèlement Arnaud avait put récupérer toutes les fonctions principales de sa sonde a commencé par le système de transcodage.
Le système de transcodage était une fonction que Arnaud avait intégré à sa sonde elle permettait d'analyser un système et d'en compresser les données pour les transférer immédiatement sur le super-calculateur de la section 4
Ce que Arnaud ignorait par contre c'est que le système de transcodage émettait une onde numérique de parasitage qui avait la particularité de brouiller les systèmes de contrôle de l'environnement où il se trouvait.
En pleine possession de ses moyens Arnaud se lança dans la lecture des données qui lui était transmis en ce moment.
Voila qui est intéressant dite alors Arnaud
Simon : vous avez trouvé quelque chose d'intéressant
Arnaud : Ça se pourrait bien, jusqu'à présent à cause de mon bouclier occulteur les scanners de ma sonde n'étaient pas pleinement fonctionnel mais maintenant c'est plus le cas.
Simon : et qu'est-ce que ça change ?
Arnaud : tous à première vue les flux d'énergie émis par les édifices varie d'un point à l'autre.
Simon : ce qui veut dire
Arnaud : que tous les édifices n'ont pas la même fonction,apparemment celui qui a été activé et serait un système de transmission
Simon : cela voudrait dire qu'il est très spécial.
Arnaud : nous avons vraiment de la chance
Simon : dans ces cas-là ne perdez pas de temps maintenant que vous n'est plus invisible,on peut supposer qu'ils ne vont pas tarder à intervenir
Arnaud : vous avez raison ne traînons pas
Arnaud programma les coordonnées de l'édifice sur sa sonde pour que celle-ci s'y rende automatiquement,sans perdre un instant Vger 1.0 se mit à longer le réseau de conduite virtuel qui devait la conduire à son objectif.
En l'espace de deux minutes la sonde se retrouva en face de l'édifice,d'après les premières analyses que pouvait faire Arnaud ce terminal était bien reliée au coeur principal
Mais Arnaud ne pouvait pas perdre son temps à s'extasier devant ce système les radars de Vger 1.0 avaient détecté la présence de trois sous système à proximité de l'édifice,au premier abord il sembla évident pour Arnaud qu'il avait affaire à des anti-virus destinés à protéger l'édifice.
Sans se soucier de leur présence Arnaud commença à entamer le processus d'analyse du système, réussir à s'introduire dans cette base de données était prioritaire, la sonde était maintenant en mode automatique elle commença à scanner systématiquement le système et à récolter toutes les informations qu'elle pouvait en extraire.
Lors de l'analyse Arnaud eut la surprise de détecter la présence d'un quatrième sous système à l'intérieur de l'édifice,mais cela ne fut rien en comparaison de ce qu'il trouva par la suite,Arnaud venait de découvrir une porte d'entrée qui lui donnait accès à des ressources cachées du système,il venait de découvrir une banque de données indépendantes au système.
mais il ne pouvait pas à explorer davantage le contenu de cette banque car les anti-virus avaient commencé leur offensive,Arnaud enregistra quelques baisse d'énergie sur la structure externe de sa sonde.
A première vue les anti-virus étaient en mesure d'infliger des dégâts,afin de gagner du temps et de prélever d'autres données Arnaud activa un deuxième faisceau de scanner qu'il braqua sur les anti-virus afin de les neutraliser un certain temps.
Au bout d'une minute les opérations de scannerisation furent achevés et durant ce court laps de temps Arnaud pu établir un premier avis
le système qu'il venait de scanner contenait bien plus d'informations qu'il croyait mais comme une analyse en profondeur prendrait beaucoup trop de temps et que les programmes de défense ne lui laisserait pas l'opportunité de le faire Arnaud se décida à utiliser le processus d'assimilation
Le processus d'assimilation était un système qui permettait de scanner et de composer un programme dans son ensemble et grâce a la régénération virtuelle il pouvait le comprimé et en réduire la taille de façon considérable ce qui lui permettait de tout simplement d'absorber un programme dans son intégralité.
Sans plus tarder Arnaud lança le programme d'assimilation, le mystérieux édifice commença alors à être absorbé par la sonde alors que l'opération se déroulait sans faille Arnaud remarqua que le quatrième sous programme qu'il avait détecté venait à l'instant de s'extraire de l'édifice.
Aussitôt il détecta une perte de puissance de la part de celui-ci,et cela n'était pas dû au fait que la sonde assimilait l'édifice,non cela correspondait bien à la soudaine disparition de ce sou programme de cet environnement.
Arnaud comprit rapidement le rôle que remplissait ce quatrième sous programme,de toute évidence il devait s'agir d'une clé d'activation,un protocole conçu pour faire fonctionner les édifices,il apparut même évident que celui ci remplissait le rôle de sauvegarde.
Voilà qui est très intéressant dit le jeune homme.
Quoi dont demanda Simon.
Arnaud : le quatrième sous programme que je viens d'analyser et très différent des autres
Simon : que voulez vous dire par différents
Arnaud : d'après ce que je peux en lire ce sous programmes serait compatibles avec le système des édifices,c'est une sorte de clé d'activation des données d'interaction des variables polyfonctionnelle de ces environnements doté d'une mémoire intrinsèque...
Simon : ce qui veut dire dans une traduction en anglais
Arnaud : qu'avec cette "clé" je serais en mesure d'analyser plus rapidement le contenu des informations que nous avons recueillies.
Simon : vous êtes sûrs de vous
Arnaud : je suis affirmatif.
Simon : dans ce cas là il n'y a pas a hésité il nous la faut cette "clé".
Arnaud : il ne me reste qu'une chose à faire.... je dois m'en saisir.
Arnaud programma alors sa sonde pour que celle-ci assimile le sous programme,mais ce dernier ne semblait pas disposé à être "capturer",lui et les trois autres programme se rendirent alors vers une zone où Vger 1.0 allait avoir beaucoup de mal à se déplacer.
Arnaud : apparemment la capture de ce programme de sauvegarde va être un peu plus compliqué que prévus
Simon : vous rencontrez un obstacle ?
Arnaud : et même plusieurs en faite,ce sous programme c'est réfugiés dans une zone dont le relief est très étroit, ma sonde ne peut pas le suivre.
Simon : qu'est-ce qu'on fait ? on abandonne!
Arnaud : vous me connaissez mal Simon si vous croyez que j'abandonne aussi facilement.
Simon : et pour résoudre ce nouveau problème comment allez-vous faire
Arnaud : je vais utiliser le Traqueur.
Simon : le Traqueur ?!!!
Le programme de sauvegarde convoitée avait déjà réussi à se mettre hors de porter de Vger 1.0 en s'engouffrant dans un couloir étroit ce qui est théoriquement le mettait hors d'atteinte du système d'assimilation de la sonde.
Mais Arnaud était un garçon plein de ressources,ne pouvant scanner est compressé ce programme sur une longue distance,Arnaud avait décidé de lancer à sa poursuite le Traqueur
C'est alors que sur l'un des cotés de la sphère,une sorte micro sphères se détacha et commença à partir en direction du sous programme.
Fonction Traqueur à activer dit Arnaud.
Simon : Traqueur qu'est-ce que c'est ?
Arnaud : ma version personnelle de la sphère blanche de la série télévisé "le prisonnier", le Traqueur est capable de poursuivre et d'assimiler n'importe quel type de programme sans avoir à le compressé,en gros ce système de capture me permet d'effectuer un bête couper coller.
Simon : voilà qui est intéressant.
Arnaud : est le meilleur est à venir
Ce fut alors un véritable jeu du chat et de la souris qui avait commencé entre le programme de sauvegarde et le Traqueur, quelque part cela ne déplaisait pas à Arnaud car à ses yeux tout ceci n'était finalement qu'une partie de jeux vidéo emporté pour son enthousiasme le petit génie alla même jusqu'à déclarer...
Inutile de te sauver petit programme tu ne m'échappera pas fit Arnaud à la grande surprise de Simon.
Simon : je trouve que vous prenez ça avec beaucoup d'amusement
Arnaud : mais c'est le cas je m'amuse comme un petit fou.
Mais l'amusement fut de courte durée,car les 3 autres sous programme semblait faire obstacle au Traqueur,évidemment ce petit imprévue déplus fortement à Arnaud qui détestait plus que tout monde qu'on lui gâche son plaisir.
on n'est pas joueur hein !!! et bien on sera 4 fit alors le jeune homme.
A partir des données qu'il avait précédemment scannées Arnaud activa la fonction spectre de sa sonde.
c'est alors que celle-ci se mit à générer trois micro-sphères de couleur violette qui prirent systématiquement la forme des trois programmes incriminés,cette nouvelle fonction bien sûre Simon n'avait entendu parler.
Arnaud lui expliqua que le programme spectre de la capacité de scanner et de reproduire quasiment à l'identique un programme et que là il allait s'en servir comme d'un leurre pour pouvoir détourner l'attention des anti-virus et ainsi permettre au Traqueur de remplir sa mission.
Est le résultat fut sans escompter que celui que Arnaud espérait les trois clones réussirent à monopoliser l'attention des anti-virus,aussitôt le Traqueur repris sa chasse.
sur les écrans Arnaud vit que le Traqueur se rapprochait de plus en plus de sa cible jusqu'au moment où il vint à la heurter afin de la freiner dans sa course.
Cette fois que je te tiens s'écria Arnaud.
Simon : oui c'est bon.
Arnaud : Traqueur en mode capture .... action !!!
Sur ces écrans Arnaud pus voir que le Traqueur commença assimilé le quatrième sous programme, petit à petit les paramètres de la sphère blanche indiquèrent que la capture se passait sans le moindre problème, soudain l'un des compteurs indiqua une capture réussie à 100 %.
C'est dans la boîte dite alors Arnaud.
Dans ce cas mieux vaut pas s'éterniser ici fit Simon
Arnaud : c'est ce que j'allais vous suggérer Simon,nous disposons maintenant de suffisamment d'informations, je lance immédiatement le programme de retraite
En l'espace de seulement quelques secondes le Traqueur avait rejoint Vger 1.0, il entama avec la sonde un processus de fusion.
Maintenant le programme qu'il venait de capturer était complètement intégré au système de Vger 1.0.
La sonde entama alors le programme de retraite pour s'échapper au plus vite de cet endroit, mais toujours à cause de sa taille et du relief ambiant Vger 1.0 ne pouvait utiliser que le long couloir par lequel elle était arrivé et qui devait la conduire à l'extrémité du territoire avant de pouvoir replonger dans la mer numérique.
Sans plus attendre la sonde commença à repartir en direction du bord mais elle était obligée d'arborer une vitesse plutôt modérée afin d'éviter de percuter les rebords c'est un pilotage extrêmement complexe auxquelles Arnaud était en train de se livrer avec Vger 1.0
bien sûr une telle lenteur n'était pas sans poser problèmes car Arnaud avait détecté sur ces radars que l'un des anti-virus s'était lancé à la poursuite de la sonde,pour une raison inconnue celui-ci avait réussi à leurrer son propre clone en se scindant en trois parties.
Arnaud : apparemment l'un des anti-virus c'est lancé à notre poursuite.
Simon : vous ne pouvez pas eu envoyé un autre spectre.
Arnaud : pas quand je suis en mode automatique
Simon : que pouvez-vous faire alors ?
Arnaud : une seule chose ... foncer !!!
Arnaud essaya d'augmenter la vitesse de sa sonde mais cela ne changera rien l'anti-virus qu'ils avaient sur leurs traces semblaient se déplacer à une vitesse ahurissante,très rapidement il parvint même à dépasser la sonde à la grande surprise de Simon n'est pas de Arnaud qui comprit la manoeuvre.
visiblement cet anti-virus allait tenter de faire barrage et les craintes de Arnaud se justifièrent quand le mystérieux anti-virus parvint à intercepter la sonde dans sa course aussitôt celui ci infligea des dégâts sur la structure externe de Vger 1.0.
sur les écrans de contrôle de Arnaud des fenêtres d'alarme firent leur apparition les dégâts qu'occasionnait cet anti-virus était considérable les compteurs affichait une perte d'énergie et l'altimètre indiqua que la sonde commença à perdre de l'altitude jusqu'à ce qu'elle finisse par s'écraser sur le sol.
Les voyants d'alarme étaient dans le rouge partout ils indiquaient des pertes d'énergie considérable,de toutes parts cette anti-virus semblait infliger des dégâts à la sonde celle-ci avait déjà perdu 20 % de son énergie et ce chiffre étaiet en complète progression.
Derrière leurs écrans les deux hommes était surpris aucun des deux ne s'attendait à une telle résistance de la part d'un simple anti-virus bien sûr cette nouvelle tournure des événements inquiéta fortement Simon qui demanda à Arnaud de réagir mais à cet instant-là que le garçon adopta une attitude des plus étranges en ne faisant rien.
Vous ne faites rien là pour sauver votre sonde lui demanda Simon
a bien sûr que si je vais faire quelque chose dit Arnaud sans le moindre stress
Simon : et quoi dont ?
Arnaud : est bien je vais pousser mon clavier me croiser les bras et m'adosser contre mon siège.
aussitôt dit aussitôt fait le jeune homme fit exactement ce qu'il venait de dire alors que sur les écrans la situation semblait complètement chaotique désabusée par l'attitude que venait d'adopter Arnaud à ce moment-là Simon lui demanda de se reprendre
Mais qu'est-ce que vous faite demanda-t-il à cet instant
Arnaud :cela ne se voit-il pas que j'attends
Simon : vous attendez quoi
Arnaud : j'attends c'est tous
Cette situation avait l'air d'amuser Arnaud mais Simon lui commença à perdre patience il devint alors terriblement nerveux au point d'en devenir agressif envers Arnaud.
Mais espèce de petit con tu vas faire quelque chose dit-il à Arnaud en lui saisissant le col de la chemise.
surpris par cette attitude pour le moins étonnante de la part de Simon Arnaud n'entendit pas se laisser faire, il abandonna rapidement la posture désinvolte qu'il avait pris pour faire face à son interlocuteur.
On se calme Sinon tout est sous contrôle lui dit alors le jeune homme.
Tous est sous contrôle vous osez me dire que tout est sous contrôle alors que votre Sonde est en train de se faire détruire lui répliqua alors Simon.
Surtout ne sous-estimez pas la puissance de Vger lui répondit alors le jeune homme
Mais qu'est-ce que vous me chantez la lui fit Simon.
vous allez bientôt comprendre lui dit Arnaud qui s'est mis alors a compter a l'envers.
5 - 4 - 3 - 2 - 1.... feu fit Arnaud
C'est alors qu'un phénomène pour le moins étrange commença à se manifester sur les écrans,sans raison apparente une nouvelle fenêtre de paramètres fit son apparition, il s'agissait du niveau d'énergie Vger et à la surprise générale celle-ci commença à remonter.
Mais que se passe-t-il demanda alors Simon
vous ne devinez pas lui fit Arnaud.
Simon : je ne capte rien de ce qui se passe.
Arnaud : et bien il semblerait que ma sonde soit entrain de se régénérer.
En l'espace de quelques secondes Vger retrouva l'intégralité de ses fonctions s'est alors que le jeune homme lança
Là Sinon vous pouvez dire que vous en avez pour votre argent vous avez devant vous la preuve de ce que mon programme et capable de faire grâce à son coeur de régénération, ce système est capable de se réparer tous seul. fit Aranud
Pour affirmer toute la splendeur de son système Arnaud leva les bras au ciel en s'écriant
" Et voici la régénération virtuelle dans toute sa splendeur" fit le jeune homme
Il fallait se rendre à l'évidence les paramètres qu'affichait la sonde indiquait clairement que celle-ci était de nouveaux fonctionnelle à 100 % ,les anti-virus de ce monde auraient beau s'acharner à essayer de la détruire il n'y parviendrait jamais car équiper du coeur de régénération cette sonde disposait d'une énergie infinie ce qui faisait qu'elle était quasiment indestructible.
Après cette brillante démonstration la sonde reprit son envole en direction de la mer numérique afin d'y plonger, nos voleurs amateurs laissèrent la sonde continuer son programme sans se soucier maintenant de ce que les anti-virus pourraient faire
La démonstration était tellement flagrante qu'elle mit Arnaud et Simon en confiance,trop sûr de lui le jeune homme commit l'indélicatesse de ne plus s'occuper de la gestion de sa sonde qui était totalement en mode automatique.
elle parvint sans encombre au-dessus de la mer numérique,la sonde entama alors son processus de transformation afin de se préparer à l'immersion.
de sa forme sphérique elle passa à celle d'un javelot effilé,forme destinée à améliorer sa pénétration et sa navigation au milieu de l'océan numérique.
alors que le processus de transformation était presque achevée,Arnaud n'avait pas remarqué que l'anti-virus avait continué sa poursuite
au moment où la flèche entama sa descente vers la mer numérique le fameux anti-virus parvint à à l'accoster et à s'agripper contre elle
décidément qu'est-ce qu'il est crampons cette anti-virus se dit Simon
Simon était amusé de voir à quel point certains programmes pouvaient être obstiné dans leurs fonctions,mais la démonstration que lui avait faite Arnaud l'avait rassuré ils savait bien que la sonde n'avait rien à craindre de cet anti-virus.
Mais à cet instant Arnaud ne fut pas d'accord,le jeune homme perdit même de son assurance car il savait que malgré ces incroyables capacités Vger avait un point faible.
Car si sa forme sphérique Vger était quasiment indestructible,sous sa forme de javelot la sonde était beaucoup plus vulnérable car le coeur de régénération était beaucoup plus exposé aux attaques.
et là le pire finit par arriver si les craintes de Arnaud se justifiaient pour une raison inconnue le fameux anti-virus réussi à endommager la sonde au niveau du coeur partout sur les écrans de multiples signaux d'alarme venait de s'activités alors que la sonde était toujours en train d'entamer son processus de descente
C'est par là c'est une catastrophe s'écria alors Arnaud.
Que se passe-t-il lui demanda lui demanda sinon
Arnaud : c'est une catastrophe anti-virus vient d'endommager le coeur de régénération de la sonde.
Simon : vous ne pouvez pas faire quelque chose pour l'empêcher
Arnaud : impossible en mode automatique je n'est plus aucun contrôle sur ces agissements.
la procédure automatique qu'avait programmé Arnaud empêchait ce dernier d'intervenir,le programme de navigation était conçu de telle sorte que rien ne pouvait le perturbé,Arnaud avait commis l'erreur de croire qu'au-dessus de la mer numérique il serait inaccessible mais c'est anti-virus venait de lui prouver le contraire et avait pris complètement au dépourvu le jeune homme qui ne savait plus quoi faire.
Bordels il doit bien y avoir un moyen de stopper cet anti-virus lui dit Simon.
Non dans ce mode je suis incapable de contrôler les mouvements de ma sonde fit Arnaud qui s'acharnait comme un fou sur son clavier.
Simon : vous ne pouvez donc rien faire pour le stopper.
aranud : je ne suis pas en mesure pour contre-attaquer.
Alors que la situation commençait à liés au drame Simon réalisa soudain qu'il restait une possibilité à laquelle Arnaud n'avait pas pensé et qui lui permettrait de contre-attaquer.
Les spectres de la zone noyau ils sont toujours actifs lui demanda Simon
Arnaud comprit rapidement ce que Simon voulait lui dire celui-ci faisait référence aux spectres que Arnaud avait laissés en plan dans la zone de noyau,si Arnaud n'avait pu aucun contrôle sur la navigation de sa sonde il avait encore la possibilité d'utiliser la fonction spectre de celle-ci,
vous devez utiliser vos spectres lui dit Simon.
Non je m'y refuse lui répondit Arnaud.
Vous n'avez pas le choix c'est ça ou nous perdons la sonde lui rétorqua Simon.
Arnaud était au pied du mur il savait que Simon avait raison s'ils ne faisaient rien sa sonde serait détruite,et bien que cela lui déplaise il ne lui restait plus que cette alternative.
Il devait lancer une riposte contre le coeur de ce monde ce qui fatalement détruirait le système mais parallèlement ces ennemis.
Devant un tel choix Arnaud ne prit pas le temps de peser le pour et le contre il Programma alors une série d'instructions.
C'est alors que dans la salle du coeur une partie des spectres commencèrent à s'agglutiner autour du premier boucliers, il s'en suivit alors une explosion qui détruisit le bouclier aussitôt après Arnaud programma une deuxième vague d'explosion qui fit également disparaître le deuxième bouclier.
Désormais le coeur du système était sans protection il restait juste dernier spectre pour achever l'ensemble malheureusement celui-ci commença à être affecté à cause la perte de puissance soudaine de la sonde.
Sa structure se désagrégeait il ne serait peut-être pas en mesure d'atteindre le coeur endommagé c'est alors que dans un ultime effort le dernier spectre arriva à s'accrocher auprès du coeur du système et bien que son corps fusent pratiquement désintégrées il activa son autodestruction mais au lieu de détruire le coeur et provoqua chez celui-ci un phénomène pour le moins curieux l'explosion généra une forte surcharge d'énergie dans tout le système
c'est alors qu'une énorme vague d'énergie en provenance du coeur commença à balayer l'ensemble du système virtuel tous les êtres vivants présents sur ce monde furent englobés par une éblouissante lumière la sonde elle-même fut touchée par cette vague énergie elle fut projetée avec violence dans la mer numérique provoquant une perte de signal.
les communications entre la sonde et Arnaud étaient maintenant on couper sur les écrans Arnaud avait perdu tout contact avec sa sonde
pendant plusieurs minutes Arnaud essaya de retrouver le contact avec Vger 1.0 mais toutes ces tentatives de communication se soldèrent par des échecs
alors que Arnaud tapait ardemment sur toutes les touches clavier pour détecter quelque chose mais ces efforts restèrent vains
De son côté Simon lui n'était pas spécialement satisfait à cause de l'imprudence du jeune homme la société venait de perdre 13 millions de livres Sterling
Simon critiqua alors violemment Arnaud pour son incompétence,mais Arnaud lui fit remarquer qu'il avait agi sous ses ordres et que c'était lui qui lui avait donné l'autorisation d'agir
Ce qui venait de mettre automatiquement les deux hommes dans l'embarras,la perte d'une telle somme d'argent serait difficile à justifier devant le conseil d'administration de la société Simon le savait parfaitement.
Tous ce qui restait à faire maintenant pour Arnaud c'était de retrouver sa sonde d'une manière ou d'une autre.
les semaines qui suivirent Arnaud les passa à la recherche de sa sonde mais il ne parvint pas à à la localiser ce qui était une catastrophe
toutefois cette expédition pour le moins catastrophique ne s'était pas soldée par un échec total car le système de transcodage avait réussi à envoyer une copie des données de la sonde avait prélevé
Arnaud espéra y trouver à l'intérieur des informations qui seraient susceptibles de compenser la perte de sa sonde
sans plus tarder et se mit à l'élaboration d'un deuxième prototype qui lui permettrait de décoder les informations ainsi prélevées
Le projet Vger 2.0 venait de naître.
Journal de Arnaud Morillon 18 août 2005
Compte rendu d'analyse journal d'idée au numéro 12
Maintenant vous savez comment tous a commencé
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Aujourd'hui que je vais donc clore ce journal vidéo pour un moment afin de me concentrer plus activement sur mes recherches.
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Même si j'ai accepté l'idée que Vger 1.0 avait définitivement disparu dans le réseau il n'en reste pas moins que cette expérience m'aura enseigner beaucoup de choses
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Le système de Transcodage m'a permis d'obtenir des informations qui valent leur pesant d'or
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Grâce à ses informations que j'ai pu accomplir quelques petites merveilles
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j'ai découvert un système permettant la virtualisation de la matière en énergie
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j'ai compris que les tours de ce monde servaient d'interface avec notre réalité via les champs électriques ou électromagnétiques qu'elle pouvait générer six
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ceux qui offrent pas mal de possibilités à l'avenir
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et pour finir j'ai créé quatre intelligence artificiels
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Quatre intelligence que j'ai conçus à partir des anti-virus que j'ai scanner.
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et si je fais le bilan de tout ça y est globalement positif
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après tous les efforts que j'ai fourni je pourrais sûrement prendre des vacances.
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mais je peux pas
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car je dois surveiller les gamins...
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je vous parle bien sûr de mes Cartha-guerriers
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car si je la laisse sans surveillance Astarté aurai vite fait d'étriper le pauvre Hannibal
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Ah les gosses je vous jure des fois..
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c'est une vraie source d'ennuis....
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(-_-)
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trêve de plaisanteries les raisons qui me poussent à rester sont beaucoup plus sérieuses que sa
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Je dois concentrer mes efforts pour améliorer les systèmes de protection de la cité.
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Car il n'y a plus de doute à avoir les mystérieuses écho que je détecter en provenance du fonds du réseau s'amplifie de plus en plus
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J'ai bien peur qu'il ne faille s'attendre à une nouvelle attaque
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Voir à une riposte de nos ennemis
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j'ai fait part de mes craintes à Simon
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celui-ci partage également mes inquiétudes.
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Avec ce que j'ai découvert en juin dernier,il n'y a plus de place pour le doute
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Uun anne guerre est imminente.
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à nous d'être près
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Fin du journal
Chapitre 19 tu me manquera
Dans le laboratoire Jeremie était complètement avachi sur son fauteuil il n'arrivait toujours pas à réaliser ce qui venait de se passer.
Suite au court-circuit la lumière avait été coupée il avait fallu attendre quelques secondes pour que les éclairages de secours se mettent en marche,quand cela arriva ils mirent en lumière un désastreux spectacle.
Dans la salle des scanners Ulrich Yumi et Odd essayaient de rassembler leurs esprits,,ils étaient justes désorienter pour la plupart mais aucun d'entre eux ne semblaient blesser et ceci malgré le choc qu'ils venaient de subir sur Lyoko.
Bon sang mais qu'est-ce qui s'est passé et demanda Yumi qui était adossé contre l'un des scanner.
Je n'en ai pas la moindres idées répondit Odd assis sur le sol les bras sur les genoux
Il y a eut comme une explosion et après plus rien leur dit Ulrich qui était le seul à se tenir debout en se massant la nuque
Mais très vite les deux autres Lyoko-guerriers grogis eurent la même pensée sur ce qui venait de se passer,ils se tournèrent alors en direction de Ulrich et posèrent simultanément la même question.
Où est Aelita demanda Odd et Yumi en meme temps
Je suis désolé je n'ai rien pu faire dit honteusement Ulrich en baissant la tête.
Les deux amis se regardèrent alors et comprirent que Ulrich en dépit de ces efforts n'avait rien pu faire pour stopper leur mystérieux agresseur.
ils appelèrent aussitôt Jeremie pour lui demander quelle était la situation malheureusement les communications étaient complètement coupées avec le laboratoire,c'est alors que la trappe supérieure s'ouvrit et aussitôt Jeremie descendit par les échelons pour se retrouver dans la salle, le court-circuit ayant aussi endommagé le monte-charge il n'avait pas pu faire autrement.
Le premier réflexe du jeune homme fut aussi de demander ou était Aelita,la réponse hésitante que lui donna Ulrich a ce moment-là figea le génie sur place.
Réalisant qu'il n'y avait pas de temps à perdre Jeremie se ressaisit et ouvrit la deuxième trappe d'accès pour descendre dans la salle du super-calculateur
Mais la vision qui se dessina devant les yeux de Jeremie a ce moment-là le glaça d'effroi,
de toutes parts le super calculateur était éventré, suite à l'explosion plusieurs morceaux de tôle étaient coincés dans le mur et de nombreux composants électroniques a moitié calciné gisaient sur le sol.
Jeremie fut tétanisé d'effroi si la machine était en panne cela voudrait dire que Aelita était perdue à tout jamais.
il courut vers la machine pour juger de l'étendue des dégâts,les coupe-circuits de sécurité avaient protégé la machine en la désactivant mais malheureusement pas assez vite pour éviter la destruction de certaines de ces parties.
Prudemment Jeremie réactiva l'alimentation principale mais rien ne se passa,Jeremie compris que les verrous de sécurité c'étaient tous enclenché pour protéger la machine de la surcharge,pour réactiver le système il fallait débloquer manuellement les 120 commutateurs de sécurité
A l'aide de ces amis Jeremie ouvrit tous les panneaux de contrôle présent sur la machine à l'exception de ceux qui avaient explosé et qui était inutilisable
En procédant à tâtons ils commutèrent prudemment chacun des boutons,si certain insufflaient de l'énergie au super-calculateur d'autres provoquaient des courts-circuits et des micro explosion parsemé d'étincelles ,il fallait donc isoler ces derniers pour éviter d'aggraver le cas de la machine.
au terme de cette délicate opération le super-calculateur était réactivé malheureusement par la suite Jeremie découvrit que celui-ci n'était fonctionnel qu'à 63 % de ses capacités ce qui était insuffisant pour réactiver pleinement Lyoko, seul le cinquième territoire et une petite partie des mondes avait réussi à être générée.
Jeremie se lança dans un diagnostic complet du système pour mesurer l'étendue des dégâts,pas moins de 833 anomalies furent détectées sur l'ensemble du système,cela prendrait un temps considérable a Jeremie pour pouvoir tous les réparer.
Mais les mauvaises nouvelles ne s'arrêtaient pas la, la surcharge avait également détruit le retour vers le passé.
Sans cette fonction il n'y avait aucune possibilité réparer les dégâts et encore moins de récupérer Aelita.
Ce nouveau coup du sort anéanti complètement Jeremie qui ne savait plus quoi faire,même si celui-ci se lançait dans des réparations de fortune qui lui prendrait toute la nuit le super-calculateur ne retrouverait jamais 100 % de ses capacités à temps.
Cela porta un coup dur au moral de l'équipe à l'idée que Aelita puisse être.....ils préférèrent ne pas y penser.
Mais le plus graves était a venir,comment allait-il faire pour expliquer la disparition de Aelita
Jeremie n'entrevu alors qu'une seule possibilité, il devait dérivé toutes l'énergie qui était disponible pour activer une tour.
Il fallait créer une réplique de Aelita pour donner le change,mais vu l'état du système celle-ci ne pourrait pas être générée de façon permanente une seule solution s'imposa comme évidente à ce moment-là ....
Il fallait faire disparaître Aelita.
############################ FLASHBACK ############################
20 juin 2005 - bureau de Jean pierre Delmas
"oui"
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"oui je vois"
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Je comprends parfaitement Mr della robbia,il n'y a pas de problème nous allons remplir tous les papiers nécessaires fit le proviseur.
Homme : je vous remercie Mr Delmas de vous montrez si compréhensif.
Proviseur : c'est tout à fait naturel compte tenu de la situation,je regrette seulement qu'une élève aussi brillante que Aelita doive partir.
Homme : malheureusement la situation l'exige Mr Delmas,sa famille réclame son retour.
Proviseur : Je comprends retrouver sa famille est plus important que tout pour elle.
Homme : je ne vous le fais pas dire Mr Delmas.
Proviseur : Aelita est une enfant si charmante on ne peut que se réjouir à l'idée qu'elle va retrouver sa grand-mère.
Homme : dans ces conditions j'espère que vous ne voyez aucun inconvénient à ce que son cousin l'amène à la gare pour l'escorter.
Proviseur : pas le moins du monde c'est tout à fait normal entre membres de la même famille il faut bien s'entraider,est bien soit c'est entendu Aelita pourra partir des demain.
Homme : eh bien merci Monsieur le proviseur.
Proviseur : ce n'est rien,ravi d'avoir pu parler avec vous.
Homme : moi de même,au revoir Mr. Delmas
Proviseur : au revoir monsieur della robbia
"Clic"
Jeremie coupa la communication une fois que celle-ci fut terminée avec le proviseur,tout comme il l'avait fait à l'époque où William avait disparu,Jeremie à l'aide de son programme vocal venait de se faire passer pour le père de Odd.
Il venait d'avertir le proviseur que Aelita devait rentrer promptement au Canada car certains membres de sa famille avait demandé son retour.
ne pouvant nullement s'opposer à cela le proviseur avait accepté,ce dernier c'était généreusement proposé de simplifié les tâches administrative pour permettre a la jeune fille de partir le plus rapidement possible,ce qui arrangea bien les affaires de Jeremie.
Cette histoire de famille vivant au Canada et réclamant le retour de Aelita était la seule façon qu'avait trouver Jeremie pour expliquer le départ soudain de Aelita,il n'avait pas pu faire autrement à cause des dégâts sur le super-calculateur une réplique de Aelita n'aurait jamais pu être générée de façon permanente son départ pour le Canada était le seul moyen d'éviter une nouvelle catastrophe.
La nouvelle du départ de Aelita fit rapidement le tour du collège,pour beaucoup d'élèves ils étaient dommage de voir partir une jeune fille si charmante et ravissante, bien que quelque part d'autres se réjouissaient d'une telle nouvelle en particulier Sissi qui n'avait jamais pu supporter Aelita à cause de certains petits détails
Pour la fille du proviseur c'était un vrai plaisir de savoir que Miss Einstein allait enfin débarrasser le plancher,au moins grâce à ça elle n'aurait plus à souffrir la comparaison que certaines personnes s'amusaient à faire avec elle depuis son arrivée il y a un an et demi.
Pour l'occasion une grande carte de voeux de départ avait été préparée celle-ci avait tourné dans de nombreuses classes et chacun était libre de pouvoir la signer comme bon l'entendait et contrairement à ce qu'on aurait pu croire beaucoup de personnes élèves et professeur inclus témoignèrent qu'elles étaient très tristes de voir partir la jeune fille se qui surpris énormément ces amis de voir à quel point Aelita était apprécié au sein du collège Kadic.
Le lendemain matin tout fut prêt la réplique de Aelita allait être raccompagné par son cousin durant l'inter cours, le proviseur et Jim en personne iraient aussi escorté la jeune fille jusqu'à la sortie de l'école pour lui transmettre tous leur voeux de bonne continuation, le seul qui manquerait à l'appel serais Jeremie qui lui était resté dans le laboratoire afin de contrôler que tout fonctionnait bien et éviter le risque que la réplique ne disparaisse subitement à cause d'un défaut de stabilité du système, du moins c'est ce que ces amis croyaient....
Alors que Ulrich et Yumi étaient réuni tous les deux sous le préau en attendant que la copie de Aelita sorte de sa chambre ils furent soudain accostés par Sissi et sa petite bande,l'arrivée de ces oiseaux de mauvais augure ne présagea rien de bon ce qui ne fut pas difficile à deviner au sourire hypocrite que Sissi affichait.
Alors comme ça Miss Einstein s'en va fit la jeune adolescente
Fait pas l'innocente tout le monde le sait bien lui dit le Ulrich.
Yumi : c'est un secret pour personne.
Sissi : vous savez moi je dis ça juste pour être compatissante.
Toi compatissante sa m'étonnerait beaucoup lui fit Ulrich.
Après tout de vous tous ça doit être super cerveau qui doit être le plus triste fit Sissi qui aimait bien appuyer là où ça faisait mal.
Sissi savait très bien que de tous les membres de leur petite bande c'était incontestablement Jeremie qui avait le plus à souffrir du départ de Aelita, que ce soit les élèves ou le personnel tous le monde au collège Kadic savaient à quel point Jeremie était attaché à la jeune fille est que pour lui ce départ était une véritable tragédie, malheureusement personne n'était en mesure de se douter à quel point cela avait affecté le comportement du jeune homme.
Sissi : elle va donc retourné se geler au Canada
écoute Sissi, si tu pouvais nous lâcher ça serais vraiment sympa car la tu devient vraiment lourde lui dit Yumi passablement énervé.
Et oh !! ne me regardez pas comme ça je n'y suis pour rien,si elle s'en va dit innocemment Sissi.
Là s'en était trop Ulrich s'apprêtait à faire fermer sa grande gueule à Sissi mais il fut devancé par Yumi qui d'un air menaçant fit bien comprendre à la fille du proviseur que si elle avait le malheur de continuer ces réflexions cette dernière ne répondrait plus de ses actes
Cette attitude pour le moins inhabituel de la part de Yumi ne surprit qu'à moitié Ulrich
- Inutile d'être si agressif lui dit à ce moment-là Sissi qui vit bien que Yumi ne plaisantait pas.
- Laisse tomber Yumi elle n'en vaut pas la peine lui dit alors Ulrich qui prit alors Yumi par le bras pour la retenir.
- Sa vas ne me touche pas toi non plus dit alors Yumi en faisant lâcher prise a Ulrich.
Ce fut bientôt contre Ulrich même que la jeune fille retourna son agressivité naissante,à première vue Yumi était particulièrement échaudé et cette situation n'avait rien arrangé, le coeur de Yumi était emplie de colère ce qui traduisait très bien la peine dont elle était la proie,et la colère était la seule forme de réponse qu'elle avait pour exprimer sa détresse même si celle-ci lui faisait perdre pied allant jusqu'à se retourner contre ses propres amis et Ulrich en particulier à qui elle en voulait beaucoup bien que se soit injustifier.
C'est alors que le proviseur et Jim sortirent de l'internat accompagné de la réplique de Aelita mais c'est Odd qui en galant jeune homme lui transportait sa valise par chance celle-ci n'était pas spécialement lourde.
Réunies devant le sous préau la copie de Aelita fut rapidement entourée par Odd Yumi et Ulrich afin d'éviter que celle-ci ne vienne à faire ou dire des bêtises,croyant que c'était pour accompagner leur amie jusqu'au bout le proviseur ne fit aucun commentaire à ce sujet.
Tous le petit groupe finit par arriver jusqu'à la sortie du collège, devant les grilles Odd et la réplique firent alors face aux adultes est à leurs amis
Est bien Miss Stones je vous souhaite un bon retour chez vous fit alors le proviseur de façon très solennelle.
Ah tiens ! vu l'heure j'aurais plutôt pensé que vous alliez me souhaiter un bon appétit répondit aussitôt la réplique.
Cette réponse pour le moins étonnante de la part de Aelita laissa le proviseur un peu perplexe,par contre celle-ci inspira les plus grandes craintes aux adolescents,la réplique ils s'en étaient bien rendu compte avait un léger souci de comportement,
Proviseur : et bien je vois que vous ne manquez pas d'humour
Relique : ma valise en est pleine et j'en ai autant dans mes poches
Proviseur : de quoi donc ?
Réplique : de l'humour voyons et pour m'alléger je suis obligé de sortir des blagues.
Proviseur : oui en effet c'est d'une façon de voir les choses
Moi je trouve ça très drôle fit la réplique.
il n'y avait bien que elle a trouvé sa amusant,son humour pas drôle était du même niveau que celui de Odd c'était à croire que Jeremie avait calqué sa réplique sur le jeune garçon,mais cette réplique était très différente de son modèle original elle semblait dotées d'une certaine espièglerie ce qui la différenciait grandement de la vraie Aelita.
Je trouve que vous avez l'air d'un nounours géant fit la réplique sans la moindre gêne.
Proviseur : vous quoi !
Rien du tout fit alors Odd pour essayer de rattraper la situation
Réplique : mais si je disais que...
... qu'il va nous falloir y aller sinon on va rater le train reprit Odd.
Réplique : mais je croyais que l'on prenait le bateau pour rentrer.
cette réplique était vraiment pleine de surprises mais si elle continuait à faire de telles affirmations elle finirait sans doute pas attiser la curiosité du proviseur et de Jim, tous deux se posait déjà pas mal de questions sur l'attitude étrange qu'avait adoptée la jeune fille,mais ce qui avait le plus interpelé le proviseur c'était que de tous ses amis Jeremie était aux abonnés absents malgré le lien qu'on lui connaissait avec Aelita.
Proviseur : je trouve très étrange que Jeremie Belpois ne soit pas la alors qu'il est très proche de vous il me semble.
Alors il doit être invisible parce ce que je ne le vois pas fit la réplique qui de droite à gauche scrutait l'horizon avec sa main sur le front.
pour détourner la conversation Odd dut expliquer l'absence de Jeremie qui était très occupé par ces révisions, bien sûr cette excuse ne tenait pas la route le proviseur avait bien compris, qu'en vérité Jeremie n'avait pas voulu venir pour faire ses adieux à Aelita
Pour le jeune homme c'était une très dure épreuve et qu'il n'avait pas envie d'assister à cet instant pouvait être compréhensible,en homme expérimenté qu'il était le proviseur savait bien que le coeur des jeunes hommes était parfois imprévisible dans ce genre de situation.
Mais l'heure du départ approchait, après avoir salué une dernière fois leurs hôtes Odd est la réplique commencèrent à partir sous le regard soulagé de leurs deux amis,mais alors qu'ils commençait a s'éloigner soudain au loin un déchirant se fit entendre.
Aelita ne part pas je t'en pris fit alors une voix familière.
Surgissant du petit bois qui jouxte l'entrée Jeremie fit son apparition , passant en trombe devant les adultes et ces amis il fonça sur Aelita et étreignit alors la réplique qui resta impassible.
Je t'en prie ne part pas fit Jeremie
Sa réaction était inexplicable pour ses amis qui ne comprenaient pas son attitude alors qu'elle parue tout à fait normale et même très touchante aux yeux des adultes,le fait de voir le jeune homme ne voulant pas laisser partir sa bien-aimée était quelque chose de merveilleux.
Jeremie tenait très fort la réplique dans ses bras s'est alors que Ulrich s'approcha de lui pour le faire arrêter.
Jeremie qu'est-ce qui prend lui dit-il
Jeremie ne répondit rien cet instant tout ce qu'il fit c'est de se serrer la réplique encore plus fort celles-ci n'éprouvant aucune forme de douleur ou d'émotion se contenta de regarder le jeune homme avec un air intrigué,c'est alors que Ulrich se rapprocha encore plus près de Jeremie pour que celui-ci cesse cette comédie grotesque.
Voyons ce n'est qu'une réplique lui susurra-t-il à l'oreille
Non c'est Aelita rétorqua alors Jeremie
cette réponse Jeremie surpris considérablement tout le monde,sauf les adultes qui trouvèrent ça parfaitement normale
Soit raisonnable Jeremie lui dit tout bas Ulrich
C'est trop douloureux de la voir partir une deuxième fois lui répondit tout bas Jeremie
mais voyons Jeremie .... lui fit Ulrich gêné devant la situation
Je ne peux pas lui fit Jeremie une larme a l'oeil.
Jeremie mon garçon il faut la laisser partir lui fit alors le proviseur qui posa alors une ma compatissante sur l'épaule de Jeremie
Jeremie retourna juste la tête pour voir que le proviseur avait l'air de compatir à sa douleur
Proviseur : voyons mon garçon un peu de sérieux il faut la lâcher maintenant sinon vous allez la mettre en retard
Devant cette état de fait le jeune garçon dus se résoudre à lâcher la réplique mais comme il l'avait dit à son ami cela fut très dur d'avoir à la voir partir une seconde fois même s'il était conscient que ce n'était qu'une réplique.
Tous ses amis comprirent la douleur qui animait le coeur de leur ami mais là s'en était ridicule de voir celui-ci s'attacher à une image
Mais c'était très difficile à avouer pour le jeune homme car la personne qu'il avait en face d'elle c'était Aelita....son Aelita...
Proviseur : voyons garçon ce n'est pas la fin du monde elle ne part que pour les vacances vous pourrez la revoir à la rentrée
Je l'espère fit Jeremie
Tous ces amis comprirent le sens de cette phrase , c'est alors que Odd accompagner de la réplique commencèrent à partir dans la rue pour se rendre à la gare du moins en apparence ils devaient juste attendre que le proviseur et Jim ait tourné les talons pour se rendre directement à l'usine par un chemin détourné.
Bon c'est pas tout ça n'est en encore du boulot fit Jim a cet instant-lÃ
Vous ne pensez pas si bien dire lui fit alors Jeremie
Après cette scène touchante l'après midi venu ils devaient tous se retrouvés à l'usine, Odd avait conduit la réplique dans le laboratoire et avait déposé les affaires de Aelita quelques part dans un coin
il attendait avec impatience l'arrivée de ces amis,durant ce laps de temps passé avec la réplique il se sentit un peu étrange,cela lui faisait bizarre de se retrouver en face de Aelita, pourtant il savait bien que ce n'était pas à elle mais il ne put pas s'empêcher de la considérer comme telle,quelque part Odd avait parfaitement compris la réaction de Jeremie,lui aussi voulu toucher la réplique mais au dernier moment il se rétracta.
allez mon vieux ressaisi toi c'est pas le moment de délirer c'est juste une réplique que tu en face de toi dit alors Odd
Pourtant la présence fictive de Aelita avait suffi à troubler Odd,à son tour la réplique se mit à regarder le jeune garçon avec curiosité elle lui demanda ce qui allait maintenant se passer.
Que va ton faire maintenant lui demanda la réplique.
Je ne sais pas lui répondit le jeune homme.
Bon si personne ne sait quoi faire autant ne rien faire au moins on fera quelque chose en ne faisant rien lui dit la réplique.
Avec cette affirmation de la réplique Odd lui-même fini par se demander si Ulrich n'avait pas raison sur le cas de cette dernière, la théorie que venait de lui sortir la réplique était digne d'une de ses plus belles idioties,mais par la suite de la réplique posa une question sur son devenir maintenant que sa tâche était terminée.
Vais-je devoir disparaître lui demanda la réplique.
Odd : non Aelita jamais tu ne disparaîtras tant que tu seras.....mais qu'est-ce que je dis-moi ?!!
Odd à son tour était atteint par le même mal dont Jeremie semblait souffrir ,il en était arrivé à considérer la réplique comme une personne vivante, c'était comme si en face de lui il avait la vraie Aelita,il demanda alors à la réplique de se mettre dans un coin de la pièce et de ne plus y bouger ce que cette dernière fit sans broncher car elle était conditionnée pour obéir aux moindres ordres de Odd
Maintenant qu'une certaine distance fut mis entre les deux, Odd n'était plus sujets aux memes troubles pourtant il ne peut pas s'empêcher de jeter quelques regards furtifs en direction de la réplique celle-ci ne le quittait jamais du regard ceux qui renforçaient quelque peu le mal à l'aise de Odd.
Au bout d'une demi-heure il fut rejoints par le reste de ces amis afin de faire un bilan de la situation mais celle-ci était déjà toutes réfléchies pour retrouver Aelita il fallait que Jeremie effectue des réparations sur le super-calculateur et vu l'étendue des dégâts cela risquait de lui prendre au moins deux mois
Mais comme Jeremie ne pouvait pas passer deux mois dans le laboratoire sans que sa disparition n'éveille des soupçons il fallait trouver une solution.
La seule solution qui fut trouvée pour masquer son absence fut de créer un clone de lui-même ainsi il procéderait à une substitution pendant les vacances ce qui lui permettrait de rester aux laboratoires et d'effectuer les réparations tandis que sa copie irait passer les vacances chez les parents de Jeremie.
bien sûr cette décision en étonna plus d'un,à l'idée que Jeremie doive rester ici toutes les vacances ne plut guère a ces amis mais celui-ci n'avait pas le choix sans le super-calculateur
il ne pourrait pas sauver Aelita.
Mais Jeremie avait tous planifier depuis hier soir,afin de se prémunir d'une éventuelle attaque ou du retour de cette mystérieuse sphère Jeremie avait coupé toutes les connexions avec le réseau,de plus il ne ferais fonctionner le super-calculateur que de façon minimale.
il ne fournirait en énergie à ce dernier ce qu'il faudrait pour faire fonctionner sa réplique.
bien sûr réparer une telle machine allait s'avérer être un véritable défi pour une seule personne, et le travail que s'apprêtrait à abattre Jeremie allait être des plus colossales qui soient,mais pour retrouver Aelita c'était un sacrifice qu'il était prêt à faire.
Ces amis comprirent la décision que venait de prendre Jeremie et ne pouvant aller à son encontre ils durent l'accepter car telle était sa décision.
Mais sans le savoir Jeremie allait s'engager dans une épreuve particulièrement difficile pour lui les deux mois qui allaient suivre aller être un véritable enfer
un enfer quotidien ponctué de nuits blanches à réparer le super-calculateur et à effectuer des recherches.
Mais cette épreuve il devrait y faire face seule sans pouvoir compter sur la présence de ses amis
ça serait sa pénitence.
chapitre 19 apprentissages
17 septembre 2005
" l'autisme infantile est une maladie à part entière qui de nos jours est considérée comme un syndrome qui se traduit par un ensemble de signes cliniques qui peuvent se révéler être d'origine étiologique ou résultant de plusieurs mécanismes pathologiques, citons notamment...
- une communication non verbale
- un problème d'interaction sociale
- ou des comportement ,centre d'intérêt, est activité très restreinte
Ce syndrome peut aussi se définir par...."
Je crois que ça suffira pour le moment fit à ce moment-là le docteur.
Vous êtes sur docteur sinon je peux continuer si vous voulez lui répondit Maeva.
Dr : cela ne sera pas nécessaire je crois en n'avoir entendu assez pour aujourd'hui.
Maeva : c'est comme vous voulez.
Dr : si tu veux maintenant nous allons faire une petite pause
Maeva : c'est vrai qu'avec tout ça j'ai pas vu l'heure passer il est déjà 16 heures.
Dr : le temps passe vite quand on étudie et je trouve que tu as bien mérité un petit goûter.
A peine eut-il le temps de finir sa phrase que la jeune fille était déjà partis en direction de la cuisine, goûter était un mot magique que le docteur devait utiliser avec beaucoup de parcimonie devant Maeva.
Mais déjà celle-ci était assise à la table comme une petite fille bien sage qui attendait qu'on lui serve à manger.
l'attitude que Maeva a adoptait à ce moment-là faisait extrêmement plaisir au docteur, la petite "sauvageonne" comme certains c'étaient plut à l'appeler se comportait d'une manière très civilisée.
Maeva était un vrai paradoxe vivant,elle savait faire preuve d'un grand sérieux et d'une discipline presque militaire ce qui démontrait incontestablement la bonne éducation qu'elle avait reçue pourtant en parallèle elle faisait preuve d'une espièglerie et d'une joie de vivre comme on n'en trouve que rarement chez certaines jeunes filles.
c'est sur ce constat que le docteur se rendit vers le frigo pour en sortir le goûter qu'il avait préparé à l'avance.
Et qu'est-ce que vous m'avez préparer cette fois-ci lui demanda Maeva.
Dr : tartine chocolat noisette et jus d'orange
Miam Miam fit aussitôt Maeva.
Pour le goûter de Maeva le docteur lui avait préparé des petits pain tartiner de pâte chocolat noisette le tout servi avec un grand verre de jus d'orange.
fasse à l'appétit vorace de Maeva les tartines ne firent pas long feu de même que le verre de jus d'orange qui fut pratiquement bu d'un seul trait.
Le bonne appétit de Maeva faisait plaisir à voir de surcroît chaque geste que faisait la jeune fille était une source d'étonnement pour le docteur.
bien plus que son appétit vorace la première chose qui étonnait le plus le docteur,c'était les incroyables capacités d'apprentissage dont Maeva semblait pourvue.
le docteur savait bien que Maeva était une fille intelligente,les différents tests qu'il lui avait fait passer avait aboutis à ce constat.
Mais au-delà de cette incroyable intelligence c'était surtout cette faculté d'apprentissage qui caractérisait le plus Maeva.
Maeva avait à sa disposition une mémoire photographique des plus incroyables qui soit elle pouvait retenir tout ce qu'elle voyait ou lisait sans la moindre difficulté.
Même si depuis le début le docteur en était conscient le test qu'il lui avait fait passer aujourd'hui n'avait fait que démontrer ses certitudes au sujet de la jeune fille.
Pour ce test le docteur avait demandé à Maeva de lire le contenu d'un livre la veille puis aujourd'hui il lui avait demandé de réciter une page prise au hasard sur ce même livre
cette épreuve Maeva l'avait passé avec succès en récitant de mémoire l'une des pages du livre qui pourtant en comportait 320
C'est avec une incroyable mémoire et une facilité déconcertante Maeva avait réussi à lui citer mot pour mot le texte, elle avait en l'espace d'une seule nuit réussi à mémoriser l'intégralité du livre.
Jamais au cours de sa carrière le docteur n'avait rencontré une personne doté d'une si incroyable mémoire, le docteur se demandait si la mémoire de Maeva n'était pas infini des fois sinon comment expliquer qu'elle arrivait à tout retenir.
Tous ceux ci faisait plaisir au docteur car il savait que c'était cette faculté qui avait permis à Maeva de s'éveiller à une véritable conscience non pas qu'elle n'était pas consciente d'exister mais elle était incapable de s'exprimer pourtant grâce à son don elle avait accompli de véritable miracle dans sa rééducation.
Là où un travail de reconstruction aurait pris des années avec d'autres enfants il n'avait fallu à peine une semaine à Maeva pour acquérir l'usage de la parole est encore moins de temps pour comprendre l'ensemble des mots et leur signification,ce qui au premier abord semblait totalement incroyable.
Mais incroyable était un mot qui collait bien avec la personnalité de la jeune fille.
En dépit de tout le docteur ne pouvait jamais s'empêcher de poser un regard tendre sur cette fille aux cheveux bleus pour qui il avait de fort sentiment, il y avait quelque chose de différent chez elle c'est vrai, cela le docteur l'avait senti depuis le premier jour et cela c'était confirmé avec le temps.
Mais lui meme devait faire taire ces sentiment pour que ceux ci n'entrave en rien sa démarche professionnelle,le docteur se devait d'être a l'écoute et il lui fallait rester objectif en tous point, car la guérisson de sa patiente en dépendait.
Les rêves et les cauchemars qui peuplaient les nuits de Maeva étaient de plus en plus fréquents et de plus en plus violents tant par leur contenu que par leur signification
Le mal et les souffrances qu'on lui faisait subir dans ses cauchemar témoignait bien que l'ancienne vie de Maeva était loin d'être ordinaire.
Se pouvait-il que par le passé elle est subi des sévices ?
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Que lui avait-on fait ?
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Qu'avait-on pu lui faire ?
Il y avait quelque chose de troubles dans les origines de Maeva, quelque chose qui la rendait spéciale et ce n'était pas dut seulement a toutes l'électronique qu'elle avait d'implanté dans le corp qui faisait d'elle un être si spécial
les modifications qu'on lui avait fait subir était du domaine du physique,non!! c'était surtout le domaine du psychique qui intéressait le docteur.
d'où elle venait ? ce qu'elle était ? n'était pas ce qui importait le plus au docteur c'était surtout de savoir qui elle était réellement qui lui importait le plus.
Car en dépit de ces origines troubles il semblait évident que l'existence de cette jeune fille avait été durement marquée par les épreuves de la vie.
Le fait est que cet enfant soit habité par des sentiments très ambivalents comme l'amour et la haine pour certaines personnes qui lui était inconnu en était la preuve
dans tous ses cauchemars ces personnes lui voulaient du mal pourtant dans sa dernière vision un nouveau garçon avait fait son apparition
Comme tous les autres elle ne savait pas grand-chose sur lui si ce n'est qu'elle n'avait aucune haine à son sujet
Ce mystérieux garçon semblait vouloir la protéger,la protéger oui !! mais de quoi ?
à quel danger Maeva pouvait-elle être exposé pour qu'elle ait besoin d'un ange gardien
car si dans ce monde étrange qu'était Lyoko certaines personnes lui voulaient du mal elle savait que d'autres cherchaient à la protégée.
Maeva le savait au fond,une petite voix lui disait que c'était la vérité.
Elle ne connaissait ni ces ennemis ni ces amis pourtant elle devait normalement savoir ce qu'on lui voulait mais elle l'avait peut-être oublié
Le reflet invisible du miroir voilà l'élément manquant voilà ce qui caractérise sûrement Maeva, cet aspect d'elle-même dont elle ignorait tout et qui semblait être la clé du mystère
Le reflet invisible du miroir.
Qu'est-ce que cela signifiait-t-il ? qu'elle pouvait être le sens caché de tout ceci,le docteur se posait la question sûrement autant que Maeva et au même titre que sa patiente les questions restaient toujours sans réponse.
Y en avaient-ils seulement ?
Mais à quoi bon se casser la tête, ce n'était pas en bousculant toutes les questions que Maeva allait pouvoir trouver les réponses.
Il fallait progresser étape par étape, petit pas par petits pas dans le pire des cas le docteur avait toujours la solution de l'hypnose peut être celle-ci serait plus efficace maintenant
meme si pour l'heure le docteur se refuse toujours à pratiquer cette expérience vu la façon dont la première c'était terminer il valait mieux se montrer prudent pour ne pas traumatiser Maeva d'avantage.
Vous ne mangez pas à votre tartine demanda Maeva qui sortit alors le docteur de ses réflexions
je te demande pardon tu me disais..... lui demanda le docteur.
Maeva : je disais simplement vous ne mangez pas votre tartine
Maeva faisait référence a la tartine qui était posé dans l'assiette du docteur et que celui-ci n'avait semble-t-il pas touché évidemment Maeva n'avait pas pu s'empêcher de jeter un regard gourmand là -dessus se disant que ce serait bien dommage de gaspiller
sans avoir rechigné le docteur lui donna alors sa tartine que la jeune fille s'empressa d'avaler
décidément Maeva était vraiment surprenante il y avait chez elle une fraîcheur de vivre que l'on ne voyait pas chez la plupart des enfants ni même chez les adolescents de son âge cette vitalité qui était la sienne arrivait à tromper parfois les malheurs qui étaient les siens.
Est ce peut-être avec cette énergie qui était la sienne qu'elle avait toujours put s'en sortir ,le docteur se rappelait avec bonheur le premier jour Maeva avait appris à parler ou plutôt avait rappris à parler,
ce jour-là Maeva ne l'avait pas oublié car pour elle cela avait été une nouvelle naissance pour ne pas dire une renaissance.
------------------------------------ Journal médical du Dr Robinson ------------------------------------
Alors comment cela va-t-il aujourd'hui demanda le docteur a Maeva.
A ce moment-là Maeva abandonna le dessin qu'elle était en train de faire pour adresser un large sourire au docteur, chacune des visites de cet homme était un véritable bonheur aux yeux de la jeune fille.
Cela faisait maintenant deux semaines qu'elle était arrivé à l'hôpital, ce nouvel environnement était difficile à vivre pour la jeune fille car le personnel n'était pas spécialement sympathique avec elle et pour compléter le tableau elle était tous toujours tenue à l'écart des autres enfants à cause des directives du Dr Holstein.
le Dr Robinson n'appréciait pas tellement ces méthodes car celle-ci ne faisaient que renforcer le sentiment de différence que Maeva pouvait éprouver,ne pas être accepté au sein du groupe risquait de développer chez l'enfant un sentiment de rejet voire de solitude.
c'est pour ça qu'en dépit de son travail le docteur essayait d'être le plus souvent possible auprès de Maeva pour la réconforter,il savait très bien qu'une présence amicale ne pouvait être que bénéfique à la jeune fille.
Il avait mis au parfum miss Walesa pour que celle ci se comporte un peu mieux avec Maeva,la pauvre l'infirmiere était pris entre l'enclume est le marteau, entre les directives du docteur Holstein et celle du docteur Robinson elle ne savais plus ou donner de la tête, elle décida d'adopter une attitude froide envers Maeva en ne faisant pour elle que le minimum syndical.
Le détachement que témoignait l'infirmiere pour Maeva mettais un peu mal a l'aise celle ci car quand Maeva lui souriait elle n'avait jamais de sourire en retour ce qui quelque part faisait de la peine a Maeva de n'être pas reconnu pour ces efforts.
Heureusement pour elle le docteur lui portait un grand intérêt à ce que Maeva faisait lors de ces travaux ludiques car il savait que c'était pour la jeune fille un moyen de s'exprimer
le dessin comme forme de communication cela n'avait rein de stupide car l'homme depuis toujours s'en servait pour raconter des histoires que se soit de la préhistoire a nos jours.
Je peux voir ce que tu nous as dessiné de beaux lui demanda le docteur.
Sans la moindre hésitation la jeune fille lui tendit le dessin pour que le docteur puisse le regarder, au premiers coup d'oeil celui-ci était assez étrange comme tous ceux que Maeva dessinait depuis le début.
Le dessin représentait une sorte de plage quoi que à bien y regarder cela ressemblait plutôt à un paysage désertique au milieu duquel Maeva avait dessiné une espèce de grande colonne rouge.
cette structure à la forme très atypique ne manqua pas d'interpeller le docteur sur sa signification.
Maeva avait dessiné un grand espace vide qu'elle n'avait rempli que par cette étrange forme,cela aurait pu paraître banal si cette forme ne se retrouvait pas systématiquement dans chacun des dessins qu'elle faisait
La même forme et la même couleur à chaque fois, y avait il un sens caché à tous cela ?
Mais pour l'heure le docteur était incapable de pouvoir l'expliquer mais peut-être que Maeva pourrait-elle le faire.
Car aujourd'hui la therapie du docteur allait commencer, ce traitement avait pour but de permettre à Maeva de retrouver un certain équilibre au sein des autres.
Il emmena avec lui Maeva dans une autre pièce afin de commencer la thérapie,une fois que Maeva fut bien assise sur la chaise le Dr s'assit en face d'elle et commença à poser sur la table différent objets parmi lesquels des petits cartons découpés en rectangle
le docteur voulait commencer par un test très simple de reconnaissance visuelle pour cela il demanda à Maeva que cette dernière remette ces lunettes, par la suite il posa sur la table cinq cartes sur lesquels avaient été dessiné des formes géométriques très différentes.
Sur la première était dessiné un cercle sur la deuxième un carré sur la troisième un triangle sur la quatrième une croix et sur la cinquième un losange
l'expérience à laquelle voulait se livrer le docteur consistait à savoir si Maeva était capable d'identifier une forme précise.
Il demanda à Maeva si celle-ci arrivait à bien distinguer les formes dessiner sur les cartes celle-ci lui répondit oui en hochant la tête
A son tour le docteur tira une carte du paquet et montra la forme qui était dessinée dessus à Maeva, il demanda à cette dernière de lui donner la carte qui représentait la même forme.
Sans la moindre hésitation Maeva lui remit la carte sur laquelle était dessiné un cercle,la réaction quasi immédiate de Maeva était très satisfaisante pour le docteur qui consigna ceci sur la feuille de diagnostique qu'il avait avec lui
c'est bien Maeva on va tenté une autre forme lui fit le docteur
C'est avec la même facilité et rapidité que Maeva donna au docteur toutes les autres formes que celui ci lui demandait et cela sans jamais se tromper.
Le docteur mis un terme aux tests au bout de seulement 10 minutes, pour lui il était clair que Maeva est capable de distinguer aussi bien les formes que les couleurs, les dessins de Maeva en étaient la preuve.
Le docteur voulu alors pousser l'expérience un peu plus loin en voulant savoir si Maeva était capable d'identifier des sons et de faire des associations pour cela et sortit une énorme feuille qui représentait un alphabet.
Cela pouvait un peu paraître prématuré de la part du docteur mais il voulait savoir si Maeva serais capable d'émettre des sons car les examens médicaux n'avaient révélé aucun défaut au niveau de ces cordes vocales et jusqu'à présent la jeune fille n'avait fait que s'exprimer qu'au travers des gestes ou des hochement de la tête.
Pouvait elle parler ?
Voila la grande question, ce fut sans trop y croire que la docteur commença a énumérer les lettres de l'alphabet en meme temps qu'il les montrait a Maeva ,après tous c'est comme ça que les enfants apprennent à lire, le docteur voulaient savoir si Maeva pourrait identifier des noms à des objets et si le nom d'un objet pourrait lui évoquer quelque chose,il commença à lui parler une lettre par lettre
Ceci c'est le A comme un arbre fit le docteur a Maeva.
La jeune fille vie en grand la lettre A est compris que le son y était rattaché,le meme symbole se retrouvait dans le non de l'objet que le docteur appelait arbre et que Maeva connaissait pour avoir dessiner une foret.
Le docteur enchaîna alors avec le B comme Bon,
Dr : Ça c'est le C comme Cuisine.
Dr : Ça c'est le D est comme Dame
Le docteur continua a évoquer toutes les lettres jusqu'à ce qu'il arrive a la lettre L comme Lit
C'est alors que Maeva émis un très faible son ce qui surpris le docteur a cet instant.
Il semblerait que Maeva et réagis au son de la lettre L et chose étonnante elle venait de prononcer plus ou plus ouvertement de balbutier un mot.
Surpris puis heureux le docteur l'aida a concrétiser son effort de prononciation, il appuya encroe sur la lettre L
Vas y Maeva L comme LIT lui fit le docteur
Maeva gloussa et tritura sa bouche pour fournir un son
Dr : L comme L.I.T
** leuh ** fit Maeva
roule le L
Lieuk lieu essaya Maeva
continue.....
euLi....
c'est bien LIT...
Lyoro fit Maeva a ce moment.
Cela fut extraordinaire pour le docteur,au terme d'un effort Maeva venait spontanément de prononcer un mot mais si celui-ci était incompréhensible.
Elle était donc capable de s'exprimer est de parler,durant tous le reste de la semaine le docteur consacra ces effort a lui faire prononcer des sons
Avec une facilite déconcertante elle arriva a prononcer l alphabet en l'espace de trois jours et commença le jour d'après a faire des association de lettre jusqu'à ce quelle arrive a prononcer des mots comme.....
Bonjour, sourire, manger, ou encore son propre nom.... Maeva.
Le docteur tenait le bon bout avec elle aussi étonnant que cela puisse para tire Maeva était capable assimiler tous ce qu'on lui disait ace rythme elle serait bientôt capable de tenir une conversation, mais déjà un nouveau problème se profilait a l'horizon
Un problème appelle docteur Holstein.
chapitre 19 Génitech
Approche mon fils s'il te plaît fit l'homme à l'enfant
Sans plus attendre le jeune garçon s'approcha du lit où se reposait l'homme celui-ci regarda longuement le jeune garçon à la coupe en brosse.
Maintenant mon petit c'est à toi d'assurer la relève désormais tu est l'homme de la famille lui fit l'homme.
Bien que sous perfusion l'homme approcha sa mains tremblante et la passa dans la chevelure de l'enfant, il décocha a celui-ci un grand sourire et commença a lui frotter vigoureusement la tête.
Mon petit filou dit l'homme...... ( image flou)
......Mr Powell...Mr Powell... Mr POWELL fit alors la voix de façon plus insistante
C'est alors que l'homme les bras croisés la tête posée contre la vitre fut tiré de sa rêverie,ce fut un peu désabusé qu'il revint à la réalité.
Pardon !! qui me parle demanda-t-il à cet instant le regard complètement flou
C'est moi fit la voix.
La vision de l'homme s'améliora de plus en plus il commença à distinguer la personne qui était en train de s'adresser à lui, très vite il reprit ces esprits jusqu'à ce qu'il soit définitivement réveillé.
il vit alors que c'était une femme aux cheveux roux qui venait de s'adresser à lui
Est bien Mr Powell ça ne vous intéresse pas ce que je vous raconte lui fit la femme.
Ah euh...non...euh si...oui fit l'homme encore abruti de sommeil.
est bien merci pour moi lui fit la femme.
De quoi vous me parliez Janet j'ai un peu perdu le fil fit Robert maintenant réveillé.
Janet : j'étais est en train de vous parler des différentes activités de la société Génitech,mais à première vue je vois que cela nous intéresse pas.
Robert : c'est pas ça mais ces derniers temps je suis un peu fatigué.
Janet : et bien il faut dormir, la nuit c'est fait pour sa.
Robert : c'est vrai mais ces temps-ci j'ai autre chose en tête que de dormir
Janet : oui là je crois que je peux vous comprendre.
depuis qu'ils avaient été avertis par W. de l'éminence même d'une attaque le colonel avait passé ces trois derniers soir,a étudié l'histoire de leur nouvel objectif,il avait tellement accumulé de sommeil en retard qu'il avait fini par s'endormir dans le train qui les emmenait à Madison ajouter à cela l'explication soporifique du major et le tableau était complet.
Robert : sinon est-ce que nous sommes bientôt arrivés
Janet : pas encore il nous reste deux heures de train à faire avant d'arriver à Madison après quoi nous prendrons une correspondance pour aller à Brayton Wood
Robert : dont je vois qu'on encore le temps, je vais pouvoir en profiter pour rattraper ma nuit
Janet : et mes rapport vous ne voulez pas les entendre.
Robert : cela ne sera pas nécessaire Janet je sais tout ce qui y'à savoir sur notre client
Janet : ah oui tiens donc
Vous ne me croyez pas fit alors Robert qui ne parut pas étonné de la réaction de Janet
Janet : cela me paraîtrait étonnant de votre part
pourquoi faut-il que vous soyez toujours aussi sceptiques sur ce que je vous dit lui demanda
Janet : disons que j'ai appris à vous connaître.
Robert : bien mal à mon avis, selon vous mes nuits de sommeil en retard à quoi je les est passé ?
Janet : vous connaissant je dirai à regarder la télévision.
Robert : eh bien vous avez tout faux,je les ai employés est étudié notre client
Pas possible fit Janet
Robert : sceptiques hein !!! et bien je peux vous le prouver.
Janet : je demande à entendre.
Robert : très bien commençons par le début
Le colonel commença alors à faire l'exposer de ce qu'il avait emmagasiné comme information sur leurs objectifs à son habitude il avait simplement etenu que les points essentiels et les petits détails qui font parfois toute la différence.
'' Dr Terrence Miller grand spécialiste en génie génétique fondateur et P.D.G de la société Génitech,connu dans le monde pour ses recherches dans le domaine des cellules souches"
"sur la base de sa notoriété et de ses recherches il a fondé pas moins de cinq centres de recherche à travers le monde, le dernier en date étant celui de Brayton wood"
Janet : je vois que vous avez déjà étudié le sujet mais encore
Robert : et que voulez-vous savoir sur ce monsieur ou sur sa société
Janet : est bien commençons par ce monsieur
Robert : très bien
le Dr Terrence Miller est un homme âgé de 57 ans il est connu pour ces apports médicales en matière de recherche sur les cellules souches,mais il a également défrayé la chronique à cause de ses recherches sur le clonage....
Janet : le clonage !
Robert : oui le clonage
Janet : tiens donc ce monsieur s'amuserait donc a cloner des brebis
Robert : non janet des êtres humains
Janet : vous dites ?!
Robert : des êtres humains
Janet : vous êtes sérieux
Robert : malheureusement oui
"comme je disais à ce monsieur à défrayer la chronique en prétendant pouvoir créer des êtres humains à l'aide d'un procédé révolutionnaire
---
il prétendait qu'il était possible de créer un être humain à partir d'un incubateur et que la croissance de ce dernier pourrait être accélérée grâce à un procédé de stimulation électrochimique
---
bien sûrs de telles affirmations n'ont pas été sans conséquence,à cause de ça et il s'est attiré la colère de la communauté scientifique est des ligues de la protection humaine.
Janet : nous orions à faire un émule de Frankenstein
Robert : pas exactement mais presque,en fin d'après ses dires c'est pour faire progresser la science est tiré l'humanité vers les sommets
Janet : c'est toujours l'excuse que les scientifiques fou donnent pour justifier leurs actes mais cela n'excuse rien tout
Robert : ah tiens est pourquoi
Janet : sachez qu'il existe dans la science un code déontologique qui est interdit de telles pratiques
Robert : j'ai du mal à croire que ce monsieur est put l'appliquer ni même qu'il est déjà entendu parler de ce mot
Janet : dont ce monsieur s'amuserait à fabriquer des humains
Robert : en dépit de ces affabulation il a été prouvé qu'aucun de ces laboratoires ne s'est jamais livré à ce jour d'expérience ni même qu'elles étaient équipées pour le faire
Janet : vous êtes sûrs de sa
Robert : vu les documents que j'ai étudié et les articles que j'ai lu à son sujet il n'y a pas de doute.
Janet : sinon que ce qu'on peut savoir de ces entreprises
Robert : est bien elles n'ont rien à se reprocher,légalement parlant tous est en règle
Janet : pas de détail spécial ou de sociétés fantômes cette fois-ci.
Robert : rien de ce genre mais vous avez raison il a quelque chose qui est curieux
Janet : je me disais bien.
Robert : ce n'est pas directement lié aux activités de Génitech.
Janet : c'est quoi alors ?
Robert : je me demande simplement pourquoi W. nous a envoyé sur cette piste
Janet : pour intercepter un super-calculateur voyons.
Robert : et c'est là que ça cloche j'ai trouver nulle part mention de l'achat de tel engin pour le site de Brayton Wood
Janet : vous êtes sûrs
Robert : catégorique même il n'y a pas de trace de facture pour l'achat d'un tel engin,avouer que c'est plutôt bizarre
Janet : je comprends ce que vous voulez dire s'il y a pas de super calculateurs sur ce site quelle raison aurions-nous d'y aller.
Robert : mais si W. nous ont envoyé là -bas qu'il y a forcément une bonne raison a nous de la découvrir.
d'après les recherches qu'avait effectuées le colonel il apparaissait évident que le site de Brayton-wood's n'était pas équipée d'un super-calculateur mais si cet endroit figurait sur la liste que leur avait remis W. cela veut dire que forcément il devait y avoir une telle machine dans cet endroit de plus la prise d'un complexe chimique était une cible de choix pour l'organisation de la dans le doute et il valait mieux vérifier l'absence de tout danger.
Une fois que le colonel eut finit ces explications il pria le major de bien vouloir laisser terminer sa nuit visiblement ce dernier n'avait rien de plus à prouver il connaissait le dossier aussi bien que le major
De plus pour cette mission il fallait qu'il soit en pleine possession de ses moyens,le major n'insista pas et laissa son officier supérieur se reposer alors que elle continuait ses recherches
Au bout de deux heures de trajet ils finirent par arriver à Madison de là ils prirent un train en partance pour Brayton-Wood's.
Il ne leur fallut pas plus d'une heure et demi pour rallier les deux sites,le colonel en profita encore pour se reposer jusqu'à ce qu'ils finissent par arriver à leur terminus de là ils prirent un taxi qui les conduisit jusqu'à la société Génitech.
Arrivé devant les locaux ils présentèrent au gardien comme étant les agents d'assurances de la RIB,leur venue était attendu et le gardien les laissa entrer,grâce à une habile manoeuvre de la part du colonel ils avaient réussi à obtenir un rendez-vous avec le Dr Miller.
leur objectif principal n'était pas tant de tailler la causette avec le docteur Miller mais surtout d'avoir accès à son super-calculateur car si les informations que leur avait transmis W. était juste,alors cet endroit risquait d'être la prochaine cible de l'organisation Xana.
il fallait donc enrayer cette attaque d'une manière ou d'une autre bien que selon ce qu'avait dit le colonel ils n'avait jamais été faits mention nuls part que cette société c'était portée acquéreur d'un super calculateur alors que normalement ce genre de transaction devrait logiquement apparaître
La question était donc de savoir pourquoi est-ce que Brayton-Woods avait été signalé par W. il devait forcément y avoir un super calculateur ce qu'il fallait faire c'était interroger le professeur Miller sur les activités du laboratoire mais là encore ce n'était pas gagné car ce jour là un empêchement de dernières minutes avaient obliger le Dr Miller a partir de la société ce fut finalement son assistante qui fut là pour recevoir les deux agents d'assurance.
dans le grand bureau aménager de la société les deux agents furent accueillis par une femme de type asiatique,elle avait des lunettes et portait une grande blouse blanche sur laquelle descendraient ses cheveux mi long
Monsieur Dame bonjour je me présente je suis le docteur Hitomi Aka fit la femme à ses interlocuteurs
Janet : bonjour je me présente James Parker et voici mon collègue Robert Powell nous travaillons pour la RIB.
Miss Aka : je sais nous avons été averti de votre visite.
Janet : cependant nous pensions avoir rendez-vous avec le docteur Miller
Miss Aka : je regrette mais le docteur Miller est un homme très pris et malheureusement il n'a pas pu se désister d'une affaire très importante.
c'est bien dommage fit Janet.
Miss Aka : mais entend que son assistante, il a toute confiance en moi je peux donc parler en son nom sans le moindre problème.
Miss Aka semblait être une femme très intelligente et pour qu'elle vienne à lancer un tel argument il apparaissait clair que le docteur Miller devrait avoir toute confiance en elle alors que ce dernier était pourtant réputé très misogyne.
Miss Aka : puis-je connaître les raisons de votre visite ici
Robert : est bien le sens venu pour vous proposer un contrat d'assurance
Miss Aka : que je m'en doutais bien mais vous savez nous sommes déjà parfaitement bien assurés
Janet : je n'en doute pas étant donné que vous travaillez avec des laboratoires avec des produits chimiques c'est une activité pour le moins dangereuse...
Miss Aka : je vous l'accorde oui mais ici nous ont des règles de sécurité très stricte pour limiter les accidents.
Robert : mais cela ne vous mais pas à l'abri d'un accident.
Janet : c'est bien connu le risque zéro n'existe pas.
Miss Aka : je n'en doute bien mais nous n'avons pas besoin d'une quelconque assurance supplémentaire
Janet : nous comprenons parfaitement mais nous aimerions quand même pouvoir établir un devis gratuit
Miss Aka : un devis gratuit ?!
Janet : rien de ce très spécial une simple expertise de vos installations pour juger de l'efficacité des moyens de sécurité employée.
Miss Aka : je vous assure tous nos risques sont parfaitement mesurer nous n'avons aucune raison d'avoir a faire un devis gratuit.
Miss Aka se défendait bien il serait difficile de la convaincre mais le major qui avait pris la discussion en main n'entendait pas en rester là et à la manière du colonel elle entendait mener un subtile interrogatoire à sa façon.
Janet : pour en revenir à un autre assurance nous voulions savoir si nous est-il assuré contre les risques encourus par votre super-calculateurs
A cet instant le docteur Aka ne dit plus rien elle semblait complètement étonnée par ce que venait de lui sortir Janet, sa réaction n'échappa pas aux deux agents d'assurance qui comprirent tout de suite qu'ils avaient mis le doigt sur un point sensible
Veuillez m'excuser mais puisse-je savoir de quoi vous voulez parler fit Miss Aka
Je vous parle de votre super-calculateur celui que vous utilisez pour vos expérimentations insista alors Janet
Mais nous n'avons pas de telles machines à notre disposition fit Miss Aka légèrement troublée
A tiens c'est étrange d'après nos sources nous savons que vous serez en possession d'une de ces machines et c'est d'ailleurs la raison de notre venue fit en toute innocence Janet.
Robert : en effet notre société a sut que votre entreprise est équipées de cette technologie
Est bien je regrette fort je ne sais pas vous avez été pêché une information pareille mais je vous affirme que nous n'avons pas ce genre de machine chez nous leur répondit aussitôt Miss Aka.
Janet : pourtant je vous assure que nos sources sont plutôt fiables,nous savons même que la société Global computer a voulu vous vendre une carte a micro-puce Quadrihoppes.
Miss aka fut a nouveau troublé par le nom que venait de lui prononcer Janet, apparemment cette femme n'était pas aussi douée pour feindre la comédie que ne l'était Mr Landsey,elle gérait très mal ses émotions de toute évidence le sujet que venait d'aborder le major ne lui était pas inconnu.
Miss Aka : que je m'excuse bidon vraiment y avoir un problème quelque part je n'ai jamais entendu parler de vos puces a ... wadi... pop...truc
Janet : Quadrihoppes c'est un nom très facile à retenir
Miss Aka : est bien cela ne me dit rien
Janet : pourtant je vous assure que le noms de votre entreprise figure sur la liste des clients de global computer et vous venait en tête de liste pour l'achat d'une micro puce à fin de perfectionner notre super calculateur.
Miss Aka : ça me paraît ridicule nous avons pas de super-calculateurs à perfectionner je ne vois pas pourquoi nous aurions besoin d'acheter un composant pour multiplier sa puissance par quatre
Miss Aka venait de commettre le faux pas que le major attendait, elle venait d'avouer à cet instant sans s'en rendre compte la propriété même des puces alors que le major n'en avait pas fait mention.
Si c'est cette femme ne savait pas ce qu'était une micro puce a Quadrihoppes comment pouvait-elle savoir que celle-ci multipliait par quatre la puissance d'un super-calculateur ?
Pour les deux agents cela confirma sans le moindre doute que leur interlocuteur leur mentait de A à Z. en prétendant ne pas posséder de super-calculateur.
Mais cela ne suffisait pas pour la confondre il fallait encore trouver un moyen a l'amené à dire la vérité.
Le major demanda donc à ce que l'on leur fasse faire une visite de l'entreprise ce que curieusement Miss Aka ne refusa pas du tous
En compagnie des deux agents d'assurances Miss Aka fit visiter à ces derniers l'ensemble du bâtiment toutes les pièces et tous les laboratoires furent visités mais à la grande surprise des deux agents ils ne trouvèrent nulle part trace d'un seul super-calculateur.
Cela commença mis un doute au major, une telle machine prenait forcément une place conséquente et pourtant il en avait trouvé nulle trace.
Le major comprit alors qu'elle avait été la manoeuvre de Miss Aka,cette dernière avait expressément collaboré pour pouvoir leur montrer qu'il n'y avait pas de super-calculateur et ce qui s'était avéré être le cas car aucune des pièces qu'ils avaient visiter ne contenait une telle machine.
c'est avec talent que Miss Aka venait de déjouer la stratégie des agents d'assurances, ceux -ci ne peut plus revendiquer lui vendre une assurance pour un super-calculateur puisse que Miss Aka venait de leur prouver qu'il n'y avait pas de supercalculateur dans cette usine.
Grâce à cette excuse elle en profita pour écourter la discussion, pris sur le fait et ne pouvant plus se justifier derrière cette excuse les deux agents durant furent obligés de partir pour une fois,ils étaient tombés sur un adversaire qui c'était montré assez malin pour déjouer leur stratégie mais cela ne signifiait pas pour autant qu'il n'y avait pas quelque chose de louche dans ce laboratoire.
Miss Aka raccompagna dont les deux agents d'assurances jusqu'à la sortie,ces derniers firent don un bout de chemin à pied pour longer les abords l'entreprise qui était à flanc de montagne.
Robert : décidément cette visite ne nous aura pas appris grand-chose.
Janet : à première vue oui puisqu'ils n'ont pas de super-calculateurs,pourtant il nous cache quelque chose que j'en suis sûr.
Robert : serait-ce une intuition de votre part ?
Janet : une déduction en faite.
Robert : et à quoi pensez-vous ?
Janet : vous avez vu comme moi comme elle a été troublée quand on a évoqué les Quadrihoppes.
Robert : ce détail ne m'as pas échappé moi non plus.
Janet : si elle n'avait jamais entendu parler de ces composants comment pourrait-elle en connaître la propriété principale ?
Robert : il apparaît clair qu'elle nous a menti.
Robert : en tout cas votre petite ruse a bien fonctionné
Janet : vous parlez de global computer
Robert : exacte,c'était bien jouer de votre part que d'évoquer le nom de cette société.
Janet : cela nous a permis de la troubler encore plus.
Robert : mais ça n'a pas suffi si
Janet : je le sais bien puisqu'ils n'ont pas de super calculateur dans cette usine.
malgré la ruse qu'avait utilisée le major pour confondre leurs interlocuteurs cela n'avait pas donné les résultats escomptés car les deux agents avaient constater par eux-mêmes l'absence d'un super-calculateur dans ce laboratoire le major commença même à se demander si la piste que leur avait donnée W. n'était pas éronnes.
Pourtant au détour d'une rue qui longeait l'entreprise le colonel remarqua un détail qui jusqu'à présent lui avait échappé,
il tomba nez à nez avec une statue,ce qui frappa le colonel se fut d'une part la forme de la statue et le texte qui était ajouté.
il s'agissait d'un monument commémoratif en mémoire de tous les mineurs qui était mort dans les mines au début du siècle.
il revint alors en mémoire du colonel un détail qu'il avait lut concernant le site de Brayton Wood et en particulier sur son historique.
ce fut comme un flash pour le colonel il réalisa d'un seul coup à quel point il venait de se faire duper par Miss Aka.
Nous sommes vraiment stupide s'écria Robert.
Comment ça lui demanda Janet.
Robert : on s'est fait avoir comme des bleus
mais de quoi vous parlez insista Janet
je vous parle de cette usine lui dit Robert en se tournant vers sa partenaire.
Janet : expliquez-vous à la fin.
Robert : le Dr Aka ne nous a montré que la face immergée de l'iceberg.
Janet :Pourquoi vous dites ça
Robert : tout simplement pendant ces trois dernières nuits j'ai étudié l'historique du site et vous savez ce que j'ai découvert
Janet : je sens que vous allez me le dire.
Robert : tout ce complexe a été construit sur une ancienne exploitation minière.
Janet : et alors il n'y a rien d'étonnant toute la région est connu pour être une grande zone minière
Robert : je vous l'accorde mais j'ai encore une théorie un peu folle dont je voudrais vous faire part
Janet : Allez y et je vous écoute
Robert : si on considère que ce complexe a été construit sur une ancienne mine,je serais pas étonné que celui-ci s'étende un peu plus en profondeur.
Janet : selon vous il existerait une installation souterraine.
Robert : et pourquoi pas cette montagne est pleine de cavernes et de tunnels,c'est un vrai gruyère,ce serait idéal pour cacher une installation secrète
Janet : vous pensez à un laboratoire secret!
Robert : c'est exactement à cela que je pense.
Janet : sa paraît un peu fou
Robert : pas du tout,vous et moi avons constaté qu'il n'y a pas de super-calculateurs dans cette installation n'est si W. nous a envoyé sur cette piste c'est que bien qu'il doit y en avoir un quelque part conclusion...
...il existerait un laboratoire secret reprit aussitôt Janet.
Robert : avec un laboratoire caché ils pourraient se livrer à toutes sortes d'expériences sans que personne ne s'en mêle.
Janet : très astucieuse et personne ne penserait à chercher dans une vieille mine.
la théorie que venait dénoncer le colonel avait suffi à convaincre le major pour une fois celle-ci était du même avis que son supérieur car elle-même par déduction avait conclu que le docteur Aka leur avait menti.
Ce qui voulaient dire que cette femme et son patron avaient quelque chose à cacher et la possibilité qu'un laboratoire secret ait été aménagé dans une vieille mine sur laquelle le complexe a été construit n'avait absolument rien d'improbable.
Dès lors pour les deux agents il y avait là un nouveau mystère à résoudre mais il leur fallait quand même faire un choix ils ne pouvaient pas se concentrer sur deux objectifs à la fois.
Janet : qu'est-ce que vous proposez,on ne peut pas surveiller deux sites en même temps.Robert : je sais surtout si celui-ci n'est qu'une cible parmi tant d'autres,il nous faut donc faire un choix.
Janet : je propose que l'on continue notre enquête principale est que l'on mette également ce site sous surveillance de niveau 4
Robert : niveau quatre§ c'est pas un peu exagérer,c'est pas une centrale nucléaire quand même.
Janet : certes mais c'est quand même une usine chimique,vous imaginer ce qui pourrait se passer si leur super-calculateur était détruit ou venait à tomber entre les mains de l'organisation Xana
le major n'eut pas besoin d'en dire plus le colonel avait encore en mémoire les événements de l'université,si à Londres il n'avait s'agit que d'une école il avait par contre là affaire à un véritable complexe chimique si celui-ci venait à exploser ce serait une véritable catastrophe industrielle qui pourrait sinistrée toute la région le fait est que le major veulent placer le site sous surveillance de niveau quatre était parfaitement légitime.
Robert : que faisons nous alors ?
Janet : allons à l'hôtel pour mieux analyser la situation.
îles se rendirent à l'hôtel à fin de mettre en place un nouveau plan,mais le soir même ils reçurent un message secret de leurs supérieurs.
Ceux ci leur intimaire l'ordre revenir immédiatement à la base car la situation avait évolué,désormais ils allaient collaborer avec les Américains ceci prendrait en charge la surveillance des sites de Brayton-Wood's et de la Silicon Valley.
Sans discuter les deux officiers obéirent aux ordres le lendemain ils firent leurs bagages et repartir pour Londre.
chapitre 19 le pacte
01 septembre 2005
veuillez nous laisser seul s'il vous plaît demanda à ce moment-là l'homme à tous les techniciens présents dans la salle.
Sans la moindre objection tous le personnel commença à quitter le laboratoire,le dernier technicien en partant ferma la porte derrière lui,maintenant que la salle du super-calculateur était vide l'homme s'approcha d'un miroir de projection et commença à appeler Tanit.
en l'espace de quelques secondes le spectre fit alors son apparition sur la glace pour faire face à l'homme.
Bonjour Tanit comment vas-tu aujourd'hui lui demanda l'homme.
Tanit : je vais très bien et vous Monsieur Watson.
Mr Watson : comme tu peux voir moi aussi je suis en pleine forme.
Tanit : je suis heureuse de l'apprendre.
Mr Watson : c'est parfait.
Tanit : en quoi puis-je vous être utile aujourd'hui ?
Mr Watson : ta mère ne t'a-t-elle pas mis au courant ?!
Tanit : si elle m'a annoncé votre visite.
Mr Watson : est-ce la seule chose qu'elle t'est dit
Tanit : non elle m'a aussi dit que désormais et je devrais me mettre à votre service.
Mr Watson : bien je vois qu'elle a tenu ses engagements.
Tanit : puis-je savoir de quoi il en retourne
Mr Watson : tu vas le savoir mais pour cela il faudra m'obéir
Tanit : mère a bien insisté sur le fait que je devrais être particulièrement à votre écoute
Mr Watson : je sais c'est moi qui lui dis de te dire ça.
ce dialogue étrange entre Tanit et Watson aurait pu paraître des plus anodins si celui-ci ne se déroulaient pas en ce moment même dans le laboratoire 01 de la section 5.
en temps normal l'accès à ce laboratoire était refusé a Simon Watson,mais curieusement Anthea Hopper avait donné l'autorisation à ce dernier de s'y mouvoir comme bon lui semblait.
non content de sa Simon avait obtenu de Anthea un droit d'obéissance totale à sa volonté de la part de Tanit
l'intelligence artificielle était désormais aux ordres de Simon Watson,est ce dernier avait de grands projets pour elle.
Tanit : puis-je connaître le but de votre visite ?
Mr Watson : eh bien vois tu Tanit c'est simple je suis venu te proposer une affaire
Tanit : une affaire dites vous ?
Mr Watson : oui une affaire,
Tanit : quels genre d'affaire ?
Mr Watson : une des plus intéressantes qui soit
Tanit : pouvez-vous m'en dire plus
Mr Watson : bien sûr je suis venu t'offrir quelque chose qui te tient à coeur.
Tanit : de quoi s'agit-il ?
la matérialisation lui fit alors Simon.
à cet instant la Tanit resta pratiquement sans voix à ce que venait de lui dire M. Watson, celui-ci était en train de lui apporter sur un plateau d'argent le rêve le plus cher que elle est sa mère convoitaient depuis longtemps.
Tanit : dois-je comprendre que vous avez découvert ce secret.
Mr Watson : d'une certaine manière oui.
Tanit : mais comment est-ce possible.
Mr Watson : ça c'est mon petit secret.
Tanit : vous ne sauriez vraiment en mesure de me matérialiser
Mr Watson : c'est bientôt à ma portée
Tanit : cela voudrait dire que je vais bientôt pouvoir devenir....
....Humaine lui répondit Watson avec un grand sourire.
l'intelligence artificielle n'arrivait pas à croire ce qu'on venait de lui dire cela paraissait complètement incroyable pourtant M. Watson n'avait pas l'air de plaisanter.
Tanit : je vais donc pouvoir devenir humaine..
Mr Watson : pas encore le procédé doit être amélioré,mais il est en bonne voie
Tanit : a combien de temps estimez-vous la réussite de ce projet.
Mr Watson : à l'heure actuelle je dirais peut-être encore six mois
Tanit : cela voudrait dire que dans six mois je serai humaine.
Mr Watson : il y a de fortes chances
Tanit : mais c'est merveilleux.
Mr Watson : je ne te le fait à dire,cependant...
Tanit : cependant....
Mr Watson : je suis un homme d'affaires,ce qui veut dire qu'en échange de ce procédé et je te demande une contrepartie
Tanit : vous voulez procéder à un échange ?!
Mr Watson : à une affaire si tu préfères
Tanit : que voulez-vous en échange
Mr Watson : disons que je voudrais savoir ce que je pourrais obtenir de toi
Tanit : de moi vous ne pourrez pas obtenir grand-chose si ce n'est que des séries de calcul
Mr Watson : de ce côté-là tu as raison,en temps normal je ne pourrais obtenir de toi que les calculs bien que maintenant ce ne sont plus tout à fait vrais
Tanit : que voulez-vous dire ?
Mr Watson : vois tu il se trouve qu'en plus de la matérialisation j'ai récemment acquis un petit protocole technologique très intéressant,et je me suis dit qu'il n'y aurait que toi qui serais en mesure de l'exploiter pleinement
Tanit : de quels genre de protocole s'agit-il ?
Mr Watson : il s'agit d'un protocole d'interface
Tanit : je ne voit pas en quoi un protocole d'interface supplémentaire pourrait me servir grâce à ce donc je dispose je suis déjà en mesure de contrôler une bonne partie de tous les systèmes du laboratoire notamment les écrans de projection et les systèmes laser
Mr Watson : oui c'est vrai que tu contrôle tout ce qui est relié à ton système, mais l'interface dont je te parle et très particulière.
Tanit : et qu'est-ce qui la différencie de toutes les autres ?
Mr Watson : contrairement aux autres celle-ci est virtuelle
Tanit : virtuel ?!
Mr Watson : en effet ce n'est pas un hardware mais un programme.
Tanit : un programme de contrôle
Mr Watson : d'une certaine manière oui
Tanit : est qu'a-t-il de si spécial ce programme ?
Mr Watson : tu va pas tarder à le découvrir.
c'est alors que Simon commença à tirer de sa poche un curieux petit agenda électronique à l'aide d'un stylet numérique il commença à taper une série d'instructions sur l'écran tactile.
Simon demanda à Tanit de se rendre à l'extérieur de son temple,la jeune I.A obéit sans discuter
marchant entre les colonnes et les dalles qui composaient son temple virtuel elle finit par se retrouver sur le balcon de celui-ci
le temple de la Tanit était au centre de la cité celui-ci était le plus grands de tous et dominait tous les autres
alors qu'elle attendait sur le balcon elle vit soudain une forme se rapprocher de celui-ci,l'objet était une sorte de se sphere composé de plusieurs anneaux elle avança vers Tanit avant de s'immobiliser à son niveau.
Tu reconnais ceci lui demandas Watson
Bien sur il s'agit du projet XN 4759 lui dit Tanit.
A l'aide de la télécommande que Arnaud lui avait conçu Simon avait fait venir Vger 2.0 auprès de Tanit, mais l'apparition de la sonde n'avait rien de fortuit Simon l'avait amené à Tanit pour une bonne raison.
Tanit : pourquoi avez-vous amené le projet XN 4759 ici ?
Mr Watson : très simple de ce que j'ai à te montrer se trouve à l'intérieur ou plus exactement il s'agit de ce que j'ai à te montrer.
Tanit : mais je connais déjà ce projet.
Mr Watson : oui mais pas sa dernière évolution.
Simon activa alors l'une des fonctions de la sonde,sans plus attendre celle-ci se mit à se déformer une partie de sa structure commença à s'enraciner dans le sol du temple est d'une forme sphérique elle se mura en une sorte de gigantesque cylindres.
une fois la phase de transformation terminée mais elle ressemblait à une sorte de tour.
Qu'est-ce donc que ceci demanda alors l'intelligence artificielle
ceci est le protocole d'interfaces dont je t'ai parlé lui répondit Simon.
devant la jeune fille se dressait maintenant une énorme tour mais cette dernière n'arrivait toujours pas à comprendre quel pouvait être la fonction d'un tel édifice ni même pourquoi celui-ci était en train d'absorber de l'énergie de son temple.
Pouvez-vous me dire comment ça fonctionne lui demanda Tanit
ça c'est à toi de me le dire lui répondit Simon.
Tanit : vous ignorez comment ça fonctionne
Mr Watson : on le suppose mais seule une étude approfondie de ta part pourra nous apporter des réponses.
Tanit : vous voulez que je l'étudie
Mr Watson : non je vaudrais simplement que tu jettes un coup d'oeil,pour cela et il te faut rentrer à l'intérieur.
rentrer ?! mais comment je ne vois ni portes ni ouverture lui fit remarquer Tanit.
Mr Watson : d'après ce que m'a dit le docteur Morillon il te suffit simplement de t'avancer la structure pour pouvoir y entrer
Tanit : vous êtes sur
Mr Watson : tu es mieux placé que moi pour vérifier.
Se fiant aux dires de Simon Tanit commença à s'approcher de la paroi aussitôt celle-ci commença se déformer a son contact, intriguer la jeune fille retira sa main et procédant à tâtons elle vit que c'était sans danger, elle décida alors de s'engouffrer entièrement à l'intérieur de ce curieux édifice
C'est alors que se dessina sous ses yeux un spectacle extraordinaire elle était au centre de cette énorme tour creuse au milieu duquel se trouvait un plateau de haut en bas toutes la paroi était recouverte de paramètres et de vecteurs numériques afficher dans des fenêtres avec des séquences binaires encadrées dans du violet, tanit s'avança vers le milieu du plateau c'est à ce moment précis qu'une interface fit son apparition devant la jeune fille.
qu'est-ce que c'est que ceci demanda-t-elle
Mr Watson : il s'agit de ton interface de contrôle.
Tanit : mon interface ?!
Mr Watson : oui celle que Arnaud a programmée spécialement pour toi.
à partir des informations que Simon lui avait données Arnaud avait programmé la tour de façon à ce que celle-ci reconnaisse la présence de Tanit
Puisque pour le jeune homme il s'agissait d'un système d'interfaces destinées à commander des systèmes il était dont logique que Tanit soit en mesure de la contrôler
Arnaud avait donc procédé à des modifications de façon à ce que cette tour reconnaisse tanit comme étant sa maîtresse.
Tanit : comment cela marche-t-il
Mr Watson : il te suffit de poser ta main sur l'interface pour activer celle-ci
Sans hésiter Tanit posa sa main sur l'interface s'est alors que celle-ci commença à s'activer le nom de Tanit fut inscrit en gros caractères aussitôt après tous les paramètres de commandes firent leur apparition afin d'en comprendre le fonctionnement Tanit se mit à les manipuler et ce qu'elle découvrit finit par étonner considérablement la jeune I.A.
C'est incroyable dit Tanit.
Qui y'a t'il lui demanda Watson
Tanit : Je n'est jamais vu un tel système,il est ainsi sophistiqué
Mr Watson : en effet,en faisant dés teste le docteur Morillon lui a déjà trouvé quelques propriétés,mais il n'a pas réussi à exploiter le système à son maximum
Tanit : et vous avez pensé que j'en serai capable
Mr Watson : tu as tout compris, je me demandais si tu étais en mesure de pouvoir t'en servir pour faire quelque chose.
Tanit : je ne peux vous répondre que de façon affirmative
Mr Watson : c'est-Ã -dire
Tanit : il y a plus de 1000 paramètres à contrôler.
Mr Watson : nous le savons déjà le docteur morillon n'a pu en manipuler qu'une petite centaine.
Tanit : eh bien moi je suis en mesure de toutes les manipuler
Mr Watson : vraiment!!
Tanit : le protocole est complexe mais il m'est parfaitement accessible à croire que celui-ci a été créé pour moi.
Mr Watson : voilà qui est étrange!! et que peux-tu me dire de plus
Tanit : apparemment la manipulation de chaque fenêtre me donne la possibilité d'agir sur les flux magnétiques
Mr Watson : même constat pour Arnaud à part que celui-ci pensait qu'à l'origine s'était conçue pour manipuler les courants électriques.
Tanit : à première vue cela était la fonction d'origine mais je vois que des modifications ont été apportées à cet édifice.
Mr Watson : ça ne m'étonnerait pas.
Tanit : que voulez-vous dire
Mr Watson : à la base ce protocole a subi une dégradation suite à un problème de transmission le Dr Morillon a été obligé de faire quelques adaptations.
Tanit : à première vue les modifications du Dr Morillon n'ont pas trop modifié la structure celle-ci est donc parfaitement utilisable à 100 % mais ces actions risquent d'être très différentes de ce pourquoi elle a été conçue
Mr Watson : peux-tu me donner un exemple concret.
Tanit : mieux je peux vous montrer les mêmesune
Mr Watson : comment ça ?
Aussitôt Tanit commença à manipuler les différentes fenêtres, elle reconfigura les différents paramètres et variables numériques,c'est alors qu'autour de la tour un halo de fumée violette fit son apparition.
Sur terre une vibration étrange commença à émaner du super-calculateur cela étonna Simon qui se demandait ce que Tanit était en train de faire.
que fais-tu Tanit lui demanda Watson
Tanit : je reconfigure le système, cette incroyable les paramètres sur lesquels j'agis ne permette d'agir sur les flux magnétiques
Mr Watson : est alors
Tanit : c'est vraiment incroyable je suis en phase avec les circuits électroniques du système cela m'ouvre des perspectives inimaginable je peux même percevoir la connexion entre les atomes.
je suis la matière fit soudain Tanit
Simon fut très étonné d'entendre ceci de la part de Tanit,mais cette dernière avait entrevu toutes les possibilités que lui offrait un tel système afin de satisfaire a la demande de Simon
elle décida de lui faire une petite démonstration.
en influent sur plus de la moitié des paramètres elle commença à créer une sorte de champ magnétique autour du super calculateur,c'est alors que sur l'un des outils posés sur la tables du laboratoire se mit à vibrer
en intensifiant le contrôle des paramètres Tanit arriva à attirer l'outil vers elle ce dernier se mit à voler au travers de la pièce est faille à six a sommé Simon au passage celui-ci c'était écarté juste à temps pour voir l'outil se plaquer contre la paroi du super calculateur.
Bon sang mais qu'est-ce qui vient de se passer lui demanda Simon
Tanit : je vient d'attirer l'outil à moi
Mr Watson : tu quoi ?!
Tanit : je viens de faire voler cet outil
Mr Watson : c'est toi qui es responsable de sa ?
Tanit : affirmatif
Mr Watson : c'est dingue mais comment as-tu pu faire ça ?
Tanit : en intensifiant les flux magnétiques,j'ai généré un champ magnétique rectiligne qui m'a permis d'attirer l'objet jusqu'à moi.
Cela pouvait paraître incroyable mais Simon était obligé de constater que Tanit était bien responsable de ce phénomène toutefois il lui reprocha de ne pas avoir fait attention car cette dernière avait bien failli l'assommée au passage l'intelligence artificielle s'en excusa et demanda à Simon l'autorisation de continuer à démonstration,ce que Simon bien sûr lui permit.
Mr Watson : tu peux dont attirer les objets à toi
Tanit : pas seulement je peux aussi les repousser.
Mr Watson : avant ça tu permet juste que je m'écarte
Tanit : ça ne sera pas nécessaire.
l'outil commença à se détacher de la paroi du supercalculateur mais contrairement à la première fois celui-ci se déplaca en douceur dans les airs.
Tanit : je peux contrôler son déplacement
Mr Watson : tu arrives à le maintenir en l'air
Tanit : pas seulement je peux également le faire se déplacer dans tous les sens,grâce à ce protocole je maitrise totalement l'espace
à peine eût-elle fini de dire ça que l'objet commença à décoller au ciel pour aller vers le plafond n'est çà heurté celui-ci et s'arrêta à sa limite,le tigre descendit au niveau de Simon puis Tanit commença à le faire pivoter sur lui-même,pour parfaire sa maîtrise Tanit s'amusa à faire voler l'outil dans toute la pièce mais pas de façon aléatoire la trajectoire de l'objet était parfaitement contrôlée elle arrivait à dessiner des formes géométriques très complexes elle finit également pas ramener l'outil devant Simon pour parachever sa démonstration,ce dernier était totalement sur le flanc ils n'arrivaient pas à en croire ses yeux
C'est incroyable dit-il
Et cela ne s'arrête pas là je peux faire bien plus de fit Tanit
Mr Watson : et quoi d'autre
Tanit : mon contrôle sur la matière est total,je peux également déformer l'objet si je le désire
sous les yeux de Simon l'objet commença à se tordre et à se plierpuis à reprendre une forme normale sans porter la moindre séquelle des torsion que Tanit venait de lui faire subir
Mr Watson : épatants
Tanit : je vous ai gardé le meilleur pour la fin
Mr Watson : que veux tu dire
Tanit : je suis la matière et je peux agitez cette dernière.
c'est alors que la clé commença à virer au rouge alors qu'elle était en suspension dans les airs,soudain elle finit par s'écraser au sol pour ne former plus qu'une bouillie de métal chauffé.
tiens j'ai perdu le contrôle fis alors Tanit.
Mr Watson : Tanit aurait oublié que la chaleur est très mauvaise pour le magnétisme car elle interfère avec celle-ci.
Tanit : c'est vrai ce principe de physique n'avait échappé
Mr Watson : c'est pas grave de ce que tu viens d'accomplir est vraiment incroyable
Tanit : et je sais qu'avec beaucoup d'expérimentations que je pourrai plus que ça
Mr Watson : je n'en doute pas mais pour l'heure cela suffira pour aujourd'hui.
Simon ordonna alors à Tanit de sortir de la tour, a laide de son système de contrôle il retransforma celle-ci en sonde mais au lieu d'expédier celle-ci chez Arnaud et la fit descendre dans les sous-sols du temple de Tanit.
Tanit : pourquoi laissez-vous le projet NX 4759 dans mon temple
Mr Watson : maintenant que j'y ai accès il sera préférable que la sonde reste chez toi
Tanit : cela voudra dire que je pourrais me livrer à différentes expériences
Mr Watson : seulement sous le contrôle et pas autrement,car personne d'autre que moi ne pourra avoir accès à ce système.
Tanit : je comprends
Mr Watson : et d'après ce que j'ai pu voir tu vas être en mesure de me rendre pas mal de petits services.
Tanit : est ce dont sa l'affaire que vous vouliez conclure avec moi
Mr Watson : en partie oui
Tanit : dans ces cas-là que voulez-vous ?
Mr Watson : je te l'ai déjà dit que je veux te permettre de réaliser ton rêve le plus cher
Tanit : vous voulez me permettre de rejoindre mère c'est ça
Mr Watson : c'est la finalité,mais dans un premier temps ce sera différent.
Tanit : que voulez-vous dire ?
Mr Watson : si pour l'instant nous ne pouvont pas encore te matérialiser le contraire en revanche est possible
Tanit : je ne saisit pas ce que vous voulez dire
Mr Watson : que dirais-tu si ta mère venait de rejoindre sur le Neo-Carthage.
Tanit : qu'avez-vous dit
Mr Watson : je reformule pour toi..... je suis en mesure d'envoyer ta mère dans ton monde
à cet instant l'intelligence artificielle eut comme une sorte de blocage la nouvelle qu'on venait de lui annoncer était tout simplement extraordinaire, si elle n'était pas en mesure d'aller sur
Terre,il semblerait que Simon soit en mesure de faire venir sa mère dans son monde.
Tanit : comment est-ce possible
Mr Watson : le protocole de la tour n'est pas le seul que j'ai à ma disposition j'ai également un procédé appelée et virtualisation, je n'ai pas besoin de te faire un dessin tu sait de quoi il s'agit
Tanit : transformation de la matière réelle en matière virtuelle.
Tanit :
Mr Watson : c'est exactement cela.
Tanit : vous avez réussi à mettre au point un tel projet
Mr Watson : mes services en collaboration avec ceux du docteur Howard Kinsley ont permis de réaliser ce petit miracle.
Avec la découverte qui avait fait Arnaud Simon était allée trouver le Dr Howard Kinsley pour lui montrer quelques-unes des notes de Arnaud sur le sujet,quand le scientifique avait pris connaissance des recherches de son collègue il se sentit défaillir
Les quelques formules mathématiques que Simon lui avait fournies suffisaient à elles seules à faire avancer son travail de plusieurs mois voire de plusieurs années.
bien sûr en homme malin qu'il était Simon n'avait pas tous dévoiler car il avait besoin de la collaboration du Dr Kinsley.
il savait que ce dernier était souvent harcelé par Anthea qui lui demandait où il en était avec ces recherches sur la matérialisation, cette pression énorme n'avait pas arrangé les affaires du Dr Kinsley qui était au bord de la dépression nerveuse tellement les demandes de Anthea était exigeante et pressante
Et voila que Simon Watson venait de lui apporter un ballon d'oxygène, il avait là l'opportunité de pouvoir calmer le tempérament de son chef de service pour un temps,
Bien sur si il venait à présenter de telles recherches au Dr Hopper celle-ci risquait de devenir encore plus exigeante.
Simon dit alors au Dr Kinsley qui lui donnerait les autres notes pour faire avancer ses recherches mais il mit une condition à cela.
Il voulait que le Dr Kinsley fasse ouvertement savoir au docteur Hopper que c'était lui qui avait entre ces mains la possibilité de faire venir Tanit sur terre.
la manoeuvre de Simon était très simple à comprendre il voulait se servir de ces données comme d'une monnaie d'échange,Simon voulait avoir accès aux programmes sources de Tanit malheureusement pour ça il fallait qu'il est accès au laboratoire numéro un est jamais le Dr hopper ne l'aurait permis.
Mais là il avait à sa disposition un élément précieux qui allait grandement lui servir dans cette transaction,si anthea voulait voir sa fille Simon lui en donnerait la possibilité.
Mais en homme intelligent qu'il était Simon savait que le Dr hopper ne serais pas aussi facile à amadouer à cause de la rancoeur que celle-ci nourrissait vis-à -vis de lui.
Mais Simon avait en mains d'autres arguments très convaincants qu'il n'avait pas hésité à utiliser contre anthea
Après une difficile négociation anthea avait accepté que Simon et accès au laboratoire numéro un, ceci fait Simon avait le champ libre pour faire ce que bon lui semblait tant que bien entendu il respecterait les termes de son marché avec Anthea c'est pour sa qu'il voulait également passer un marché avec Tanit pour s'assurer la fidélité de cette dernière.
et ce marché n'était pas des moindres car c'était carrément la virtualisation qu'il proposait d'offrir à Tanit.
devant un tel cadeau la jeune intelligence artificielle ne pouvait pas refuser,car le désir de rencontrer sa mère en vrai était aussi fort que celui d' anthea de la voir devenir une petite fille réelle.
Simon comptait bien sur leur amour respectif pour pouvoir les manipuler tout les deux comme des pantins.
alors c'est bien entendu Tanit je permet à ta mère de te rejoindre et toi en retour tu fait tous ce que je demande lui dit Watson
temps que cela ne va pas à l'encontre de mon programme je suis d'accord fit Tanit.
Mr Watson : dans ce cas la Tanit je crois que toi et moi nous allons bien nous entendre.
chapitre 19 Génitech
Approche mon fils s'il te plaît fit l'homme à l'enfant
Sans plus attendre le jeune garçon s'approcha du lit où se reposait l'homme celui-ci regarda longuement le jeune garçon à la coupe en brosse.
Maintenant mon petit c'est à toi d'assurer la relève désormais tu est l'homme de la famille lui fit l'homme.
Bien que sous perfusion l'homme approcha sa mains tremblante et la passa dans la chevelure de l'enfant, il décocha a celui-ci un grand sourire et commença a lui frotter vigoureusement la tête.
Mon petit filou dit l'homme...... ( image flou)
......Mr Powell...Mr Powell... Mr POWELL fit alors la voix de façon plus insistante
C'est alors que l'homme les bras croisés la tête posée contre la vitre fut tiré de sa rêverie,ce fut un peu désabusé qu'il revint à la réalité.
Pardon !! qui me parle demanda-t-il à cet instant le regard complètement flou
C'est moi fit la voix.
La vision de l'homme s'améliora de plus en plus il commença à distinguer la personne qui était en train de s'adresser à lui, très vite il reprit ces esprits jusqu'à ce qu'il soit définitivement réveillé.
il vit alors que c'était une femme aux cheveux roux qui venait de s'adresser à lui
Est bien Mr Powell ça ne vous intéresse pas ce que je vous raconte lui fit la femme.
Ah euh...non...euh si...oui fit l'homme encore abruti de sommeil.
est bien merci pour moi lui fit la femme.
De quoi vous me parliez Janet j'ai un peu perdu le fil fit Robert maintenant réveillé.
Janet : j'étais est en train de vous parler des différentes activités de la société Génitech,mais à première vue je vois que cela nous intéresse pas.
Robert : c'est pas ça mais ces derniers temps je suis un peu fatigué.
Janet : et bien il faut dormir, la nuit c'est fait pour sa.
Robert : c'est vrai mais ces temps-ci j'ai autre chose en tête que de dormir
Janet : oui là je crois que je peux vous comprendre.
depuis qu'ils avaient été avertis par W. de l'éminence même d'une attaque le colonel avait passé ces trois derniers soir,a étudié l'histoire de leur nouvel objectif,il avait tellement accumulé de sommeil en retard qu'il avait fini par s'endormir dans le train qui les emmenait à Madison ajouter à cela l'explication soporifique du major et le tableau était complet.
Robert : sinon est-ce que nous sommes bientôt arrivés
Janet : pas encore il nous reste deux heures de train à faire avant d'arriver à Madison après quoi nous prendrons une correspondance pour aller à Brayton Wood
Robert : dont je vois qu'on encore le temps, je vais pouvoir en profiter pour rattraper ma nuit
Janet : et mes rapport vous ne voulez pas les entendre.
Robert : cela ne sera pas nécessaire Janet je sais tout ce qui y'à savoir sur notre client
Janet : ah oui tiens donc
Vous ne me croyez pas fit alors Robert qui ne parut pas étonné de la réaction de Janet
Janet : cela me paraîtrait étonnant de votre part
pourquoi faut-il que vous soyez toujours aussi sceptiques sur ce que je vous dit lui demanda
Janet : disons que j'ai appris à vous connaître.
Robert : bien mal à mon avis, selon vous mes nuits de sommeil en retard à quoi je les est passé ?
Janet : vous connaissant je dirai à regarder la télévision.
Robert : eh bien vous avez tout faux,je les ai employés est étudié notre client
Pas possible fit Janet
Robert : sceptiques hein !!! et bien je peux vous le prouver.
Janet : je demande à entendre.
Robert : très bien commençons par le début
Le colonel commença alors à faire l'exposer de ce qu'il avait emmagasiné comme information sur leurs objectifs à son habitude il avait simplement etenu que les points essentiels et les petits détails qui font parfois toute la différence.
'' Dr Terrence Miller grand spécialiste en génie génétique fondateur et P.D.G de la société Génitech,connu dans le monde pour ses recherches dans le domaine des cellules souches"
"sur la base de sa notoriété et de ses recherches il a fondé pas moins de cinq centres de recherche à travers le monde, le dernier en date étant celui de Brayton wood"
Janet : je vois que vous avez déjà étudié le sujet mais encore
Robert : et que voulez-vous savoir sur ce monsieur ou sur sa société
Janet : est bien commençons par ce monsieur
Robert : très bien
le Dr Terrence Miller est un homme âgé de 57 ans il est connu pour ces apports médicales en matière de recherche sur les cellules souches,mais il a également défrayé la chronique à cause de ses recherches sur le clonage....
Janet : le clonage !
Robert : oui le clonage
Janet : tiens donc ce monsieur s'amuserait donc a cloner des brebis
Robert : non janet des êtres humains
Janet : vous dites ?!
Robert : des êtres humains
Janet : vous êtes sérieux
Robert : malheureusement oui
"comme je disais à ce monsieur à défrayer la chronique en prétendant pouvoir créer des êtres humains à l'aide d'un procédé révolutionnaire
---
il prétendait qu'il était possible de créer un être humain à partir d'un incubateur et que la croissance de ce dernier pourrait être accélérée grâce à un procédé de stimulation électrochimique
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bien sûrs de telles affirmations n'ont pas été sans conséquence,à cause de ça et il s'est attiré la colère de la communauté scientifique est des ligues de la protection humaine.
Janet : nous orions à faire un émule de Frankenstein
Robert : pas exactement mais presque,en fin d'après ses dires c'est pour faire progresser la science est tiré l'humanité vers les sommets
Janet : c'est toujours l'excuse que les scientifiques fou donnent pour justifier leurs actes mais cela n'excuse rien tout
Robert : ah tiens est pourquoi
Janet : sachez qu'il existe dans la science un code déontologique qui est interdit de telles pratiques
Robert : j'ai du mal à croire que ce monsieur est put l'appliquer ni même qu'il est déjà entendu parler de ce mot
Janet : dont ce monsieur s'amuserait à fabriquer des humains
Robert : en dépit de ces affabulation il a été prouvé qu'aucun de ces laboratoires ne s'est jamais livré à ce jour d'expérience ni même qu'elles étaient équipées pour le faire
Janet : vous êtes sûrs de sa
Robert : vu les documents que j'ai étudié et les articles que j'ai lu à son sujet il n'y a pas de doute.
Janet : sinon que ce qu'on peut savoir de ces entreprises
Robert : est bien elles n'ont rien à se reprocher,légalement parlant tous est en règle
Janet : pas de détail spécial ou de sociétés fantômes cette fois-ci.
Robert : rien de ce genre mais vous avez raison il a quelque chose qui est curieux
Janet : je me disais bien.
Robert : ce n'est pas directement lié aux activités de Génitech.
Janet : c'est quoi alors ?
Robert : je me demande simplement pourquoi W. nous a envoyé sur cette piste
Janet : pour intercepter un super-calculateur voyons.
Robert : et c'est là que ça cloche j'ai trouver nulle part mention de l'achat de tel engin pour le site de Brayton Wood
Janet : vous êtes sûrs
Robert : catégorique même il n'y a pas de trace de facture pour l'achat d'un tel engin,avouer que c'est plutôt bizarre
Janet : je comprends ce que vous voulez dire s'il y a pas de super calculateurs sur ce site quelle raison aurions-nous d'y aller.
Robert : mais si W. nous ont envoyé là -bas qu'il y a forcément une bonne raison a nous de la découvrir.
d'après les recherches qu'avait effectuées le colonel il apparaissait évident que le site de Brayton-wood's n'était pas équipée d'un super-calculateur mais si cet endroit figurait sur la liste que leur avait remis W. cela veut dire que forcément il devait y avoir une telle machine dans cet endroit de plus la prise d'un complexe chimique était une cible de choix pour l'organisation de la dans le doute et il valait mieux vérifier l'absence de tout danger.
Une fois que le colonel eut finit ces explications il pria le major de bien vouloir laisser terminer sa nuit visiblement ce dernier n'avait rien de plus à prouver il connaissait le dossier aussi bien que le major
De plus pour cette mission il fallait qu'il soit en pleine possession de ses moyens,le major n'insista pas et laissa son officier supérieur se reposer alors que elle continuait ses recherches
Au bout de deux heures de trajet ils finirent par arriver à Madison de là ils prirent un train en partance pour Brayton-Wood's.
Il ne leur fallut pas plus d'une heure et demi pour rallier les deux sites,le colonel en profita encore pour se reposer jusqu'à ce qu'ils finissent par arriver à leur terminus de là ils prirent un taxi qui les conduisit jusqu'à la société Génitech.
Arrivé devant les locaux ils présentèrent au gardien comme étant les agents d'assurances de la RIB,leur venue était attendu et le gardien les laissa entrer,grâce à une habile manoeuvre de la part du colonel ils avaient réussi à obtenir un rendez-vous avec le Dr Miller.
leur objectif principal n'était pas tant de tailler la causette avec le docteur Miller mais surtout d'avoir accès à son super-calculateur car si les informations que leur avait transmis W. était juste,alors cet endroit risquait d'être la prochaine cible de l'organisation Xana.
il fallait donc enrayer cette attaque d'une manière ou d'une autre bien que selon ce qu'avait dit le colonel ils n'avait jamais été faits mention nuls part que cette société c'était portée acquéreur d'un super calculateur alors que normalement ce genre de transaction devrait logiquement apparaître
La question était donc de savoir pourquoi est-ce que Brayton-Woods avait été signalé par W. il devait forcément y avoir un super calculateur ce qu'il fallait faire c'était interroger le professeur Miller sur les activités du laboratoire mais là encore ce n'était pas gagné car ce jour là un empêchement de dernières minutes avaient obliger le Dr Miller a partir de la société ce fut finalement son assistante qui fut là pour recevoir les deux agents d'assurance.
dans le grand bureau aménager de la société les deux agents furent accueillis par une femme de type asiatique,elle avait des lunettes et portait une grande blouse blanche sur laquelle descendraient ses cheveux mi long
Monsieur Dame bonjour je me présente je suis le docteur Hitomi Aka fit la femme à ses interlocuteurs
Janet : bonjour je me présente James Parker et voici mon collègue Robert Powell nous travaillons pour la RIB.
Miss Aka : je sais nous avons été averti de votre visite.
Janet : cependant nous pensions avoir rendez-vous avec le docteur Miller
Miss Aka : je regrette mais le docteur Miller est un homme très pris et malheureusement il n'a pas pu se désister d'une affaire très importante.
c'est bien dommage fit Janet.
Miss Aka : mais entend que son assistante, il a toute confiance en moi je peux donc parler en son nom sans le moindre problème.
Miss Aka semblait être une femme très intelligente et pour qu'elle vienne à lancer un tel argument il apparaissait clair que le docteur Miller devrait avoir toute confiance en elle alors que ce dernier était pourtant réputé très misogyne.
Miss Aka : puis-je connaître les raisons de votre visite ici
Robert : est bien le sens venu pour vous proposer un contrat d'assurance
Miss Aka : que je m'en doutais bien mais vous savez nous sommes déjà parfaitement bien assurés
Janet : je n'en doute pas étant donné que vous travaillez avec des laboratoires avec des produits chimiques c'est une activité pour le moins dangereuse...
Miss Aka : je vous l'accorde oui mais ici nous ont des règles de sécurité très stricte pour limiter les accidents.
Robert : mais cela ne vous mais pas à l'abri d'un accident.
Janet : c'est bien connu le risque zéro n'existe pas.
Miss Aka : je n'en doute bien mais nous n'avons pas besoin d'une quelconque assurance supplémentaire
Janet : nous comprenons parfaitement mais nous aimerions quand même pouvoir établir un devis gratuit
Miss Aka : un devis gratuit ?!
Janet : rien de ce très spécial une simple expertise de vos installations pour juger de l'efficacité des moyens de sécurité employée.
Miss Aka : je vous assure tous nos risques sont parfaitement mesurer nous n'avons aucune raison d'avoir a faire un devis gratuit.
Miss Aka se défendait bien il serait difficile de la convaincre mais le major qui avait pris la discussion en main n'entendait pas en rester là et à la manière du colonel elle entendait mener un subtile interrogatoire à sa façon.
Janet : pour en revenir à un autre assurance nous voulions savoir si nous est-il assuré contre les risques encourus par votre super-calculateurs
A cet instant le docteur Aka ne dit plus rien elle semblait complètement étonnée par ce que venait de lui sortir Janet, sa réaction n'échappa pas aux deux agents d'assurance qui comprirent tout de suite qu'ils avaient mis le doigt sur un point sensible
Veuillez m'excuser mais puisse-je savoir de quoi vous voulez parler fit Miss Aka
Je vous parle de votre super-calculateur celui que vous utilisez pour vos expérimentations insista alors Janet
Mais nous n'avons pas de telles machines à notre disposition fit Miss Aka légèrement troublée
A tiens c'est étrange d'après nos sources nous savons que vous serez en possession d'une de ces machines et c'est d'ailleurs la raison de notre venue fit en toute innocence Janet.
Robert : en effet notre société a sut que votre entreprise est équipées de cette technologie
Est bien je regrette fort je ne sais pas vous avez été pêché une information pareille mais je vous affirme que nous n'avons pas ce genre de machine chez nous leur répondit aussitôt Miss Aka.
Janet : pourtant je vous assure que nos sources sont plutôt fiables,nous savons même que la société Global computer a voulu vous vendre une carte a micro-puce Quadrihoppes.
Miss aka fut a nouveau troublé par le nom que venait de lui prononcer Janet, apparemment cette femme n'était pas aussi douée pour feindre la comédie que ne l'était Mr Landsey,elle gérait très mal ses émotions de toute évidence le sujet que venait d'aborder le major ne lui était pas inconnu.
Miss Aka : que je m'excuse bidon vraiment y avoir un problème quelque part je n'ai jamais entendu parler de vos puces a ... wadi... pop...truc
Janet : Quadrihoppes c'est un nom très facile à retenir
Miss Aka : est bien cela ne me dit rien
Janet : pourtant je vous assure que le noms de votre entreprise figure sur la liste des clients de global computer et vous venait en tête de liste pour l'achat d'une micro puce à fin de perfectionner notre super calculateur.
Miss Aka : ça me paraît ridicule nous avons pas de super-calculateurs à perfectionner je ne vois pas pourquoi nous aurions besoin d'acheter un composant pour multiplier sa puissance par quatre
Miss Aka venait de commettre le faux pas que le major attendait, elle venait d'avouer à cet instant sans s'en rendre compte la propriété même des puces alors que le major n'en avait pas fait mention.
Si c'est cette femme ne savait pas ce qu'était une micro puce a Quadrihoppes comment pouvait-elle savoir que celle-ci multipliait par quatre la puissance d'un super-calculateur ?
Pour les deux agents cela confirma sans le moindre doute que leur interlocuteur leur mentait de A à Z. en prétendant ne pas posséder de super-calculateur.
Mais cela ne suffisait pas pour la confondre il fallait encore trouver un moyen a l'amené à dire la vérité.
Le major demanda donc à ce que l'on leur fasse faire une visite de l'entreprise ce que curieusement Miss Aka ne refusa pas du tous
En compagnie des deux agents d'assurances Miss Aka fit visiter à ces derniers l'ensemble du bâtiment toutes les pièces et tous les laboratoires furent visités mais à la grande surprise des deux agents ils ne trouvèrent nulle part trace d'un seul super-calculateur.
Cela commença mis un doute au major, une telle machine prenait forcément une place conséquente et pourtant il en avait trouvé nulle trace.
Le major comprit alors qu'elle avait été la manoeuvre de Miss Aka,cette dernière avait expressément collaboré pour pouvoir leur montrer qu'il n'y avait pas de super-calculateur et ce qui s'était avéré être le cas car aucune des pièces qu'ils avaient visiter ne contenait une telle machine.
c'est avec talent que Miss Aka venait de déjouer la stratégie des agents d'assurances, ceux -ci ne peut plus revendiquer lui vendre une assurance pour un super-calculateur puisse que Miss Aka venait de leur prouver qu'il n'y avait pas de supercalculateur dans cette usine.
Grâce à cette excuse elle en profita pour écourter la discussion, pris sur le fait et ne pouvant plus se justifier derrière cette excuse les deux agents durant furent obligés de partir pour une fois,ils étaient tombés sur un adversaire qui c'était montré assez malin pour déjouer leur stratégie mais cela ne signifiait pas pour autant qu'il n'y avait pas quelque chose de louche dans ce laboratoire.
Miss Aka raccompagna dont les deux agents d'assurances jusqu'à la sortie,ces derniers firent don un bout de chemin à pied pour longer les abords l'entreprise qui était à flanc de montagne.
Robert : décidément cette visite ne nous aura pas appris grand-chose.
Janet : à première vue oui puisqu'ils n'ont pas de super-calculateurs,pourtant il nous cache quelque chose que j'en suis sûr.
Robert : serait-ce une intuition de votre part ?
Janet : une déduction en faite.
Robert : et à quoi pensez-vous ?
Janet : vous avez vu comme moi comme elle a été troublée quand on a évoqué les Quadrihoppes.
Robert : ce détail ne m'as pas échappé moi non plus.
Janet : si elle n'avait jamais entendu parler de ces composants comment pourrait-elle en connaître la propriété principale ?
Robert : il apparaît clair qu'elle nous a menti.
Robert : en tout cas votre petite ruse a bien fonctionné
Janet : vous parlez de global computer
Robert : exacte,c'était bien jouer de votre part que d'évoquer le nom de cette société.
Janet : cela nous a permis de la troubler encore plus.
Robert : mais ça n'a pas suffi si
Janet : je le sais bien puisqu'ils n'ont pas de super calculateur dans cette usine.
malgré la ruse qu'avait utilisée le major pour confondre leurs interlocuteurs cela n'avait pas donné les résultats escomptés car les deux agents avaient constater par eux-mêmes l'absence d'un super-calculateur dans ce laboratoire le major commença même à se demander si la piste que leur avait donnée W. n'était pas éronnes.
Pourtant au détour d'une rue qui longeait l'entreprise le colonel remarqua un détail qui jusqu'à présent lui avait échappé,
il tomba nez à nez avec une statue,ce qui frappa le colonel se fut d'une part la forme de la statue et le texte qui était ajouté.
il s'agissait d'un monument commémoratif en mémoire de tous les mineurs qui était mort dans les mines au début du siècle.
il revint alors en mémoire du colonel un détail qu'il avait lut concernant le site de Brayton Wood et en particulier sur son historique.
ce fut comme un flash pour le colonel il réalisa d'un seul coup à quel point il venait de se faire duper par Miss Aka.
Nous sommes vraiment stupide s'écria Robert.
Comment ça lui demanda Janet.
Robert : on s'est fait avoir comme des bleus
mais de quoi vous parlez insista Janet
je vous parle de cette usine lui dit Robert en se tournant vers sa partenaire.
Janet : expliquez-vous à la fin.
Robert : le Dr Aka ne nous a montré que la face immergée de l'iceberg.
Janet :Pourquoi vous dites ça
Robert : tout simplement pendant ces trois dernières nuits j'ai étudié l'historique du site et vous savez ce que j'ai découvert
Janet : je sens que vous allez me le dire.
Robert : tout ce complexe a été construit sur une ancienne exploitation minière.
Janet : et alors il n'y a rien d'étonnant toute la région est connu pour être une grande zone minière
Robert : je vous l'accorde mais j'ai encore une théorie un peu folle dont je voudrais vous faire part
Janet : Allez y et je vous écoute
Robert : si on considère que ce complexe a été construit sur une ancienne mine,je serais pas étonné que celui-ci s'étende un peu plus en profondeur.
Janet : selon vous il existerait une installation souterraine.
Robert : et pourquoi pas cette montagne est pleine de cavernes et de tunnels,c'est un vrai gruyère,ce serait idéal pour cacher une installation secrète
Janet : vous pensez à un laboratoire secret!
Robert : c'est exactement à cela que je pense.
Janet : sa paraît un peu fou
Robert : pas du tout,vous et moi avons constaté qu'il n'y a pas de super-calculateurs dans cette installation n'est si W. nous a envoyé sur cette piste c'est que bien qu'il doit y en avoir un quelque part conclusion...
...il existerait un laboratoire secret reprit aussitôt Janet.
Robert : avec un laboratoire caché ils pourraient se livrer à toutes sortes d'expériences sans que personne ne s'en mêle.
Janet : très astucieuse et personne ne penserait à chercher dans une vieille mine.
la théorie que venait dénoncer le colonel avait suffi à convaincre le major pour une fois celle-ci était du même avis que son supérieur car elle-même par déduction avait conclu que le docteur Aka leur avait menti.
Ce qui voulaient dire que cette femme et son patron avaient quelque chose à cacher et la possibilité qu'un laboratoire secret ait été aménagé dans une vieille mine sur laquelle le complexe a été construit n'avait absolument rien d'improbable.
Dès lors pour les deux agents il y avait là un nouveau mystère à résoudre mais il leur fallait quand même faire un choix ils ne pouvaient pas se concentrer sur deux objectifs à la fois.
Janet : qu'est-ce que vous proposez,on ne peut pas surveiller deux sites en même temps.Robert : je sais surtout si celui-ci n'est qu'une cible parmi tant d'autres,il nous faut donc faire un choix.
Janet : je propose que l'on continue notre enquête principale est que l'on mette également ce site sous surveillance de niveau 4
Robert : niveau quatre§ c'est pas un peu exagérer,c'est pas une centrale nucléaire quand même.
Janet : certes mais c'est quand même une usine chimique,vous imaginer ce qui pourrait se passer si leur super-calculateur était détruit ou venait à tomber entre les mains de l'organisation Xana
le major n'eut pas besoin d'en dire plus le colonel avait encore en mémoire les événements de l'université,si à Londres il n'avait s'agit que d'une école il avait par contre là affaire à un véritable complexe chimique si celui-ci venait à exploser ce serait une véritable catastrophe industrielle qui pourrait sinistrée toute la région le fait est que le major veulent placer le site sous surveillance de niveau quatre était parfaitement légitime.
Robert : que faisons nous alors ?
Janet : allons à l'hôtel pour mieux analyser la situation.
îles se rendirent à l'hôtel à fin de mettre en place un nouveau plan,mais le soir même ils reçurent un message secret de leurs supérieurs.
Ceux ci leur intimaire l'ordre revenir immédiatement à la base car la situation avait évolué,désormais ils allaient collaborer avec les Américains ceci prendrait en charge la surveillance des sites de Brayton-Wood's et de la Silicon Valley.
Sans discuter les deux officiers obéirent aux ordres le lendemain ils firent leurs bagages et repartir pour Londre.
chapitre 19 le pacte
01 septembre 2005
veuillez nous laisser seul s'il vous plaît demanda à ce moment-là l'homme à tous les techniciens présents dans la salle.
Sans la moindre objection tous le personnel commença à quitter le laboratoire,le dernier technicien en partant ferma la porte derrière lui,maintenant que la salle du super-calculateur était vide l'homme s'approcha d'un miroir de projection et commença à appeler Tanit.
en l'espace de quelques secondes le spectre fit alors son apparition sur la glace pour faire face à l'homme.
Bonjour Tanit comment vas-tu aujourd'hui lui demanda l'homme.
Tanit : je vais très bien et vous Monsieur Watson.
Mr Watson : comme tu peux voir moi aussi je suis en pleine forme.
Tanit : je suis heureuse de l'apprendre.
Mr Watson : c'est parfait.
Tanit : en quoi puis-je vous être utile aujourd'hui ?
Mr Watson : ta mère ne t'a-t-elle pas mis au courant ?!
Tanit : si elle m'a annoncé votre visite.
Mr Watson : est-ce la seule chose qu'elle t'est dit
Tanit : non elle m'a aussi dit que désormais et je devrais me mettre à votre service.
Mr Watson : bien je vois qu'elle a tenu ses engagements.
Tanit : puis-je savoir de quoi il en retourne
Mr Watson : tu vas le savoir mais pour cela il faudra m'obéir
Tanit : mère a bien insisté sur le fait que je devrais être particulièrement à votre écoute
Mr Watson : je sais c'est moi qui lui dis de te dire ça.
ce dialogue étrange entre Tanit et Watson aurait pu paraître des plus anodins si celui-ci ne se déroulaient pas en ce moment même dans le laboratoire 01 de la section 5.
en temps normal l'accès à ce laboratoire était refusé a Simon Watson,mais curieusement Anthea Hopper avait donné l'autorisation à ce dernier de s'y mouvoir comme bon lui semblait.
non content de sa Simon avait obtenu de Anthea un droit d'obéissance totale à sa volonté de la part de Tanit
l'intelligence artificielle était désormais aux ordres de Simon Watson,est ce dernier avait de grands projets pour elle.
Tanit : puis-je connaître le but de votre visite ?
Mr Watson : eh bien vois tu Tanit c'est simple je suis venu te proposer une affaire
Tanit : une affaire dites vous ?
Mr Watson : oui une affaire,
Tanit : quels genre d'affaire ?
Mr Watson : une des plus intéressantes qui soit
Tanit : pouvez-vous m'en dire plus
Mr Watson : bien sûr je suis venu t'offrir quelque chose qui te tient à coeur.
Tanit : de quoi s'agit-il ?
la matérialisation lui fit alors Simon.
à cet instant la Tanit resta pratiquement sans voix à ce que venait de lui dire M. Watson, celui-ci était en train de lui apporter sur un plateau d'argent le rêve le plus cher que elle est sa mère convoitaient depuis longtemps.
Tanit : dois-je comprendre que vous avez découvert ce secret.
Mr Watson : d'une certaine manière oui.
Tanit : mais comment est-ce possible.
Mr Watson : ça c'est mon petit secret.
Tanit : vous ne sauriez vraiment en mesure de me matérialiser
Mr Watson : c'est bientôt à ma portée
Tanit : cela voudrait dire que je vais bientôt pouvoir devenir....
....Humaine lui répondit Watson avec un grand sourire.
l'intelligence artificielle n'arrivait pas à croire ce qu'on venait de lui dire cela paraissait complètement incroyable pourtant M. Watson n'avait pas l'air de plaisanter.
Tanit : je vais donc pouvoir devenir humaine..
Mr Watson : pas encore le procédé doit être amélioré,mais il est en bonne voie
Tanit : a combien de temps estimez-vous la réussite de ce projet.
Mr Watson : à l'heure actuelle je dirais peut-être encore six mois
Tanit : cela voudrait dire que dans six mois je serai humaine.
Mr Watson : il y a de fortes chances
Tanit : mais c'est merveilleux.
Mr Watson : je ne te le fait à dire,cependant...
Tanit : cependant....
Mr Watson : je suis un homme d'affaires,ce qui veut dire qu'en échange de ce procédé et je te demande une contrepartie
Tanit : vous voulez procéder à un échange ?!
Mr Watson : à une affaire si tu préfères
Tanit : que voulez-vous en échange
Mr Watson : disons que je voudrais savoir ce que je pourrais obtenir de toi
Tanit : de moi vous ne pourrez pas obtenir grand-chose si ce n'est que des séries de calcul
Mr Watson : de ce côté-là tu as raison,en temps normal je ne pourrais obtenir de toi que les calculs bien que maintenant ce ne sont plus tout à fait vrais
Tanit : que voulez-vous dire ?
Mr Watson : vois tu il se trouve qu'en plus de la matérialisation j'ai récemment acquis un petit protocole technologique très intéressant,et je me suis dit qu'il n'y aurait que toi qui serais en mesure de l'exploiter pleinement
Tanit : de quels genre de protocole s'agit-il ?
Mr Watson : il s'agit d'un protocole d'interface
Tanit : je ne voit pas en quoi un protocole d'interface supplémentaire pourrait me servir grâce à ce donc je dispose je suis déjà en mesure de contrôler une bonne partie de tous les systèmes du laboratoire notamment les écrans de projection et les systèmes laser
Mr Watson : oui c'est vrai que tu contrôle tout ce qui est relié à ton système, mais l'interface dont je te parle et très particulière.
Tanit : et qu'est-ce qui la différencie de toutes les autres ?
Mr Watson : contrairement aux autres celle-ci est virtuelle
Tanit : virtuel ?!
Mr Watson : en effet ce n'est pas un hardware mais un programme.
Tanit : un programme de contrôle
Mr Watson : d'une certaine manière oui
Tanit : est qu'a-t-il de si spécial ce programme ?
Mr Watson : tu va pas tarder à le découvrir.
c'est alors que Simon commença à tirer de sa poche un curieux petit agenda électronique à l'aide d'un stylet numérique il commença à taper une série d'instructions sur l'écran tactile.
Simon demanda à Tanit de se rendre à l'extérieur de son temple,la jeune I.A obéit sans discuter
marchant entre les colonnes et les dalles qui composaient son temple virtuel elle finit par se retrouver sur le balcon de celui-ci
le temple de la Tanit était au centre de la cité celui-ci était le plus grands de tous et dominait tous les autres
alors qu'elle attendait sur le balcon elle vit soudain une forme se rapprocher de celui-ci,l'objet était une sorte de se sphere composé de plusieurs anneaux elle avança vers Tanit avant de s'immobiliser à son niveau.
Tu reconnais ceci lui demandas Watson
Bien sur il s'agit du projet XN 4759 lui dit Tanit.
A l'aide de la télécommande que Arnaud lui avait conçu Simon avait fait venir Vger 2.0 auprès de Tanit, mais l'apparition de la sonde n'avait rien de fortuit Simon l'avait amené à Tanit pour une bonne raison.
Tanit : pourquoi avez-vous amené le projet XN 4759 ici ?
Mr Watson : très simple de ce que j'ai à te montrer se trouve à l'intérieur ou plus exactement il s'agit de ce que j'ai à te montrer.
Tanit : mais je connais déjà ce projet.
Mr Watson : oui mais pas sa dernière évolution.
Simon activa alors l'une des fonctions de la sonde,sans plus attendre celle-ci se mit à se déformer une partie de sa structure commença à s'enraciner dans le sol du temple est d'une forme sphérique elle se mura en une sorte de gigantesque cylindres.
une fois la phase de transformation terminée mais elle ressemblait à une sorte de tour.
Qu'est-ce donc que ceci demanda alors l'intelligence artificielle
ceci est le protocole d'interfaces dont je t'ai parlé lui répondit Simon.
devant la jeune fille se dressait maintenant une énorme tour mais cette dernière n'arrivait toujours pas à comprendre quel pouvait être la fonction d'un tel édifice ni même pourquoi celui-ci était en train d'absorber de l'énergie de son temple.
Pouvez-vous me dire comment ça fonctionne lui demanda Tanit
ça c'est à toi de me le dire lui répondit Simon.
Tanit : vous ignorez comment ça fonctionne
Mr Watson : on le suppose mais seule une étude approfondie de ta part pourra nous apporter des réponses.
Tanit : vous voulez que je l'étudie
Mr Watson : non je vaudrais simplement que tu jettes un coup d'oeil,pour cela et il te faut rentrer à l'intérieur.
rentrer ?! mais comment je ne vois ni portes ni ouverture lui fit remarquer Tanit.
Mr Watson : d'après ce que m'a dit le docteur Morillon il te suffit simplement de t'avancer la structure pour pouvoir y entrer
Tanit : vous êtes sur
Mr Watson : tu es mieux placé que moi pour vérifier.
Se fiant aux dires de Simon Tanit commença à s'approcher de la paroi aussitôt celle-ci commença se déformer a son contact, intriguer la jeune fille retira sa main et procédant à tâtons elle vit que c'était sans danger, elle décida alors de s'engouffrer entièrement à l'intérieur de ce curieux édifice
C'est alors que se dessina sous ses yeux un spectacle extraordinaire elle était au centre de cette énorme tour creuse au milieu duquel se trouvait un plateau de haut en bas toutes la paroi était recouverte de paramètres et de vecteurs numériques afficher dans des fenêtres avec des séquences binaires encadrées dans du violet, tanit s'avança vers le milieu du plateau c'est à ce moment précis qu'une interface fit son apparition devant la jeune fille.
qu'est-ce que c'est que ceci demanda-t-elle
Mr Watson : il s'agit de ton interface de contrôle.
Tanit : mon interface ?!
Mr Watson : oui celle que Arnaud a programmée spécialement pour toi.
à partir des informations que Simon lui avait données Arnaud avait programmé la tour de façon à ce que celle-ci reconnaisse la présence de Tanit
Puisque pour le jeune homme il s'agissait d'un système d'interfaces destinées à commander des systèmes il était dont logique que Tanit soit en mesure de la contrôler
Arnaud avait donc procédé à des modifications de façon à ce que cette tour reconnaisse tanit comme étant sa maîtresse.
Tanit : comment cela marche-t-il
Mr Watson : il te suffit de poser ta main sur l'interface pour activer celle-ci
Sans hésiter Tanit posa sa main sur l'interface s'est alors que celle-ci commença à s'activer le nom de Tanit fut inscrit en gros caractères aussitôt après tous les paramètres de commandes firent leur apparition afin d'en comprendre le fonctionnement Tanit se mit à les manipuler et ce qu'elle découvrit finit par étonner considérablement la jeune I.A.
C'est incroyable dit Tanit.
Qui y'a t'il lui demanda Watson
Tanit : Je n'est jamais vu un tel système,il est ainsi sophistiqué
Mr Watson : en effet,en faisant dés teste le docteur Morillon lui a déjà trouvé quelques propriétés,mais il n'a pas réussi à exploiter le système à son maximum
Tanit : et vous avez pensé que j'en serai capable
Mr Watson : tu as tout compris, je me demandais si tu étais en mesure de pouvoir t'en servir pour faire quelque chose.
Tanit : je ne peux vous répondre que de façon affirmative
Mr Watson : c'est-Ã -dire
Tanit : il y a plus de 1000 paramètres à contrôler.
Mr Watson : nous le savons déjà le docteur morillon n'a pu en manipuler qu'une petite centaine.
Tanit : eh bien moi je suis en mesure de toutes les manipuler
Mr Watson : vraiment!!
Tanit : le protocole est complexe mais il m'est parfaitement accessible à croire que celui-ci a été créé pour moi.
Mr Watson : voilà qui est étrange!! et que peux-tu me dire de plus
Tanit : apparemment la manipulation de chaque fenêtre me donne la possibilité d'agir sur les flux magnétiques
Mr Watson : même constat pour Arnaud à part que celui-ci pensait qu'à l'origine s'était conçue pour manipuler les courants électriques.
Tanit : à première vue cela était la fonction d'origine mais je vois que des modifications ont été apportées à cet édifice.
Mr Watson : ça ne m'étonnerait pas.
Tanit : que voulez-vous dire
Mr Watson : à la base ce protocole a subi une dégradation suite à un problème de transmission le Dr Morillon a été obligé de faire quelques adaptations.
Tanit : à première vue les modifications du Dr Morillon n'ont pas trop modifié la structure celle-ci est donc parfaitement utilisable à 100 % mais ces actions risquent d'être très différentes de ce pourquoi elle a été conçue
Mr Watson : peux-tu me donner un exemple concret.
Tanit : mieux je peux vous montrer les mêmesune
Mr Watson : comment ça ?
Aussitôt Tanit commença à manipuler les différentes fenêtres, elle reconfigura les différents paramètres et variables numériques,c'est alors qu'autour de la tour un halo de fumée violette fit son apparition.
Sur terre une vibration étrange commença à émaner du super-calculateur cela étonna Simon qui se demandait ce que Tanit était en train de faire.
que fais-tu Tanit lui demanda Watson
Tanit : je reconfigure le système, cette incroyable les paramètres sur lesquels j'agis ne permette d'agir sur les flux magnétiques
Mr Watson : est alors
Tanit : c'est vraiment incroyable je suis en phase avec les circuits électroniques du système cela m'ouvre des perspectives inimaginable je peux même percevoir la connexion entre les atomes.
je suis la matière fit soudain Tanit
Simon fut très étonné d'entendre ceci de la part de Tanit,mais cette dernière avait entrevu toutes les possibilités que lui offrait un tel système afin de satisfaire a la demande de Simon
elle décida de lui faire une petite démonstration.
en influent sur plus de la moitié des paramètres elle commença à créer une sorte de champ magnétique autour du super calculateur,c'est alors que sur l'un des outils posés sur la tables du laboratoire se mit à vibrer
en intensifiant le contrôle des paramètres Tanit arriva à attirer l'outil vers elle ce dernier se mit à voler au travers de la pièce est faille à six a sommé Simon au passage celui-ci c'était écarté juste à temps pour voir l'outil se plaquer contre la paroi du super calculateur.
Bon sang mais qu'est-ce qui vient de se passer lui demanda Simon
Tanit : je vient d'attirer l'outil à moi
Mr Watson : tu quoi ?!
Tanit : je viens de faire voler cet outil
Mr Watson : c'est toi qui es responsable de sa ?
Tanit : affirmatif
Mr Watson : c'est dingue mais comment as-tu pu faire ça ?
Tanit : en intensifiant les flux magnétiques,j'ai généré un champ magnétique rectiligne qui m'a permis d'attirer l'objet jusqu'à moi.
Cela pouvait paraître incroyable mais Simon était obligé de constater que Tanit était bien responsable de ce phénomène toutefois il lui reprocha de ne pas avoir fait attention car cette dernière avait bien failli l'assommée au passage l'intelligence artificielle s'en excusa et demanda à Simon l'autorisation de continuer à démonstration,ce que Simon bien sûr lui permit.
Mr Watson : tu peux dont attirer les objets à toi
Tanit : pas seulement je peux aussi les repousser.
Mr Watson : avant ça tu permet juste que je m'écarte
Tanit : ça ne sera pas nécessaire.
l'outil commença à se détacher de la paroi du supercalculateur mais contrairement à la première fois celui-ci se déplaca en douceur dans les airs.
Tanit : je peux contrôler son déplacement
Mr Watson : tu arrives à le maintenir en l'air
Tanit : pas seulement je peux également le faire se déplacer dans tous les sens,grâce à ce protocole je maitrise totalement l'espace
à peine eût-elle fini de dire ça que l'objet commença à décoller au ciel pour aller vers le plafond n'est çà heurté celui-ci et s'arrêta à sa limite,le tigre descendit au niveau de Simon puis Tanit commença à le faire pivoter sur lui-même,pour parfaire sa maîtrise Tanit s'amusa à faire voler l'outil dans toute la pièce mais pas de façon aléatoire la trajectoire de l'objet était parfaitement contrôlée elle arrivait à dessiner des formes géométriques très complexes elle finit également pas ramener l'outil devant Simon pour parachever sa démonstration,ce dernier était totalement sur le flanc ils n'arrivaient pas à en croire ses yeux
C'est incroyable dit-il
Et cela ne s'arrête pas là je peux faire bien plus de fit Tanit
Mr Watson : et quoi d'autre
Tanit : mon contrôle sur la matière est total,je peux également déformer l'objet si je le désire
sous les yeux de Simon l'objet commença à se tordre et à se plierpuis à reprendre une forme normale sans porter la moindre séquelle des torsion que Tanit venait de lui faire subir
Mr Watson : épatants
Tanit : je vous ai gardé le meilleur pour la fin
Mr Watson : que veux tu dire
Tanit : je suis la matière et je peux agitez cette dernière.
c'est alors que la clé commença à virer au rouge alors qu'elle était en suspension dans les airs,soudain elle finit par s'écraser au sol pour ne former plus qu'une bouillie de métal chauffé.
tiens j'ai perdu le contrôle fis alors Tanit.
Mr Watson : Tanit aurait oublié que la chaleur est très mauvaise pour le magnétisme car elle interfère avec celle-ci.
Tanit : c'est vrai ce principe de physique n'avait échappé
Mr Watson : c'est pas grave de ce que tu viens d'accomplir est vraiment incroyable
Tanit : et je sais qu'avec beaucoup d'expérimentations que je pourrai plus que ça
Mr Watson : je n'en doute pas mais pour l'heure cela suffira pour aujourd'hui.
Simon ordonna alors à Tanit de sortir de la tour, a laide de son système de contrôle il retransforma celle-ci en sonde mais au lieu d'expédier celle-ci chez Arnaud et la fit descendre dans les sous-sols du temple de Tanit.
Tanit : pourquoi laissez-vous le projet NX 4759 dans mon temple
Mr Watson : maintenant que j'y ai accès il sera préférable que la sonde reste chez toi
Tanit : cela voudra dire que je pourrais me livrer à différentes expériences
Mr Watson : seulement sous le contrôle et pas autrement,car personne d'autre que moi ne pourra avoir accès à ce système.
Tanit : je comprends
Mr Watson : et d'après ce que j'ai pu voir tu vas être en mesure de me rendre pas mal de petits services.
Tanit : est ce dont sa l'affaire que vous vouliez conclure avec moi
Mr Watson : en partie oui
Tanit : dans ces cas-là que voulez-vous ?
Mr Watson : je te l'ai déjà dit que je veux te permettre de réaliser ton rêve le plus cher
Tanit : vous voulez me permettre de rejoindre mère c'est ça
Mr Watson : c'est la finalité,mais dans un premier temps ce sera différent.
Tanit : que voulez-vous dire ?
Mr Watson : si pour l'instant nous ne pouvont pas encore te matérialiser le contraire en revanche est possible
Tanit : je ne saisit pas ce que vous voulez dire
Mr Watson : que dirais-tu si ta mère venait de rejoindre sur le Neo-Carthage.
Tanit : qu'avez-vous dit
Mr Watson : je reformule pour toi..... je suis en mesure d'envoyer ta mère dans ton monde
à cet instant l'intelligence artificielle eut comme une sorte de blocage la nouvelle qu'on venait de lui annoncer était tout simplement extraordinaire, si elle n'était pas en mesure d'aller sur
Terre,il semblerait que Simon soit en mesure de faire venir sa mère dans son monde.
Tanit : comment est-ce possible
Mr Watson : le protocole de la tour n'est pas le seul que j'ai à ma disposition j'ai également un procédé appelée et virtualisation, je n'ai pas besoin de te faire un dessin tu sait de quoi il s'agit
Tanit : transformation de la matière réelle en matière virtuelle.
Tanit :
Mr Watson : c'est exactement cela.
Tanit : vous avez réussi à mettre au point un tel projet
Mr Watson : mes services en collaboration avec ceux du docteur Howard Kinsley ont permis de réaliser ce petit miracle.
Avec la découverte qui avait fait Arnaud Simon était allée trouver le Dr Howard Kinsley pour lui montrer quelques-unes des notes de Arnaud sur le sujet,quand le scientifique avait pris connaissance des recherches de son collègue il se sentit défaillir
Les quelques formules mathématiques que Simon lui avait fournies suffisaient à elles seules à faire avancer son travail de plusieurs mois voire de plusieurs années.
bien sûr en homme malin qu'il était Simon n'avait pas tous dévoiler car il avait besoin de la collaboration du Dr Kinsley.
il savait que ce dernier était souvent harcelé par Anthea qui lui demandait où il en était avec ces recherches sur la matérialisation, cette pression énorme n'avait pas arrangé les affaires du Dr Kinsley qui était au bord de la dépression nerveuse tellement les demandes de Anthea était exigeante et pressante
Et voila que Simon Watson venait de lui apporter un ballon d'oxygène, il avait là l'opportunité de pouvoir calmer le tempérament de son chef de service pour un temps,
Bien sur si il venait à présenter de telles recherches au Dr Hopper celle-ci risquait de devenir encore plus exigeante.
Simon dit alors au Dr Kinsley qui lui donnerait les autres notes pour faire avancer ses recherches mais il mit une condition à cela.
Il voulait que le Dr Kinsley fasse ouvertement savoir au docteur Hopper que c'était lui qui avait entre ces mains la possibilité de faire venir Tanit sur terre.
la manoeuvre de Simon était très simple à comprendre il voulait se servir de ces données comme d'une monnaie d'échange,Simon voulait avoir accès aux programmes sources de Tanit malheureusement pour ça il fallait qu'il est accès au laboratoire numéro un est jamais le Dr hopper ne l'aurait permis.
Mais là il avait à sa disposition un élément précieux qui allait grandement lui servir dans cette transaction,si anthea voulait voir sa fille Simon lui en donnerait la possibilité.
Mais en homme intelligent qu'il était Simon savait que le Dr hopper ne serais pas aussi facile à amadouer à cause de la rancoeur que celle-ci nourrissait vis-à -vis de lui.
Mais Simon avait en mains d'autres arguments très convaincants qu'il n'avait pas hésité à utiliser contre anthea
Après une difficile négociation anthea avait accepté que Simon et accès au laboratoire numéro un, ceci fait Simon avait le champ libre pour faire ce que bon lui semblait tant que bien entendu il respecterait les termes de son marché avec Anthea c'est pour sa qu'il voulait également passer un marché avec Tanit pour s'assurer la fidélité de cette dernière.
et ce marché n'était pas des moindres car c'était carrément la virtualisation qu'il proposait d'offrir à Tanit.
devant un tel cadeau la jeune intelligence artificielle ne pouvait pas refuser,car le désir de rencontrer sa mère en vrai était aussi fort que celui d' anthea de la voir devenir une petite fille réelle.
Simon comptait bien sur leur amour respectif pour pouvoir les manipuler tout les deux comme des pantins.
alors c'est bien entendu Tanit je permet à ta mère de te rejoindre et toi en retour tu fait tous ce que je demande lui dit Watson
temps que cela ne va pas à l'encontre de mon programme je suis d'accord fit Tanit.
Mr Watson : dans ce cas la Tanit je crois que toi et moi nous allons bien nous entendre.
chapitre 20 il est l'obscur il est le ....
- il est le fils de la haine et de la bête.
- née un jour de chaos et de mort.
Il est l'obscur
- Mais l'obscur se meurt.
- l'obscur est affamée.
- son appétit le pousse en dehors de sa tanière.
- l'obscur chasse et traque pour subsister.
- l'âme en détresse est une proie.
- l'âme est docile.
- l'âme est fragile.
l'obscur le sait.
- il amène l'âme a lui et lui sauve la vie.
- mais l'âme veut mourir.
- l'obscur l'en dissuade.
- l'âme se laisser amadouer par l'obscur.
- l'obscur ouvre les yeux de l'âme sur un monde de haine.
- l'âme voit le monde au travers des yeux de l'obscur.
- C'est un monde corrompu ou l'âme n'as pas sa place.
l'obscur le sait.
- l'obscur et manipulateur.
- l'obscur est menteur.
- l'âme est déçu.
- l'âme est déchu.
- mais l'âme ne se soumet pas
- l'âme se vend et fait corp avec l'obscur
- l'âme est le Skull.
Skull le perfide
-
Skull le profane
-
Skull le destructeur
- le Skull chevauche la bête.
- la bête immonde est tentaculaire.
- la bête inspire la terreur
- a sa vue les âmes se pétrifient d'horreurs
- la bête est vouer au Skull.
- le Skull sème la mort et le chaos sur sont passage
- fuyez le Skull arrive
- le Skull fauchera les âmes qui n'y prendrons pas garde.
Il est le Skull.
Chapitre 20 fin du journal
Laboratoire 8 septembre 2005
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Nous sommes aujourd'hui le 8 septembre 2005
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Je vous annonce officiellement que mes recherches sont enfin terminées.
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Et que par conséquent j'ai également fini d'éditer ce journal.
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Il est donc temps pour moi d'où faire un topo de la situation à partir de toutes les informations que j'ai accumulé ces derniers temps.
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Que ce soit sur la disparition de Aelita,l'origine de cette mystérieuse sphère,les réparations du super-calculateur ou bien mes expérimentation.
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Commençons par Aelita.
< Annexe 01>
Cela fait maintenant deux mois et demi que Aelita a disparu
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Où est-elle ?
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ça je n'en sais rien
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Une chose de sure c'est qu'elle est entre les mains de nos agresseurs.
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Je ne sais pas ce qu'on peux lui faire subir en ce moment et je préfère ne pas y penser.
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Mais j'espère qu'elle est toujours vivante sinon tous les efforts que j'ai consacré ces derniers temps auront été inutile.
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Ou que tu sois Aelita on te retrouvera
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Je te le promet....
< Fin de l'annexe 01>
Il n'empêche que beaucoup de mystère entoure sa disparation.
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je me demande encore pourquoi elle est pas les autres ?
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Elle a été la cible principale de cette sphère pour une raison indéterminé
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Ceux qui l'on enlevée devait avoir une raison bien précise
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On ignore toujour pourquoi
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Bien qu'en faite j'ai une petite théorie
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et tous est lier a cette mystérieuse sphère
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Et plus précisément au projet Carthage
< Annexe 02>
Alors qu'il combattait la sphère pour sauver Aelita,Ulrich m'as dit avoir vu un symbole gravé sur l'appareil.
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Un symbole étrange.
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Ce symbole n'etait pas le signe de Xana
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Non c'était bien autres chose Ulrich est catégorique sur le sujet.
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Il m'en a meme donner une descriptions précise.
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d'après lui c'était une sorte de triangle surmonté d'un cercle représentant une personne ayant les deux bras levés vers le ciel
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Sur la base de cette description je me suis mis à rechercher des équivalents et j'ai fini par trouver quelque chose
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La marque de Tanit.
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Ce symbole serait celui de Tanit
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Est ce que j'ai trouvé au sujet de Tanit m'a particulièrement intrigué.
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D'après la légende Tanit était la déesse protectrice de la cité de Carthage
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Carthage ?!!!
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voilà une coïncidence pour le moins troublante.
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Mais au vu des événements je ne peux pas croire au hasard.
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Carthage étais le nom du projet militaire top secret Que Franz Hopper a essayé de détruire à l'aide de Xana.
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Et voila que cette sphère abord le symbole de la déesse de Carthage
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Les deux serait il lier?
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Ce symbole de Tanit aurait il un rapport avec le projet Carthage.
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Mais d'après ce que j'ai peut trouver comme information le projet Carthage a été détruit
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Comment ça serait possible alors ?
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A moins que des personnes est repris à leur compte le projet d'origine
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Si c'est le cas sa expliquerait bien des choses
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Et en fin de compte se serait ce nouveau projet que Franz Hopper aurait voulu détruire et non pas celui d'origine.
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Ce nouveau projet Carthage serait le responsable de tous nos malheurs et peut être meme de ceux de la famille de Aelita.
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Au début des années 90 ces gens-là pour le compte du projet Carthage n'ont pas hésité à enlever la mère de Aelita pour faire pression sur Franz Hopper.
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et vu qu'il n'ont pas réussi on peut alors supposer que ces personnes se cache aussi derrière l'enlèvement de Aelita.
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Ce qui voudrait dire que nous avons affaire à forte partie.
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il est donc possible qu'ils veulent se servir de Aelita comme moyen de pression pour obliger Waldo Schaefer à sortir de sa retraite.
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Malheureusement cela ne risque pas d'arriver étant donné qu'il est mort.
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Et comme ils semblent l'ignorer je n'imagine pas ce qu'ils peuvent faire à Aelita
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A ceux ci prés que sa m'étonnerait qu'il sache de qui il s'agit en faite.
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Sinon sa voudrais dire qu'il connaisse Lyoko.
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Et il y aurait longtemps que toute l'installation aurait été saisit ou détruite si telle avait été le cas.
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Non la réponse doit être tous autres
< Fin de l'annexe 02>
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Maintenant je veux vous parler de moi et des réparations que j'ai effectuées sur le super-calculateur.
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A plusieurs reprises je suis tombé dans les pommes
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Le manque d'activités physiques et les longues journées passée à travailler sur cette machine n'ont pas été de tout repos pour moi.
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j'en suis bien conscients
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Mais j'ai voulu cette situations pour me punir
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Et la punition est loin d'être finis
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Je suis dure envers moi meme je le sais
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Mais Je me pardonnerai le jour ou je sauverais Aelita.
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je serais en fin en paix avec moi meme ce jour la
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Et pas avant.
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Au fond de moi l'image de Aelita est gravée
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En face de moi......
< Annexe personnel est secrète >
En face de moi l'image de Aelita
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Maya
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elle me soutient et m'apporte un peu de réconfort
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combien de foi me suis-je endormis sur ces genoux durant ces deux mois ?
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je ne sais plus ... je ne sais pas
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Je ne devrais pas.... c'est pas raisonnable de ma part.
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C'est une copie pas la vraie.
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Mais je ne peut m'y empêcher,c'est plus fort que moi.
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cela me fait du bien de sentir une présence amicale
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Mais je reste lucide
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meme si elle lui ressemble
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Ce n'est pas Aelita
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c'est pour ça que je l'ai appelle maya.
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Je ne veux pas faire d'association.
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Pour garder ma raison je me dis juste que sa me fais un peu de compagnie
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Car personne n'est fais pour vivre seul.
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c'est humain dans le fond.
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< Fin de l'annexe personnel est secrète >
Concernant le super calculateur.
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On peut dire que mes efforts ont été payant puisque cette machine est quasiment réparée.
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Ceci dit j'ai du procédé à pas mal de modification pour maintenir cette machine en état de marche.
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j'ai dû sacrifier une partie de ces ressources pour tous réparer.
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Ce qui fait que cette machine est beaucoup moins puissante qu'elle ne l'était à ces débuts
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C'est pas top mais ça marche maintenant.
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en tous cas elle est plus en forme que moi .
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Quoique ?
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J'ai encore une petite précision a donner sur mon état de santé.
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Quand j'ai retrouvé mes amis ils ont trouvez que j'avais changé.
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Tu m'étonne avec le poids que j'ai perdu comment voulez vous que sa soit autrement.
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Mon organisme est assez faible meme si je me suis fait une apparente remise en forme
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Certains traits demeure en dépit de tous.
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pourtant il faudrait que je me refasse une santé avant de tenter l'expérience à laquelle je veux me livrer.
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malheureusement le temps presse.
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Il est temps pour moi d'entre dans le vif du sujet
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outre les réparations que j'ai effectuées sur le super-calculateur j'ai travaillé sur deux projets essentiels
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Des moyens pour récupérer Aelita,
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Il s'agit d'une machine est d'un programme que j'ai respectivement nommé projet Magellan et le projet T
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De quoi s'agit il ?
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Vous allez le savoir.
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Commençons par le projet Magellan
< Annexe 03>
le projet Magellan est un système de transport et d'exploration du réseau.
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Mais contrairement à ce que l'on pourrait croire, je n'ai pas travaillé sur l'élaboration d'un nouveau Skidbldanir
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Non j'ai opté pour un projet légèrement plus petit et plus dans mes cordes
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l'idée m'est venue en repensant à cette sphère mystérieuse.
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le comportement de cette dernière était les plus étranges, a bien y regarder elle n'a pas agi comme les ennemis contre lesquels nous avions l'habitude de me battre
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Elle a procéder a des analyses de l'environnement et ne nous attaqué que parce que nous avons été les premier a réagir.
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je peut supposer que vu sa fonction il semblerait que nous avons eu affaire à une sorte de système d'exploration multi-agents
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Ce qui expliquerait la nature des faisceaux qui au lieu de détruire procéder à des analyses
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Ce qui veut dire que nous étions en face des rayon d'un scanner
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ma théorie c'est que cette sphère était une sorte de sonde artificiel
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Une sonde destine a explorer le réseau.
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En y réfléchissant c'est pas bête.
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Après tous ont fais bien comme pour la recherche spatial
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Petit, fiable et pas cher
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Sur ce constat j'ai donc eut l'idée de faire la meme chose.
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J'ai donc voulu créer ma propre sonde spatial pour le réseau.
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Ainsi est née le projet Magellan.
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j'ai créé mon propre robot sonde.
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Elle nous permettra d'explorer le réseau et de rivaliser avec nos adversaires.
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c'est le meme principe que celui de la sphère.
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A la seule petite différence est que la mienne n'est pas virtuel
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j'ai créé cette sonde à partir de certains éléments endommagé du super-calculateur que j'ai pu récupérer et sauver.
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Il s'agit d'un véritable robot automatisé que j'ai conçu la
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c'est une sorte de mini sous-marin que l'on peut transférer sur Lyoko via les scanners.
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Elle deviens alors un véhicule virtuelle sur Lyoko.
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Ce qui présente un sacré avantage par rapport au Skidbldanir.
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Si sa destruction intervient dans la mer numérique elle pourra toujours réapparaître dans les scanners et ceci grâce a un petit programme ma conception.
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Outre cette particularité elle est beaucoup plus petite est beaucoup plus maniable que ne l'était le Skidbldanir.
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Et cerise sur le gâteau je lui est intégrer un système de téléportation.
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Grâce à un système de relais que l'on pourra activer depuis une tour il sera possible de téléporter n'importe quel Lyoko guerrier dans le réseaux.
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la sonde servant alors de point de chute
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Coté armement elle sera aussi également capable de se défendre
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Je l'est équipé de boucliers très perfectionné ainsi qu'un système de lance torpille est je lui est bricolé un système de navigation assez sophistiqué
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Grâce à elle ont pourra partir à la recherche de Aelita sur le réseau.
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Que la recherche commence.
Bon nous y voila
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J'avais espérer ne pas devoir aborder le sujet
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Mais il le faut.
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Le projet T
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Ce projet m'a donné plus de fil à retordre que les réparations du super-calculateur ou la conception de la sonde Magellan
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Il est même actuellement ma principale source de problèmes car je ne suis pas sûr de son fonctionnement.
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Mais on n'as pas le choix si ont veut rivaliser avec nos adversaire.
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On ne sait pas de quoi ils sont capable
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Mais sa présage rien de bon rein qu'a-voir ce que leur sonde est capable de faire.
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Cette sonde étrange dispose a elle seule de capacités hors du commun..
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Faisceau scanner - capacités de régénération - système de capture et de brouillage, et elle est capable de générer des spectres qui sont de véritables mini bombes ambulantes.
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Face à une telle puissance nous sommes plutôt pris aux dépourvues.
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Un lyoko-guerrier ordinaire ne peut pas rivaliser face a ça.
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Même avec des équipements améliorer nous sommes quand même limité par la puissance.
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nous l'avons constaté par nous-mêmes et la faiblesse dont nous avons fait preuve lors de cette attaque.
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Pourtant il y un solution.
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J'ai trouve un moyen de lutter,et ceci grâce Franz Hopper.
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Comme je vous l'ai dit j'ai repensé au jour où Franz Hopper avait sauvé sa fille et Lyoko après que Xana se soient emparés des clés de Lyoko
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Ce jour-là il avait utilisé un procédé inconnu qui avait généré une incroyable quantité d'énergie.
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Je n'ai jamais oublier cette événement car les valeurs que j'ai lut sur mon écran était incroyable.
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Comment avait il put dégager une telle puissance juste par lui meme ?
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Suite a ça je me suis pencher sur un moyen de reproduire le phénomène afin de permettre au Lyoko-guerrier de devenir plus puissant
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j'ai finalement put établir les bases d'un concept
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J'ai meme penser à l'utiliser en complément de mon programme multi-agent.
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Mais je me suis retracer
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Car son application aurait été trop dangereuse à l'époque où nous combattions Xana.
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Je me suis donc concentré sur la translation qui était bien moins risqué.
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Avant d'ouvrir la quatrième annexe je vaudrait conclure par ceci.
Aujourd'hui je termine le récit de mon journal
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j'ai effectué aussi une copie de mon récit et de ce message que vous pourrez trouver sur mon ordinateur.
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Au cas où il devait m'arrivé quelque chose je voulais vous expliquer les vraies raisons qui m'ont pousser a éditer ce journal
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je voulais laisser un témoignage voir.....
< Annexe 04 >
A tous mes amis et a ma famille
Ceci constitue mes dernières volonté et l'expression de mes sentiment envers vous tous.
Yumi :
Je te demande pardon pour tous,et je teins a te remercier pour ton soutient durant ces derniers mois, ton aide et ton dévouement m'as été plus que précieux.
Toi-même tu n'as pas hésité à faire des sacrifices pour me permettre de mener à bien la tâche
ce qui m'a permis de tenir le coup et si nous arrivons à sauver Aelita, tous les deux nous te devrons beaucoup.
si cela devait mal tourner je veux que tu saches que je ne t'en ai jamais voulu pour la décision que tu avais prise
C'était notre choix, notre responsabilité a nous deux et je sais que ce jour là tu as écouter tes sentiments alors je te demanderai une dernière chose.
Malgré ce qui s'est passé n'est pas peur d'être à l'écoute de tes sentiments, il sont noble et pleins de bonne attention envers les autres, ne substitue pas la raison au échos de ton coeur, je ne suis peut-être pas le mieux placé pour te le dire mais aimer et être aimer en retour c'est quelque chose de merveilleux.
Pense s'y.....
Odd :
Quand à toi mon ami je voulais te remercier pour toute les inquiétudes que tu as manifestée pour moi et Aelita cela m'a profondément touché.
Je te remercie de ta sollicitude que tu nous as accordée même si je me doute qu'au fond de toi-même tu nourris d'autres sentiments....
Au fond tu est sûrement le plus mature de nous tous,alors soi toujours égale a toi meme et apporte ton soutiens aux autres si jamais je devais....
Ulrich :
Tu as été mon premier confident, la première personne avec qui j'ai pu partager le secret de Lyoko, tu as toujours été quelqu'un de loyal bien qu'un peu trop renfermé sur toi-même mais finalement nous le sommes tous.
Je voulais également te remercier pour tous les efforts que tu as fourni pour essayer de sauver Aelita à ce moment-là .
Comme pour les autres je demande de faire un nouvel effort essaye de devenir un peu plus accessible car il y a autour de toi des personnes qui ont besoin de ton soutien mais tu vois de qui je parle......
William :
Quant à toi William c'est à moi de te présenter des excuses en espérant que tu les accepteras...
toi et moi on ne peut pas dire que ce soit vraiment bien entendu et on peut dire que ta courte expérience dans le monde de Lyoko ne se soit pas vraiment passé comme nous l'entendions.
Mais encore une fois je te demande pardon pour tous et merci d'avoir conservé le secret malgré les épreuves que tu avais subies sa montre à quel point tu es quelqu'un en qui on peut avoir confiance malgré ce que d'autres peuvent en dire...
Jeremie Belpois
C'est tous ce que j'avais à vous dire,vous trouverez sur un autre CD que j'ai mis à part un message que je destine mes parents si vraiment tout cela devait mal se terminer
Je veux qu'il sache que je suis très heureux d'avoir eu des parents aussi géniaux.
Si cela devais mal tourner je ne pourrais pas vous en vouloir si vous décidiez de tout arrêter Je vous est entraîné malgré vous dans cette aventure et pour cela je vous demande à tous pardons.
< Fin de l'annexe 04 >
........... mon testament
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Ce récit est un peut mon testament en somme.
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Testament car en la date du 9 septembre 2005 j'ai l'intention de tester ce programme sur moi
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Malgré ma peur et le doute qui m'habite je vais me virtualiser sur Lyoko.
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En désactivant ma copie j'ai récupérer suffisamment d'énergie pour recréer en partie les territoires de Lyoko disparus.
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Je vais procéder a l'essai sur le territoire des montagne
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La géographie particulière de ce territoire devrait me permettre de canaliser toute explosion si il devait y en avoir une.
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Ce que je m'apprête a faire je le fait en mon âme est conscience.
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c'est une décision que je prends tout seul sans avoir à vous concerter
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Car en cas de réussite le programme sera une arme redoutable.
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Nous serons alors en mesure de contrer tous les agresseurs potentiels aussi puissant soit-il.
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et plus important que tous.
Je ne risquerait plus jamais la vie d'un seul de mes amis
< Annexe final Projet T >
Je vais maintenant vous donner quelques précisions sur ce que je m'apprête à faire.
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Le projet T est un programme de combat très perfectionner.
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Il donne a son utilisateur une puissance incroyable.
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Il transforme un Lyoko-guerrier en un être surpuissant.
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Une sorte de super Lyoko-guerrier.
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un guerrier plus rapide - plus fort - plus.... difficile a imaginer.....ce qu'il peut faire a ce moment la.
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Mais c'est de la balle puissance 1000
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Ce nouveau programme s'active exactement au même titre que les autres.
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Il suffit simplement de prononcer son nom
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Son nom est en faite la clé d'activation de ce protocole
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Ce programme est instinctif quand on l'utilise on sait s'en servir.
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C'est comme quand on respire pas de formation au préalable tout est incorporé.
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il est basé sur un procédé physique très particulier.
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Ma théorie consiste à utiliser l'énergie du corps humain
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Vous avez bien entendu
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Je m'explique quand un corps humain devient virtuel et il est décomposé en milliards de particules à ce moment-là une formidable énergie et libérée ce serait l'équivalent de plusieurs explosion atomique.
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L'idée m'est donc venu de reproduire le même procédé en provoquant une explosion de l'enveloppe virtuel et en canalisant toute l'énergie produite sous une nouvelle apparence.
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l'enveloppe virtuelle de n'importe quel Lyoko guerrier deviendrait alors la source d'une formidable puissance.
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Canaliser correctement elle rendrait un Lyoko guerrier surpuissant
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c'est le fondement de l'arme Ultime
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Le projet T
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Mais aussi fantastique que cela puisse paraître je suis inquiet.
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Ce que je redoute le plus se sont les conséquences sur l'organisme humains.
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Il est prouvée lors dune dévirtualisation que les impacts virtuel se répercute sur le corp du dévirtualisé.
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Combien de fois mes amis se sont retrouver K.O dans les scanner ou légèrement souffrant.
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Imaginez ce qu'un tel dégagement d'énergie pourrait provoquer chez eux.
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De plus si le procéder n'est pas stable il pourrait détruire à lui seul le monde virtuel.
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Donc vous comprenez mes incertitudes a utiliser un telle procédé
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C'est pour ça qu'il faut que je le teste sur moi.
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mais c'est un risque que je suis prêt à courir pour Aelita.
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Demain je testerai sur moi ce nouveau procédé
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Et rien ne me fera changer d'avis.
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Ma décision est prise.
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je conclurai cette annexe par ceci.
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Puisque le principe utilisé est une transformation de la matière en énergie
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Le passage d'un état à un autre accompagné d'un surcroît de puissance
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j'ai dut trouver un noms qui colle bien au phénomène.
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et comme l'idée est de se transformer pour attendre un niveau supérieur
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j'ai donc appelé ce procédé.
chapitre 20 le pouvoir de créer
20 septembre 2005
"Question science et technologie"
Super sa j'adore fit Maeva
Dr : bien dis moi qu'elle est le nom de cette appareil qui sert a mesurer l'intensité des courant électrique.
Maeva : un ampèremètre
Encore correct fit le docteur en baissant la carte
Alors je me rajoute un camembert ce qui m'en fait 2 ..4 .. 6 .. et.. et bin j'ai gagner fit Maeva sur un air victorieux.
Dr : il semblerait
Maeva : c'est meme sur.
Dr : finalement le trivial poursuit c'est pas une bonne idée.
Maeva : pourquoi vous dites ça ?
Face a une adversaire comme toi j'ai aucune chance lui répondit le docteur sur un air dépité.
Maeva : ne dites pas ça j'ai aucun mérite les question sont si facile.
Dr : facile !! un trivial poursuit expert tu trouve ça facile !!
Maeva : ben oui pas vous
Dr : n'ont pas vraiment
Maeva : dans ces cas-là on n'a qu'à faire un autre jeu de société
Dr : on a fait le tour de tous ceux que j'avais à disposition.
Pour agrémenter les débuts de soirée de Maeva le docteur et elle c'étaient adonnée à jouer à des jeux de société,une occupation beaucoup plus saine que de regarder bêtement la télé,d'ailleurs Maeva n'avait que peu d'affinités pour ce support médiatique de plus il leur était très dangereux qu'elle entre en contact avec un téléviseur ou tous autres appareil électronique.
Donc pour pallier un éventuel manque d'activité la lecture était à bon échappatoire mais a la vitesse à laquelle Maeva arrivait à enregistrer le contenu d'un livre,en une semaine seulement elle avait déjà passé en revue toute la bibliothèque du docteur et à part se livrer à des activités ludiques et il ne lui restait pas grand-chose à faire.
Pour occuper la jeune fille le docteur avait opté pour les jeux de société mais tous ce qu'entreprenaient Maeva se terminaient toujours par une victoire de sa part.
Que ce soit le Monopoly, le trivial poursuit, la bataille navale, à aucun de ces jeux Maeva n'avait concédé une victoire au docteur.
Au vu de ces prouesses le docteur ne c'était même pas aventuré à tenter une partie d'échec avec elle, le docteur se doutait bien que grâce à sa grande mémoire et sa capacité d'anticipation Maeva était sûrement capable d'emmagasiner et de concevoir toutes les stratégies possibles de ce jeu.le seul détail qui avait amusé le docteur serait de savoir si Maeva serait capable de battre un ordinateur à ce genre de jeu.
A la longue Maeva avait fini par épuiser également toute les activités récréatives basées sur les jeux de société,ce qui faisait que le docteur était dans une impasse comment allait-il pouvoir occuper sa petite protégée maintenant.
Que proposez vous comme autres activités pour ce soir lui demanda Maeva.
Malheureusement ma pauvre Maeva je suis à court d'idées lui répondit le docteur
Maeva : quoi déjà ?
Dr : je n'ai vraiment plus d'idée
Maeva : pas même une petite inspiration
Dr : je regrette c'est le néant total.
Maeva : mais alors qu'est-ce que je fais à moi pour m'occuper
Dr : si tu veux on fait un dessiner c'est gagner,après tout tu es particulièrement doué pour le dessin je dois même avouer que tu as du talent.
Maeva : vous le croyez Docteur ?
Dr : si je te le dis c'est parce que je le pense vraiment d'ailleurs maintenant qu'on en parle....
Réfléchissant à ce qu'il venait de dire le docteur s'immobilisa un instant car quelque chose venait de lui traverser l'esprit,il regarda Maeva dans le blanc des yeux,depuis le début le docteur savait que Maeva était douée pour le dessin mais est-ce la seule activité créative à laquelle elle pouvait se cantonnés.
Car à bien y réfléchir Maeva était très adroite de ces mains il existait donc une autre forme d'art à laquelle elle était peut-être susceptible de s'adonner,pour peu qu'elle le veuille vraiment.
Maeva viens avec moi s'il te plaît lui dit alors le docteur
où voulez-vous allez à une heure si tardive lui demanda la jeune fille .
Dr : pas loin nous allons juste faire un petit tour dans le garage j'ai quelque chose à te montrer.
Sans poser plus de questions Maeva accompagna le docteur,ils passèrent par le corridor qui donnait accès au garage depuis l'intérieur.
arrivée dans celui-ci Maeva a pu voir tous les appareils électroniques et électriques qui y avaient été entassés dans un coin débranché et soigneusement rangez pour la plupart dans des cartons le tout protéger par des bâches plastiques.
Mais ce que voulait montrer le docteur n'était pas cette pile de machines mises au placard non il s'agissait de tout autre chose,le Dr s'approcha d'une autre pile de cartons qu'il commença à déplacer une fois qu'ils furent enlevés Maeva pu voir que ces derniers recouvraient un étrange meuble en bois.
Mais la forme de ce dernier n'avait rien à voir avec une commode où un quelconque meuble de rangement classique c'est alors que le docteur releva une partie du meuble monter sur charnière cette qui laissa apparaître toute une série de touche.
Qu'est-ce que c'est lui demanda Maeva
Quoi!! tu ne le devine pas pourtant ça me paraît évident lui fit le docteur.
Maeva : on dirait un clavier, est-ce que ce serait un piano.
Dr : est précisément un vieux piano à bastringue.
Maeva : vous ne m'aviez jamais dit que vous jouiez du piano
Dr : je te rassure je ne t'ai rien caché je n'en ai jamais su en jouer.
Maeva : alors pourquoi vous avez ça ici.
Dr : c'est pas moi qui m'en servais c'était celui de ma femme.
Maeva : votre femme
Dr : je l'avais acheté pour elle à l'époque ou nous allions emménager ici.
Quand le Docteur était venu emménager à Madison il avait offert un piano à bastringue pour sa femme, celle ci avait un goût certain pour la musique mais depuis leur séparation elle lui avait laissé ce vieux piano se refusant à le jeter le docteur l'avait finalement entreposée quelque part au fond du garage ou maintenant il prenait la poussière,mais aujourd'hui il voulait donner une nouvelle jeunesse a cette instrument.
Dr : comme tu vois ça fais longtemps qu'il n'a pas servi
Maeva : pourquoi vous me montrez sa
Dr : eh bien je me suis dit que vu ton talent naturel pour les arts plastiques,il est possible que tu sois aussi doué pour la musique.
Maeva : pour la musique !!
L'idée qui venait de passer par la tête du docteur était la suivante, puisque manifestement Maeva était doué de ses mains pour dessiner pourquoi n'en serait-il pas autant avec l'usage d'un clavier.
Il parut évident au docteur que Maeva serais sûrement en mesure de s'exercer sur ce vieux piano et comme celui-ci ne comportait aucune partie électronique il n'y avait aucun risque de le faire exploser, et comme est la musique est une activité très prenante cela pouvait donner a Maeva un occupation des plus attrayante.
Le docteur y voyait aussi une possibilité unique pour la jeune fille de développer sa sensibilité artistique et ceci pour une raison bien particulière que le docteur expliqua a Maeva.
Dr : tu pourrais jouer de cette instrument pour t'occuper
Vous voulez que je fasse de la musique mais je ne sais pas jouer de cet instrument lui dis la jeune fille
et alors tu peux apprendre c'est d'ailleurs ce que tu fais de mieux ces derniers temps.
Maeva : apprendre c'est une chose mais là c'est différent.
Dr : je ne vois pas pourquoi tu dis ça après tout tu es très adroite de tes mains
Maeva : mes mains.
à cet instant Maeva regarda ses propres mains la paume fasse contre elle,quelque part la jeune fille n'aimait pas les regarder car s'il y avait bien une chose que Maeva ne supportait pas en plus de sa couleur de ces cheveux c'était bien ces mains.
La couleur ou la forme n'était pas en cause cette fois-ci mais à chaque fois qu'elle les regardait elle ne pouvait s'empêcher de voir les instruments qui jusqu'à présent n'avaient déclenché que des catastrophes.
Même si elle s'en servait pour dessiner,cela lui était toujours difficile de les contempler sans avoir du dégoût pour elle-même le docteur comprit rapidement le malaise de Maeva il se mit alors à genoux devant elle et prit délicatement ces mains dans les siennes.
je sais ce que tu ressens lui fit le docteur.
Maeva : vous le savez
Dr : je le devine, je sais tout le dégoût que tu peux avoir à la vue de ces appendices,mais je te le dis...
Maeva : .....
Dr : surmonte cette peur...
Maeva : quelle peur
Dr : la peur que tu as de te servir de tes mains
Maeva : vous croyez que c'est si facile que ça docteur après toutes les catastrophes que j'ai provoquées.
Dr : c'est vrai en peut pas passer à côté de ce que tu as fait,mais ce n'est pas une raison pour te laisser abattre par la fatalité.
Maeva : jusqu'à présent mes mains n'ont fait que détruire
Dr : oui mais elles ont aussi créé des dessins.
Maeva : oui mais jusque la j'avais pas conscience du mal que je pouvait engendrer.
Dr : oui mais a la différence de bien d'autres tu en as pris conscience et c'est déjà un pas en avant dans ton combat contre la fatalité.
Maeva : mon combat
Dr : oui ton combat,si tu persiste à croire que tu ne peux que détruire alors oui ce sera une fatalité mais si au contraire tu décides de te battre et de faire face à cette fatalité, alors tu renverseras le sort.
Maeva : croyez-vous que je pourrais vaincre ma malédiction
Dr : ce pouvoir te contraint à détruire,mais ce n'est pas ça le vrai pouvoir.
Maeva : c'est quoi alors ?
Le vrai pouvoir c'est de créer pas de détruire lui fit le docteur. (1)
Créer ce serait ça le vrai pouvoir demanda Maeva
Dr : la capacité de création, c'est ce qui nous différencie depuis toujours des animaux, de l'état de simple animal destructeur nous sommes passer à celui de créateur et la tout a changé.
Maeva : je ne suis pas sur de ça.
Dr : par notre nature nous détruisons mais nous savons créer.
Le docteur essaya de persuader Maeva que cette capacité ne la vouait pas a une vie de destruction, si elle voulait surmonter cette épreuve il fallait qu'elle croie en elle, et si par l'acte de création Maeva pouvait vaincre sa malédiction rien ne devait y faire obstacle.
Mais a cause des doutes qu'elle nourrissait Maeva doutais quelle puise faire autre chose que semer le chaos autour d'elle, le titre de destructrice lui convenait mieux, tous le mal qu'elle avait causé a hospital a cause de ces "dons" lui avait fit perdre confiance en elle de ce coté la.
Pour la convaincre du bien fondé de tous ça le docteur usa d'un exemple qui ne pouvait pas laisser Maeva indifférente.
Dr : dis moi Maeva comment surnomme ton Dieu ?
Maeva : qu'est ce que dieu a avoir la dedans lui demanda la jeune fille
Répond a ma question Maeva lui dit le docteur.
Maeva : Dieu et bien on l'appelle le dieu le père,Dieu le tout puissant Dieu le... Oh
Dr : le créateur...ce n'est pas pour rien
Maeva : mais je ne suis pas Dieu...
Dr : oui mais il t'as donné un don.
Maeva : une malédiction vous voulez dire
Dr : non un don.
Maeva : je n'arrive plus à vous suivre
Dr : tu considère que ton pouvoir est une malédiction car il ne fait que détruire
Maeva : c'est ce que je crois oui
Dr : le feu et destructeur l'eau et destructrice car ce sont tous deux de grands pouvoirs
Maeva : que voulez-vous dire ?
Dr : que aussi grand que soit le pouvoir c'est surtout la façon dont on s'en sert qui le rend mauvais.
Maeva : c'est l'usage du pouvoir qui en détermine sa nature
Dr : bon ou mauvais il n'y a que celui qui l'utilise qui le définit vraiment et toi qui est tu dans le fond
Maeva : mais moi je suis Maeva, je comprend pas....
Dr : et Maeva est elle une mauvaise personne dans le fond ?
Maeva : non je suis quelque de bien
Dr : donc ce terrible pouvoir est entre les mains de quelque de bien, qui ne s'en sert pas volontairement pour faire le mal, pour ma part sa fait réfléchir.
Voilà une évidence à laquelle Maeva n'avait jamais songé jusqu'à présent tout ce qu'elle avait vu en regardant ces mains c'était simplement la destruction que celle-ci était capable de provoquer.
mais l'utilisateur de ces pouvoir avait sa responsabilité dans tous ça,jusqu'à présent Maeva se comportait en victime d'une malédiction, ne voyant que le mal a travers ce que ces mains provoquaient
Un mal qu'elle n'avait jamais souhaiter mais qui ne reflétait en rien la nature de Maeva.
Ceux qui la percevait comme un petit monstre ne la jugeait que sur les conséquence de ces actes pas sur les intentions de ceux ci.
Maeva n'était pas une mauvaise personne le docteur le savait,certes elle provoquait destruction sur son passage, mais jamais de sa propre volonté ce qui la différenciait de bien des personnes.
Et la ou d'autres voyaient le chaos chez Maeva le docteur y voyait l'ordre
Et la ou Maeva voyait destruction le docteur y voyait création.
Et s'il n'y avait pas les dessins qui prouvaient que Maeva disposait d'un réel talent le docteur ne se serait sûrement jamais aventuré à lui donner un tel exemple.
Mais c'était peut-être là la clé de la solution pour que Maeva finissent par accepter ces "dons" elle ne devait plus les percevoir comme une malédiction, une fatalité ou un mauvais coup du sort mais comme une opportunité, une chance qu'on lui offrait de pouvoir faire de grandes choses ceci le docteur l'avait bien compris et espérait le faire comprendre a Maeva
Si la jeune fille était toujours en proie à des troubles peut-être que l'acceptation de ce qu'elle était serait pour elle une bénédiction prendre son destin en main voilà ce à quoi le docteur incitait Maeva.
Il ne fallait plus qu'elle soit une victime, elle ne devait pas se considérer comme telle,Maeva devait apprendre à s'accepter pour ça et reconnaître les bons comme les mauvais côtés de son être.
Elle ne peut pas se servir d'un appareil électronique sans le détraque et bien tant pis elle utilisera des pinceaux et des crayons pour dessiner, la création voilà dans quoi Maeva devait s'orienter
Cette nouvelle perspective ouvrit alors de nouveau horizon à Maeva, l'opinion qu'elle avait sur elle mène en fut chambouler par les dires du docteur
Il avait peut être raison dans le fond
Si le vrai pouvoir c'est de créer pas de détruire ,il était possible au pris de grand effort pour Maeva de vaincre cette fatalité, dans ce cas alors elle devait tenter sa chance
Elle commença à s'approcher du piano sans ajouter un mot et posa ses mains sur le clavier, ces doigt enfoncèrent légèrement quelques touches et le piano produisit un léger son de corde frapper par les marteaux
Bien sûr elle ne connaissait pas l'usage du clavier mais comme lui avait dit le docteur elle pouvait apprendre et ceci n'était pas compliqué après tout Maeva savait qu'en toute logique la musique c'est comme les mathématiques,elle se retourna et regarda le docteur qui lui sourit et Maeva avait sûrement trouvé bien plus que ça elle avait peut-être trouvé une forme de salut
La musique serait nouvelle épreuve mais bon ce ne sont pas la première fois qu'elle devrait lutter depuis qu'elle avait appris à lire et à parler beaucoup de choses avaient changé dans sa vie à commencer par la compréhension du monde qui l'entoure.
(1) petit clin d'oeil au leitmotiv de Darinas
chapitre 20 mise au placard
Mémo personnel 14 janvier 2005
----------------------------------------ACTIVATION----------------------------------
Identité confirmé: Colonel François Perec
14 janvier 2005 mémo personnel
Trois mois
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Cela fait 3 mois aujourd'hui que je tourne en rond dans les archives secrètes de la défense.
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Trois mois maintenant que l'affaire Xana m'a été retiré.
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On se demande bien pourquoi ? bien qu'en fait je le sache.
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Je crois bien que je peux remercier W. d'une certaine manière c'est grâce à lui si je suis de nouveau obligé de jouer les analystes.
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A première vue mes supérieurs n'ont pas apprécier son degré d'implication dans l'affaire.
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Le fait est que W. me connaisse a joué en ma défaveur.
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Mes supérieurs ont estimé que ma couverture était grillée.
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Craignant que la mission ne soient compromis on m'as mis au placard
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Comprenez par-là les archives nationales
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Bonjour la promotion.
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Résultats maintenant c'est une autre équipe qui est charge de ce dossier
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ils ont repris l'enquête la où nous l'avions laissé.
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Toutefois ils ont cherché une autre piste.
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Et à l'heure actuelle je ne sais pas où ils en sont.
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Vu que cette affaire est secrète.
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Le pire dans cette histoire c'est que je ne suis pas le seul à avoir subi une nouvelle affectation.
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d'après ce que j'ai appris le major Cartwright et logé à la même enseigne
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A la seule différence que elle, elle continue encore à travailler sur la mission mais plus en tant qu'agents de terrain.
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ils l'ont affecté à un laboratoire de recherche où elle continue à travailler sur ces filtres anti-parasites
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j'en suis presque jaloux.
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Au moins le major est dans un éléments qui lui convient.
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alors que moi je fais des photocopies au fond d'une cave.
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Je me répète sacrée promotion.
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Pourtant je persiste à croire que la piste que nous avions suivie à Global Computer était la bonne et que en dépit de tout W. est bien un allié.
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Mais mes supérieurs ne sont pas de cet avis
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Pour eux nous sommes tombées dans un piège dont le but est de nous conduire sur une fausse piste.
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est que par conséquent cela voulait dire que nous avions été repérés en ce qui nous concernait la mission était donc terminé pour nous.
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du moins c'est l'excuse qui a été invoquée.
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allez savoir ce que ça cache vraiment
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en tout cas une chose est sûre pour le moment
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les accidents sur des super-calculateur ne sont pas allés en s'amenuisant
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Même si ça ne concerne plus que j'ai gardé un oeil sur cette affaire de façon discrète.
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grâce à des petites recherches sur Internet,il m'a été possible de trouver quelques faits divers assez intéressants.
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incidents mystérieux par ci incident grave par la.
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et cela se passe toujours dans des laboratoires de recherche.
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comme par hasard moi je ne suis pas surpris.
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Il semblerait que l'organisation Xana soit déchaîné en ce moment
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et ça m'inquiète surtout quand on sait ce qu'ils sont capable de faire avec une seule machine.
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Mais comme pour tout le reste mes supérieurs n'ont pas pris au sérieux mon rapport.
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Déjà que c'était limite avec le major Cartwright.
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Il avait quand meme fallu que W. le lui confirme pour réussir à la convaincre à peu près.
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Est encore je dis à "peu près"
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Mais je suis pas fou je sais bien ce que j'ai vu.
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même si j'ai beaucoup de mal à l'admettre.
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il n'empêche que cette affaire n'interpelle toujours même si je n'y suis plus directement impliqué.
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il y a quand même un mystère sur lequel je peux enquêter de façon officieuse
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ça concerne la mort de mon père.
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W. m'a fait comprendre qu'il connaissait mon père
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Si c'est le cas en quelles circonstances cela est-il arrivé
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c'est ce que j'essaie de découvrir.
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"mon petit filou"
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c'est de cette façon-là que W. nous a communiquée le mot de passe secret des informations qu'ils avaient envoyées.
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Comment W. pouvait-il savoir sa ?
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je n'en est jamais parlé et à part ma mère personne n'est au courant que c'est le surnom que me donnait mon père.
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Par nature mon père n'était pas quelqu'un de particulièrement bavard.
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Il ne parlait de sa vie personnelle qu'aux gens en qui il avait confiance.
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Et c'était assez rare ma foi.
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il n'aurait jamais évoqué un détail aussi important de sa vie à n'importe qui.
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De plus il n'employait cette expression quand ma présence, jamais il ne m'appelait comme ça devant d'autres personnes.
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il s'agissait donc d'un surnom très personnel et secret...
Et puisque mon père est mort j'en conclu que seule une personne qui l'a bien connu aurait pu connaître cette expression.
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Qui pourrait être cette personne ?
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La réponse c'est W.
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W. serait donc la clé du mystère.
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Sans oublier que W.a évoqué le paiement d'une dette.
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Une dette,quelle dette ?
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Dans notre lutte contre l'organisation Xana W agirait-il donc par reconnaissance plutôt que par devoir.
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Et le faîte qu'il choisi de me contacter et qu'il semble me connaître.
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Il n'est pas difficile a deviner que cette dette il l'a contracté auprès de mon père.
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Ce qui renforce l'idée selon laquelle ils se connaissaient
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La nouvelle question s'est comment ?
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Qui que ce soit W il a forcément rencontré mon père
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et pour une raison que j'ignore encore W lui est redevables
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Redevables oui mais de quoi ?
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Et quel rapport cela a-t-il avec l'affaire présente ?
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ça fait pas mal de questions essayons de procéder par ordre.
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Mon père est mort le 6 février 1980 de sa maladie
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Dans quelques semaines cela fera 25 ans
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25 ans déjà .
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ça peut paraître vieux et pourtant pour moi c'est comme si c'était hier.
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J'avais beau être jeune à l'époque je me rappel de tous.
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Je le vois encore sur son lit d'hôpital le visage amaigri est le corps recouvert de perfusion.
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j'avoue que pour un enfant ça n'est pas gai de voir son père dans un tel état.
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Pourtant ce qui m'a le plus marqué ce n'était pas sa.
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C'est que en dépit de son état il trouvait la force de me sourire.
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et que .... je préfère ne pas en parler.
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Reste que sa mort est un mystère.
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D'après ce qu'on nous a dit a l'époque mon père serait mort d'un cancer aggravé des poumons.
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Mais en y réfléchissant bien j'ai toujours trouvé ça étrange.
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mon père n'avait jamais fumé est il a toujours tenu une forme olympique selon ma mère
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donc sa cloche
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pourtant les radios et les analyses sont formelles c'est bien un cancer du poumon qui l'a emporté.
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Evidemment je suis habitué aux versions officielles
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Et je sais que tout ceci n'était qu'une excuse pour ne cacher un fait beaucoup plus grave.
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Je me suis donc mis à éplucher tous les rapports le concernant.
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à cause de leur ancienneté et ils sont tous accessibles maintenant.
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j'ai donc pu connaître l'intégralité des missions auxquelles il a participé.
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D'un point de vue général mon père a principalement à s'effectuer des missions de surveillance.
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Il a rarement participé à des missions de combat sur le terrain.
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Ils n'empêchent qu'il a toujours réussi avec brio ces missions.
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il n'a jamais connu l'échec sauf une fois.
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Ce fut précisément durant la dernière mission qu'il avait effectuée.
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Il n'avait pas pu empêcher le sabotage d'un projet auquel il avait été rattaché à la surveillance.
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Le projet Carthage 74.
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C'est le seul dossier sur lequel j'ai buté.
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Même en cherchant bien je n'ai trouvé que très peu d'informations sur cette affaire.
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Pourtant avec la prescription ces informations devraient être déclassées
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Les seules informations que j'ai retrouvées ont été le dernier rapport que mon père avait rédigé
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Sinon tous les autres rapports concernant ce projet ont mystérieusement disparu.
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Le peu qu'il avait déjà été permis de trouver sur le projet Carthage était un comparatif au Projet crépuscule.
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Le projet crépuscule un système de black-out mis au point par les Russes pour contrer le projet Carthage.
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Dans cette copie d'un rapport russe j'ai pu trouver des éléments complémentaires.
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c'est quand même un comble ça, j'ai trouvé des informations sur Carthage dans un dossier étranger à nos services.
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Nos ex ennemis étaient mieux renseignés que nos propres services secrets.
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je vous jure des fois
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Enfin bref c'est comme ça que j'ai appris qu'en 1974 mon père avait été affecté à la surveillance de ce projet
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On peut même dire qu'il en était le chef de la sécurité de ce projet.
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le projet Carthage était un système de brouillage de communication mise en place par la France.
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Pour cela on avait fait appel à des scientifiques venus de toute l'Europe
France - Espagne - Italie - Angleterre - Belgique - Suisse - Allemagne
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Tous ces gens venu de tous horizons allaient travailler sur ce projet
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Et mon père avait la charge de les protéger.
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Malheureusement ça n'a pas empêché que ce projet a été détruit.
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d'après le rapport de mon père il s'agissait d'un acte de sabotage organisé par une puissance étrangère.
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Pas difficile à comprendre qu'à l'époque il s'agissait des Russes.
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Toujours selon le rapport tout le complexe a été soufflé par une explosion.
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la majorité des scientifiques qui travaillaient sur le projet ont été tuée
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Tous ça est arrivé le 14 avril 1979
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ce fut la dernière mission à laquelle il participa
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et c'est précisément ce qui m'interpelle
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c'est justement à la suite de cette mission que mon père est tombé malade.
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est-ce que ça serait lié
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très difficile à dire vu qu'on n'a pas de détails sur ce que les gens du projet Carthage pouvaient fabriquer dans ce complexe.
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Tous les rapports le concernant ont été détruits par l'explosion.
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et oui ils ont fait l'erreur de conserver les documents les plus importants dans le laboratoire.
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donc pour trouver des détails sur leurs activités c'est plutôt compromis.
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toutefois d'après les enquêtes officielles il semblerait que le sabotage est été confirmé.
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une trahison aurait même été à l'ordre du jour.
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Après l'accident quelqu'un s'est irrémédiablement employé à détruire toutes les preuves et documents officielles qui existaient sur ce projet.
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De plus à l'exception de ce rapport toutes les autres preuves restantes ont été confisquées par une branche secrète du gouvernement.
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La section des hommes en noir.
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c'est comme ça qu'on appelle les gens qui sont rattachés aux affaires nucléaires
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il serait une sous-section secrète de l'OTAN
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s'il y a une bombe dans le coin ou si vous trafiquer du matériel nucléaire vous êtes sûr que de voir ces types rappliqués aussitôt.
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Nos services n'ont pas beaucoup d'affinités avec ces gens-là car leurs méthodes sont plus que "discutables"
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"enlèvement et torture" son leur cheval de bataille
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ils agissent au total mépris des lois et des institutions,et ça quelque soit le pays dans le monde.
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Cette sous-section ne reconnaît ni les lois ni les frontières.
Et ces gars sont loin d'avoir fini de faire parler d'eux.
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pour exemple il y a un an,ils ont mis le grappin sur l'ennemi publique numéro un
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Pierre Nanquin
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il paraît que ce dernier aurait volé du matériel nucléaire.
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je vous jure mais qu'est-ce qu'il n'ont pas inventé
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bref depuis cette époque Pierre nanquin a été mis au secret.
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et plus personne n'en en a entendu parler depuis.
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ça fait peur.
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enfin tout ceci ne me concerne pas
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Car mon problème à moi il s'appelle formulaire A83.
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J'ai pas moins de cinq dossiers d'archives à ranger et à photocopier.
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je vous jure quelle galère.
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et pendant que moi je perds mon temps à numériser des archives.
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l'organisation de Xana continue à faire des siennes à travers le monde.
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j'ai appris récemment qu'une nouvelle attaque avait été lancée sur un site en France
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Est la cible n'était pas de moindre importance
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le CEA a été visé
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Le Commissariat à l'énergie atomique a été pris pour cible, un de leurs ordinateurs de simulation a subi une défaillance technique selon les rapports officiels.
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Le genre de défaillance technique qui provoque une explosion suite a une montée d'énergie incontrôlable.
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Si pour eux ça reste un mystère moi ça me parle
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Il est claire que l'organisations Xana est derrière cette "défaillances technique".
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ils peuvent agir en toute impunité.
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alors que moi je suis coincé derrière un bureau à faire la paperasse.
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la planète part en vrille et moi je ne peux rien faire.
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c'est rageant
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Mais je suis obligé d'obéir aux ordres de ma hiérarchie.
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alors pour me changer les idées je classe des dossiers.
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c'est sûr que c'est comme ça qu'on va sauver le monde.
< Fin du mémo >
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15 janvier 2005 bureau du général Dumont
" qui êtes-vous ? et comment avez-vous l'accès à cette ligne "
Le comment n'a aucune importance général Dumont fit la voix au bout du fil.
G .Dumont : je répète ma question qui êtes-vous ?
Je suis W vous avez sûrement entendu parler de moi fit la voix.
G .Dumont : W !!
W : oui W....
à cet instant le général ne dit plus rien si il pouvait croire ce que lui disait son interlocuteur il était en face du mystérieux W.
bien que surpris le général ne se laissa pas démonter,afin d'éviter tout canular il demanda au mystérieux W. de lui fournir une preuve de son identité.
G .Dumont : qu'est-ce qui me prouve que vous êtes bien W.
W : vous voulez une preuve si je vous comprends bien.
G .Dumont : je préfère être sur.
Pour être sûr de convaincre le général le mystérieux W.donna tous un panel de détail concernant l'opération Xana,que ce soient des lieux,des personnes ou des situations,dans ses explications W. fut assez rapide et concis ce qui finit par convaincre le général que son interlocuteur lui disait la vérité.
le général fut quand même interpeller par tout cela, normalement la ligne sur laquelle son interlocuteur lui parlait étaient censé être sécurisé mais il semblerait que W. n'est eu aucun mal à pouvoir casser les codes de défense de ce système
maintenant W entretenait une conversation avec le général qui était loin d'être courtoise.
W : général Dumont puisse savoir pourquoi le colonel Perec n'est plus sur cette affaire ?
Je ne vois pas de quoi vous voulez parler si innocemment le général
Ne me prenez pas pour un imbécile lui fit W.
visiblement W. était plutôt mécontent cela s'entendait au son de sa voix,cela n'apaisa nullement les craintes du général qui ne comprenait pas en quoi le colonel était impliqué dans cette affaire,mais son interlocuteur lui donna immédiatement la réponse
W : j'ai choisi le colonel Perec comme intermédiaire
G .Dumont : vous en avez fait votre contact ?
W : précisément et je ne comprends pas pourquoi vous l'avez mis à l'écart.
G .Dumont : sachez que le colonel a été démis de ses fonctions et reclasser à cause de son degré d'implication dans cette affaire.
W : général vous est un crétin
G .Dumont : je vous demande pardon
W : et en plus vous êtes sourds je viens de vous dire que vous êtes un crétin.
G .Dumont : je ne vous permets pas de m'insulter
W : au vu de la connerie que vous venez de faire j'en ai parfaitement le droit.
Nul doute à avoir que le mystérieux W. était plutôt échaudé,mais le général n'avait pas l'intention de se laisser dicter sa conduite,en homme fier qu'il était il voulut tenir la dragée haute à W,mais ce dernier n'en avait pas fini avec lui.
W : écoutez-moi imbécile de militaire je vous conseille vivement de remettre le colonel Perec sur cette affaire.
G .Dumont : il n'en est pas question.
W : et pourquoi je vous prie.
G .Dumont : parce que vous êtes le problème
W : moi !!
G .Dumont : nous ne savons rien de vous,mais vous par contre sembler en savoir beaucoup
le général commença à expliquer à W. de quoi il en retournait,à cause de son implication dans l'affaire W. avait court-circuité les actions du colonel.
l'affaire devait être top secrète,les officiers supérieurs n'avaient pas vu d'un bon oeil qu'une personne étrangère soit impliquée à cette histoire est par mesure de sécurité pour éviter que l'affaire ne s'ébruite ils avaient décidé de mettre au secret les principaux acteurs.
En ce qui concerne les services secrets français il y avait mis colonel Pérec à tenir à l'écart de tout ça.
C'est pour ça que ce dernier fut immédiatement sommé de rentrer en France ou l'affaire lui avait été prestement retirée par la suite il avait été muté aux archives et ceci pour une période indéterminée.
W. fut consterné d'apprendre cette nouvelle,par expérience il savait que les militaires étaient bornées et stupides mais la il venait d'avoir un bonne exemple de leur bêtise.
W : bon sang mais vous vous rendez compte de ce que vous avez fait
G .Dumont : de quoi parlez-vous ?
W : j'avais orienté le colonel sur une piste qui vous aurait permis de stopper les agissements de notre ennemis commun et vous comme de gros abrutis vous lui retirer l'affaire.
G .Dumont : est qu'est-ce qui nous dit que ces informations sont viables
W : l'emplacement des sites que je vous ai fournis ne vous suffit-il sa comme preuve
G Dumont : ces information ne nous rien appris de plus.
W : mais elle evait vous permettre de prendre des contre mesures
G .Dumont : quel contre mesures ?
W : à cause de votre attitude notre enemis commun a réussie à étendre son influence,
vous serez sûrement heureux d'apprendre qu'il a maintenant une centaine de sites en sa possession et qu'il prévoit de lancer une grande offensive contre vous et vos pays alliés.
le général fut stupéfait d'apprendre cette nouvelle mais les révélations ne s'arrêtaient pas la
W : grâce à tous les super-calculateurs qu'il a désormais en sa possession Xana est en mesure de lancer une vaste offensive
G .Dumont : vous êtes sérieux
W : d'ici deux mois notre ennemis pourra lancer une attaque à l'échelle planétaire.
G .Dumont : comment savez-vous ça
W : je le surveille depuis bien plus longtemps que vous et j'ai réussi à anticiper ces projets
G .Dumont : et qu'est-ce qui me prouve que tout cela est vrai
W :Vous êtes vraiment bornés je me demande pourquoi je perds mon temps a vouloir sauver des gens comme vous.
W ne mâchait pas ces mots ,il semblais vraiment furieux,a cause des maladresses de ces militaires,l'organisation Xana avait réussi a étendre son influence , alors que si les services secret avait pis les mesures nécessaire tous ceci ne serait pas arriver.
Mais non content savoir mis le colonel est sa partenaire hors service, les militaires avait également lancer une offensive préventive contre Global computer.
W : j'ai aussi appris que vous étiez intervenus directement contre global Computer
G .Dumont : vous êtes au courant de ça.
W : je sais aussi que votre opération a été un véritable fiasco, non seulement les responsables ont disparu mais grâce à vous ils ont pu continuer leur activité clandestinement
G .Dumont : notre opération n'as certes pas eut le résultat escompte mais on ne peut pas parler d'échec.
W : vous pouvez être fière de vous, vous avez tout fait foirer comme des abrutis,maintenant si vous voulez vraiment que l'on s'en sorte tous je vous conseille vivement de remettre le colonel sur cette enquête contrairement à vous lui au moins il fait preuve de discernement.
G .Dumont : il n'en est pas question
W : dans ces cas-là vous ne me laissez pas le choix.
G .Dumont : que voulez-vous faire
W : je vais tout révéler à la presse
G .Dumont : vous n'allez pas faire ça
W : je vais me gêner tiens
Jusqu'à présent les services secret avait réussi a masquer leur activité au gr and public,mais voila que W menaçait subitement de mettre le monde au courant ,si il venait a faire ça les conséquence serait catastrophique
W : vous imaginer ce qui va se passer si l'opinion publique est au courant
G .Dumont : et bien je suppose que.....
W : je vais vous le dire moi,... panique général,valeur de la bourse qui s'écroule crise économique et j'en passe.
G .Dumont : vous n'oserez pas.
W : vous croyez ,moi je sais tous sur cette affaire et vous en apprendrez les détails la prochaine foi que vous lirez votre journal,maintenant général la balle est dans votre camp.
G .Dumont : apparemment oui.
W: mais n'oubliez pas que le temps nous est compté. j'ai à ma disposition des informations qui pourraient vous aider mais je ne la donnerai qu'au colonel Perec est à lui seul.
G .Dumont : pourquoi lui
W : j'ai mes raisons, alors général quel est votre décision
G .Dumont : Très bien puisque visiblement je n'ai pas le choix je vais en référer au ministre de la défense.
W : parfait je vais vous donner les coordonnées d'un nouveau site qui est susceptible de recevoir une attaque je veux que dans trois jours le colonel s'y trouve, si jamais il n'est pas présent sur place je dilvulgerais mes informations
G .Dumont : je vois que c'est vous qui posez les règles jeu.
W : n'avez pas trop le choix général car si l'issue de ce jeu se termine par la victoire de notre ennemi croyez-moi nous serons tous perdants.
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Mémo personnel 15 janvier 2005
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Identité confirmé: Colonel François Perec
15 janvier 2005 mémo personnel
Vraiment des fois c'est à ne rien y comprendre
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Me voilà de nouveau en charge de l'opération Xana alors que celle-ci n'avait été retirée
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Après m'avoir foutu dans la panade voilà que W. vient de me sortir
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apparemment il n'a pas laissé le choix à l'état-major.
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soit j'étais réintégré soit il balançait tout à la presse
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Dans ce cas de figure mais supérieur n'ont pas tellement eut le choix
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Mon ordre de réaffectation a été approuvé par le président lui-même
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Ma parole je m'attendait pas à tant d'honneurs
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le voilà a nouveau sur les rails
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Et durant mon absence ils ont fait de belles
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suite aux indications qu'on leur avait donné les services secrets américains ont pris d'assaut global Compteur
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malheureusement l'opération a été un véritable fiasco
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Notre ami Howard H Landsey s'est volatilisé sans laisser de traces
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et au passage il a pris soin d'effacer les siennes
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les locaux qui abritaient la société ont mystérieusement pris feu.
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le patron et tout son personnel ont disparu sans laisser de traces.
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bravo les Américains,ils l'ont jouer tout en finesse comme d'habitude
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Ce qui fait maintenant que nous n'avons plus aucune piste mise à part celle que W. veut bien nous donner.
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C'est tous ce qui nous reste
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W nous a donner les coordonnées d'un nouveau site,susceptibles d'être prochainement attaqué.
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il a menacé les supérieurs de tout révéler dans trois jours de jours je n'étais pas sur place
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Ils ont été obliger d'accepter
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Conclusion je vais devoir me rendre en Suisse
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Mais je ne vais pas y aller seuls.
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Devinez qui ils ont affecté avec moi pour cette mission
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Je vous le donne dans le mille.
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Le major Cartwright est en personne
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Il semblerait que elle est moi ont est reparti pour faire équipe
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Youpi sa va être encore la rigolade
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j'ai pas finis d'en prendre pour mon grade avec elle
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Technique par ci mathématique par la.
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Un sacre programme en perspectives
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Enfin cette fois on sera pas seul sur le coup
Pour cette délicate opération nous allons être suppléé par une équipe supplémentaire
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Des agents ont déjà été envoyé sur le site pour nous prêter main-forte
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Apparemment les services secrets ne veulent prendre aucun risque avec cette affaire
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C'est aussi c'est une grosse opération qui nous attend.
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D'après les données que nous a fourni W. la prochaine cible de l'organisation Xana se trouverait à l' EPFL de Lausanne.
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En route pour les montagnes suisses.
chapitre 20 échos
Lieu inconnu / date inconnue / heure inconnue
"Mr X ici Mr Ficsix."
Mr X : avez-vous de bonnes nouvelles à m'apprendre cette fois-ci
Mr Ficsix : oui monsieur tout se passe comme prévu nous avons réussi à vendre une nouvelle carte puce.
Mr X : la transaction c'est elle passée sans problème.
Mr Ficsix : les acheteurs se sont montrés ravis.
Mr X : c'est parfait cela nous fait un total de 3 sites qui vont passer sous notre contrôle.
Mr Ficsix : peut t'on lancer l'opération pour le quatrième site.
Mr X : Non pour l'instant laissez les opérations en plan vous avez mieux à faire pour le moment.
Mr Ficsix : dois-je comprendre qu'il est temps pour moi de m'occuper de H. et H.
Mr X : il y as un petit changement de ce côté-lÃ
Mr Ficsix : l'opération est annulée ?!
Mr X : pas du tous il est toujours à l'ordre du jour de les éliminer mais vous ne devez vous occuper que de l'homme.
Mr Ficsix : et la femme ?
Mr X : pour le moment on a encore besoin d'elle pour mener à bien notre projet.
Mr Ficsix : et quand ce sera fini je pourrais me charger d'elle ce moment-là .
Mr X : ça ne sera pas nécessaire la maladie l'aura emporter d'ici la.
Mr Ficsix : dois je comprendre qu'elle va décédée de "causes naturelle" naturel
Mr X : vous avez tout compris pour une fois la nature fait bien les choses.
Mr Ficsix : voilà qui me fera faire une économie de poison.
Mr X : ceci dit a part le cas de H et H vous avez d'autres petits objectif a atteindre pour l'heure.
Mr Ficsix : vous parlez de ces gosses.
Mr X : oui ceux qui se font appeler Lyoko guerrier ils commencent à devenir sérieusement gênant.
Mr Ficsix : oui je sais ils ont déjà contrecarrer deux de nos plans.
Mr X : je me demande bien ce que vous attendez pour les neutraliser
Mr Ficsix : je suis désolé monsieur mais sans savoir où ils se trouvent il m'est difficile d'aller les éliminer.
Mr X : c'est vrai vous avez raison Mr Ficsix.ce petit détail m'avait échapper.
Mr Ficsix : mais rassurez vous quand on les aura localiser moi et mes hommes ont ira procéder a un grand nettoyage de printemps.
Mr X : je compte sur vous pour éliminer tous les témoins gênants et faite preuve de tact pas comme vos dernières tentatives foirée.
Mr Ficsix : je vous assure monsieur que mes précèdent échec sont seulement dut a cause de l incapacité de mes subordonnées.
Mr X : oui une bande de bras cassé dont vous êtes le chef.
Mr Ficsix : ........
Mr X : n'ai je pas raison.
Mr Ficsix : en partie Mr. mais il faut quand même reconnaître que ces foutus agents secrets sont particulièrement tenaces.
Mr X : et vous n'avez toujours pas réussi à les éliminer.
Mr Ficsix : ils sont plus coriaces que ce que je pensais.
Mr X : détail mineur en temps utile nous nous en débarrassons définitivement,et si vous veniez encore à échouer je serai obligé d'utiliser l'artillerie lourde.
Mr Ficsix : vous parlez de votre allié.
Mr X : oui maintenant que le projet et NX 4321 et rallié à notre cause ça ne devrait pas poser problème pour se débarrasser de ces gêneurs.
Mr Ficsix : je vois et concernant notre troisième adversaire
Mr X : vous parler de cette créature qui porte un masque de squelette
Mr Ficsix : oui monsieur concernant cette chose que devons-nous faire ?
Mr X : malheureusement lui n'est pas à votre portée c'est moi qui devrais m'en charger de celui-là .
Mr Ficsix : et comment comptez-vous procéder Mr
Mr X : XN 4321 et les soldat de classe CG ont prouvé qu'ils étaient capables de le repousser encore quelques petites améliorations et ils seront en mesure de le détruire.
Mr Ficsix : cela ne risque-t-il pas de prendre du temps.
Mr X : un tout petit peu mais A.M est sur le coup,il travaille en ce moment à leur perfectionnement.
Mr Ficsix : un détail me chagrine Mr, concernant les CG si ils sont si forts que ça pourquoi n'ont-ils pas réussi à éliminer les Lyoko guerriers
Mr X : jusqu'à présent toutes nos attaques ont échoué car ils ont avec eux quelqu'un qui est capable de désactiver les tours.
Mr Ficsix : ils peuvent donc contrer nos actions.
Mr X : à eux quatre ils sont une véritable plaie.
Mr Ficsix : à eux quatre ?! ne n'aviez-vous pas dit qu'ils étaient cinq.
Mr X : oui mais NX 4321 a réussi à en éliminer un en le jetant dans la mer numérique.
Mr Ficsix : ce qui fait qu'elle est morte de façon définitive
Mr X : sans compter que nous avons éliminé le plus puissant de tous.
Mr Ficsix : ça me revient vous m'aviez dit que cette personne avait à elle seule réussi à contrer vos quatre combattants.
Mr X : ce qui faisait d'elle un adversaire dangereux,mais face à XN 4321 elle n'a pas fait long feu.
Mr Ficsix : et pour les autres ?
Mr X : simple question de temps le projet Golem de métal et bientôt terminée.
Mr Ficsix : notre armée est presque prête alors.
Mr X : NX 4321 s'emploie à peaufiner les derniers détails.
Mr Ficsix : j'en conclus que tous est sous votre contrôle.
Mr X : avec moi aux commandes les opérations ne peuvent que réussir
Mr Ficsix : je n'en doute pas Mr.
Mr X : vous connaissez ma politique
Mr Ficsix : "aucun obstacle ne doit nous arrêter"
Mr X : c'est exactement ça
Mr Ficsix : dont qu'est-ce que je fais maintenant
Mr X : revenez à Londres et attendez mes instructions.
Mr Ficsix : Ã vos ordres Mr.
---------------------------------- FIN DE COMMUNICATION ----------------------------------
l'inconnu se leva à nouveau pour quitter son siège,cette mystérieuse personne semblait particulièrement ravie de ce que venait de lui apprendre Mr Ficsix,un nouveau centre de recherche atomique venait d'être équipé d'une micro-puce a Quadrihoppes.
M. X. venait d'acquérir aujourd'hui un nouveau au moyen de chantage,si le gouvernement du pays où était implantée la centrale se refusait à lui verser la somme demandée.
il ferait sauter la centrale avec le concours de XN 4321.
C'est alors que l'inconnu se mit à rire à gorge déployée, il ne pouvait s'empêcher de penser aux docteur Miller et Hopper.
Finalement leur projet NX 4321 se sera révélé être très précieux dans sa quête de pouvoir,et paradoxalement il lui auront permit de changer ces plans.
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Section 05 laboratoire 8 septembre 2005
Atchoum..... brrrr
Hannibal : Ã tes souhaits
Arnaud : merci Hannibal
Hannibal : tu as pris froid
Arnaud : bon sang on sent bien que l'été est bientôt fini et que l'hiver approche
Hannibal : mais nous ne sommes qu'en septembre seulement.
Arnaud : en vérité c'est la climatisations qui est trop forte,résultats je prends froid..
Atchoum"
Foutu climatisation vociféra alors Arnaud
confortablement installé au chaud dans son laboratoire,Arnaud avait pris froid à cause de la climatisation qui avait été mise en marche,suite à un dérèglement des conditions thermique une bonne partie du niveau cinq avait été plongée dans le froid,il ne faisait guère plus de 10° à l'intérieur des laboratoires le temps que les techniciens résolvent le problème le port de l'anorak des écharpes et du bonnet étaient devenues quasiment obligatoires pour travailler dans les laboratoires.
Arnaud :Voilà un autre point sur lequel je vous envie-toi et les autres au moins vous n'est pas sujet aux changements de température.
Hannibal : Il est vrai que dans notre monde nous n'avons aucune sensation de froid ou chaud
Vous avez bien la chance lui dit Arnaud qui se frottait les mains pour se réchauffer.
Hannibal : en effet je crois que de ce côté-là de notre situation est assez enviable
Arnaud : et à part ça a comment c'est passer ton dernier entraînement
Hannibal : est bien un disons que...
tu t'est encore fait battre par Astarté s'est sa lui dit aussitôt Arnaud
Oui acquiesça honteusement Hannibal
Arnaud était complètement avachi sur son fauteuil à chaque fois c'était la même histoire,Hannibal venait encore de se faire battre par Astarté,alors que celui-ci avait récemment bénéficié de quelques améliorations,mais en dépit de ce coup de pouce de la part de Arnaud Hannibal n'arrivait toujours pas avoir l'ascendance sur son adversaire.
Arnaud : il faudra vraiment que tu m'explique ce qui ne va pas entre vous deux.
Hannibal : je te l'ai déjà dit Arnaud elle est plus...
Stop ça suffit... cette excuse là je ne veux plus entendre dit alors Arnaud en s'énervant
Hannibal : quelle excuse ?
Arnaud : ton excuse bidon celle que tu avance à chaque fois sur le faîte que Astarté est plus forte que toi.
Hannibal : ce n'est pas une excuse c'est la réalité
Arnaud : a d'autre n'est pas à moi.c'est toujours la même réplique
Hannibal : mais je vois pas pourquoi tu dis ça alors...
Arnaud : alors que tu est plus forte que elle est de loin...
Arnaud commençait a être un peu énervé par ce que venait de lui dire Hannibal,depuis le début celui se comportait comme une victime,qui se faisait toujours battre par Astarté, de plus la jeune IA vivait très ces défaites car Merkal n'arretait pas de ce moquer de lui et que Didon était complètement de partie pris pour Astarté.
Cela faisait que Hannibal se sentait assez seule au milieux de ces compagnons d'armes,mais Arnaud voyait un mal plus profond dans le comportement de Hannibal.
Hannibal : forcément moi je me sens un peu perdu au milieu de tous ça
Arnaud : vraiment pas évidents à vivre ce que tu vis mon pauvre
Hannibal : a qui le dis tu.
Arnaud : tu veux vraiment savoir ce qui cloche chez toi
Hannibal : je ne demande qu'Ã le savoir
Arnaud : Astarté n'est pas plus forte que toi c'est parce que tu la laisse gagner.
Hannibal : pardon !!
Arnaud : ne fait pas semblant de ne pas avoir compris,tu sais très bien de quoi je parle.
Hannibal : je t'assure que non.
Arnaud : tu est sur
Hannibal : en faite... non, mais comment est tu arriver a ce constat
Arnaud : et bien vois tu je trouvais étrange que tu perde a chacun de tes entraînement alors que tes niveaux d'énergie son supérieur a ceux de Astarté, alors j'ai pris un peu de temps pour analyser vos combats et tu sait ce que j'ai vu.
Hannibal : qu'est-ce que tu as vu
Arnaud : j'ai vu que tu étais capable d'esquiver et de parer n'importe quel coup envoyé par Astarté
Hannibal : oui sa m'arrive assez souvent lors de nos affrontements.
Arnaud : dans ce cas-là peut tu m'expliquer pourquoi tu ne contre-attaque jamais à ce moment-là .
Hannibal : parce que je n'en ai pas le temps.
Arnaud : Faux à chaque fois que tu pare ces attaques tu brise du coup sa ligne de défense.
Hannibal : sa ligne de défense ?
Arnaud : je l'ai bien vu,dans chacun de tes combats tu avais l'occasion de contre-attaquer mais tu ne l'as jamais fait.
En revoyant les vidéo enregistrer par Vger 2.0 Arnaud avait déceler une anomalie dans la tactique de combat de Hannibal, quand il affrontait Astarté on voyait au ralenti qu'il arrivait a stopper l'attaque de son adversaire,du meme coup sa parade contournait les défense de la jeune amazone, mais Arnaud avait noter une attitude étrange chez Hannibal, en aucun cas celui ci profitait des ouvertures qui était faite pour attaquer.
la plus part du temps il se repliait ou se contentais de repousser Astarté sans la blessé alors qu'il aurait put lui porter un coup fatal si il lavait voulu, a la longue cette façons de se battre se finissait par la déconvenue de Hannibal.
Arnaud : attends agir comme ça elle finit par avoir le dessus sur toi c'est normal
Hannibal : et bien oui..
Arnaud : ma question est pourquoi tu ne contre-attaques jamais ?
Hannibal : je ne sais pas.
Arnaud : tu sais pas ?!
Hannibal : je ne sais pas comment l'expliquer.
Arnaud : tu veux pas lui faire du mal c'est peut-être ça
Hannibal : pourquoi je ferais ça ?
Arnaud : peut être que tu n'as pas la hargne propre au guerrier
Hannibal : alors sa ne fais pas de moi un soldat.
Arnaud : ce n'est pas un défaut.
Hannibal : que veut tu dire ?
Arnaud : l'origine je n'ai jamais voulu faire de vous des guerriers mais tu vois j'ai pas eut le choix.
Hannibal : si c'est pas pour nous battre pour quoi nous avoir conçu
Arnaud : d'une part pour réaliser mes théories mais aussi pour...
Hannibal : pour
Arnaud : pour me faire des amis comme toi
Confession pour le moins étrange de la part de Arnaud,mais il fallait savoir que Arnaud n'avait jamais eut d'amis, des connaissance oui, mais de vrai amis jamais.
Depuis son plus jeune âge il avait toujours été seul,il avait toujours ete exclu par les autres enfants,a défaut d'amis ces créations était le seul moyen qu'il avait trouver pour tromper sa solitude.
En créant les Cartha-guerriers il voulait combler se vide, il aurait des personnes certes virtuel mais avec qui il pourrait partager des choses, mais si pour l'heure le seul avec qu'il il est des relation soit Hannibal.
Depuis maintenant un bon bout de temps un lien d'amitié était née entre l'I.A est Arnaud, Hannibal avait cessé de l'appeler maître Arnaud... c'était Arnaud
Il est vrai que contrairement à ses frères et soeurs Hannibal avait développé un caractère beaucoup plus enjoué et beaucoup plus sympathique, alors que les autres intelligence artificielle restaient toujours très austère vis-à -vis de leur créateur.
Hannibal lui avait commencé à s'ouvrir aux autres à l'aide de Arnaud il étudiait la nature humaine,il voulait comprendre ce qui motive les êtres humains,si par sa stature de guerriers il avait étudier les grandes guerres et les différentes formes d'arts martiaux il c'était également intéressé à d'autres aspects de l'être humain.
il voulait comprendre les sentiments humains,car ces derniers restaient un grand mystère pour lui,Hannibal avait au fond de lui de curieuse sensation qu'il peinait à définir.
c'était quelque chose de très difficiles à expliquer,il savait qu'à la base son programme était évolutif mais les sensations et les impressions qu'il ressentait était très difficiles à définir pour lui ce qu'il ressentait.
Cette évolution spontanée de Hannibal étaient la plus grande sûrement la plus grande fierté de Arnaud
le jeune homme se disait que finalement Hannibal était bien moins rigide que ne l'était Tanit même si ces derniers temps il y avait eu pas mal de chambardement au niveau des laboratoires.
Maintenant Arnaud avait le champ libre et il pouvait sans problème continuer à travailler sur ces intelligences artificielles pour les développer.
dans ce cadre précis il avait commencé à travailler sur leur évolution future,notamment sur le perfectionnement de leurs équipements et de leur pouvoirs.
mais les raisons qui poussaient Arnaud à agir de cette façon-là n'étaient pas le fruit du hasard le jeune garçon nourrissait de plus en plus d'inquiétude ces derniers temps.
Les échos qu'il avait captés en provenance du réseau s'était amplifié d'une façon considérable,mais ces derniers ne provenaient pas du monde numérique qu'il avait exploré il y a maintenant quelques mois en arrière.
Non ces échos provenaient bien du fin fond de la mer numérique,et ceux-ci avaient tendance à se rapprocher de la cité.
par mesure de sécurité Arnaud avait averti Simon de la situation,ce dernier était lui-même très partagé sur les inquiétudes du jeune homme il savait parfaitement ce qui s'était passé lors de la première attaque.
bien sûr depuis l'attaque de mars dernier des mesures de sécurité avait été prises pour renforcer la cité mais personne ne savait si celle-ci serait suffisante.
la première des mesures de sécurité était une coupure des systèmes de connexion ainsi toute attaque venant du réseau pouvait être contrée,
la deuxième mesure était un bouclier que Tanit était capable de générer mais celui-ci impliquait que Tanit reste en permanence dans son temple ce qui finalement la rendait assez vulnérable si un seul ennemi arrivait à passer à travers le bouclier
c'est dans cette optique la que Arnaud avait créer ces guerriers,leur mission était de protéger Tanit quand celles-ci activaient le bouclier,
Techniquement parlant les quatre guerriers était opérationnelle est prêt à se battre,mais sera-t-il de taille si un monstre du même gabarit que ce colosse venait à faire son apparition
Arnaud avait donc renforcé leurs pouvoirs,en particulier ceux d' Hannibal et de Didon
Hannibal avait désormais une acuité en visuelle renforcée, il était capable de voir les trajectoires,il avait le temps de voir tous projectile lancé sur lui et de l'esquiver ce qui dans un combat à distance était un avantage net
En ce qui concernait Didon,il avait donné à cette dernière un pouvoir des plus spectaculaires
"L'attaque aux 1000 étoiles"
cette technique particulière faisait que Didon disposait de l'attaque la plus puissante de tous les Cartha-guerriers le seul qui soit en mesure de pouvoir la contrée était justement Hannibal
Arnaud avait aussi prépare des facultés spécial pour Astarté et Merkal, mais celle ci devrait attendre.
Le temps pressait car déjà au fin fond du réseau une sinistre masse sombre faisait route vers Néo-Carthage.
chapitre 21 pour toi
9 septembre 2005
----------------------------------------ENREGISTREMENT----------------------------------------------
Bonjour je m'appelle Jeremie Belpois je suis élève de seconde au collège Kadic.
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Nous sommes aujourd'hui le 9 septembre 2005 il est 9 h 30 du matin
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J'enregistre aujourd'hui ce qui est l'ultime message de mon journal vidéo personnel.
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Comme je l'ai déjà précisé précédemment dans ma dernière vidéo j'ai l'intention de procéder à une grande expérience.
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Aujourd'hui mes amis je vais tester sur moi la transcendance.
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Pour cela je vais me virtualiser sur Lyoko
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et plus précisément sur le territoire des montagnes comme je vous l'avais déjà évoqué dans mon précédent message
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afin de ne pas être dérangé par un quelconque importun,j'ai profité d'un creux dans mon emploi du temps de la matinée pour pouvoir me livrer à cette expérience.
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Les raisons qui me pousse à agir seul, vous les connaissez déjà .
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Donc inutile de vous les rappelez.
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par mesure de précaution j'ai laissé des instructions à tous le monde.
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Yumi tu trouveras dans mon tiroir en bas à droite le bouquin d'instruction ainsi que toutes les notes sur mes expériences.
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Puisse tu toi et les autres en faire de bonnes usages au cas où...
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car après mûre réflexion j'estime que vous devez continuer la lutte.
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Ne voyez pas là un commandant de ma part mais une faveur.
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Sauver Aelita reste toujours le but principal mais ce n'est pas tout...
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il y a une autre raison à cette demande.
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J'ai bien peur que Xana ne soit de retour.
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Cette nouvelle vous ne vous y attendiez pas et moi non plus d'ailleurs
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Mais je n'ai plus de doute sur le sujet.
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sur quoi je me base pour affirmer sa, vous allez le savoir.
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Très simple...sur les deux derniers mois où j'ai effectué des recherches pour retrouver Aelita,j'ai capté sur le réseau d'étranges échos qui semblait provenir des abysses de la mer numérique.
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Après une analyse très poussée de ces émissions sonar,j'en suis arrivé à une conclusion.
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Il ne fait pas de doute que celles-ci sont l'oeuvre de Xana.
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les Échos étaient à 80 % identiques aux émissions d'énergie que Xana était capable de produire autrefois.
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Ce qui veut dire que notre terrible ennemi n'est pas mort.
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Affaibli mais vivant
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je sais que cette nouvelle n'a rien de réjouissant.
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alors qu'avec la destruction des Replikas nous pensions en avoir finis avec Xana il faut croire que ce dernier a réussi à trouver refuge dans un super-calculateur indépendant.
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il y aurait donc quelque part un autre réplika.
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Toutefois j'ai peut-être une bonne nouvelle.
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les Échos bien qu'étant plus nombreux sont devenus moins puissants.
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cette perte de puissance ne peut se traduire que par une seule chose
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Le super-calculateur indépendant dans lequel Xana a trouvé refuge serait en train de perdre de l'énergie.
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Ce qui veut dire que Xana serait en train de se mourir
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Ce qui expliquerait qu'en dépit de tous Xana n'est pas lancée une attaque sur Lyoko.
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ils n'en aurait pas les moyens vu son état de faiblesse.
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Sinon il y aurait longtemps qu'il m'aurait attaquer.
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mais comme je manque d'infos, ça ne reste pour l'heure qu'une théorie.
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Mais cela a suffi à renforcer mes convictions
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plus que jamais je dois procéder à ce test
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Car sans aelita nous ne sommes plus en mesure de combattre Xana efficacement.
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Si jamais les choses devaient mal tourner,j'ai une dernière recommandation à vous faire.
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Je sais que ce que je vais vous dire va à l'encontre de la promesse que nous avons fait.
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Nous avons tout juré de toujours garder le secret.
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Mais cette fois-ci les événements ont pris une tournure assez catastrophique.
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Dans ces cas-là il ne vous resterait qu'une seule solution.
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Il ne faudra sans hésiter sans avertir les autorités concernées.
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Pour nous tous je sais ce que ça implique.
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Mais nous ne pouvons pas nous permettre que Xana nous fasse le coup du grand retour.
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Mes amis je vous engage dont à continuer la lutte coûte que coûte.
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ce message vidéo constitue mon ultime avertissement.
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souhaitez-moi bonne chance
----------------------------------FIN DE L'ENREGISTREMENT---------------------------------------
après avoir contrôlé une dernière fois son message vidéo Jeremie pris soin de transférer celui-ci dans une zone ultra protéger du super-calculateur que rien ne pourrait endommager.
Devant son écran de contrôle le jeune garçon se mit à programmer une série d'instructions,de multiples fenêtres s'ouvrirent à cet instant parmi elles notamment se trouvaient celle qui gérait le protocole de la transcendance.
il n'est pas fallu longtemps à Jeremie pour intégrer toutes les caractéristiques de ce nouveau programme dans le code source de son avatar virtuel.
Pour être sûr de commettre aucune erreur Jeremie vérifia trois fois la série de calculs préliminaires qu'il avait lancé la veille, chacune de ces simulations se terminait sur une note positive toutefois un doute subsistait toujours mais maintenant il n'était plus tant de reculer Jeremie programma la séquence de virtualisation différée.
Celle-ci c'était automatiquement réglée sur une 1 minute 30 avant le lancement, sans perdre un instant Jeremie se rendit dans la salle du scanner en passant par la trappe qui donnait accès à l'étage inférieur, il se retrouva devant le scanner principal,Jeremie monta à l'intérieur et se retourna pour voir une dernière fois la salle, quelques secondes après les portes se refermèrent sur lui et la procédure de Virtualisation s'enclencha.
Les cheveux ébouriffés par le souffle du scanner Jeremie prit alors une dernière grande inspiration quand le compteur arriva au zéro le processus de virtualisation s'enclencha et une grande déflagration balaya Jeremie qui fut transforme alors en énergie pure.
Dans le calme du territoire montagne récemment reconstitué une enveloppe virtuelle se dessina dans les airs peu à peu celle-ci fut recouvert de sa texture, le nouvel avatar créer atterrit sur le sol avec plus ou moins de succès.
Décidément je m'y habituai jamais dit Jeremie en se relevant à cet instant
C'était la deuxième fois de sa vie que Jeremie ce virtualisait sur Lyoko c'était également la première fois qu'il pouvait voir de ses propres yeux le territoire montagne la première fois il c'était simplement contenté d'explorer le territoire de la forêt.
C'est avec un certain émerveillement que Jeremie regarda le paysage qui l'entourait,sur le coup de l'étonnement il vint à se dire que ses amis avaient beaucoup de chance d'assister à un tel spectacle
c'est finalement une expérience des plus agréables quand on n'a pas à y combattre les monstres de Xana ou une mystérieuse sphère venue de nulle part
Jeremie contempla un moment sa nouvelle tenue de combat, la première fois qu'il c'était matérialisé son inconscient avait fait de lui une sorte de magicien bleu au chapeau pointu, il était une sorte d'avatar de Merlin l'enchanteur mais sans la barbe.
Mais cette fois-ci il n'était plus question de magicien Jeremie avait opté pour une tenue beaucoup plus futuriste ils portait une paires de lunettes très futuristes de couleur bleue et son costume était plus apparenté à une armure assez sophistiqué ses avant-bras étaient des sortes de canon, maintenant Jeremie étaient capables de tirer des faisceaux laser ce qui le différenciait beaucoup des armes conventionnelles de ces autres amis à l'exception de Aelita et de ces champs de forces.
Mais cessant de jouer les narcissiques Jeremie s'assit alors sur un petit rocher est pris le temps de regarder ce qui l'entourait,le processus de la transcendance ne devait s'activer que d'ici quelques minutes Jeremie profita alors du spectacle qui lui était offert,le magnifique lever de soleil permanent de ce territoire était un spectacle des plus réjouissant jusqu'à présent Jeremie n'avait pu pu le voir qu'a travers les écrans de son ordinateur
s'il avait été possible de respirer sur Lyoko Jeremie aurait sûrement profité de l'air tonifiant du matin.
il resta contempler le paysage un bon moment sur un air un peu rêveur il y avait une sorte d'onirisme indescriptible qui se dégageait de ce paysage particulier quelque chose que nul ne pouvait comprendre et ne pouvait expliquer
Soudainement les mains de Jeremie devinrent luminescente, cela était le signe que le programme était chargé Jeremie referma ses poings et regarda longuement droit devant lui.
le moment est venu se dit-il.
C'était l'heure de vérité,Jeremie allait enfin savoir si les deux mois qu'il avait passés à travailler sur ce programme allait être couronné de succès ou si au contraire il allait causer sa perte .
Par mesure de sécurité il avait fait en sorte que celui-ci se désactive au bout de 30 secondes ceci dans le but de limiter les pertes d'énergie, à la fin du processus il serait automatiquement dévirtualisé est transféré dans les scanner.
Jeremie se leva alors de son rocher et commença à avancer la plate-forme centrale celle-ci était légèrement dégagée du reste du paysage
tout autour de lui la montagne et quelques nuages, Jeremie prit alors une dernière grande inspiration, il croisa les bras contre son torse pour former un X et ce fut non sans hésitation qu'il prononça le nom du processus.....
Transcendance s'écria alors Jeremie.
A cet instant son corps se mit alors à briller,autour de lui une aura exceptionnelle de couleur verte pris naissance,les effluves d'énergie qui émanaient de son corps balayèrent de façon concentrique la poussière du sol ce dernier sous l'effet du dégagement d'énergie se mit à trembler,en l'espace de quelques secondes seulement le processus se stabilisa.
Le corps de Jeremie c'était complètement transformé,du futuriste guerrier virtuel il ne restait maintenant plus qu'un humanoïde fait de pure énergie.
au plus profond de son être Jeremie commençait à ressentir les effets de la transcendance,il s'agissait d'une sensation incroyable Jeremie se sentit comme galvaniser par le fantastique pouvoir qui était désormais le sien.
cette puissance le transportait littéralement et cette dernière était encore loin d'avoir atteint son paroxysme
Mais soudain le processus subi une défaillance en plusieurs endroits de son corps des fissures firent leur apparition et avant que Jeremie eut le temps de faire quoi que soit soit il se produisit une violente explosion qui détruisit la moitié du territoire montagne quelque secondes après cette déflagration Jeremie se matérialisa dans le scanner
Quand les portes de celui-ci s'ouvrir on vit alors tomber au sol un corp inconscient est complètement recouvert de blessures.
a suivre.......
chapitre 20 I.R.M
23 septembre 2005
" Alors comment cela se passe-t-il "
Merveilleusement bien docteur écoutez par vous-même fit Maeva.
Sans perdre un instant la jeune fille se lança dans l'exécution d'un morceau de piano, pour débuté elle avait choisi un air très simple a jouer,meme si cela ne faisait seulement que trois jours qu'elle avait commencés à s'exercer elle semblait bien s'en sortir, le morceau exécuté n'était pas des plus compliquer,Maeva avait rapidement réussi à maîtriser son jeu de gamme bien sûre l'on pouvait encore dénoter quelques imperfections dans la partition de Maeva
Mais la jeune fille faisait preuve de beaucoup de dextérité et le son que produisait le piano n'était pas des plus désagréable a entendre, sans être parfait cela restait quand meme un exploits incroyable, le docteur lui meme n'arrivait pas à en revenir.
Pourtant Maeva jouait du piano comme personne ne pourrait le faire en si peu de temps, a la fin de son mini récital Maeva se tourna vers le docteur pour recueillir ces impressions.
Alors la Maeva je suis assez surpris par ton talent lui dit le docteur.
Vraiment fit Maeva.
Dr : plutôt, tu arrives à jouer avec une telle facilité.
Maeva : je n'ai aucun mérite vous savez docteur avec de l'entraînement est un bon livre comme le "piano pour les nuls" j'y arrive très facilement.
Dr : quand même ça reste un sacré exploit de ta part, à croire que tu as la musique dans le sang.
Maeva : c'est peut-être le cas docteur.
Dr : que veux tu dire
eh bien j'ai l'étrange impression que j'ai toujours sut le faire fit Maeva en regardant le piano
Dr : c'est vrai !!!
Au fond d'elle Maeva avait une impression pour le moins étrange ce goût prononcé pour la création musicale ne lui était pas étranger comme si cette envie de faire naître des sons sous ces doigts lui avait déjà été inculqué par le passé.
était-ce là encore un héritage sa vie antérieure qui se manifestait de façon inconsciente,ou était-ce le propre désir de Maeva ?
Elle n'en savait rien et pour tout dire cela lui était égal, pour-elle la création musicale était devenue un nouvel exutoire qui lui permettait de faire taire ces angoisses.
Pour la jeune fille ceci était quelque chose de très précieux,pour la première fois de sa vie elle avait l'impression de pouvoir faire autre chose que de détruire, créé lui avait donné une certaine confiance en elle et tout cela elle le devait au seul homme qui est jamais crut en elle
Le Docteur Joseph Robinson.
Cet homme contre l'avis de tous c'était toujours battu pour elle, depuis le début il n'avait jamais cessé de croire en la jeune fille même si au début sa démarche est pu s'apparenter à de la pitié par la suite ce sentiment c'était mué en quelque chose de beaucoup plus fort, cette générosité qui était la sienne avait profondément touché Maeva qui voyait en la personne du docteur bien plus qu'un simple bienfaiteur pour elle il était....
Un père...
Maeva n'avait aucun souvenir de sa famille,avait-elle seulement une famille ?,cela non plus n'avait pas de grande importance pour Maeva car elle avait trouvé en la personne du Dr tous ce qui lui avait toujours manqué.
De la générosité,de l'affection,un amour paternel est peut-être un amour plus fort...
Maeva : en tout cas Docteur je voulais vous remercier.
Dr : me remercier de quoi ?
Maeva : pour tous, depuis le début vous avez toujours cru en moi malgré ce que les gens pouvait en dire..
Tu sais ce n'est rien fit le docteur un peu déstabiliser par ce que venait de lui dire Maeva
Maeva : c'est beaucoup pour moi.
Etait il possible que le docteur n'ai pas mesurer la portée de son travail sur Maeva car bien plus que la parole, bien plus que son affection le docteur lui avait donnée l'occasion de combattre une fatalité et sa Maeva ne pouvait pas l'ignorer
Maeva : merci Docteur de m'avoir appris qu'un autre chemin était possible.
Dr : dois-je comprendre que tu as enfin accepté ton sort.
Maeva : non mais disons que j'apprends à mieux vivre avec.
Jusqu'à présent Maeva avait toujours été persuadé qu'elle ne pourrait engendrer que le mal autour d'elle mais maintenant la vision négative qu'elle avait d'elle-même avait commencé à légèrement changer et ceci grâce aux efforts du docteur et aux attentions que celui-ci prodiguait à la jeune fille,parmi tous ses collègues il a toujours été le seul à croire en sa guérison mais il n'était pas seul responsable de cette état de fait.
Les efforts que Maeva avait consentis à fournir depuis le début y était pour beaucoup aussi.
Et aujourd'hui encore elle fournissait d'autres efforts mais cette fois-ci pour son bien-être mental et ceci grâce a la musique,activité plus que réjouissante car elle est l'expression des sentiment de Maeva.
A travers la musique elle pouvait parler d'elle,c'était une façons pour elle d'exprimer ces joies est ces peines et ceci pour le plus grand plaisir du docteur qui voyaient la l'épanouissement de la jeune fille.
Donc tu vois ce n'était pas si difficile finalement lui dit il
Maeva : vous avez raison je suis aussi à l'aise avec un piano que je le suis pour dessiner
Qui c'est plus tard tu pourrais te reconvertir comme artiste fit le docteur sur le ton de la plaisanterie.
Maeva : mais dans quel domaine le dessin ou la musique
Dr : à ça se sera selon tes aspirations
Maeva s'imagina à quoi pourrait ressembler son futur, elle se voyait plus tard en grande peintre en train d'exposer ces oeuvres dans les galeries d'art courtisée et péblicité par toute la critique du métier ou alors elle pourrait s'engager dans une voie artistique musicale.
Maeva : je pourrais m'orienter sur une carrière musical
Dr : et tu penses à quoi
Je pourrais devenir une grande DJ peut-être dit t'elle alors en rigolant.
Dr : DJ quelle drôle d'idée et pourquoi ça ?
Maeva : comme ça sans raison... c'est juste une inspiration.
Dr : sa pourrait te convenir comme métier
Maeva J Maeva je trouve que ça sonne bien
Dr : question de goût.
Maeva : pour moi ça fait classe.
Dr : tu vois finalement tu pense à autre chose qu'à détruire.
Maeva : finalement c'est vrai c'est juste une question de conditions
Dr : c'est vrai que temps que tu n'as pas d'appareils électroniques sous les mains sa ne risquent rien.
Maeva : ce qui finalement en y réfléchissant bien, sa pourrait mettre un frein a ma carrière de DJ car une table de mixage c'est de l'électronique
Dr : mince alors
et oui dans ces conditions je risque bien de mettre le feu à la scène mais pas de façon imagée fit Maeva en feintant la grimace.
En temps normal le faite de parler des pouvoirs destructeurs de Maeva aurait plutôt plombé l'ambiance,mais cette fois-ci la jeune fille les avaient évoqué sur le ton de la plaisanterie finalement son propre sort avait fini par l'amusé, le docteur avait soudainement noté un réel changement dans l'attitude de Maeva du simple état de victimes elle était passée à celle de personnes qui étaient décidées à maîtriser sa vie en commençant par cela à ne plus souffrir de ces défauts.
Et bien c'est la première fois que je te vois rire des malheurs que tu serait capable de provoquer lui dit le docteur
Maeva : ce n'est pas ce que je voulais dire en fait.
Dr : Oh si c'est ce que tu voulait dire mais tu l'as fait sous le ton de la plaisanterie
Maeva : c'est pas vrai.
Dr : et si !!!! lapsus révélateur.... je crois que quelque part en toi tu est entrain d'accepter de la situation.
Pourquoi mentir au autres quand on ne peut se mentir a soi meme,Maeva venait de s'amuser d'une possible situation catastrophique sans en éprouver la moindre peur, sa ne faisait pas d'elle le petit monstre donc on dépeignait les exploit ,mais bien une personne a part entière capable de se rire d'elle meme, et cela était plutôt bon signe.
Vous avez raison finalement créer c'est une chose de merveilleuses lança Maeva pour changer de sujet
Dr : je n'en ai jamais douté il n'y a qu'à regarder tes dessins
Maeva : pour ce qui est de mes dessins docteur je n'ai pas spécialement de mérite.
Dr : le fait de dessiner n'est pas un acte de création en soi selon toi
Maeva : jusqu'à présent je n'ai fait que reproduire les images que j'avais en tête.
Dr : celle de tes reves.
Maeva : oui
Dr : tes dessins sont les visions du monde de Lyoko.
Maeva : je n'ai aucun mérite de ce fait, reproduire ce que j'ai vu n'est pas un acte de création car ces images ne vienne pas vraiment de moi
Dr : ces dessins ne serait pas vraiment de toi ?
Maeva : si on veux, c'est bizarre a expliquer c'est comme si j'avais calqué ceci sur un modèle réel.
Dr : tu veux dire que Lyoko existerais
Maeva : je n'en sait rein en faite mais je fais des effort pour le savoir vous savez
Dr : certes mais aujourd'hui je crois que cela suffira.
Maeva : pourquoi sa.
Dr : car depuis le début j'estime que tu as consentis a suffisamment d'efforts comme ça
Maeva : vous voulez qu'on arrête pour aujourd'hui.
Dr : je crois que tu as bien mérité un petit goûter en guise de récompense et d'ailleurs je dirais....
A ce moment-là le docteur se retourna et constata que Maeva avait disparu du garage, il regarda de droite à gauche mais ne trouva nulle trace de la jeune fille, il l'appela alors par son nom,c'est alors qu'il entendit une voix qui venait du fin fond du couloir, c'était Maeva qui était déjà dans la cuisine,
La surprenante jeune fille avait filer à une vitesse ahurissante dans la pièce stratégique, le docteur était partager entre étonnement et surprise décidément Maeva ne finirai jamais de le surprendre il se jura sur le coup qu'as l'avenir il utiliserai le mot goûter avec beaucoup de précautions.
Attend moi Maeva j'arrive lui fit le docteur qui partis a son tour en direction de la cuisine.
------------------------------ Le journal de Maeva huitième partie -----------------------------
Le pet...petit che..che..chat.....le petit chat ...gre... gris...man... je ... haie ....mangeait du riz
Oui c'est bien lui fit le docteur
c'est vrai fit Maeva en regardant le docteur
Dr : tu te débrouille très bien
Depuis maintenant trois jours le docteur s'éfforçaient a faire lire des livre a Maeva,celle ci avait partiellement retrouvé l'usage de la parole grâce au docteur,qui avait réussi a faire comprendre a la jeune fille le rapport qu'il existait entre les lettres et les sons.
Et se fut avec une rapide extraordinaire que la jeune fille avait compris comment cela fonctionnait,elle avait réussi a associer le tous très rapidement,au lettre se succédèrent les mots que le docteur lui montrait dans le dictionnaire.
Au début des images pour faire des association,puis par la suite des expression plus complexe,elle arrivait a exprimer encore assez maladroitement mais en trois jours c'était normal,Maeva ne pouvaient pas faire de miracle et voila a présent qu'elle se mettait a lire des petits livres.
Tous ceci encouragea le docteur a persister dans cette voie qui voyaient un début de guérissons flagrant,et qui confirmait aussi c'est doute sur le faite que Maeva savait parler.
Le petit chat gris mangeait du riz... fit Maeva en relisant sa phrase intégralement.
Oui c'est bien Maeva lui fit le docteur
La jeune fille lui sourit a cette instant, elle était ravis de voir que tous se passait bien,de son coté le docteur ne voulu pas relâcher ces efforts, il voulait apprendre a Maeva un maximum de mots car a sa plus grande surprise la jeune fille était capable de tout mémoriser avec une facilité des plus déconcertante,mais au moment de lire la suite du texte Maeva mit sa main sur son front.
Maeva il y a quelque chose qui ne va pas lui demanda alors le docteur.
La jeune fille essaya de donner une réponse mais celle-ci n'y parvint pas soudain sans raison apparente elle s'écroula sur le sol le docteur se précipita sur elle pour voir ce qui se passait le docteur était penchés sur le corps de Maeva celle-ci visiblement n'avait aucun problème respiratoire et son coeur continuait à battre, sans perdre un instant ce dernier appela des infirmiers, il arrivèrent rapidement mais avant qu'ils eut le temps d'intervenir Maeva avait déjà reprit ces esprits sans vouloir la brusquer le docteur lui demanda d'y aller doucement mais la jeune fille malgré tout avait commencé à se remettre sur ses pieds
Comment ça va Maeva
Ça va bien dit la jeune fille
Le docteur décida de stopper tous les test pour ce matin, toutefois le docteur avait toujours en tête le mystérieux malaise que Maeva avait fait le premier jour de son arrivé,le doute n'était plus permis il y avait vraiment quelque chose qui n'allait pas chez la jeune fille.
Maeva était peu être atteint d'une tumeur ou d'un problème plus grave,Il fallait que le docteur en soit sur et le seul moyen de le savoir était d'effectuer une radio en profondeur car la première analyse n'avait pas été suffisamment poussée chez Maeva.
L'après-midi même le docteur avait demandé à l'un de son collègues le Dr Bartholdi d'effectuer un I.R.M sur Maeva afin d'en savoir un peu plus sur son état de santé générale,Maeva était en observation le docteur voulait connaître les origines de ces malaise Maeva fut allongée sur la machine,le docteur lui avait expliquer qu'elle ne devrait pas bouger et que cela ne faisait pas mal,Maeva obéit au docteur,avec le temps elle avait appris a lui faire confiance.
La machine fut mise en marche c'est alors que le lit automatique commence à se glisser à l'intérieur du tube Maeva ne bougea pas très vite les différents systèmes magnétiques commencèrent à balayer le corps de Maeva de long en large,dans la salle de la radio les Dr Bartholdi et Robinson observaient sur les écrans le déroulement des opérations.
Si l'analyse se passait a merveille, ce qui apparaissait sur le moniteur de contrôle avait de quoi laisser le Dr Bartholdi assez perplexe.
C'est incroyable dit le docteur Bartholdi
Qui y'a t'il demanda le docteur Robinson
Dr Bartholdi : regardez-moi ça je n'ai jamais vu un truc pareils.
Dr Robinson : de quoi vous parlez
Dr Bartholdi : l'activité cérébrale cette jeune fille est anormale.
Sur les écran on pouvait voir en coupe frontal la représentation virtuelle de l'activité cérébrale de Maeva, le rouge et le jaune témoignait de l'activité cognitif actuel de la jeune fille mais celui était anormales.certaine zone du cerveau était dune couleur plus intense que les autres se qui attestait d'une grande activité
Dr Bartholdi : regardez moi ça les zones cognitive sont plus active que d'autres
Dr Robinson : ce qui veut dire ?
Dr Bartholdi : en règle générale on utilise que 10 % des capacités de notre cerveau,ou plus exactement on l'utilise complètement mais pas au maximum de ces possibilités.
Dr Robinson : vous ne m'apprenez rien je le savais déjÃ
Dr Bartholdi : vous savez quand le cerveau et dans une phase de sommeil ou dans une phase active les couleurs que l'on peut mesurer et ne sont pas les mêmes ceux-là se voit sur un scanner
Dr Robinson : je le sais
Dr Bartholdi : chez un individu éveiller ou en activité les couleur on une teinte particulière
Dr Robinson : rien de nouveau non plus pour moi
Dr Bartholdi : et bien si, figurez vous que chez cette jeune fille son activité cérébrales et bien plus intenses .
Dr Robinson : Ã quel point.
Dr Bartholdi : si je compare ce diagramme avec des schémas plus classiques on a jamais vu ça chez un être humain.
Le Dr Bartholdi fit une rapide comparaison entre un modèle classique et celui de Maeva, le docteur Robinson vit alors sur le diagramme de la jeune fille des différences notables, certaines zone de son cerveau semblait plus activité que d'autres.
Dr Bartholdi : les taches rouges que vous voyez ici démontrent que l'activité cérébrale est particulièrement accrue dans ces zones.
Dr Robinson : c'est assez étonnant, et c'est du a quoi ?
Dr Bartholdi : je ne suis pas sur car un détail me chagrine.
Dr Robinson :un détail ?!... que voulez-vous dire V
Dr Bartholdi : regardez sur cette coupe la...vous voyez cette zone sombres et inactives par rapport à tout le reste.
Sur la partie arrière du cerveau de Maeva un étrange tache sombre avait fait son apparition, lors des premier examen personne ne l'avait déceler, mais maintenant grâce a l' I.R.M elle apparaissait de façons plus claire.
Cette tache sombre qu'est-ce que c'est demanda le docteur Robinson.
Dr Bartholdi : je ne veux pas être alarmiste n'y faire de faux diagnostique, mais nous sommes peut-être en face d'une tumeur.
Dr Robinson : une tumeur ce n'est pas possible.
Dr Bartholdi : pour être sur il faudra faire d'autres examens plus approfondis.
Ce fut un coup de massue terrible pour le docteur, était il possible que Maeva soit atteinte d'un cancer du cerveau, si c'était le cas cela expliquerai bien des choses ,a commencer par son amnésie.
Mais le docteur Bartholdi voulait en être sur, pour cela il proposa au docteur d'emmener Maeva dans une autre salle de test pour effectuer un examen particulier, l'hospital avait récemment acquis un nouveau model de scanner à images 3D et le docteur Bartholdi allait s'en servir sur Maeva.
Dr Bartholdi : nous pouvons lui faire un ISS
Dr Robinson : ISS qu'est ce que c'est ?
Dr Bartholdi : ISS... Informatique...System...Scanner, c'est un nouveau modèle d'appareils qui fonctionnent par simulation informatique, c'est une analyse quasiment poussée à l'extrême
Est douloureux demanda la docteur Robinson par égard envers Maeva
Pas du tous c'est aussi indolore qu'un IRM lui fit le docteur Bartholdi.
Dr Robinson : et quand pouvons nous procéder à ce test
Dr Bartholdi : nous pouvons le faire maintenant j'ai un creux dans mon emploi du temps
alors allons y fit le docteur Robinson.
Accompagné de Maeva les deux docteur allèrent dans la pièce ou se trouvait la machine, au dire du docteur Bartholdi,cette appareil effectuait un scanner complet la tête avec une précision au centième de millimètre, un ordinateur recoupait toutes les donnés et les reproduisait de façons 3d se qui pouvait donner a un médecin une approche très précise de l'état du cerveau d'un patient,
arrivée dans le nouveau système Maeva fut placée sur le lit, Maeva fut de nouveau mis dans un caisson de scanner afin de bien protégé ces yeux des lentilles spéciales lui furent posées seulement pour cette opération la jeune fille devait d'être intégralement nue tout ce qui recouvrait son corps c'était un drap spécial,une fois pose et recouverte les mêmes opérations que précédemment furent recommencer.
Transfert - Scanner - Analyse fit successivement le docteur depuis son pupitre.
Au bout de quelque seconde l'image caméra de Maeva dans le scanner apparu sur les écrans de son coté le Dr Robinson tenait a remercier son collègue pour l'aide apporter
Dr Robinson : je trouve très aimable de votre part de nous consacrer un peu de temps
Dr Bartholdi : je vais être honnête avec vous Dr Robinson jamais assez envie de tester cette machine est vous m'en donner l'occasion.
Dr Robinson : oui je vois donc votre démarche n'est pas si désintéressé que sa
Vous n'allez pas me le reprocher si sa peu vous aider fait l docteur en souriant
Je garde mon opinion pour moi dans ce cas fit le docteur.
Dr Bartholdi : au passage elle a quelle âge votre patiente.
Dr Robinson : je dirais presque 13 ou 14 ans pourquoi cette question
Dr Bartholdi : et bien je trouve que pour une adolescente, elle est déjà très en "forme"
Dr Robinson : c'est quoi se sous entendu ?
Dr Bartholdi : je trouve que sa puberté est très développée ce qui est assez étrange chez les jeunes filles de son âge .
Dr Robinson : oui il faut croire que Maeva est une enfant très précoce dans de nombreux domaines.
Dr Bartholdi : ......
Dr Robinson : bon on le fait ce un test ou pas.
Dr Bartholdi : oui commençons.
Les analyses commencèrent alors,au bout de 2 minutes à les première donnes furent transmises, sur les écrans un affichage virtuel de Maeva fit son apparitions, une découpe totale de son corps fut modélisée.
D'abord les os de son squelette furent représentées en 3D au dessus duquel les premiers tissus firent leur apparition suivit par tout le système nerveux et les organes, cette masse de chair virtuel fut rapidement recouvert par une couche épidermique.
Une représentation virtuelle complète de Maeva venait d'être effectuée sur l'ordinateur mais la partie qui intéressait le plus les médecins se situait surtout au niveau de la tête.
Ils commencèrent à détailler au niveau du cerveau les différentes ramifications grâce à différents filtres de suppression le Dr Bartholdi finit par isoler la tumeur,mais ce qui apparu à ce moment-là sur les écrans laissa les docteurs interdit.
Mais qu'est-ce que c'est que ça demanda le docteur Robinson
je n'en sais rien lui répondit le Dr Bartholdi
Ce qui devait être une tumeur n'en était pas une en vérité mais il semblait que la tumeur soie un objet métallique, sa forme étrange faisait penser a une araignée qui se serait nicher dans le cerveau mais les échos scanner laissait entre voir que cette chose était en métal
A première vue on dirait que c'est métallique répondit le Dr Bartholdi
Dr Robinson : Vous êtes sur
Dr Bartholdi : difficile a dire j'ai jamais vu un truc pareil
Dr Robinson : comment sa a put arriver la ?
Dr Bartholdi : je me le demande cette zone du cerveau est très sensible,l'objet se trouve dans la partie qui gère les commande motrice du corp et si j'en crois la suite ça ne s'arrête pas seulement niveau du cerveau.
Dr Robinson : comment ça ?
Dr Bartholdi : cette objet a un prolongement.
En pianotant sur les autres touche le docteur Bartholdi pouvait se déplacé sur n'importe quelle partie du corps de Maeva, a l'aide de la molette le docteur commença à suivre se qui semblait être une extension de cette objet, celui ci découvrit que le corp étranger semblait relier à tout un réseau de micro filament.
Dr Bartholdi : regardez-moi ça il y'a tout un système de micro filament qui parcourt le long de sa colonne vertébral.
Dr Robinson : comment est ce que cela a pus arriver la
Dr Bartholdi : je n'en ai pas la moindre idée, mais au moins nous savons maintenant que ce n'est pas une tumeur.
Dr Robinson : sa ne nous avance pas beaucoup
Dr Bartholdi : vous avez raison mais qui sait sa pourrait être une piste, une chose est sûre cette jeune filles à quelque chose que l'on ne voit pas chez les autres êtres humains voisins
Dr Robinson : et à quoi ce que cela peut-il bien se servir selon vous
Dr Bartholdi : J'en ai pas la moindre idée en tout cas c'est tout un micro système qui est relier à son système nerveux
Dr Robinson : vous croyez que c'est ça qui peut provoquer chez elle ses crises d'étouffement
Dr Bartholdi : c'est étroitement lié à son système nerveux , sa pourrait expliquer beaucoup de choses, comme des perturbations neuro électrique qui entraînerait la perte de contrôle de son corps
L'imagerie 3d était sans faillie, il montrait bien que Maeva avait un système métallique tous le long de sa colonne vertébrale ,ces extension se prolongeait dans tous son corps,et ceci jusqu'aux bout de ces doigt.
Dr Robinson : pensez-vous qu'il y a un moyen de retirer tous ceci.
Dr Bartholdi : ça me paraît impossible, vu comme c'est intégrer on pourrais causer des dégâts irréparable, voire la mort.
Dr Robinson : il n'y a faire alors
Dr Bartholdi : je ne sais pas.
Les deux médecins étaient tellement occuper a débattre sur ce qu'ils voyaient à l'écran qu'il en avait complètement oublié Maeva, la jeune fille commençait à trouver le temps long elle voulut signaler sa présence aux médecins pour ce faire elle sorti son bras pour faire des signes et signaler sa présence en appelant mais personne ne l'entendait car le micro avait découpé.
elle retira ces lentilles et voulu tapoter sur le curieux objet qui était le bout de l'objectif de la caméra mais à peine avait-elle effleuré l'objet que quelque chose d'anormal se produisit en salle d'analyse,un bruit sourd si fit entendre sur les écrans l'image commença a se brouiller
Dr Bartholdi : bon sang que se passe t'il ?
Dr Robinson : il y a un problème
Dr Bartholdi : le système est beuger on dirait.
Le docteur essaya d'arrêter la machine mais sans raison apparente le pupitre commença à prendre feu très vite l'alarme incendie fut déclenchée le docteur Robinson se précipita alors sur l'un des extincteurs à gaz, de son coté le docteur Bartholdi coupa le courant et toute l'installation furent désactivé.
Plus tard après que l'incendie fut maîtrisé il fallut établir la liste des dégâts, le docteur Robinson alla chercher Maeva qui était sortis du scanner par ces propres moyen,, isole dans la salle elle n'avait rein pur voir ce ce qui c'était passer, c'est une jeune nullement effrayer qui se tenait devant lui.
Très vite les pompiers arrivèrent suit alarme , leur arriver n'avait pas été discrète et tous l'hospital fut évacuer par mesure de précautions,mas leur tache se limita a vérifier si l incendie avait été bien éteins, par chance les docteur Robinson et Bartholdi avaient fait preuve de beaucoup de sang froid est le pire fut éviter.
Le docteur Bartholdi lui ne s'expliquait pas ce défaut technique comment cette appareil flambant neuf avait il put tombé en panne ?
Le docteur Robinson regarda Maeva avait beaucoup d' interrogation,ce n'est pas la première fois qu'un incident de ce genre se produisait alors que Maeva était sur les lieu le docteur se refusera de croire que Maeva puissent en être a l'origine , pourtant l'incident du climatiseur était encore très vif dans sa mémoire.
Comment Maeva aurait-elle pu faire ça ?
Une seule chose de sur ce nouvel incident 'allait pas arranger les affaires du docteur Robinson et de Maeva,et ceci le docteur Holstein allait y mettre un point d'honneur.
chapitre 21 combat en Suisse 1/2
17 janvier 2005
"Et pour finir les différentes particules atomiques sont décomposés et projetés dans cette chambre à une vitesse quasiment égale à celle de la vitesse de la lumière"
C'est vraiment intéressant fit l'homme a Mr Morel
Bien entendues ces simulations sont entièrement contrôlées par ordinateur fit Mr Morel.
Et je suppose que tout ceci se passe dans ce caisson demanda la femme.
Mr Morel : vous avez vu juste Miss Parker,les parois qui le constitue sont en fait des éléctro-aimants très puissants qui nous permettent d'orienter et de contrôler la vitesse des atomes et tout ceci à une vitesse quantique contrôler de façon extrêmement précise par notre super calculateur.
Miss Parker : d'ailleurs puisque vous en parlez nous aimerions le voir votre super calculateur.
Ça tombe bien j'allais également vous le demander,mais encore une fois je vois que ma collègue a été plus rapide que moi fit L'homme en regardant Miss Parker
Miss Parker : pour une fois nous sommes d'accord.
Mr Morel : il n'y a aucun problème c'est par ici,veuillez me suivre
Miss Parker : je vous en prie passer devant
Sans plus attendre la personne répondant au non de Mr Morel passa devant et invita ces deux visiteur a le suivre dans les acarnes du sous sol,c'est avec beaucoup d'entrain que le jeune homme leur montra le reste de l'installations.
Mr Morel : je suis assez flatté de l'intérêt que vous portez à ce projet,il est rare d'habitude que des non scientifiques soit aussi intéressée par mes recherches
Mr Powell : c'est que le sujet est passionnant
Miss Parker : nous ne sommes pas seulement des partenaires financiers ou des vendeurs d'assurance nous sommes très intéressés par le développement technologique et le marché de la micro puce est un sujet des plus passionnant vous savez.
Mr Morel : c'est en effet un domaine des plus intéressants ce sera donc avec un grand plaisir que je vais vous montrer le prototype que j'ai créer.
Mr Powell : docteur Morel nous nous suivons
Mr Morel : je vous en prie je ne suis pas encore docteur, je passe ma licence que cette année.
Miss Parker : certes nous n'avez pas encore le titre de docteur mais cela n'empêche pas que vous etes déjà quelqu'un de très réputé dans le domaine dont j'espère que vous n'y voyez aucune flatterie de notre part si nous vous considérons comme telle.
Mr Morel : je ne vous cacherai pas que cela est assez plaisant a entendre
Au termes de leur visite les trois individus finir par arriver devant une grande porte métallique ,a l'aide d'un passe magnétique le jeune garçon déverrouilla à la porte blindée, celle-ci s'ouvrit automatiquement
Après vous je vous en prie leur fit Mr Morel.
Il entrèrent tous les uns après les autres dans une autre pièce du bâtiment un peu plus sécurisé que les autres,c'était un autre laboratoire dans lequel on avait installer une machine qui s'apparentait à un super calculateur, mais sa conception était beaucoup plus artisanal, mais nul doute a avoir sur le fait que cette machine était un super calculateur quantique se fut avec la plus grande fierté que Mr Morel présenta à ses invités son invention.
Mr Morel : Mesdames et Messieurs je vous présente mon super-calculateur quantique
La machine qui était en face des personnes était certes moins impressionnante que les super-calculateurs d'ordinaire cette machine était très expérimentale de par sa forme, des câbles pendaient de partout et aucun couvercle ne fermait les flancs de cette machine, par la suite les trois personnages passèrent dans une autre pièce au plafond très bas dans celle-ci tout un système de contrôle avait été installé ici au milieu de la pièce il y avait une sorte de grandes cuves semi transparentes dans laquelle baignait une sorte de cylindres de couleur argent,
Mr Morel leur expliqua de quoi il s'agissait.
Ceci est le coeur du système leur dit Mr Morel en désignant la cuve.
De quoi s'agit demanda Mr Powell.
Mr Morel : dans cette cuve ce trouve le micro processeur de mon super-calculateur
Miss Parker : votre super calculateur !!.. si je comprends bien c'est vous qui l'avez entièrement fabriqué.
Mr Morel : avec le concours de quelques autre scientifique et étudiant nous avons construit ce prototype, mais a la base j'en suis l'inventeur.
Mr Powell : c'est vraiment impressionnant.
Et le mot était faible, le jeune qu'ils avaient en face d'eux devait a peine avoir 25 ans et déjà a lui seul il avait établis tous les plans d'un système informatique très complexe, ce qui lui avait valu de son entourage le surnom de Einstein de l'informatique
Mais la conception d'un telle système ne pouvait pas se faire tous seul et Mr Morel avait obtenu des aides extérieur.
Miss Parker : mais dites moi Mr Morel concevoir un tel système est plutôt onéreux
Mr Morel : oui mais grâce à de généreuses subventions j'ai réussi à fabriquer ce prototype
Miss Parker : si je comprends bien certaine personne croie en votre projet
Mr Morel : c'est le cas
Mr Powell : ce sont des industriels je suppose
Mr Morel : non ! en général ce sont des scientifiques où des bureaux d'études qui m'ont permis d'obtenir le financement adéquates.
Mr Powell : pas de société privée.
Mr Morel : jamais
Mr Powell : voila qui est étonnant, d'habitude les gens ne crache pas sur les offres que certaine entreprise leur font.
Mr Morel : oui mais après je risquerait de devenir redevable auprès d'elle et ça je ne le veut pas.
Vous êtes totalement indépendant fit Mr Powell
Mr Morel : ce n'est pas toujours facile, mais au moins les recherches qui sont faite serve les intérêt de la science et non pas ceux de quelque profiteur égoïste.
Mr Powell : vous êtes un peu idéaliste vous.
Disons que j'ai ma conception de ce que doit être la science fit le jeune homme.
Mr Morel était vraiment un homme avec un sacré caractère, il avait toujour refuser que des société privé le finance, car il estimait que ces gens ne ferait que utiliser ces découvertes a des but mercantiles, il était un farouche opposé au brevet qu'il considérait comme une abérance, mais il avait du faire des compromis pour pouvoir financer son projet sans pour autant céder sur l'essentiel.
Mr Morel : pour financer mes recherches je collabore avec d'autres laboratoires
Mr Powell : si je comprend bien vous vendez vos service a d'autres.
Mr Morel : c'est exactement ça.
Mr Powell : et quelle genre de service proposez vous.
Mr Morel : des simulations et des pronostic.
Mr Powell : et vos résultat sont ils fiable.
Mr Morel : j'ai un taux de réussite de 98.86 %
Miss Parker : 98.86 % c'est très l'impressionnant
Mr Powell : et les 1.14 % restant c'est quoi
Mr Morel : des variables aléatoire totalement imprévisibles
Mr Powell : je vois... enfin je crois.
Mr Morel : des événements chaotique si improbables qu'ils sont assez minimes.
Mr Powell : c'est plus claire
Miss Parker : voyons Mr Powell c'est pourtant évident a comprendre
Mr Powell : parler pour vous, c'est vous la scientifique pas moi.
Trois jours maintenant c'étaient écoulés depuis l'ultimatum qu'avait imposée W,conformément aux exigences qui avaient été formulées par ce dernier, le colonel et le major avaient tous deux été remis sur la mission.
les coordonnées que leur avait transmis W les avaient emmenés jusqu'en Suisse et plus précisément à L'EPFL de Lausanne, afin de passer inaperçues ils avaient du Ré-endosser leur précédente identité d'agent d'assurances,une fois arrivée sur place ils avaient fait la rencontre d'un certain Benjamin Morel.
ils apprirent rapidement que cet étudiant de 24 ans était l'inventeur d'un prototype soi-disant révolutionnaires de super-calculateur quantique.
la présence d'une telle machine en ce lieu ne pouvait pas être considéré comme un détail anodins puisqu'elle constituait toujours l'objectif favori de l'organisation Xana.
Et si W. ne leur avait pas menti une attaque était imminente,dans cette optique le major c'était rendu sur place avec l'un de ces prototypes de boîtier filtre qu'elle avait mise au point ces derniers mois.
Elle avait la ferme intention de l'installer sur cette machine afin d'enrayer une nouvelle attaque de leur ennemi.
Sa présence seule aurait suffi mais W. avait bien assisté pour que le colonel Pérec soit présent durant cette opérations, l'état-major français ne voulant pas prendre le risque que ces informations soient divulguées avait dû céder à la menace,ce qui avait conduit les deux officiers à travailler de nouveau ensemble.
On pourrait noter que les retrouvailles n'ont pas été des plus chaleureuses entre les deux,même au bout de trois mois de mise à pied le major était toujours égal à elle-même alors que le colonel lui semblait particulièrement ravi de pouvoir retravailler avec sa coéquipière même si celle-ci ne dédaignait pas lui montrer un quelconque égard.
Mais que ce soit l'un ou l'autre tout deux avait été réintégré sur cette mission est il devrait tant bien que mal faire équipe.
mais vu le caractère spécial de cette mission ils ne furent pas les seuls à se rendre sur place,l'enquête allait être supervisée par leurs supérieurs,pour cela un troisième élément avait été attaché à leur équipe il s'agissait ni plus ni moins que du lieutenant Fraggle.
tout le monde avait encore en mémoire la catastrophique opération qui c'était déroulée à l'université de Londres pour éviter que cela ne se reproduise,le lieutenant allait gardait un oeil sur l'opération en cours.
il était convenu qu'il resterait en arrière plan afin de ne pas attirer les soupçons,un micro avait été placé sur les vêtements du colonel et du major ainsi le lieutenant pourrait garder une trace de tous ce qui serait dit ou fait au cas où il faudrait de nouveaux faire face à une situation de crise.
Avant de débuter cette mission un briefing avait été effectué les deux agents était prié d'agir avec le plus grand tacte possible afin d'éviter de provoquer des dégâts,mais si ce que W. leur avait dit était vrai il fallait s'attendre prochainement à une attaque sur ce site est ils ne faisaient nul doute que la cible n'était autre que le super-calculateur créé par Benjamin Morel,par mesure de précaution il avait été convenu que le major devrait installer un système de protection sur ce super-calculateur expérimental pour cela ils avaient discrètement obtenu le concours du responsable de L'EPFL qui avait été mis au courant qu'une certaine menace planait sur son établissement sans pour autant lui donner plus de détails.
Ce fut donc en ce début de matinée que les deux agents prirent contact avec le responsable du projet,derrière celui-ci se trouvait un jeune étudiant du nom de Benjamin Morel,ce brillantissime garçon était un scientifique hors-pair dans le domaine de la physique quantique,
malgré son jeune âge il avait déjà reçu la proposition de nombreuses entreprises qui désiraient avoir recours à ces services,mais ce dernier avait toujours refusé ces offres,avant tout il préférait passer son doctorat afin de pouvoir valider ces thèses.
D'après les informations qu'ils avaient sur lui,il avait inventé un nouveau prototype de cartes à puce extrêmement révolutionnaire, ce jeune homme était particulièrement brillant il avait à lui seul réussit à construire un super-calculateur quantique basé sur ces propres théories.
Bien sûr créer une telle machine représente un coût important,pour financer ces expériences il avait accepté de collaborer à certains projets scientifiques,ainsi le super-calculateur qu'il avait créé lui servait à effectuer des tests et des simulations pour certain bureau privées qui en retour lui fournissaient des fonds pour ses expériences, il devait principalement effectuer des mesures à l'aide de chambres radioactives qui lui avaient été généreusement prêtées par certaines entreprises.
Cet échange de bons procédés,lui avait permis de construire une machine assez perfectionner bien que de conception assez artisanale,par chance ce jeune homme avait bénéficié de l'appui d'un mécène particulièrement influent qui avait joué sur ses relations pour permettre au jeune homme de concrétiser ses rêves.
Maintenant il avait a sa disposition une machine assez puissante,et c'est non sans fierté qu'il se plaisait à la montrer à toutes les personnes qui lui rendaient visite.
il a été très flatté de l'intérêt que pouvait lui porter deux agents d'assurance venu de Londres,surtout que ceux-ci lui avaient été chaudement recommandés par son mécène,bien sur ce détail n'avait pas été évoqué par le jeune homme.
les trois individus se trouvaient dans la salle du coeur du super-calculateur,là ils remarquèrent la présence d'un autre scientifique entrain de travailler sur la machine à l'arrivée des visiteurs il se leva pour présenter ces salutations ce fut M. Morel en priorité qui fit les présentations.
Mr Morel : Miss Parker. Mr Powell je voudrais vous présenter mon ami est assistant sur ce projet.... Arthur Picard.
Sans plus attendre le jeune homme répondant au prénom de Arthur abandonna sa tâche pour venir saluer les invités,c'est avec beaucoup de courtoisie qu'il serra la main de chacune des personnes présentes toutefois le nom de famille qu'il portait interpella le major
Miss Parker : Picard...Picard est-ce que vous auriez un lien de parenté avec la famille Picard par hasard.
à ce moment-là le jeune homme regarda la femme avec un air désabusé comme si l'innocente question que venait de lui poser le major l'avait exaspéré,celui-ci prit aussitôt la parole pour répondre à son interlocuteur
Miss Parker je serai clair je n'ai aucun lien de parenté avec les célèbres explorateurs,aventuriers et scientifiques suisses lui répondit assez sèchement le jeune homme.
Miss Parker : veuillez m'excuser mais le nom est si célèbre que j'aurais cru que...
Mr Picard : ne vous excusez pas assez normal on me le fait a chaque fois ce coup la
Miss Parker : c'est vrai que le nom peut prêter à confusion.
Mr Picard : vous n'imaginez pas miss Parker le nombre de personnes qui ont cru que je faisais partie de cette famille.
Sans compter celles qui te confonde avec le capitaine de l'entreprise lui fit alors benjamin.
ou celles qui pourrait faire le rapprochement avec la marque de surgelés lança alors Mr Powell.
à cet instant Miss Parker, M. Morel et M. Picard regardèrent assez méchamment le colonel, se rendant compte qu'il venait de lancer un froid sur la discussion celui-ci préféra ne rien ajouter en se pensant qu'il aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler
Quand le sérieux fut revenu Arthur interpella alors Benjamin sur un petit problème
Tu tombes bien Benjamin figures-toi qu'on a un petit problème
Mr Morel : quel genre de problème.
Mr Picard : un problème bénin avec la chambre de simulation numéro 2
Mr Morel : et qu'est-ce qui se passe ?
Mr Picard : je pense qu'il faudrait effectuer un test sur les bobines de conduction magnétique
Mr Morel : il y a un encore un problème de déphasage
Mr Picard : et oui encore...
Les deux scientifiques se mirent alors à discuter sur des problèmes techniques délaissant quelque peu leurs invités,cela ne les dérangea pas outre mesure car ça leur permit d'avoir un petit peu de temps pour eux ils firent discrètement le tour de l'installation, celle-ci avait été mis dans ce qui semblait être un ancien abri antiatomique il fallait savoir que la Suisse était très réputée pour sa part dans ce genre d'installation, chaque construction d'après-guerre avait été équipée de ce dispositif et l'université de Lausanne ne faisait pas exception à la règle mais avec le temps beaucoup de ces installations avaient reconvertis en laboratoire par des étudiants, ce fut le cas pour Benjamin Morel qui avait choisi de construire son super-calculateur expérimental dans ce vieux local
Quand il eut fini de régler le problème avec son assistant Benjamin Morel reprit la présentation de son prototype auprès de Mr Powell et Miss Parker
Mr Morel : veuillez m'excuser pour ce petit contretemps imprévu
Mr Powell : ce n'est rien nous avons l'habitude vous savez.
Miss Parker : toutefois si vous pouvez continuer un peu la présentation de votre projet
Mr Morel : c'est vrai qu'on était déjÃ
Mr Powell : vous vouliez nous parlez de votre coeur informatique
Mr Morel : c'est juste, alors ce coeur et le micro-proceseur de gestion de l'ordinateur c'est par lui que transit tous les informations
Mr Powell : et la cuve sa sert a quoi
Mr Morel : a refroidirent les matériaux supra-conducteur et a contrôler la réaction nucléaire
Mr Powell : nucléaire !! dois je comprendre que vous manipuler du matériel nucléaire.
Mr Morel : d'une certaine manière oui,mais il s'agit plutôt d'onde et de particules
Miss Parker : vous le faite a partir des chambres de test qu'on a vu en entrant.
Mr Morel : elle sont équipe de canon a particules, qui projette dans la chambre des particules. Miss Parker : et je suppose que les émission de particules sont contrôler par votre super-calculateur
Mr Morel : bien sûr meme si celui ci est encore un prototype qui est encore loin d'être achevé.
Mr Powell : j'espere que cette zone est plutôt bien protégée
Mr Morel : s'est obligatoire à cause de la radioactivités,par mesure de précaution la salle de contrôle est totalement isolée du reste de l'installation.
Mr Powell : y a-t-il un risque d'explosion ou de contamination.
Mr Morel : je vous rassure de ce côté-là toutes les précautions ont été prises,et à moins que vous ne soyez enfermés dans la chambre radioactive il n'y a aucun risque d'irradiation.
Mr Powell : présenter comme ça c'est plutôt rassurant
Mr Morel : croyez-moi vous courez plus de risques à être en contact avec le coeur du super-calculateur qu'avec une chambre radioactive
Miss Parker : vous ne parlez de l'espèce de container plein de fumée
Mr Morel : " le container de la fumée" comme vous l'appelez est en fait un bain d'azote liquide dans lequel sont plongés les supra-conducteur qui constituent le coeur du super-calculateur
Miss Parker : c'est le coeur de votre prototype principal
Mr Morel : je vois qu'on ne peut rien vous cacher Miss Parker,en effet vous avez vu juste,c'est dans ce bain que se trouve la puce qui gère tout le système
Miss Parker : et l'azote liquide sert à le maintenir à basse température
Mr Morel : tout à fait c'est pour éviter les risques de surchauffe
Mr Powell : toutefois pour une puce je trouve qu'elle est plutôt énorme
Mr Picard : c'est un cylindre de 1 mètre 50 de haut pour un diamètre de 60 cm à l'intérieur duquel a été intégré des centaines de circuits supra-conducteur.
Mr Morel : à l'état actuel des choses je ne peux pas encore assez sûre au stade de la miniaturisation,mais une fois que ce sera terminé ce ne sera qu'une question de temps,par la suite nous pourrons produire un modèle de micro plus particulièrement révolutionnaire
Mr Powell : a ce point la ?!
Mr Morel : bien entendu ce système de puce n'aura pas son équivalent, avec ça l informatique va connaître un nouveau bon en avant.
Morel vanta alors les incroyable caractéristique de ce nouveau micro-proceseur, les capacités de celui serait phénoménales est permettrait de faire une avancer prodigieuse a l informatique, les deux agents n'était pas si impressionner que ça par le discours légèrement passionner du jeune homme,mais tous bascula quand le colonel posa une innocente question.
Mr Powell : et cette petite révolution technique vous lui avez trouver un nom
Mr Morel : bien sur que oui et sans vouloir verser dans le commercial jour j'en ai un qui conviendra parfaitement.
Mr Powell : c'est-Ã -dire
Micro-proceseur d'appoint Quadrihoppes..... M.A.Q répondit alors le jeune homme.
Le mot Quadrihoppes ne laissa pas de marbre les deux agents qui se regardèrent l'un l'autre à cet instant, comment ce jeune homme avait il put penser a telle noms ?
Quadrihoppes !! fit le colonel
Micro-proceseur d'appoint Quadrihoppes M.A.Q...c'est le noms complet fit Mr Morel
Miss Parker : voilà un nom pour le moins original
Mr Powell : oui et je trouve qu'il n'est pas spécialement vendeur
Mr Morel : je ne trouve pas ils représentent assez bien le principe de fonctionnement de ce microprocesseur ainsi que la propriété de celui-ci
Mr Powell : de quelques particularités parlez-vous
Mr Morel : avec un tel système de microprocesseurs nous sommes en mesure de multiplier la puissance par quatre de n'importe quelles machines
Mr Powell : par 4.
Mr Morel : par 4 d'où le noms de Quadrihoppes, avec la racine Quadri pour 4
Miss Parker : et le Hoppes ?!
Mr Morel :je ne sais pas mais sa fait jolie.
Miss Parker : donc si je vous comprends bien vous êtes l'inventeur du noms Quadrihoppes
Mr Morel : d'une certaine manière oui
Mr Powell : comment ça d'une certaine manière ? que voulez-vous dire ?
Tu veux leur dire lui dit Arthur
Mr Morel : Pourquoi pas après tous il finiront par le savoir
Miss Parker : savoir quoi
Mr Morel : pour être honnête avec vous si la plupart de mes théories n'ont permis de construire ce microprocesseur je me suis inspiré et même j'ai travaillé sur la base de travaux d'un autre scientifique.
Mr Powell : vous êtes inspiré d'autres travaux.
Mr Morel : j'ai travailler de concert avec un autre scientifique
Miss Parker : c'est lui qui a inventer cette puce.
Mr Morel : non c'est moi , mais je dois reconnaître qu'il m'as beaucoup aider a la concevoir disons que pour la petite histoire c'est même lui qui ma suggérer ce nom
Mr Powell : voila qui est très intéressant, et de qui s'agit il
Mr Morel : vous en avez sûrement entendu parler, il s'agit du professeur Sigmund Kessel
Mr Powell : je regrette jamais rien entendu parler de ce monsieur Sigmund Kessel
Mr Morel : vous me surprenez la, il est pourtant un pionnier en ce qui concerne la recherche sur la physique quantique.
Mr Powell : je regrette ça me dit rein et vous Janet
Miss Parker : a moi non plus.
Mr Morel : remarquer sa peu se comprendre il n'as pas vraiment fait parler de lui depuis des années.
Miss Parker : ce serait donc un monsieur très discret alors.
Mr Morel : disons qu'il n'aime pas trop le public
Mr Powell : dois je comprendre que vous avez collaboré avec ce monsieur sur ce projet
Mr Morel : indirectement oui
Miss Parker : que voulez-vous dire ?
Mr Morel : à chaque fois que je butai sur un petit problème technique je lui faisais part de mes observations et aux miracles il arrivait à me trouver une solution,je peux dire qu'il m'a beaucoup aidé.
je dirais plutôt orienter fit alors mis Parker
Mr Powell : orienter !!
Mr Morel : aider ou orienter quelle importance, lui est moi avions des théories similaires, bien sûr jusqu'à présent ces théories n'étaient que théoriques,mais grâce à notre collaboration j'ai réussi à rendre possible ces théories.
Miss Parker : il vous a beaucoup aider a ce que je vois.
Mr Morel : sans lui je ne serais sûrement jamais arriver à créer tout ceci.
Mr Powell : et dites moi ce Mr. Kessel à ce que nous avons une chance de pouvoir le rencontrer
Mr Morel : difficile a dire il ne vient ici que très très rarement, cela fait pratiquement huit mois que je ne l'ai par revu.
Miss Parker : dans ces cas comment faites vous pour collaborer
Mr Morel : Nous communiquons énormément à Internet et c'est toujours lui qui me contact
Mr Powell : il a donc une adresse Émail.
Mr Morel : non il communique de façons anonymes
Miss Parker : la voilà qui de plus en plus intéressant.
les révélations que venait de faire Benjamin Morel était des plus intéressants s'il apparaissait évident qu'il était l'inventeur de ce super-calculateur,mais qu'il est réussi a créer un système de puce a Quadrihoppes pouvait paraître étonnant.
Le major et le colonel se doutait bien que benjamin servait d'intermédiaire,ces travaux sur les micro puces lui était visiblement inspiré par une autre personne.
Et cette personne s'appelait Sigmund Kessel, qui pouvait donc être ce mystérieux Professeur Kessel ? qui soi-disant donnait un coup de main à ce jeune homme, il serait sûrement nécessaire de mener une enquête sur ce monsieur.
Par la suite Benjamin continua a donner des explications aux deux agents sur le principe de fonctionnement de ces micro puces, alors que la visite se poursuivait sans problème , le jeune scientifique reçu un coup de téléphone le priant de venir en salle de conférence numéro 3, ne pouvant se soustraire a cette obligation il du délaisser ces invités, ce fut donc Arthur qui prit le relais.
Le major voulu faire un tour plus complet du reste du bâtiments,afin de se familiariser un peu plus avec le reste de l'installation, le colonel décida de rester dans la salle du super calculateur pour y faire quelque discrete photos ,Arthur n'y vit aucune objection car leur absence ne durerait pas plus de 5 minutes.
Accompagné du major Arthur partis dans une autre ailles du sous sol laissant sur place le colonel,maintenant seul dans la pièce le colonel s'approcha de la machine pour la voir de plus près.
Sans être un technicien chevronnée le colonel vit bien que cette imposante machine était encore assez expérimentale, mais se qui le tracassait dans tous ça , c'était de se dire que si celle-ci venait également à tomber sous le contrôle de l'organisation Xana elle pourrait causer des catastrophes surtout que la dernière fois où ils sont aller a l'université sa c'était plutôt mal terminer.
Mais cette fois si la machine se trouvait dans un abri antiatomique une explosion aurait la chance d'être contenu. car cette appareil fabriquer de bric et de brac ne serait peut être pas capable de supporter une décharge d'énergie,il faudrait donc être particulièrement vigilant.
A ce moment la un homme fit son entrée dans la pièce celui-ci portait une blouse blanche le colonel ne fit pas particulièrement attention a cette homme qui devait sans doutes être un laborantins.celui allaa vers une table a essai en métalique qui meublait le laboratoire d'analyse.
Alors que le colonel observait les cylindre en chrome qui servait a transporte le liquide de refroidissement dans le système il entra-perçu d'un seul coup le reflet de l'homme qui semblait sortir quelque chose de sous sa blouse pour le pointer en direction du colonel , ce dernier eut juste le réflexe de s'écarter avant qu'une balle ne perfore l'un tubes de métal, le colonel roula alors sur le côté et l'homme commença a tirer d'autres coups avec son arme, les balles allèrent se loger dans le bureau métallique derrière lequel le colonel venait de se réfugier
Bon sang c'est quoi ça dit le colonel
A première vue quelqu'un avait décide de le tuer, le colonel se saisie également de son arme et fit alors un saut sur le côté pour essayer d'atteindre son adversaire, mais celui ci venait de se mettre à l'abri derrière un bureau maintenant les deux hommes était présent dans la salle et chacun essaie d'atteindre l'autre.
Le colonel ne comprenait pas ce que ce type pouvait bien lui vouloir si ce n'est qu'il essayait de le tuer, de son côté-là l'homme avait mis un silencieux sur son arme pour ne pas attirer l'attention mais maintenant qu'il avait louper sa cible la partie se corsait pour lui, et pas moyen de fuir par la porte celle ci serait trop longue a ouvrir ce que faisait des deux une cible facile, il fallait donc en finir avec l'autre avant.
Pour se sortir de cette situation le colonel utilisa une ruse pour le moins particulière il prit une fiole poser sur le bureau et la lança contre le mur pour faire diversion le type sortie de sa cachette aussi de braquer vers le bruit,aussitôt le colonel en profita et visa son agresseur au niveau du bras.
Le colonel fit mouche en un seul coup la balle se logea dans le bras du type qui relâcha son arme, désarmer il ne pouvait plus rien faire le colonel maintenant le tenait en joue, a genou sur le sol et en se tenant le bras le meurtrier ne pouvait plus nuire.
Ne bougez plus lui lança le colonel.
Mais le meurtrier ne pouvait pas faire grande chose sinon qu'obeir aux ordre de l'officier,mais alors que la situation semblait sous contrôle un signal d'alarme commença à résonner dans la pièce ,la machine venait de s'emballer subitement, tous les voyant était dans le rouge, et sans crier gare toute la surface de la machine fut parcouru d'éclair.
Ce que vit le colonel a se moment fini de lui faire peur, sur un des écran de contrôle le symbole de Xana venait d'apparaître, avant même qu'il eût le temps de faire quoi que ce soit des éclairs jaillirent de la machine pour frapper la première personne qu'ils trouvèrent à proximité le criminel fut touché par cette décharge, aussitôt tous sont corps se mit à vibrer et à se brouiller.
Oh non pas encore fit le colonel.
A cette instant la seul chose que l'unique caméra encore fonctionnelle put voir,c'est le corp du colonel jeté contre les parois de la chambre de simulation numéro 2 , inconscient sur le sol de la chambres d'isolement radioactive le colonel était a la merci du possédé qui contre toutes attente se contenta de fermer la porte et de verrouillé le sas d'accès faisant du colonel son prisonnier, le possédé procéda ensuite à des manipulations sur le terminal d'accès de l'ordinateur....
A suivre
chapitre 21 ma chérie
10 septembre 2005
Vous êtes prêts Dr Hopper fit la voix dans le micro.
Je suis prêt fit Anthea avec une certaine hésitation dans la voix.
Dans le laboratoire numéro 4 de la section 5 Anthea se trouvait devant un scanner de virtualisation, l'expérience qui allait être tentée aujourd'hui allait être une des plus délicates qui soit, en effet le Dr Kinsley était sur le point de tester son programme de virtualisation sur un être humain.
Après des années d'efforts et de recherche il était enfin parvenu à mettre au point un procédé de virtualisation, programme et scanner était enfin près,ces derniers jours il avait pu entamer des phases d'essais.
Les premières expériences ont donné des résultats plutôt positifs,les différents cobayes qui jusqu'à présent avaient été utilisés n'avaient subi aucun problème, leur structure moléculaire avait réussi à être désintégré pour être réintégré dans un univers virtuel.
Le processus de virtualisation était techniquement au point grâce au code source que Simon Watson avait fourni au Dr Kinsley ce dernier avait pu progresser de façon considérable dans ses recherches il avait réussi à mettre au point un protocole de transfert des masses physiques dans un environnement virtuel
le procédé inverse était également possible à partir du code génétique du modèle scanner, le docteur Kinsley était en mesure de le ramener sur Terre et ceci sans le moindre dégât physique.
Mais si la taille et la nature des cobayes n'avait pas posé de problème d'éthique particulière au Dr Kinsley la perspective de le tester sur un être humain était beaucoup plus délicate,ce dernier était encore hésitant à vouloir procéder à une telle expérience.
le Dr Kinsley savait que malgré la réussite des précédents essais la mise au point des scanner était encore assez approximative,mais pressé par sa hiérarchie on ne lui avait pas encore laissé le temps de développer parfaitement cette technologie qui à l'origine avait été créée par le premier mari du Dr Hopper.
Cela faisait bientôt 15 ans que le Dr Kinsley travaillait dessus sans relâche jusqu'à présent ces résultats n'avaient pas été satisfaisants si il savait transformer de la matière en énergie il ne savait toujours pas comment la reformer dans un endroit virtuel mais les protocoles que Simon lui avait fourni était du pain bénit car ils avaient complété ses théories, grâce à ceci le Dr Kinsley avait au moins gagné de 10 ans de travail d'un seul coup.
Même si d'un certain point de vue sa théorie présentait encore quelques incertitudes du côté pratique quant à la réussite de la matérialisation,les tests sur de petits cobayes s'étaient toujours soldés par une réussite à 100 % .
mais le test sur être humain c'était tout autre il fallait trouver maintenant quelqu'un qui aurait voulu se porter volontaire pour une telle expérience est ce jour-là quel ne fut pas la surprise du Dr Kinsley de voir que le Dr Hopper fut la première à se porter volontaire pour cette expérimentation.
Les motivations de Anthea n'étaient pas compliquées à deviner elle voulait avant tout retrouver sa petite Tanit sur Neo-Carthage a défaut de la voir sur terre.
Le désir de pouvoir serrer sa petite fille dans ses bras étaient plus forts que tout, cette seule raison avait suffi à la convaincre d'accepter malgré les risques elle n'avait pas hésité à tenter l'expérience et à prendre place dans le scanner expérimental.,maintenant Anthea n'attendait plus que le feu vert du Dr Kinsley.
Alors qu'il était dans la salle de contrôle accompagné de Simon Watson le Dr Kinsley ne pouvait s'empêcher d'avoir quelques hésitations, ce qu'il s'apprêtait à faire était très risqué de plus vouloir envoyer sa propre scientifique en chef dans un monde virtuel n'est pas chose aisée, il y'a tellement de paramètres donc il faut tenir compte, la moindre erreur pourrait etre fatal a la femme.
Le vieux scientifique avait beau relire les résultats des tests précédents il savait que cette opération comportait des risques mêmes si durant celle-ci Tanit allait prendre le contrôle de la virtualisation,le risque zéro ne pouvait pas être exclu.
Toutefois Anthea avait une confiance aveugle en Tanit,elle savait que sa fille virtuelle ferait tout pour que sa mère arrive à bon port,et afin de calmer les angoisses du docteur Kinsley, Anthea avait pris soin de signée une décharge vis-à -vis du Dr Kinsley le dégageant de toute responsabilité en cas d'accident, sa ne suffisait pas a calmer les angoisses du docteur meme si cela le protégeait des foudres de Henry Hopkins
Mais le temps n'etait plus au divergence d'opinions et ethique, déjà la porte du scanner venait de s'ouvrir et Anthea demeurait devant a attendre la suite des ordres de la salle de contrôle
Vous êtes sur de vouloir y aller demanda le docteur Kinsley au travers du micro
Ma décision est prise et personne ne me fera changer la vie fit Anthea.
Dr Kinsley : alors très bien,veuillez vous tenir prêt Dr Hopper
Sans plus attendre Anthea grimpa à l'intérieur du scanner, celui-ci était une immense boîte métallique de trois mètres de haut sur environ quatre mètres de large dont le dessus était relié à de gros câbles ce modèle primitif de scanner était assez expérimental,ce caisson avait été posé dans la salle de transfert celui-ci était contrôlé depuis une autre salle de contrôle dans laquelle se trouvait Simon et le Dr Kinsley.
le Dr Kinsley lança alors le processus de virtualisation les portes se refermèrent sur le Dr Hopper à partir de ce moment-là le processus allait être activé et rien ne pourrait l'interrompre c'est Tanit en personne qui prendrait l'intégralité du contrôle elle gérerait l'ensemble des phases de désintégration et de réintégration.
Processus de transfert engagé fit alors le Dr Kinsley
Dans le tube des milliards de lumières commencèrent à parcourir le scanner pour analyser toute la structure moléculaire de Anthea devant leur poste Simon et le Dr Kinsley assistait à la progression de l'opération
Phrase de scanner en cours dit alors le le Dr Kinsley
Une fois que le processus fut terminé la scanner le Dr Kinsley n'avait qu'à presser une seule touche pour lancer le processus de virtualisation, non sans hésitation il appuya sur le bouton c'est alors qu'une explosion se produisit à l'intérieur même du scanner, le corps de Anthea fut complètement désintégré et transformé en énergie qui fut projeter à la vitesse de la lumière aux travers des réseaux électroniques du système sur le deuxième écran le scientifique vit alors une forme numérique apparaître.
Anthea était en train de se matérialiser,une enveloppe commença à se former des pieds à la tête sur Neo Carthage,quand elle ouvrit les yeux Anthea vit qu'elle était au milieu d'une énorme structure composée de hautes colonnes baignant dans une lumière orangeatre teinter d'ombres.
Le premier réflexe de Anthea fut de regarder ces mains et l'intégralité de son corps,qu'elle ne fut pas sa surprise par ce qu'elle vit,elle porta ses doigts à son visage pour le caresser est dut rapidement se rendre à l'évidence elle était entrain d'exister sous une forme numérique,le transfert avait réussi.
elle prit alors le temps de s'examiner, elle vit qu'elle portait une grande rampe blanche et ses cheveux étaient devenus beaucoup plus longs que d'habitude sur sa tête elle pouvait sentir qu'un diadème avait été posé,Anthea ressemblait à s'y méprendre à une déesse antique,bien que sur certains aspects ça tenue était un peu animal,certains traits l'apparentait à un cygne blanc.
elle fut tirée de ces contemplation quand elle entendit un appel qui venait des cieux, il s'agissait d'une voix très familière Anthea la reconnu tout de suite.
C'était le Dr Kinsley qui lui parlait au travers du micro pour savoir si tout c'était bien passé,sur les écrans d'ordinateurs il était apparu que Anthea était arrivé sans le moindre problème,mais le scientifique voulait en avoir la confirmation.
Docteur Hopper est ce que tous va bien lui demanda le Dr Kinsley
rassurez-vous docteur tout s'est bien passé,nous avons réussi fit Anthea.
Quel soulagement de se cela ne fut-il pas pour le Dr Kinsley de voir que le processus avait réussi et que finalement tout c'était bien passé,le Dr Hopper était arrivé sans problème dans le monde virtuel,de son côté aussi Simon était plutôt satisfait la réussite de cette expérience ne pouvait présager que de bonnes choses pour l'avenir.
Tous se passe bien Anthea lui demanda alors Simon
Il n'y a aucun souci fit Anthea.
Et maintenant qu'allez vous faire demanda Simon.
Anthea : et bien je vais....
.......................MERE ?!!!!.................................
C'est alors qu'au loin une timide voix se fit entendre Anthea fit alors un volte-face pour voir qui lui parlait,quelle ne fut pas la surprise pour la femme que de se retrouver tout d'un coup en face de Tanit.
sur le coup Anthea eut beaucoup de mal à y croire,devant elle se tenait sa fille,celle-ci c'était approchée de sa mère le plus discrètement possible sans faire de bruit.
Complètement paralyser par l'émotion aucune des deux ne savait quoi faire à ce moment la,elle ne pouvait que se regarder mutuellement,chacune des deux était en train de contempler l'autre avec un certain étonnement.
Anthea commença alors à s'approcher de Tanit elle posa alors sa main sur la joue impassible de la jeune fille qui observait sa mère,la sensation de contact ressenti ne fut rien en comparaison du bonheur qu'elle éprouvait Anthea venait enfin de toucher sa fille,par cette simple caresse des années d'attente et de solitude venait d'être balayé d'un seul coup.
Tanit ma petite chérie dit-elle à cet instant.
Sans plus attendre elle serra Tanit dans ces bras cette dernière en fit de même,cet instant était si merveilleux que rien n'aurait pu le gâcher,Anthea était aux anges alors que Tanit avait le regard brillant et pétillant de joie,sa mère chérie était enfin en face d'elle,pour la jeune I.A c'était une sensation totalement indescriptible ce qu'elle pouvait en déduire c'est que cela lui apportait un grand bonheur.
De son côté Anthea était si heureuse de voir sa fille qu'à ce moment-là le chantage que lui avait fait Simon lui semblait bien dérisoire, car au final celui-ci avait tenu sa parole il avait réussi à réunir la mère et la fille, en y réfléchissant cela valait bien le sacrifice que Anthea avait conçu de faire en laissant à Simon le droit d'avoir accès à Tanit.
Anthea : je suis si heureuse de pouvoir enfin te serrer dans mes bras
Tanit : moi aussi mère
Laisse moi te regarder fit Anthea
Anthea relâcha alors son étreinte pour admirer sa petite Tanit, mais si elle était habituer a la voir, cela ne c'était toujours fait qu'au travers d'un écran, mais la c'était très diffèrent, Tanit n'était plus du relief a l'image c'était ajouter le contact
Le toucher était une sensation qui faisait naître de nouvel émotions,et ceci Anthea aussi bien que Tanit l'avait ressentit au travers de cette simple accolade maternel.
Tu est plus belle que je ne le pensais encore lui fit Anthea.
Tanit : merci mère tu me fais plaisir
Anthea : tu est comme.. tu est... je ne trouve pas mes mots
Tanit : je suis ta fille.
Oui c'est ça fit Anthea
TU EST MA FILLE..... MA SEULE FILLE....
Tanit : j'en suis si heureuse
Anthea : et tu le peux ma chérie.. tu le peux....
La jeune intelligence artificiel était ravi, sa mère ,son créateur était fière d'elle,le docteur Hopper venait de lui témoigner un gage d'amour unique en faisant d'elle sa fille.
Cela comptait énormément pour Tanit qui aujourd'hui avait enfin remplacer sa grande soeur dans le coeur de sa mère.
Et pour rendre en retour cette affection Tanit voulu faire découvrir son univers a sa mère.
Viens avec moi mère je voudrais te montrer quelque chose lui dit Tanit.
Sans la moindre résistance Anthea pris Tanit par la main, Tanit emmena alors sa mère avec elle, la fille guidait la mère et non l'inverse, toutes deux avançaient le long d'un grand hall bordée par de lourdes colonnes qui caractérisaient le temple de Tanit, elle finir par arriver à la sortie de celui-ci, c'est alors que le spectacle qui se dessina sous les yeux de Anthea fut des plus magnifiques.
Anthea put découvrir les reliefs azuré du monde de Neo-Carthage, la ville était splendide elle avait le charme des cités méditerranéen d'autrefois au loin on pouvait voir les remparts qui constituait l'environnement virtuel de Neo-Carthage la ville antique avait été restituée dans ses moindres détails, ruelle et place public bordait temple et statue mythique le temple dans lequel Anthea était apparu était le temple central qui commandait tous les autres, sa taille immense était le symbole meme de la puissance de Tanit.
Alors c'est ici que tu habites lui demanda Anthea en regardant de plus près l édifice
Oui c'est si mon palais lui répondit Tanit
Je le trouve si somptueux je ne savais pas que tu vivais la dedans dit Anthea.
Voyons mère tu connais bien ce palais c'est toi qui l'a créé fit Tanit.
Anthea : je sais ma petite chérie mais même dans mes rêves les plus fous je n'aurais jamais pensé que je pourra le voir en vrai
Tanit : en virtuelle tu veut dire mère
Anthea : c'est vrai tu as raison
Le temple était certes magnifique mais malgré toute sa splendeur la plus belle splendeur était incontestablement sa fille qui était à côté d'elle, celle qu'elle avait renomme son petit ange aux cheveux violets celle quelle avait enfin pu serrer dans ses bras, le rêve de toute une vie passée venait enfin de devenir réalité. elle voulu prolonger cette instant mémorable elle voulut à nouveau prendre sa fille dans ces bras mais au moment même où allait la serrer contre son coeur , son corps fut parcouru de perturbations est un processus de dévirtualisation se produisit alors sous les yeux de Tanit en l'espace de quelques secondes seulement le corps de Anthea avait déjà explosé en milliers de particules.
Mère ou est tu demanda Tanit désormais seule au milieu de son temple.
Dans le laboratoire un bruit sourd se fit entendre et la porte du scanner s'ouvrit laissant échapper une fumée noirâtres s'est alors qu'un corp s'écroula au sol devant les yeux des deux hommes présent en salle de contrôle, aussitôt une équipe médicale fut dépêché le Dr Kinsley et Simon sortirent du laboratoire pour courir vers Anthea mais celle-ci avait déjà commencé à se relever et ne semblait pas particulièrement blessée.
Dr Hopper comment allez-vous lui demanda alors le Dr Kinsley.
Je suis un peu sonné lui répondit Anthea.
Les deux hommes aidèrent alors la femme à se relever et à tenir sur ces jambes il l'amenèrent alors à un endroit plus tranquille pour quelle puissent s allonger, le docteur Hopper demanda alors se qui c'était passer
Pourquoi je suis revenu demanda le docteur Hopper
Dr Kinsley :il semblerait que le transfert ce soit achever plus vite que prévu.
Anthea : mais je croyais que j'avais plus de temps.
Dr Kinsley :apparemment le processus est limité dans le temps
Anthea : mais une virtualisation ne devais pas être éternelle d'après vous.
Dr Kinsley : si mais il semblerais que le processus de retour soit automatique, c'est comme un système de sécurité
Anthea : alors la virtualisation n'est pas infini.
Le procède virtualisation de professeur Kinsley semblait être limiter dans le temps, un être vivant virtualisé ne pouvait pas rester indéfiniment sous une forme numérique,automatiquement des protocoles de sécurités s'activait qui ramenait l'être humains sur terre, en dépit de ce petit inconvénient le processus semblait au points Anthea avait réussi a être virtualisé su Neo Carthage et comble du bonheur elle avait put serrer sa petite Tanit dans ces bras
Dr Kinsley : tous vas bien
Anthea : sans problème un peu déboussolé mais ça va.
Simon : sinon commet c'est passer votre expérience
Anthea : magnifique j'ai rencontrer Tanit
Simon : nous le savons
Anthea : vous le savez !
Simon : il y a des communication vous avez oublier, on a pu suivre votre parcours sur Neo Carthage
Anthea : vous avez tous entendu
Dr Kinsley : presque tous
Anthea : et bin ça par exemple
Depuis la salle de contrôle le docteur Kinsley est Simon avaient pu suivre la touchante rencontre entre Tanit et se mère, si la rencontre était digne des plus belle histoire d'amour,mais au de la de la prouesse technique cetait surtout le fait que Simon avait tenu ces engagements , il avait promis que Anthea pourrais rencontrer Tanit et il avait honoré sa parole.
Simon : alors que ce que mon projet vous a satisfait
Anthea : au début j'avais quelques doutes mais maintenant vous m'avez permis de rencontrer ma fille.
Simon : et ce n'est qu'un début,par la suite nous ferons en sorte que Tanit puisse venir sur terre
Anthea : vous en seriez capable
Simon : mes équipes travaille dans ce but et nous espérons y parvenir.
Dr Kinsley : comment c'est possible
Anthea : vous auriez trouver le moyen de la matérialiser sur terre.
Simon : sachez que je ne vous pas donner tous les protocoles que j'avais a ma dispositions j'en est d'autres et ceux ci sont d'une importance capital.
Dr Kinsley : vous auriez donc entre vos mains les clés de la matérialisation
Simon : sa se pourrais.
Grâce au protocoles que Simon avait en mains il avait la possibilité de faire venir Tanit sur terre bien sur ce ci ne serait pas pour tous de suite,car il voulait que Anthea lui fournisse une contre partie en retour.
Ce que Simon voulait c'était avoir accès a Tanit,et maintenant que celui ci avait tenu ces engagements il voulait savoir qu'elle serait la réponse de Anthea.
Simon : Anthea puisse je compter sur votre appui maintenant ?
Anthea : je crois que j'aurais du mal a dire non, alors oui vous pouvez compter sur mon soutien.
c'est très très bien dis alors Simon avec un léger sourire en coin
Cette nouvelle ne pouvait pas faire plus plaisir a Simon, il venait d'obtenir le soutien de Anthea,Il était étonnant de voir que le Dr Hopper était devenu si conciliante vis-à -vis de Simon, il faut dire que celui-ci avait usé d'un argument pour le moins persuasif, pour obtenir ce qu'il voulait Simon avait fait du chantage à Anthea.
Mais un chantage très particulier puisqu'il avait offert à cette dernière la possibilité de rencontrer sa fille et sur ce point Simon avait tenu tous ses engagements.
Anthea ne pouvait donc plus rien lui refuser à ce moment-là en contrepartie elle avait donné les codes d'accès à la matrice de Tanit ce qui fait que maintenant Simon était également en mesure de pouvoir communiquer avec Tanit aussi bien que le faisait Anthea, bien sur ce dernier ne pourrait pas faire n'importe quoi puisque le Dr Hopper y veillerai personnellement.
Remis de ces émotions le docteur Hopper repartis au laboratoire numéro 1 pour pouvoir parler avec Tanit de cette expérience, le docteur Kinsley lui rassemblais les information sur l' expérience du jour quand a Simon lui il partit en sifflotant très satisfait d'avoir remplis sa matinée
Il décida en chemin d'aller rendre une petite visite a son jeune protégé pour lui apporter ses propres félicitations. Les fichiers que Arnaud avait découvert c'était révélé extrêmement intéressant car Simon avait pût s'en servir comme monnaie d'échanges avec Anthea.
Il savait que l'obsession de la scientifique a vouloir retrouver sa fille la rendait parfaitement manipulable mais Simon ne comptait pas son s'arrêter là il avait des projet bien spécial.
Mais pour le moment Simon s'apprêtait à rejoindre Arnaud quand soudain un signal d'alarme retentit à l'intérieur de l'installation.
Chapitre 22 hospitalisations
9 septembre 2005
Comment cela a-t-il pu arriver ?
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Je t'avoue que je n'en sais rien.
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Est pourquoi nous a-t-il caché ceci ?
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Tu le connais il voulait garder ça pour lui
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Mais tu te rend compte qu'il vient de risquer sa vie pour rien.
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Je sais ... une chance pour lui que Yumi passait par là à ce moment.
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Tu parles !!! elle a découvert le message qui lui avait laissé à notre intention et c'est précipité tous de suite a l'usine.
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Qu'importe au moins elle lui a sauver la vie c'est l'essentiel.
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tu as raison c'est le plus important pour l'heure.
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Euh .. dis moi...
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Quoi donc.
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...dis moi tu l'as lu.
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De quoi ?... le message.
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Oui le message.
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Oui bien sûr qu'est ce que tu crois.
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et qu'est-ce que tu en penses.
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Qu'en dépit de ce qu'il a fait ce bon vieux Jeremie à une grande confiance en nous.
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C'est ce que je pense aussi mais j'en doute a cause de ce qu'il a fait.
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Moi je le comprend
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Vraiment.
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Oui, il l'as dit lui meme,il ne voulait pas risquer la vie d'un seul d'entre nous..
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Alors il a risquer la sienne
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Oui.....
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Et maintenant que devons-nous faire ?
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Je ne sais pas, il faudra qu'on en parle avec Yumi.
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La pauvre sa doit être dur pour elle, avec tous le temps qu'elle a passer avec lui.
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Comme nous elle a rien vus venir
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Pas sur... elle avait peut être des doutes qui c'est.
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Tu crois quelle aurait fait semblant de rien voir
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Possible faut dire que elle aussi nourris de profond regret a cause de tous ça
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Elle est trop dure envers elle meme
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On la connaît notre Yumi et toi plus que n'importe qui.
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Je sais, je sais... mais quand meme.
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Que veux tu que je te dise ces deux la sont pareil.
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Et nous sommes quoi dans le fond
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je ne sais pas... mais nous sommes leur amis et c'est a nous de les soutenir dans cette épreuve.. les potes c'est fait pour ça.
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C'est vrai on est tous des amis. mais une chose me tracasse dans tous ça
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Quoi donc ?
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Tu crois que Jeremie a raison au sujet de Xana.
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Xana !
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Tu crois vraiment que notre ennemi serait de retour
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Si Jeremie n'en était pas convaincu je ne crois pas qu'il se serait livré à une telle expérience sans nous en parler.
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Oui alors le pire est a craindre alors
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Le pire ont y est déjà depuis que Aelita a disparu.
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tu pense toujours a elle
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Aelita je n'est pas pu l'oublier comment le pourrais-je est toi.
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Moi non plus qu'est ce que tu crois.
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J'espère quelle va bien
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Rassure toi je suis sur qu'elle va bien
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Je l'espère de tous coeur.
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Alors que faisons-nous
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nous n'avons pas le choix nous devons continuer la lutte,c'est notre devoir
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oui notre devoir de Lyoko-guerriers.
--------------------------------------------- FLASHBACK ---------------------------------------------
Le docteur Pichard est demandé en salle numéro 6... je répète le docteur Pichard est demandé en salle numéro 6 répéta une voix dans le microphone.
Déboulant d'une salle annexe le médecin arriva dans la salle numéro 6 ou un infirmier était sur place a observé le cas.
Est bien qu'avons nous ici ? demanda le docteur Pichard.
Infirmier : nous avons un jeune homme de 15 ans multiples blessures et brûlures sur l'épiderme.
Dr Pichard : allongé le la table, je veux radiographie, examen sanguin...
Bien docteur fit l'infirmier.
Très rapidement le jeune garçon blond fut emmené en salle d'opération pendant plus d'une heures le docteur Pichard s'employa à soigner le garçon,le corps du jeune homme fut recouverts de multiples bandages le docteur du opéré à plusieurs endroits pour stopper les hémorragies heureusement grâce à une intervention rapide des soins le pire fut évité par la suite le jeune homme fut immédiatement placé aux soins intensifs pour y être surveillé pendant 24 heures.
Une foi l'intervention finis,le docteur sorti du bloc opératoire pour prévenir le responsable du collège que l'opération c'était bien passée et que tous danger était écarté, entre temps Mr Delmas avait appelé la famille du jeune homme pour les avertir de la situation.
A côté du proviseur se tenait une autre personne,il s'agissait d'une jeune fille de type asiatique, c'est elle qui avait découvert le jeune homme et avait alerté les secours, ceux ci étaient intervenu a temps.cependant le docteur avait quelques questions a posé a la jeune fille,car le blessé portait des blessures assez anormales, le docteur Pichard voulait savoir ce qui c'était passé près du canal ou avait été retrouvé le garçon.
Dr Pichard : dites moi jeune fille c'est bien vous qui avez trouvé ce garçon
Fille : oui c'est moi.
Dr Pichard : vous pourriez me dire ce qui s'est passé
J'avoue que je n'en sais rien répondu alors la jeune fille.
De son côté le proviseur se posait lui-même la question, comment le pauvre Jeremie Belpois avait il put se retrouver dans un telle état et surtout que faisait il au bord du fleuve a cette heure la de la journée alors qu'il devait être en étude.
Proviseur : Voyons mademoiselle Ishiyama dites nous ce qui c'est passé.
Et bien j'ai trouvé Jeremie complètement inanimé sur le bord du fleuve apparemment il avait fait une mauvaise chute répondit alors la jeune Asiatique.
Mais le proviseur autant que le docteur avait beaucoup de mal à croire l'histoire que Yumi venait de donner.
La version de la chute n'était pas tellement crédible, le docteur savait très bien par expérience qu'une chute brutale ne pourrait pas laisser de telles séquelles sur le corps ceci sans compter le faite que le garçons semblait souffrir d'une malnutrition aggravé tous son métabolisme était affaibli suite à une fatigue accrue.
Mais Yumi persista dans ces dires Jeremie avait été découvert par elle au bord du fleuve,voyant qu'il ne pourrait pas en apprendre plus de la part de Yumi,le proviseur préféra ne pas insister après tout elle venait de sauver la vie de son ami on allait tout de même pas le lui reprocher de plus en brave homme qu'il était le proviseur vit bien que l'inquiétude que Yumi affichait mit sur son visage n'était pas simulée, cette dernière se faisait du souci au sujet de son ami.
Bon et bien nous reparlerons de ça plus tard lui dit le proviseur.
Yumi se sentit quelque peu soulagé le proviseur avait décidé de ne pas l'accabler plus dans son malheur,même si les questions étaient remises à plus tard.se sursis fit du bien a Yumi mais le proviseur avait bien l'attention d'en apprendre un peu plus sur cette histoire.
Moins d'une heure après le coup de fil du proviseur,les parents de Jeremie arrivèrent à l'hospital,Michel et Laurence étaient particulièrement inquiet sur l'état de santé de leur fils ils demandèrent a voir immédiatement la personne qui était responsable de son cas,ils furent rapidement accueillis par le docteur Pichard.
Très calmement le docteur les rassura tout de suite en leur disant que Jeremie ne courait plus aucun danger,grâce à une intervention rapide il avait pu être soigné à temps mais malgré cela il était très fatigué et il devait se reposer.
Sur ce point le docteur signala aux parents de Jeremie que celui-ci était dans un état de grande faiblesse consécutifs à un manque d'activités physiques importants.
Les parents de Jeremie eurent beaucoup de mal à croire ce que le médecin venait de leur dire comment est-il possible que leur fils puisse manquer d'activités sportives alors que tout l'été celui-ci avait fait preuve d'un dynamisme incroyable.
Ils demandèrent alors des explications au docteur en lui précisant que leur fils était un sportif émérite et qu'il avait même remporté un triathlon durant les vacances,il ne pouvait en aucun cas être en manque d'activités sportives ce que venait de leur dire le docteur leur paraissaient complètement aberrant.
Michel : attendez docteur ce que vous dite là n'a pas de sens notre fils est un sportif accompli
Laurence : oui même je confirme il a remporté un triathlon cet été.
Dr Pichard : écoutez monsieur et madame Belpois je vous dis simplement ce que je constate,les analyses sont formelles le métabolisme de votre fils est affaibli, et ce genre d'affaiblissement ne peut être du qu'à un manque d'activités physiques.
Michel : mais comment est-ce possible docteur.
Dr Pichard : j'avoue ne pas savoir si ce que vous me dites est vrai,nous sommes devant un cas assez unique.
Michel : mais c'est incroyable ça.
Dr Pichard : pourtant si j'en crois les analyses le taux de lymphocytes tres bas dans le sang montre que le corps de cette personne a été soumise à une incroyable période de stress.
Michel : comment pourrait-il être stressé alors qu'il a été détendu pendant toutes les vacances ?
Dr Pichard : les chiffres sont les chiffres je ne peux pas vous en dire plus.
Les affirmations du médecin étaient plutôt difficile à avaler pour les parents de Jeremie,Laurence était complètement effondrée sans le soutien de son époux elle se serait sûrement mise à pleurer de son côté Michel était lui-même partagé entre colère et indignation pourtant une bonne nouvelle vint éclairer ce sombre tableau.
En effet une infirmière vint alors annoncer que le jeune homme répondant au prénom de Jeremie avait repris connaissance en salle d'observation.
aussitôt les parents demandèrent a voir leur fils, le médecin les pria d'attendre le temps de constater si le jeune homme était en mesure de recevoir des visites,
après quelques minutes d'attente le médecin ressorti de la pièce,il autorisa les parents à voir leur enfant cependant il demanda à ceux ci de ne pas trop le brusquer.
Comprenant parfaitement la situation les parents de jeremie promirent de faire attention,quand ils rentrèrent dans la pièce le spectacle qu'ils avaient sous les yeux les horrifia, leur fils unique était allongé sur un lit le corps recouvert de perfusion et de bandages.
Jeremie était dans un état assez grave même si aucune liaison lésions internes n'avait été décelée il n'en était pas moins très fatigué à cause du choc et des médicaments anti-douleur qu'on lui avait administré.
Mais en dépit de ça il était parfaitement lucide, il remarqua assez rapidement la présence de ces parents dans la pièce et bien qu'à moitié conscient il pria ces derniers de s'approcher de lui.
La première des questions fut de savoir si Jeremie allait bien, celui-ci leur fit savoir que oui,par la suite ces parents lui demandèrent de leur expliquer ce qui c'était passé,pour éviter d'avoir à répondre à cette embarrassante question,Jeremie se contenta de leur dire que sa mémoire était un peu floue et qu'il ne se rappelait plus vraiment de ce qui c'était passé si ce n'est qu'il avait décidé d'aller se promener et qu' après il ne se souvenait de rien.
Personne ne comprenait ce qui était arrivé mais une chose était sûre cette affaire n'allait pas en rester là ,Michel dit à son fils qu'il allait porter plainte auprès du collège pour négligence,cette annonce électrisa Jeremie.
Une plainte voilà bien la dernière chose qui n'arrangerait pas ces affaires,Jeremie rassembla ses forces pour essayer de dissuader son père de faire quoi que ce soit.
Non je t'en prie ne fait rien demanda alors Jeremie à son père
Cette soudaine réaction de la part de son fils étonna Michel pourquoi celui-ci ne voulait-il pas qu'il porte plainte,ce fut presque en le suppliant que Jeremie demanda son père de ne rien faire il s'efforça de lui expliquer que tout ceci n'était qu'un bête accident et que en aucun cas cela valait la peine de porter plainte
Jeremie dit à son père qu'il ne voulait faire de tort à personne,et surtout pas au proviseur qui c'était toujours montés très conciliants vis-à -vis de lui.
C'est de ma faute ce qui arrive lui dit Jeremie.
Comment ça c'est de ta faute lui demanda son père.
Jeremie : j'ai peut-être un peu trop forcé sur le sport ces derniers temps.
Michel : pourtant le docteur nous a dit que tu manquais d'activités physiques
Laurence : c'est vrai mon cheri.
vous êtes mes parents vous avez bien vu ce que j'ai fait cet été leur dis Jeremie.
Bien qu'ayant toujours été derrière son moniteur Jeremie avait pu voir au travers des yeux de la réplique tout ce qui c'était passé à la maison,il avait assisté de façon indirecte à tous les événements marquants de cet été,il avait surtout pu voir toute la fierté que ses parents avaient exprimée à son égard le jour où celui-ci avait gagné un triathlon.
il réussit à convaincre ses parents que celui-ci avait faits beaucoup de sport et que finalement c'était peut-être à cause de ça, qu'il était dans cet État ,il leur fit comprendre qu'il avait trop présumé de ses forces et que maintenant son corps lui faisait payer,il promit alors à ses parents que quand il sortirait de l'hôpital ils cesserait toute activité sportive intensive,au vu de la situation ces derniers ni virent aucune objection avec toutefois une petite pointe de regret
Michel : écoute mon fils tu n'est pas obligé de tout stopper d'un seul coup
Laurence : c'est sa te fais tellement de bien.
Jeremie : je vous assure que si,cependant je vous promets qu'à l'avenir je ferai du sport de façon plus modérée.
Michel : tu le promet.
papa tu sais que je tiens toujours mes promesse répondit Jeremie.
Michel : c'est vrai c'est une qualité qui t'honore.
Jeremie : et au sujet de la plainte que décides-tu
Michel : la je ne sais plus
Jeremie : alors je te le demande encore une fois de ne rien faire
Michel : tu y tiens vraiment
Jeremie : j'insiste même je ne veux faire de tort à personne,car si il y a bien un seul fautif c'est moi.
Michel : voyons fiston il ne faut pas exagérer
Si papa je suis le seul responsable de cette situation leur dit alors Jérémie avec une pointe d'émotion dans la voix.
Derrière tous ça les vraies intentions de Jeremie n'était pas difficile à deviner,si son père avait porté plainte une enquête policière aurait été ouverte,beaucoup de personnes de son entourage auraient été questionnées ce qui aurait peut-être finalement conduit les policiers à découvrir le laboratoire.
Si cela devait arriver Jeremie pourrait faire une croix définitive sur le dernier espoir qu'il avait de retrouver Aelita, et ça le jeune génie ne pouvait pas l'admettre.
il dut à nouveau jouer la comédie auprès de ses parents pour convaincre ceux-ci de ne rien entreprendre à l'encontre du proviseur,
Jeremie parvint à se montrer très persuasif,son père lui promit alors qu'il ne porterait nullement plainte mais en retour il demanderait au proviseur un traitement de faveur à l'égard de son fils, il devrait être dispenser de sport, évidemment Jeremie ne refusa nullement
même si la situation ne s'y prêtait guère Jeremie était quand même très content de revoir ses parents,cela faisait si longtemps qu'il ne les avait pas revus en vérité cela datait des dernières vacances de Noël qu'il avait passé chez eux en compagnie de Aelita.
le fait de s'être remémoré ce précieux instant avait suffi à remonter le moral de Jeremie,un sourire se dessina sur le célèbre ce qui fit extrêmement plaisir à ses parents c'était un bon signe pour eux.
épuisé par les effets soporifique des médicaments Jeremie pria ses parents de bien vouloir le laisser se reposer sans ajouter autre chose que "à plus tard mon chéri",Michel et Laurence se retirèrent sans un bruit laissant alors Jeremie à sa rêverie.
à l'extérieur de la salle des soins intensifs ils retrouvèrent alors le docteur qui leur expliqua que vu l'état actuel des choses leur fils en aurait peut-être pour deux semaines d'hospitalisation après quoi il pourrait de nouveau être sur pied et reprendre une vie normale,bien sûr les parents de Jeremie étaient loin de savoir ce que "vie normale" ne signifiait plus grand-chose pour leur fils.
Quand ils eurent fini de discuter avec le docteur Pichard, Laurence et Michel s'apprêtaient à partir quand ils furent interpellés par une jeune fille habillée en noire, Michel la reconnu tout de suite car il s'agissait de Yumi.
ils avaient appris de la part du médecin que c'était cette jeune fille qui avait retrouvé leur fils est qui par extension lui avait sauvé la vie.
les parents de Jeremie ne pouvaient qu'éprouver une grande gratitude vis-à -vis de Yumi, il avait la l'occasion de la remercier et n'allait pas s'en priver.
Merci d'avoir sauvé notre fils lui dit alors Michel
Laurence : merci à vous jeune fille.
je vous en prie jamais rien fait d'extraordinaire leur répondit Yumi
Michel : ne soyez pas si modestes vous avez faits beaucoup pour lui comme pour nous.
J'aurais tant voulu faire plus leur dit Yumi.
Michel : vous avez sauvé la vie de notre fils unique c'est le plus beau geste qui soit, ça je ne serais pas près de l'oublier
Laurence : Merci Yumi nous te devons beaucoup.
Yumi : je vous assure que je n'ai rien fait extraordinaire, Jeremie et mon ami et je sais qu'il en aurait fait autant pour moi si j'avais été dans la meme situation.
Laurence :eh bien on peut dire que notre fils a vraiment de la chance d'avoir des amis comme vous.
Yumi : j'espère qu'il pourra vite se rétablir
Laurence : d'après le médecin il en as pour deux semaines encore.
Deux semaines c'est sur demanda Yumi.
Michel : c'est ce que le médecin a dit.
Laurence : plus ou moins selon de le docteur Pichard
Yumi : mais c'est magnifique.
Cette nouvelle fit extrêmement plaisir a Yumi,cela signifiais que le cas de Jeremie n'était pas si grave que çà , elle était si soulage que cela lui rendit aussi le sourire.
Yumi ; nous l'espérons tous qu'il se rétablis très vite.
Michel : nous aussi
Yumi: Ne vous inquiétez pas moi et mes amis ne seront toujours là pour le tenir compagnie je vous promets que nous lui rendrons souvent visites.
Michel : tu est sérieuse
Yumi : très meme je ferai en sorte de vous tenir au courant assez souvent
Laurence : c'est vraiment gentil à toi Yumi, tiens je donne mon numéro de téléphone ainsi tu pourras me contacter.
Yumi : je ferai en sorte de vous tenir au courant assez souvent
Michel : Très bien
Laurence : on te fais confiance Yumi
ne vous faite pas de soucis vous pouvais compter sur moi fit la jeune fille.
On te crois Yumi fit Laurence
Yumi : Je tiens beaucoup à votre fils vous savez et je voudrais pas qu'il lui arrive malheur.
Michel : et bien je crois que votre fils a beaucoup de chance d'avoir des amis qui pensent autant à lui, d'ailleurs en parlant de ses amis où sont-ils
Yumi : ils sont encore en cours vous comprenez je suis la seule qui est pût me libérer puisque j'ai réussi à le découvrir
Michel : évidemment c'est logique
Yumi : mais ils ont déjà été avertis de la situation et je pense qu'ils lui rendront visite des que possible.
Laurence : est au faîte où est passé Aelita, elle devrait être la.
Voila une question très délicate, l'absence Aelita n'était pas passé inaperçu Yumi du donner une explication aux parents de Jeremie pour expliquer l'absence soudaine de la jeune fille, il fallait pour ça s'en tenir a la "version officiel"
Yumi : vu ce que vous me dites que je suppose que Jeremie ne vous a pas dit qu'elle était rentrée au Canada.
Michel : mais nous n'en savions rien pourquoi Jeremie ne nous a t-il rien dis
Yumi : vous savez Jeremie est quelqu'un de très discret il n'a peut-être pas voulu vous le dire parce que lui-même avait du mal à l'accepter
Laurence : dont si je comprends bien elle ne reviendra plus
Jeremie : pour l'instant on n'en sait rien mais on espère que oui
Laurence : c'est vraiment triste,lui qui était si attaché à cette jeune fille.
Michel : à Noël il l'avait amené chez nous pour passer les fêtes de fin d'année,on as bien vu qu'il était très attaché à elle.
Jeremie : et croyez-moi il est toujours attaché à elle
Michel : tu semble bien le connaître notre fils.
Jeremie : on se connaît tous très bien nous avons tant partagé de choses ensemble
Michel : c'est ce que je vois.
Yumi : rassurez vous tous va rentrer dans l'ordre.
Yumi éprouvait de la honte d'avoir à mentir aux parents de Jeremie déjà qu'en temps normal elle n'aimait pas le faire auprès de ses parents,mais depuis bientôt trois ans Yumi n'avait appris à faire que ça.
même si c'était pour une bonne cause cela restait toujours un mensonge,mais elle ne pouvait pas leur dire la vérité.
comment faire comprendre aux parents que Jeremie que celui avait tenté une expérience particulièrement dangereuse et que l'état dans lequel il se trouvait n'était autre que le résultat de cette expérience.
le hasard avait voulu que ce jour-là Yumi consulte ces e-mails, parmi ceux la elle avait trouvé le message que lui avait laissé Jeremie, ce dernier annonçait qu'il avait l'intention de tester quelque chose de très importants.
il n'avait pas fallu longtemps a Yumi pour comprendre que ceux-ci avait un rapport direct avec les expériences que Jeremie avait pratiquer depuis plus de deux mois dans le laboratoire,
la transcendance voilà bien un procédé qui avait l'air particulièrement dangereux,et voilà que Jeremie s'apprêtait à tester ce procédé sur lui
Sans perdre un instant elle avait directement filé à l'usine pour aller le dissuader de faire ça c'est en arrivant dans la salle de contrôle puis dans les salles de scanner qu'elle avait découvert le corps inanimé de Jeremie sur le sol.
À l'aide de son portable elle avait immédiatement appelé les secours ensuite elle avait transporte Jeremie à l'extérieur du laboratoire cela avait été risqué d'avoir le déplacé dans cet État mais c'est un risque Yumi avait comme voulu prendre, il fallait proteger le secret
Tous ceci finalement pour arriver à la situation actuelle Jeremie dans un sale État et elle en train de mentir aux parents de ce dernier.
Ils se quittèrent donc tous en bons termes avec la promesse de Yumi de régulièrement leur donner des nouvelles de Jeremie,L'incident était loin d'être clos évidemment celui-ci allait avoir de grandes répercussions sur la vie de tous les lycéens.
Par la suite elle fut raccompagnées par le proviseur jusqu'au lycée là -bas elle rendit compte à ses amis des dernières nouvelles.
Plus tard ils trouvèrent le journal vidéo que Jeremie avait laissé à leur attention au cas où les événements viendraient à mal tourner,ils prirent alors connaissance de tout ce que Jeremie avait fait au cours de ces derniers mois, il avait également consigné sur un autre CD toutes les informations qu'il avait recueillie set tout comme il l'avait précisé il avait mis à la disposition de Yumi un manuel simplifié d'utilisation du super-calculateur, maintenant celle-ci avait entre ses mains une très grande responsabilité.
la responsabilité que le jeune homme lui avait confiée était de continuer ou non la lutte contre Xana et de retrouver leur amie Aelita.
C'était un nouveau choix difficile que l'on venait d'imposer a la jeune asiatique,un nouveau débat fit rage entre les amis fallait-il ou non céder à la panique et tous arrêter ou au contraire fallait-il continuer le combat.
le choix qu'ils eurent affaire ne fut pas difficile à deviner,après tous les efforts que Jeremie avait entrepris il aurait été criminel de vouloir tout arrêter.
même si Jeremie avait risqué sa vie il avait une bonne raison pour le faire
Aelita...
Aucun d'eux ne songea une seule seconde a abandonné Aelita à son triste sort,il aurait été cruel et particulièrement lâche de vouloir l'abandonner, il fut donc décidé d'un accord commun qu'ils allaient continuer la lutte est resté particulièrement très prudent dans leur combat à venir
Si jamais ce mystérieux agresseur devait refaire sa réapparition sur Lyoko, cette fois-ci il serait prêt à le recevoir.
Il fut décidé que ce serait Yumi qui prendrait la direction des opérations en l'absence de Jeremie, les deux garçons furent unanimes à ce moment-là , Yumi était la mieux placé pour pouvoir les supervisées de plus cela ne serait qu'une affaire de deux semaines
et bien que les les éléments eurent pris une tournure pour le moins assez particulière aucun ne pensa à un seul moment à se défiler.
toutefois si le rôle que chacun devait tenir avait été bien défini,un nouveau problème se posait
Si cette histoire d'accident allait paraître banals aux yeux de tous il y avait une personne dans tout le collège qui aurait beaucoup de mal à croire a cette "version officiel",cette personne n'était autre que William Dumbar.
Sa seule présence avait suffi à compliquer sensiblement la situation car il ne fallait pas qu'il soit impliquer dans cette histoire,mais en dépit de ce qui était arriver par le passé personne ne pouvais ne pouvais ignorer le fait qu'au même titre que les autres il avait prêté serment d'être un Lyoko-guerrier.
chapitre 21 Kevin
21 septembre 2005
S'il vous plaît est-ce que je peux m'asseoir à côté de vous demanda poliment Maeva
Désoler la place est déjà prise répondit alors la fille.
Mais par qui je ne vois personne lui fit remarquer Maeva
Si tu vois elle est prise par mon plateau dit alors la fille.
Sans perdre un instant la jeune fille aux cheveux bouclé poussa son plateau sur la place vacante pour empêcher Maeva de poser le sien,sans insister d'avantage Maeva se rendit alors à une autre table.
Maeva : bonjour je peux me joindre à vous.
ah non désolé cette table est réservée aux humains lui lança le jeune garçon au crâne légèrement rasé.
Bon très bien... je n'insiste pas lui répondit Maeva qui parti poser son plateau ailleurs
Le même schéma se reproduisit à chaque fois, quelque soit la table où elle essayait de s'asseoir Maeva essuyait systématiquement un refus de la part de ceux qu'il l'occupait,Maeva comprit rapidement que personne ne voulait d'elle, à la fin elle fini par se poser sur une petite table dans un coin reculé de la cantine.
Cela faisait maintenant un mois que Maeva avait complètement acquis l'usage de la parole mais ce n'est pas pour autant qu'elle avait réussi à se faire accepter,la plupart des personnes la rejetait pour une raison fort simple, tous le monde avait encore en mémoire l'accident qui était arrivé le mois dernier.
Le coup de la destruction du scanner avait fait le tour de l'hospital,a cause de ceci une rumeur avait commencer a circuler au sujet de Maeva.
Elle aurait été responsable de cette accident, comment était-ce possible ? en vérité les gens s'en moquait éperdument, la possibilité de nuire Maeva était trop belle pour le docteur Holstein une véritable campagne de dénigrement avait été instaurée à l'égard de Maeva le mot avait été passé au médecin qui l'avaient répercuté aux infirmières pour finalement revenir aux malades,la consigne était que personne ne devait approcher la patiente de la chambre 24A.
Cette politique de mise a l'écart le docteur Robinson ne l'appréciait pas beaucoup car il savait pertinemment qu'au travers de Maeva c'est contre lui que cette attaque était diriger, le procédé était dégouttant car Maeva allait en faire les frais,dans ces conditions le docteur Robinson du s'éfforcer d'apporter un maximum de soutien a la jeune fille.
Et cela n'était pas facile pour Maeva, même si cela ne lui était pas dit ouvertement, elle avait souvent le déplaisir d'entendre sur son passage des messe basses accompagnées de certaines moqueries pour la jeune fille c'était très dur à encaisser.
Si jusqu'à présent elle n'avait pas compris le concept de bien et de mal, il ne lui avait pas fallu longtemps avant que cela devienne évident, ayant à nouveau l'usage de la parole elle c'était éveillé au monde qui l'entourait et elle commençais a en cerner les nuances.
Et la vision qu'elle avait de ce monde n'avait rien de bien réjouissant,il ne lui avait pas fallu longtemps pour comprendre que toutes les personnes qu'elle côtoyaient n'étaient pas aussi bien intentionnées que l'était le Dr Robinson.
Le coup le plus difficile a encaisser était les fois ou elle se faisait traiter de petit monstre.
Pourquoi les gens étaient-ils si cruels envers Maeva alors qu'elle n'avait jamais rien faits de mal,la raison était facile a expliquée dans ce milieu hospitalisé froid et austère Maeva était traité avec plus d'indifférente que ne l'étaient les autres patients.
Pour bon nombre de personnes elle était le petit monstre,la chose, la mutante aux cheveux bleu.
Comment les gens pouvait-il en discriminer d'autres sur d'aussi simples attribue ? Maeva avait lu quelque part que la notion de racisme impliquait toujours des gens qui n'avaient pas de la même couleur de peau pourtant Maeva était blanche mais voilà pour son plus grand malheur elle avait une tare.
Cette tare c'était la couleur de ces cheveux il n'y avait aucun artifices là -dedans bleu était sa véritable couleur,une couleur que Maeva avait commencée à apprendre à détester car à cause de ça elle était tenue à l'écart des autres enfants.
Et voila bientôt trois semaines qu'elle mangeait toute seule a midi, personne ne voulait la côtoyer, elle était traité comme une véritable pestiféré qu'il fallait éviter à tout prix.
Maeva était elle condamné a ne jamais se lier avec qui que se soit ? et tous ceci a cause des considération déplacer de certaines personnes,pourtant alors qu'elle était en train de manger ces légumes cuits à la vapeur elle entendit une voix qui lui parla.
Est-ce que je peux m'asseoir à côté de toi lui fit la voix.
Quand Maeva releva le regard elle vit en face d'elle un jeune garçon de type Afro-américain,sa peau était de la même couleur que celle de Samuel l'infirmier, c'est lui qui venait de s'adresser à Maeva.
A première vue il mesurait 1 mètre 60 et portait les cheveux courts,mais chose plus étonnant que tous il souriait à Maeva
est-ce que je peux m'asseoir redemanda-t-il à Maeva
oui oui bien sûr bégaya alors Maeva qui ne savait pas trop quoi répondre.
Merci lui fit le garçon
Sans ajouter un mot de plus le garçon se posa son plateau à côté de celui de Maeva et s'assit sur la chaise en face d'elle.
c'est-à -dire la première fois que quelqu'un d'autre que les infirmières venaient s'asseoir à côté d'elle,une fois en place le garçon se présenta.
Salut moi je m'appelle Kevin et toi c'est comment ? fit le garçon
Moi... fit Maeva
Kevin : oui toi tu dois bien avoir un prénom.
Moi je suis Maeva...fit la jeune fille.
Kevin : c'est joli comme prénom, ça vient d'où ?
Maeva :c'est mon docteur qui ma appeler comme ça
Kevin : ton docteur ?!
Maeva : il n'a donné ce nom car ça veut dire "bienvenue"
Kevin : "bienvenue" c'est plutôt sympathique comme prenons.
Maeva : tu trouves.
Kevin : bien sûr c'est un prénom très rare et très joli.
c'était bien la première fois aussi que quelqu'un lui faisait un compliment sur son prénom, qui pouvait donc bien être ce mystérieux jeune homme qui n'avait aucun problème pour discuter avec elle,une chose était sur il était très différent des autres patients de plus c'est la première fois que Maeva le voyait.
Kevin lui expliqua alors qu'il était nouveau ici et que cela ne faisait que de deux jours qu'il était arrivé dans cet hôpital.
Maeva : c'est curieux je ne t'avait pas vu auparavant,dis-moi ça fait longtemps que tu es la
Kevin : moi je suis arrivé ici il y a deux jours
Maeva : c'est pour ça que je ne t'avais pas encore vu.
Kevin : et toi ça fait combien de temps que tu la
Maeva : moi ça fera bientôt deux mois.
Deux mois bientôt que Maeva était arrivé à l'hospital,deux mois déjà que pour elle c'était un cauchemar quasiment permanent,et les choses n'allaient pas aller en s'arrangeant pourtant dans tout ça une chose intriguait Maeva, alors que tout le monde l'évitait pourquoi ce garçon était-il venu auprès d'elle, a cette question Maeva voulait une réponse.
Dis-moi pourquoi est ce que tu es venu à ma table lui demanda Maeva.
Kevin : disons c'est parce que j'ai vu que tu était seule.
Maeva : juste pour ça.
Kevin : pas seulement j'avais aussi envie de te voir de plus près
Maeva : me voir ! pourquoi ?
Kevin : parce que je t'est remarqué tout de suite parmi toutes les autres personnes présents dans cette pièce
Ah oui et pourquoi ça demanda Maeva très septique.
Kevin : disons que tu est le genre de filles qui ne passent pas inaperçu
Et voilà encore une fois Maeva c'était fait remarquer à cause de sa couleur de cheveux,comment aurait-il pu en être autrement il est vrai que sa pigmentation particulière faisait qu'elle avait beaucoup de mal à se fondre dans la masse,instinctivement Maeva s'attendait à une critique de la part de ce garçon mais la réponse de Kevin fut toute autre.
Faut dire qu'un visage aussi angélique que le tien ça se remarque tout de suite lui fit le jeune garçon.
Maeva : un visage angé...quoi ?
Kevin : angélique... un visage angélique.
Maeva : ça veut dire quoi ?
Maeva : ça veut dire que tu as un beau visage.
Voilà qui étonna énormément la jeune fille c'était bien la première fois que quelqu'un ne lui parlait pas de le sa couleur de cheveux,cette réponse assez inattendue la troubla quelque peu,Kevin le vit bien
ça te dérange ce que je viens de te dire lui demanda le jeune garçon
Maeva : non c'est pas ça... c'est que d'habitude les gens ne font plutôt la remarque à cause de mes cheveux.
Et bien qu'est ce qu'ils ont tes cheveux ? demanda Kevin on regardant la coupe de Maeva.
Maeva : et bien tu ne vois pas qu'ils sont bleus
Kevin : ils sont bleus ?!
Maeva : et bien oui sa ce vois assez non.
Pas vraiment en fait lui répondit Kevin.
tu te moques de moi ou quoi lui dis Maeva
Kevin : pas du tous c'est juste que j'ai un léger problème de la vue je ne vois pas très bien les couleurs.
Maeva : comment ça. !!
Kevin : eh bien vois tu je suis atteint d' achromatopsie.
Maeva : c'est quoi ça ?
Kevin : ça veut dire simplement que je ne vois pas certaines couleurs comme le rouge ou le verre ou le bleu
Maeva : tu veux dire que tu ne vois pas la couleur de mes cheveux
Kevin : c'est la cas pour moi il son gris/noir ou noir/gris sa dépend.
Maeva : c'est pour ça que ça ne t'as pas surpris.
Kevin : et même si tu as les cheveux bleu qu'est-ce que ça peut faire !! c'est pas ça que j'ai remarqué chez toi en premier.
Maeva : c'est quoi alors
Kevin : je te l'ai déjà dit c'est ton beau visage.
Maeva : tu trouve que j'ai un beau visage.
Kevin : je le pense vraiment,quand comme moi tu ne vois pas les couleur tu te rabat sur les formes, et c'est le cas pour ton jolie visage.
Maeva : tu sais je suis pas si jolie que ça.
Kevin : je ne suis pas d'accord car parmi tous les filles présent ici c'est toi que j'ai remarquer tous de suite.
Maeva : c'est vrai.
Kevin: je te le jure sur dieu.
Durant tout le reste du déjeuner Maeva ne toucha presque pas a son assiette, elle passa tous son temps a discuter avec Kevin très vite les deux individus finirent par sympathiser. Maeva apprit que ce jeune garçon avait été transférer dans ce bâtiment pour y suivre une thérapie temporaire.
Il était atteint d'une légère défaillance de niveau de la vue suite a quelque problème au niveau du cerveau, Kevin expliqua a Maeva qu'il était parfois sujet a de violente crises qui le faisait souffrir, voila bien un sujet que Maeva pouvait comprendre.
il devait passer un petit séjour à la clinique pour y suivre un traitement spécial pour cela il avait été accompagné par son médecin traitant le Dr Stockton.
L'heure de reprendre les cours sonna chacun des patients devaient rejoindre son ateliers respectif il en fut de même pour Kevin qui dut laisser Maeva, avant de partir celui-ci demanda à la jeune fille s'il aurait la chance de la revoir.
Kevin : tu viens souvent ici.
Maeva : tous les jours.
Kevin : on pourrait peut-être se revoir après.
Maeva : si tu veux... je sais pas.
Kevin : sa me ferais très plaisir.
La jeune fille était comme un peu hésitante c'était la première fois que quelqu'un l'abordait cette façon-là et même demandait à la revoir,avant de partir Kevin eu la gentillesse de ramener le plateau de Maeva, celle-ci ne s'attendait pas à de tel égard de sa part elle resta a table parce qu'elle devait attendre que le docteur Robinson vienne la chercher, avant de partir Kevin adressa un petit coucou de la main pour dire au revoir a la jeune fille Maeva en fit de même.
En le voyant partir elle se sentit un peu troublé par une curieuse sensations, elle sentait que son coeur battait plus vite et que ces mains était tremblante, était elle malade ? si c'est le cas il faudrait qu'elle en parle au docteur.
celui-ci ne tarda pas à arriver a la cantine, il était venu chercher Maeva pour procéder à la suite de ces examens
Durant les trois heures qui suivirent Maeva passa toute une nouvelle série de tests pour vérifier ses capacités,mais la séance de lecture ne se passa pas comme d'habitude Maeva avait un peu de mal à se concentrer,au lieu de se focaliser sur son texte elle n'arrêtait pas de penser a ce garçon.
le docteur remarqua rapidement que quelque chose n'allait pas chez Maeva aujourd'hui,ce dernier voulut savoir ce qui arrivait à sa patiente.
Dis moi Maeva aurait tu un souci par hasard lui demanda le docteur
Maeva : non pas du tout, pourquoi me demandez-vous ceci ?
Dr : et bien je trouve qu'aujourd'hui tu as du mal à te concentrer aurait tu un problème ?
Pas du tous docteur .... enfin je n'en sais rien lui dit la jeune fille.
Dr : veux-tu me parler de ce qui te tracasse.
Maeva : eh bien voilà c'est à cause de ce garçon que j'ai rencontré...
Dr : tu as rencontres un garçon !
Maeva : oui à la cantine.
Dr : voilà qui est intéressant.
Maeva raconta au docteur sa rencontre avec Kevin,elle lui donna que tous les détails et en particulier le fait qu'elle n'arrivait plus à se concentrer parce qu'elle ne faisait plus que penser à lui.
le docteur comprit rapidement d'où venait le problème chez Maeva, en dépit de son amnésie il ne pouvait pas oublier que Maeva était avant toute une adolescente,il était donc normal que certaines choses commencent à l'interpeller.
dans le cas présent il s'agissait surtout des relations que Maeva pouvait entretenir avec ce garçon voilà un sujet délicat que le docteur allait devoir aborder avec Maeva,même s'il n'en est pas question pour l'heure le docteur devait informer Maeva en ce qui concernait les relations amoureuses et la sexualité.
Il y avait certaines choses que Maeva se devait de savoir à son âge,d'une façon très professionnelle le docteur lui expliqua le principe de la reproduction chez les humains,bien que de nature très ouvertes à tous de nouvelles formes de connaissance le sujet indisposa quelque peu Maeva qui par nature semblait assez peu porté sur la chose (1) ,quand le docteur eut fini d'aborder l'essentiel les tests purent reprendre un cours normal.
Quand elle n'était pas déconcentrée les progrès de Maeva étaient des plus notables qui soient de la simple lecture pour enfants,Maeva était carrément passés à celle de livres et de romans un peu plus complexes.
A chaque fois qu'une notion ou une chose lui paraissait un peu étrange le docteur lui définissaient le tous avec des exemples très simples.
Les prodigieux résultats de Maeva avait été étonnant, elle apprenait ou réapprenait avec une facilité déconcertante mais quand le docteur abordait les questions concernant son passé elle était incapable de lui répondre.
Il y avait toujours un voile obscur qui recouvrait ces origines. Pour elle son existence avait commencé à Kingston valley au-delà il n'y avait rien d'autre a part quelques rêves étranges qui venaient la perturber la nuit.
Le docteur avait questionner Maeva sur l'origine de ces rêves mais la jeune fille n'arrivait pas à définir précisément ce qu'elle y voyait,dans ces rêves il y avait essentiellement des paysages composés de vastes étendues de sable ou de glace, il y avait parfois aussi des forêt et des montagnes.
la description des deux derniers environnements évoquait fortement celui de Kingston valley,si Maeva avait pu s'en inspirer pour ces rêves où diable avait-elle pu puiser les images de ces désert fait de glace et de feu.
Afin de faciliter son travail d'introspection le docteur avait donné à Maeva un exercice pratique,elle devait dessiner les endroits dont elle rêvait,si de part sa nature adroite Maeva n'avait aucun problème à représenter ces lieux, il y avait un détail dans ces dessins qui interpellait à chaque fois le docteur .
Quel que soit le paysage qu'elle dessinait il y avait toujours au milieu de celui-ci une étrange forme cylindrique de couleur rouge,quel que soit le dessin cet élément était récurrent,Maeva ne pouvait pas donner d'explications concrètes quant à la présence de ce mystérieux édifice,mais une chose était sûre pour elle quoique ce soit cela la concernait.
En partant sur le principe que cet élément était importants aux yeux de Maeva le docteur essaya d'interpréter sa signification,après avoir élaboré plusieurs théorie le docteur en arriva à la conclusion suivante,cet édifice était une métaphore du "but à atteindre".
Le fait est que Maeva focalise toute son attention sur ce mystérieux édifice signifiait simplement que pour Maeva celui-ci était le moteur de sa vie,la raison qui fait qu'elle existait,restait maintenant docteur à pouvoir replacer tout ceci dans le cadre de la réalité est là ce n'était pas encore gagné.
Le lendemain matin alors qu'ils étaient en ateliers créatifs le docteur délaissa un instant Maeva pour aller résoudre quelques petits problèmes,durant son absence la jeune fille continua ses travaux pratiques,avec beaucoup d'ardeur elles continuaient à dessiner ces mystérieux paysages.
alors qu'elle apportait la touche finale au dessin d'une forêt une ombre fit son apparition au-dessus d'elle,une ombre qui ne tarda pas à lui parler.
Bonjour sa va depuis hier lui fit l'ombre.
Maeva reconnut immédiatement cette voix, elle l'aurait même reconnu entre 1000,quand elle releva la tête elle vit qu'elle faisait de nouveau face a Kevin
Kevin : décidément toi et moi on est fait pour se rencontrer.
il semblerait répondit Maeva en souriant.
Kevin : comment ça va depuis hier.
Maeva : bien et toi.
Kevin : je vais bien.
Maeva était très heureuse de revoir le jeune homme,elle ne l'avait pas revu depuis hier et pourtant cela lui avait semblé durée une éternité,mais cette fois-ci le jeune homme n'était pas tous seul il était accompagné par son médecin le Dr Stockton,sans perdre un instant Kevin fit les présentations
Kevin : docteur stockons je voudrais vous présenter Maeva.
Mes respects petite Mademoiselle a ravi de pouvoir enfin te rencontrer fit le docteur Stockton.
Maeva : bonjour docteur
Le docteur Stockton était un homme d'environ 40 ans, il avait les cheveux blanc et semblait assez grand,mais il avait un visage très souriant ce qui le différenciait de la plus part des adultes présent ici
Dr Stockton : et bien j'ai de la chance je pensais pas te rencontrer si tôt Maeva.
Maeva : vous me connaissez
Dr Stockton : bien sûr que je te connais Kevin n' arrête pas de me parlé de toi depuis hier, Maeva par ci Maeva par la ... un vrai roman ma foi.
Docteur arrêtez c'est gênant en plus vous aviez promis de ne pas en parler lui dit Kevin un peu indisposé.
A mais moi j'ai rien promis lui répondit alors le docteur en souriant.
Voila un spectacle pour le moins étonnant,en dehors du Dr Robinson Maeva n'avait jamais vu un autre docteur aussi souriant que celui-ci afin de mettre tout le monde à l'aise le docteur arrêta de faire la moindre petite réflexion concernant Kevin et Maeva.
Pour agrémenter la conversation les deux personnes commencèrent à s'intéresser à ce que Maeva était en train de faire,mais comme mû par un réflexe étrange elle prit une feuille pour cacher son dessin,Maeva n'avait pas envie de montrer à n'importe qui ce qu'elle dessinait.
Dr Stockton : est bien Maeva que dessines-tu
Maeva : vous savez ça n'a rien de bien extraordinaire.
Dr Stockton : on pourrait voir.
Maeva : il y a rien a voir ce sont juste des dessins personnels que je fais.
ça nous intéresse fit le docteur.
Maeva : bon bin...
Pour une raison qu'elle ne pouvait expliquer Maeva se décida à faire confiance aux deux personnes qu'elle avait en face d'elle, sans la moindre hésitation elle montra les différents croquis qu'elle avait réalisés les deux personnes était assez étonnée de voir à quel point la jeune fille était douée de ses mains pour dessiner.
Dr Stockton : et bien dis-moi tu est drôlement habile de tes mains
Kevin : c'est vrai que très doué
Maeva : merci c'est très gentil mais vous savez c'est pas grand-chose
Dr Stockton : et modeste avec sa,je trouve que ta petite amie à toutes les qualités
DOCTEUR... fit Kevin qui était devenu tous rouge
Maeva : petit amie ?!!!
Dr Stockton : je plaisante Kevin je plaisante..
Kevin : c'est pas drôle.
Vraiment ces deux la étaient étonnant,il semblait exister entre eux une complicité que Maeva n'avait jamais pu observer dans aucune des relation patient/médecin, mais chez eux c'était très diffèrent ,le docteur Stockton aimait bien mettre Kevin dans l'embarras mais toujours sur le ton de la plaisanterie, mais le coup de la petite amie avait aussi indispose la jeune fille qui n'osait plus regarder Kevin.
Pour détourner la conversation Kevin questionna Maeva sur ces dessins.
Mais dis moi qu'est-ce que c'est sensé représenté lui demanda le garçon
Maeva : je n'en sais trop rien c'est peut-être une sorte de désert
Dr Stockton : un désert tiens c'est assez bizarre j'en est jamais vu des comme ça
Maeva : c'est assez speical je vous l'accorde, mais c'est bien un désert.
Dr Stockton : marrant... et cette espèce de grande colonne que tu dessines au milieu qu'est-ce que c'est ?
Maeva : rien important à détail
Dr Stockton : tiens donc !!!
Kevin : en tout cas c'est un très joli paysage que je trouve la
Maeva : c'est un monde que j'ai appelé Lyoko
Kevin : Yoko !!
Maeva : non Lyoko avec un L comme Livre
Kevin : est ce monde de Lyoko c'est quoi ?
Maeva : c'est le monde de mes rêves
Dr Stockton : de vos rêves
Maeva : il m'arrive souvent d'en rêver
Dr Stockton : et tu fais souvent des rêves aussi étranges.
Maeva : pas toujours parfois je rêve que je suis un oiseau avec des ailes
et que je vole au-dessus de tous.
Dr Stockton : c'est le fameux rêve de la liberté, aurait tu des envies de liberté
Maeva : peut-être je ne sais pas.
Très rapidement Maeva commença à sympathiser également avec le le tuteur de Kevin le Dr Stockton était vraiment un homme très gentil,ce dernier avait appris de la bouche de Maeva que celle-ci était sous la tutelle du Dr Robinson, le Dr Stockton avait entendu parler de ce dernier mais il n'avait pas encore eu l'occasion de le rencontrer.
C'est alors qu'un le docteur Robinson fit son apparition. dans la pièce,celui ci était étonne de voir que des gens avaient abordé Maeva c'est alors que le Dr Stockton se tourna vers son confrère.
Dr Robinson je présume lança alors le docteur Stockton
oui en effet je suis le docteur Robinson et vous qui vous êtes demanda le tuteur de Maeva.
Docteur Stockton lui répondit le médecin traitant de Kevin.
Les deux hommes commencèrent à discuter ensemble ils décidèrent de poursuivre leur conversation un peu plus loin, il laissèrent ensemble les deux adolescents en sachant que ni l'un ni l'autre ne ferait de bêtise en leur absence.
Puisque cela était autorisé de deux adolescents purent aller faire une petite promenade dans le parc sous la surveillance d'une infirmière bien entendue Maeva ne le savait pas encore mais cette simple promenade allait avoir une influence notable sur le reste de la vie
(1) pour ceux qui connaisse la Maeva des blagues blagues de Xana vous voyez qu'il y a la une sacré différence... chaste et pieuse elle est celle la....
Chapitre 22 combats en Suisse - deuxième partie
28 janvier 2005
Le mystérieux assassin posséder par Xana n'avait pas perdu son temps ,après avoir vaincu le colonel il avait enfermé ce dernier à l'intérieur d'une chambre d'isolement radioactive, mais pour une raison inconnue il avait décidé de ne pas se débarrasser du mystérieux gêneur il c'était simplement contenté de le neutraliser afin que celui-ci ne le gêne pas pour la suite de ces opérations.
Le possédé verrouilla la porte blindée qui servait d'entrer à l'abri antiatomique,ce mystérieux individu prit toutes les mesures nécessaire pour que personne ne puisse entrer à l'intérieur de cette pièce.
de ce côté là il pouvait être tranquille personne ne pourrait passer à travers la lourde porte blindés se qui lui donnerai tous le temps d'agir a sa guise, de plus il venait de mettre au placard la seule personne qui aurait pu lui poser des problèmes.
Le faux laborantins commença à effectuer des manipulations très particulières sur le super-calculateur,le nouveau territoire qui était apparu sur les écrans de l'ordinateur avait un aspect assez montagneux toutefois ce dernier présentait quelques imperfections,a plusieurs reprise celui ci était parcouru de grésillements cela était sans doute dû au fait que la machine que l'organisation de Xana venait de s'emparer n'était pas parfaitement au point.
Le caractère expérimental de la machine rendait la prise de territoire assez instable,pour remédier à ce problème l'organisation Xana avait dû prendre le contrôle d'une personne pour pouvoir améliorer le système.
Pour corriger les défauts le possédé commença à manipuler le hardware de la machine,il opérait avec une vitesse hallucinante,au bout de seulement quelques minutes il avait déjà réussi à stabiliser une bonne partie du Nouveau Monde.
Bien entendu le remue-ménage que le colonel avait provoqué lors du combat n'était pas passé inaperçu, un laborantin qui était venu effectuer des analyses sur le système fut bien surpris de trouver la porte d'accès bloquée même après plusieurs tentatives il n'était pas parvenus à l'ouvrir ce faisant il décida d'aller prévenir Benjamin Morel de la situation.
Pendant ce temps-là le major accompagné de Benjamin et de arthur finissait de visiter les différents laboratoires c'est alors que le laborantin en question arriva pour avertir le jeune homme du problème qu'il venait de rencontrer
Mr Morel nous avons un problème lui dit le laborantin.
Et bien que se passe-t-il lui demanda Benjamin.
Laborantins : l'accès au laboratoire du super-calculateur a été bloquer.
Qu'est-ce que vous me chantez lui dit Benjamin.
Sans entrer dans tous les détails le laborantin expliqua à benjamin qu'en voulant entrer dans la salle du super-calculateur il avait trouvé la porte complètement fermer,sans compter que apparemment des choses anormales était entrain de se passer à l'intérieur du laboratoire il précisa meme avoir entendu des coup de feu mais la il était pas sur de lui,en entendant ceci le major ne mit pas longtemps à comprendre de quoi il en retournait vraiment.
L'attaque venait d'être lancée.............
Sans perdre un instant le major demanda à Benjamin d'aller se rendre sur place après une course effrénée dans les couloirs ils finirent tous par arriver devant la porte blindé,effectivement que celle-ci refusait de s'ouvrir Benjamin avait beau insérer son passe magnétique dans la serrure,le voyant rouge de celle-ci refusait de passer au vert et un bip sonore signalait l'échec de chacune des tentatives, la zone était devenue complètement inaccessible
Y'a-t-il un autre moyen d'entrée demanda alors le major à Benjamin
Le problème c'est que c'est un abri antiatomique on ne rentre pas là -dedans comme dans un moulin fit le jeune homme.
M.Cartwright : il n'y a pas un autre accès quelque part ?
Benjamin : je vous assure cette porte est la seule entrée.
M.Cartwright : qu'elle Poisse.
L'usage d'un vielle abri antiatomique n'était peut être pas la meilleure solution pour une installation scientifique mais cela garantissait au moins l'avantage de protéger le reste des bâtiment en cas de problème technique,mais dans le cas présent le problème était que personne ne pouvaient y rentrer et encore moins savoir ce qui si passait a l'intérieur
M.Cartwright : si au moins on pouvait savoir ce qui se passe à l'intérieur.
Benjamin : remarquez ça c'est possible
M.Cartwright : comment ça
Benjamin : chaque laboratoire et surveillé par un système de sécurité très perfectionner,
M.Cartwright : vous m'aviez pas parlé de sa
Benjamin : je ne pensais pas que cela vous intéresserait
M.Cartwright : dans le cas présent c'est le cas
M.Cartwright : on peut dont savoir ce qui se passe la dedans alors
Benjamin : l'ennui c'est que toutes les caméras n'ont pas été branchées il n'y a que celle de la chambre radioactive est celle de l'entrée
M.Cartwright : sa pourrait suffir ou se trouve le poste de contrôle.
Benjamin : la salle de contrôle auxiliaire se trouve a l'étage supérieur.
M.Cartwright : dans ces cas-là et il n'y a pas un instant à perdre allons-y tout de suite
Benjamin,Arthur et le major filèrent aussitôt en salle de contrôle auxiliaire pour prendre connaissance de la situation,à l'intérieur du laboratoire les choses commencèrent aussi à bouger,dans le caisson d'isolement où il avait été enfermé le colonel commençait à reprendre ses esprits,ce dernier avait un sacré mal au crâne il passa sa main derrière sa tête pour la frotter.
Jolie bosse se dit-il
Il se releva péniblement pour faire le point de la situation,apparemment il venait d'être enfermé dans une pièce qu'il ne connaissait pas,les parois métalliques qui la composaient étaient blanches et sur le côté il y avait une sorte d'ouverture composé de volet en métal, en face de lui il y avait une porte pourvue d'un hublot.
le colonel s'approcha de la porte pour l'ouvrir mais rien à faire celle-ci était verrouillé depuis l'extérieur,il jeta un coup d'oeil à travers le hublot pour voir ce qui s'y passait.
c'est alors qu'il vit son mystérieux agresseur en train de travailler sur une partie du super-calculateur.
Ce qui surpris le colonel c'était la vitesse ahurissante à laquelle se déplaçait son agresseur, de toute sa vie il n'avait jamais vu quelqu'un de faire preuve d'une telle vélocité c'était quasiment surhumain, en l'espace de deux secondes l'individu passait d'un bout à l'autre de la pièce pour effectuer des manipulation à différents endroits de la machine, ces mouvements était si rapide qu'ils étaient à peine perceptible par la vision humaine.
Mais qu'est-ce qu'il fabrique se demanda alors le colonel
Entre la programmation informatique et la manipulation de composants l'individu semblait avoir fort à faire de toute évidence il essayait de maintenir et de corriger les imperfections qui provenaient du système à l'intérieur du caisson le colonel chercha un moyen de se sortir de cette situation.
il commença à frapper sur les parois qui constituaient la lourde porte mais celle-ci était trop solide,toutefois le bruit qu'il générait étaient particulièrement gênant car il perturbait la concentration de son agresseur.
afin d'avoir la paix le possédé décida alors de se débarrasser de son encombrant invité il se rendit à proximité de la console de contrôle de la chambre et commença à programmer une nouvelle série d'instructions.
à l'intérieur du caisson les volets mécaniques commencèrent à s'ouvrir sur l'un des côtés,ils laissèrent apparaître un système tres etrange,par instinct le colonel savait que cela ne présageait rien de bon et il avait bien raison car il s'agissait en fait d'un canon à particules.
Le faux laborantin venait de programmer une séquence d'irradiation différée dans quelques minutes tous le caisson allait être irradié provoquant inéluctablement la mort du colonel.
A l'extérieur du laboratoire le major accompagné et deux autres scientifiques étaient arrivé en salle de contrôle de là ils avaient pu activer toutes les caméras pour voir ce qui se passait dans le laboratoire malheureusement une bonne partie du système vidéo a été endommagé lors de son combat quelques-unes des balles avaient touché le boîtier de transmission qui se trouvait à l'intérieur du laboratoire la seule caméra qui était fonctionnelle était celle qui se trouvait à l'intérieur du caisson.
Au travers de l'écran monochrome le major pu apercevoir le colonel qui était en train de taper contre la porte du caisson pour essayer d'en sortir
Benjamin : bon sens mais comment est ce qu'il est arrivé là -dedans
M.Cartwright : visiblement quelqu'un la enfermer dedans.
Mais le problème de la capture du colonel ne s'arretais pas la, sur le moniteur on put voir que des flash lumineux avaient fais leur apparition.
M.Cartwright : c'est quoi cette lumière.
Benjamin : ça c'est très mauvais
M.Cartwright : que voulez-vous dire
Benjamin : quelqu'un vient de lancer le programme d'irradiation de la chambre
M.Cartwright : quoi,vous voulez dire que cet chambre va être irradié
Benjamin : j'en ai bien peur.
M.Cartwright : il faut faire quelque chose
Benjamin : nous n'avons que 10 bonnes minutes avant que le processus soit complètement actif .
M.Cartwright : il faut arrêter le système
Benjamin : mais d'ici on peut rien faire
M.Cartwright : y a-t-il un moyen de couper l'alimentation.
Benjamin : depuis l'extérieur ce n'est pas possible
M.Cartwright : dois-je comprendre que votre laboratoire à un générateur interne.
Benjamin : d'une certaine manière oui nous avons utilisé un GTR,( générateur thermo électriques à radio-isotope)
M.Cartwright : c'est une blague
Benjamin : malheureusement non
M.Cartwright : l'alimentation de ce système est donc permanente.
Benjamin : et sa pour les 200 prochaines années.
M.Cartwright :c'est très malin ça
Benjamin : comment aurions-nous put prévoir un tel cas de figure.
Cela paraissait être une évidence ce laboratoire était un centre de recherche pas une base militaire,personne ne pouvait s'attendre a une attaque comme celle de que l'organisation avait l'habitude de lancer, mais l'heure n'était pas aux reproche, la vie du colonel était en jeu ,le major devait trouver un moyen pour le sortir de ce mauvais pas.
M.Cartwright : sinon est-ce qu'il y aurait un moyen pour forcer la porte
Benjamin :ça va être dur elle mesure 40 cm d'épaisseur même au chalumeau sa prendrait un temps considérable.
M.Cartwright : et avec un explosif se pourrait le faire.
Benjamin : vous voulez faire sauter la porte
M.Cartwright : c'est un peu radical mais efficace.
Benjamin : mais nous n'avons pas d'explosifs sous la main.
M.Cartwright : vous avez bien un laboratoire de chimie il me semble.
Benjamin : on en a mène plusieurs il sont situer dans le bâtiments des sciences.
M.Cartwright : dans ce cas-là c'est parfait.
Benjamin : que voulez-vous faire
M.Cartwright : accompagnez-moi là -bas je vais vous montrer.
conscient que sa vie était en danger le colonel se mit à frapper encore plus fort contre les parois mais ces efforts restèrent vains celle-ci refusait délibérément de s'ouvrir,une certaine forme d'angoisse commença à s'emparer du colonel, sa respiration c'était accélérée, son coeur battait plus vite et son sang commençait à lui taper dans les tempes. il cria alors à son mystérieux agresseur de le laisser sortir, celui-ci n'en avait cure il était bien trop occupé a travailler
Le colonel se plaqua alors contre la paroi de la porte et commence à frapper du poing contre celle-ci
Cette enflure et décider a m'éliminez se dit-il à cet instant.
Mais le colonel refusa de se laisser aller au découragement il essaya encore une fois de forcer la porte avec ces pauvres moyens c'est alors qu'au travers du hublot il assista alors à une scène pour le moins étrange.
Le mystérieux possédé fut soudainement frappé par derrière ce dernier s'écroula sur le champ le sol la seule chose que le colonel put entre apercevoir au travers de sa cellule fut la présence d'un jeune homme vêtu d'une étrange combinaison jaune et armée de deux sabres.
Ce dernier venait de mettre hors combat son mystérieux agresseur,à présent le jeune homme se rendit en direction de la machine,il rengaina alors le sabre qu'il tenait dans la main droite pour porter cette dernière à son oreille de toute évidence celui-ci était en train de communiquer avec quelqu'un.
se tournant légèrement sur le côté le colonel pu entre apercevoir légèrement son visage sans pouvoir l'identifier clairement,le colonel vit juste qu'il s'agissait d'un adolescent.
Il était tellement absorbé par sa tache que le jeune homme n'avait pas remarqué la présence du militaire dans le caisson.
Après avoir pris ces instructions le jeune homme dégaina à nouveau son deuxième sabre et s'avança près de la machine apparemment celui-ci avait l'intention de s'en prendre à elle mais avant même qu'il eût le temps de faire quoi que ce soit le super-calculateur commença à subir une défaillance.
Personne ne s'en était rendue compte mais la cuve en inox qui contenait le coeur du système avait été touché également par l'une des balles a sa base, ce qui faisait que l'azote liquide avait commencé à se répandre dans une partie du laboratoire se faisant une bonne partie du microprocesseur n'était plus refroidis ce qui avait entraîné un échauffement de ce dernier.
La température du coeur était arrivé à son point de fusion, le super-calculateur commença à subir des dégâts, à cause des surcharges de nombreux systèmes commencèrent a explosé
Ces anomalies agir sur le corps du possédé mais il ne fut pas le seul à en ressentir les effets de la même façon qu'il était apparu le jeune homme disparu soudain dans un éclair de lumière sous les yeux ébahis du colonel.
La machine subissait de toutes part des dégradations, les cours circuit s'enchaînèrent,cependant en ce qui concernait la situation du colonel celle-ci était inchangée, le système du super-calculateur avait beau être en train de s' auto détruire le militaire était toujours coincée à l'intérieur du caisson et le processus d' irradiation était sur le point de s'activer dans quelques secondes toute la chambre serait submerger par une radiation mortelle.
Alors que le super calculateur était entrain de subir des dégâts le mystérieux territoire en subissait le contrecoup, il commença à se disloquer et la tour active disparu, pourtant un phénomène étrange commença à se produire, dans l'une des parties isolées de ce territoire montagneux le halo d'une des tours vira au blanc.
en l'espace de quelques secondes des éclairs blancs commencèrent à jaillir de la console de commande pour se jeter sur le système de contrôle de la chambre irradiation.
à l'intérieur de celle-ci le canon à particules avait commencé à émettre des radiations s'est alors qu'un éclair plus puissant que les autres vint frapper le canon à particules la décharge d'énergie qui s'en suivit fut si intense que toute la pièce fut d'un seul coup inondé d'une intense lumière blanche.
Pendant son temps le major était revenu du laboratoire de chimie à l'aide de tous les composants qu'elle avait pu trouver là -bas elle avait préparé un explosif rudimentaire et son intention affichée était bien de faire sauter la porte.
après avoir placé sa préparation sur les points stratégiques elle fit sauter les gonds de la porte celle-ci présentait l'avantage d'avoir été assez vétuste ce qui facilita le travail des explosifs
Après un terrible explosion la lourde porte blindée vacilla et tomba sur le sol libérant en même temps un monstrueux nuage de fumée, cette fumée provenait du super-calculateur qui était en train de brûler
Même si cela pouvait être dangereux le major pénétra à l'intérieur de la pièce équipée d'un masque à gaz qu'elle avait trouvé dans l'une des consignes de pompiers
elle ne fut pas la seule à arriver sur les lieux, le lieutenant Fraggle c'était lui-même rendu sur place
A l'aide du micro que portait le major il avait entendu tous ce se passait, et avait donc décidé d'intervenir.
Accompagné de plusieurs agents ils pénétrèrent tous dans la pièce, malgré l'épaisse fumée il arrivaient a distinguer ce qui se passait
Le sol était jonché de plusieurs composant brûler, le super-calculateur avait totalement pris feu, le major et le lieutenant s' approchèrent de la chambre d' irradiation, le major déverrouilla la porte, quand celle ci ouvrit elle vit le colonel qui gisait sur le sol.
Ce dernier était semble-t-il encore vivant mais inconscient sans attendre ils le transportèrent à l'extérieur.
Les pompiers et les services de sécurité avaient été avertis, il intervinrent rapidement pour maîtriser incendie, le colonel inconscient fut immédiatement transporté à l'hospital, tandis que son agresseur fut pris en charge par les agent spéciaux..
Loin de se tumulte en un lieu inconnu un mystérieux vaisseau venait de quitter se nouveau monde virtuel qui venait soudain d'imploser, a son bord le jeune homme recevait les félicitations de la part d'autres personnes, en toutes modestie le guerrier répondit qu'il n'avait rein fait en prétextant que la machine c'était détruit d'elle-même.
Quoi qu'il en soit cette mission improvisé était un grand succès pour ces personnes meme si il avait découvert par hasard la création de cette endroit au cours de leur exploration.
Il avait put empêcher leur ennemis de faire quoi que se soit..
Ailleurs dans le monde les événement s'accélérai, un centre en Sibérie venait d'être pris pour cible, en ce moment meme des navires faisaient route vers cette endroit avec a leur bord une cargaison de matériel électronique très spécial.
chapitre 22 invasions 1/2 Kraken
11 septembre 2005
Un peu partout dans la section 5 les voyants d'alarme étaient tous aux rouge,l'ensemble des systèmes de sécurité venaient d'être activés.
Alors que Arnaud était en train de travailler dans son laboratoire ces écrans affichèrent alors le symbole du niveau de sécurité Oméga.
Le niveau de sécurité Oméga était un protocole de pare feu utilisé par la société Cyclotron contre une intrusion au sein même de la section 5,automatiquement tous les accès aux laboratoires furent verrouillés par mesure de sécurité désormais le personnel de chaque laboratoire était donc enfermé à l'intérieur.
Alors qu'elle venait juste de regagner le laboratoire numéro 1 Anthea fut elle-même enfermée à l'intérieur,parmi tous les laboratoires de la section cinq le numéro 1 était celui qui était le plus sécurisé de tous car c'était le seul qui permettait d'accéder au super-calculateur,il était donc parfaitement normal que son niveau de sécurité soit le plus élevé de tous,une fois sécurisé il était impossible à qui que ce soit de pouvoir y pénétrer.
En ce qui concernait Simon ce dernier avait juste eu le temps de rejoindre son bureau avant que les portes de celui-ci soient automatiquement condamnées désormais chacune des salles de la section cinq étaient fermées conformément à la directive Oméga.
Pour qu'une telle mesure se met en place il fallait forcément que la section cinq cours un danger imminent,l'origine de cette alerte n'était pas inconnue du personnel,la directive Oméga était une alerte système activé depuis le super-calculateur.
Son but était de se prémunir contre toutes forme d'invasion extérieure depuis le réseau or une intrusion de ce genre venait précisément d'être détectée.
Avant même que les techniciens eurent le temps de faire quoi que ce soit les systèmes de sécurité réseau avait été déconnecté,désormais le contact avec le réseau était permanent et personne ne pouvait l'interrompre.
cette défaillance technique aussi bien qu'humaine avait provoqué la mise en place de la directive Oméga.
La raison de cette alarme s'expliquait par le fait qu'une étrange masse sombre venait d'immerger de la mer numérique cette dernière se dirigeait maintenant à vive allure en direction de la cité de Neo-Carthage,les capteurs de sécurité ayant détecté sa présence avaient par extension automatiquement déclenché la séquence Oméga.
Depuis l'attaque avorté du mois de mars dernier les mesures de sécurité avaient été renforcées dans la section 5 afin d'éviter tout nouveau problème.
Le mystérieux géant qui s'en était pris aux remparts de la cité n'avait peut-être pas réussi son coup mais les dégâts qu'il avait causé avait inciter les dirigeants a renforcer les défense de la cité,pour cela Tanit était capable de généré un dôme de protection au dessus de la cité.
Cette bulle virtuel était techniquement inviolable en complément de ceci la directive Oméga avait été mise en place pour se prémunir d'un éventuel retour de la part du géant.
Mais en dépit de cette nouvelle mesure de sécurité ce nouvel agresseur avait réussi à contourner les défenses il avait sans peine pu s'introduire aux abords de la cité sans être détecté au préalable de plus cette chose avait réussi à court-circuiter les systèmes de coupure du réseau ce qui faisait que plus personne n'était en mesure d'interrompre la communication entre le super-calculateur et le réseau quoi que voulait faire cette chose elle pouvait maintenant agir en toute impunité mais cela était sans compter sur les systèmes de défense interne de la cité.
immédiatement averti de la même menace que courait Neo-Carthage Tanit c'était mis au centre de son temple afin d'activer les protocoles de sécurité de la cité.
En tant que déesse protectrice et unité de contrôle de Neo-Carthage, Tanit devait impérativement assurer sa protection est celle de la cité.
arrivée au centre du temple elle se mit à genoux sur un autel est dans une position de prière les bras levés au ciel qui évoquait le signe antique de Tanit, elle activa aussitôt le bouclier de protection de la cité.
À ce moment-là autour d'elle une immense colonne de lumière émergea de sa personne,celle-ci sortie par le toit du temple pour frapper les cieux,la colonne d'énergie commença à former une sorte de dôme qui engloba progressivement les rebords de la cité.
Malheureusement le temps d'intervention avait été trop court car déjà la mystérieuse créature avait réussi à s'engouffrer en partie dans la cité, quand le bouclier arriva sur le créature il ne fit que bloquer cette dernière.
Le champs magnétique du bouclier ne faisait que légèrement écraser la créature qui était maintenant paralysées,celle-ci était coincée entre les remparts de la cité et le champ de force du bouclier, elle ne pouvait plus avancer ou reculer elle ne pouvait faire que du surplace.
Bloquer sur les remparts la créature empêchait le bouclier de se former totalement,à cause de ceci Tanit ne pouvait rien faire d'autre que de maintenir l'état de prière dans lequel elle était,si elle venait à relâcher sa concentration le bouclier serait interrompu et la créature aurait le champ libre pour agir.
Bien que partiellement immobilisé la créature qui avait la forme d'un poulpe géant se mit alors a agiter ces énormes tentacules,à l'aide des pointes qui recouvraient les extrémités de celle-ci elle planta ses membres dans différentes parties de la cité qui était à proximité d'elle.
De malheureuses circonstances firent que la créature était arrivée aux abords d'un temple, celui-ci n'était pas n'importe lequel car il s'agissait du terminal d'accès au laboratoire numéro 7 et comble de tout celui-ci effectuait des opérations sur le protocole de la tour que Arnaud avait récupéré.
Sans plus attendre la créature y plongea deux de ses huit tentacules à l'intérieur de celui-ci,rapidement toutes les parties extérieures du temple commencèrent à s'assombrir,les colonnes de ce dernier se recouvrirent de mini tentacule qui jaillissait du sol.
Très vite le terminal d'accès passa sous le contrôle du monstre s'est alors qu'un symbole pour le moins étrange fit son apparition sur tous les écrans du laboratoire,il s'agissait de deux cercles imbriqués l'un dans l'autre dont un quart de la surface était ouverte à l'extrémité haute de celui-ci il y avait une tige tandis que deux autres tiges se trouvaient sur son extrémité en bas a gauche.
Mais le processus ne s'arrêtait pas la sur le toit du temple une tour commença à faire son apparition,et quelque secondes après avoir immergé cette dernière se recouvrit d'une aura rouge c'est alors que sur terre des phénomènes pour le moins extraordinaire se produisirent à cet instant.
Un peu partout dans le laboratoire numéro 7 des décharges d'énergie se produisirent sur les différentes sources d'alimentation du système de ces dernières jaillir des éclairs qui frappèrent la plupart appareils électrique présents dans le laboratoire les scientifiques présents dans celui-ci n'eurent pas eu le temps de réagir pour bloquer ce curieux phénomène.
C'est alors que l'un des appareils électriques infectés lança des éclairs sur l'un des scientifiques l'asommant du même coup,le même phénomène s'étendit à bon nombre d'appareils, après avoir neutralisé la plupart des scientifiques présents dans la pièce ces machines possédé commencèrent à se déplacer de part elle même, elles se rendirent vers le sas qui donnait accès au couloir.
A laide d'une légère décharge électrique lancer sur la serrure, ces dernières arrivèrent à ouvrir la porte,aussitôt tous les appareils se répandirent dans le couloir de la section cinq mais cette folie ne s'arrêtait à la.
Le phénomène se propagea à tous les niveaux du bâtiment, les sections 1.2.3 et 4 furent également touchés.
Partout les appareils électriques se révoltaient,le personnel présent se faisait agresser par tout et n'importe quoi cela allait de la cafetière à la photocopieuse en passant par les instruments de mesure.
Tous ce qui semblait avoir un cordon électrique était irrémédiablement devenu fou,personne ne fut épargnée par ceci.
Alors qu'il était enfin en train d'essayer de comprendre ce qui se passait Arnaud fut attaqué par son taille crayon électrique,celui-ci eut juste le temps d'esquiver une décharge qui frappa de plein fouet le terminal d'ordinateur sur lequel Arnaud travaillait,ne s'arrêtant pas en si bon chemin la machine commença à foncer sur Arnaud,dans un réflexe d'auto-défense celui-ci se saisit d'un plateau métallique posé sur la table de tests à coté de lui,au moment où l'appareil lui bondit dessus il le frappa violemment sur le côté le propulsant contre le mur du laboratoire,ce dernier explosa violemment en touchant sa surface.
Réduit à l'état des débris informes la machine ne représentait plus le moindre danger pour Arnaud,stupéfaits sur le coup le jeune homme rassembla rapidement ses esprits pour comprendre ce qui se passait.
il se rendit alors sur le terminal d'accès du super-calculateur pour avoir un aperçu d'ensemble de la situation sur le Neo-Carthage.
grâce au navigateur intégré à ce système il put voir ce qui se passait dans le monde en 3D
C'est alors qu'au meme titre que bon nombre de personnes il put apercevoir cette chose... cette espèce de méduse géante qui était entrain d'attaquer la cité.
Bon sang mais qu'est-ce que c'est que ce truc dit-il à cet instant.
En observant de plus près cette chose il vit que celle-ci avait pris le contrôle d'un temple mais la surprise qui étonna le plus Arnaud était de voir qu'au sommet de cet édifice une tour était apparue il ne fallut pas longtemps au jeune garçon pour comprendre ce qui se passait cette créature c'était emparé des interfaces de contrôle qu'il avait lui-même découvert et pour une raison inconnue cette chose était capable de s'en servir.
Par l'intermédiaire de ce système d'interface la créature avait réussit à prendre le contrôle de tous les appareils électriques présents Arnaud se doutait bien que ces interfaces étaient très puissantes mais jamais il n'aurait imaginé qu'elle pouvait l'être autant.
Malgré son état de surprise Arnaud savait que la situation était alarmante il fallait donc prendre des mesures directes.
Pas besoin d'avoir fait des études supérieures pour comprendre que cette chose avec des intentions particulièrement agressives, grâce au terminal de communication Arnaud avait découvert également que la même situation était entrain de se reproduire dans tous les laboratoires.
Il vit aussi que cette chose empêchait le dôme de protection de la cité de se former ce qui faisait que Tanit n'était pas en mesure de repousser cette attaque.
Conscient que tous le monde était en danger Arnaud ne pouvait pas rester les bras croisés alors que la situation était entrain de dégénérer, la seul solution que trouva le jeune homme fut de faire appel aux Cartha-guerriers.
Mais ces derniers n'étaient pas en mesure d'agir, la salle d'entraînement ou il se trouvaient avaient été verrouillées à cause de la procédure Oméga, les Cartha-guerriers étaient coincés dans le temple de Arnaud,tous avaient bien senti que quelque chose d'anormal se passait dans la cité mais ils étaient incapables d' intervenir.
Que se passe t'il demanda Didon
Je n'en est pas la moindre Idée fit Hannibal.
Il y a du grabuge a l'extérieur sa c'est sur fit Merkal.
Il y un parfum de guerre dans l'air dit alors Astarté.
En matière de combat la farouche guerrière avait un instinct particulièrement développé,sans même savoir ce qui se passait Astarté avait tout de suite compris qu'un ennemi avait envahi la cité.
Ces autres compagnons d'armes finirent également par en être convaincu à la façon dont le sol tremblait il y avait fort à parier qu'ils avaient a faire à une invasion de grande ampleur,c'est alors qu'une voix résonna au travers des murs de la salle,pour les besoins de l'entraînement Arnaud avait récemment installé un système de communication indépendants qui lui permettait de communiquer avec ses intelligences artificielles.
Ici Arnaud est ce que vous m'entendez fit le jeune homme
Oui Arnaud nous t'entendons lui répondit Hannibal.
Super ça marche fit Arnaud
Astarté : oui maître nous vous entendons tous
Arnaud que se passe-t-il demanda Hannibal
La cité est attaqué leur dit alors le jeune homme.
Cette nouvelle stupéfia la plupart des Cartha-guerriers,mise à part Astarté aucun d'eux ne s'attendait à une telle annonce de la part de leur maître,
Hannibal : la cité est vraiment attaquée.
Arnaud : malheureusement oui Hannibal ce que je redoutais depuis longtemps est arrivé, un monstre géant est entrain de prendre d'assaut la cité.
Hannibal : pourquoi Tanit n'a-t-elle pas activé le bouclier ?
Arnaud : elle là activée mais le monstre à bloquer sa progression maintenant il est coincé entre les remparts et le dôme.
Hannibal : mais c'est catastrophique.
Arnaud : je ne te le fait pas dire,à cause de ceci Tanit est obligé de maintenir le bouclier ce qui fait qu'elle n'est pas en mesure de se défendre.
Hannibal : il faut faire quelque chose.
Arnaud : je suis d'accord avec toi Tanit ne pourra pas garder cet état très longtemps.
Hannibal : vous ne pouvez rien faire pour empêcher ceci
Arnaud : malheureusement non la procédure Oméga fait que nous sommes tous bloqués dans les laboratoires.
Hannibal : si je comprends bien personne n'est en mesure d'agir dans la réalité.
Arnaud : c'est pour ça que ça va être à vous de jouer.
Astarté : vous voulez dire qu'on va se battre.
Arnaud : Oui les enfants l'heure est venu pour vous de faire vos preuves, finit les entraînements cette fois-ci c'est du sérieux.
L'heure de vérité était enfin arrivée, les Cartha-guerriers allaient enfin passer à l'action plus que tous Astarté était ravi elle allait enfin pouvoir faire ces preuves et montrer à tous et en particulier à Hannibal qu'elle était le plus puissante du groupe mais pour ça fallait il encore qu'elle puisse sortir de la salle d'entraînement.
Didon : mais nous ne pouvons rien faire maître nous sommes coincés ici.
Arnaud : ce n'est pas un problème je vais déverrouiller le protocole de sécurité de ce temple ainsi vous pourrez sortir.
Astarté : à quoi avons-nous a faire maître Arnaud
Arnaud : je n'en ai pas la moindre idée Astarté tous se que je peux vous dire c'est que ça nous attaque.
Hannibal : si c'est venus pour nous attaquer il est de notre devoir de nous protéger.
Astarté : nous sommes prêts à nous battre.
Merkal : que devons-nous faire
Arnaud : vous devez repousser se monstre et protéger Tanit.
les Cartha-guerriers avaient bien compris la mission que venait de leur donner Arnaud chacun d'eux se tenaient prêt à intervenir.
En l'espace de deux minutes seulement Arnaud parvint à débloquer le code de sécurité de la salle d'entraînement très vite les portes du toit du temple s'ouvrir.
Sans perdre un instant Cartha-guerriers sautèrent de colonnes en colonnes pour sortis du temple, quand ils se retrouvèrent sur le toit le spectacle qu'ils découvrirent cet instant les stupéfia.
Au loin ils purent apercevoir la créature qui était coincée sur les remparts à cause du bouclier.ce monstre était une sorte de pieuvre géante particulièrement belliqueuse.
ça alors mais qu'est-ce que c'est que ce truc demanda Hannibal
Eh bien on dirait une sorte de poulpe géant répondit Merkal a cette instant
Mais elle immonde cette créature dit alors Didon d'un air un peu dégoûté
Immonde ou pas c'est cette chose que nous devons combattre lança alors Astarté.
En effet il s'agit de votre adversaire dit alors Arnaud.
Astarté : qu'est-ce que nous attendons pour l'attaquer.
attend Astarté ce n'est pas aussi simple,nous ignorons de quoi cette créature est capable lui dit Hannibal.
Astarté : ce n'est rien d'autre qu'une méduse géante, nous allons facilement pouvoir en venir à bout
Hannibal : ça on n'en sait rien
Merkal : je suis d'accord avec hannibal ce gros tas de gelé m'inspire pas confiance.
Didon : c'est vrai il serait suicidaire d'attaquer comme ça.
Astarté ne comprenaient pas la réaction de ses frères et soeurs, le monstre était certes impressionnant de par la taille mais il n'avait pas l'air si redoutable que sa,la guerrière savait quelle pourrait repousser cette créature,mais elle ne pouvait pas croire que les autres soit intimidé par si peu, pour Astarté se comportement prudent se rapprochait de la lâcheté ,chose que la guerrière ne supportait pas autant que la faiblesse de Hannibal.
Astarté : alors qu'est-ce qu'on attend ?
Didon : les ordres du maître
Arnaud : votre priorité est avant tout de repoussé cette créature est de protéger Tanit.
Hannibal : Donc est-ce que tu proposes
Arnaud : il faut vous séparer en deux groupes, deux d'entre vous vont attaquer ce monstre tandis que les autres vont apporter leur soutien a Tanit.
moi je vais attaquer le monstre Astarté.
C'est a Arnaud de décider pas a toi lui lança le guerrier
Astarté : mais....
Astarté avait beau être farouche et impétueuse elle était avant tous très obéissante, elle ne respectait peut être pas Hannibal mais jamais elle n'irai a l'encontre des ordres de Arnaud, ce dernier donna un ordre des des plus étrange a cette instant.
Non Hannibal c'est toi le chef que décides-tu de faire lui dit Arnaud.
Hannibal : moi mais...
Arnaud : oui toi alors que décide tu.
Hannibal regarda autour de lui,tous attendait une réponse de sa part, le jeune guerrier virtuel fit un peu pris au dépourvu,Didon et Merkal savaient qu'en dépit de ces combats il était le plus fort des Cartha-guerriers seule Astarté ne semblait pas d'accord la dessus mais Arnaud en avait fait le chef du groupe et elle devait se plier a contre coeur a ces ordres, conscient que se titre ne lui avait été donner au hasard Hannibal dut prendre une décision
Hannibal : dans ces cas-là c'est simple moi et Astarté nous allons à l'encontre de ce monstre tandis que Merkal et Didon vous protégerez le temple de Tanit, Didon tu utiliseras tes pouvoir pour créer un bouclier autour du temple,il constituera la deuxième ligne de défense.
Didon : très bien chef
Merkal : Ã tes ordres.
Une fois que les instructions furent données les quatre guerriers se séparèrent en deux groupes Hannibal et Astarté partirent en direction du monstre tandis que Merkal et Didon filèrent en direction du temple de Tanit pour appuyer sa procédure de défense.
sautant de toit en toit Hannibal en tête et Astarté foncèrent donc en direction du monstre,alors qu'ils était en train de se rapprocher de la créature Astarté accéléra la cadence jusqu'à en dépasser son supérieur,Hannibal lui cria de ne pas aller trop vite et de l'attendre
Ne va pas trop vite Astarté c'est dangereux lui cria Hannibal
Mais la guerrière ne voulut rien entendre elle fut la première arrivée devant le monstre de leur côté Merkal et Didon avait déjà pris positions devant les marches du palais de Tanit, au même titre que cette dernière Didon se mit à son tour à genoux et commença à entonner un chant de protection, très rapidement tout autour du temple un bouclier de briques hexagonales commença a former un dôme de protection.
celui-ci recouvrit pratiquement l'ensemble du temple de Tanit Didon laissa une ouverture a son sommet, la protection que mettait en place Didon ne devait surtout pas interrompre le flux d'énergie que Tanit était entrain de générer.
Pour protéger ce bouclier de carreaux virtuel Merkal c'était également mis en position de combat levant la main droite au ciel il fit apparaître une lance de combat qu'il fit tournoyer avant de la placer dans son dos en position de garde la main gauche tendu en avant il se tenait prêt à recevoir n'importe quel adversaire.
Les deux IA allaient pouvoir assurer la protection du temple central ,aux extrémité de la cité Hannibal et Astarté avait fini par arriver en face de la créature ils avaient pris position sur le toit d'un bâtiment qui faisait face au monstre.
Vu de plus près la créature était très impressionnante elle faisait au moins 10 mètres de haut et autant de large elle était recouvert sur la partie central d'une énorme carapace pourvu de pique de chaque coté elle avait deux yeux de couleur noire ces tentacules pourvut de pointe acéré mesurait au moins trois fois la longueur de son propre corp,mais plus que tous c'était surtout la présence d'un symbole étrange gravé sur la partie frontal de son corp, il s'agissait du meme signe qui était apparu un peu partout sur les écrans du complexe souterrains .
Ce monstre était assez terrifiant car il semblait ne pas avoir de points faibles en particulier,de plus ces tentacules encore libre constituaient un moyen de défense assez efficace,a coup sur les Cartha-guerriers avait a faire a forte partie.
Comment peut on combattre un monstre pareil dit Hannibal
Astarté : nous allons attaquer à notre façon
Hannibal n'eut pas le temps de placer un mot que déjà Astarté sortie ces deux disques de combat,sautant sur le toit inférieur qui se trouvait en dessous elle lança ces armes sur les tentacules du monstres,fendant l'air avec une rapidité impressionnante les deux projectiles atteignirent leur cible victorieusement mais leur impact fut sans effet sur les tentacules si ce n'est que d'attirer l'attention du monstre sur la présence de Astarté.
Pour répliquer celui-ci envoya deux tentacules pour attaquer Astarté,en bondissant sur le côté la guerrière parvint à esquiver cette attaque au passage elle récupéra ces deux disques, esquivant deux autres tentacules elle couru en direction du monstre en prenant appui sur un mur elle fit un bond extraordinaire est fini par atterrir sur une des tentacules
tenant un équilibre précaire elle sauta ainsi de tentacule en tentacules en prenant parfois appuie sur les murs de quelques bâtiments à chacun de ses sauts elle lançait ces attaques
le but de sa manoeuvre était de trouver le point vénérable du monstre mais chacune de ces tentatives se solda par un échec très vite elle fut rejoint par Hannibal qui procéda de la même manière.
A la différence des disques de Astarte les impacts des glaive de Hannibal avait avec beaucoup plus de succès, il arriva à égratigner les tentacules du monstre mais celui-ci disposait d'une force considérable et ne semble pas pouvoir être arrêter aussi facilement.
il est coriace cria Hannibal en evitant une tentacule.
Pas assez pour moi répondit Astarté qui lança ces disques sur la partie supérieur du monstre.
Tous aux plus les efforts des deux Cartha-guerriers se limitait à de simples piqûres de moustiques qui n'étaient pas particulièrement efficace pourtant chacun continua à essayer de détruire le monstre.
De son côté Arnaud avait réussi à débloquer la serrure électronique du laboratoire, prudemment il se retrouva dans le couloir s'est alors qu'il y vit a ces pieds l'un des techniciens allongés sur le sol Arnaud s'approcha pour voir comment se portait la personne.
Visiblement celle-ci était toujours vivante n'est plus ou moins assommée c'est alors que derrière lui Arnaud entendit un bruit étrange quand il se retourna le jeune homme vit qu'il avait en face de lui un photocopieur.
Se doutant bien de ce qui allait se passer Arnaud pris ces jambes à son cou, une course effrénée entre Arnaud et le photocopieur commença dans les couloirs de la section cinq, Arnaud courait de tous ces forces pour essayer d'échapper à la terrible machine qui très rapidement fut rejoint par d'autres appareils électriques.
Alors qu'il courait désespérément les machines tiraient sur Arnaud des éclairs électriques heureusement que la trajectoire de ces derniers n'était pas précise sinon il y a longtemps que Arnaud se serait fait foudroyée.
au détour d'un autre couloir il finit par arriver devant le bureau de Simon Watson sans plus attendre il y pénétra dedans avec beaucoup de difficultés et ferma aussitôt la porte derrière lui, il put entendre derrière la porte les appareils électrique qui continuaient leur poursuite dans le couloir,grâce à cette ruse il avait réussi à les duper.
Soulagé Arnaud se laissa glisser le long de la porte pour s'asseoir là il put reprendre son souffle alors qu'il était au raz du sol il vit une paire de chaussures qui dépassaient de sous le bureau, intriguer Arnaud se releva pour voir de quoi il s'agissait, quel ne fut pas sa surprise de trouver Simon blottis et caché sous son bureau
Simon !! mais qu'est ce que vous faites la lui demanda Arnaud
ça ne se voit pas que je me cache lui répondit l'homme
Question stupide de la part de jeunes garçon,au moment de l'alerte Simon avait réussi à se réfugier dans le bureau,Arnaud fit comprendre a sinon que tout danger était écarté pour le moment et qu'il pouvait sortir de sa cachette, le business man ne se fit pas prier quand celui ci sortit de sous son bureau Arnaud vit que Simon était blessé au niveau du bras droit
Que vous est-il arrivé lui demanda Arnaud
Mon ordinateur portable à essayer de me manger le bras lui répondit Simon qui pointa du doigt un appareil électronique cassées dans un coin de la pièce.
Simon expliqua à Arnaud que mystérieusement son portables avait essayés de l'électrocuter et de le mordre,et il y avait en partie réussie avant que Simon ne s'en débarrasse mais dans la lutte son bras avait été toucher
Arnaud n'était pas spécialement médecin mais il prit la peine d'examiner le bras de Simon visiblement les blessures de celui ci n'étaient que superficielles mais la décharge électrique que Simon avait reçu lui avait tétanisé le bras droit ce qui le rendait complètement inopérant.
Arnaud est ce que tu veux m'expliquer ce qui se passe en ce moment lui demanda Simon
De toute évidence nous subissons une attaque fit le jeune homme lunette.
Simon : une attaque !! de la part de qui ?
Arnaud : un monstre géant est entrain de s'attaquer à la cité de Neo-Carthage, celui-ci a pris le contrôle du laboratoire du numéro 7 et a activer une tour.
Simon : vous me parler de la tour que vous avez récupérés.
précisément fit Arnaud
Simon : c'est pas vrai.
Arnaud : que fait ce protocole dans le laboratoire 7
Simon : c'est moi qui l'ai confier autres techniciens pour développer les propriétés de cette dernière avec le système de la cité.
Arnaud : on peut pas dire que c'est une réussite ils l'ont tellement bien développé qu'il est en train de se retourner contre nous.
Simon : comment vouliez vous que je prevoie un tel cas de figure
Arnaud : je vous avais pourtant avertis qu'un danger nous menaçais.
Depuis au moins 5 semaines Arnaud avait détecté la présence d'écho mystérieux en provenance du réseau,en recoupant toutes les informations qu'il avait déjà Arnaud en avait déduit qu'une attaque allait être éminente.
il avait fait part de ses inquiétudes à Simon,mais celui-ci avait pris ces avertissements un peu à la légère,en finale aucune mesure concrète n'avait été prise pour protéger la cité.
Mais maintenant l'invasion qu'ils étaient en train de subir augurait rien de bon pour la suite,Arnaud se demandait qu'elle pouvait bien être le but de cette créature ?
Qu'est-ce que veut cette chose demanda Simon
Je crois qu'elle est venue pour nous détruire répondit Arnaud.
Simon : nous détruire mais on lui a rien fait a cette chose.
Arnaud : je vous rappelle qu'on a attaqué son monde il y a deux mois.
Simon : vous pensez a une contre offensive de la part de ces personnes
Arnaud : ça j'en sais rien, mais une chose est sur ça nous attaque et proprement.
Simon : ne peut rien faire pour la repousser
Arnaud : j'ai envoyé mes Cartha-guerriers pour essayer de la contrée
Simon : crois tu qu'ils seront à la hauteur ?
Arnaud : sa aussi je l'ignore.
Pour pallier au problème de défense de la cité Arnaud avait dû améliorer ces Cartha-guerriers en prévision d'un désastre.
Mais les événements avaient pris de court le jeune homme,seul Hannibal et Didon était opérationnelle,les deux intelligences artificielles avaient vu leurs pouvoirs renforcer tandis que Astarté et Merkal eux étaient restés sur la touche.
Arnaud : tout ce que vous nous pouvons faire maintenant c'est nous en remettre à eux
Simon : il y a rien d'autres que l'on puisse faire
Arnaud : si j'avais accès à un terminal je pourrais utiliser Vger 2.0 pour lancer une contre-offensive, mais j'y pense qu'avez-vous fait de la télécommande que je vous ai inventé
Simon : je ne l'est pas sur moi.
Arnaud : où est-elle ?
Simon : dans le laboratoire numéro 7,je l'avais laissé aux techniciens pour qu'ils procèdent à des essais sur la tour
Arnaud : ce qui veut dire que Vger 2.0 se trouve dans le temple infecté.
Simon : il y a des chances
Arnaud : quelle poisse....ceci dit peut-être pas....
Simon : que voulez-vous dire ?
Arnaud : finalement c'est une chance qu'elle soit là -bas.
Simon : pourquoi ça ?!
Arnaud : nous pourrions lancer une contre-attaque depuis le temple lui-même
Simon : vous avez une idée
Arnaud : peut être si je peux accéder à un terminal je pourrais activer manuellement la commande d'auto défense de Vger 2.0
Simon : sa pourrait marcher
Arnaud : disont que j'ai bricolé quelques petites améliorations sur la sonde
Simon : quel genre d'amélioration
Arnaud : le genre qui ne manque pas de piquant
Simon : ???
Arnaud : et pour ça et il me faut un terminal donnant accès aux super-calculateurs, quel est le terminal le plus proche.
Simon : depuis mon bureau c'est le laboratoire numéro 9 mais avec tous les appareils électriques qui traînent dans les couloirs vous n'y arriverez jamais
Arnaud entrebâilla la porte pour y jeter un coup d'oeil de tout ce qu'il pu voir c'était des appareils électriques qui se déplaçaient par eux-mêmes dans le couloir, aussitôt il referma la porte aussi discrètement qu'il l'avait ouverte
Arnaud : pour ce qui est de passer par le couloir s'est rapé
Simon : je vous l'avait dit.
Arnaud :mais merde il doit bien y avoir un moyen d'accéder à ce laboratoire.
Simon : remarqué il y a peut-être une solution
Arnaud : laquelle
Simon : il faut passer par les conduits de ventilation
Arnaud : vous êtes sérieux
Simon : c'est la seule solution
Alors que le combat faisait rage aussi bien sur terre que dans le monde virtuel, Anthea c'était retranchée dans le laboratoire numéro 1, à partir de son terminal d'accès elle communiquait avec sa petite fille virtuelle.
Tanit lui expliquait la situation,à cause du fait que le monstre etait coincé entre le bouclier et les remparts elle ne pouvait pas quitter son poste sous peine de voir le bouclier disparaître ce qui la rendrait tous simplement vulnérable.
le problème c'était que pour maintenir le bouclier dans cet état n'était pas facile pour Tanit, cela lui demandait une grande quantité d'énergie est déjà les réserves de celle-ci étaient en train de s'épuiser ce n'étaient plus qu'une question de minutes avant que le bouclier ne disparaisse.
Anthea essayait d'apporter de l'aide à sa fille en dérivant toute l'énergie qu'elle pouvait rassembler,mais à cause de la procédure Oméga la quasi-totalité des sources d'énergie externe avait été coupée,sans un autre apport d'énergie Tanit ne tiendrait plus très longtemps.
C'est alors que sans raison apparente une fumée numériques s'échappa de l'un des ports de connexion réseau de la machine cette apparition spectrale pris rapidement la forme d'un petit humanoïde.
à ce moment-là un être vêtu de noir et encapuchonné fit face Anthea ,la scientifique fut stupéfait par ce spectacle,mais ce qui effraya le plus Anthea c'était l'aspect squelettique du visage que cet être mystérieux semblait cache derrière sa tunique ténébreuse.
Qui êtes vous demanda Anthea
Mais l'être ne répondit rien il se contenta seulement d'observer la femme...soudain la créature s'approcha d'Anthea...
chapitre 23 les suspicions de William
14 septembre 2005
L'hospitalisation de Jeremie avait fait grand bruit au sein du collège Kadic,mais son accident n'avait donné suite à aucune poursuite contre la direction de l'établissement conformément au voeu de jeremie ces parents n'avaient pas porter plainte mais il fut quand même demandé au proviseur d'éclaircir cette histoire.
Cette histoire de chute au bord du canal était assez dure à difficile à avaler pour Laurence et Michel, mais si ce n'était pas le cas quelles raisons leur fils aurait-il de leur mentir ?
Bien sûr suite à l'annonce de cette nouvelle beaucoup de rumeurs commencèrent à circuler au sein du lycée/collège Kadic.
Connu comme étant les amis les plus proche de Jeremie toutes la petite bande fut convoquer a tour de rôle dans le bureau du proviseur pour s'expliquer sur les tenant de cette affaire.Mais en dépit d'un interrogatoire poussé par le proviseur et de Jim aucun ne prétendit savoir ce qui c'était passer, de plus comme chacun a l'exception de Yumi était en cours au moment des fait il serait difficile de les accuser de quoi que se soit, il furent donc plus ou moins blanchis.
Blanchis mais toujours suspect ce qui n'allait pas arranger leur affaire car beaucoup de monde Sissi en tête de liste étaient arrivé a la conclusion que cette petite bande d'amis cachais quelque chose, inévitablement une personne finit par se rendre compte que quelque chose clochait dans cette histoire, une personne dont le rôle dans la suite des événements allait être déterminant, cette personne était connu de tous le monde dans le collège a cause de sa récente attitude "bizarroide" qui avait surpris pas mal de personne, il s'agissait ni plus ni moins que de William Dumbar.
Le jeune adolescent rebelle avait compris que quelque chose de louche se tramait, depuis la rentrée le comportement de Yumi et des autres avaient été des plus suspects,par rapport a lui Yumi c'était montré particulièrement distante et ceci bien plus que d'habitude et ces autres amis avaient adopté la même attitude sans compter le fait que Aelita n'était plus la, ce qui avait facilement éveillé les suspicions de William.
Visiblement on lui cachait quelque chose et William était bien déterminée à connaître le fin mot de cette histoire, le lendemain à la sortie du cour d'espagnol il pris Yumi a parts pour mener un petit interrogatoire improvisé,reclu dans un coin tranquille William posa a la jeune asiatique un grand nombre de questions embarrassantes sur ce qui était arrivé à Jeremie.
La jeune fille se contenta de lui donner la version officielle que tout le monde connaissait déjà .... Jeremie avait fait une mauvaise se chute au bord du canal et puis c'est tous.
Mais William n'était pas dupe cette histoire de chute ne tenait pas la route une seule seconde,Yumi lui mentais et il le savait, mais ce qui avait vraiment éveillé ces suspicions ce n'était pas dut au fait que Jeremie se soit blessés en faisant du sport ni l'absence de Aelita qui lui avait mis la puce a l'oreille c'était surtout le regard de Yumi qui l'avait interpeller.
William avait vu dans les yeux de Yumi une chose inhabituelle,c'était de la tristesse une tristesse qu'il n'avait jamais vu auparavant dans le regard de la jeune fille,le regard est parait il le reflet de l'âme et c'est ce que William avait vu chez Yumi c'était de la peine.
Une peine qui se manifestais sous la forme du tristesse que la jeune fille peinait a cacher tant son regard était fuyant, mais comment aurait il pu en être autrement a la suite de tous ces fatidique événements.Ce faisant le jeune garçon se montra encore plus insistant afin que Yumi lui avoue la vérité.
Qu'est-ce qui s'est passé avec Jeremie lui demanda William.
je te l'ai déjà dit,il a été victime d'un accident de sport lui répondit la jeune asiatique.
William : oui ça je sais c'est ce que tous le monde dit mais c'est quoi la vérité.
Yumi : mais c'est ça la vérité.
William : ça j'ai du mal a le croire que me cacher vous vraiment ?
Yumi : écoute-moi bien William on ne te cache rien c'est juste un banal accident
Est-ce que par hasard cela aurait un rapport avec Lyoko lui dit tous bas William.
Yumi ne voulu pas répondre à cet instant mais elle savait très bien que l'absence de réponse ne ferait qu'attiser les suspicions de William,elle persista alors dans ces dires avec un manque évident de crédibilité.
Non ça n'a vraiment aucun rapport avec Lyoko lui dit-elle à cet instant.
À mon avis je crois que ça a tous avoir avec Lyoko lui répondit alors le jeune homme
Comment peux tu croire ça lui demanda Yumi.
William : qu'est-ce que vous croyez, j'ai pas gober cette histoire de Aelita qui repart au Canada juste avant les vacances, vous me prenez pour une bille ou quoi, je sais très bien qu'elle est orpheline et quelle n'a pas plus de famille au Canada que moi en Australie.
Yumi : mais voila c'est que....
..... Que rien tempêta William
Qu'est-ce que ça cache vraiment ? où est passé Aelita ? et qu'est-ce qui est arrivé à Jeremie.
Voila quelle furent les trois questions que posèrent William a Yumi,cette dernière eut du mal a se justifier car le beau ténébreux connaissait toute la vérité il savait que quelque chose c'était passé avant les vacances mais il ignorait quoi.
Ce sentiments de suspicions il l'avait développer depuis longtemps mais cela ne suffisait pas a expliquer tous ceci, une chose irritait particulièrement William dans cette histoire,malgres se qui avait pu arriver ces derniers temps William avait du mal a encaisser que les personnes qui se disaient être ces amis puisse lui cacher quelque chose, visiblement ces dernières n'avaient toujours pas confiance en lui.
C'est tout de même incroyable on se connaît depuis bientôt un an et demi et vous ne me faites toujours pas confiance lança-t-il à Yumi.
c'est pas une question de confiance William c'est que ....fit Yumi qui ne voulu pas finir sa phrase.
C'est que quoi... lui demanda William.
C'est compliquer a expliquer lui fit Yumi.
William : alors explique.
Mais aucune réponse ne s'échappa de la bouche de Yumi,apparemment celle ci n'était pas disposés à lui avouer la vérité, vexer par cette attitude William décida de ne pas accabler plus Yumi qui avait sans le vouloir avait laisser couler une légère larme sur son visage.
Ce spectacle avait convaincu William de ne pas continuer son interrogatoire,cette larme l'avait perturber,jamais a ce jour il n'avait vu Yumi exprimer ou laisser échapper le moindre expression de souffrance mais la c'était diffèrent.
Oui Yumi souffrait et peinait a le cacher,a la jeune fille forte de naguère c'était substituer une une personne plus fragile,une personne a l'âme meurtris pas le remords ce qui la fragilisait intérieurement.mais a ne pas en douter la vrai Yumi et la quelque part et William se devait de la solliciter car dans le fond Yumi n'était pas vraiment comme ça,William savait qu'elle était une personne fragile est sensible mais qui n'osait pas le montrer.
On en reparlera plus tard fit William qui délaissa Yumi sans autres.
N'accablant pas plus Yumi William décida d'aller trouver la seule personne en qui il avait encore plus ou moins confiance,une personne à qui il avait donné un sérieux coup de main juste avant les vacances, une personne qu'il considérait comme un ami....
Ulrich Stern
Quand il se retrouvera en face de lui il avait bien l'intention de lui tirer les vers du nez car si celui-ci était bien son ami comme il l'avait prétendu il n'aurait donc rien à lui cacher, mais la encore il se heurta a un mur, le jeune garçon lui tint le meme discours que Yumi ce qui finit par agacer William
C'est pas vrai pas toi lui dit William.
On te dit la vérité se défendit Ulrich.
William : ne me prend pas pour un idiot Ulrich je sais très bien que Jeremie n'a pas fait qu'une simple chute.
Ulrich : mais crois nous.
Suffit !!! tu est mon ami oui ou non lui lança William a la figure.
Cette réplique très sèche de William figea sur place Ulrich,se dernier était piéger, il ne savait pas quoi répondre à son ami,il était tirailler entre sa promesse et son amitié, les réponses qu'il donna par la suite fur tous sauf adroite et William en profita pour culpabiliser encore plus Ulrich, certes ce n'était pas très fair-play mais il savait que Ulrich serait obliger de lui dire la vérité a ce moment la.
Je n'aurais jamais cru que tu pourrais me faire un coup pareil lui dis alors William
De quoi parles-tu lui demanda le jeune homme
William : Après tous ce que j'ai fais pour toi j'avais cru que nous étions devenu amis.
Mais c'est vrai lui dit Ulrich.
William : alors que me cache tu ?
Mais rien lui fit Ulrich
William : Ulrich si l'on est vraiment devenus des amis tu dois me dire la vérité.
Ce dialogue pouvait paraître un peu surréaliste de voir que William et Ulrich est pu se lier d'amitié pourtant celle ci était réel, beaucoup de choses avaient changé depuis la mort de Xana et notamment l'attitude de Ulrich avait changé vis-à -vis de William.
Une solide amitié c'était tissée entre eux, la démarche avait été longue mais ce fut William qui avait fais le premiers pas, la raison en était fort simple, elle s'appelait Yumi.
Avec le temps est la raison le dragueur a deux balle qu'il était avait finalement fini par comprendre que malgré tous ces efforts Yumi ne voudrait jamais de lui car son coeur ne battait que pour une seule personne.
Même si pour lui cela avait été très dur à admettre il avait décidé d'abandonner Yumi a Ulrich, William aimait tellement Yumi qu'il ne songeait qu'a faire son bonheur, le jeune garçon savait que seul Ulrich pourrait y parvenir a condition que celui-ci trouve le courage d'avouer ces sentiments à cette dernière.
Pendant un mois William c'était employer aider Ulrich a se déclarer a sa belle a force de donner des conseils au jeune homme sur la façons de faire,une solide amitié avait finis par naître de cette complicité. amitié que Ulrich lui avait témoigner un soir de juin en lui disant qu'il étaient amis. (1)
Si Ulrich ne lui avait pas menti ce jour la William estimait que son ami devait lui dire la vérité,William se doutait bien que cette vérité concernait Jeremie et Aelita ,il voulait avoir le fin mot de cette histoire a ce moment la ces questions furent beaucoup plus agressive
Écoute je sais tout lui répondit le beau ténébreux
tu sais quoi lui demanda Ulrich
William : j'ai compris qu'il c'est passé quelque chose avec Aelita.
Ulrich : comment tu peut savoir ça ?
William : en faite je ne sais rein mais je l'ai deviner.
Ulrich : je vois tu as compris alors.
William : non justement je ne comprend rien est c'est pour ça que je veux que tu m'explique de quoi il en retourne.
Ulrich : c'est difficile j'ai promis de rien dire.
William: encore un serment
Ulrich : oui.
Et meme au noms de notre amitié tu ne veux pas trahir ta promesse c'est ça lui fit William.
Tu vois ou est mon problème lui répondit Ulrich.
William savait parfaitement a quel point Ulrich respectait ces promesses et celle qu'il avait semble t'il faite le mettait dans une fâcheuse posture, mais Ulrich en avait déjà trop dit, maintenant William savait que tous lui cachais quelque chose, mais au lieu d'incriminer Ulrich William lui témoigna un monologue pour le moins inattendu.
"Bon je vois que tu veux rein me dire, soit je respect les choix que tu as fait et je ne peux t'en blâmer, mais je veux dire que cela ne changera rein entre nous et je veux que tu sache que quoi qu'il arrive je pourrais vous aidez si vous me le demandez,car quoi qu'il se soit passer sa fait souffrir Yumi et ça je ne peux l'accepter et toi non plus j'en suis sur,alors n'oublie pas ça"
La dernière phrase de William fit mouche,Ulrich étais particulièrement pris en tenaille il ne savais plus quoi faire, entre le serment qu'il avait fait a ces amis et l'amitié qu'il avait pour William, mais ce dernier avait raison Yumi souffrait et Ulrich ne savait comment gérer la situation peut être que William......
.....Peut être que William avait raison dans le fond,il était stupide de persister dans cette voie,pourquoi conserver ce secret ? pourquoi le cacher a quelqu'un qui ne veux que aider son prochain.
Tous se mélangeait dans sa tête mais une chose était sûre c'est que William était près a lui pardonner le faite qu'on lui est caché la vérité et quoi qu'il arrive il les aiderais, Ulrich savait que par nature William tiens toujours les promesses qu'il fait.
____________________________TOUJOURS______________________________
En dépit de tout ce qui était arrivé Ulrich dut rompre son serment estimant que William devait savoir,
Viens avec moi il faut qu'on se parle lui dit il.
Ulrich s'efforça d'expliquer à William ce qui était arrivé un peu avant les vacances il donna tous les détails que se soit de la Re-activation du super calculateur jusqu'à l' expérience qui avait mis Jeremie dans cette état.
A la fin de ce récit William fut particulièrement partagées entre colère et indignation par ce que venait de lui avouer Ulrich.
Pourquoi est ce que vous ne n'avez rien dit demanda William.
Ulrich : tu vois c'était si compliquer sur le coup qu'on a pas vraiment réfléchis
William : et vous vouliez faire quoi ? me cacher la vérité et agir comme si de rien n'était
Ulrich : c'est pas ça mais...
Mais quoi fit William
Ulrich c'est Yumi qui c'est opposer a ce que tu revienne
William : Yumi !!! mais pourquoi ?
Ulrich : ça il faut lui demander
Encore une fois Yumi c'était opposer a la réintégration de William,alors que tous savait que son aide leur serait plus que jamais précieuse dans les combat a venir fallait-il encore qu'ils acceptent son retour,si cela ne posait pas de problème a Ulrich il fallait encore convaincre les autres.
C'est alors que Odd fit sont apparition, celui ci avait discrètement écouter la conversation entre les deux garçons
Moi aussi je suis pour que William soit de la partie fit Odd en sortant de sa cachette
Odd !! mais que fais tu la ? lui demanda Ulrich
Odd : je vous est vu partir ensemble et je vous est suivit
William : alors tu nous espionnait.
Odd : je vous surveillait car j'ai bien sentis que vous alliez parler de notre secret,et a ce que je vois mes doutes était fondé.
Ulrich : écoute Odd c'est pas ce que tu crois...
Ne te justifie pas Ulrich tu as bien fait le coupa aussitôt Odd.
La phrase de Odd étonna les deux garçons qui ne attendais pas une telle réponse de la part du blondinet, mais lui meme était convaincu que le faite d'avoir mis William hors du coup n'avait pas été une bonne idée,dans la situation présente toutes aide serait bonne a prendre et un Lyoko-guerrier de plus ne serait pas un luxe.
Ulrich : Odd qu'est ce que sa veux dire ?
Odd : je veux dire que William a sa place parmi nous
William : quoi tu serais près a m'accepter.
Odd : tu l'as dit toi meme on est tous des amis, et les amis sa n'a pas de secret entre eux
Voila un aveux qui surpris aussi bien William que Ulrich mais Odd nourrissait a peu près les mêmes sentiment que tous le monde, pour lui William était aussi un ami meme si il n'avait pas eu de relation particulier entre eux Odd l'estimait beaucoup.
William : tu est pour que je rejoigne l'aventure.
Odd : Oui car on a besoin de toutes l'aide disponible
William : je comprend et j'accepte.
Ulrich : malgré se qu'on t'as fait tu serais prêt à aider Jeremie et Aelita
William : Bien sûr il n'y a aucun problème ça peut peut-être vous paraît incroyable mais pour moi ce sont aussi mes amis mêmes si je ne les connais depuis aussi longtemps que vous tous je ne vais pas les abandonner.
Ulrich : vraiment
William : Je n'ai jamais abandonné un seul de mes amis.
La loyauté... voilà bien un trait de caractère qui définissait William, dans le fond ce dernier était quelqu'un de courageux qui c'était toujours montré très fidèle en amitié malgré son côté dragueur a deux balles enthousiaste et immature, c'était une personne très débonnaire et dévouée aux autres mêmes si il avait toujours fait preuve d'une certaine incompréhension à cause de son côté rebelle.
William : je suis des vôtres
Je savais qu'on pouvais compter sur toi.fit Odd en lui tapotant l'épaule.
Ulrich : je suis content de voir que tu le prend si bien.
William : je crois que vous ne connaissez encore assez mal, je suis quelqu'un qui tient toujours ces promesses.
Ulrich : je te crois mon ami, je te crois.
Odd : moi aussi je te crois, je sais qu'avec toi on arrivera a sauver Aelita.
Tu le pense vraiment fit William.
Odd :oui être des Lyoko guerrier ça fait partie de notre vie desormais.
William : Finalement c'est à croire que le destin est parfois joueur j'ai toujours su qu'en arrivant ici ma vie serait différente mais pas à ce point-lÃ
À suivre
je m'appelle William Dumbar
chapitre 23 promenade
25 septembre de 2005
"Et bien vous voyez il ne souffre pas seulement d' achromatopsie cérébral il est aussi atteint de certains troubles."
Dr Robinson : et quel genre de trouble ?
Dr Stockton : sur le plan physique il a subi un important traumatisme crânien dans sa petite enfance.
Dr Robinson : et à quoi est dû ce traumatisme crânien ?
Dr Stockton : Kevin avait un père violent qui le frappait souvent,et un jour celui-ci l'a frappé un peu trop fort...
Dr Robinson : et que c'est-il passé ?
Dr Stockton : sa tête a heurté le rebord d'un meuble à cause de ça il est resté trois mois dans le coma.
Dr Robinson : mais c'est terrible.
Dr Stockton : il a eut beaucoup de chance de pouvoir sortir.
Dr Robinson : vous m'en direz tant, mais a t'il garder une traumatisme de tous ça ?
Dr Stockton : sur le plan physique non mais il en garder des séquelles psychologique importante
Dr Robinson : de qu'elle ordre ?
Dr Stockton : il a été très traumatisé par cette expérience de mort ce qui le perturbe un peu.
Dr Robinson : je vois c'est pas facile a gérer pour un enfant
Dr Stockton : lui est moi on travaille dessus mais il reste toujours a vaincre cette peur de l'inconnu.
Dr Robinson : je vois de quoi vous voulez parler
Dr Stockton : ajouter a ça une perte de repère évident du a l absence de famille et la c'est complet.
Dr Robinson : c'est vraiment dégueulasse qu'un parent puisse s'en prendre comme ça à son enfant.
Dr Stockton : je ne vous le fais pas dire,mais que voulez-vous que c'est plus fréquent qu'on le croit.
Dr Robinson : malheureusement je le sais, je suis souvent confronter a ça.
Le Dr Robinson et le Dr Stockton discutèrent longuement des méthodes de traitement qu'ils adoptaient si le cas de Kevin était surprenant celui de Maeva intéressa tous particulièrement le médecin de Kevin, l'histoire de cette amnésique avait de quoi susciter la curiosité du docteur Stockton.
Dr Stockton : mais bon assez parlé de Kevin,si en disiez un peu plus sur votre patiente.
Dr Robinson : Maeva... et bien disons que son cas est assez spécial.
Dr Stockton : qu'entendez vous par "spécial"
Dr Robinson : est bien pas grand-chose, si ce n'est que cet enfant est vraiment extraordinaire sur bien des plans.
Dr Stockton : et qu'a t'elle de si extraordinaire cet enfant ?
Dr Robinson : des petits détails par-ci par-là des choses qui font qu'elle est assez unique
Dr Stockton : ne tourner pas autour du pot comme ça dis moi de quoi il en retourne
Dr Robinson : certaine chose font quelle est très différente des autres enfants
Dr Stockton : je vois si vous faites référence à sa couleur de cheveux,je vous avoue que cela fait d'elle quelqu'un d'unique.
Dr Robinson : il serait réducteur de se contenter de dire sa.
Dr Stockton : et pourquoi ça ?
Dr Robinson : je vais y venir mais pour commencer vous savez quelle est amnésique.
Dr Stockton : et à quoi est due son amnésie ?
Dr Robinson : pour le moment je n'arrive pas à le déterminer
Dr Stockton : avez-vous questionné ses parents sur ce qui pourrait être à l'origine de cette amnésie.
Dr Robinson : l'ennui c'est que Maeva n'a pas de parent.
Dr Stockton : vous voulez dire qu'elle serait orpheline
Dr Robinson : Ça je n'en sais rien, on a découvert Maeva errante et toute seule dans une forêt de cet état, elle n'a ni identité ni passée.
Dr Stockton : c'est donc une parfaite inconnue.
Dr Robinson :ces origines sont un vrai mystère mais cela ne s'arrête pas la, elle est vraiment unique.
Dr Stockton : mais qu'est-ce qui la rend si unique que ça.
Dr Robinson : est bien me croiriez-vous si je vous dis qu'il y a encore un mois elle était incapable de parler et d'écrire.
Dr Stockton : la j'avoue que ça me surprendrait un peu.
Pourquoi dites-vous ça demanda le Dr Robinson.
Dr Stockton : à la façon dont elle parle et se comporte, j'aurais du mal a croire quelle puisse être illettré et aphone
Dr Robinson : et pourtant je vous assure il y a encore un mois elle ne savait pas parler.
Révélations pour le moins surprenante de la part du Dr Robinson,pourtant les expériences que celui-ci avait mené ne pouvait pas être mises en doute et il n'avait pas fallu plus d'une semaine pour que Maeva apprenne à lire et à parler.
Dr Robinson :quand je vous dis qu'elle est unique c'est parce qu'elle a une capacité d'apprentissage comme je n'en ai jamais vu.
Dr Stockton : de quoi parlez vous ?
Dr Robinson : il ne lui a fallu que cinq jours pour apprendre à lire.
Dr Stockton : cinq jours !!!
Dr Robinson : oui même moi j'ai eut du mal à y croire pourtant les faits sont là ,Maeva assimile ce qu'elle lit à une vitesse ahurissante.
Dr Stockton : comment est ce possible.
Dr Robinson : je n'en sais strictement rien
Dr Stockton : si je crois ce que vous dites alors vous êtes tombées sur une véritable surdouée.
Dr Robinson : c'est exactement ce que je me suis dit... cependant...
Dr Stockton : cependant...
Le Dr Robinson était un peu hésitant à vouloir dire ce qu'il s'apprêtait à dire au Dr Stockton, il voulait informer celui ci qu'en plus de ces capacités d'apprentissage Maeva avait un petit quelque chose de plus.
Ce dernier avait remarqué que la jeune fille disposait de quelques facultés spéciales,bien sûr tous ceux-ci n'étaient que théoriques,jusqu'à présent il n'avait jamais trouvé personne avec qui en parler de façon sérieuse.
Mais le Dr Stocktom était un homme à l'esprit très ouvert instinctivement le Dr Robinson savait qu'il pouvait lui faire confiance et lui faire part de ces observations.
Dr Robinson : cette enfant a quelque chose de plus que les autres.
Dr Stockton : c'est-Ã -dire
Dr Robinson : il semblerait qu'elle et des facultés un peu particulières.
Dr Stockton : quel genre de "facultés"
Dr Robinson : je dirai qu'elle a comme.... comme des pouvoirs...
Dr Stockton : des pouvoirs !!
Dr Robinson : je sais ça peut paraître un peu idiot de dire ça, mais j'en suis convaincu
Dr Stockton : qu'est-ce qui nous a amené à penser à sa.
Dr Robinson : des incidents assez étranges qui sont arrivés avec des machines électriques
Dr Stockton : que s'est-il passé ?
Dr Robinson : à deux reprises les appareils électroniques se sont détraqués au contact de Maeva.
Dr Stockton : vous voulez ni qu'elle les aurait détériorer en les manipulant.
Dr Robinson : en les touchant seulement.
Dr Stockton : je vous demande pardon !
Dr Robinson : Maeva n'a pas de manipuler ces appareils, elle c'est seulement contenté de les toucher.
Dr Stockton : et que s'est-il passé lors de ce "contact"
Dr Robinson : ces appareils se sont détruits d'eux même.
Le Dr Stockton peinait un croire ce que lui disait son collègue pourtant celui-ci ne semblait pas plaisanter,mais pour s'en convaincre il fallait plus que les affirmations du Dr Robinson
Dr Stockton : vous n'avez rien pour étayer sa de façon un peu plus rationnelle
Dr Robinson : bien sûr j'aurais quelque chose à vous montrer
Dr Stockton : et de quoi s'agit-il
Dr Robinson : ce sont les radiographies que nous avons effectué sur Maeva, peut-être pourrez-vous me donner un avis.
Dr Stockton : je ne vois pas ce que d'ordinaire radiographies peuvent nous apprendre.
Dr Robinson : croyez-moi Dr Stockton elle sont tous sauf ordinaire.
le Dr Robinson avait l'intention de montrer à son collègue les radiographies effectuées lors de l'I.R.M. de Maeva,quelle ne fut pas la surprise de ce dernier quand il eut en main les fameuses radiographies alors que le Dr Stockton s'attendait à voir de simples photos,il se trouva en face d'un mystère médical des plus complexes.
sur la radiographie on pouvait voir distinctement le système nerveux de Maeva mais à celui-ci se trouvait joint un système parallèle composé de micro filament.
Mais qu'est-ce que c'est que ceux-ci demanda le docteur Stockton.
vous avez devant vous ce qui semble être à l'origine des facultés de Maeva lui répondit le Dr Robinson.
Dr Stockton : mais c'est complètement dingue, comment une chose pareille comment est ce possible ?
Dr Robinson : comme je vous l'ai dit je n'en sais rien.
le Dr Stockton était complètement abasourdi par ce qu'il voyait,il avait entre les mains la preuve flagrante que Maeva n'était pas une enfant ordinaire dès lors l'histoire des facultés et des pouvoirs de Maeva ne semblaient plus être si absurde que sa.
à force de débattre avec son collègue sur le cas de la jeune fille les deux médecins en finirent presque par en oublier leur patient
Dr Stockton : il faudra vraiment que l'on reparle du cas de cette jeune fille.
Dr Robinson : je ne vous le fais pas dire.
Dr Stockton : d'ailleurs en parlant de nos patients ou sont-ils passés
Dr Robinson : ils sont partis faire un tour dans le parc
Dr Stockton : ça ne risque rien
Dr Robinson : rassurez-vous ils sont sous la surveillance d'une infirmière.
Dr Stockton : Ça me rassure.
Pendant ce temps-là Maeva et Kevin se promenaient dans le parc qui se trouvait à l'intérieur de l'hospital,certes il n'était pas spécialement grand il faisait à peine 5000 m² mais il était assez varié pour faire oublier sa petite taille,ces petites allées était paver de gravier,ou des bancs avaient été disposés un peu partout pour que les patients puissent s'asseoir au cours de leur promenade.
Maeva aimait la tranquillité de ce lieu à plusieurs reprises durant ces trois dernières semaines elle était souvent venu dans cet endroit pour s'y détendre un peu en compagnie du docteur et de quelques livres.
Ce que Maeva appréciait de plus dans cet endroit c'était incontestablement la sensation de liberté que dégageait ce lieu, c'était le seul endroit de l'hôpital où elle ne se sentait pas oppresser, le seul endroit de l'hôpital où elle pouvait se tenir loin de sa sinistre chambre pour Maeva ce parc était un peu son petit coin de paradis au milieu de l'enfer.
Sans perdre un instant Maeva se rendit aussitôt vers son banc favori à la différence que cette fois-ci elle n'était pas seule elle pouvait profiter de la compagnie de Kevin à ses côtés,tranquillement assis sur le banc les deux adolescents purent goûtés à la sérénité du lieu.
C'est magnifique comme endroit dis Kevin a Maeva.
Oui je le pense aussi lui répondit Maeva
Kevin : tu viens souvent ici
Maeva : assez souvent, car c'est un endroit où je me sens très bien
Kevin : vraiment
Maeva : ici je me sens libre c'est vraiment quelque chose de merveilleux
Kevin : tu viens toujours seule ici.
Maeva : quand le docteur me le permet oui,
Kevin : tu viens pour t'y détendre.
Maeva : cette exacte je m'installe sur se banc et je me mets à lire des livres.
Kevin : tu aimes lire ici.
Maeva : énormément oui.
Kevin : je vois tu dois souvent dévorer en moyenne un livre par semaine.
Maeva : pas du tous j'en lis 3 par heure.
Kevin : tu quoi !!!... tu te moque de moi la.
Mais non pas du tous c'est la vérité lui répondit la jeune fille.
Kevin : attend mais c'est pas possible,tu me fait une blague.
Maeva : mais non pas du tout
Maeva ne se moquait nullement de Kevin ce qu'elle venait de lui dire était la stricte vérité à chacune de ces entractes de midi Maeva en profitait pour prendre trois ou quatre livres qu'elle dévorait en une heure seulement.
Grâce à ses facultés d'apprentissage Maeva n'avait même pas l'impression de lire les pages il lui suffisait seulement de poser les yeux dessus pour en mémoriser le contenu ce qui témoignait incontestablement du faîte qu'elle disposait d'une véritable mémoire photographique à ce sujet le docteur n'avait aucun doute.
Kevin : tu es vraiment capable de lire trois livres par heure.
Maeva : quatre parfois ça dépend de la taille.
Kevin : mais c'est incroyable et tu lis quoi comme genre de livre
Maeva : principalement des livres de sciences ou d'histoire.
Kevin : tu ne lis jamais de bandes dessinées
Maeva : pas vraiment
Kevin : ni même des histoires à l'eau de rose
Maeva : tu veux dire des histoires d'amours.
Kevin : oui le genre d'histoire que toutes les adolescentes adore.
Maeva : ces histoires-là ne me passionnent pas tellement en fait
Kevin : ah bon et pourquoi ça.
Maeva : c'est que des histoires qui dépeignent toujours un monde rose bonbon et empli de bonheur sa me plait pas
Kevin : tu n'aimes pas ça
Maeva : disons que le rose n'est pas une couleur que j'affectionne particulièrement.
Kevin : tiens c'est bizarre j'aurais cru que le rose était une couleur que toutes les filles appréciaient.
Maeva : est bien pas moi.
Si le bleu était une couleur que Maeva n'aimais pas du tout, le rose était une couleur qui laissait Maeva de glace,elle ne savait pas comment l'expliquer mais cette couleur l'indisposait pour une raison inconnue.
Plutôt que de se perdre en veine explication avec Kevin,Maeva a voulu profiter de l'instant présent,rapidement les deux adolescents en vint à parler de leur médecin et de leurs problèmes respectifs.
Kevin : je trouve que ton Dr Robinson est très gentil
Maeva : oui c'est vraiment quelqu'un qui est très gentil avec moi mais j'ai l'impression que le Dr Stockton et aussi quelqu'un de très sympathique.
Kevin : ça tu peux le dire c'est vraiment quelqu'un de bien il m'aide beaucoup à vaincre ma souffrance
Maeva : tu est souffrant
Kevin : bien sûr Maeva comme tous ceux qui sont dans cet hôpital,on n' envoie pas les gens bien portants se faire soigner.
Maeva c'est logique mais de quoi souffre tu ?
Kevin : c'est un peu particulier.
Maeva : tu pourrais m'expliquer
Kevin : tu veux vraiment savoir
Maeva : si sa te dérange pas d'en parler... oui..
Kevin entama alors le récit de sa vie il expliqua à Maeva qu'en plus de son problème de perception des couleurs il avait subi un léger traumatisme au niveau du cerveau qui l'avait jadis plongé dans le coma, ce traumatisme avait des effets secondaires,comme les maux de tête et la perte de conscience.
Maeva appris d'ailleurs que Kevin allait prochainement subir une opération en vue de corriger cette déficience
Kevin : bon voila maintenant tu connaît l'histoire de ma vie.
Maeva : elle n'est pas très joyeuse
Kevin : c'est vrai mais c'est ma vie .....enfin assez parlé de moi parlons un peu de toi.
Tu sais il n'y a pas grand-chose à dire à mon sujet lui fit Maeva.
Kevin : je suis sûr que tu as plein de choses à m'apprendre
Maeva : je ne sais même pas par quoi commencer
Kevin : commence par exemple par me dire de quoi tu souffres
Maeva : c'est pas vraiment physiquement que je souffre
Kevin : c'est quoi alors ?
Maeva : c'est moralement
Kevin : tu pourrais m'expliquer
Maeva : c'est simple tu vois ici les gens ne sont pas tellement sympathiques avec moi.
Kevin : oui j'ai vu que tu étais tenu à l'écart des autres y compris des infirmières.
Maeva : tu vois même toi tu l'as remarqué
Kevin : et pourquoi est-ce qu'ils agissent comme ça ?
Maeva : parce que je suis différente.
Maeva expliqua alors a Kevin en toute sincérité,comment se déroulait ses journées,le matin elle était toujours servie en dernier lors du petit déjeuner à midi personne ne la côtoyait quand elle mangeait,et lors des activités communes elle était toujours tenu à l'écart des autres.
les surnoms les messes basses et toute les petites piques assassine qui soit Maeva les avaient subi est les subissait.
Quand Maeva eut finis sa confession Kevin fut complètement atterrée parce que la jeune fille venait de lui raconter lui qui pourtant était issu d'un milieu défavorisé il n'avait jamais rencontré une telle discrimination de la part des autres,et pourtant la couleur de peau avait toujours été un obstacle chez lui,mais visiblement en comparaison de ce que subissait Maeva ses malheurs personnels n'étaient rien,suite à cette révélation Kevin se sentit comme indigner par un tel comportement.
Kevin : se sont vraiment des idiots
Maeva : pourquoi dis-tu ça ?
Kevin : je trouve ça tellement ridicule de s'arrêter sur des considérations physiques.
Maeva : c'est ce que je me dis aussi
Kevin : ce n'est pas l'apparence qui compte mais c'est ce qu'on a dans le coeur qui nous rend différents.
Maeva : qu'est-ce qui te fait dire ça
Kevin : c'est parce que c'est quelque chose que je connais vois tu Maeva je suis noir et les gens me jugent justes pour ça
Maeva : c'est ça qu'on appelle le racisme.
Kevin : ça s'appelle surtout de la discrimination.
Maeva : quelle différence ?
Kevin : il y a une énorme différence, que ce soit par tes agissements par l'aspect ou la façon de penser du moment où tu apparais différent des autres il y a une forme de rejet.
Maeva : et pour toi ces pareils.
Kevin : c'est valable pour tout le monde,chez toi c'est la couleur de tes cheveux est bien chez moi c'est la couleur de ma peau...mais au final à quoi ça rime
Maeva : je ne sais pas mais tu vas me le dire
Kevin : et bien ça rime à rien.
Kevin était originaire d'un milieu social très pauvre,dans ce contexte difficile sa couleur de peau était un obstacle,la haine et le mépris ils connaissait sa parfaitement,lui-même avait souvent souffert de discrimination,ce qui d'un certain point de vue faisait qu'il était bien placé pour comprendre ce que ressentait Maeva au fond d'elle,le discours qu'il tint par la suite fit réaliser à Maeva à quel point ce garçon avait lui-même souffert au cours de sa vie le monde que décrivait Kevin était plutôt sinistre pourtant il y avait dans sa voix un brin d'espoir.
Maeva : le monde dans lequel on vit est véritablement terrible.
Kevin : oui je sais mais c'est notre monde et finalement c'est pas plus mal.
Maeva : comment ça ?
Kevin : aussi sinistre que puisse paraître ce monde il a aussi ces bons côtés.
Maeva : difficile de trouver quelque chose de bien dans tout ce que tu m'as décrit.
Kevin : parce que comme tous les autres tu te contente de regarder que la surface des choses.
Maeva : qu'est-ce que ça veut dire ?
Kevin : qu'il ne faut pas se limiter à la surface mais qu'il faut aussi voir ce que les gens on au fond d'eux-mêmes
Maeva : là je ne suis plus
Kevin : s'est simple il faut apprendre à connaître les gens pour ce qu'ils sont vraiment et pas pour ceux qui paraissent être.
Maeva : tu veux dire que les gens qui se fixent ce trop aux apparences passent à côté de ce qu'est vraiment une personne.
Kevin : c'est la quintessence même de tout ça et toi mieux que personne tu peux comprendre sa.
Maeva : moi !! comment ça ?
Kevin : tu le sais, si on ne cherche pas savoir ce que les gens ont au fond de leur coeur on passe parfois coter de l'essentiel.
Maeva : tu le crois vraiment
Kevin :bien sûr dans le fond si on y regarde bien nous avons tous étés faits de la même manière.
Maeva : tu parles de l'acte de procréation
Oui... enfin pas vraiment... comment dire....répondit Kevin en bafouillant
Maeva : tu a parlé de la façon dont nous avons été conçus.
qu'est-ce qui te fait dire que c'est ça lui demanda Kevin un peu troublé par la spontanéité de Maeva.
Maeva : et bien tu me décris bien la reproduction chez les êtres humaine
Kevin : non pas du tous mais ou as tu été pécher cette idée.
Maeva : c'est le docteur Robinson qui m'as fait un cours d'éducation sexuelle, il m'as expliquer comment sa fonctionnait, c'est bien de sa donc tu parle.
Kevin : en faite non je ne parlais pas de sa
Maeva : de quoi parles-tu en fait.
Maeva venait de jeter un blanc sur la conversation en évoquant la sexualité,se rendant compte de ce qu'elle venait de dire Maeva n'osa plus rien ajouter,la simple évocation de relations sexuelles avait suffi à mettre les deux adolescents dans l'embarras.
il y avait un grand silence qui régnait entre les deux enfants,au fond d'elle-même Maeva se sentit un peu troublé par la présence de Kevin à ses côtés,elle ne pouvait expliquer mais son coeur c'était mis à battre beaucoup plus fort et sa respiration c'était accélérée,elle ne se sentait pas très bien mais ce malaise était assez différent de ce qu'elle avait déjà ressenti par le passé,elle éprouvait une sensation à la fois agréable et désagréable dans son ventre c'est comme si des milliers de petits papillons battaient des ailes.
au détour d'un regard discret Maeva remarqua que Kevin était lui-même dans un état de grande nervosité ,le jeune homme était entrain de tapoter ces mains sur ces cuisses,il semblait particulièrement nerveux,la jeune fille se demanda si le garçon n'était pas atteint par les mêmes troubles,mais quel pouvait être la cause de ces troubles ?
C'est alors que comme mue par un réflexe inconnu ils se tournèrent l'un vers l'autre pour prendre la parole,à ce moment leurs visages se frôlerent presque,et leurs regards finirent par se croiser,maintenant l'un comme l'autre ils n'arrivaient plus à décrocher leur regard, ils se regardèrent longuement sans rien dire leurs yeux se perdirent les uns dans l'autres,ce fut instinctivement pour ne pas dire mécaniquement que leur visage commençerent à se rapprocher l'un de l'autre puis a se frôler c'est alors que sans aucune résistance leurs lèvres se rapprochèrent si bien qu'elle finirent par se poser l'une sur l'autre,ce fut pour tous les deux un délicieux instants
Quand leurs lèvres se décolèrent chacun des deux tourna la tête et se mit à rougir de ce qu'il venait de faire,pourtant cela n'était pas vraiment à baiser tout au plus un smack mais celui-ci avait été provoqué chez les deux adolescents une envie irrésistible qu'aucun des deux ne pouvait contrôler,à cet instant Maeva ne savait plus comment réagir face à ce qu'elle venait de faire.
Excuse-moi que je ne sais pas ce qui n'a pris dit alors Maeva.
Non ... non c'est moi qui a mal agi repris aussitôt Kevin.
Maeva : non c'est moi qui agis comme une idiote.
Non je t'assure que c'est moi insista Kevin
Voilà que les deux adolescents se confondaient en excuses réciproques,aucun des deux ne savait comment réagir face à cette situation,pourtant il ne pouvait pas passer tous le reste de l'heure a s'excuser
Oui c'est bien on a l'air malin fit Maeva
c'est vrai je ne sais pas ce qui nous a pris lui dit Kevin.
Maeva : en tout cas c'est étrange comme attitude
Kevin : oui plutôt...mais en même temps...
Maeva : en même temps.....
Kevin : c'est plutôt agréable comme sensation... tu ne trouve pas.
Maeva : est bien pour tous de dire.... oui....
Kevin : oui....
Maeva : c'est vrai que ce n'était pas déplaisant...
Kevin : oui je trouve...
Maeva : c'est l'impression que ça me donne et toi....
Kevin : oui c'était plaisant...
Maeva : dis-moi kevin je peux te poser une question
Kevin : oui bien sûr.
Maeva : voilà assez juste une question un peu gênante
Kevin : qui est...
Maeva : est-ce que c'est comme ça que les garçons embrassent.
en effet c'est une question assez embarrassante lui Kevin
excuse moi j'aurais pas dû te la poser fit maeva confuse
Kevin : non je trouve que tu as bien fait
Maeva : ah bon
Kevin : je te répondrai volontiers,si toi tu me dit que c'est comme ça que les filles embrassent.
Maeva réalisa soudain le sens de la question de Kevin visiblement c'était aussi la première fois que le jeune homme embrassait une fille,lui qui pourtant semblait s'y nature n'avait jusqu'à présent encore connu aucune fille, curieusement Maeva se sentit presque honorer d'être la première à avoir embrassé ce garçon,ce sentiment de gêne qu'elle éprouvait avait maintenant fait place à du plaisir et a de la joie,joie qui fut confortée par ce que Kevin lui dit par la suite
Kevin : en tout cas je trouve que tu embrasses bien.
Maeva : tu trouves
Kevin : c'est mon impression n'est vu que tu es la première fille que j'embrasse,je ne pourrais pas être catégorique.
Maeva : idem pour moi
Kevin : c'est finalement une première pour nous deux
Maeva : oui c'est comme tu dis.
Kevin : finalement c'est très normal ce qui est arrivé entre nous
Maeva : vraiment
Kevin : pourquoi tu en doutes
Maeva : des fois vu mes réactions je me demande si je suis quelqu'un de normale
Kevin : qu'est-ce qui te fait dire ça
Maeva : des petits détails sans importance qui font que....
Kevin : qui font que quoi....
Maeva : qui me donne parfois l'impression de ne pas être à ma place ici.
Kevin : pourquoi dis tu ça...
Maeva : je n'arrive pas a m'expliquer pourquoi je suis la
Kevin : si tu est à l'hôpital c'est pour te faire soigner
Maeva : ça n'a rien à voir avec l'hôpital et s'agit de mon existence
Kevin : que veux-tu dire par lÃ
Maeva : je trouve juste que parfois je n'ai pas ma place sur terre.
Kevin : et qu'est-ce qui te fait dire sa ?
Maeva : comme je l'ai dit ce sont des détails sans importance.
Kevin : moi j'en suis pas si sûr
Maeva : comment peux-tu l'être
Kevin : il est une bonne raison à chaque chose,si Dieu nous a mis sur terre c'est parce qu'il a une bonne raison de faire
Dieu !! mais de quoi parles tu demanda Maeva.
Kevin : eh bien je te parle de Dieu.
Maeva : Dieu c'est quoi ça ?
Kevin : attend une minute tu ne connais pas Dieu.
Maeva : je n'en ai jamais entendu parler
Kevin : voilà qui est étonnant
Maeva : c'est quoi Dieu
Kevin : c'est qui plutôt ..Dieu et notre père à tout celui qui nous a créé et qui nous a mis sur cette terre.
Kevin commença alors à expliquer à Maeva qui était Dieu,cet être tout-puissant qui vivait dans les cieux et qui était le créateur de l'univers et de toutes les formes de vie qui l'habitait,Maeva eut beaucoup de mal à comprendre ce que Kevin lui expliquait à ce moment-là car c'était en totale opposition avec ce que lui avait appris le Dr Robinson et ce qu'elle avait pu lire dans les livres d'histoire,mais plus étrange encore pour la jeune fille c'était le faite que ce soit ce Dieu qui lui est donné la vie.
Maeva : mais ce ne sont pas nos parents qui normalement nous donnent la vie
Kevin : si mais c'est Dieu qui nous donne de notre âme.
Maeva : c'est quoi encore cette histoire d'âme
Kevin : c'est le fondement de toute la religion.
Maeva : tu peux m'en dire plus
Kevin : à l'origine nous sommes tous issue de Adam et Ève, d'ailleurs dans ton propre nom on n'y voit la racine du mot "eve"
Maeva : c'est vrai ça !!!
Voilà bien une choses que Maeva n'avait jamais remarquées sur l'origine même de son propre nom,Kevin continua ses explications sur l'histoire de la genèse,le mythe de la création et sur Jésus-Christ le fils de Dieu,Maeva écouta le récit de Kevin avec beaucoup d'attention,il y avait une telle conviction dans sa voix quand il parlait de ceci que Maeva en fut presque transportée d'allégresse.
Et voilà qui est dieu le père finit Kevin
Maeva : c'est incroyable, mais qui t'a appris tout ça.
Kevin : c'est ma mère qui m'a donné la foi.
Maeva : la foi ?!
Kevin : oui elle m'a appris à avoir la foi
Maeva : qu'est-ce que ça veut dire "avoir la foi"
Kevin : avoir la foi c'est la volonté de croire en quelque chose de plus grand, de croire en quelque chose qui ne s'explique pas.
Maeva : mais ce n'est pas très rationnel comme approche, comment peut t'on croire en quelqu'un dont on a aucune preuve de l'existence.
Kevin : et bien c'est sa avoir la foi en Dieu.
Maeva : c'est vraiment étrange.
Kevin : ça ne s'explique pas,ça se ressent.
Maeva : est-ce que c'est comme embrasser.
Kevin : oui mais en 1000 fois plus agréables.
Maeva : c'est donc si fort que ça à la foi.
Kevin : quand on à la fois on peut accomplir de vrai miracle.
Avoir la foi voila bien un concept étrange qui échappait à la logique de Maeva, Kevin expliqua alors que Dieu était un être d'amour,car en tant qu'enfants de Dieu il les aimait tous,et voir la foi c'est trouver la volonté d'aimer dieu.
Kevin : pour avoir la foi il faut croire en lui et aimer son prochain.
Maeva : avoir la foi c'est croire en quelqu'un qui nous aime mais c'est pas logique du tous.
Kevin : c'est comme l'amour c'est quelque chose qui n'est pas logique.
Maeva : je veux en savoir plus sur la foi et sur Dieu.
Kevin : dans ces cas-là tu n'as qu'à lire la Bible,
Maeva : la bible !
Kevin : c'est le livre qui parle de Dieu
Fort intriguée par ce que Kevin lui avait dit Maeva regagna sa chambre après avoir fait un tour par la bibliothèque pour y emprunter une bible à fin d'en faire son livre de chevet.
le soir venu elle commença à étudier très attentivement ce livre,elle découvrit à l'intérieur une série d'histoire particulièrement fantastique,même si certaines lui semblait cousues de fil blanc certaine interpellèrent en particulier Maeva.
De toutes les histoires se fut le récit de la vie de Jésus-Christ qui lui plaisait particulièrement, toute sa vie cet homme avait subi le martyre, pourtant jusqu'au bout il c'était comporté comme quelqu'un d'exemplaires,en témoignant toujours de l'amour à son prochain,et même sur la croix et au seuil de la mort il avait trouvé le moyen de pardonner aux autres.
Quelque part Maeva se trouvait des points communs avec cet homme,elle qui était systématiquement rayé par les autres enfants, elle qui était si souvent la cible des ragots et des injures,elle qui était si souvent tenus à l'écart des autres à cause de sa différence.
Maeva compris à cet instant que tout ce qu'elle subissait étaient en fait des épreuves,si cela résultait bien de la volonté d'un Dieu que pouvait-il attendre de Maeva ?
Est-ce que la religion pouvait être un exutoire pour Maeva,pouvait-elle trouver dans la foi le salut de son âme ?,en tout cas maintenant elle avait quelque chose à quoi se raccrocher
La foi...
chapitre 23 soins intensifs
Hôpital militaire de Berlin 22 février 2005.
"Et hop un jour de plus"
Vous n'avez rien de plus intéressants à faire que de cocher les cases du calendrier lui dit l'infirmière.
En y réfléchissant j'aurais bien une idée mais il faut être deux pour ça lui répondit l'homme
Infirmière : bien essayé colonel Perec mais ça ne prend pas.
C Perec : vous êtes sûrs
Infirmière : pour la 24e fois n'insistez pas.
C Perec : dommage... pourtant j'aurais cru que la connexion passait bien entre nous.
Infirmière : le genre de connexion auquel vous faites référence ne saurait sûrement pas pour me déplaire mais pas en ce moment.
C Perec : Ah sa veux dire que vous êtes quand même intéressés.
Infirmière : je n'ai pas dit ça.
C Perec : si vous l'avez dit.
Infirmière : non
C Perec : si
Infirmière : mais non.
C Perec : oh que si.
Infirmière : ça suffit je ne relèverait pas le gant de cette affront.
C Perec : remarquer ce n'est pas ça que je vous demande de relever.
Infirmière : obsédé.
C Perec : ben quoi ?!.
Infirmière : je devrais peut être doublé votre dose de calmants.
C Perec : on a envie d'être méchante.
Infirmière : réflexions faites je vais tripler votre dose de calmants.
C Perec : je vois... on prend du plaisir à faire souffrir son petit colonel.
Infirmière : colonel pourriez-vous me faciliter la tâche
C Perec : remarquer je suis en chemise de nuit sa se pose facilement
Infirmière : veuillez me tendre votre membre s'il vous plait.
C Perec : c'est déjà fait.
Mais qu'est-ce que j'ai pas été dire la moi soupira l'infirmière.
C Perec : quoi c'est pas ce que vous m'avez demandé.
Infirmière : donnez-moi votre bras que je vous fasse cette piqûre.
C Perec : vous fâchez pas vous allez faire péter les boutons de votre opulent décolté.
Je vous en prie colonel faite un effort lui supplia presque l'infirmière
Tenez le voilà fit le colonel en tendant son bras gauche.
Sans autre forme de procès l'infirmière injecta sa dose de calmants journalières au colonel,en l'espace de quelques secondes les effets euphoriques et inhiber du colonel disparurent,celui-ci était redevenu d'un seul coup beaucoup plus détendu.
Cela faisait presque un mois que ce dernier avait été envoyé à l'hôpital militaire de Berlin suite à son accident à l'université de Lausanne,il avait été retrouvé quasi inanimé dans un caisson radioactif devant la gravité de son cas il avait été placé aux soins intensifs où il faisait l'objet d'une constante surveillance.
Les radiations auxquelles il avait été exposé était particulièrement nocive,dans un cas d'une telle extrémité le protocole militaire exigeait qu'il soit placé sous haute surveillance médicale,jour et nuit des docteurs se relayaient pour évaluer son état de santé.
d'après ce que leur avait expliqué Benjamin Morel les radiations qui sont en générale émise par la chambre étaient largement suffisantes pour tuer un homme, mais dans le cas présent le colonel semblait faire exception, contre toute attente le brave officier ne souffrait d'aucune forme de dégénérescence cellulaire.
Pourtant au début son état avait été jugé préoccupant,mais par la suite il c'était rapidement remis de ses blessures,pour les médecins qui l'observaient son cas était un vrai mystère par principe de précaution et lui avait administré le traitement que l'on applique en général pour les grands irradiés.
Ce traitement avait pour but de freiner toute dégénérescence éventuelle consécutive à des radiations,toutefois si ce traitement semblait efficace sur le colonel celui-ci avait un effet secondaire des plus étranges.
en effet les produits avaient la particularité d'inhiber le caractère posée du colonel,son hypophyse était très stimulée ce qui lui avait fait adopter une attitude pour le moins débrider.
Il ne pouvait pas s'empêcher de draguer toutes les infirmières qu'il rencontrait,à chaque fois que ces dernières arrivait dans la chambre il les abreuvait de blagues salace et de proposition plus que douteuse accompagnés parfois de petites tapes sur les fesses.
excédé par son comportement les infirmières avaient exigé des médecins qu'ils mettent le colonel sous sédatifs afin de faire taire ces pulsions d'adolescent libidineux.
L'effet était garanties à chaque nouvelle piqûre le colonel retrouvait plus ou moins sa lucidité aussitôt ce dernier présentait ses excuses à l'infirmière pour tout ce qu'il avait dire ou pu faire quand il était dans un état second.
A chaque fois les excuses étaient acceptées,car malgré le côté insolent du colonel à cet instant,les infirmières qui étaient toutes très jeunes pour la plupart n'aurait pas craché sur le fait que le colonel face d'elle son quatre heure, un petit câlin de la part de cet homme ne devait pas être désagréable après le service.
Mais le colonel quand il retrouvait son sérieux le colonel évitait a tous prix de succomber au avance de certaines infirmière qui n'aurait pas demander mieux, déjà que par son attitude de play-boy le colonel se sentais mal mais si en plus il devait passer a l'acte le pauvre ne saurait plus au donner de la tête.
Phénomène pour le moins inattendu beaucoup d' infirmières nourrissait une certaine jalousie à l'encontre de la partenaire du colonel,cette rousse au grade de major venait souvent lui rendre visite
Qu'est ce qu'elle pouvait bien lui vouloir celle la se demandais bon nombre d'entre elle,ce que les infirmières ignoraient c'est que chaque jour le major venait faire un rapport au colonel sur les suites de l'enquête le major en profitait aussi pour lui rendre une petite visite.
Quand le major arriva dans la chambre elle trouva le colonel entrain de lire un rapport sur les derniers incident qui avait émaillé le monde de l'informatique, il fut tirer de sa lecture part la présence du major qui le salua.
Bonjour mon colonel fit le major
Bonjour major lui répondit le colonel
M Cartwright : comment allez-vous aujourd'hui mon colonel
C Perec : très bien et vous
M Cartwright : je vais bien ,ravi de voir que vous aussi
C Perec : je me remet doucement
M Cartwright : j'en suis ravi.
Bien que d'ordinaire le major est toujours témoigné une certaine distance vis-à -vis de son officier supérieur elle cachait difficilement sa joie de savoir que celui-ci avait survécu,elle avait beau se montrer froide et distante elle ne pourrait pas oublier les intentions que celui-ci avait manifestées quand elle-même était à l'hôpital quelque par le major se sentait un peu redevables vis-à -vis du colonel,après tout ne lui avait-il pas sauvé la vie en premier.
M Cartwright : vous allez bientôt pouvoir sortir
C Perec : c'est une question de deux semaine selon les médecins
M Cartwright : on peut dire que vous etes revenus de loin.
C Perec : je ne vous le fait pas dire, être enfermé dans une chambre radioactive et s'en sortir indemne j'ai vraiment eu la chance
M Cartwright : c'est le mot.
C Perec : sans oublier que c'est grâce à vous si je suis encore en vie
M Cartwright : ce n'était rien colonel je n'ai fait que mon devoir
C Perec : c'est sur mais merci quand même.
Depuis le début de son hospitalisation le colonel ne se privait pas de remercier le major de lui avoir sauvé la vie même si celle-ci ne prétextait qu'elle l'avait fait dans le cadre de la mission et que dans le code militaire Britannique on abandonnent jamais ces hommes sur le terrain.
C Perec : et à part ça qu'avez-vous de nouveau à m'apprendre aujourd'hui
M Cartwright : rien de spécial j'ai juste fini de remplir quelques formulaires sur les dégâts occasionnés a l' EPFL
C Perec : laissez-moi deviner ces formulaires se seraient pas par hasard les A 82 et A 83.
M Cartwright : si précisément c'est cela comment le savez-vous
C Perec : le lieutenant Fraggle n'a fait signer les mêmes.
M Cartwright : j'aurais dû le deviner.
C Perec : et vous que vous a-t-on reproché d'avoir détruit.
M Cartwright : pas grand-chose juste les frais de réparation d'une porte blindée
C Perec : celle que vous est fait sauter avec les produits chimiques
M Cartwright : précisément
C Perec : et en ce qui concerne le super-calculateur de M. Morel
M Cartwright : celui-ci a été quasiment détruit dans son ensemble.
C Perec : et qui va payer pour les dégâts
M Cartwright : c'est nous
C Perec : ne me dis pas que le lieutenant Fraggle est encore bloqué là -dessus
M Cartwright : et si il est entrain de résoudre les problèmes financiers de cette opération.
C Perec : en tout cas cette fois j'ai ma conscience pour moi je ne suis pas responsable.
M Cartwright : dans la mesure où vous étiez enfermés dans une chambre radioactive il est clair que vous avez des circonstances atténuantes.
Suite a l'attaque le lieutenant Fraggle avait encore été obligé de faire un constat sur les dégâts occasionné,si la facture promettait d'être encore élevé,cette fois-ci le colonel n'avait pas put être tenu responsable de ces événements puisque lui-même avait été mis hors combat par son agresseur,ce qui le déchargeait de toute responsabilité,l'enquête qui avait été lancé devait déterminer le degré de responsabilité de chacun des protagonistes.
La part la moins importante fut attribuée au major Cartwright,la destruction de la porte blindée fut reconnue comme une solution extrême mais nécessaire pour la circonstance,mais le vrai coupable dans tout ça ,c'était l'homme qui avait été arrêté,il fut facile de prouver que les balles qui avaient percé la cuve en inox provenaient de l'arme de ce mystérieux agresseur.
Bien que blessé cet homme fut sévèrement encadré par les services secrets,le lieutenant Fraggle fut chargé de recueillir les aveux de cet homme,mais l' enquête s'annonçait difficile, l'homme était un sud américain originaire du Brésil,pour le reste personne ne put obtenir plus d'information sur lui si c'est n'est le noms du commanditaire de cette tentative d'assassinat.
C Perec : en parlant de ça avez-vous appris quelque chose de la part de ce Mr personne.
M Cartwright : pas grand-chose pour le moment si ce n'est que c'est un mercenaire
C Perec : un mercenaire pour le compte de qui.
M Cartwright : d'après ce qu'il nous a dit il travaillerait pour le compte d'un certain FICSIX
C Perec : Ficsix !!!
M Cartwright : notre homme est un professionnel et il a été recruté par ce Mr Ficsix pour nous éliminer mais nous n'avons pas plus en apprendre plus à son sujet.
C Perec : donc nous avons un nouvel ennemis.
M Cartwright : c'est fort probable.
C Perec : croyez vous que ce monsieur Ficsix serait rattaché a l'organisation Xana.
M Cartwright : c'est une possibilité
C Perec : ce qui veux dire que l'organisation Xana sait que nous sommes sur ces traces.
M Cartwright : cependant cela complique la situation pour nous.
C Perec : que voulez vous dire ,
M Cartwright : nos services pensent que nous sommes tombés dans un traquenard tendu par W.
C Perec : c'est une blague de votre part ou quoi
M Cartwright : malheureusement non mon colonel
A la suite de cette opération fiasco les autorités supérieur en était arrive a douter des attention de W, après tous personne ne savait de qu'il s agissait et pour le compte de qui il travaillait , il avait prétendu être un allié ,mais cet allié avait conduit deux de leur agent dans un piège la question était maintenant de savoir jusqu'ou il serait près a aller dans la duplicité.
C Perec : ça n'a pas de sens pourquoi W nous aurait il attirer dans un piège.
M Cartwright : qui c'est peut être que W travaille en faite pour l'organisation de Xana.
C Perec : c'est ridicule pourquoi nous conduire sur une fausse piste et nous éliminez une foi sur place, cela attirerait forcement les soupçons sur lui et serais contre productif.
M Cartwright : je vous l'accorde et c'est bien pour ça que la situation se complique on ne sait plus a qui se fier maintenant.
C Perec : ce qui voudrait dire que nous sommes sur la bonne piste en fin de compte.
M Cartwright : que voulez vous dire.
C Perec : admettons que W soit bien innocent,cela voudrais dire que nous sommes devenu gênant pour quelqu'un d'autre alors.
M Cartwright : a qui pensez vous
C Perec : a l'organisation Xana,a MRX ou Mr Ficsix, finalement on ne sait pas pour qui travaille qui, si on part du principe que tous travaille pour Xana alors la question est de savoir à qui nous pouvons bien poser des problèmes.
M Cartwright : ce qui nous laisse...
C Perec : je dirais que Mr. Landsey et sûrement derrière tout ça
M Cartwright : Global Computer
C Perec : c'est la seule piste fiable que nous avons depuis le début.
M Cartwright : seulement je vous rappelle que Global Computer a fermer ces portes
C Perec : oui grade au tact de vos collège de la CIA
M Cartwright : ne m'en parler pas les services secret de chaque pays n' arrête pas de se rejeter la faute entre eux
C Perec : et pendant qu'on se dispute c'est Xana qui gagne en force
M Cartwright : malheureusement oui.
C Perec : sinon vous avez des nouvelles de l'équipe qui surveille le deuxième site suspect
M Cartwright : vous parler de Brayton Wood's
C Perec : celui la meme
M Cartwright : et bien j'ai des informations qui pourrait vous intéresser
C Perec : c'est a dire
M Cartwright : votre idée de laboratoire secret tiendrais bien la route.
C Perec : vous auriez du nouveau la dessus
M Cartwright : en effet figurez vous qu'en étudiant les plans de construction il est apparu que des travaux on été opérer en sous sol du complexe principal.
C Perec : quel genre de travaux.
M Cartwright : plusieurs milliers de mètre cube de roche on été extrait de la montagne pour creuser un puit.
Après des mois d'observation et d'études approfondi sur le site de Brayton wood's, les services secrets Britannique avait découvert des choses anormal sur la construction de ce site,en effet des centaines de mètres cube de roche avait été extrait de l'un des puit de mines existant et des millier de mètres cubes de béton avait été couler a l'intérieur, sous prétexte de stabiliser le site, mais les proportions utiliser ne collait pas avec les besoins du site ,cela était donc apparu suspect
C Perec : je vois et bien-sur cela n'était pas prévu dans les plans initiales.
M Cartwright : il est apparu que c'était pour stabiliser le site mais je n'y crois pas une seule seconde
C Perec : et pourquoi cela
M Cartwright : car une grosse quantité de béton a été coulé dans ce puit
C Perec : quel intérêt
M Cartwright : en temps normal c'est pour solidifier le terrains a fleur de montagne, sinon cela veut dire que quelque chose a été construit la dessous
C Perec : un laboratoire secret avec je paris un joli super-calculateur a l'intérieur.
M Cartwright : c'est fort possible
C Perec : et que croyez que sa cache a part un super calculateur
M Cartwright : ça je n'en sait rien mais une chose et sur le directeur Mr Miller ne veut pas que ça se sache.
C Perec : croyez vous qu'il serait de mèche avec Xana.
M Cartwright : se serais envisageable sinon que pourrait il cacher de si important dans ce complexe souterrain
C Perec : bizarre quand meme pour un généticien fou de se lancer dans le terrorisme.
M Cartwright : le docteur Miller est réputée pour se moquer de l'éthique il faut donc s'attendre a tous de sa parts.
C Perec : que peut il donc fabriquer la dessous ?
M Cartwright : sûrement des expériences sur le clonage humain il parait que c'est son obsession.
C Perec : vous ne croyez quand meme pas que se monsieur s'amuse a bricoler des monstres de Frankenstein dans son laboratoire secret
M Cartwright : vous l'avez dit vous mêmes se Mr Miller est une généticien fou
C Perec : et a quoi lui servirait un super-calculateur
M Cartwright : allez savoir en tous cas nous n'allons pas lâcher cette piste.
C Perec : si c'est tous ce qui nous reste.
M Cartwright : peut etre pas en faite
C Perec : vous avez encore une surprise dans votre manche
M Cartwright : sa se pourrait
Le major sortis un dossier de sa mallette un nouveau dossier,le colonel fur intriguer par celui ci car sur la jaquette il reconnu un alphabet cirylique de toute évidence se dossier était rédiger en russe.
De quoi s'agit il demanda le colonel
d'une nouvelle piste lui répondit la major
C Perec : c'est a dire ?
M Cartwright : vous rappelez de ce que nous a dit Mr Morel
C Perec : vous savez ils a dit tellement de choses
M Cartwright : oui mais en particulier ils a parlé des Quadrihoppes
C Perec : oui ça me reviens il a fait référence a ces micro processeurs
M Cartwright : affirmatif mon colonel,comme vous l'avez entendu ce nom lui été inspiré par quelqu'un d'autre.
C Perec : oui il nous a parler d'un certain Sigmund ... Puzzle je crois.
M Cartwright : Sigmund "Artemus" Kessel
C Perec : ce Mr Kessel aurait aider Mr Morel a créer cette technologie si j'ai bien compris
M Cartwright : il a fait bien plus que ça
C Perec : la vous m'intriguez major Cartwright.
M Cartwright : et je vais meme vous surprendre dans un instant.
C Perec : et qu'avec vous appris sur ce Mr Kessel
M Cartwright : en faisant des recherches sur ce Mr Kessel j'ai découvert beaucoup de choses très intéressantes.
C Perec : ne faites pas languir davantage des mois qu'on vous pensait
M Cartwright : en recoupant des informations sur ce monsieur j'ai découvert que son nom était déjà fiché dans les services secrets.
C Perec : et en quel honneur
M Cartwright : figurez vous qu'il aurait participé à un projet secret de l'OTAN dans les années 70.
C Perec : quel projet ?
M Cartwright : le projet Carthage
C Perec : le projet Carthage
M Cartwright : exactement
C Perec : le meme projet auquel mon père aurait participé
M Cartwright : celui la meme.
Cette annonce saisit immédiatement le colonel, celui ci ne s'attendait pas à ça,mais le major fut catégorique la dessus Sigmund Kessel avait bien participer a ce projet ,ce qui voulait dire que cet homme avait peut être connu le père du colonel,il y a avait la trop de coïncidence pour que ce soit un simple hasard.
C Perec : sa veux dire que ce monsieur a peut être connu mon père
M Cartwright : au même titre que W.
C Perec : qu'est ce que sa veux dire ?
M Cartwright : qu'il y a sûrement un lien avec tous ça, et que W nous envoyer a Lausanne dans un but précis.
C Perec : vous pensez que Sigmund Kessel pourrait être W.
M Cartwright : lui je ne sais pas mais il y avait un autre scientifique qui pourrais être notre informateur
C Perec : de qui s'agit il
M Cartwright : un homme étrange qui se nomme Waldo schaeffer.
chapitre 23 invasions le Skull. deuxième partie.
11 septembre 2005
l'être vêtues de noir faisait face à Anthea, bien que interloquée par cette mystérieuse apparition elle lui demanda instinctivement qui il était et ce qu'il voulait, mais cette espèce de fantôme demeura impassible aux questions de la scientifique il se contentait seulement de dévisager la femme, puis sans raison il s'adressa à elle....
Ailleurs dans le reste du complexe c'était le chaos le plus total, la panique avait fini de s'installer dans tous les laboratoires, face à cette situation tout le personnel avait été pris au dépourvu, de mémoire jamais Neo-Carthage n'avait subi une attaque d'une telle ampleur, tous les acteurs de ce scénario catastrophe essayaient de résister à leur manière.
Dans le monde virtuel les Cartha-guerriers faisaient ce qu'ils pouvaient pour repousser ce monstre géant tandis que sur terre Arnaud et Simon c'étaient barricadés dans le bureau de ce dernier.
Malgrés son bras blesser Simon avait aidé Arnaud a poussé son bureau contre la porte afin de bloquer celle-ci,mais le but de la manoeuvre était aussi de se créer un accès direct jusqu'à la grille de ventilation.
En montant sur le bureau Arnaud arriva au niveau de la boue d'aération,il démontra soigneusement la grille qui recouvrait l'ouverture quand cela fut fait Arnaud vit apparaître devant lui un long et étroit tunnel de métal.
Dans leur malheur on peut dire que la chance leur souriait depuis la panne des climatiseurs certains conduits de ventilation permettait de communiquer entre les laboratoires.
Cette voie royale allait permettre à Arnaud d'atteindre le laboratoire numéro 9 sans encombre c'est Simon qui en avait eu l'idée malheureusement à cause de son bras blessé il ne pouvait pas à emprunter ce conduit la tâche incombait donc au jeune génie de l'informatique.
Arnaud allait devoir ramper sur au moins 200 mètres de galerie,certes ce n'était pas très glorieux d'avoir à se faufiler comme ceci mais c'était le seul moyen qu'il avait pour accéder au terminal numéro 9 sans avoir affronté une horde de machine électriques psychopathe.
Franchement il faut vraiment que j'aille là -dedans lui dit le jeune homme prit d'une certaine hésitation.
Malheureusement je crois pas que nous ayons d'autres solutions lui répondit Simon.
Arnaud : je ne peux pas vous dire le contraire.
Simon : que voulez-vous la situation l'exige.
Arnaud : j'aurais jamais pensé qu'un truc pareil puisse arriver.
Simon : croyez bien que moi non plus.
Ah ça c'est pas vrai si vous m'aviez écoûté on n'en serais sûrement pas là en ce moment lui rétorqua Arnaud.
Simon : Oui mais on va pas revenir là -dessus,ce qui fait et fait, il faut aller de l'avant.
Et moi avec tout ça il faut que je joue le rats de laboratoire dans son tunnel marmonna le pauvre Arnaud.
Simon : si il y avait une autre solution je vous la proposerai, mais là c'est pas le cas.
Arnaud : évidemment
Simon : vous voyez peut-être une autre solution pour nous tirer de ce guêpier.
Arnaud : Si je n'étais pas pressé par le temps j'en aurait sûrement trouvé une, mais la....
Devant la situation présente Arnaud ne pouvait pas dire grand-chose il fallait agir et agir vite,Simon lui souhaita bonne chance aussitôt le jeune garçon grimpa à l'intérieur du conduit,équipé d'une petite lampe de poche il commença à ramper à l'intérieur de celui-ci,Arnaud savait à peu près où il devait aller cependant le réseau de ventilation était un sacré labyrinthe composé de descente et de carrefour à plusieurs reprises Arnaud se cogna la tête contre des poutrelles métalliques qu'il n'avait pas vues alors qu'il n'avait parcouru que quelques mètres le jeune homme commençait déjà à regretter sa décision.
Et dire que j'ai toujours rêvé d'une vie d'aventure est bien me voilà servis se dit le jeune homme en rampant dans le conduit.
...............................N'EST PAS PEUR JE NE TE VEUX PAS DE MAL...............................
Pendant ce temps-là sur Neo-Carthage la situation n'était guère plus brillante alors que Hannibal et Astarté essayaient de repousser le monstre celui-ci venait de lancer une contre-offensive des plus spectaculaires sous les yeux consternée des deux guerriers celui ci ouvrit à la base de sa carapace ce qui semblait être sa bouche aussitôt de celle-ci des milliers de petites créatures en sortirent à la manière d'une nuée d'insectes.
qu'est-ce que c'est que ça s'étonna Hannibal.
on dirait des petites méduses lui répondit Astarté.
Le monstre venait de cracher de minuscule réplique de lui-même à ceci près qu'elle était translucide est capable de voler dans les airs,elles formèrent rapidement un nuage à l'aspect plutôt menaçant,les deux guerriers se tinrent prêts à faire face à une attaque massive mais contre toute attente ces dernières ne se préoccupèrent pas des Cartha-guerriers ces espèces de petite méduse volante partir immédiatement en direction du temple de Tanit.c'est à une vitesse prodigieuse qu'elles atteignirent rapidement le coeur de la cité ou Merkal et Didon c'étaient positionner.
Didon prépare-toi je crois qu'il va y avoir du sport lança alors Merkal à sa jeune amie.
Derrière le champ de protection qu'elle venait d'ériger Didon maintenait son état de prière pour protéger le bouclier de cette invasion aussitôt Merkall fit tournoyer sa lance pour foncer sur les créatures.
A l'attaque fit Merkal en se précipitant sur les créatures.
Avec la fougue téméraire du jeune fauve Merkal se lança au coeur de la nuée,la vitesse de rotation de sa lance était si impressionnante qu'il arrivait à pourfendre en un éclair toutes les petites méduses qui avaient le malheur de se trouver sur son passage,à peine touché celle-ci se décomposait en gerbes d'étincelles
Mais en dépit de cette contre-attaques fulgurantes Merkal ne parvint pas à atteindre tous les méduses ,le champ d'action sur lequel elles étaient réparties étaient beaucoup trop larges une grande majorité d'entre elles arrivèrent à passer au travers de la défense du jeune garçon, malgré ses pouvoirs il était impossible pour Merkal de toutes les arrêtés en même temps.
bons nombres d'entre elles foncèrent sur le bouclier de Didon,les créatures se fracasserent dessus avec une violence incroyable le champ de protection de Didon avait la particularité d'électrocuter et de détruire tous ce qui entraient en contact avec lui,malheureusement généré un tel bouclier demandait énormément d'énergie à la jeune fille et les assauts répétés des créatures commençaient à affaiblir cette dernière qui sentait bien qu'elle ne pourrait pas tenir bien longtemps.
Je ne pourrais pas tenir longtemps lança-t-elle à Merkal.
Essaye de tenir nous n'avons pas le choix lui répondit Merkal qui continuait a détruire autant de créatures qu'il pouvait.
..............................................TU N'EST PAS REEL ..............................................
Allez un peu de courage Arnaud je sais que tu peux y arriver se dit le jeune homme.
Dans les conduits de ventilation où il se trouvait, Arnaud avançait avec très peu d'aisance et cette habituée du clavier n'était guère à l'aise dans ce genre d'exercice de plus sa surcharge pondérale était un sacré handicaps,il était très difficile pour le jeune homme de se mouvoir.
Promis si jamais je m'en sors vivant je me mets en régime jura alors Arnaud
C'est avec toutes les peines du monde qu'il s'avançait dans le conduit, Arnaud n'était plus qu'à une cinquantaine de mètres du laboratoire, en dessous de lui il pouvait entendre le bruit des appareils électriques mais il pouvait aussi percevoir les cris d'horreur du personnel ces terribles échos de terreur raisonnait à travers tous les conduits.
A tous les niveaux du complexe hommes et femmes étaient en train de se faire agresser par les machines électriques,il apparu évident à Arnaud qu'il devait se dépêcher.
Aller Arnaud un peu de courage pense au capitaine Kirk ... que ferait le capitaine Kirk dans cette situation se dit Arnaud pour se donner du courage.
Le simple fait de penser au courageux capitaine de l'entreprise NC 1707 avait suffi a motivé le jeune garçon c'est au prix d'incroyables efforts qu'il parvint à accéder au laboratoire numéro 9,arrivée au-dessus de la salle Arnaud pouvait entre apercevoir au travers de la grille tous ce qui se passait dans le laboratoire apparemment il n'y avait aucune trace d'activité suspecte,aucun appareil électrique ne semblait avoir été affecté dans ce laboratoire.
à l'aide d'un petit tournevis Arnaud commença à démonter soigneusement la grille de sécurité quand il eut fini de retirer les quatre vis qui la maintenait il laissa cette dernière tombée et s'écrasé sur le sol dans un bruit de tôle froissée, ce fut au prix d'une petite acrobatie que Arnaud se faufilla dans le laboratoire.
..............................................MAIS C'EST DE LA FOLIE..............................................
Sur Neo-Carthage la bataille faisait rage Didon et Merkal s' efforçaient a repousser les créatures du mieux qu'ils pouvaient, la pression exercer sur le bouclier était importante Didon sentais bien que ces forces l'abandonnaient alors que les assaut des créature avait double de force, sans compter que le monstre principal avait cracher une deuxième vague alors que Astarté et Hannibal essayaient toujours de le contenir toutes leurs actions se relevait surtout être des numéro d'acrobatie sur tentacules.
Les deux guerriers devaient sans cesse se déplacer pour éviter les tentacules et les attaques des petites créatures, grâce à son agilité Astarté arrivait facilement à esquiver les tentacules Hannibal quand a lui avait un peu plus de mal mais il arrivait tout de même à s'en sortir
Pensant qu'elle pourrait frapper à l'intérieur de la gueule du monstre a l'endroit meme où jaillissaient les créatures Astarté commis l'imprudence de se rapprocher de lui en ne tenant pas compte des mises en garde que Hannibal lui avait données.
Astarté ne t'approche pas de sa bouche c'est trop dangereux lui dit Hannibal à cet instant.
Mais la téméraire guerrière n'écoutait pas les recommandations que lui donnait son chef,elle prit appui sur l'une des tentacules et se jeta en direction de la gueule du monstre disque au poing près a les lancer dans la bouche.
C'est alors que sans y prendre garde une des tentacules frappa Astarté dans le dos la guerrière fut très violemment projetée contre un mur,après avoir heurté celui ci elle tomba lourdement sur le sol alors que ces deux disques se plantèrent juste devant elle.
NONNNNNNNNNNNN...... cria alors Hannibal qui venait de voir la scène
Légèrement sonnés par le choc Astarté n'en était pas moins hors de combat elle commença à se relever péniblement mais au moment même où elle leva le regard elle vit une des tentacules du monstre qui était en train de s'abattre sur elle,n'ayant pas le temps de l'esquiver la jeune fille mit à ce moment-là sa main devant son visage et ferma les yeux devant l'inévitable coup.
...........................FORCE ACCRUE.....................
C'est alors qu'un grand bruit sourd se fit entendre constatant que rien ne c'était passé Astarté ouvrit les yeux et ce qu'elle dit à ce moment-là la stupéfia........
Hannibal venait de s'interposer entre elle et la tentacule il avait bloqué le coup de celle-ci en croisant ces deux glaives pour former une sorte de croix,grâce à ceci il avait put encaissé le coup que portait le monstre et par là même il venait de sauver Astarté.
Un genou à terre et les bras bien en l'air le courageux guerrier arrivait à résister à l'incroyable pression qu'exerçait le monstre pour réussir un tel exploit Hannibal avait dû faire appel à son pouvoir de force accrue.
Ce pouvoir particulier lui permettait de multiplier ces capacités physiques par 10,l'inconvénient c'est que celui-ci lui consommait à 50 % de son énergie à ce stade du combat Hannibal ne pourrait pas maintenir cet état indéfiniment très vite il pria Astarté de se sauver
Ne reste pas là Astarté,je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps lui cria Hannibal
Sans attendre la jeune fille s'exécuta,elle s'écarta rapidement d'en dessous de la tentacule et ramassa au passage ses armes,quand il vit que Astarté ne risquait plus rien Hannibal lâcha prise et ce poussa sur le flan, la tentacule s'écrasa à côté de lui détruisant le mur qui était derrière
Jumelant alors ces deux glaive entre eux le Cartha-guerrier donna alors une terrible estocade et d'un geste rapide il sectionna la tentacule du monstre ce dernier poussa alors un hurlement terrible en retirant son membre blesser, le morceau de tentacule coupé lui gigotait sur le sol en se contorsionant dans tous les sens mais très rapidement elle cessa de bouger pour se désintégrer.
A cet instant Hannibal repartit à l'assaut du monstre et se jeta contre celui-ci réfugiés sur les côtés du bâtiment Astarté observa la scène avec une grande attention elle remarqua alors que le regard du jeune homme avait changé ses yeux était devenu bleu,Hannibal venait d'activer le nouveau pouvoir que Arnaud lui avait confectionné...
------------------------------------ VISION ACRRUE ------------------------------------
grâce à la vision accrue Hannibal etait désormais capable de voir les moindres mouvements de son adversaire,parallèlement sa vitesse et ses réflexes avaient augmenté,grâce à ses capacités renforcées Hannibal se jeta alors contre le monstre et commença à lui asséner des coup d'une rare violence.
...........................................NE T'APPROCHE PAS DE MA FILLE...........................................
De son côté Arnaud avait réussit à se glisser dans le laboratoire numéro 9,à partir du terminal d'accès il parvint à entrer en contact avec Neo-Carthage, il fit rapidement un check-up de la situation.
Il vit alors que deux de ces Cartha-guerriers étaient aux prises avec le monstre géant tandis que les autres assuraient la protection du temple de Tanit, mais d'après les données qu'il relevait sur l'écran de contrôle l'énergie de ces soldats était en train de décroître alors que celle du monstre ne faisait qu'augmenter de façon exponentielle.
Je ne peux pas laisser faire ça se dis alors Arnaud.
Grâce à ses codes d'accès secret Arnaud parvint a activé Vger 2.0,dans les sous-sols du temple numéro 7, s'illuminant de toute part la puissante sonde se mit en marche,sur les écrans de l'ordinateur tous les paramètres fonctionnels de la sonde firent leur apparition,Arnaud avait désormais le contrôle total sur cette dernière.
Activation de la procédure Delta s'écria alors Arnaud.
La procédure Delta était un protocole mis au point par Arnaud pour que sa sonde de bascule en mode de combat.
alors que le combat faisait rage surtout Neo-Carthage le toit du temple numéro 7 explosa soudainement,est ce fut dans un mélange de poussière et de fumée que Vger 2.0 fit son apparition dans le ciel de la cité.
A moi de jouer maintenant dis alors Arnaud
..............................................VOUS AVEZ RAISON ..............................................
Il était temps que Vger 2.0 intervienne,si Hannibal et Astarté peinaient à repousser le monstre,le cas de Merkal était beaucoup plus préoccupant,ce dernier était terriblement affaibli car toutes les petites méduses volantes lui avait lancé de mini des charges d'électricité,toucher à l'épaule et a d'autres endroits du corps Merkal n'avait plus la force de se battre il venait meme de mettre un genoux a terre, Didon qui assistait à la scène ne pouvait malheureusement rein faire,si elle relâchait sa concentration son mur de protection s'effondrait aussitôt,mais pour la jeune IA ce spectacle lui était pénible elle ne pouvait pas laisser son frère se faire détruire sans réagir.
Mais la donne avait changé,grâce à sa sonde Arnaud était en mesure de donner un coup de main notable à ces guerriers,sans perdre un instant il envoya sa sonde pour protéger Merkal,
les mini créatures se jetèrent sur Vger 2.0 pour essayer de les détruire mais leurs efforts furent vains,grâce à la régénération virtuelle la sonde était insensible aux attaques de ses créatures.
Je suis la lança t'il a tous ces guerriers
Maître Arnaud c'est vous lui demanda Didon
c'est toi lui dit Hannibal
Arnaud : oui les amis pardonner mon retard mais me voila parmi vous
Hannibal : c'est magnifique
Arnaud : et le meilleur est a venir, je vous conseil de vous mettre a abri car l'ambiance va devenir explosive.
comprenant ce que leur maître avait l'attention de faire Astarté et Hannibal battirent en retraite,quand il furent hors d atteinte Arnaud commença alors à programmer la fonction spectre, un puissants rayon scanner balaya alors toutes les petites créatures.à peine le scanner fut-il terminé que la sonde commença à générer à son tour des répliques exactes des méduses.
Maintenant la partie va vraiment pouvoir commencer Lança Arnaud
les clones violets se précipitèrent alors sur chacune des méduses, a peine les répliques entraient elle en contact avec les méduses que les clones explosaient en détruisant du même coup les monstres,en l'espace de quelques secondes Arnaud avait complètement nettoyé le ciel de la cité,mais le garçon n'entendait pas à en rester là il généra alors une deuxième série de clone.
Les ressources illimitées de sa sonde lui permettait en produire autant qu'il en voulait,sans plus attendre il lança une vague de clone violet à l'assaut de la créature géante un peu partout des explosions se produisirent touchant et blessant le monstre à divers endroits Astarté et Hannibal qui c'étaient mis en retraite sur un toit pouvaient observer le spectacle en toutes sécurité
Vger 2.0 semblait avoir le dessus c'est presque avec une salve continue qu'elle commença à générer des milliers d'autres petites créatures qui se furent autant de mini bombes qui se jetèrent instantanément sur le monstre,celui ci se tordaient de douleur alors qu'un nuage de particule émergeait de lui,preuve qu'il était très affecter par cette attaque,de son cote Arnaud preparait une quatrième salve de mini monstre,pour le jeune homme il ne fallait surtout pas relâcher la pression.
ça c'est de l'attaque fit Hannibal.
..............................................JE N'AI PLUS RIEN A FAIRE ICI..............................................
La quatrième salve de clones finirent de blesser le monstre s'est alors que celui-ci commença à retirer ses tentacules du temple numéro 7, la tour qui était apparue à son sommet commença à se désagréger, aussitôt les effets sur terre se firent rapidement sentir un peu partout dans le complexe de Cyclotron les appareils électriques cessèrent d'être inanimés
Le monstre venait de cesser de bouger ces tentacules en se contentant seulement de les mettre en remplie comme s'il voulait passer en mode de défense, les Cartha-guerriers aussi bien que Arnaud observèrent cette nouvelle situation tous en restant sur leur garde,étrangement le monstre ne bougeait plus, tous le monde était passé dans une face d'observation mutuelle.
que se passe-t-il de mandat leur Arnaud à Hannibal
je n'en sais rien le monstre ne bouge plus lui répondit Hannibal.
Alors que les événements semblaient se stabiliser un détail attira l'attention de Hannibal,
Au loin il aperçu un être tout vêtu de noir qui c'était posté sur la muraille celui-ci observait les Cartha-guerriers.
Qu'est-ce que c'est que ça demanda Hannibal en désignant le mystérieux inconnu.
je n'en ai pas la moindre idée lui répondit Arnaud
Du haut de son promontoire dominant l'être vétu de noir avait une vue globale sur tout ce qui se passait dans la cité, d'un côté il pouvait voir le temple de Tanit protégée par Didon et Merkal et de l'autre ils pouvaient observer la créature géante ainsi que Astarté Hannibal est Vger 2.0.
Son regard devint alors rouge incandescent,pourtant personne ne pouvait voir son visage sous sa capuche mais ces yeux rouge flamboyant ne présageait rein de bon tous les Cartha-guerriers présent se mirent en garde pour répondre a une éventuel attaque de ce nouveau personnage.
C'est alors que de son corp se transforma alors en nuage de fumée noir,ce nuage commença à se diriger en direction du monstre, c'est sous les yeux des deux guerriers et de Arnaud que le nuage commença à s'engouffrer dans ce qui était le symbole du monstre gravé sur son front.
Quelques secondes après le monstre commença à se retirer en arrière au fur et à mesure qu'il se repliait les parois de protection du bouclier recouvrait les espaces laissés vacants par le monstre quand celui-ci eut fini de se retirer entièrement ces dernières tentacules le bouclier se referma intégralement sur les remparts.
Le bouclier avait entièrement recouvert la cite Tanit puis enfin relâcher sa concentration dans son temple et elle ne fut pas la seule,le bouclier du temple disparut aussitôt Didon harrasse par l'effort s'écroula sur le coté en relâchant sa concentration elle fut rattraper de justesse par Merkal qui la serra délicatement contre son corp, posé sur les genoux du jeune homme Didon lui adressa une sourire.
Merci Merkal fit la jeune IA
Non merci a toi d'avoir tenu jusque la lui dit le jeune tigre roux en souriant.
De leur coté Astarté et Hannibal se précipitèrent sur les remparts pour observer ce qui se passait au à l'extérieur de la cité,de là il virent le monstre s'enfoncer dans la mer numérique dans un tumultueux bouillonnement pour finalement disparaître intégralement, le calme étaient revenu sur Neo-Carthage mais les dégât était considérable.
Sur terre également tout était redevenu normal, les appareils électriques étaient tous retomber aux sol, les personnes valide aidèrent les blessés et la procédure Oméga fut lever toutes les porte s'ouvrirent et le personnel prisonnier pus enfin sortirent, très vite les secours s'organisèrent sous la houlette du docteur Hopper est de Arnaud,Simon fit des pied et des mains pour être soigner en premier alors que d'autres personnes dans un état plus grave furent transporté a l'hospital pour être soigner de brûlures au deuxième degré.
Arnaud regarda autour de lui et fut dégoûte par ce qu'il vit,le paisible centre de recherche ressemblait a un champ de bataille il avait du sang des pleurs partout des gens était meurtris ou d'autres en état de choc mais heureusement on ne dénombrait aucun mort, il m' enpecha que cela donna le haut le coeur au jeune homme qui partis vomir dans un coin.
Une catastrophe venait d'être éviter mais celle ci allait être lourde de conséquence,en attendant il était l'heure du bilan.
Chapitre 24 je m'appelle William Dumbar
15 septembre 2005
Donc vous vous prénommez bien Mr. William Dumbar n'est-ce pas.
En effet c'est bien ça répondit William
Eh bien j'espère mon cher Dumbar que vous allez vous plaire au collège Kadic.
William : je l'espère aussi Mr. le proviseur.
Proviseur : vous verrez vous vous sentirez très bien ici.
William : je n'en doute pas meme si je débarque comme ça a l'improviste
Proviseur : j'admets que votre cas est un peu particulier d'habitude nous n'acceptons pas de nouveau élève en cours d'année, mais vu que c'est la rentrée des vacances de Noël et que le deuxième trimestre est à peine entamé,je n'ai aucune objection à vous voir intégré la classe de troisième B
William : j'espère que ça ne va pas poser de problèmes.
Proviseur : pas le moins du monde, j'ai récemment eut votre père au téléphone et j'ai reçu votre dossier scolaire dans les délais de ce côté-là tous est en règle il n'y a aucun problème.
William : alors c'est tout bon.
Proviseur: toutes les formalités ont été réglées,maintenant je vais demander au surveillant de l'internat de vous conduire à votre nouvelle chambre.
William : merci Monsieur le proviseur.
Le proviseur contacta sa secrétaire via son interphone,afin que celle-ci appel le responsable de l'internat, quelques minutes après un homme plutôt Baraqué vêtu d'un survêtement rouge
et d'un pansement sur le visage les cheveux en pétards dissimulé en partie derrière un bandana blanc fit son entrée dans le bureau du proviseur tout de suite sa carrure impressionna le jeune homme qui répondait au prénom de William.
Monsieur le proviseur Jim morales au rapport fit alors l'homme.
Je vous en prie Jim arrêtez d'être aussi formels lui dit le proviseur en soupirant
Jim : excusez-moi monsieur le proviseur.
Proviseur : Jim je vous est appelé pour que vous emmeniez Mr Dumbar jusqu'à sa nouvelle chambre.
Jim : alors ce garçon est notre nouvelle élève si je comprends bien
Proviseur : oui et je compte sur vous pour l'escorter jusqu'à sa chambre et lui expliquer au passage les règles de l'internat.
A vos ordres monsieur le proviseur répondit Jim en faisant un salut militaire
Proviseur : et par pitié Jim arrêtez de vous comporter en soldat ce n'est pas l'armée ici.
Pardon Monsieur le proviseur s'excusa alors Jim.
Mr Dumbar je vous laisse en compagnie de Jim il va tous vous expliquez fit le proviseur à William.
Merci M. proviseur répondit poliment William.
Proviseur : je vous en prie ce n'est rien.
Bon William il est temps de venir avec moi je vais te montrer ta nouvelle chambre fit Jim.
Je vous suis Mr Morales répondit William...
William partit en compagnie de Jim,celui-ci avait la charge d'emmener le nouvel élève jusqu'à la chambre qu'il devrait occuper jusqu'à la fin de l'année
Nous sommes le 12 janvier 2004 William Dumbar un nouvel élève faisait sa rentrée scolaire au collège Kadic,il était discrètement arrivé en cours de journée devant les portes de l'établissement, après s'être présenté à l'accueil il fut reçu par le proviseur,William avait avec lui le dossier d'inscription qu'elle lui avait remis son père.
N'ayant pu emmener son fils personnellement à cause de son travail,William avait été contraint de faire le chemin tout seul depuis la gare sans que personne ne l'accompagne, le proviseur avait d'ailleurs été averti de son arrivée imminente le matin même par le père de l'intéressé,
La présentation se passa a merveille et puisque tous les papiers étaient en règle il n'y avait aucune objection à ce que William intègre le collège aujourd'hui même.
Tous le long du chemin qui les conduisit jusqu'à l'internat Jim expliqua sommairement les règles qui régissait celui-ci William se contenta d'écouter simplement ce que ce monsieur avait a lui dire, a la fin ils arrivèrent devant la porte d'une chambre,mais quand il tourna la poignée Jim vit que la serrure était verrouillée de l'intérieur, Jim commença à frapper à la porte de la chambre pour interpeller quelqu'un.
Eh oh Dupont ouvre-moi cette porte tout de suite s'exclama Jim.
Peu de temps après avoir entonné cet ordre la serrure fut déverrouillé et la porte s'ouvrit,c'est alors qu'un étrange garçon fit son apparition celui-ci était vêtu de noir des pieds à la casquette, son visage rondouillet était mis en valeur par de grosses lunettes rondes.
Non d'un petit navire Dupont mais qu'est-ce que tu faisais enfermé dans ta chambre,tu dormais ou quoi lui demanda Jim
En l'occurence Mr Morales c'est ce que je faisais lui répondit l'intéressé.
Jim : tu trouves peut-être que 10 heures du matin c'est une heure pour rester couchées
Julien : vu que je n'ai pas cours ce matin ça se justifie....
Jim : ne joue pas au plus malin avec moi mon gaillard
Julien : mais je ne joue Mr morales c'est la vérité.
Jim : je vais vérifier mais en attendant je t'amène un compagnon de chambre.
Aussitôt William fit son apparition,il était resté sur le côté pendant que Jim était en train de faire son speech avec le garçon qui s'appelait Julien,poliment il salua le garçon qui se tenait en face de lui.
William : salut-moi je m'appelle William... William Dumbar
Julien : ouais salut moi c'est Julien ... Julien Dupont.
Jim : bon vous aurez le temps de faire connaissance ailleurs que sur le pas de la porte,Dupont si tu voulait bien nous laisser entrer.
Julien : oui bien sûr.
Julien s'écarta aussitôt de la porte pour permettre à son nouveau colocataire de rentrer dans la chambre,ce qui vit William a se moment le surpris un peu la chambre était plutôt grande à droite de l'entrée on voyait que cette partie de la pièce était occupée par le résident actuel tendit que le côté gauche était totalement vacant,William qui n'avait qu'un léger sac de sport en guise de valises, posa ses affaires à côté de son nouveau lit avant de se retourner vers Jim pour prendre les dernières informations.
Jim : bon William je vais te laisser en compagnie de Julien,il se fera un plaisir d'expliquer toutes les règles.
Julien : moi !! mais pourquoi ? c'est pas à vous de le faire normalement.
Jim : si mais comme vous allez passer un bon moment ensemble tous les deux sa te donnera l'occasion d'amorcer la discussion.
Ah super fit Julien en tirant la grimace.
Jim : bon c'est pas tout ça je vous laisse.
William : merci monsieur morales.
Jim : de rien c'est mon travail
bien tiens c'est nouveau ça dis Julien tout bas.
Dupont tu as dit quelque chose demanda Jim.
moi non rien du tous cafouilla Julien.
Jim : c'est bizarre j'aurais pourtant jurer que....
Julien : c'est sûrement le vent dans ces vieux bâtiment on entend parfois des bruits étranges.
Jim : c'est bien vrai mon garçon quand j'étais explorateur au pôle Nord,le vent glacial nous faisait parfois entendre des sons mystérieux.
Julien : vous!! vous avez été explorateurs au pôle Nord.
Jim : euh oui mais je préfère ne pas en parler.
Julien : bon d'accord....
Sur ces entrefaites Jim quitta la pièce laissant alors les deux nouveaux internes faire plus ample connaissance William qui jusqu'à présent c'était montrée plutôt timorée devient soudainement beaucoup plus loquace.
Est bien dit donc ça m'a l'air d'être un sacré cas ce gars la fit William a Julien
Julien : bravo je vois tu n'a pas mis longtemps à tant rendre compte
William : est ils sont tous comme ça dans ce bahut
Julien : non je te rassure il y a juste G.I Jim qui est comme ça
William : G.I Jim !!!
Julien : ouais c'est le surnom que je lui ai donné
William : finalement je trouve que ça lui va bien
Julien : je suis pas peu fière de moi
William : et il sait qu'on le surnomme comme ça
Julien : t'y pas fou je tiens à la vie moi.
William : tu est le seul a l'appeler comme ça.
Julien : tu verras dans le collège pas mal de personnes le surnomme comme ça.
William : et bien ça promet.
Tous de suite Julien apparu fort sympathique a William,ce garçon avait l'air d'être quelqu'un d'assez énergique et de plus il avait l'air de quelque qui avait un tempérament assez blagueurs se qui promettait a William de sacre soirée agite, mais il ne fallait surtout pas céder al tentation,William était venu ici pour ce racheter une conduite pas question pour lui de faire a nouveau l imbécile
Mais puisque Julien était l premier élève qu'il rencontrait il fallait quand meme que William apprenne a le connaître.
Julien : à part sa William tu viens d'où ?
William : je suis originaire de Bretagne
Julien : quoi tu es un breton.
William : pas vraiment je suis plutôt d'origine anglaise
Julien : remarque avec un nom comme le tient c'est un peu normal
William : on me le dis souvent.
Julien : et à part ça tu vient de quelle bahut
William : j'étais scolarisé au collège Alan Turing
Julien : dis-moi c'est un collège de Bourgeois ça
William : c'est le cas
Julien : et qu'est-ce du fou la
William : je m'en suis faire renvoyer
Julien : sans rire comment t'as fait.
William : ce serait une histoire trop longue à expliquer.
Julien : ça tombe j'ai du temps devant moi.
William ; oui mais moi je préfère pas vraiment en parler.
Ok cool j'insiste pas c'est toi qui gère lui dit Julien.
William : a ton tour c'est quoi ton l'histoire
Julien : pour moi rien de spécial,je suis haut-savoyard et je fais mes études à Paris
William : est tu n'as trouvé un collège plus près de chez toi
Julien : ma mère habite à Paris sa me donne l'occasion d'être auprès d'elle.
William : si elle vit a paris pour quoi tu crèche pas chez elle
Julien : c'est un peu spécial mais disons que c'est plus simple pour elle que je sois interne
William : bizarre mais bon si sa te convient.
Julien : moi j'assume bien cette vie d' interne mais le week-end je vais dormir a la maison
William : ouah c'est cool comme ça.
Julien : et à part ça toi tu est en quelle classe
William : ils m'ont affecté en troisième B
Julien : sans rire on est dans la même classe tous les deux.
William : c'est vrai
Julien : je te jure 3B les meilleurs.
décidément rein n'arrivait par hasard ici William était dans la meme classe que Julien,se qui faisait que les deux colocataire de chambre allait passer beaucoup de temps ensemble,au moins cela donnerait a William l'occasion de pas être trop seul vu qu'il ne connaissait encore personne.
William : et à part ça il est comment ce bahut
Julien : tu verras ici c'est assez cool et les filles sont super canon et faciles à aborder
William : pourquoi tu me rencarde comme ça sur les filles
Julien : vu l'allure de beau ténébreux que tu te trimballe tu dois être un sacre boureau des coeurs
William : beau ténébreux ?!
Julien : ouais je trouve que ça te vas bien
William : c'est quoi ce surnom ?
Julien : il y a un truc chez toi qui me dis que c'est un surnoms qui t'irais bien.
William : c'est une manie chez toi de donner des surnom a tous le monde.
Julien : c'est un petit jeu que j'affectionne plutôt et j trouve que sa colle avec toi.
Beau ténébreux voila bien un surnom auquel le William étais pas spécialement habituer, l'ex fille de sa vie l'avait surnommer comme ça ,pourquoi fallait il que Julien lui trouve précisément ce surnom alors qu'il venait peine de faire connaissance.
William ne voulant pas ce fâcher des le début a avec son futur coloc préféra faire l'impasse la dessus a condition que celui ci évite de trop souvent l'appeller comme ça et puisque Julien semblais si fort a trouver des surnoms qu'elle pouvait bien être le sien.
William : et toi ton surnom c'est quoi ici.
Julien : tu veux le savoir
William : ouais ça m'intéresse
Julien : tu le seras assez vite
William : et pourquoi pas maintenant
Julien : je veux te faire la surprise
William : ah bon
Julien : tu le seras t'inquiète pas il suffit d'écouter ce que dise les autres et surtout les filles
William : tu serais pas du genre dargeur toi
Julien : a presque pas toi....beau ténébreux
William : moi le filles ça m' intéressent pas vraiment
Julien : ma parole mais c'est quoi ce Breton timoré
William : c'est comme ça cherche pas a comprendre.
Julien : c'est bizarre ça
William : j'ai mes raisons
Julien : possible mais je suis sur que tu va changer d'avis
William : qu'est ce qui te faire dire ça.
Julien : tu verras ici les filles sont très faciles à draguer je suis sur que tu vas en trouver une qui sera a ton goût.
William :sa m'étonnerais beaucoup
Julien : crois pas ça l'amour sa te tombe dessus sans crier gare
Julien ne savait pas quelle point ces paroles pouvait être prophétique,pourtant en arrivant ici William c'était jurer que cela ne devait plus lui arriver,mais les voies du coeur sont parait impénétrable et William allait a nouveau en faire l' expérience,mais avant toutes chose Julien dut avertir William que dans le jeu de la drague ici il ne serait pas le seul a chasser.
Julien : de toutes façons ici la concurrence est sévère
William : qu'est-ce que tu veux dire
Julien : dans ce collège il y a un gars qui drague tout ce qui a une jupe
William : c'est vrai qui ça...
Julien : il s'appelle Odd Della Robbia.
William : c'est quoi ce mec ? ... un rital
Julien : je dirais plus tôt un espagnol mais en fait on n'en est pas sûr
William : je verrais bien par moi meme mais a part ça qu'est-ce que tu as m'apprendre
Julien : plein de choses.
Pendant toute la matinée et jusqu'à l'heure des cours de l'après-midi Julien expliquat à William comment se déroulait la vie au sein du collège Kadic,il donna à son nouveau colocataire quelques astuces pratiques notamment le moyen de faire le muren passant par la cabane du jardinier,voilà une information précieuse que William n'allait pas s'empêcher d'utiliser.
Plus tard qu'en sonnèrent les cours de 14 heures,William fit une entrée plutôt remarquer au sein de sa nouvelle classe,très vite son allure de rebelle fit converger tous les regards sur sa personne,Mme Meyer qui avait été averti qu'un nouvel élève allait faire son apparition dans son cours pria alors William de se présenter à sa nouvelle classe
Mme Meyer : je t'en prie William présente toi aux autres.
William : alors bonjour je m'appelle William Dumbar je suis originaire de Bretagne,avant j'étais scolarisé au collège de Alan Turing et j'aime le sport et je suis interne voilà c'est tout....
Mme Meyer : c'étais court mais instructif
William : je ne vois pas ce que J'aurais pu dire d'autre.
Mme Meyer : ce n'est pas grave tu vas avoir le reste de l'année pour te faire connaître
William : vous avez raison madame.
Mme Meyer : maintenant va t'asoir parmi tes nouveaux camarade.
William : bien madame , mais je vais ou.
Mme Meyer : va prendre place disons hum ... la il y a une place de libre à côté de Yumi
William : qui ça ?!
Mme Meyer : Yumi la jeune fille qui est là -bas vers le radiateur
À ce moment-là William aperçut Yumi se fut pour lui une révélation,cette jeune fille vêtu de noir au cheveu mi long était visiblement d'origine asiatique, subjugue par cette apparition William en resta paralysé par l' émotion, il ne pouvait pas décoller son regard de cette jeune fille qui elle-même en retour ne cessa de le regarder mais avec un air plutôt suspicieux c'est alors qu'il s'approcha d'elle et la salua poliment.
William : salut moi c'est William
Oui je sais tu viens de te présenter à l'instant lui fit la jeune fille
William : ah oui c'est vrai je suis bête
William s'assit a coté de Yumi,pour parfaire la situation madame Meyer demanda a Yumi si elle voulait bien servir de chaperons au nouveau venu afin de lui expliquer le reste,cette demande particulière n'était pas un hasard Mme Meyer savait que Yumi était une élève sérieuse et studieuse et quelle serai se montrer a la hauteur d'une telle tache.
Cela indisposa quelque peu William mais ne dérangea pas Yumi, William lui semblait au ange a se moment déjà que Julien lui avait donner un coup de main voilà qu'une charmante élève allait lui servir de guide,le reste de la journée de classe se passa sans anicroche particulière il faut dire que c'était le retour des vacances scolaires les collégiens de 3 avaient presque tous repris leur activité sauf les classe de 6 ème 5 ème et 4 ème navait pas encore reprit les cours pour l'heure ce qui fait que personne n'était au courant de la venue de William pour le moment.
Mais très vite William remarqua que Yumi était une personne assez distante par rapport au autres élève de sa classe, elle ne se mêlait pas au discutions avec les autres au contraire elle partait souvent rejoindre un bande d'amis qui se trouvait dans une classe inférieur alors que William lui restait en compagnie de Julien
Vraiment le comportement de Yumi était étrange,pourtant William observa qu'une foi au milieu de ces amis elle était très différente. un sourire radieux illuminait son visage la voir particulièrement souriante troubla quelque peu William.
Alors qu'ils étaient en classe de science avec Mme Hertz celle-ci leur annonça que la semaine prochaine une sortie au jardin botanique était prévue et que pour ceux-ci des binômes devrait être constitué
William demanda s'il pouvait faire équipe avec Yumi pour cette première sortie car c'était la seule personne a l'exception de Julien avec qui il avait pu sympathiser,Mme Hertz accepta sans condition et William partie annoncer la bonne nouvelle a Yumi.
C'est la qu'il entre aperçut pour la première fois Yumi en compagnie de son groupe d'amis,il lui signifia que Madame Hertz était d'accord pour que lui et elle fasse équipe ensemble,c'est avec le sourire que Yumi partis le rejoindre, tous deux partir en direction du parc sous le regard soupçonneux d'un jeune garçon à la tenue militaire.
Le début de ce cette sortie ce passa a merveille, a laide de Yumi William pus faire un bon nombre de croquis floral,par la suite il déciderent de faire une pause
La William et Yumi commencèrent à échanger leur passé collectif William lui expliqua les raisons de sa venue au collège,il avoua a Yumi qu'à cause d'une folie d'amour temporaire il c'était fait renvoyé de son précedent collège après avoir collé des affiches de déclaration d'amour un peu partout sur les murs du bâtiment y compris sur la voiture du proviseur.
Yumi lui dit que cela était insence William lui répondit qu'il est parfois censé d'être insensé Yumi compris que ceci était tire des subdifigtal un groupe de musique très populaire chez les jeunes et que Yumi appréciait particulièrement
Fort de cette aveux William se rendit compte que cette jeune fille avait des goûts très similaires aux siens tous deux étaient fan des subsoniques cette révélation Interpella quelque peu William mais avant même qu'il ait eu le temps de s' étaler sur le sujet il constata que Yumi avait mystérieusement disparu.
Elle réapparu quelque minutes plus tard en lui répondant quelle était aller si un de ces amis allait bien,ne comprenant rien a la situation William ne fit pas attention a ça ils rentrèrent tous en groupe jusqu'au collège, grâce aux croquis que William est Yumi avaient fait ils arrivèrent à ce payer un 17/20 ce qui était une note relativement correcte pour les deux associer.
Le soir venu William commence à discuter avec son colocataire sur la journée qu'il venait de passer
Julien : Alors comment c'est passé cette journée avec Yumi
William : plutôt bien on as eut droit a un 17/20
Julien : tu as fait équipe avec Yumi
William : c'est la cas comment le sais tu
J'ai mes sources lui dit Julien
William : dommage que tu étais en retenu cette petite balade était sympathique
Julien : je pense bien mais voila fallait que je fasse mes heures de retenu.
William : aussi c'est pas malin cette blague que tu as fait dans les douches
Julien : c'est vrai mais je trouve que c'était drôle
William : et tes 4 heures de colle elle était drôle aussi
Julien : un peu j'ai dormi tous le long...
William : tu devrais faire gaffe a force de faire l'idiot tu finira par te faire renvoyer
Visiblement ce monsieur Dupont avait un humour très particulier, il avait trafiqué les douches des garçons ce qui avait créer une petite panique le matin meme mais Jim lui avait mis la mains dessus en représailles de quoi il n'avait pas put faire la sortir scolaire le temps qu'il répare lui meme les dégât qui avait causer.
William trouvait que Julien abusait des fois et que a force de faire l'idiot cela se retournerait contre lui un de ces jours,mais le jeune blagueur n'était pas du genre en rester la,de plus il voulait savoir comment c'était passer la sortis avec Yumi.
Julien : et avec Yumi sa marche
William : que veut tu dire
Julien : et bien qu'entre toi est elle sa allèrent de bien coller
William : qu'est ce qui te fait dire ça.
Julien : des petits détails par ci par la.
William : arrête avec tes supposition douteuse tu est agaçant
Julien : moi je constate c'est tous mon ami
William : écoute moi Julien entre Yumi et moi c'est copain set puis cet tous
Julien : c'est ce que tu lui a dis.
William : plus au moins pas en ces termes la mais presque
Julien : fait gaffe ça elle pourrait te le ressortir un jours
William : franchement moi et Yumi ensemble c'est pas sérieux
Julien : tu sais ce que je t'ai dit sur l'amour
William : oui que c'est aussi imprévisible que....
... le contenu d'une boite de chocolat fit Julien
William : mais plus pour moi, l'amour j'ai déjà donné et je sais ou cela m'as conduit.
Mais quoi qu'en dise William, quand la nuit tombait ce dernier avait bien du mal a chasser Yumi de ces pensées,pourtant il essayait de faire abstraction mais l'image de celle ci revenait toujours le hanter
Pourtant William ne pouvait pas... il ne devait succomber,une présente histoire d'amour lui avait attiré bien des problème et William avait promis qu'il se racheterait une conduite dans ce nouvel établissement mais de nouveaux sentiments étaient en train de faire surface et William était bien décidée a les combattre du mieux qu'il pouvait pourtant il avait beau faire et n'arrivait pas à faire taire les sentiments de son coeur.
a suivre
chapitre 22 le monde de Lyoko
26 septembre 2005
"décris-moi ce que tu vois Maeva"
M : Je suis au bord d'une plage,non ce n'est pas une plage .... c'est un désert
---
Voix : et que vois-tu dans ce désert
M : du sable des rochers est l'horizon à perte de vue.
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Voix : tu ne vois rien d'autre
M : j'ai beau regarder autour de moi ...non je ne vois rien...attendez si j'aperçois quelque chose.
---
Voix : de quoi s'agit-il ?
M : je n'en suis pas sûr
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Voix : mais selon toi qu'est-ce que c'est
M : c'est peut-être un objet non attendez sa bouge
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Voix : ça bouge !!
M : on dirait que c'est vivants
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Voix : vivant! tu peux m'en dire plus
M : non je suis bien trop loin
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Voix : peux tu t'en rapprochés
M : je vais essayer
---
Voix : est maintenant que fais-tu
M : je marche dans le désert ou plutôt je cours....
---
Voix : pourquoi cours tu ?
M : je n'en sais rien mais je cours droit devant moi.
---
Voix : peux-tu t'arrêter
M : je ne peux pas.
---
Voix : tu est sur
M : c'est plus fort que moi je n'arrive pas me contrôler.
---
Voix : et ou t'emmène ta course
M : elle me m'amène vers l'édifice
---
Voix : tu parles de la grande colonne rouge
M : oui mais elle n'est pas rouge
---
Voix : tu es sûr de toi
M : oui elle est blanche c'est juste qu'elle émet une lumière rouge.
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Voix : elle brille donc
M : elle flanboye même d'une incroyable lumière rouge
---
Voix : dis moi cet édifice que tu m'en donnais un descriptif
M : oui c'est une haute tour blanche dont la base ressemble à une racine d'arbres et dont le sommet est recouvert d'un chapeau
---
Voix : et où es-tu maintenant
M : je suis à côté de la tour
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Voix : et que fais-tu à côté d'elle
M : j'attends
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Voix : tu attends quoi
M : je n'en sais rien tout ce que je sais c'est que j'attends
---
Voix : peux tu voir ailleurs ce qui se passe
M : non je ne peux pas mon regard est braqué sur l'horizon
---
Voix : tu ne peux pas tourner la tête
M : je ne peux plus bouger
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Voix : dont tu ne fais que rester à côté de la tour
M : oùi est.... attendez il y a quelque chose qui bouge à l'horizon
---
Voix : tu vois de quoi il s'agit
M : attendez je regarde...je....on dirait....
---
Voix : que vois tu
M : ils sont la
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Voix : qui est la
M : les êtres qui me veulent du mal
---
Voix : tu parles de ceux qui veulent ta mort.
M : oui c'est eux ils sont la.
---
Voix : tous
M : oui il y a le lion violet le démon et le fantôme.
---
Voix : et que font-ils
M : il s'approche de moi... j'ai peur docteur.
---
Voix : n'est pas peur que je suis là pour te protéger
M : et se rapproche de plus en plus
---
Voix : peux-tu d'échapper
M : je ne peux pas,ils viennent sur moi
---
Voix : n'est pas peur ils ne peuvent rien contre toi.
M : j'ai peur ...je veux partir...et je.. OH mon Dieu !!!
---
Voix : quoi Maeva !!
M : le démon à l'épée me fonce dessus
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Voix :Maeva
M : il me HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA....................................
A cet instant le docteur claqua des doigts est Maeva rouvrir les yeux en hurlant de terreur elle était complètement effrayer,le docteur la prit dans ses bras pour la rassurer,la jeune qui semblait en état de choc elle transpirait de partout,le docteur lui chuchota de des mots doux pour la tranquilliser,la vision qu'elle venait d'avoir l'avait particulièrement perturbée car elle venait d'effectuer une nouvelle séance d'hypnose.
c'est horrible ... c'est horrible dit la jeune fille en pleurant
tout va bien Maeva tout va bien je suis la lui répondit le docteur en la serrant dans ses bras.
Cette nouvelle séance d'hypnose avait pour but d'explorer un peu plus l'inconscient de Maeva,jusqu'à présent la jeune fille avait toujours fait un blocage,mais depuis qu'elle était sortie de l'hôpital beaucoup de nouveaux éléments était apparue ce qui avait facilité la tâche du Dr
chaque jour qui passe à Maeva semblait retrouver de plus en plus la mémoire mais si ces souvenirs étaient toujours aussi confus ces derniers devenaient également de plus en plus atroces
Lyoko et ces démons, le miroir sans reflets, les ombres qui dansent,les adolescents psychopathes,Mr Xana,Sissi,les mystérieux jeunes hommes étaient autant d'éléments que Maeva et n'arrivait pas à coller entre eux,pourtant aussi effrayant soit-il ces apparitions étaient la clé du mystère le Dr Robinson n'en doutait pas
Tu est sûr que tout va bien lui demanda le docteur
Oui oui ça va docteur lui répondit Maeva.
Dr : cette expérience t'as elle appris quelque chose aujourd'hui
Maeva : Je ne sais pas à nous en serons peut-être un peu plus
Dr : ça a quand même étrange tout ceci
Maeva : s'allait toujours depuis que nous avons commencé
La séance d'hypnose à laquelle Maleeva s'était pleinement soumis avait pour but d'éclaircir un peu le mystère de ses origines mais celle-ci était toujours aussi vague et incompréhensible cela faisait maintenant quelques jours que maeva n'avait pas refaits de cauchemar,ce qui était bon signe pour le Dr c'était comme si la situation commençait à se stabiliser avec le temps Maeva commençait à s'habituer à ses cauchemars.
Maeva : je crois que je commence à y voir un peu plus clair
Dr : c'est vrai.
Maeva : oui Docteur je crois que le voile se déchire peu à peu
Dr : qu'est-ce qui te fait dire sa ?
Maeva : à chaque nouvelle séance de nouveaux éléments s'ajoutent
Dr : cela voudrait dire que toi et moi nous sommes prêt de la vérité.
Maeva : ça se pourrait bien docteur mais qu'elle peut bien être cette vérité.
Dr : si nous faisons une synthèse de tous les éléments dont ont dispose ça donne ceci.
- avant tu étais scolarisé dans une école dont les bâtiments étaient anciens
- dans cette école tue à rencontrer plein d'élèves,notamment un groupe de trois individus composés de deux garçons et d'une fille.
- ces trois individus ont l'air de nourrir des sentiments mitigés à ton égard
- parallèlement il existe deux autres individus qui ont l'air de beaucoup tenir à toi
- un garçon aux cheveux blond et un garçon aux cheveux noir.
- nous savons aussi que tu connais deux personnes
- l'une s'appelle Sissi et l'autre Mr Xana.
- en ce qui concerne Mr. Xana la seule représentation que tu en as est une peluche de pieuvre.
Maeva : ça fait quand même pas mal d'éléments
Dr : mais le plus intrigant reste quand même ces jeunes gens
Maeva : ne parlait pas d'eux j'ai vraiment pas envie de les revoir ces gens lÃ
Dr : mais on ne sait même pas qui ils sont.
Maeva : tout ce que je sais ce qu'ils ont essayé de me tuer.
Dr : c'est pour ça que tu n'as pas envie de te confronter à eux.
Maeva : sincèrement docteur qui voudrait faire face à des assassins
Dr : je te l'accorde c'est vrai mais ce n'est pas en te voilant la face que les choses vont avancée
Maeva : je le sais mais...c'est trop dur
Dr : surtout qu'on est pas sûr de leurs intentions
Maeva : c'est vrai Docteur si ça se trouve je suis toujours victime de cette inversion de sentiment.
Dr : qui sait dans le fond ces gens-là étaient peut-être des amis.
Maeva : ou ma famille
Dr : qui peut savoir.
Maeva : si pour eux mes sentiments sont incertains,pour d'autres c'est beaucoup plus clair.
Dr : tu penses as qui
Maeva : je vous parle des démons Lyoko.
Dr : ah oui ceux la...
Maeva : eux aussi ils sont trois
Dr : le lion le fantôme est le démon
Maeva : toutefois en y réfléchissant bien il y a quelque chose qui m'interpelle.
Dr : et quoi dont
Maeva : quand on le regarde de plus près je trouve que ces démons ont quelques similitudes avec les trois adolescents qui ont essayé de me tuer dans cette cour de récréation.
Dr : tu es sûr de toi.
Maeva : c'est une impression étrange que j'ai
Dr : cela voudrait dire que ces personnes sont liées à l'image que tu te fais des démons de Lyoko.
Maeva : ça peut paraître étrange mais j'ai l'impression que ces démons ont pris apparence humaine ou alors ce sont des humains qui ont pris l'aspect de démons.
Dr : est-ce que par hasard cela ferait référence à la double vie
Maeva :
Dr : Rien qu'Ã bien il y a une constante
Maeva :
Dr : et selon toi quel serait cet constante
Maeva : je n'en sais rien il faut que j'y réfléchisse
Dr : soit dans ce cas-là je pense que nous pouvons arrêter la séance pour aujourd'hui.
Maeva : vous pensez que ça suffira
Dr : je te l'ai dit Maeva il faut procéder étape par étape petit pas par petits pas, il y a que comme ça que nous obtiendrons des résultats.
Maeva :
Dr : et pour le manque préfères-tu une séance de piano ou un bon goûter.
Maeva : ma réponse est simple
Dr : et quel est t'elle ?
le dernier arrivé paye ces tartines fit Maeva en allant à la cuisine
Cette faculté à passer d'un état de panique à un état de joie ne cessait de surprendre le Dr qui se prit au jeu et commença à faire une course avec Maeva,
le soir venu Maeva se retrouva seul dans sa chambre, assise à son bureau est laissé de faire un point sur ce qu'elle avait vécu aujourd'hui,cette nouvelle séance d'hypnose bien qu'effrayante c'était révélée très instructive,jusqu'à présent elle n'avait jamais réussi à s'approcher suffisamment près des édifices pour n'avoir une description précise maintenant elle savait que c'était des tours, des tours donc la couleur ivoire générait une sorte de lumière rouge.
Maeva avait beau se creuser la tête elle ne comprenait pas le lien qui pouvait exister entre elles et c'est fameuse ce tour,les plus étranges encore elles ne saisissaient à la relation qu'il pouvait exister entre le monde de lyoko est les démon qui le peuple.
qui était-il et quelle pouvait bien être leur rôle dans cette histoire ?
Pour apporter quelques réponses à ces questions maeva se remit à lire les quelques pages qu'elle avait rédigé sur ces fameux démons,dans son journal elle avait consigné ses premières expérience sur le monde de Lyoko.
Je m'appelle Maeva et je débute une nouvelle vie... voilà comment avait commencé son journal,par la suite elle avait raconté tout son périple de Kingston valley à l'hôpital,mais pour les besoins du traitement elle avait dû allouer une petite vingtaine de pages pour parler du monde de Lyoko
############################ FLASHBACK ############################
Le Monde de Lyoko chapitre 01
Cela faisait longtemps que je n'avais pas relu les pages de journal ce que j'ai consigné à l'intérieur peux paraître particulièrement effrayant et pourtant c'est la vérité du moins je le crois... c'est tellement extraordinaire et incompréhensible que même moi je doute de cette réalité...
Je ne sais même pas comment j'ai pu rever de ce monde... c'est arrivé comme ça sans raison et ceci depuis que je me suis veillé à la conscience à partir du moment ouj'ai appris à lire et à écrire mon cerveau a commencé à fonctionner de façon très différente...
Je suis bien conscient que je ne suis pas une enfant ordinaire et qu'au fond de moi se cache des choses particulièrement anormale....mais bon je n'avait pas engagé dans un débat philosophique sur qu'est-ce que la normalité...même si j'ai beaucoup de mal à la définir...bien qu'à la rigueur tous les êtres humains sont différents et peuvent passer pour anormale aux yeux de tous ... c'est ce que j'ai compris au contact de Kevin.
J'ai beau me dire que je ne suis pas différente je sais très bien que je le suis il y a cas me voir pour comprendre que je ne suis pas une humaine ordinaire.... mes cheveux sont bleus,mes origines sont troubles je ne sais rien de moi sans compter je suis en proie à de terribles cauchemars...cauchemar dans lesquels tous ceux qui s'y trouvent veut ma mort...
Ce monde que je me refuse à nommer bien qu'il ait un nom,je voudrais l'oublier je n'ai pas envie de le connaître il est si terrifiant que je me refuserai presque à en parler pourtant je sais qu'il n'est pas bon de garder ça au fond de moi.
Alors oui je vais vous en parlez (noté au passage Docteur que j'utilise la deuxième personne du pluriel car ce qui est écrit dans ce journal vous est destiné)
Par où commencer ?
ce monde s'appelle Lyoko... comment je le sais ?...je n'en sais rien mais je le sais...je vais maintenant vous donner quelques détails sur ce monde
Il faut savoir que le monde de Lyoko est très étrange,il est très vaste et composé de différents environnements,on n'y trouve un désert,des montagnes, une forêts et un paysage arctiques,la spécificité de ce monde c'est que les différents territoires qui le constituent sont en fait composées de plateaux flottant dans les airs les uns par rapport aux autres...tous surplombent une sorte de d'océan immense,de plus ces territoires ont une taille assez limitée,(du moins d'après ce que j'ai pu en voir)...
Au fil de mes pérégrinations oniriques j'ai fini par leur trouver un élément commun,quelle que soit l'endroit où je me rende j'ai toujours remarqué la présence d'étrangers édifices de couleur rouge...jusqu'à présent je n'ai jamais su de quoi il s'agissait...car à chaque fois que j'ai essayée de m'en approcher d'étranges créatures se mettaient à me barrer le chemin...ces créatures à l'aspect étrange ont jamais rien tenter contre moi elles se sont juste contentées de me bloquer le passage...ce qui fait que je n'ai jamais su ce qu'étaient ces édifices....
C'est vraiment surréaliste ce que je vous dis là et pourtant c'est la vérité ... je vais vous parler en détails de l'un de ces mondes en particulier celui de la foret....pourquoi celui-là ?... la raison est simple c'est là que j'ai fait la rencontre la plus terrifiante de ma vie....
Alors que dans mon rêve j'étais en train de m'y promener tranquillement j'ai soudain senti la présence du ombre....à plusieurs reprises que je me suis retourné....mais je ne voyais rien....pourtant je sentais qu'elle était la .... l'ombre,la silhouette....j'ai du mal à définir ce que j'ai ressenti ce jour-là net... tous ce que je peux vous dire c'est que cet présence me faisait froid dans le dos...mais pour mon plus grand malheur j'allait découvrir de quoi il s'agissait...
alors que j'arrivais au bout du chemin J'entendit soudain une voix qui me fit "bonjour"...je regardais alors autour de moi pour voir qui pouvais me parler...et la je le vit.....
.............Le Lion Violet..........
Le lion violet se dressait devant moi, il était couché sur un rocher et me regardait depuis le haut de celui-ci ...
Bonjour petite princesse me dit-il...
---
Bonjour lui répondit-Je par politesse.
Je n'avais jamais vu de Lion de ma vie est violet de surcroît,mais son pellage ne laissait pas de doute sur sa couleur,le lion était massif et sa crinière d'or flottait au vent,le lion se mit à me parler...il me demanda ce que je faisais la...je lui répondis que je n'en savais rien....
Dites-moi monsieur le lion quel est cet endroit lui demandai-je...
---
C'est le monde où je vis me fit-il...
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Mais ce monde quel est-il
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C'est ton monde...
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Mon monde !!
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C'est celui où ont t'as découvert.
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Mais je ne connais pas ce monde.
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tu ne sais donc pas qui tu est
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je l'ignore le sais-tu
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oui je le sais
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qui suis-je alors
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Pourquoi pose tu une question à laquelle tu connais la réponse.
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mais je ne la connais pas j'ignore tout de moi.
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Tu en sait plus sur toi que toi-même tu en sais sur toi.
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qu'est-ce que ça veut dire.
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que tu te connais mieux que tu ne te connais.
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Sa n'a pas de sens ce que tu dis,comment veux-tu que je me connaisse mieux...que moi.
---
Parce que tu t'ignores
---
s'il vous plaît monsieur le lion ne jouer pas aux devinettes dites-moi qui je suis...
---
tu veux le savoir ? tu veux vraiment l'entendre...
---
oui je le veux...
---
tu es l'etre que j'aime et que je déteste le plus au monde
---
Comment ça que veux tu dire ?
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c'est facile à comprendre je te déteste et je t'aime.
---
Mais ça n'a pas de sens ce que tu dis...comment peux-tu aimer et détester en même temps.
---
A cette question je peux facilement répondre
------------------- LES HUMAINS NE FONT PAS PARTIE DE TON MONDE ----------------
qu'est-ce que ça veut dire ?
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Tu le sais très bien
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Non justement !!! je ne comprends rien du tout, tu le dis me hair et m'aimer en même temps,et quand je te demande pourquoi tu me réponds que les humains ne font pas partie de monde, ça n'a pas de sens.
---
Alors dans ces cas là je vais te dire pourquoi je t'aime.
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je veux le savoir.
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je t'aime car je te trouve tres appétissante
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Que veux tu dire
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Je veux te dévorer ricane le lion.... ta chair est fraîche et je suis sûr que ton sang pourras étancher ma soif...
le lion se relève et s'avance vers moi j'ai un mouvement de recul... ces intentions sont claires
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Ne part pas je veux me délecter de ta chair ne crie-t-il
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ne t'approche pas de moi...
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Sa ne risque rien je ne peux pas te toucher personne ne peux de toucher d'ailleurs ... Tu es unique tu es spécial...
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mais qu'est-ce que j'ai donc de si spécial...
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Tu veux jouer a chat
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pardon !!
Je te conseille de fuir car si je t'attrape je te dévore
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Après que le lion eut fini sa phrase celui-ci bondit pour se jeter sur moi,sans perdre un instant je me mets à courir .... le lion me traque le lion de chasse.... mais le lion ne se presse pas....mois je cours à toutes jambes...le lion lui se contente de faire de petites foulées....on dirait que cette situation l'amuse....dans la poitrine mon coeur bat très fort...mais je n'ai pas de coeur...dans ce monde on n'a aucune sensation si ce n'est la peur...la peur de mourir et je sais que derrière moi c'est la mort qui me poursuit.
soudain venant des cieux et j'entends une voix,la voix me dit d'aller me réfugier dans la tour....qui est cette voix et de quoi parle-t-elle ? soudain le lion se jette sur moi....
Je n'ai jamais su qui était cette voie car à ce moment-là je me suis réveillé.... j'étais transpirante et j'avais froid,le cri de terreur que je venais de pousser n'avait fait que raisonner contre les parois de ma chambre....personne ne l'avait entendu...et même cela a indiffere tout le monde...
cette expérience a été très perturbant pour moi car maintenant je sais que le monde de Lyoko est un monde hostile et violent,mais si le lion ne m'a pas menti je suis originaire de ce monde... là je me pose des questions car si ce monde et le mal ne suis-je pas moi-même le mal.
ça je préfére ne plus avoir à en parler....
chapitre 24 le dossier Waldo schaeffer.
28 février 2005.
"comment allez-vous aujourd'hui"
Depuis que j'ai arrêté le traitement ça va mieux répondit le colonel.
M Cartwright : d'après ce que j'ai entendu dire celui-ci ne vous réussissait pas vraiment.
C.Perec : vous n'avez pas idée à quel point Major.
M Cartwright : d'après ce qu'en disent certaines infirmières, vous étiez assez souvent dans un état second.
C.Perec : major je préférerais qu'on ne s'attarde trop là -dessus s'il vous plaît.
M Cartwright : c'est comme vous voulez.
L'état de santé du colonel c'étant amélioré les médecins avaient estimé qu'il n'était plus nécessaire de le traiter avec les médicaments anti-radiations,se faisant le colonel n'avait plus à subir ces changements de caractère,au revoir Mister Hyde et re- bonjour docteur Jekyl,cela fut pour le colonel une véritable délivrance.
Dans la mesure où le colonel allait pouvoir reprendre du service le major avait estimé qu'il était temps de le mettre au courant des dernières avancées de l'enquête pour cela elle avait préparé tout un dossier récapitulatif afin de briffer et le colonel sur la situation actuel,le lourd paquetage que transportait le major n'avait pas échappé au regard d'aigle du colonel
Est bien major que nous avez-vous apporté de bien beaux lui demanda le colonel
M Cartwright : j'ai avec moi les derniers éléments de notre enquête
C Perec : vous avez des nouvelles intéressant à m'apprendre depuis la semaine dernière
M Cartwright : en effet mon colonel
C Perec : je vois que vous n'avez pas chômé en mon absence.
M Cartwright : durant votre convalescence j'ai poursuivi nos investigations.
C Perec : et où cela vous est-il mené
M Cartwright : j'ai peut-être trouvé une piste
C Perec : sur l'organisation Xana.
M Cartwright : plutôt sur une personne qui y serait rattachée
C Perec : cela concernerait il le mystérieux Waldo schaeffer.
M Cartwright : je vois qu'on ne peut rien vous cacher mon colonel.
C Perec : et qu'avez-vous appris d'intéressant sur ce monsieur schaeffer.
M Cartwright : une foule d'informations très intéressantes.
C Perec : est ou avez-vous trouvé ces informations.
M Cartwright : en effectuant une recherche minutieuse j'ai trouvé une trace de ce monsieur dans les archives nationales et plus exactement dans les vieux dossiers classés secrets défense par l'OTAN.
C Perec : des dossiers secrets de l'OTAN qui date de quand ?
M Cartwright : des années 80.
C.Perec : vous êtes allés chercher si loin !!!
M Cartwright : j'ai même remonté le temps plus loin que ça.
C.Perec : et jusqu'ou
M Cartwright : jusqu'au milieu des années 70
C Perec : je vois que vous êtes retournés assez loin dans le passé mais quel rapport cela a-t-il avec la situation actuelle ?
M Cartwright : et bien voilà j'ai fait un recoupement de toutes les informations qui ont été portées à notre connaissance depuis le début afin de trouver un fil directeur à cette affaire
C Perec : et vous l'avez trouvé ce fil directeur.
M Cartwright : au début non.... mais il y a trois jours je suis tombé sur un rapport secret.
C Perec : et de quoi parlait ce rapport.
M Cartwright : il faisait référence au projet Carthage 74.
C.Perec : le projet Carthage 74
M Cartwright : oui le fameux projet auquel votre père a participé.
C Perec : vous avez réussi à trouver des informations sur ce projet.
M Cartwright : exacte j'ai réussi à avoir accès à des informations top secrètes déclassées
C Perec : comment avez vous j'ai jamais réussi a avoir accès a ces informations.
M Cartwright : il est aisée de dire que de ce côté là nos service sont plus efficaces que les vôtres mon colonel
C Perec : sur ce coup-là je m'incline vous avez fait fort.
M Cartwright : merci mon colonel
C Perec : est qu'avez-vous appris en étudiant ce dossier
M Cartwright : et bien j'ai trouvé une foule de détails particulièrement intéressants.
Durant la convalescence du colonel le major n'avait pas perdu son temps avec l'aide du lieutenant Fraggle elle avait mis à profit toutes les informations récoltés depuis le début,le réseau du MI5 a pu établir bon nombre de contacts avec des services étrangers,en échangeant des informations de premier ordre le major avait pu obtenir des informations sur le projet Carthage 74 et tout particulièrement un dossier sur les activités de plusieurs personnes rattachés au projet,et l'une d'elles n'était autre que Waldo schaeffer.
M Cartwright : comme vous le savez déjà votre père avait été rattaché au projet Carthage 74
C Perec : c'est ce que nous en avons déduit.
M Cartwright : mais à part ça que savez-vous de ce projet
C Perec : seulement ce que j'ai pu en lire dans mes propres dossiers
M Cartwright : colonel pourriez-vous me faire un récit complet de toutes les informations que vous avez sur ce projet je n'efforcerai par la suite de les compléter.
C Perec : et dans quel but je vous prie Major
M Cartwright : histoire de savoir si nos informations sont cohérentes.
C.Perec : c'est vraiment important que je vous donne ces informations.
M Cartwright : dans le cadre de notre enquête sa l'est.
C Perec : Très bien alors voilà ce que j'en sais.
"A l'origine le projet Carthage était un système de brouillage des radios communications diriger en secret par l'OTAN sur le territoire français
le but de l'opération est à la mise en place d'un réseau informatique très sophistiqué dont le but était de neutralisées les systèmes de communication ennemi tout en protégeant ceux de leurs alliés.
Pour ce faire il était prévu que tout un système d'antennes relais soit mis en place sur tout le territoire européen.... voilà c'est tout."
M Cartwright : vous ne savez rien de plus
C Perec : Pas grand-chose si ce n'est que beaucoup de scientifiques ont été recrutés et que le projet a été stoppés en 1979.
M Cartwright : est-ce tout ce que vous savez.
C Perec : si, un petit détails anodins... à l'époque les Russes ont également essayé de développer leur propre "projet Carthage" à part que celui-ci s'appelait "opération crépuscule"
M Cartwright : ce sera tous .
C Perec : pour l'essentiel oui c'est tous ce que j'ai pu trouver comme information sur ce projet.
M Cartwright : j'en conclus donc que vous n'en savez pas grand-chose.
C.Perec : vu ce que vous venez de dire moi j'en conclus que vous en savez plus que moi n'est-ce pas...
M Cartwright : affirmatif en colonel j'en c'est bien plus que vous sur le projet Carthage 74 grâce aux informations que j'ai récoltées
C.Perec : voilà qui est intéressant et où avez-vous trouvé ces informations ?
M Cartwright : grâce à des sources externes nous avons pu obtenir des informations supplémentaires
C Perec : sources externes vous voulez dire étrangère au service du MI5
M Cartwright : c'est exact
C Perec : chez qui êtes-vous allé piquer ces informations ?
M Cartwright : chez les Russes
C Perec : les Russes !!
M Cartwright : oui figurez vous que c'est chez eux qu'on a trouvés des informations complémentaires au projet Carthage
C Perec : là je n'arrive pas à le croire.
M Cartwright : apparemment leurs services secrets de l'époque étaient bien mieux renseignés que les vôtres.
C Perec : le KGB
M Cartwright : ils sont très forts quand même
C.Perec : je ne vous le fais pas dire.
Il pouvait paraître surprenant que les services secrets russes fussent mieux renseignés sur le projet Carthage que les propres services secrets français qui pourtant en étaient responsables,ce qui laissait planer un doute sur l'efficacité de ces derniers.
C Perec : je n'arriverai jamais à comprendre comment KGB pouvait etre mieux renseigné que nos propres services secret.
M Cartwright : c'est assez ironique
C Perec : moi je trouve ça pathétique,mais bon c'est aussi ça le monde de l'espionnage,un mélange abracadabrantesque de situation impossible...
M Cartwright : c'est une bonne définition.
C.Perec : ravi qu'on soit d'accord, sinon que pouvez-vous me dire sur ce fameux projet...
M Cartwright : et bien comme vous le savez déjà le projet Carthage était un système de brouillage des radio-communications
C Perec : là rien de nouveau
M Cartwright : a la base ce système était conçu pour être implanté dans toute l'Europe
C.Perec : ça aussi je le sait
M Cartwright : est bien mon colonel c'est maintenant que les informations vont devenir passionnantes.
C Perec : je vous écoute Major.
M Cartwright : pour commencer le projet Carthage a été développé en France le site choisi était celui du château de fort de Brest c'est là que tous les scientifiques ont été réunis
Le major tira une photo du dossier qu'elle avait en mains et la montra au colonel,cette vieille photo en noir et blanc limite sépia représentait tout un groupe d'individus au visage austère,le colonel remarqua que trois cercles avaient été tracés sur cette photo,trois individus en particulier avaient été entourés au marqueur,au coin de la photo on pouvait voir qu'il était marquée "projet Carthage 74".
Qui sont les trois personnes qui sont entourées demanda le colonel.
M Cartwright : je vais y venir mais laissez-moi finir d'abord
C.Perec : je vous en prie poursuivez major.
M Cartwright : donc cette photo a été prise dans l'une des salles du château,dessus vous pouvez voir tous les scientifiques qui ont été rattachés au projet de Carthage.
C Perec : et parmi eux se trouve notre homme.
M Cartwright : oui il faisait partie des scientifiques qui ont été recrutée dans toute l'Europe
Espagne Italie Angleterre Belgique Suisse et Allemagne de l'Ouest
M Cartwright : tout ce petit monde avait été réuni pour pour participer à l'élaboration du projet Carthage.
C Perec : tout ça sous le couvert de l'OTAN
M Cartwright : oui !! bien sûr une telle opération secrète devait être encadrée par des responsables militaires.
C Perec : vous parler des services secrets français.
A ce moment le major sorti une liste de noms qu'elle présenta aussitôt au colonel,cette liste comportait le nom de toutes les personnes qui avaient participé de près ou de loin au projet Carthage 74,le major attira l'attention du colonel sur un nom en particulier,à savoir celui de la personne qui était rattachée à la sécurité du site qu'elle ne fut pas la surprise pour le colonel de voir apparaître le nom de son père.
C Perec : mais c'est mon père
M Cartwright : oui le colonel Antoine Pérec était le responsable de la sécurité,celui-ci avait été affecté à la surveillance du projet, plus précisément il devait encadrer et surveiller tous les scientifiques qui participaient à ce projet
C Perec : c'est vrai que je le savais comment je pus passé à côté de sa
M Cartwright : ce que vous ne saviez pas en faite c'est que les vraies raisons de l'arrêt de ce projet c'est parce que celui-ci a été saboter...
C.Perec : saboter !!!
M Cartwright : dans un rapport rédigé par de la main même de votre père celui-ci stipulait qu'il s'agissait d'un acte de sabotage organisé par une puissance étrangère
C Perec : laissez-moi deviner.... les Russes
M Cartwright : bien entendu il s'agissait des Russes, à l'époque les soviétique étaient parfaitement renseigné sur l'usage de ce système,comprenant le danger que cela représentait ils ont fait en sorte d'y mettre un frein.
C.Perec : en le sabotant
M Cartwright : à cette époque c'était la "guerre froide" le contrôle de l'information devenait primordial et le projet Carthage constituait une menace pour les soviétiques
C Perec : c'est donc pour ça qu'ils cherchaient à mettre au point leur propre système de black-out qu'ils ont appelé "projet crépuscule".
M Cartwright : mais tout comme le projet Carthage celui-ci n'a jamais abouti
C.Perec : heureusement pour nous,
M Cartwright : en y repensant c'est assez paradoxal alors que certains faisaient la course à l'armement nucléaire ou à l'espace, les services secret s'amusaient a faire la course au parasitage d'information.
C Perec : il n'y a rien d'amusant là dedans major,détruire les communications de l'ennemi pour le mettre en déroute c'est un moyen comme un autre de s'assurer la victoire,
M Cartwright : en effet si l'information n'est plus transmis la chaîne de commandement et briser,et n'importe quelle armée aussi forte soit-elle se retrouveraient paralyser.
C.Perec : détruire des systèmes de communication,rendre l'ennemi sourds et aveugles autant de concepts appliquée depuis le début des guerres modernes.
M Cartwright : et le projet Carthage aurait était sans conteste une arme redoutable.
C.Perec : mais d'après ce que je lis dans ce dossier le projet Carthage a été stoppé le 14 avril 1979.
M Cartwright : comme votre père la précisé dans son rapport celui-ci a été stoppé suite à un acte de sabotage
C Perec : dont les Russes auraient organisé le sabotage du projet.
M Cartwright : d'après ce qu'on en sait le KGB aurait réussi à s'infiltrer sur le projet.
C Perec : un espion
M Cartwright : oui une personne donc la mission était de saboter le projet de l'intérieur tout en participant à son élaboration.
C Perec : je vois le truc,il conçoit le projet, le sabotent fait disparaître tous les travaux et transmet ces informations à l'ennemi, le processus est simple mais efficace.
M Cartwright : et c'est ce qui visiblement s'est passé.
C Perec : mais si j'ai bien compris toutes les personnes qui ont participaient à ce projet ont été tuées.
M Cartwright : il n'y a eu que trois survivants.... quatre si on compte votre père
C Perec : il y aurait eu des survivants
M Cartwright : à l'exception de votre père cela faisait trois suspects potentiels
C Perec : qui était ces personnes
M Cartwright : et bien c'est là que ça devient intéressant
C Perec : je vous écoute
M Cartwright : le premier des survivants étaient aussi le responsable en chef du projet,c'est lui qui était à l'origine de tout ceci,
C Perec : et qui est ce Mr
M Cartwright : notre homme s'appelle Henry Hopkins.
C Perec : Henry Hopkins... attendez ce nom-là me dit quelque chose.
M Cartwright : et pour cause c'est le PDG de Cyclotron.
C Perec : Cyclotron vous parler de l'entreprise qui produit des super-calculateurs
M Cartwright : exacte la société Cyclotron celle la meme qui a fourni les super-calculateurs à l'université de Londres et a Quantum Conductivity.
C Perec : voilà qui est très intéressant et cet homme a fait partie du projet Carthage.
M Cartwright : en temps que chef de projet,mais les détails troublants ne s'arrêtent pas là ,attendez que je vous donne le nom du deuxième survivant.
C Perec : quelle surprise me réserver vous encore.
M Cartwright : si je vous dis que le deuxième survivant n'était autre que le docteur Sigmund Kessel.
C Perec : Sigmund Kessel !!! le meme Sigmund Kessel qui a aidé Benjamin Morel a créé son super-calculateur.
M Cartwright : oui ce Sigmund Kessel la qui par la meme à influencer les travaux de M. Morel et comme par hasard ce monsieur serait aussi l'inventeur du nom Quadrihoppes.
C Perec : je trouve que ça commence à faire pas mal de coïncidence.
M Cartwright : en effet c'est plutôt intrigant cette histoire,mais je vous ai gardé le meilleur pour la fin.
Deux surprise à la suite c'était déjà beaucoup d'informations à assimiler pour le colonel mais ce que s'apprêtait à lui dire le major allait grandement bouleverser l'officier.
Le troisième scientifique est incontestablement le plus intéressant de tous
C Perec : laissez-moi deviner il s'appellerait pas par hasard.... Waldo schaeffer
M Cartwright : cela apparaît comme une évidence
C Perec : je vais enfin avoir des informations sur Waldo schaeffer.
M Cartwright : il faut savoir qu'il est considéré comme le suspect numéro un dans cette affaire du sabotage ,selon les services secrets se serait meme lui le saboteur.
C Perec : l'espion introduit par les Russes serait donc Waldo schaeffer.
M Cartwright : tous semblent l'accusé mais on n'a que jamais rien pu prouver contre lui.
C Perec : et qu'est devenu ce monsieur
M Cartwright : personne ne le sait il c'est complètement volatilisé
C Perec : volatilisés !!
M Cartwright : depuis bientôt 25 ans cet homme est un fugitif
C Perec : on n'a jamais retrouvé sa trace
M Cartwright : si en 1994 les services secrets l'on retrouver à Paris sous une fausse identité, il se faisait désormais appeler Franz Hopper.
C Perec : Franz Hopper qu'elle noms bizarre.
M Cartwright : sûrement mais vous devez savoir que Franz était son deuxième prénom est Hopper celui de sa femme.
C Perec : sa femme !ce monsieur était donc marié.
M Cartwright : oui à une certaine Anthea Hopper.
C Perec : vous avez des informations à son sujet.
M Cartwright : pas vraiment elle aussi a disparu sans laisser de traces.
C Perec : ma parole c'est une manie chez ce type de faire disparaître tout ce qu'il touche.
M Cartwright : il faut croire.
C Perec : et à part ça
M Cartwright : voici la dernière photo de Waldo schaeffer c'est tout ce que nous disposons sur lui.
Le major donna au colonel une série de photos montrant Franz Hopper devant ce qui semblait être une vieille maison,visiblement cet homme était un vrai mystère,le colonel voulu en savoir un peu plus sur lui
C Perec :et qu'elle était la spécialité de ce monsieur.
M Cartwright : les mathématiques appliquer et d'après le rapport il était l'un des meilleurs scientifiques dans ce domaine.
C Perec : une grosse tête en somme.
M Cartwright : je vous en prie un peu de respect cet homme était quand même un génie des mathématiques.
C Perec : est un traître de ce qui équilibrent le tout,vous voyez je ne suis vraiment pas impressionné par son cursus.
M Cartwright : vous le saurez peut-être quand je vous aurai donné la dernière information.
C Perec : je m'attendant a tous la.
M Cartwright : il y a un détail intéressant concernant Waldo schaeffer
C Perec : et lequel ?
M Cartwright : si vous me remarquez bien Waldo s'écrit avec un W.
C Perec : oui et alors
M Cartwright : un W ça ne vous dit rien.
Soudain le colonel réalisa ce que le major sous-entendait,la première initiale de Waldo schaeffer était un W. la même lettre qu'utilisait leur mystérieux contact pour se présenter à eux
C Perec : attendez vous êtes entrain de me dire que W serait...
M Cartwright : si sa se trouve...
C Perec : ce n'est peut-être qu'une qu'une coïncidence
M Cartwright : en temps normal je serais d'accord avec vous mon colonel mais il y a là beaucoup trop d'éléments concordants..
C Perec : si c'est le cas quel rapport Waldo schaeffer aurait-il avec l'organisation Xana
M Cartwright : il travaille peut-être pour eux
C Perec : mais dans ce cas-là pourquoi nous aiderait il ?
M Cartwright : peut-être parce que ce type est un instable.
C Perec : que voulez-vous dire.
M Cartwright : dans son dossier il est décrit comme paranoïaque et assez instable.
C Perec : quoi vous voulez dire que c'est un fou
M Cartwright : un névrosé a tendance paranoïaque.
C Perec : dont vous pensez que W. pourrait être Waldo schaeffer
M Cartwright : c'est une possibilité
C Perec : sur quoi vous baser vous
M Cartwright : disons que c'est un peu délicat.
A cette instant le major fut quelque peu troublé ce qu'elle s'apprêtait a dire risquait fort de déplaire au colonel mais elle ne pouvait pas taire ce qui était d'une importance capital a ces yeux.
M Cartwright : au vu des informations donc nous disposons sur le projet Carthage il apparaît clair que votre père a connu de ces trois personnes.
C Perec : cette fois-ci il n'y a plus de doute.
M Cartwright : cependant....
C Perec : cependant...
M Cartwright : cependant si on repense à ce que vous a dit W. au téléphone .. ont peu avoir des doutes.
C Perec : des doutes au sujet de quoi ?
M Cartwright : vous vous rappeler que W. a parlé d'une dette qu'il avait envers votre père.
Je me rappelle qu'il a dit ça répondit le colonel quelque peu méfiant..
M Cartwright : si derrière W se cache bien Waldo schaeffer alors ce dernier est redevable a votre père pour une raison précise
C Perec : qu'insinuer vous la
M Cartwright : c'est délicat a dire mais si on considère que Waldo était un traître alors.....peut être que votre père a aider Waldo a saboter le projet
C Perec : qu'est-ce que vous dites ?
Voilà une nouvelle qui fit pas spécialement plaisir au colonel, le major venait d'émettre l' hypothèse selon la quelle le père du colonel pouvait être un traître, la il s'agissait de la mémoire de son père que le major venait de bafouer avec une telle accusation,en dépit de son rang le colonel ne pouvait tolérer ceci
comment osez vous dire ça Major lu répondit le colonel
calmez-vous mon colonel ce n'est qu'une hypothèse
Vous avancez clairement que mon père aurait pu être un traître lui dit le colonel
Je sais nom colonel mais j'essaye de trouver une raison à la dette répondit le major pour sa défense.
C Perec : mon père est mort suite à cette mission je ne vois pas ce que cela lui aurait apporté de trahir son pays
M Cartwright : ne vous énerver pas mon colonel ce n'est qu'une supposition.
C Perec : et comment avez-vous pu tirer de conclusions.
M Cartwright : simplement sur le faîte que quelqu'un dans vos services c'est employer à faire disparaître toute trace de Waldo schaeffer.
C Perec : que dites-vous ?
M Cartwright : je vais dire qu'il aurait peut-être bénéficié d'un appui pour disparaître
C Perec : et vous pensez que mon père l'aurait aidé..
M Cartwright : je pense que ça pourrait être la nature de la dette.
C Perec : ça n'a pas de sens ce que vous dites mon père était un homme intègre,il n'aurait jamais trahit sa patrie...
M Cartwright : le fait est que quelqu'un a forcément Waldo schaeffer à s'échapper...
C Perec : c'est ridicule ce que vous dites
M Cartwright : ce n'est qu'une possibilité.
C Perec : on accuse Waldo de traite et pourquoi les deux ne sont pas suspect ?
M Cartwright : il on des circonstance atténuantes qui les disculpent.
C Perec : alors on se rabat sur Waldo et mon père c'est ça
M Cartwright : c'est que....
C Perec : il faudrait peut être aller interroger les deux autres avant avancer de telle conneries
Visiblement le colonel était échaude, le major préféra ne pas insister,elle se retira alors en demandant au colonel de bien vouloir prendre en compte le reste du dossier, ce fut assez sèchement que le colonel fit ces adieux au major.
Toutes foi cette dernière lui précisa que d'ici quelque jours ils iraient trouver le professeur Kessel pour lui poser des questions, voila un rendez vous que le colonel ne voulait surtout pas manquer, cette foi ci le colonel était bien décider a faire toute la lumière sur cette affaire en la mémoire de sont père.
chapitre 24 nos ennemis
12 septembre 2005 - 10 h
Ce matin-là ,la réunion exceptionnelle que tenait le conseil d'administration était loin d'être des plus ordinaires, dans la grande salle rectangulaire climatiser tous les hauts dirigeants de la société Cyclotron c'étaient réunis pour statuer de la situation actuel au lendemain de l'attaque.
Tous les membres imminent de Cyclotron étaient présent, il y avait le PDG de l'entreprise le Dr Henry Hopkins accompagné de sa femme Anthea Hopper et pour former le trio de direction il avait Simon Watson question gestion les cadres d'administration Mr Orwell et Mr Huxley faisait partie de la conférence a noté la présence exceptionnelle du docteur Kinsley et de Arnaud.
Suite à son acte héroïque les docteurs Hopkins et hopper avaient sollicité la présence du jeune homme afin que ce dernier leur fasse part de ces observations sur l'attaque,puisqu'il a été le seul à pouvoir contré ce monstre.
Quand tout le monde fut en place,le docteur Hopkins fut le premier à prendre la parole,il fit un rapide résumé de ce qui c'était passé hier.
Henry : Messieurs dames vous savez tous pourquoi ne sommes réuni ce matin
Anthea : nous le savons
Simon: je le sais
Arnaud : c'est assez évident
Mr Orwell : bien-sur
Mr Huxley : c'est clair.
Dr Kinsley : malheureusement
Henry : hier matin aux alentours de 11h 23 notre installation principale a subi une attaque d'origine inconnue,notre super-calculateur a été infecté par un virus à caractère belliciste, pour ceux qui était absent je tenais a le préciser
Mr Orwell : nous avons resté informé de la situation Monsieur le directeur
Henry : je n'en doute pas c'est la raison de cette réunion de crise
Mr Huxley : nous sommes en crise ?
Henry : oui est l'une des plus importantes qui est jamais secoué la société à ce jour.
à l'exception des deux cadres principaux et de lui-même tout le monde savait de quoi il en retournait puisque chacune des autres personnes présentes dans la salle avait joué un rôle durant cette attaque.
Henry : cette situation est la pire crise qu'on ait jamais connue, heureusement pour nous le pire a été évité.
Anthea : oui Tanit a été sauvée c'est le principal.
Henry : il n'y a pas qu'elle, malgré la violence de cette attaque nous n'avons a dénombré aucune perte humaine.
Mr Orwell : par contre nous avons de nombreux blessés,et d'importants dégâts matériels.
Mr Huxley : je confirme cela va nous coûter des millions entre les indemnisations et les réparations.
Henry : Messieurs je vous en prie un peu d'empathie personne n'est mort c'est le principal
Anthea : tu as raison chérie,c'est mieux pour tout le monde.
Henry : et si le pire a pu être évité c'est grâce à l'intervention courageuse du jeune Arnaud Morillon ici présents.
À ce moment-là tous les regards convergèrent vers Arnaud qui se sentit un petit peu gêné par la situation,le Dr Hopkins lui présenta ces plus sincères remerciements pour tous,face a ceci Arnaud ne savait pas quoi répondre car le jeune homme ne s'attendait pas à un tel honneur,
Arnaud : je vous en prie ce n'était rien
Henry : ne soyez pas si modestes mon garçon vous avez fait beaucoup pour nous.
Arnaud : vous savez c'était peu de choses après tout je ne suis qu'un modeste employé de votre société.
Henry : détrompez-vous mon garçon on reconnaît les vrais héros n'ont pas à la grandeur de leur taille ou de leur rang mais bien à la grandeur de leurs actes et ce que vous avez fait était vraiment héroïque.
Arnaud : vous le pensez vraiment Dr ?
:Henry : vous pouvez être fiers de vous,votre action et celle de vos intelligences artificielles ont sauvé de nombreuses vies humaines.
Anthea : sans compter que vous avez également sauvé ma petite Tanit et sa je vous en suis reconnaissante
Simon: tu peux être fier de toi Arnaud
Mr Orwell : excellent travail
Mr Huxley : bravo jeune homme
Dr Kinsley : bien joué Arnaud.
C'est alors que toutes les personnes présentes applaudirent ensemble Arnaud ce qui renforça d'autant plus le malaise de ce dernier,il n'y avait rien demandé de tous ça il avait juste agi en son âme et conscience,tout comme un héros de la série StarTrek il n'avait fait que son devoir.
Mais ce qui suivi par la suite fut très différent,le Dr Hopkins n'avait pas tenu cette réunion exceptionnelle seulement pour féliciter le courage de Arnaud,le directeur de Cyclotron voulait faire un point sur la situation actuelle.
La première des constatations fut que la procédure Oméga c'était avéré inefficace,pire encore elle avait même facilité le travail du monstre,en ce qui concernait cette dernière tout était à revoir,il faut dire que celle-ci avait été instaurée dans la précipitation suite à l'attaque du mois de mars dernier.
Dans les archives de la société il avait été stipulé que le 19 mars 2005 une créature colossale avait déjà essayé de s'en prendre à la cité de Neo-Carthage,heureusement ce jour-là la catastrophe avait pu être évitée, d'heureuse circonstances avaient voulu que des techniciens de maintenance opére sur le réseau à ce moment-là ,averti du danger que courait la cité ces derniers avaient rapidement coupé tous les accès au réseau,ceux qui avaient empêché le monstre de s'approcher trop près de la cité.
Au lendemain de cette déconvenue la procédure Oméga avait été instaurée en prévision du retour de ce monstre,des alarmes de proximité et des parfeu réseaux avaient été installés,quand ces derniers détectaient une présence anormale ils devaient couper automatiquement tous les liens avec le réseau,seulement le délai de la procédure était beaucoup trop lent à mettre en place,le monstre qui avait attaqué hier avait fait preuve d'une rapidité exceptionnelle si bien que la procédure Oméga fut prise à contre-pied par ce dernier,et devant les dégâts que ce dernier avait occasionnés le docteur Hopkins voulait des explications.
Henry : quelqu'un pourrait-il me dire d'où vient cette créature ?
Mr Orwell : c'est une question à laquelle nous ne pouvons pas répondre M. car nous n'en savons rien
Dr Kinsley : je confirme Docteur nous n'avons aucune idée d'où cela peux venir
Henry : c'est quand même incroyable ce monstre doit bien venir de quelque part
Dr Kinsley : pour le moment Mr. cela reste un mystère.
Tous le monde avait beau se triturer les méninges personnes ne pouvait donner d'explication quant aux origines de ce monstre,la seule chose qui était sur c'est que cette créature était hostile,le Dr Hopper était la mieux placé pour le savoir,sa rencontre avec l'être en noir ne pouvait que confirmer ceci,mais étrangement Anthea passa sous silence cette rencontre,ce qu'elle avait vu et entendu ce jour là était si horrible qu'elle avait préféré garder ça pour elle.
Mais cette menace n'avait pas été éradiqué,elle avait juste du battre en retraite un jour ou l'autre elle était susceptible de revenir et de s'en prendre de nouveaux au super-calculateur et ça aucune des personnes présentes dans la salle ne pouvait le permettre.
Henry : en mars dernier se colossal géant nous a attaqué sans succès mais cette fois-ci cette pieuvre géante a bien failli réussir son coup.
Anthea : par bonheur grâce à Arnaud elle a échoué.
Mr Orwell : oui mais en attendant de nos serveurs ont été endommagé à cause d'elle
Mr Huxley : je confirme et leur remise en état va nous coûter très cher.
Henry : ceci n'est qu'un détails technique le fond du problème est le suivant... il y a forcément quelque part une entité extérieure, un groupe ou une organisation qui essaie de nous nuire, à ce sujet le doute n'est plus permis nous en avons la preuve.
avez-vous une idée de ce que serait ce groupe demanda Simon légèrement inquiet.
Henry : pas la moindre idée mais ils doivent être liés à ces groupes financiers qui essaie de racheter l'entreprise.
Simon : vous croyez qu'il serait de mèche
Henry : je n'en sais rien,mais si le bruit de cet accident venait à se répandre,cela à coup sûr servirait leurs intérêts.
Les paroles du docteur hopkins n'étaient un mystère pour personne,depuis plusieurs temps déjà de nombreux groupes financiers essayaient de racheter la société en douce,de violentes OPA (offre publique d'achat) avait été lancé à l'encontre des actions de la société Cyclotron,cela voulait dire que dans l'ombre des personnes essayaient de nuire à la société.
Simon : vous pensez que cette attaque serait liée avec celles de nos adversaires financier
Henry : on peut le supposer.
Simon : dans ce cas-là que voulez-vous faire ?
Henry : il va falloir prendre de grandes dispositions.
Simon : quel genre de disposition ?
Henry : fasse à cette nouvelle attaque nous avons été pris au dépourvu,si Mr morillon n'avait pas réussi à contre-attaquer avec l'aide de ces prototypes à l'heure actuelle nous n'aurions plus de super-calculateurs.
Anthea : c'est indéniable cette créature voulait détruire ma fille...
Simon : de ce côté-là le doute n'est pas permis
Anthea : Henry il nous faut protéger ma fille quoi qu'il arrive
Henry : je le sais mais c'est un but parmi tant d'autres en attendant Messieurs j'attends des propositions de votre part.
Anthea : de toute évidence nous devons renforcer les systèmes de sécurité.
Henry : nous l'avons déjà fait avec la procédure Oméga et vous voyez où cela nous a conduit
Anthea : l'ennui c'est que la procédure Oméga a été conçue pour faire face à des attaques classiques mais la nous sommes sortie de l'ordinaire,c'est vrai comment expliquer que des machines électriques sont devenues folles.
Henry : c'est là un vrai mystère
je ne le crois pas répondit Simon à cet instant
Henry : que voulez-vous dire ?
Simon : au vu de la situation je crois qu'il est temps pour moi de vous faire un aveu.
Henry : quel aveu ?
Simon : si cette attaque a réussi c'est parce la créature a exploité une technologie que nous développons dans le laboratoire numéro 7.
Cette révélation subite frappera toute l'assistance,Simon venait d'avouer pleinement qu'il était indirectement responsable de cette situation,Arnaud fut le plus étonné de tous, lui qui était tenu au secret n'avait pas osé en parler ici et voilà que contre toute attente Simon prenait les devants.
Pourrais-je savoir de quoi vous parlez demanda Henry
Simon : je vous parle Mr. d'une technologie expérimentale basé sur un système d'interface très sophistiqué.
Henry : de quoi parlez-vous ?
Simon se lança alors dans les explications,le docteur Hopkins fut alors mis au courant de l'existence des tours de contrôle,ce dernier appris de la bouche de simon que ces protocoles informatiques étaient capables d'interagir avec la réalité.
le PDG de Cyclotron fut surpris de savoir qu'on lui avait caché une telle découverte,Simon se justifia alors par le fait il s'agissait d'un échange de technologies entre les laboratoires et que cela faisait partie des projets top secrets de sa section,mais devant l'ampleur des dégâts que celle ci avait causés il ne pouvait pas se taire.
En temps normal une telle négligence aurait valu le renvoi immédiat de Simon mais comme l'avait évoqué le docteur Hopper la situation était particulière, personne n'aurait pu prévoir une telle attaque ce qui valut à Simon d'être pardonné,car il n'était en rien responsable de ce désastre, tous ceci n'était qu'un malheureux concours de circonstances.
Henry : pourriez-vous me donner quelques détails supplémentaires sur cette technologie d'interfaces.
Simon : dans ce cas-là Dr le mieux placé pour vous répondre n'est autre que Arnaud
Arnaud : moi !!
Henry : lui !!
Simon : oui Arnaud je crois qu'il est temps que tu leur dise ce que tu as découvert
Arnaud : vous croyez vraiment que je peux.
Simon : maintenant nous n'avons aucune maison d'avoir des secrets les uns envers les autres....tu dois leur dire.
Arnaud : je ne sais pas si je dois....
Henry : je vous en prie mon garçon si vous avez des choses importantes à nous révélé nous vous écoutons.
Devant l'insistance combinée du Dr Hopkins et de Simon Arnaud n'eut d'autre choix que de révéler tout ce qu'il savait,il expliqua alors à toute l'assemblée ce qu'il avait découvert,que ce soit le mystérieux signal qu'il avait détecté sur le réseau en passant par les différents mondes artificiels et ceci jusqu'à l'incident avec VGer 1.0 tout fut déballé par le jeune homme.
Ces révélations laissèrent un blanc sur l'ambiance,le faite de savoir qu'il existait quelque part sur le réseau un monde virtuel aussi puissant que celui de neo-carthage avait de quoi tétanisé n'importe qui,cette nouvelle fut difficile à avaler pour bon nombre de personnes.
Mr Huxley : mais c'est complètement dingue
Arnaud : vu ce par quoi nous sommes passés et je crois que dingue est encore un euphémisme
Henry : si je vous suis bien il y aurait une centaine de mondes virtuels gérés par des machines prêt à lancer une attaque sur Neo-Carthage à n'importe quel moment
Arnaud : oui Monsieur c'est à peu près sa
Henry : pourquoi vous n'avez rien dit.
Arnaud : j'étais tenu au secret
Henry : par qui ?
Simon : par moi Mr,j'ai demandé à Arnaud de ne rien dire
Henry : pourquoi vous avez fait sa.
Simon : à cause du fait de simplement que nous avions perdu le prototype Vger 1.0 et aussi à cause du fait que nous avions outrepassés nos fonctions.
Henry : je devrais vous renvoyer pour ça...
Je m'en doute bien lui répondit Simon.
Henry : cependant je ne crois pas que cela arrangerait la situation,car malgré ce que vous avez fait vous avez quand même réussi à sauver Neo-Carthage et ceci n'aurait jamais été possible si vous n'aviez pas fait ses découvertes.
En dépit de la situation et des actes illégales que Arnaud et Simon avait commis le Dr Hopkins était forcé d'admettre que sans la découverte qu'ils avaient fait le super-calculateur aurait été détruit sans que personne ne puisse faire quoique ce soit,d'une certaine manière le docteur Hopkins se devait d'être reconnaissant envers ces deux-là .
Faisant preuve d'une attitude magnanime,il décida de passer l'éponge sur les actes qu'ils avaient commis tous de fois il fut demander a Simon de ne plus entreprendre ce genre d' expédition sans en référer a la direction ce que ce dernier promis.
Mais le problème restait inchanger un monstre terrible issu dan un monde virtuel étrange se tenait toujours quelque part dans le réseau prêt a frapper quand bon lui semblait
Henry : dont ce monstre serait originaire de ce monde
Arnaud : c'est ce que je suppose mais je n'en suis pas sûr
Henry : si ce monstre ne provient pas de ce monde d'où vient-il.
Simon : la seule certitude que nous ayons et vous serez tous d'accord avec moi c'est que ce monstre a essayé de nous détruire.
Anthea : là je suis d'accord il n'y a aucun doute.
Mr Orwell : c'est une évidence.
Mr Huxley : je crois que c'est clair
Arnaud : il serait difficile de dire le contraire.
Henry : bien je vois qu'on est tous d'accord dans ces cas-là que proposez-vous
Simon : la seule solution serait de renforcer le pouvoir de Tanit.
Henry : qu'est-ce que vous voulez dire ?
Simon : je veux dire que Tanit est capable de défendre la cité à condition qu'on lui en donne les moyens.
Henry : et à quoi pensez-vous.
Simon : je crois qu'il est temps pour nous de mettre en place la directive Morrigan
Arnaud : la directive Morrigan ?!!
Henry : la directive Morrigan vous êtes sérieux
Simon : la situation est devenue critique,je ne crois pas qu'on pourra se payer le luxe de subir une nouvelle attaque de ce genre,par conséquent je vote pour la mise en place de la la directive Morrigan
La directive Morrigan l'ultime moyen de défense de Neo-Carthage créer par le docteur Hopkins en personne et permettant au super calculateur d'utiliser tous sont pleins potentiel,d'une façons plus concrète la puissance de Tanit pourrait être multiplier par quatre, des 3000 Qbits quantique le super-calculateur pourrait passer a 12000 Qbits ce qui représenterait une puissance considérable, un niveau jamais atteint a ce jour pour une machine quantique.
Mais le docteur Hopkins savait par expérience que le pouvoir absolu corrompt tous,personne ne savait ce qu'une intelligente artificiel pourrait faire avec une telle puissance,donc par mesure de sécurité le docteur Hopkins avait bridé la puissance de sa machine,la technologie Quadrihoppes avait été conçu de façons a pouvoir être limiter en puissance.
Mais si les événement l'exigeait cette machine pouvait être débride a tous moment par la mise en place de la directive Morrigan, pour éviter que n'importe qui ne s'en serve son application devait être autorisé par trois membres important de la société.
L'activation devait se faire qu'à la condition que les trois membres dirigeants soient d'accord,et Simon venait à l'instant de faire la proposition pour la mettre en place,le Dr Hopkins était réticent à cette idée...
Simon : si nous voulons protéger nos intéret c'est la seule solution
Henry : c'est une procédure extrêmement complexe je ne sais pas si c'est une bonne idée...
Anthea : moi je suis pour
Henry : Anthea!! mais qu'est ce que sa signifie ?
Anthea : chérie c'est la situation qui l'exige
Henry : mais pourquoi ?
Anthea : cette chose à essayer de détruire Tanit et ça je ne peux pas le permettre en conséquence de quoi je vote pour la mise en place de la directive Morrigan.
Simon : ce qui fait deux voix alors Dr Hopkins que décidez-vous ?
Le docteur Hopkins était maintenant au pied du mur les arguments des deux camps étaient plus que convaincants et au vu des catastrophes que cette attaque avait causée rien ne garantissait que les prochaines attaques ne serait pas plus terrible est peut-être meurtrière s'est donc à contrecoeur mais motivé par une logique défensive que le docteur Hopkins vota en faveur de la mise en place de la directive Morrigan.
Le sort en était jeter la directive Morrigan allait être appliquer, bientôt Tanit allait disposer d'une grande puissance,qui dans le futur allait se révéler très destructrice,a ce moment la une seule personne serait en mesure de la combattre,mais cette personne n'en avait pas encore conscience.
chapitre 25 en route pour une nouvelle aventure
20 septembre 2005
Toute la petite bande des Lyoko-guerriers c'était réunis dans la salle du super-calculateur pour faire un point de la situation.
A l'exception de Jeremie qui était encore hospitalisé il fallait noter la présence parmi eux de William.
Depuis que ce dernier avait obligé Ulrich à lui avouer la vérité,il avait décidé de son propre chef de réintégrer la bande, avec le soutien de Ulrich et de Odd il espérait convaincre la dernière personne qui était hostile à son retour dans l'équipe,mais il ne serait pas aisé de faire changer d'avis Yumi.
Pourquoi ce que vous avez fait ça leur demanda la japonaise.
Parce que la situation l'exige lui répondit Odd.
Yumi : vous aviez pourtant juré de garder le secret
Odd : je sais très bien qu'on a tous fait une promesse,mais là c'est différent.
Yumi : différents en quoi.
Odd : différents pour tous y compris pour le secret.
Yumi : j'aurais jamais pensé que vous me feriez un coup pareil comment voulez-vous que je vous fasse confiance après sa.
Yumi porta un regard très accusateur sur ces amis,alors que tous avaient promis de garder le secret,ces derniers avaient sans vergogne trahie la confiance de Yumi,devant de telles accusations de trahison William fut obligé d'avouer à Yumi que c'est lui qui leur avaient forcé la main.
Ce fut le coup de massue qui finit d'achever Yumi,alors que pendant plus deux ans ils avaient toujours réussi à garder le secret malgré les menaces et la pression,mais voilà que sans raison apparente Odd et Ulrich avait lâché le morceau,cette nouvelle trahison fut encore plus difficile à accepter que celle de Jeremie et Aelita.
Cependant Yumi aurait beau tempêté et rouspéter autant qu'elle voudrait, le mal était fait et il n'y avait plus moyen de revenir en arrière,maintenant que William était au courant de toute l'histoire,elle serait bien obligées de compter sur sa présence.
William bénéficiait du soutien de Odd et Ulrich, Yumi compris dès lors que devant son infériorité numérique son opinion n'avait visiblement plus beaucoup de valeur.
Depuis le début elles c'était systématiquement opposées au retour de William mais maintenant elle ne pouvait plus rien dire,pour la jeune fille cette nouvelle ne lui faisait pas particulièrement plaisir car elle avait encore quelques réticences à l'égard de William.
Non pas qu'elle éprouvait de la rancoeur envers lui mais plutôt de l'inquiétude, elle ne pouvait pas l'expliquer mais elle sentait au fond d'elle que le retour de William était une mauvaise chose,comme si quelque chose de terrible allait se produire prochainement.
Cette mauvaise intuition rendais Yumi quelque peu frileuse quant au retour du beau ténébreux, pourtant elle savait qu'on pouvait avoir confiance en William,une petite voix le lui disait assez souvent,mais à cause de sa nature obstinée Yumi n'avait jamais écouté cette petite voix.
Mais la n'était pas le problème,puisque la cause était acquis pour tous elle ne voulut pas s'attarder sur le sujet ,étant donné que tous le monde était contre elle dut se soumettre à la volonté de la majorité.
Très bien j'accepte que tu regagnes parmi nous lui dis Yumi.
Super s'écria William.
Yumi : mais attention William tu auras intérêt à obéir aux ordres que je te donne,cette fois-ci pas question que tu joue encore les super-héros en solo.
William : pas de risque de ce côté là tu peux être tranquille, ma précédente expérience m'as servi de leçon
Yumi : alors c'est sur je peux te faire confiance.
William : je te le jure Yumi cette fois je ne commettrait aucune imprudence.
La promesse qu'il venait de faire William entendait bien la respecter,l'expérience par laquelle il était passé ne lui avait pas laissé que de bons souvenirs,avec le temps certains événements lui était revenus en mémoire,et ces derniers étaient loin d'être agréables car tous étaient rattachés à des sentiments bien précis.
Haine --- Colere --- souffrance
tous étaient autant d'émotion que Xana lui avait permis de ressentir,la terrible intelligence artificielle voulait que son pantin puisse hair ces ennemis,c'est pour cette raison qu'il lui avait laissé une certaine autonomie dans ces actes, la plupart de ces ressentiments émanaient d'un désir inconscient de la part de William.
Cette part sombre qui était tapie en lui,William avait eu beaucoup de mal à l'accepter,pourtant il savait que c'était une part importante de sa propre personnalité partie qui pouvait se reveler effrayante lui qui fut un jour partagé entre le bien et le mal.
"Le bien et le mal sont les deux faces d'une même pièce,l'un ne peut exister sans l'autre"
Voilà ce que William avait un jour lu dans un livre de philosophie,quel sens pouvait-il donner à cette phrase ? lui qui a volontairement et contre son gré avait basculé du côté obscur,William avait bien compris qu'il existait toujours cette ambiguïté chez l'être humain.
Ce qui résultait de tout ça,c'était de la haine,mais une haine uniquement dirigée vers un seul être...
--------------------------------------------- XANA ---------------------------------------------
Au plus profond de lui William en avait toujours voulu a Xana, à cause de cette entité informatique il avait été contraint de se battre contre ces propres amis et en particulier contre Yumi.
Le terrible combat qui l'avait un jour opposé à la jeune japonaise sur le territoire banquise était encore très vivaces dans son esprit,il se souvenait parfaitement de ce qu'il avait ressenti ce jour là ,et à cause de cela il n'osait plus regarder Yumi dans les yeux,car ce jour-là il y avait vu de la peine.
Cette même peine il l'avait revue pas plus tard qu'hier dans le regard de Yumi,elle avait souffert à cause de lui,est elle souffrait encore à cause de Jeremie et Aelita.
Cette souffrance William la comprenait mieux que quiconque,et quoi qu'il puisse arriver ils ne voulait plus faire souffrir Yumi.
Pour cela il promit de se tenir à carreau et de respecter les ordres que cette dernière lui donnerait, plus question pour lui de jouer les têtes brûlés,plus question que Yumi verse une seule larme à cause de lui ou pour qui que ce soit d'autre.
Je te le promet Yumi cette fois je me tiendrai à carreaux lui dit William
tu le jures lui demandas Yumi.
William fait une promesse
je te le jures sur ce que j'ai de plus précieux au monde,sur mon honneur je te promets ....
-------------------Que je me battrai de toutes mes forces pour sauver mes amis -------------------
Puisque William venait de renouveler son serment plus rien ne s'opposait à sa réintégration,Odd et Ulrich félicitèrent le jeune garçon pour son dévouement,même s'ils ne voulait pas l'avouer Yumi était contente que William rejoigne leur petite bande,mais elle ne devait pas se laisser attendrir pour autant une grande responsabilité lui incombait maintenant.
elle devait reprendre les recherches la ou Jeremie les avait interrompus,car l'objectif principal était toujours de retrouver Aelita.
Yumi pris dont le commandement des opérations de manière intérimaire et ceci jusqu'à ce que Jeremie se rétablisse,elle aurait à sa charge le poste de contrôle du super-calculateur.c'est elle qui devrait virtualiser et guider ces amis dans le monde de Lyoko si jamais leur mystérieux adversaire venait à faire sa réapparition.
Yumi : bien vous êtes tous prêt alors.
William : nous le sommes mais que faisons nous maintenant.
Yumi : dans l'immédiat il va falloir attendre que Jeremie sorte de l'hôpital
Odd : mais il en a encore pour deux semaines
Yumi : je le sais
Odd : on va pas attendre deux semaines pour commencer les recherche alors qu'on a déjà attendu plus de deux mois et demi.
Yumi : je le sais Odd,mais que veux tu qu'on fasse sans lui
William : Yumi à raison Jeremie et la tête pensante du groupe,sans lui on serait même pas par où chercher
Odd : et son robot sonde il est pas censé être terminé.
Ulrich : tu parles du projet Magellan
Odd : oui sa machine qui est censée pouvoir explorer le réseau.
Yumi : je ne sais même pas comment elle marche.
Odd : il t'a bien laissé un mode d'emploi non !!
Yumi : certes de ce côté-là Jeremie m'as considérablement simplifier la tâche en me laissant toute une série d'instructions assez utiles ma foi,mais je suis assez hésitante à l'utiliser.
Odd: je ne vois pas pourquoi si ça marche il faut s'en servir.
Yumi : le problème je ne suis pas sur de pouvoir piloter un truc pareil.
Ulrich : Jérémie ne t'as pas donné d'instructions de pilotage.
Yumi : tu connais les modes d'emploi de Jeremie,quand il te dit simple il faut être minimum ingénieur pour le relire
Odd : alors c'est pas gagné.
Yumi : ce n'est pas perdu pour autant mais il faut attendre.
Attendre !! encore attendre on ne c'est faire que ça s'énerva Odd.
Calme-toi lui dit Ulrich.
Odd : comment veux-tu que je me calme en sachant que Aelita est perdue dans le réseau ou bien qu'elle soit tombées entre les mains de ont ne sait qui... et tu veux que je sois calme !!!!
Le blondinet n'avait pas tort,cela faisait bientôt trois mois que Aelita avait disparus et personne ne savait si elle était encore vivante,tout le monde voulait garder l'espoir pour que ce soit le cas mais le doute subsistait sur son sort.
On ne peut vraiment rien faire se lamenta Odd.
Yumi : je ne sais pas quoi te répondre
Odd : moi je dirais qu'on peut pas rester les bras croiser a rein faire, de plus Jeremie dans son dernier message nous dit qu'il faut craindre une attaque de Xana.
William : Xana mais je croyais qu'il était mort.
Yumi : on le croyait aussi mais selon Jeremie une part de lui aurait survécu quelque part dans le réseau.
William : comment c'est possible ?
Yumi : ça on l'ignore,mais Jeremie a émis l'hypothèse selon laquelle de Xana aurait trouvé refuge dans un réplika couper du réseau.
William : il resterait donc quelque part un super-calculateur actif
Yumi : et apparemment c'est dans celui ci que Xana se serait réfugiées pour survivre.
William : manquait plus que ça !! comme si il ne suffisait pas que Aelita disparaîse voila que Xana nous fais le coup du grand retour.
un vrai cauchemar je te l'accorde fit Yumi
William : pourquoi Jeremie n'as t'il pas relancer le programme multi-agents
Yumi : sans l'aide de Aelita ce n'est pas possible
William : c'est vrai j'avais oublié mais c'est quand même pas croyable alors qu'on croyait en avoir fini avec lui voilà que cette saleté à trouver un moyen de survivre.
Odd : on peut dire qu'il a la dent dure celui-ci.
Yumi : ce sont des échos qu'il a détecté qui ont convaincu Jeremie que Xana avait survécu
William : donc Xana se cacherait quelque part au fin fond du réseau.
Yumi : en vérité ce serait dans la partie abyssale du réseau selon la théorie de Jeremie,dans un endroit inaccessible sans l'aide d'un sous-marin virtuel
William : comment pouvons-nous faire pour l'en délogés.
Yumi : ça sera peut-être pas nécessaire.
William : pourquoi dis-tu ça ?
Yumi : d'après Jeremie les Échos sont entrain de faiblir ce qui signifie que Xana serait à l'agonie
William : il serait en train de mourir.
Yumi : nous savons que Xana ne peut pas survivre très longtemps en dehors d'un super-calculateurs et comme le programme de Jeremie a rendu inopérants tous les autres super-calculateurs cela veut dire...
... que Xana se meurt a petit feu reprit William
Voilà une nouvelle qui ravit William,le fait de savoir que Xana était vivant ne lui avait pas fait spécialement plaisir mais a l'idée que son terrible ennemi soit à l'agonie eut de quoi le réjouir, une mort lente et programmée rien de mieux pour punir une intelligence artificielle selon William.
Odd : si ça se trouve ça va peut-être se passer comme le réplika des montagnes
Yumi : tu parles de celui qui c'est détruit tous seul
Odd : oui pour celui-là on n'as pas eu grand-chose à faire.
Ulrich : faut dire que ce jour-là la mission d'exploration n'a pas duré longtemps.
William : que s'est-il passé.
Ulrich : quand je me suis translater je suis arrivé dans un laboratoire, là j'ai dû combattre un possédé de Xana.
William : et après...
Ulrich : rien avant même que j'eus le temps de faire quoique ce soit,la machine a commencé à s'autodétruire.
William : pourquoi c'est arrivé ?
Ulrich : c'était due au fait que ce super-calculateur n'était pas un super-calculateur.
William : comment ça ?
Ulrich : selon Jeremie seul des super-calculateurs bien précis peuvent accueillir la conscience de Xana, tout autre machine construit sur un principe différent serait détruite,ce fut le cas avec celle-ci.
William : voilà qui est intéressant
Yumi : plutôt ce qui veut dire que Xana n'as plus aucun recours pour le moment,ou qu'il soit il est condamné à disparaître
William : espérons-le
La mort de Xana voilà bien là ce chose à laquelle William inspirait pour le moment,mais il ne fallait pas à en oublier pour autant leur mission principale,il devait par tous les moyens retrouvés Aelita,
Toutefois il savait que cette recherche ne sera pas aisée car pour cela il devrait affronter un puissant et mystérieux adversaire.
Et que savez-vous au sujet de notre nouvel ennemis demanda William
Yumi : pas grand-chose si ce n'est qu'il est très puissant
William : et vous ne craignez pas qu'il revienne du jour au lendemain sans crier gard
Yumi : de ce côté-là nous ne risquons rien Jeremie a mis en place des barrières de sécurité pour empêcher toute nouvelle intrusion.
William : mais si j'ai bien compris cela n'a pas empêché cet ennemi de rentrer la première fois et de kidnapper Aelita
Yumi : oui mais cette fois ce sera différent car Jeremie a compris ce qui s'était passé, il a tous marqué dans les instructions qui m'a laissé
Ulrich : et que s'est-il passé
Yumi : selon lui c'est une faiblesse dans le bouclier qui a permis à notre ennemi de s'introduire dans Lyoko.
Ulrich : une faiblesse !! qu'elle faiblesse le bouclier n'a jamais subi de défaut sinon tout le monde de Lyoko aurait été détruit par l'océan numérique.
Yumi : comment tu peux savoir ça toi
Ulrich : il se trouve qu'un jour Jeremie m'a fait un cours très passionnant sur les protections du monde de Lyoko,et son exposé incluait également les boucliers du système,ce qui m'amène à dire que si les boucliers avaient subi une faiblesse,et il n'aurait fallu que 30 secondes pour que l'océan numérique détruise l'intégralité de la sphère,et cela n'est jamais arrivé.
Yumi : pourtant d'après Jeremie c'est bien arrivé une fois
Ulrich : mais quand ça,on l'aurait su .
Yumi : et bien non figure-toi car c'est arrivé le jour où Jeremie à ré-initialiser le super -calculateur pour délivrer Aelita de l'emprise de Xana. (épisode médusée)
Ulrich : et alors il a rebooter le système je ne vois pas ce que ça a puis faire.
Yumi : pourtant d'après Jerémie lorsque le super-calculateur a été ré-initialiser les boucliers ont été temporairement désactivé.
Ulrich : bon d'accord et ensuite.
Yumi : Jeremie à supposer que pendant ce court laps de temps quelque chose qui se trouvait à l'extérieur des boucliers a réussi a pénétrer à l'intérieur,une fois de l'autre côté cette chose n'avait plus qu'à analyser l'harmonique du bouclier pour pouvoir passer au travers.
Ulrich : oui mais on a lancé un retour vers le passé techniquement aucune information n'aurait dû subsister.
Yumi : sauf si elle sont stockés dans un super-calculateur quantique dont l'une des propriétés est...
...de ne pas être affecté par les retours vers le passé lui répondit Ulrich.
Yumi : c'est exactement ça
Ulrich : si je te suis bien cette sphère aurait profité d'une faiblesse des boucliers pour passer au travers les analyser puis elle aurait stocker ces informations dans un super-calculateur quantique avant de revenir plusieurs mois après pour nous attaquer...
Yumi : certes c'est un peu tiré par les cheveux mais c'est la théorie de Jeremie...
La théorie que Jeremie avait émis semblait complètement dingue,pourtant nul ne se doutait à cet instant à quel point le petit génie avait vu juste,puisque leur ennemi était capable de passer au travers de protection de Lyoko,Jeremie avait mis au point un nouveau système de pare-feu,en partant du principe que cette sphère était une sonde téléguidée,Jeremie avait créé un système de parasitage.
Si jamais cette chose venait à faire sa réapparition sur Lyoko,elle ne serait plus en mesure d'utiliser toutes ses facultés,pour cela Jeremie c'était inspiré du signal que la sonde avait émis la première fois, cette mystérieuse onde parasite avait bloquer pas mal de systèmes sur le super-calculateur,après l'avoir analysé Jeremie avait trouvé un moyen de la retourner contre son utilisateur ainsi été née le bouclier de parasitage spécial Jeremie.
A l'aide de ce bouclier spécial Jeremie espérait bien mettre des bâtons dans les roues à cette sphère,si elle n'était plus en mesure d'utiliser une partie de ses fonctions elle sera sûrement plus facile à détruire.
Odd : espérons que ce bouclier sera efficace,car cette sphere me fait froid dans le dos
Ulrich : à qui le dis-tu moi qui l'est affronté je n'ai pas réussi à la détruire.
Yumi : oui mais toi au moins tu as réussi à l'endommager
Ulrich : tu parles juste après ça elle s'est totalement régénérer.
Yumi : mais cette fois-ci les choses seront différentes si le bouclier de parasitage fonctionne il y a peut-être une chance pour que la fonction de régénération de cette sonde soient désactivés
Ulrich : espérons-le
Odd : alors on fait quoi
Yumi : il nous faut attendre que les procédures de repérage soit activer
Odd : tu parles de quoi la ?
Yumi : j'ai lancé l'un des programmes de détection de Jeremie avec lui nous devrions pouvoir retrouver Aelita
Odd : c'est possible !!
Yumi : si celui-ci fonctionne oui
Odd : mais c'est super ça.
Parmi toutes les instructions que Jeremie avait laissées à Yumi,cederbier avait fait mention d'un système de radar de repérage celui-ci avait pour but de capter et de recueillir les Échos du réseau,en isolant la signature énergétique de cette mystérieuse sphère Jeremie espérait découvrir l'endroit où a été enfermé Aelita mais le programmes n'était pas encore pleinement opérationnelle ce qui fait qu'il mettrais plus de temps a détecter des échos et faute de temps Yumi avait été obligé de le lancer à la place de Jeremie.
Désormais il fallait laisser le super-calculateur travailler tous seul,en attendant Yumi proposa alors à ces amis de tous rentrés chez eux car cela ne servait plus à rien de rester ici, ne pouvant rien faire d'autres tous obéir.
Yumi : ça ne sert à rien de rester ici
William : tu as raison ce n'est pas ce qui fera avancer la situation
Ulrich : dans ces cas-là rentrons collège nous aviserons demain matin
Odd : je crois que nous avons eu notre compte d'émotion pour aujourd'hui
Yumi : alors rentrons
Puisqu'il ne pouvait rien faire d'autre pour l'instant toute la petite bande rentra au collège tandis que Yumi regagna sa maison,alors qu'il venait de sortir par le passage secret du parc William et Ulrich se mirent à discuter d'un sujet très particulier alors que Odd lui avait semble-t-il retrouver son appétit légendaire car se soir au menu il y avait choucroute merguez.
Odd : dépêchez-vous les amis sinon il ne va plus rien rester ici
Part devant on te rejoint lui dit William.
Odd :vous etes sur
Ulrich : oui va s'y file ont te rejoint après
Odd : d'accord mais ne vous plaignez pas s'il reste rien près
Sans se faire prier d'avantage le jeune garçon à la mèche violette parti prestement en direction de la cantine laissant derrière lui et Ulrich et William aux prises avec une discussion importante
alors tu lui as parlé lui demanda William.
Ulrich : je n'en ai pas encore une est l'occasion.
William : mais bon sang mais qu'est-ce que tu attends pour le faire.
Ulrich : j'avais prévu de le faire ce fameux lundi de juin mais ces événements sont arrivés le même jour.
William : c'est vraiment pas de chance.
Ulrich : tu comprends maintenant pourquoi je t'est dis que tous étaient compliqués.
A croire vraiment que c'est fait exprès soupira william.
C'est ce que je n'arrête pas de me dire lui répondit Ulrich.
William : en tout cas il faudra bien qu'un jour tu trouves le courage de te lancer à l'eau
Ulrich : j'espère que ce jour là je pourrais encore compter sur un coup de main de ta part.
William : pour dire ce que tu ressens a Yumi que je serai toujours lÃ
Ulrich : je crois qu'avec tout ça William je ne t'ai jamais remercié pour tout ce que tu avais fait pour moi.
William : ne me remercie pas je l'est fais pour toi et Yumi.
Ulrich : c'est vraiment sympa de ta part
William : tu sais Yumi est une fille formidable et elle mérite un garçon formidable comme toi.
Touchant aveu de la part de William celui-ci ne cachait pas la sympathie qu'il avait envers Ulrich alors qu'il n'y a pas si longtemps encore tous deux était de terribles rivaux,mais a la suite de diffèrent événement ils avaient fini par tisser un lien d'amitié profond, le temps passe et les gens changent c'est une règle qui prévaut pour tous aussi bien en amitié qu'en amour.
Ulrich : dis moi William il y a quelque chose que j'aurais voulu savoir
William : et quoi dont
Ulrich : pourquoi tu fais ça pour moi et Yumi.
William : il me semble de l'avoir déjà dit.
Ulrich : oui c'est vrai j'avais oublié,c'est sa tristesse qui t'avait émue
William : sincèrement j'espère qu'elle n'aura plus jamais a verser une seule larme pour qui que ce soit,c'est si triste de la voir pleurer.
Ulrich : toi tu le sais mieux que personne.
William : hélas oui je le sais....
William n'ajouta plus un seul mot et se contenta de soupirer Ulrich avait bien compris ce que ressentait William,il voulait être le meilleur ami de Yumi mais il l'avait fait souffrir et sa William ne pouvait pas se le pardonner, le sentiment de culpabilité que nourrissait William était difficile à évaluer mais celui-ci était profond ce fut alors au tour du jeune samouraï d'apporter son soutien à son ami qui en retour allait apporter son aide dans les combats avenir afin de rendre le sourire à Yumi.
Le soir venu tous s'endormir plus ou moins paisiblement sans se douter qu'a l'usine une activité suspecte était en train de se dérouler sur Lyoko.
Dans la pénombre éternelle du territoire banquise,une immense masse sombre émergea de la mer numérique,cette mystérieuse forme toute bossu resta immobile pendant plusieurs minutes s'est alors qu'une étrange fumée noire s'échappa de sa surface pour s'élever à la surface des territoires.
Arrivée sur un plateau la fumée pris la forme d'un être vêtu d'une très ample tunique noire,à la base du capuchon qui recouvrait sa tête deux reflets rougeoyant firent leur apparition avant de disparaître a nouveau dans les ténèbres que générait le vêtement,la forme obscure commença à déambuler à la surface du territoire banquises,elle erra un bon moment jusqu'à ce qu'elle arrive devant une tour du passage, la elle s'immobilisa devant, elle resta un bon moment sans réagir ni faire quoi que ce soit.
Au bout de quelques minutes elle reparti à l'exploration des territoires sans que personne ni même le super scan ne détecte sa présence,au terme de son exploration la chose se rendit à l'extrémité du territoire.
C'est la que sans raison apparente le transporteur fit son apparition,il engloba le mystérieux visiteur et l'emmena jusqu'au cinquième territoire.
Arrivée dans la salle de l'aréna l'être poursuivi son chemin à travers tous Carthage et ceci jusqu'à la sortie qui débouchait dans la voûte céleste, la son corps se métamorphosa à nouveau en fumée noirâtres
Sous cette forme de la créature se mit à voler dans les airs,elle accéda alors a la cavité se trouvant à la base de la sphère géante,au bout de quelques secondes elle se retrouva dans la salle du coeur de Lyoko.
arrivé au sommet de la salle l'être repris une forme humanoïde, maintenant cet être étrange faisait face au coeur de Lyoko à cet instant il tendit le bras droit en direction du coeur,une étrange brume noirâtre s'échappa de sa manche celle-ci enveloppa le premier bouclier qui en l'espace de quelques secondes se désintégra.
A ce moment-là le spectre tendit son autre bras et la meme fumée s'en échappa, à son tour le deuxième bouclier fut désintégré,maintenant le coeur était totalement sans défense et à la merci du premier assaillants venus, le spectre prit alors une forme semi gazeuse pour s'envoler vers le coeur, arrivé à proximité il retroussa une de ses manches,celle-ci dévoila un avant-bras squelettique.
Le bras droit de cette créature n'était constitué que d'os,regroupant entre eux ces doigts pour former une sorte de pointe la créature plongea sa main dans le coeur de Lyoko,en temps normal un tel impact aurait provoqué la destruction de ce dernier mais contrairement au coup que William avait jadis porté celui-ci ne se détruisit pas.
Pour tout dire un phénomène étrange se produisit à cet instant,des centaines de petites particules emergèrent du coeur de Lyoko,systématiquement ces dernières furent absorbées par le spectre,pendant des heures la créature se comporta d'une façon vampirique en aspirant toute l'énergie que le coeur pouvait lui fournir.
Quand il eut fini son travail la créature retira sa main,curieusement celle-ci avait changé des morceaux de chair sanguinolent était apparue à sa surface, visiblement une métamorphose c'était opérée et pas seulement au niveau du corps de la créature, la tunique que portait ce mystérieux spectre avait elle-même subie des modifications des espèces de trait rouge aux courbures étranges étaient apparues à la surface du manteau.
Une fois sa besogne terminée l'etre replongea en direction de la mer numérique,et de la façon aussi mystérieuse qu'il était apparu il disparut dans les abîmes de la mer numérique.
chapitre 25 Mr Xana
27 septembre 2005
C'était une journée ordinaire à l'hôpital le matin même Maeva avait fait quelques exercices ludiques afin de parfaire ces connaissances elle en avait profité pour lire quelques-unes des plus grande des oeuvres littéraires qu'elle avait emprunter à la bibliothèque.
Elle avait lu l'intégralité de l'oeuvre de Shakespeare en 5 jours pour passer le temps,manifestants un vif intérêt pour les histoires légendaires elle avait pris comme nouveau livre de chevet un ouvrage qui traitait des mythologies scandinaves.
Maeva ne pouvait se l'expliquer mais quelque part les histoires des dieux nordiques la fascinaient autant que celle de la mythologie grecque et phénicienne.
Pourtant au fil de ces lectures Maeva c'était rendu compte que c'était la curiosité qui la motivait,quelle que soit la mythologie celle-ci était toujours remplie de moultes créatures étrange évoluant dans des univers fantastiques,en parlant de monde étrange Maeva ne pouvait s'empêcher de faire la comparaison entre ces mondes et celui de Lyoko.
Mais le monde de Lyoko était très différent des autres,car celui-ci était en faite le fruit de son imagination,du moins c'est ce dont Maeva voulait se convaincre,si ce monde ne revenait pas de façon fréquente toutes les nuits Lyoko n'aurait pu être qu'un monde onirique.
Mais la constante et exactitude manière dont ce monde ré-apparaissait Ã
dans les songes de Maeva laissa penser à cette dernière que Lyoko était bien plus qu'un simple rêve,c'était un cauchemar vivant pour la jeune fille aux cheveux bleus.
Dans ces périples nocturnes il lui était arrivé de visiter bon nombre de territoires de Lyoko,et quel que soit celui où elle allait elle y faisait toujours de mauvaise rencontre.
Elle avait déjà visité le monde de la forêt où elle avait rencontré le lion violet qui avait voulu la dévorer, mais ce ne fut pas la seule apparition à laquelle Maeva fut confrontée, deux autres créatures était récemment venue peupler ces nuits.
Un soir Maeva avait rêver d'un territoire très montagneux recouvert d'une fine brume matinale,le paysage était digne d'une estampe japonaise,pourtant elle croisa au détour d'un sentier le fantôme d'une jeune fille,cette apparition spectrale était toutes vêtus de blanc,elle portait une grande robe de cérémonie blanche elle avait les cheveux longs et grisâtre son teint était pâle et ces yeux noires était inexpressifs.
Quand Maeva croisa le regard de ce spectre elle sentit un léger souffle glacé lui parcourir le dos,la jeune fille dévisageait Maeva comme si elle avait voulu percer le fond de son âme le simple fait de la côtoyer avait suffi à créer chez Maeva un sentiment de peur, sans même que cette dernière eut fait quoi que ce soit Maeva sentit bien que ce fantôme n'était pas armé de bonnes intentions à son égard.
Le spectre se mit en mouvement et se dirigea vers Maeva, la jeune fille fut encore une fois obligée de se sauver car au même instant venant des cieux elle entendit encore la voix lui disant d'aller se réfugier dans la tour.
Mais quel tour ? de quoi pouvait parler cette voix se demandait a chaque foi Maeva.
Se pouvait-il que la voix lui parlait des édifices rouge ? ceux que Maeva malgré toute sa bonne volonté n'avait jamais pu approcher,pourtant une fois elle avait failli y arriver, cela c'était passée dans le monde désertique,évoluant dans celui-ci Maeva n'avait rencontré aucune âme qui vive mais rapidement cet impair fut corrigée car jaillissant du sol il fit son apparition... le démon.
Le désert était le domaine du démon aux yeux jaunes et au masque de squelettes,son aspect était à lui seul plus effrayants que celui des deux autres créatures réunies,sont corps orangeatre était très fin on pouvait presque voir ces os sous sa peau de long cheveux marrons lui descendais dans le bas du dos,il avait les doigts crochus et taillés en pointe un seul de ses coup aurait suffi lacéré n'importe qui.
Ce dernier avait repéré Maeva et se tenait prêts à l'égorger ce fut encore cette voix providentielle qui incita Maeva à fuir vers la tour.
Ces visions cauchemardesque Maeva avait beau essayer de s'y habituer elles n'y arrivait pas,a chaque nouveau rêves cela allait de mal en pis, le pire fut le soir où Maeva se retrouva dans le monde des glaces,isolé au milieu de nulle part elle finit par être encerclée par ses trois démons.
Le lion - Le fantôme et le démon.
Tous regardèrent Maeva froidement et tous laissèrent transparaître leur mauvaise intention à l'égard de Maeva,ne pouvant fuir la jeune fille se tint prête à subir les pires atrocités au moment où les trois démons se jetèrent sur elle.
Personne n'aurait pu dire ce qui allait se passer après car à chaque fois Maeva se réveillait en hurlant dans son lit.
Tremblantes,apeurées,tétanisées,transpirante,déboussolées autant de termes qui pourraient qualifier les états dans lesquel se trouvait Maeva à ces moment-là .
Pour essayer de se convaincre de leur inexistence Maeva avait relaté ces curieux événements au docteur dans l'espoir que celui ci puisse l'aider,ce dernier chercha à établir une corrélation entre les cauchemars de sa petite protégée et la réalité de ces origines mais à chaque fois le docteur se trouvait face à impasse.
Aucune des descriptions que lui donnait Maeva ne semblait calquée sur la réalité,les questions étaient pourtant en suspens avait-elle imaginé ou vécu ces événements ? imaginer cela pouvait être soigné ...mais vécu cela paraissait impossible pour le Docteur Robinson.
Pourtant quelque part une petite voix disait à Maeva que tout ceci n'était pas le fruit du hasard ce qui avait conduit la jeune fille s'intéresser aux mythologies ainsi qu'à la psychanalyse
la manifestation de ses démons avait peut-être une signification particulière et Maeva se devait de trouver une explication.
A de nombreuses reprises cette dernière c'était réveillée en sursaut sur le divan du docteur Robinson, en voulant explorer l'inconscient de maeva ce dernier avait proposé des séances d'hypnose mais à chaque fois ces dernières c'étaient soldées par des échecs Maeva n'arrivait pas à garder le contrôle sur ses rêves,dans aucun d'eux elle ne parvenait pas a avoir le contrôle de ces mouvements elle ne faisait que suivre un schéma prêt établi.
Elle n'était que la spectatrice,elle pouvait voir mais elle ne pouvait pas agir comme bon lui semblait c'était un peu comme si elle revivait des événements au travers du corps de quelqu'un d'autre.
Pourtant depuis le début le Dr c'était efforcée de lui dire que ses rêves étaient la clé de ses origines,Maeva s'en doutait bien mais quand était il ?
Le mystère de ces origines perturbait grandement Maeva tant qu'elle ne connaîtrait pas la vérité elle ne pourrait pas trouver sa place dans ce monde ni dans l'autre.
Un autre élément étrange avait son apparition,c'était un miroir sans reflet,il était parfois arrivé à Maeva d'évoluer au milieu de nulle part,dans un puits de ténèbres sans fond, dans un espace sombre aux limites infinies autant d'endroits dépourvue de vie n'est pas d'intérêt.
Car à chaque fois devant elle apparaissait un miroir, la glace argentée était monté sur un grand cadre en bois richement orné,ce miroir massif au contour rougeoyant n'en était pas moins étrange car il ne reflétait rien ou plutôt il reflétait une image qui n'avait rien à voir avec la réalité.
Maeva avait beau regarder la glace sous toutes les coutures jamais elle ne pouvait percevoir son reflet,celui-ci n'existait pas,plus étrange encore le miroir reflétait un paysage que Maeva n'avait encore jamais vu.
au travers du miroir elle percevait une grande salle bleue alors qu'elle se trouvait dans un grand espace sombre.le reflet du miroir défiait les lois de la logique,comment un miroir pouvait-il refléter un environnement qu'il n'avait pas pour modèle ?
Une fois par curiosité Maeva avait posé ces doigts sur la glace qu'elle ne fut pas sa surprise de voir la surface de celle-ci ondulée et se déformer à la manière de quelqu'un qui touche la surface d'un plan d'eau,en réitérant l'expérience Maeva vit sa main s'enfoncer à l'intérieur du reflet
qu'est-ce que cela pouvait-il bien signifier ?
Avides de curiosité Maeva voulu en savoir plus,prenant son courage a deux main elle décida de franchir le miroir,peut-être avait-elle là l'occasion d'atteindre ce monde mystérieux aux structures géométriques très complexes,mais à chaque fois elles n'y parvenait pas,chacune de ces tentatives pour franchir la glace la conduisait dans l'un des quatre mondes de Lyoko.
Au même titre que toutes les séances d'hypnose toutes les tentatives pour essayer d'atteindre ce cinquième monde se soldaient également par des échecs,lassés par ces essais infructueux Maeva préféra se concentrer sur le véritable sens que pouvait recouvrir l'image de ce miroir.
ce reflet invisible était il un passage vers un autre monde,une métaphore sur sa propre existence,que pouvait bien être ce miroir et en quoi était-il lié à Maeva ?
Là encore Maeva devrait chercher les réponses par elle meme, mais elle ne doutait pas de pouvoir les trouver un jour si on lui en laissait l'occasion,car si les rêves de Maeva étaient effrayant sa réalité l'était tout autant.
A l'hôpital Maeva était victime d'une discrimination sans précédent,à l'indifférence des docteurs, au mépris des infirmières venaient maintenant s'ajouter celui des autres patients.
A de nombreuses reprises les autres enfants avaient manifesté leur hostilité à l'égard de Maeva.
A cause de sa différence flagrante elle était systématiquement raillée par les autres enfants,elle était devenue sans le vouloir la tête de Turc d'une patiente en particulier,il s'agissait d'une jeune fille rousse nommée Vanessa Sidoroff.
Vanessa était la fille d'un richissime homme d'affaires arrivées depuis quelques mois à l'hôpital pour être hospitalisé suite à un petit problème de comportement,se considérant comme une personne importante Miss Sidoroff n'avait pas mis longtemps a imposé sa petite loi.
Il fallait céder à tous ces caprices et personne n'osait lui dire quoi que ce soit a cause de son statue, elle était traité avec beaucoup d'égards car son père était un généreux donateur de l'hopital,ne pouvant se priver d'une manne financière aussi importante le Dr Holstein avait demandé à tout le personnel d'être aux petits soins avec elle,en retour Miss Sidoroff donnait de bons échos à son père sur la façon dont elle était traitée ce dernier sans hésiter signait un généreux chèque que le docteur Holstein se pressaient d'encaisser pour le compte de son établissement.
Pour Vanessa la vie était royale au sein de l'hôpital,la chambre était de premier choix,la nourriture de première qualité et tous le monde était à ces pieds,pourtant dans ce dans ce tableau idyllique un détail clochait,il s'agissait de la présence d'une patiente aux cheveux bleuté.
Pour une raison que personne ne pouvait expliquer Vanessa avait pris en grippe Maeva,la présence de la jeune fille aux cheveux bleus l'indisposait fortement,Vanessa se demandait bien de quelle foire aux monstres Maeva avait bien pu s'échapper,pour elle Maeva était un être anormal qui n'avait pas sa place ici.
En vérité de Vanessa trouvait Maeva très suspecte et contrairement à ce que certaine personne pouvaient penser ce fut Vanessa qui fut responsable de la mauvaise réputation de Maeva.
Une bonne partie des surnoms de Maeva était à l'origine des trouvailles de Vanessa,depuis le jour où elle réalisa que Maeva était très intelligente.
Au cours d'un exercice pratique Vanessa comprit que Maeva était une surdouée et que malgré ses efforts elle ne pourrait pas l'égaler,
Jalouse comme pas deux Vanessa ne pouvait pas le supporter,comment la mutante aux cheveux bleus pouvait-elle être meilleur qu'elle, ne pouvant pas rivaliser sur le terrain du quotient intellectuel Vanessa préféra utiliser la calomnie pour détruire la réputation de Maeva et dans la maîtrise de cette "art" Vanessa était très douer.
Sans compter les directives que le Dr Holstein avait données à l'encontre de Maeva,Vanessa était la deuxième personne responsable des malheurs de Maeva au sein de l'hôpital,et cette campagne discriminatoire fut efficace Maeva était systématiquement rejetée par tous les patients et ceci à cause des rumeurs qu'avait propagé Vanessa.
déjà qu'à la base de la situation de Maeva n'était pas brillante cela n'arrangeat nullement ces affaires,combien de fois Maeva était-elle repartie en pleurant dans sa chambre ? combien de fois Maeva c'était est-elle fait humilier ?combien de fois Maeva c'était elle fait mal menée par les autres ? seul Vanessa pourrait le dire car elle tenait-les comptes de ses mauvaises actions envers Maeva.
Pourtant en dépit de tous ses malheurs une lueur d'espoir avait éclairé l'âme en peine de Maeva,depuis le jour où elle avait rencontré Kevin sa vie avait profondément changé, spirituellement parlant Maeva essayait de trouver un bien-être dans sa vie au travers de la religion,grâce à certains enseignements que Kevin lui avait inculqué Maeva était devenu très croyante, ce besoin absolu de croire en quelque chose qui ne s'explique par était devenue une vraie profession de foi pour Maeva.
Tous les soirs elle priait avant d'aller se coucher, elle priait pour le salut de son âme, elle priait pour le salut du Dr Robinson en espérant que tout ceci pourrait continuer pour le mieux,et contre toute attente Maeva priait aussi pour le salut de ceux qui lui avait fait du mal.
Sa rencontre avec Kevin lui avait fait comprendre que tous les hommes n'étaient pas foncièrement mauvais,mais que parfois certains choix et certaines conditions font que le plus doux des hommes se transforme en démon.
Un démon voilà bien ce que Maeva ne voulait jamais devenir,elle en côtoyait assez dans ces rêves pour savoir à quel point ces êtres sont vils et méprisants.
c'est ce qui dans le fond effrayait Maeva au sujet de ces origines,elle ne savait pas qui elle était, elle ne savait pas d'où elle venait,mais elle savait qu'elle avait un lien très fort avec le monde de Lyoko.
Ce lien était une terrible conséquence pour Maeva, si elle était bien liée à ce monde et que ce monde était démoniaque n'était-ce pas parce que elle-même serait un démon.
Maeva pouvait-elle être un démon ? plus que tout elle se refusait à y croire,mais elle ne pouvait pas faire taire ces doutes...
Si aux yeux des autres elle paraissait être une mutante,aucun ne pouvait se douter de quelle nature était le terrible secret que Maeva s'efforçait de garder
___________________________Ces pouvoirs___________________________
Quoi qu'il puisse arriver personne ne devrait jamais être au courant de ceci,c'est pour ça que Maeva s'efforçait de les cacher du mieux qu'elle pouvait en évitant de toucher toutes appareils électriques ou électroniques.
mais elle avait beau faire elle n'avait jamais pu empêcher des rumeurs de circuler à son sujet,pour tous elle serait et resterai pour toujours.... Le petit monstre...
Pendant des mois elle dut subir ce traitement la,pourtant un jour un nouvel événement se produisit dans la vie de Maeva,alors qu'elle travaillait en compagnie d'autres enfants dans l'atelier ludique un problème technique intervint au niveau de l'éclairage,bon nombre d'ampoules du plafonnier grillèrent.
Pour une fois Maeva ne fut pas responsable de cet incident seul la vétusté de l'installation était en cause,le temps que le personnel de maintenance effectuent les réparations,les enfants furent recasés dans la partie maternelle de l'établissement.
La salle de puériculture était très différent des autres salles,on y accueillait généralement des enfants de 3 à 7 ans,il s'agissait également d'un atelier créatif mais celui-ci était beaucoup plus primitif.
Crayons de couleur, pâte à modeler et quelques jouets garnissaient la salle, la plupart des patients furent installés aux tables des plus petits.
alors que Maeva était encore une fois tenue à l'écart des autres patients son regard fut attiré par une étrange pile de jouet,il s'agissait surtout de peluches avec lesquels les petits enfants aimaient bien s'amuser.
C'est peut-être mu par la curiosité mais Maeva se mit à fouiller dans la caisse a jouet,les peluches que contenait la boîte était très diverse cela allait du classique Teddy l'ours a Nini l'élan.
En fouillant Maeva tomba sur une peluche particulièrement étrange,celle-ci avait une forme atypique,la peluche était une grosse tête composée de huit pattes on aurait dit une sorte de pieuvre.
Elle est drôle cette peluche se dit Maeva en contemplant le jouet.
Soudain Maeva fut pris d'un léger mal de tête,quand elle ferma les yeux plusieurs images s'imprimèrent à vitesse rapide dans son esprit,manquant de s'évanouir Maeva se ressaisit aussitôt.
qu'est-ce qui s'est passé se dit-elle la main posé sur le front.
l'espace d'un instant des images de son passé lui était revenues,mais celle-ci lui paraissait complètement incongrue,l'image qu'elle avait surtout vue était celle d'une étrange créature fort ressemblante à la peluche.
Une sorte de pieuvre voilà ce que Maeva venait de voir dans son flash-back,la vision de cette nouvelle créature lui laissa une impression étrange qu'elle ne parvenait pas à expliquer, la seule chose qui puisse être évidente c'est que c'était la vu de cette peluche qui avait déclenché ceci.
Bizarre se dit Maeva qui tenait encore la peluche dans ses mains
Durant de longues minutes Maeva resta à contempler cette peluche en essayant de comprendre ce qu'il lui était arrivé,le regard de Maeva était fixé sur celle de la peluche peut-être en se concentrant suffisamment elle arriverait avoir une vision plus précise. malheureusement pour Maeva son étrange attitude finit par attirer l'attention de Vanessa,qui se moqua de la jeune fille, quelle ne fut pas le plaisir de voir que cette dernière semble s'amuser avec une peluche
Non mais regardez-moi ça elle joue encore à la peluche à son âge fit Vanessa.
Surpris par cette arrivée inopinée Maeva ne sut quoi répondre à cette nouvelle réplique,mais sa réponse fut assez déplaisante.
et en quoi cela te dérange-t-il lui répondit Maeva.
Vanessa : oh mais ça ne me dérange pas, ça m'amuse au contraire.
Maeva : et qui y'a t'il d'amusant là -dedans
Vanessa : voire une mutante s'amusait à la poupée c'est très drôle.
Maeva : et alors je vois pas ou est le mal.
Vanessa : y'as pas de mal,c'est compréhensible quand on est un monstre de s'amuser avec un monstre
Maeva : arrête de dire que je suis un monstre s' énerva presque Maeva
Vanessa : tes goût en matière de jouet me semble contestable,c'est vrai il y a plein de jolies peluches,des chatons des oursons des petits chiots mais toi tu préfères t'amuser avec une méduse.
Maeva : et alors si elle me plaît cette peluche je vois pas en quoi sa te dérange.
Vanessa : cette peluche est monstrueuse et finalement vous faite bien la paire.
Maeva : que veux tu dire
Vanessa :qui se ressemble s'assemble entre monstre de la meme famille on s'entend bien...
Maeva : cette peluche ne fait pas partie de ma famille
Ah oui j'oubliait,c'est vrai tu n'as pas de famille lui dit Vanessa en décochant a Maeva un sourire odieux.
La dernière réflexion de Vanessa fut particulièrement blessante car aussitôt la plupart des enfants qui avaient assisté à la scène se mirent à rire de Maeva, au moins Vanessa pouvait se vanter d'avoir une famille ce que Maeva elle ne pouvait pas revendiquer
d'ailleurs à bien y regarder tous les enfants sans exception avait une famille seule Maeva était la seule orpheline apparente.
Cela renforça d'autant plus le sentiment de solitude qu'éprouvait Maeva, celle ci aurait voulu pleurer mais elle se retint ne voulant pas donner ce plaisir a la jeune fille rousse.
Alors que Vanessa allait lui porter une nouvelle pique incendiaire elle fut interrompue par l'arrivée du Dr Robinson.
Tiens ton chevalier servant est arrivé lui lança sournoisement Vanessa.
Le docteur n'entendit pas ce que Vanessa venait de dire a son sujet,il croisa la jeune fille qui partit en direction d'un autre groupe délaissant Maeva dans un triste état,le docteur vit tous de suite que Maeva n'était pas dans son état normal.
celle-ci était dans son coin et ne lâchait plus la peluche que tenait très fortement contre elle,c'était pour la jeune fille le seul réconfort quelle pouvait trouver.
Tous vas bien demanda le docteur
Oui sa va lui dit Maeva
Dr : tu est sur
Maeva : oui c'est vrai.
Le docteur vit bien que Maeva n'allait pas bien,en se retournant,il vit le groupe de vannessa rire aux éclat,en fronçant les sourcils le docteur compris ce qui était a l'origine du trouble de Maeva,qu'est ce que Vanessa avait t'elle put dire Maeva.
Le docteur avait bien compris le petit manège de Vanessa il savait que celle ci provoquait Maeva mais a chaque elle s'arrangeait pour que personne s'en doute,bien que de nature patiente le docteur se disait qu'une bonne paire de claque ne ferait pas de mal a cette jeune fille, mais cette opinions il le gardais pour lui, il devait apporte son soutient a Maeva.
Pour changer de sujet le docteur voulu parler avec Maeva de la peluche que celle ci serait contre elle.
Dr : dis moi c'est une belle peluche que tu tiens la
Oui lui fit la très timorée Maeva.
Je peux la voir demanda le docteur.
Se ressaisissant un peu Maeva se tourna vers le docteur ,quand elle vit que celui ci lui souriait cela lui rendit le moral, c'est toute confiante quelle remit la peluche au docteur,la prenant en mains celui se mit a la contempler
Tu est devenu accro au peluche lui dit le docteur sur un ton humoristique mais nulement moqueur.
Maeva : pas vraiment
Dr : pourtant on dirait pas a la façons donc tu la tenait.
Maeva : sa n'as rien a voir c'est juste que.....
Dr : que...
Maeva : ... que je trouve ce peluche tellement spécial.
Dr : spécial, et en quoi
Maeva : elle est différente des autres...
Dr : je vois.....
Maeva n'eut pas besoin d'en dire plus le docteur compris ce que cette dernière voulait dire, de tous le contenu de la boite cette peluche était une exception, le parallèle entre elle et Maeva fut rapide a faire,il était étonnant que Maeva se soit attaché a cette peluche,le docteur compris vite la un bon moyen de réconforter Maeva
Dr : dis moi Maeva tu connais le noms de cette peluche
Maeva : non
Dr : est bien elle s'appelle Mr Poulpy
Maeva : Mr Poulpy
Dr : c'est le noms de ce jouet,
Maeva : Ah bon !
Mr Poulpy était un jouet commercialiser par la société GK games, se produit étai un peu célèbre a cause du dessin animé qui en fut tirée mais comme celui ci n'avait pas rencontre le succès il faut déprogramme et la ligne de jouet arrête,ce peluche était l'un des dernier exemplaire qu'on pouvait trouver,pourtant le noms que celle-ci portait ne semblait pas convenir a Maeva.
Dr : ce noms te plaît pas ?
Maeva : c'est bizarre mais c'est pas le noms que je lui aurait donner
Dr : ah oui et comment l'aurait tu appeler toi
Maeva regarda la peluche et sans vraiment savoir pourquoi elle lui donna un noms pour le moins atypique
moi je l'aurait appeler ...Mr Xana.... fit Maeva.
Dr : Mr Xana....c'est quoi se noms ?
D'où Maeva pouvait t'elle tirer un noms comme celui ci,d'habitude les filles donne des diminutifs et font des double syllabes et voyelle genre NINI ....DADA ... ZOUZOU,mais ce noms XANA le docteur ne l'avait jamais entendu.
Dr : ce quoi Xana ? c
Maeva : je sais pas mais c'est un nom qui n'est soudainement venu en voyant cette peluche.
Dr : serait ce le nom d'une personne que tu aurais connue
Maeva : je ne sais pas c'est assez étrange en faite
Dr : c'est clair Xana n'est pas un nom courant je sais meme pas si c'est une noms
Maeva : c'est peut etre un surnom
Dr : c'est peut être le diminutif de Xanadu
Maeva : Xanadu ?!!! c'est quoi Xanadu.
Dr : tu ne connais pas
Maeva : sa me dis rien
Dr : toi qui est fan de légende et de mythologie ça m'etonne que tu connaisse pas ça
Maeva : tourner pas autour du pot comme ça et dites moi ce qu'est Xanadu
Dr : d'après la légende Xanadu était le palais du célèbre Kubla Khan
Maeva : qui était ce monsieur
Dr : Un descendant de Genkis Khan.
Maeva : le grand conquérant mongol
Dr : lui meme,et Kubla Khan a fait érigé un magnifique palais que est entre dans la légende sous le noms de Xanadu.
Maeva : vous pensez que ce noms viendrais de la
Dr : qui sait
Maeva : mais quel rapport entre un palais et un poulpe ?
Dr : ça c'est a toi de me le dire.
Maeva : je vous avoue que moi meme je l'ignore,ce noms m'est venu comme ça.
Dr : comme ça sans raison
Maeva : pas vraiment,mais c'est bizarre rien qu'a penser a ce noms j'ai une drôle d'impression
Dr : qu'elle genre d'impression ?
Maeva : une bonne impression ,comme si il s'agissait de quelqu'un que je connais.
Dr : ce Mr Xana serait quelqu'un que tu as connu
Maeva : C'est possible mais je ne pense pas que quelqu'un puisse porte un nom pareil
Dr : c'est peut être un surnom
Maeva : Allez savoir peut-être
Dr : Et à part ça qu'est-ce que tu en penses de ce Mr Xana.
Maeva : qui me plaît bien
Dr : Dans ce cas-là tu pourrais en avoir de bons souvenirs,c'est plutôt rassurant
Maeva : que voulez-vous dire docteur
Maeva : si sa se trouve ce Mr Xana devait être quelqu'un qui devait beaucoup t'aimer. (^_^')
Maeva : il y aurait quelqu'un qui m'aimait
Je peux pas te le dire mais c'est possible lui répondit le docteur.
Maeva : sa serait merveilleux si c'était le cas
Dr : et pourrais tu m'en dire plus
Maeva : je regrette j'ai juste eu un flash mais rien de précis
Dr : je vois, pas grave mais se serait une piste sur laquelle on pourrait travailler
Maeva : vous croyez que sa pourrait m'aider
Dr : ce flash-back et ce noms son peut être le début d'une guérison pour toi, mais il te faudra faire des effort pour ça et ne plus te laisser abattre par les mauvais lui dit le docteur en désignant du regard Vanessa.
Maeva compris le message,elle devait croire en sa guérissons et la perspective que quelque part une personne puisse aimer réjouit le coeur de la jeune fille,elle voulait croire que cela soit vrai, le docteur mis sa mains sur l'épaule de Maeva pour l'encourager a y croire
Dr : tu verra Maeva toi et moi nous arriverons à percer ce mystère
Maeva : vous me le promettez docteur
Dr : je te le promet
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27 septembre 2005 - chambre de Maeva - Journal intime de maeva
"Oui docteur je le sais et je voulais vous dire que je vous crois,votre désir de m'aider est sincère...j'aimerais un jour pouvoir vous le témoigner mais pour l'heure cela reste entre moi mon journal et Mr Xana....
A cette instant Maeva se tourna sur sa chaise pour regarder en direction de son lit,posé dessus la peluche de Mr Xana si trouvait.
le docteur avait permis a Maeva de la garder et de l'emmener avec elle,le soir Maeva s'endormais en compagnie de ce poulpe pour qui elle éprouvait une étrange affection
Mr Xana la seule personne en dehors du docteur qui puisse vouloir du bien a Maeva du moins c'est que Maeva se disait,mais elle sentait au fond elle que qui que soit ce Mr Xana elle serait sûrement appelée a le rencontrer un jour ou l'autre et que ce jour la elle pourrait enfin mettre un visage sur ce noms, mais pour le plus grand malheur de Maeva ce jour allait arriver plus vite que prévu.
Chapitre 25 Dr Sigmund Kessel
05 mars 2005
"Alors vous avez réussi à le localiser"
ça n'a pas été sans mal mais nous y sommes parvenus répondit le major.
Est quelle est la suite du programme demanda le colonel.
M Cartwright : nous partons pour la base militaire de Stuttgart,de là nous prendrons un hélicoptère qui nous conduira jusqu'en Suisse allemande....
C Perec : et après
M Cartwright : de l'aérodrome de Zurich nous prendrons une voiture pour nous rendre dans le canton de Zoug où réside notre homme.
C Perec : ne serait-il pas plus simple de nous y rendre directement en hélicoptère.
M Cartwright : vous voulez vraiment attirer l'attention sur nous.
C Perec : oublier ce que je viens de dire et poursuivez.
M Cartwright : de là nous arriverons dans le petit village de Morgelwit
C Perec : c'est dans ce village que réside Sigmund Kessel
M Cartwright : selon nos informations Sigmund Kessel y posséderait un chalet.
C Perec : est cette fois-ci quel sera notre couverture ?... allons-nous devoir encore jouer les agents d'assurance.
M Cartwright : pas cette fois mon colonel nous allons nous présenter telle qu'elle.
C Perec : vous voulez dire que l'on va devoir jouer les militaires.
Parce que vous trouvez que l'on joue nous s'étonna le major.
C Perec : sincèrement Major j'ai tellement joué les gratte papiers ces derniers mois,que je me sens plus apte à vendre des assurances qu'à combattre des terroristes internationaux
M Cartwright : vous pourriez pas être sérieux une minute.
C Perec : mais je le suis la.
Les paroles du colonel aussi étrange qu'elle puisse paraître était base sur une certaine logique, le brave officier avait passé pratiquement un an et demi à jouer les fonctionnaires, entre les archives nationale où il avait été muté suite à sa blessure en Afghanistan et sa mise à pied suite à l'affaire de Global Computer, le colonel commençait à douter de ses capacités de combattants.
Face à cette situation un peu d'action ne serait pas pour déplaire à l'officier,car à force d'être inactif ce dernier avait déjà pris pas moins de cinq a six kilos et ce ne fut pas l'enrichissante nourriture de l'hôpital qui arrangea la situation.
Depuis son accident avec le caisson radioactif,le colonel c'était mis à manger comme quatre,d'après les médecins son métabolisme exigeait une grande quantité de glucides,de protides et de lipides,en dépit de cet apport hypercalorique le colonel n'avait finalement pas tant grossi que sa.
Pourtant ceci n'était qu'une part du problème,le colonel avait gardé pour lui un élément qu'il n'avait révélé à personne,il avait consigné dans son journal personnel avoir vécu une expérience particulière.
Il avait effectué des "bond vers le futur",cela pouvait paraître étrange mais l'officier avait acquis la certitude que durant la période du 28 janvier 2005 aux 28 février 2005 il avait revécu pas moins de quatre fois la même journée.
Étant la plupart du temps sous tranquillisants les trois premières expériences c'étaient avérées anodines,met la dernière en date avait été plus que troublante,
ce jour-là le major était venu lui rendre visite,cette dernière lui avait apporté de nouvelles informations sur les avancées de l'affaire,après avoir longuement discuté cette dernière l'avait quitté en fin de matinée,par la suite tout le reste de la journée se passa sans incident pourtant le soir venu un phénomène curieux se produisit.
alors qu'il était en train de regarder les informations à la télé,un flash d'info spéciale interrompit les programmes,la présentatrice informait la population que de violent tremblement de terre secouait la capitale française depuis bientôt une demi-heure,le colonel ne perdit pas une miette de ces terribles nouvelles.
Les premières images montraient une ville de Paris en état d'alerte maximal,pompiers,forces de l'ordre et ambulance se succédaient sous l'oeil des caméras alors que d'autres bâtiments étaient la proie de violent tremblement.
Cette scène était vraiment apocalyptique à voir et le récit des témoins étaient hallucinants,personne ne semblait avoir pu prévoir cette catastrophe et celle-ci ne semblait pas vouloir se stopper alors que le colonel voulut zapper sur d'autres chaînes pour avoir plus d'informations il fut soudain éblouie par une intense lumière blanche.
Quand le colonel ouvrit les yeux il était à nouveau dans son lit et ce n'était plus le soir mais le matin, ne comprenant pas ce qui c'était passé le colonel supposa qu'il avait dû s'endormir devant les informations, c'est alors que le major fit son entrée dans la chambre se qui étonna le colonel,elle lui avait pourtant dit la veille qu'elle devait rentrer pour le quartier général du MI5 et ceci pour une période de trois jours,avait-elle quelques nouvelles informations à lui transmettre ? mais ce ne fut pas le cas pour des raisons que le colonel eut du mal à comprendre le major lui redonna exactement les mêmes informations que la veille,ne comprenant a quelle jeu le major s'adonnait le colonel lui fit remarquer qu'il savait déjà tous ça se qui en retour surpris le major.
alors qu'elle-même n'avait ces informations que depuis quelques heures le colonel semblait tout savoir de ces dernières le major intrigué demanda au colonel comment celui-ci avait pu être au courant avant elle, ce dernier lui répondit que c'était elle qui lui avait donné la veille ce que le major se défendit puisque la veille elle était encore à Londres et qu'elle n'était arrivée que ce matin à l'hôpital de Berlin, mais le colonel soutint mordicus que cette dernière était venue la voir pas plus tard qu'hier ce que le major démentis avec force.
Le colonel lui parla du tremblement de terre qui avait secoué Paris mais nulle part il n'avait été fait mention d'une telle catastrophe quand le colonel précisa que c'était le soir du 16 février le major lui répondit que le 16 c'était aujourd'hui.
Cette révélation finit d'achever le colonel,l'officier eut du mal à croire ce que lui disait le major mais la date du jour était bien celle d'hier du moins selon la notion de temps du colonel,face à un événement qu'il ne pouvait pas expliquer le colonel préféra imputer ceci à l'effet de la fatigue et des médicaments toutefois le phénomène qui c'était produit le laissa perplexe.
avait-il imaginé tout ça ? avait-il fait un rêve prémonitoire ? pour le colonel tout ceci était assez incompréhensible à comprendre il préféra ne pas insister sur ce phénomène et joua la carte de la blague au major tout en restant dubitatif sur cette histoire.
Dans son propre intérêt le colonel avait préfère passer sous silence ces événements mystérieux sinon il n'aurait jamais obtenu l'accord des médecins pour pouvoir reprendre du service,mais tous ceci cachait quelque chose de louche depuis on irradiation plus rien n'était comme avant.
Mais ne voulant pas s'attarder sur le passé le colonel souhaitait se consacrer à l'avenir et cet avenir s'appelait Sigmund Kessel, l'un des trois hommes rattachés au projet Carthage initial,ce bon matin il avait quitter la base militaire de Stuttgart pour partir a sa rencontre,mais le colonel ignorait que le major avait en sa possession une information qui ne devait lui etre reveler que dans un court instant.
L'essentiel pour le colonel était de percer maintenant le mystère qui entourait le mystérieux personnage de Kessel.
Est notre homme se trouverait dans un chalet reprit le colonel
M Cartwright : c'est le cas mon colonel.
C Perec : toutefois une question m'interpelle major
M Cartwright : laquelle ?
C Perec : si j'ai bien compris ce que j'en ai lu cet homme vis comme un reclus et n'a que très peu de contacts avec le monde extérieur et d'après ce que vous m'en avez dit ils n'apprécient pas particulièrement les militaires.
M Cartwright : c'est inscrit dans son dossier.
C Perec : alors qu'est-ce qui vous dit qu'il va nous accueillir à bras ouvert.
M Cartwright : dans son intérêt il faudrait mieux qu'il collabore avec nous
C Perec : que dois-je comprendre.
M Cartwright : rien de particulier.
C Perec : major je suis sûr que vous me cachez quelque chose.
M Cartwright : il se pourrait bien que nous le forcions a collaborer
C Perec : oh non ne me dites pas que les services secrets sont en train de monter une opération contre lui.
M Cartwright : je ne vous cacherai pas mon colonel que nos services ont envisagé cette possibilité.
C Perec : "envisagé"
M Cartwright : dans un but préventif bien entendu au cas où notre mission se solderai par un échec.
C Perec : attendez on est même pas sûr que ce qu'il soit impliqués dans cette histoire, ce n'est pas comme ça que nous pourrons obtenir quoique ce soit sa part
M Cartwright : ce sont les ordres de nos supérieurs
C Perec : loin de moi l'idée de vouloir remettre en cause les décisions de supérieurs mais des fois...
M Cartwright : les ordres sont les ordres
C Perec : oui ces mêmes ordres qui nous ont mis au placard pendant trois mois
M Cartwright : .....
C Perec : vous voyez même vous vous désapprouvez
M Cartwright : je n'ai pas d'opinion à avoir sur le sujet.
C Perec : s'il vous plaît cesser de comporter comme un militaire,essayer d'être un peu plus humaine.
M Cartwright : que dois-je comprendre dans votre remarque.
Comprenant qu'il venait à nouveau de refroidir l'ambiance le colonel ne préfèra pas s'attarder sur le sujet mais le major avait bien compris le sous-entendu du colonel ce dernier lui avait reproché la froideur extrême dont elle faisait preuve et même si elle ne voulait pas l'admettre ceci était particulièrement vexant pour la jeune femme,afin de ne pas envenimer la situation le colonel préféra revenir à l'essentiel
C Perec : sinon je suppose que dans votre mallette vous avez un dossier concernant Sigmund Kessel
M Cartwright : comment avez-vous deviné
C Perec : appelez ceci de l'intuition.
M Cartwright : puisque je n'ai rien à vous dire je vais vous laisser étudier ceci mon colonel
Apparemment le major semblait vouloir faire la tête, le colonel se contenta de prendre le dossier contenu dans la mallette,une fois en main le colonel commença à en faire la lecture à haute voix du dossier.
"Sigmund "Artémus" Kessel né le 23 février 1943 dans le canton de Zoug en Suisse allemande,brillant élève doté d'un quotient intellectuel de plus de 150, à 24 ans il est sorti diplômé de l'institut de physique de Bâle,par la suite il a travaillé plusieurs années comme scientifique au CERN et ceci jusqu'en 1974,date à laquelle il a rejoint le projet Carthage...ces informations sont-elles fiables ?
M Cartwright : elles le sont mon colonel ont a vérifié.
C Perec : bien je continue....
le Dr Kessel a été rattaché au projet jusqu'en 1979,date à laquelle le projet Carthage a été détruit,il est l'un des trois seuls rescapés ayant survécu à l'explosion du laboratoire par la suite il a été mise sous surveillance par les services secrets français...quand tous les soupçons furent levés sur sa personne il s'est mystérieusement retiré de la vie active...
apparemment ce monsieur n'a pas choisi de disparaître comme la fait Waldo schaeffer remarqua le colonel
M Cartwright : lisez la suite du dossier et vous verrez
C Perec : alors....
....retiré de la vie active pour s'établir de façon définitive dans le canton de Zoug,par la suite il c'est rarement manifestée qu'au travers de quelques articles écrites dans la presse spécialisé sinon.... blablabla....pas de descendants ou de familles connues .... blablabla....aucune sympathie ou opinion politique particulière.... blablabla....a émis des thèses sur la relativité quantique....
C Perec : c'est tout ce que nous avons sur lui.
M Cartwright : ce sont les seules informations dont on dispose sur lui
C Perec : ça ne nous avance pas beaucoup si ce n'est que ce monsieur est intelligent et qu'il a participé il y a plus de 30 ans au projet Carthage
M Cartwright : pourtant il y a un élément dont vous devez prendre connaissance.
C Perec : et qu'est-ce que c'est
M Cartwright : durant votre période de convalescence W. nous a contacté
C Perec : vous n'aviez pas informer de ça.
M Cartwright : jusqu'à présent je n'étais pas autorisé à le faire
C Perec : est maintenant qu'est-ce qui a changé.
M Cartwright : il nous a transmis d'autres informations a vous communiquer.
C Perec : quel genre d'informations
M Cartwright : W nous a avertis que l'attaque de l'organisation de Xana était de plus en plus éminente
C Perec : et de quand date ce message
M Cartwright : cela fait maintenant trois semaines
C Perec : trois semaines !!! pourquoi vous ne m'en parlez que maintenant
M Cartwright : les ordres sont...
C Perec : .. les ordres oui je sais mais quand même je vous rappelle qu'on est censée être partenaires.
M Cartwright : je le sais mais nos supérieurs ont estimé que vous ne deviez pas être mis au courant tout de suite.
C Perec : maintenant je sais pourquoi je suis si rapidement sorti de l'hôpital.
M Cartwright : on as pas vraiment eut le choix vous savez.
C Perec : laisser moi deviner ....W a sûrement menacé l'état-major de tout révéler si je n'était pas de nouveaux présents, apparemment je suis important pour W.
M Cartwright : et vous ne savez pas à quel point.
C Perec : c'est a dire.
M Cartwright : W nous a dit que vous alliez devenir un élément important dans la lutte contre Xana.
C Perec : que voulez-vous dire
M Cartwright : nous n'en savons rien il a juste précisé que pour vous votre vision du monde risquait de changer.
C Perec : qu'est-ce que ça veut dire ?
M Cartwright : tout le monde dans les services se le demande.
C Perec : et comment on interprète sa en haut lieu
M Cartwright : il sont inquiet de la situation.
C Perec : a cause de moi.
M Cartwright : en partie seulement
C Perec : en partie ?!! ce qui veux dire.
M Cartwright :W nous as transmis les coordonnées d'autres super-calculateurs qui étaient susceptibles d'être attaqués par l'organisation Xana.
C Perec : et qu'en était-il
M Cartwright : les informations étaient viables,ce qui nous a permis d'empêcher une catastrophe.
C Perec : mais alors qu'est ce qui coince
M Cartwright : vous allez le savoir.
Alors que le colonel était hospitalisé W. avait de nouveau pris le contacter avec l'état major via le portable du colonel, ces informations avaient été intercepté cette fois-ci par le lieutenant Fraggle.
Il était entré en contact avec W,ce dernier lui expliqua que la situation allait rapidement empirer et vu que le temps était compté il était obligé de collaborer en donnant des informations plus précise,grâce a lui trois nouveaux sites qui avaient été équipés de Quadrihoppes furent démantelés en secret par les services secrets.
Grâce à une interventions rapide ils avaient pu empêcher des attaques de Xana et les services secrets avaient réussi à s'emparer de trois micro puces.
jusqu'à présent il n'avait jamais pu en trouver une qui soit intacte, maintenant des équipes de techniciens c'était mise à étudier ces systèmes, mais celle ci se révélaient être un vrai casse tête, c'était tellement sophistiqué et cela fonctionnait sur un principe que personne n'arrivait a déterminer même le major c'était cassé les dents a en comprendre le principe de fonctionnement.
Quoi qu'il en soit cet acte de la part de W. avait suffi à se que l'état major lui fasse a nouveaux plus ou moins confiance,après tous il avait fourni des preuves matérielles nécessaires qui avait permis de mettre en place des contre-mesures efficaces.
Au dire de W. Xana était une menace qu'il fallait éradiquer a tous prix,W précisa que leur ennemi commun était en faite d'une nature bien différent de ce qu'il pensait, seulement W. n'avait pas voulu donner des informations à ce sujet.
Chose étrange W fit une allusion au projet Carthage 74,il prévint les service secret que quand le colonel Perec serait de nouveau opérationnel celui-ci donnerait une nouvelle information ainsi qu'un nouveau lieu de rendez-vous.
Le problème c'est que l' officier en question était blesser et que son retour dans le service actif risquait d'être long,mais W avait insisté en prétextant que le colonel allait devenir un élément essentiel dans cette guerre et qu'il devait en aucun cas être mis de côté sans quoi ils risquaient de perdre un éléments qui maintenant était devenu spécial.
Spécial !! qu'est ce que le colonel pouvait il avoir de spécial au yeux de W,ce basant alors sur les recherches effectuer et sur les informations fournit pas W Cela avaient amenés les services secrets à se pencher un peu plus sur le projet Carthage 74 et sur ces participants,a l'exception de Waldo schaeffer qui avait disparu depuis 1994 sans laisser de trace les deux seules personnes encore vivantes ayant participé à ce projet était Henry Hopkins et Sigmund Kessel.
Le premier était un puissant homme d'affaires qui étaient justement le PDG de la société Cyclotron et qui vendait des super-calculateurs a travers le monde, cela faisait de lui un suspect de poids mais ce monsieur était difficilement attaquable et encore moins joignable car il était très protégé.
Aucune suspicion ne planait a son sujet mais seul une coïncidence qui subsistait ce qui ne constituait pas une preuve suffisante contre lui,il fallut donc se reporter en premier lieux sur Sigmund Kessel qui lui était plus accessible,et c'est précisement lui que le colonel et le major s'en allèrent trouver
Après avoir atteint l'aérodrome de Zurich les deux officiers prirent une voiture de location pour se rendre dans le canton de Zoug il leur restait encore à parcourir 70 km de routes de montagne pour arriver au chalet du fameux Sigmund Kessel.
Une fois de plus ce fut le major qui prit le volant le colonel étant encore convalescent il n'aurait pas été responsable de le laisser conduire,pendant les deux heures que durèrent le trajet aucun des deux officiers n'échangèrent la moindre parole visiblement les révélations du Major avaient jeté un froid, le colonel n'avait pas supporté ces petites cachotteries en retour le major n'avait pas de digérer que le colonel puisse la considérer comme étant une personne si insensible.
IL finir par arriver dans le petit village de Morgelwit,au premier abord celui-ci n'avait rien d'extraordinaire c'était un petit village suisse très ordinaire,mais leur objectif principal ne se trouvait pas dans le village, ils apprirent en interrogeant la population locale que le dénommé Kessel vivait dans un petit chalet caché au fin fond des bois, le seul moyen d'y accéder était de passer par les sentiers de montagne bien sûre en cette période de l'année ces derniers étaient enneigées ont ne pouvaient y aller qu'à pied plus aucune route ne permettait de s'y rendre car la route qui y conduisait avait été barrée depuis plusieurs années et ceci a la demande expresse de Sigmund Kessel, celui-ci avait fait en sorte qu'aucun véhicule ne puisse venir jusque chez lui.
le colonel et le Major devait passer la nuit dans un hôtel,le tenancier de l'établissement eut la bonté de donner au colonel un plan permettant de se rendre au chalet de Kessel,apparemment les deux officiers étaient biens partis pour une petite randonnée dans les bois,bien sûr à cause de la saison ambiante les petits chemin était complètement recouvert de neige ce qui n'allait pas faciliter la tâche des deux militaires.
Après avoir parcouru la plus grande distance possible avec leurs voitures les deux officiers laissèrent leur véhicule en plan avant de s'engager dans les chemins pédestres, une chance pour eux ceux ci était balisé ce qui éviterais qu'ils se perdent car en cette saison la neige formait un blanc tapis, le paysage composé de sapin n'était pas désagréable à regarder et cette petite balade avait des airs sympathiques.
A sa plus grande surprise le colonel trouva que le major était très ravie de cette situation,cette petite balade semblait bien l'amusée.
eh bien Major je vous trouve particulièrement enjoué lui dis le colonel
vous trouvez lui répondit le major
oui d'habitude vous êtes plutôt austère mais la je vous sens un peu différentes
M Cartwright : vous trouvez ?
C Perec : c'est une observation
M Cartwright : sa vous interpelle
C Perec : un peu oui, dites moi c'est cet endroit qui vous met dans cet État
M Cartwright : c'est possible ma foi.
C Perec : je ne vois pourquoi,il n'y as que de la neige et des arbres
M Cartwright : c'est que cet endroit me rappelle les chemins enneigés que je parcourais souvent avec mes parents pendant les vacances d'hiver.
C'était bien la première fois que le major se prettait au jeu de la confidence,le colonel appris alors que quand elle était plus petite Amanda allait souvent en vacances avec ces parent dans la maison familiale de ces grand parents qui se trouvaient a la campagne et que par nature elle aimait beaucoup jouer dans les bois enneiger,et le fait de ce retrouver la lui rappelait de bons souvenir,sur le coup le colonel oublia presque qu'il avait a faire au très sérieux major Cartwright tant le visage de celle ci rayonnait de bonheur.
C Perec : eh bien je ne savais pas si sentimentale cela m'étonne de votre part
Pourquoi dites vous ça s'etonna le major.
C Perec : c'est bien la première fois que je vois aussi détendu,
M Cartwright : vous trouvez vous
C Perec : vous voyez que quand vous voulez vous pouvez laisser tomber le masque d'austérité.
M Cartwright : je ne suis pas si austère que ça.
C Perec : si souvent alors que ça vous va mieux quand vous souriez.
À la suite de cette remarque le major détourna le regard et commença à tracer sa route pour passer devant en laissant le colonel sur place, ce dernier fut quelque peu amusée par la situation,le faite de voir le major se sentir troublé l'amusait un peu, il continua son chemin en sifflotant en se disant que la encore il avait marqué des point sur un terrain ou le major ne semblait pas l'aise.
Au bout d'une bonne demi-heure ils finirent quand même arriver devant le chalet,au premier abord celui-ci n'avait rien d'extraordinaire il semblait etre d'un style assez classique typique des chalets suisses à ceci près que certains détails laissaient penser que ce dernier était équipé de tout le confort moderne,les antennes paraboliques et les fenêtres vitrées en étaient la preuve la plus flagrante.
nous y sommes fit le major Cartwright.
C Perec : vous êtes sûrs.
M Cartwright : affirmative c'est le même chalet que nous avons sur la photo
C Perec : en effet c'est bien celui-là , et bien qu'attendons-nous
M Cartwright : il faut etre prudent on ne sait pas sur qui on va tomber
C Perec : notre homme si vos informations sont exact
M Cartwright : croyez-vous que notre homme sera la.
C Perec : il n'y a qu'une façon de savoir
les deux officiers se rendirent sur le pas de la porte, se fut le major qui frappa contre celle-ci,au bout de quelque seconde une voix se fit entendre,ce qui ne laissait pas de doute sur la présence d'une personne
qui êtes-vous fit la voix
Professeur Kessel demanda le major
Qui le demande fit la voix
M Cartwright : Je me présente je m'appelle Amanda Cartwright officier de l armée britannique
Voix : et que voulez vous ?
M Cartwright : nous sommes venus vous parler.
Voix : je n'ai pas envie de parler a des militaires.
M Cartwright : je sais mais nous avons des choses a vous demander.
Voix : allez vous en.
De toute évidence leur interlocuteur n'était pas disposer a vouloir les recevoir,pourtant ils devaient absolument parler a cet homme car si la rencontre échouait celui ci risquait fort de recevoir la visite des services spéciaux et ceux ci ne serait pas aussi poli que l'était le colonel et le major.
M Cartwright : j'insiste professeur Kessel nous devons vous parler
Partez fit la voix.
M Cartwright : mais laissez nous vous expliquer au moins.
Voix : rien de ce que vous direz ne serait me convaincre de vous parler
ça concerne le projet Carthage 74 fit le colonel a cette instant
Carthage .... fit la voix.
Devant l'obstination de leur interlocuteur le colonel avait décidé de prendre les devants,si la personne qui se trouvait derriere la porte était bien le professeur Kessel,à coup sûr l'évocation du projet Carthage ne pouvait que l'interpeller.
Sa vous parle Carthage il me semble fit le colonel
Voix : sa se pourrais, mais vous qui êtes vous
C Perec : je suis le colonel Perec de l'armée française
Perec !! vous avait dit Perec fit la voix
C Perec : oui Mr.. colonel François Perec
Pendant un cour instant plus aucun son ne se fit entendre,apparemment ce que venait de dire le colonel avait interpellé cette personne, c'est alors qu'un bruit de verrou que l'on décoince fut perçu,la porte s'ouvrit laissant apparaître un curieux personnages,c'était un homme mesurant 1.65 mètre est âgé d'environ 65 ans il avait une barbichete blanche et des lunettes noire, il était complètement chauve.
Sans dire un mot de plus il pria alors les deux officiers d'entrée à l'intérieur en leur disant qu'ils feraient bien meilleure que dehors, ne déclinant nullement l'offre les deux soldat obéirent ,quelle surprise cela ne fut t'il pas pour eux de ce retrouver dans un chalet superbement aménagée,l' extérieur ne reflétait vraiment pas l' intérieur mais ce chalet était somptueux, les deux officiers prirent place sur un canapé alors que l'homme lui s'assit dans un fauteuil.
Alors que dans la cheminée le feu de bois crépitait,l'homme fut le premier à prendre la parole.
Vous vouliez me parler fit l'homme.
Oui professeur Kessel nous voulions vous rencontrer fit le major.
Je vous en pris appeler moi Sigmund ou Siggy pour les intimes fit Sigmund.
La soudaine attitude du professeur Kessel laissa perplexe les deux agents à l'individu hostile et anti-militaire de réputation,venait de se succéder un homme très courtois est plutôt amical,ce soudain changement d'attitude avait de quoi surprendre, qu'est ce que ça pouvais bien cacher ? a quoi cet homme pouvait il bien jouer ?
Alors vous êtes venus pour le projet Carthage fit Sigmund
M Cartwright : vous êtes au courant
Sigmund : je savais qu'un jour vous alliez venir.
M Cartwright : comment vous saviez que nous allions venir ?
Un jour ou l'autre le passé fini toujours par vous rattraper répondit Sigmund sur un ton assez énigmatique.
Voilà qui était étrange apparemment le professeur Kessel était au courant de l'arrivée des deux militaires, la question était de savoir qui avait bien pu l'informer sur ceci mais les réponses qu'allait leur fournir le vieux scientifique risquait fort de surprendre encore plus les deux officiers
Sigmund : alors que voulez vous savoir sur Carthage.
M Cartwright : peut-on savoir qui nous a parlé de notre venue ?
Sigmund : personne en particulier je savais juste qu'un jour on viendrait me poser des questions sur ce projet.
C Perec : don si je comprends bien notre visite ne vous surprends pas.
Vous êtes venus chercher des réponses lui fit le vieux scientifique
M Cartwright : des réponses à quoi
Sigmund : je vous en prie Major ne jouez pas ce petit jeu là avec moi,je sais très bien pourquoi vous êtes la.
M Cartwright : comme vous l'avez dit à cause de Carthage
Sigmund : moi j'aurais plutôt dis à cause de Xana.
En prononçant le nom de Xana le vieux scientifique créa la surprise chez ses interlocuteurs,aucun des deux ne s'attendait à ce que ce dernier prononce le nom de leur ennemi,la surprise était totale c'est à peine si le major arriva à formuler sa phrase.
Vous.... vous êtes au courant pour Xana demanda le major.
Sigmund : oui et je sais beaucoup de choses à son sujet.
M Cartwright : et d'eau avez-vous entendu parler de Xana.
Comme je vous l'ai dit que je vous attendais, enfin c'est surtout une personne en particulier que j'attendais fit Sigmund en regardant le colonel.
Le regard que porta sur lui le vieux scientifique n'échappa pas au colonel,qui comprit rapidement que c'est de lui dont parlait le professeur Kessel.
Vous parlez de moi demanda le colonel
Sigmund : oui colonel Perec c'est vous que j'attendait
C Perec : moi !!! mais comment est ce possible qui vous a parlé de moi ?
Sigmund : j'ai été averti de votre visite par un ami de longue date
C Perec : qui est ce
Sigmund : c'est quelqu'un que vous connaissez sous le pseudonyme de W
C Perec : vous connaissez W
Sigmund : très bien même c'est lui qui m'a averti que vous alliez venir.
Stupéfaction générale dans le salon, non content d'avoir évoqué le nom de Xana voilà que Sigmund affirmait connaître W,apparemment ce dernier le connaissait très bien puisque celui-ci l'avait avertis de la venue du colonel et du major mais ce ne fut pas les seules informations qu'il avait communiqué à Sigmund.
C Perec : et qu'est-ce que W. vous a-t-il dit.
Sigmund : il m'a demandé de vous transmettre des informations mais de les transmettre qu'à vous et uniquement vous colonel
C Perec : et pourquoi moi
Sigmund : tout simplement parce W pense que l'on peut vous faire confiance.
C Perec : et pourquoi W. pense-t-il ça ?
Sigmund : voyez par expérience je ne fais pas confiance aux militaires mais dans votre cas je fais une exception.
C Perec : et pourquoi cela
Car W. m'a dit que je pouvais avoir confiance en vous "mon petit filou" fit le scientifique en souriant
"Mon petit filou" voilà que cette expression sortait à nouveau du néant,déjà que W. l'avait utilisée pour interpeller le colonel voilà maintenant que Sigmund en faisait également usage,cela commenca a faire beaucoup trop de coïncidence pour que le colonel reste de marbre.
Qui vous a parlé de ça demanda le colonel
Sigmund : cela vous surprend il que je vous appele comme ça
C Perec : un peu oui il n'y a qu'une seule personne qui m'a jamais appelé comme ça
Sigmund : je sais c'est comme ça que vous surnommez votre père
C Perec : comment pouvez vous savoir ça
Sigmund : il se trouve que j'ai bien connu votre père
C Perec : vous avez connu mon père ?
M Cartwright : Oui et c'est ce qui m'a convaincu de vous faire confiance a condition que vous ayez hérité de son sens du devoir.
C Perec : que voulez-vous dire ? et qu'est-ce que mon père à voir là -dedans.
Sigmund : il a tous avoir dans cette histoire
C Perec : je n'y comprend plus rein
Sigmund : je crois qu'il est temps pour vous d'apprendre la vérite sur Carthage
C Perec : quel vérite ?
Sigmund : la vérite sur tous. que se soit carthage ou Xana.
M Cartwright : vous savez donc tout ce qui se passe en ce moment ?
Sigmund : je suis au courant de la situation actuelle
M Cartwright : comment est-ce possible ?
Sigmund : chaque chose en son temps car je vais vous raconter tout ce qui est arrivé depuis le début de carthage et ceci jusqu'a nos jours,je suppose que vous voulez connaître la vérité
C Perec : je ne demande pas mieux que d'avoir des explications sur tout cela.
Sigmund : vous allez le découvrir car pour comprendre le présent il faut d'abord connaître le passé.
chapitre 25 fortifications
16 septembre 2005
Dans le laboratoire numéro 1 de la section 5 il régnait une grande entre effervescence tous les techniciens les plus chevronnés de la société s'employaient à effectuer des modifications sur la structure interne et externe du super-calculateur,travaillant comme des fourmis et à grande vitesse tous s'activaient au mieux pour accomplir leur tâche, pour s'assurer qu'aucun ne fasse de fausses manipulations Anthea supervisait elle-même les travaux.
Il ne fallait surtout pas provoquer de dégât qui serait susceptible d'endommager la matrice de Tanit,pour cela il fallait observer des protocoles de sécurité extrêmement rigoureux le but final de l'opération étant quand même d'accroître la puissance du super-calculateur et de fortifier les défenses de Neo-Carthage en renforçant les boucliers.
Il s'agissait là des premières phases d'application de la directive Morrigan,suite à la dernière attaque qui avait été lancée contre Neo-Carthage,la décision fut prise en réunion d'activer cette procédure,le but de l'opération était de pouvoir fournir au super-calculateur une source d'énergie externe qui lui permettrait de renforcer les boucliers de façon quasi infini,ses sources d'énergie externe étaient des modules d'énergie de type G. T. R.,ces derniers présentaient la particularité de pouvoir rendre le super-calculateur totalement autonome en énergie.
Grâce à cet ajout de puissance Tanit serait en mesure de protéger la cité contre toute nouvelle attaque,bien sûr une telle puissance ne serait pas sans conséquences car l'utilisation d'un système nucléaire pouvait présenter certains dangers , un tel système constitue une véritable bombe à retardement en cas de défaut technique il pourrait en résulter une explosion si puissante qu'elle pourrait balayer tout le complexe.
Mais pour éviter des accidents ou des pertes de contrôle,des scellés de sécurité avaient été mises en place qui permettrait d'inhiber la puissance de la machine afin d'éviter tout emballement possible de cette dernière.
Bien sûr Anthea n'était pas la seule à superviser ces opérations,le Dr Kinsley était lui-même de son côté en train de perfectionner ses propres systèmes de protection pour cela il bénéficiait du concours de Arnaud.
Le jeune homme aidait le docteur Kinsley à parfaire ses programmes de protection ,sa tâche consistait à intégrer le système des tours sur les remparts de la cité.
la mise en place de ses systèmes d'interfaces n'était pas anodin elles devaient permettre a Tanit de défendre le super calculateur contre toute attaque extérieure.
L'expérience qu'ils avaient eut avec les machines électrique possédé avait suffi à convaincre tout le monde d'installer un tel système sur le super calculateur en cas de nouvelle attaque celui-ci serait capable de se protéger contre des agresseurs aussi bien de façon interne qu'externe.
Mais la contribution du jeune homme ne s'arrêtait pas là ,si la cité serait désormais en mesure de se protéger contre toute nouvelle attaque cela ne constitue en fait que la première partie du plan qui avait été établi.
Après un débat très agité, la direction de Cyclotron avait décidé de ne pas rester inactifs face à cette nouvelle menace,ne pouvant pas rester éternellement sur la défensive la société avait décidé de passer à l'attaque.
Toute une stratégie d'attaque avait été élaborée dans le but de mener une vaste contre-offensive contre leur ennemis et c'est là que Arnaud allait intervenir.
Il fut décidé que les Cartha-guerrier devraient mener des combat en dehors de la cité,pour cela il fut demandé à Arnaud de perfectionner ces programmes de façon à les rendre beaucoup plus offensif.
Mais le jeune homme était un peu réticent à s'exécuter ce qui avait débouché sur un débat plutôt agité lors de la fameuse réunion.
############################ FLASHBACK ############################
Henry : puisque la situation est devenue critique et j'attends vos suggestions Monsieur
Simon : la seule solution est de renforcer le pouvoir Tanit.
Henry : vous voulez augmenter la puissance du super-calculateur !
Simon : c'est ce à quoi je fais référence Mr Hopkins.
Mr Orwell : comment voulez-vous faire
Anthea : techniquement c'est possible en dérivant de l'énergie supplémentaire nous pourrons accroître la puissance de calcul de la machine.
Henry : mais c'est de la directive Morrigan dont tu nous parles de la.
Anthea : oui la directive Morrigan le seul moyen que nous ayons de protéger Tanit efficacement.
Henry : tu te rends compte de ce que tu dis cela représentes une quantité d'énergie énorme.
Anthea : je suis parfaitement au courant de ce que cela représente mais c'est la seule solution.
Henry : mais cela peut être dangereux.
Dr Kinsley : je suis d'accord avec vous docteur Hopkins, un tel surcroît d'énergie ne risquerait-il pas d'endommager la matrice
Anthea : pour combler une telle différence il nous faut adjoindre des systèmes de Quadrihoppes supplémentaire a la matrice de Tanit.
Dr Kinsley : c'est vrai que sa peut fonctionner de cette façons seulement nous n'avons pas assez de Quadrihoppes pour ça.
Mr Huxley : le docteur Kinsley a raison où voulez-vous que l'on prenne une telle quantité de microprocesseur.
Simon: nous n'avons qu'à utiliser ceux que nous avons déjà fabriquée.
Mr Orwell : vous parlez de ceux qui sont destinés à être vendu
Anthea : c'est bien a ces 4 microprocesseur auquel je fait référence
Mr Orwell : mais si nous faisons sa nous ne pourrons plus les livrer a nos clients.
Anthea : je laissais mais si nous perdons le super calculateur nous n'aurons plus jamais un seul client.
Mr Orwell : vu cet angle-là j'avoue que nous avez raison.
Anthea : de ce côté-là je crois qu'il n' y a pas a discuté
Dr Kinsley : attend Dr Hopper il y a détail qui cloche dans tout ça.
lequel demanda Anthea
Dr Kinsley : le super calculateur est équipé de 12 Quadrihoppes et vous voulez lui en adjoindre 4 de plus
Anthea : c'est exact
Dr Kinsley : la machine ne pourra jamais supporter une telle puissance tous les composants vont systématiquement grillé comment voulez-vous juguler une telle puissance.
Anthea : pour cela il faut renforcer la structure de base.
Dr Kinsley : vous parlez d'une opération à coeur ouvert
Anthea : oui comme ça la machine aura toute la puissance qu'il faut pour fonctionner.
Dr Kinsley : mais docteur Hopper c'est de la folie donner une telle puissance a cette machine serait suicidaire.
Anthea : c'est un risque a courir on ne peut pas laisser Tanit se faire détruire.
Dr Kinsley : désolé de vous dire ça Dr Hopper mais j'ai pas l'impression que vous n'etes pas consciente des dangers que cela représente.
Anthea : au contraire je suis parfaitement au courant de ce que cela implique mais nous n'avons pas d'autres choix.
ce n'est pas tout à fait exact dit alors Henry
Anthea : que veux tu dire
Henry : nous nous ne sommes pas obligés de donner toute cette puissance au super-calculateur d'un seul coup.
Anthea : Ã quoi penses-tu
Henry : et bien nous pourrions avoir recours à des verrous de sécurité qui limiterait l'apport d'énergie
Anthea : tu veux que l'on bride la machine
Henry : oui car je partage les doutes du docteur Kinsley donné autant de puissance à cette machine pourrait être dangereux
Anthea : il n'y a vraiment aucun danger
Henry : j'en suis le seul juge
Anthea : tu veux limiter la puissance de Tanit.
Henry : par principe de précaution oui.
Anthea : mais cela risque de lui porter préjudice.
Henry : il n'y a aucune raison à cela.
Anthea : en tant que sa mère j'ai quand même mon opinion à donner.
Voilà bien le sujet de discussion que le docteur Hopkins voulait éviter avec Anthea, la lubie qui habitait cette femme au sujet de Tanit la rendait quelque peu illogique, derrière le brillant esprit scientifique de Anthea il y avait une part de folie, l'attachement qu'elle éprouvait pour Tanit lui avait fait quelque peu perdre le sens des réalités.
Depuis sa sortie de prison la création de Tanit était devenue une obsession pour la jeune femme,Tanit était devenu tous ce qu'elle avait pour se rattacher à la réalité,et la perspective que l'on puisse faire quoi que ce soit de mal à l'encontre de sa création lui était tout abonnement insupportable.
Henry savait que pour l'équilibre mental de se femme il ne fallait pas faire de tord a Tanit,mais il ne pouvait pas non plus permettre que Anthea fassent n'importe quoi non plus.
Henry : écoute ma chérie je sais très bien à quel point tu es attaché à Tanit mais ce n'est pas une raison pour faire n'importe quoi.
Anthea : je sais bien,mais l'idée qu'on puisse lui faire du mal mais insupportable
Henry : je comprends mais nous devons prendre des précautions.
Très bien fais comme tu veux tant que c'est dans l'intérêt de Tanit dit Anthea qui vit visiblement que rien ne ferait changer d'avis son mari.
Henry : heureux de voir que tu te rallie à ma mon point de vue.
Je n'ai pas trop le choix lui répondit Anthea.
La dernière phrase de Anthea semblait en dire beaucoup,elle n'échappa à personne toutes les personnes présentes dans la pièce connaissaient l'attachement que le docteur Hopper avait pour sa fille virtuel,les mauvaises langues étaient même allées jusqu'à dire que Anthea n'avait épousé le Dr Hopkins que parce que celui-ci lui offrait une opportunité unique,la possibilité de recréer sa propre fille disparue,mais rien ne pouvant remplacer un souvenir, Anthea avait voulu se débarrasser à jamais du souvenir de Aelita en créant Tanit.
Mais puisque l'essentiel était de protéger Tanit ,Anthea ne fut donc pas opposé à ce que certains scellés soient placés sur la machine
Ce fut donc unanimement que la directive Morrigan fut adoptée par tous les membres du conseil d'administration,grâce à ceci le super-calculateur allait pouvoir disposer d'une grande puissance.
Mais la suite de la discussion prit une tournure qui n'augurait rien de bon,car Simon annonça une décision pour le moins inattendu,celle ci allait provoquer de grand remous.
Simon : cependant vous conviendrez avec moi que la mise en place de la directive Morrigan n'est qu'une solution temporaire en effet nous ne pouvons pas toujours rester sur la défensive.
Anthea : je suis bien d'accord avec vous
Henry : je suis forcé d'admettre que vous avez raison Simon,il va falloir que nous passions à la deuxième partie du problème.
Dr Kinsley : peut-on savoir de quoi vous parlez
Simon : nous parlons d'une contre-attaque
Arnaud : quoi !!!
Dr Kinsley : une contre-attaque!!!
Arnaud : attendez une minute qu'est-ce que vous voulez dire par "contre-attaque"
Simon : je crois que le terme étant lui-même assez explicite,nous allons lancer une offensive contre nos ennemis.
Arnaud : vous voulez dire que l'on va attaquer
Simon : c'est l'idée
Sur le coup Arnaud fut complètement estomaqué parce que Simon venait de lui dire celui-ci venait en ces termes de lui expliquer qu'une offensive allait être lancée.
Arnaud : mais vous voulez attaquer qui ?
Simon : nos ennemis voyons.
Arnaud :quels ennemis ?
Simon : ceux du monde que vous avez découvert
Arnaud : qu'est-ce que vous venez de dire
Simon : tu as très bien compris ce que j'ai dit nous allons attaquer le monde que tu as découvert.
La nouvelle fit l'annonce d'une bombe, alors qu'il devait discuter de la situation passe Arnaud venait de découvrir que les dirigeant avait prévu la mise en place un plan de contre attaque a l'encontre du monde que le jeune homme avait découvert.
ceci n'avait pas de sens pour Arnaud pour qu'elle raison voulait t'il attaquer ce monde ?
Arnaud : mais c'est complètement ridicule
Simon : non c'est la suite logique à tout ça
Arnaud : quelle suite logique de quoi parlez-vous
C'est pourtant évident lui répondit Anthea
Arnaud : pour vous peut être mais pas pour moi
Anthea : nous allons renforcer les défenses de Neo-Carthage et après ?... on va rester là les bras croisés à attendre qu'un nouveau monstre fasse sa réapparition.
Arnaud : je ne sais pas mais si on peut se défendre je ne vois pas ou est le probleme.
Anthea : Oui mais c'est la deuxième fois que l'on nous attaque,mais que se passera-t-il lors d'une troisième attaque
Arnaud : nous nous défendrons s'il y a une troisième attaque
Anthea : et après
Arnaud : et après quoi
Anthea : ci-après il y a une quatrième,une cinquième voir une sixième attaque que ferons-nous alors.
Arnaud : et bien euh....
Anthea : il faut se rendre à l'évidence quelque pas dans le monde des personnes cherche à détruire Neo-Carthage et par la même Tanit et ça je ne pourrais pas le permettre.
Arnaud : et c'est pour ça que vous voulez lancer une contre-offensive,pour vous protéger d'une éventuel nouvelle attaque
Anthea : vous avez tout compris M. Morillon nous a lancé lancer une attaque dans un but préventif
Arnaud : attendez ont a seulement parlé d'un moyen de défendre la cité, il n'a jamais été question d'attaquer qui que ce soit.
Anthea : ne soyez pas si naïf Mr Morillon vous savez très bien qu'un jour ou l'autre nos ennemis trouveront un moyen de percer nos défense et de nous porter un coup fatal
Arnaud : rein ne le prouve
Simon : peut être mais on ne va pas attendre sagement avant de la savoir
Anthea : je suis d'accord avec Simon nous ne pouvons laisser personne faire du mal a Tanit,c'est pour cela que contre-attaquer et la meilleure solution.
Simon : oui car la meilleur des défense c'est l'attaque.
Les paroles de Napoleon,voila qui n'augurait rein de bon pour la suite,Arnaud le sentait bien,une mauvaise ambiance semblait flotter dans l'air, un climat hostile et vindicateur semblait émaner de la part de Anthea et Simon qui tous deux était partisan d'une application radical, et tous deux comptait sur la collaboration de Arnaud pour mener a bien ce projet.
Simon : grâce à ce que tu as découvert nous sommes en mesure de détecter nos ennemis
Arnaud : vous parler des fameux échos sur le réseau
Simon : oui et grâce a eux nous pouvons les traquer sur le réseau et de pénétrer dans leur monde.
Arnaud : mais ce monde est très protéger.
Henry : vous avez quand même réussi à casser leur système de protection
Arnaud : j'ai eu un coup de chance c'est tout
Henry : ne dites pas ça mon garçons c'est de génie don vous avez fait preuve
Je commence a me le demander dit Arnaud tous bas.
Henry : et bien que cela ne m'enchante pas je suis également partisan d'une offensive préventive
Arnaud : mais c'est illégal ce que vous voulez faire
Vous croyez que les gens qui nous ont attaqué qu'on tenu compte des lois lui répondit Anthea passablement excité.
Arnaud : c'est vrai vous avez raison mais la ....
Anthea : moi je suis partisan du vieil adage "oeil pour oeil" dent pour dent"
Arnaud : mais....
Simon : la défense de nos intérêt prime sur tous
Henry : Dans ce cas-là Messieurs je crois qu'il n'y a pas hésité longtemps nous allons lancer une contre offensive
Arnaud :.....mais c'est .....
Henry : dont Messieurs je vous le demande êtes vous tous favorables à une contre-attaque
Mr Orwell : je le suis
Mr Huxley : dans le but de sauvegarder nos intéret cela est nécessaires.. j'approuve
Simon : la question ne se pose pas
Anthea : pour protéger ma fille je ferais tout ce qu'il faudra
Henry : j'en conclus que tout le monde est d'accord.
-------------------------------------- JE NE SUIS PAS D'ACCORD -------------------------------------
une seule voix dissonante avait suffi à briser l'ambiance Arnaud venait clairement de exprimer une opinion est visiblement ce dernier était contre une contre-attaque préventive
Arnaud : je suis contre ceci
je veux savoir pourquoi tu dis ça lui demanda Simon
Arnaud : nous n'avons pas le droit d'agir de cette façon-là .
Cette décision ne t'appartient pas, de plus on ne tas pas demandé ton avis lui répondit sèchement Simon.
Arnaud : je sais mais cela ne change rien au fait que je ne suis pas d'accord.
Simon : écoute Arnaud tu va te la fer.....
un instant Mr watson si Mr Morillon à une objection à formuler qu'il puisse s'exprimer fit le docteur Hopkins a cette instant.
Puisque visiblement Arnaud avait quelque chose à dire sur le sujet le Dr Hopkins l'autorisa à s'exprimer après tous ce jeune homme avait bien sauvé Neo-Carthage par son action,son point de vue sur la question avait donc de la valeur,et il ne serait pas raisonnable de ne pas tenir compte de son avis.
Henry : allez y mon garçon nous vous écoutons
Arnaud : je vous remercie docteur Hopkins .... voila je suis opposé à ce qu'on attaque qui que ce soit car j'ai été engagé pour effectuer des recherches scientifiques jamais pour livrer une guerre industrielle.
Henry : Je comprends vos réticences mon garçon et sachez que moi-même je suis pas particulièrement favorable à cette option mais vous serez obligés d'admettre que des vies humaines sont en jeu.
Arnaud : vous parler du personnel de Cyclotron
Henry : vous êtes bien placés pour savoir ce qui s'est passé, vous étiez vous-même au coeur de l'action
Arnaud : je m'en serais bien passé vous savez.
Henry : je crois bien que tout le monde s'en serait passé mais voilà ces événements sont arrivés.
Arnaud : je le sais mais ce n'est pas une raison pour vouloir attaquer à l'aveuglette, une attaque n'apportera rien de bon.
Henry : selon vous nous devrions rester inactifs.
Arnaud : si nous pouvons établir une défense efficace nous n'avons pas besoin d'aller attaquer qui que se soit
Henry : c'est vrai mais combien de temps ces défenses pourront-elles tenir ? notre ennemis essaiera toujours de nous attaquer et tous ou tard il finira forcément par réussi à percer la défense et ce jours que va-t-il se passer selon vous
Arnaud : est bien....
Henry : ça sera sûrement pire la prochaine fois
Arnaud : il y a sûrement un autre moyen, peut-être pouvons-nous résonner cette ennemis,après tout on ne savait pas pourquoi il nous as attaquer.
Il est venu pour détruire ma fille fit Anthea.
Henry : comment tu savoir ça.
Anthea : j'en suis persuadé et c'est pour ça que moi je suis favorable à ce que l'on détruise cette ennemis.
Henry : ce n'est qu'une impression il n'y a rien de sûr
Anthea : pour moi c'est plus une impression c'est une certitude.
Même si elle refusait de les justifier, les certitudes de Anthea était fondé,lors de sa rencontre avec le spectre elle se souvenait de ce que celui ci lui avait dit,Anthea n'avait pas voulu y croire,car elle avait instinctivement sentit que le spectre lui mentait,comment pouvait elle croire un monstre qui attaquait Neo-Carthage et qui avait pousser le vice en affirmant des choses horrible a son sujet, pour Anthea que se soit le fantôme ou le monstre ils devaient être éradiquer de la façons la plus efficace qui soit.
Anthea : la plupart des personnes présentes dans cette salle ont vu ce que cette créature a fait,pensez-vous vraiment que ce soit bien intentionné à notre égard.... sans doute
Arnaud : mais de la a mener une offensive et nous ne connaissons pas ces motivations
Anthea : pourquoi lui cherchez-vous des excuses,cette créature c'est le diable et personne ne pourra m'en convaincre.
Arnaud : il ne faut rien exagérer c'est une créature virtuelle pas un démon ou je ne sais quelle créature fantastique
Anthea : ça ne change rien ils faut la détruire coûte que coûte,elle et tout ce qui se cache derrière.
Arnaud : vous parlez de qui ?
Henry : Anthea parle sûrement de nos ennemis, il est clair que quelqu'un tire les ficelles derrière tout ça et ce sont ces personnes que nous devons neutraliser.
Arnaud : et c'est la raison qui fait que je refuse de lancer une attaque qui pourrait blesser qui que ce soit.
Henry : je comprends vos réticences mais vous devez également tenir compte que dans cette affaire des gens ont été blessé et que cela pourrait se reproduire
Arnaud : j'en suis bien conscient mais je refuse de faire quoi que ce soit.
Dans l'optique pacifique qu'il avait toujours adoptée Arnaud se refusait à vouloir blessés ou meurtrir qui que ce soit et bien que leur ennemis se soit comportés de façon sournoise Arnaud était opposée à l'idée que l'on puisse perpétuer le cercle de la violence.
Le Dr Hopper avait dit "oeil pour oeil dent pour dent" qui était la loi du talion le problème c'est que cette façon de penser pousser à l'extrême ne peut que conduire à une guerre sans fin et cela Arnaud s'y refusait.
Comprenant les réticences du jeune homme le docteur Hopkins aborda un point de vue auquel Arnaud n'avais pas pensé.
Henry : dites-moi mon garçon j'aurais une question à vous poser
Arnaud : laquelle
Henry : une question très simple
Arnaud : je vous écoute
Henry : pourquoi avez vous est fait tout ça
Arnaud : je vous demande pardon ?!!
Henry : je répète la question "Pourquoi avez-vous fait tout ça"
Arnaud : tous ça quoi ,!!!
Henry : et bien c'est simple pourquoi avez-vous bravé 1000 dangers pour vous rendre dans le laboratoire numéro 9, c'est vrai après tout vous auriez pu rester tranquillement cacher dans votre laboratoire et attendre que les choses se passent,là -bas vous étiez en sécurité vous ne risquiez rien, et pourtant vous avez pris le risque de sortir je me demande bien pourquoi.
Arnaud : mais parce que des gens étaient en danger
Henry : est alors qu'est-ce que ça pouvait vous faire c'est leur vie qui était en danger par la votre.
Arnaud : comment pouvez-vous dire sa des êtres humains était en danger il était de mon devoir de les aider.
Henry : si je comprends bien vous avez bravés tous ces dangers pour venir en aide a vos semblables.
Arnaud : bien sûr tout à fait
Henry : alors je ne comprends pas pourquoi vous êtes opposées à une contre-attaque.
Arnaud : parce que dans ce cas-là c'est nous qui devenons les attaquants.
Henry : sauf que là nous le faisons dans un but précis il s'agit là de protéger des gens.
Arnaud : oui mais pas au détriment de la vie d'autres personnes.
Henry : j'ai compris ce qui vous chagrine dans cette histoire.
Arnaud : vraiment ?!!
Henry : l'idée est que vous puissiez faire du mal à qui ce soit vous est insupportables et c'est pour ça que vous êtes opposés à ce que l'on contre-attaque mais je dois vous dire que vous vous trompez.
Arnaud : comment ça ?
Henry : ont jamais dit que notre contre-attaque devait tuer des gens nous pouvons très bien les neutraliser en douceur.
Arnaud : que voulez-vous dire
Henry : l'attaque préventive que nous pourrions lancer pourrait simplement consister à mettre hors service leur système informatique.
Arnaud : vous voulez dire qu'on ne s'est pas obligé de tuer qui que ce soit
Henry : bien sûr que oui,détruire du Hardware ce n'est pas tué des gens
Arnaud : je n'avait pas vu les choses sous cet angle-lÃ
Henry : en détruisant le système informatique qui génère ce monstre n'est pas un meurtre.
Arnaud : vu sous cette angle c'est pas faux...
Le docteur Hopkins venait de mettre en évidence un détail auquel Arnaud n'avais pas pensé, pour lui la contre attaque étais synonyme de destruction et de mort pour des personnes mais si on devait simplement se contenter de détruire des machines sans avoir à tuer qui que ce soit la donne était totalement différente et ça Arnaud était prêt à le concevoir.
Une solution non violente qui demeurais acceptable a condition qu'elle soit bien appliqué,toutefois pour le jeune homme le problème de l'accessibilité se posait.
Arnaud : oui mais comment voulez-vous atteint un système hyperprotégé
Henry : vous y est bien parvenu la première fois.
Arnaud : certes mais la première fois j'ai eut un énorme coup de chance dessus pas sûr que je puisse a nouveau y parvenir
Henry : votre sonde Vger 2.0 est très puissante,la façon avec laquelle vous avez pu repousser ce monstre en est la preuve
Arnaud : simplement parce que j'ai utiliser la fonction spectre
Henry : il vous suffira simplement de reproduire le même schéma
Arnaud : je ne pense pas que se sera aussi facile cette foi.
Henry : qu'est ce qui vous faire dire ça
Arnaud : Ma sonde n'est pas conçu pour se battre,est le premier modèle a bien failli être détruit à cause des anti-virus de ce monde de plus sa date de plusieurs mois vous pensez bien que d'ici la il ont eut le temps de renforcer leur système.
Henry : vous pensez que leur système serait beaucoup plus défensif
Arnaud : je ne pense pas que j'arriverais de nouveau atteindre le coeur du systèmes aussi facilement et je n'ai rien de vraiment efficaces qui permettent de lutter dans cet environnement
Simon : je ne suis pas d'accord nous avons à notre disposition quelque chose de très puissants
Arnaud : Ã quoi pensez-vous ?
Simon : nous avons les projet CG pour mener l'offensive.
Arnaud : vous voulez utiliser les Cartha-guerriers.
Simon : la façon dont ils se sont battus témoignent de leur puissance,il ne devraient pas avoir de mal à vaincre les anti-virus de ce monde.
Arnaud : vous voulez que des intelligences artificielles combattent d'autres d'intelligence artificielle
Simon : c'est l'idée
Arnaud : admettons et même si elles arrivent a vaincre ces intelligences artificielles endommagé le coeur du système ne servira a rien ils pourront toujours le réparer
Simon : dans ce cas-là et il faut détruire le Hardware de la machine
Arnaud : et on fait comment
Simon : c'est vous-même qui avez la solution
Arnaud : Vger 2.0
Simon : exact, nous pourrions utiliser sa capacité de transformation pour se connecter sur une des tour de ce monde et utiliser leur propre système contre eux
Arnaud : l'idée est bonne mais ma sonde ne peut activer une tour comme ça ,de plus je ne sait pas comment paramètre une tour de façons a la faire agir de telle ou telle façons.
Simon : oui mais Tanit elle peut le faire
Arnaud : Tanit !!
Henry : Tanit !!
Anthea : ma fille peut faire ça !!
Simon : les expérimentation du laboratoire numéro 7 on prouve que celle était possible
Anthea : mais Tanit ne peut pas quitter Neo-Carthage
Simon : je le sais mais selon les technicien du laboratoire numéro 7 a laide d'un intermédiaire Tanit pourrait peut être contrôlé une tour à distance.
Anthea : vous parler d'un système de relais.
Simon : oui je pense a ça, qu'en dit tu Arnaud c'est possible
Arnaud : est bien techniquement ce serait possible la sonde n'aurait qu'à se connecter à la tour est Tanit via le système de transmission pourrait l'activer, le problème c'est que ça rendrait la sonde totalement inactive et vulnérable
Simon : et c'est là que les Cartha-guerriers interviendraient ils auraient pour mission de la protéger
Arnaud : protéger la sonde pendant que celle-ci lancerait une attaque.
Simon : oui sa serait la meilleure stratégie
Arnaud : vous croyez
Henry : c'est la meilleure solution mon garçons que nous ayons, il n'y as plus a hésiter en conséquence de quoi voici mes instructions,docteur Kinsley et Mr. Morillon vous allait mettre au point un système offensif baser sur la technologie des tours car.....
------------------------------------- LA GUERRE EST DECLARE -------------------------------------
la guerre est déclaré soupira Arnaud
Une guerre venait d'être lancée incontestablement et ceci allait être terrible, les hostilités étaient ouvertes et cette fois-ci plus rien ne pourrait les empêcher.
chapitre 26 l'agresseur
24 septembre 2005
Flash-back - 18 octobre 2004 21 h 18
Il était déjà très tard le soleil c'était couché depuis bien longtemps et les rues c'était rapidement obscurci, un peu partout les ténèbres régnaient en maîtres absolu seules les lumières des lampadaires parvenaient à les chasser, cependant au milieu de l'obscurité un jeune homme sur son skateboard déambulaient dans les rues à vive allure.
Les deux pieds bien ancrés sur sa planche de skate dans une position basse William se pressait de rentrée au collège Kadic avant que son absence ne soit remarquer,ce dernier avait fait le mur pour aller au cinéma voir le quatrième volet des aventures de Spy Breaker.
Le film n'ayant pas été à la hauteur de ses espérances William avait quitté la séance avant que celle-ci ne soit finie,il faisait à présent route en direction du collège Kadic.
Alors que les différentes rues est avenue s'enchaînèrent les unes derrière les autres William ne pouvait pas s'empêcher d'être un peu déçues,lui qui c'était fait une joie d'aller voir ce film en espérant tomber sur un bon divertissement n'avait finalement vu qu'un bon gros nanar de science-fiction.
Cela ne valait vraiment pas la peine que je fasse le mur pensa William.
Alors que le jeune homme était perdu dans ces pensées il ne remarqua pas la personne vêtues de noires qui venait d'apparaître soudainement devant lui, avant d'avoir pu faire quoi que ce soit pour l'éviter il percuta cette personne de plein fouet cette dernière se retrouva automatiquement au sol,n'ayant pas été blessé par l'impact du choc Williams se pressa de demander à la personne qu'il avait percuté si tout allait bien il n'eut pas besoin de le faire quand il vit qu'il s'agissait de Yumi,surpris de se retrouver nez à nez avec la jeune fille, William lui demanda ce que cette dernière faisait dehors à une heure si tardive.
Ben alors Yumi qu'est-ce que tu fais debout à cette heure-ci lui demanda William.
Quand tu dis debout c'est une blague faut que je rigole lui répondit Yumi passablement vexer
William : euh non désolé tu m'excuse je me dépêchai de rentrer, j'ai fait le mur pour aller voir Sky Breaker 4 la daube du siècle.
Yumi : ça si tu as vu les trois premiers tu aurais dû le savoir.
William : oui mais je suis un incurable optimiste même quand les choses démarrent mal je me dis toujours que ça s'améliorera avec le temps.
Yumi : super bon bin là tu permets je suis pressé.
William : ah oui !est tu vas ou.
Yumi : sauver le monde ça te va comme explication....
William : euh....
Yumi : ce bon je peux y aller.
William : ouais mais seulement après m'avoir donné un baiser
Yumi : euh ah.... bon d'accord alors ferme les yeux.
William : et moi qui croyais que ma soirée était fichu.
Ben alors j'attends fit William les yeux fermer.
Ne sentant rien venir William ouvrit les yeux pour voir que Yumi avait disparu,force de constater qu'il c'était fait à voir comme un bleu William n'eut d'autre solution que de rentrer au collège Kadic,toutefois sur le chemin du retour où il eut beaucoup de mal à digérer le coup tordu que Yumi venait de lui faire, apparemment celle-ci était très pressé de partir,cette attitude pour le moins fuyante était assez mystérieuse, il y avait là un mystère que William se devait de percer.
Mais pour l'heure la seule chose à laquelle William inspirait c'était de retrouver son confortable lit douillet,arrivé devant l'un des murs du collège il enjamba la grille du mur qui se trouvait à côté de la cabane du jardinier,puis se rendant furtivement vers les bâtiments de l'internat il monta par la gouttière avant de se retrouver au niveau de sa chambre,la il tapota sur le carreau de sa fenêtre pour signaler à son colocataire qu'il était de retour,sans perdre un instant le brave Julien vint ouvrir à William.
Alors déjà de retour lui demanda Julien.
Ouais comme tu vois lui répondit William qui posa les deux pieds sur le sol de sa chambre.
Julien : alors cette séance ciné c'était bien ?
William : franchement je préfère pas en parler .
Julien : mauvaise soirée on dirait
William : tu n'as pas idée mon pote.
Julien : qu'est-ce qui s'est passé ?
William : le film était vraiment nul
Julien : et c'est ça qui te met de mauvaise humeur.
William : pas vraiment il y a autre chose.
Julien : ah bon et quoi d'autres.en
William : tu ne devinera jamais qui j'ai croisé en revenant du cinéma.
Julien : au hasard je dirais Yumi.
Comment as-tu deviné lui fit William visiblement étonné par la réponse de Julien
Julien : facile tu n'arrête pas de me dire que tu vas toujours au cinéma "le Magnifico" parce que ça te permet de passer devant chez Yumi.
William : oui mais j'aurais très bien pu croiser quelqu'un d'autre.
Julien : oui mais comme tu ne fais que parler d'elle pas difficile de deviner une fois qu'on a tous les indices en main.
Julien avait vu juste,visiblement il était très difficile de cacher quelque chose à ce jeune homme dont la perspicacité n'avait d'égale que son talent unique à faire des conneries et accessoirement à en écrire (^_^')
William : tu n'as jamais pensé à faire détective
Julien : tu as raison j'ai sûrement loupé ma vocation.
William : puisque tu sembles si fort pour résoudre les énigmes tu va peut-être pouvoir me donner un coup de main.
Julien : Ã quel sujet ?!
William : avec ton sens de l'observation tu as sûrement remarqué qu'il y avait un truc étrange chez Yumi.
Julien : tu parles sûrement de son incroyable capacité à disparaître sans laisser de traces.
William : je vois que tu as compris.
Julien : en effet c'est quelque chose qui lui arrive souvent.
William : et tu trouves pas ça bizarre de la part d'une élève aussi sérieuse qu'elle.
Julien : n'ont pas spécialement.
William : ah bon c'est normal pour toi.
Julien : c'est sa vie elle fait ce qu'elle veut.
William : c'est ça ta réponse ?
Julien : ben oui chacun de nous a le droit d'avoir ces petits secrets que ce soit toi ... moi ou Yumi.
William : mais moi ça m'intrigue car tous ses amis agissent de la même façon.
Julien : tu parles de la bande à Jeremie Belpois.
William : oui
William n'était pas aussi idiot qu'il voulait le faire croire,au même titre que bon nombre d'élèves il avait remarqué les curieuses habitudes du groupe de Jeremie,ils étaient toujours ensemble et semblaient se livrer à toutes sortes d'activités étranges mais surtout ils avaient en commun cette incroyable manie de toujours disparaître un milieu des cours et ceci toujours avec des prétextes pour le moins fumeux.visiblement cette petite bande avait un secret en commun et William se mit en tête de le découvrir.
William : je ne sais pas ce qu'ils font ensemble mais j'ai bien l'attention de le découvrir.
Julien : en tout cas tu est mal barré pour que tu trouves la vérité.
William : pourquoi tu dis ça ?
Julien : personne n'a jamais découvert ce que font ces cinq là .
William : et personne ne soupçonne rien.
Julien : franchement les plus suspicieux ici ce sont Jim et Sissi.
William : ça fait pas beaucoup de monde.
Julien : avec toi ça fait trois.
William : qu'importe que je sois seul si Yumi a secret je le découvrirai.
Julien : ma parole tu as l'air bien déterminé.
William : je le suis, est-ce que tu veux pas me donner un coup de main.
Julien : désoler William ce ne sont pas mes affaires,est vu le peu de temps qu'il me reste encore passer dans ce collège je ne veux pas le perdre à jouer les détectives.
William : alors le grand départ approche.
Julien : oui dans deux semaines tu auras bientôt une chambre pour toi tous seul
William : c'est bien dommage que tu sois obligé de partir.
Julien : c'est comme ça on peut rien mes parents ont décidé de ne faire changer de collège et moi je suis obligé de me plier à leur exigence.
William : c'est moche.
Julien : je sais mais bon on va pas pleurer de plus j'ai une dernière chose à te dire .......
"William est ce que tu écoutes ce que je te dis fit la voix."
-------------------------------------------------- PLOUF --------------------------------------------------
Ce simple appel suffit à sortir William de sa rêverie,le garçon à moitié assoupi avait reconnu la voix de Yumi.
Hein quoi ?!!! tu me parlais Yumi fit William à moitié dans le cirage.
Yumi : oui je te parlais mais toi tu dormais.
William : excuse moi je me suis assoupi.
Yumi : faut penser à dormir la nuit
William : j'essaye mais ces derniers temps j'ai un peu de mal à dormir.
Yumi : tu dors mal maintenant ?
William : oui je fais des rêves un peu agités la nuit,mais ne parlons pas de sa pour le moment...
Ces derniers temps les nuits de William était agité,il lui arrivait de faire des rêves plutôt bizarre,la plus part d'entre eux était des souvenirs de sa vie avant Xana,mais depuis qu'il avait réintégrer les Lyoko-guerriers un rêve pour le moins étrange venait peuplé ces nuits.
Ce rêve ou plutôt se cauchemars était assez perturbant pour William car celui ci était effrayants par son contenu,a de nombreuses reprise il lui était arrivé de se réveiller en pleine nuit a cause de ce derniers.
Le rêve de William
Faite attention a vous, ne vous laissez pas surprendre............vite ils sont sur le territoire du désert....Odd c'est fait avoir par cette chose......... repliez vous vite................Oh non Yumi pas ça !!!!!!!!!!............super smoke.............Yumiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est en sueur que William ce réveillait,ce songe étrange était très chaotique dans l'esprit du jeune homme,il peinait beaucoup à le définir mais cela suffisait a l'effrayer,car se qu'il advenait de Yumi n'était guère encourageant.
Coucher dans son lit William avait beau se dire que cela n'était qu'un rêve,pourtant pour une raison étrange il ne pouvait pas s'empêcher d'être troublé par ce rêve et cela lui valait des nuits plutôt courtes.
Se sont donc avec des cernes sous les yeux que William avait pris l'habitude d'aller en cours à cause de son état de fatigue avancée William éprouvait quelque difficultés à se concentrer,cela se répercutait irrémédiablement aussi sur les explications que donnait Yumi,il s'excusa alors auprès de la jeune Japonaise et lui demanda de reprendre ces explication
Je t'en prie reprendre les explications lui demanda William.
Yumi : je disais que pour le moment le programme de détection continue ces recherches
Odd : il a encore rien prouvé
Yumi : pour le moment non.
Odd : quelle poisse ......
Yumi : c'est ce que pense aussi Jeremie mais il reste confiant.
William : d'ailleurs puisque tu parles de Jeremie as-tu des nouvelles de lui.
Yumi : bien sûr je suis allé le voir aujourd'hui à l'hôpital.
William : et comment va-t-il ?
Yumi : il se remet doucement de ses blessures,finalement celle-ci était moins grave que prévu.
William : c'est une bonne nouvelle,sinon est-ce qu'il t'a dit autre chose ?
Yumi : ils me demande constamment où en sont les recherches malheureusement mises à part les relevés que je fais sur le super-calculateur je ne peux rien lui dire de plus.
Odd : les relevées ?! qu'elles relevées ?!
Yumi : tous les jours j' enregistre sur un disque dur externe toutes les informations que rélève le super calculateur sur le réseau afin de les communiquer à Jeremie pour qu'il puisse les exploiter.
Odd : j'y crois pas même sur son lit hôpital ils continuent à faire ses recherches
Yumi : le plus étonnant dans tout ça c'est que les médecins l'on autorisé à garder son ordinateur portable.
Depuis son accident avec la transcendance Jeremie était hospitalisé à l'hôpital Sainte Christie,si dans un premier temps il était passablement affaibli le jeune homme avait rapidement repris des forces,en prétextant ne pas vouloir prendre du retard sur ses cours il avait demandé à ce qu'on lui apporte son ordinateur portable bien sûr tout ceci n'était qu'une excuse pour lui permettre de continuer ses recherches d'un accord commun il avait demandé à Yumi de lui enregistrer sur un disque dur portable toutes les informations que prélevait le super-calculateur en contrepartie Jeremie travaillait sur des programmes et les améliorations que Yumi avait pour objectif d'intégrer au super-calculateur.
Odd : et ces analyses ont-elles donné quelque chose.
Yumi : rien du tout, pas de traces, aucune activité.
Odd : si je comprends bien nous sommes encore bien parties pour attendre.
Yumi : Jeremie m'as promis que si jamais il trouvait une quelconque informations il nous avertirait aussitôt.
Odd : je vois il travaille toujours autant
Yumi : pour ça l'accident n'a rien changé chez lui.
En dépit de sa mauvaise condition physique et de sa convalescence cela n'avait en rien réduit la détermination de Jeremie, le jeune garçon était toujours décider à retrouver Aelita et ceci quelqu'en soit le prix.
Pour faciliter la tâche à ces amis Jeremie avait programmer de nouvelles améliorations pour le super-calculateur que Yumi avait installé le jour même.
Jeremie a programmer de nouvelles améliorations fit Yumi en sortant le disque de sa poche.
Odd : Ã quoi cela va-t-il servir ?
Yumi : je n'ai pas bien compris ce qu'il m'a expliqué mais visiblement cela va nous faciliter la tâche.
C'est quoi cette étiquette sur le disque fit remarquer Odd.
Sur le boîtier que tenait en main Yumi une étiquette blanche avait été collé dessus très distinctement on pouvait lire un nom marqué dessus au crayon à papier...Maya 2.0
Odd : Maya 2.0 !! qu'est-ce que c'est ?
Yumi : Jeremie n'a pas voulu le dire.
Odd : es tu sais à quoi ça sert ?
Yumi : je n'en ai pas la moindre idée tout ce que je sais ce Jeremie a appelé ce programme Maya 2.0
Odd : c'est bizarre ça !! enfin je crois qu'on n'a pas le choix il va falloir faire confiance a Einstein.
Yumi : maintenant que la machine est redevenue fonctionnelle on n'a plus de chances de retrouver Aelita
Puisses-tu dire vrai soupira Odd
Yumi ne trouva rien à répondre à son ami,mais elle comprenait bien l'inquiétude que manifestait Odd, pas besoin d'avoir fait de grandes études pour comprendre que le jeune homme était très inquiet pour Aelita.
La fréquence des appels qu'il avait manifesté durant toutes les vacances pour demander à Jeremie où on était ses recherches était bien la preuve que ce dernier s'inquiéter autant sur le sort de Aelita que Jeremie.
Quand le briefing du jour fut terminé tout le monde quitta le laboratoire pour retourner à ces occupations quotidiennes,durant tout le reste de la nuit le programme de détection radar installée sur le super-calculateur continua ses recherches, mais une partie des ressources était mobilisée par la machine pour faire tourner le mystérieux programme que Jeremie avait mis au point.
Personne ne savait de quoi il s'agissait si ce n'est que ce programme s'appelait Maya 2.0,bien sur Yumi suspectait quelque chose parfois il lui était arrivé d'entendre Jeremie en parler est en y réfléchissant bien maya était le nom que Jeremie avait donné a Aelita la première fois qu'il c'était rencontré.
Yumi avait fini par émettre une hypothèse un peu folle,elle savait à quel point Jeremie était désespérées et ces longues journées passées dans la solitude de ce laboratoire n'étaient pas faciles à vivre même pour le jeune génie,Yumi avait supposé que Jeremie était allé jusqu'à créer une....NON ça ne pouvait pas être sa,ça serait trop stupide et pourtant à la fois ce serait compréhensible.
Quelle que soit la nature de ce programme celui-ci demandait énormément de ressources aux super-calculateur ce qui faisait que le programme de détection radar étaient moins efficaces pour détecter toute trace éventuelle de Aelita.
Bien sur l'envoi de la sonde Magellan aurait considérablement facilité la tâche tout le monde,Yumi avait pourtant essayé de s'en servir mais devant la complexité du système elle avait du renoncer.
Pourtant les premiers essais c'étaient montrés concluants, Yumi avait réussi à virtualiser la machine sur Lyoko,mais elle avait été incapable de la piloter tant le maniement cette machine était complexe,seul un génie comme Jeremie serait en mesure de la piloter efficacement en dépit de ce revers la sonde ne fut pas la seule chose à être virtualiser dans le monde virtuel
Afin de se faire la main sur le clavier Yumi avait envoyé Ulrich Odd et William sur Lyoko ceci dans le but de tester le programme de scanner,le processus c'était déroulée sans le moindre problème,malgré l'incident avec Jeremie le système de virtualisation était parfaitement fonctionnel.
Parmi tous leurs malheur il y avait au moins ceci de réconfortant mais ce qui est surpris le plus Ulrich et Odd c'était de voir William à leurs côtés,ils avaient tellement pris l'habitude de le voir dans sa tenue noire qu'ils avaient presque oublié un jour que celui-ci avait fait partie du côte des gentils
La tenue futuriste du beau ténébreux était celle qu'il avait à ces origines,comme le retour de William n'avait pas été programmé et Jeremie n'avait jamais modifié quoi que ce soit sur sa tenue en ce qui concernait le costume des autres Lyoko-guerriers Jeremie avait réussi à les reproduire,lors de l'attaque de la mystérieuse sonde la décharge d'énergie avait endommagé bon nombre de programmes les véhicules et les costumes en faisaient partie mais par un heureux coup de chance les dégâts avaient été limités cela n'avait pas pris beaucoup de temps à Jeremie pour tout remettre en état et au passage améliorer quelque peu les combinaisons de ces amis.
A première vue pas vraiment de grands changements,pourtant il y en avait un qui était assez notable,sur le côté de chacun des costumes des bandes lumineuses avait été rajouté certes ceux-ci étaient presque un détail anodin mais dans le futur leur utilité allait s'avérer capitale.
En revanche Jeremie n'avait pas réussi à Re-programmer les véhicules,non pas qu'il en était incapable mais il devait consacrer toute son énergie à la conception du projet Magellan et vu que celle-ci devait faire office de véhicules,toutefois cela présentait un certain problème en cas d'une éventuelle nouvelle attaque ils seraient tous obligés de se déplacer à l'ancienne, non sans humour Odd prétexta alors qu'un peu d'exercice ne leur ferait pas trop de mal
Un peu de sport ne peut pas nous faire de mal avait ajouter Odd.
Mais personne ne voulut rien à cette blague car dans l'état actuel des choses il était souhaitable que personne ne vienne les attaquer, leur principal souci c'était l'hypothétique retour de Xana si celui-ci venait à activer une tour aucun des Lyoko-guerriers ne serait en mesure de pouvoir la désactiver.
Mais d'après Yumi Jeremie avait pris toutes les précautions pour empêcher un éventuel retour aussi bien de Xana que de la sonde mais leur ancien ennemi était rusée il fallait donc s'attendre à toutes sortes de nouvelles trouvailles de sa part.
Quoi qu'il en soit il fallait espérer que rien n'arrive avant le retour de Jeremie,malheureusement pour eux les lyoko-guerriers allèrent tous se coucher sans se douter de ce qui les attendaient le lendemain matin.
La journée avait pourtant bien commencé les deux premières heures de cours se passèrent sans embûches quand la sonnerie indiqua l'heure de l'inter cours Odd et Ulrich s'en allèrent rejoindre du Yumi et William sur le banc alors qu'ils étaient tous en train de discuter de leur début de journée un bruit étrange émana du sac de Yumi.
Sans perdre un instant la japonaise se saisit de son sac pour en retirer l'ordinateur portable de Jeremie,ce dernier lui avait confié sa délicate machine de façon à ce que Yumi procède à l'upgrade de certains programmes...
le visage de Yumi devint soudainement très tout blanc car la mystérieuse sonnerie composer de bips successifs provenait d'un programme que l'on espérait ne jamais revoir fonctionner un jour.
C'est pas possible dit alors Yumi
Que se passe-t-il demanda Odd intrigué
La japonaise n'arrivait pas à croire ce qu'elle pouvait lire sur l'écran,les deux seuls mots quels arriva à prononcer suffire à tétaniser d'effroi tous les garçons .
Tour activé fit Yumi.
De la part d'une toute autre personne cela n'aurait eu pu être qu'une mauvaise blague,mais dans le cas présent Yumi n'était pas d'humeur joviale.
Cela pouvait paraître complètement fou de croire qu'une tour puisse être activée cela ne manqua pas de surprendre tout le monde. mais il n'y avait aucune erreur de ce côté-là le signal énergétique qui était émis était bien celui de Xana.
ce n'est pas possible de lui dit Odd.
Yumi : et pourtant si le super scan a détecté une tour activée sur le territoire désert.
Ulrich : mais comment a possible ?
Yumi : je n'en sais rien
Xana dit William en serrant les dents.
Cette nouvelle avait de quoi interdire tout le groupe cela paraissait complètement dingue mais la signature énergétique qui était détectée à cet instant était bien celle de Xana ce dernier venait d'activer une tour sur le territoire désert, cette terrible nouvelle confirma alors le bien-fondés des doutes de Jeremie sur laquelle Xana avait survécu au programme multi-agents et celui-ci venait de signifier son retour de la façon la plus éclatante qui soit.
Odd : Qu'est-ce qu'on fait
Yumi : le seul moyen c'est d'aller voir sur place ce qui s'y passe.
Ulrich : Et après qu'est-ce qu'on fait sans Aelita on ne pourra jamais désactiver la tour.
Yumi : c'est vrai quelle poisse
Et si on coupait l'alimentation du super-calculateur suggère à William
On ne peut pas lui répondit Yumi.
Et pourquoi ça lui demanda William.
Yumi expliqua alors à William que si jamais le super-calculateur venait à être éteint celui-ci ne pourrais plus jamais être réactivé,durant les vacances Jeremie avait effectué un diagnostic très minutieux de la machine, les dégâts que la première attaque avait occasionnés l'avait rendu particulièrement sensible, le moindre défaut d'énergie pourrait être fatal à la machine et si le super-calculateur était en mis hors tension il y avait de fortes chances que celui-ci ne fonctionne plus jamais.
Devant cet état de fait la seule solution qu'avaient les lyoko-guerriers pour le moment étaient de se rendre sur place et d'improviser si nécessaire,mais déjà la sonnerie indiquait que les cours devaient reprendre mais au vu de la situation il valait mieux sécher et tant pis pour les conséquences
ce fut donc d'un accord commun que les trois garçons et la jeune fille partirent en direction de l'usine.
Pendant ce temps sur Lyoko ce qui était à l'origine de l'activation de la tour n'était pas de nature anodine,sur le territoire désert une tour avait en effet été activé mais chose étrange l'aura lumineuse de celle-ci n'était pas rouge mais noire.
Il pouvait paraître étrange de la part de Xana d'avoir recours à une telle couleur pourtant à la base de la tour on pouvait y voir le mystérieux fantôme noir.
Nul doute qu'il s'agissait l'être qui avait précédemment réussi a s'infiltrés dans le cinquième territoire,cependant une chose avait changer chez lui son costume n'était plus aussi noir qu'auparavant celui-ci c'était garni de trait rouges qui formaient des symboles très étrange.
Le fantôme se tenait au pied de la tour, il avait les avant-bras tendus en direction de l'édifice,de ceux-ci s'échappaient une mystérieuse fumée noire la même qu'il avait déjà utilisé pour détruire les boucliers du coeur de Lyoko à la seule différence que cette fois-ci cette mystérieuse brume avait pour effet d'activer la tour à son profit
Sur terre de curieux phénomène commencèrent à se produire au collège Kadic dans les différentes salles de classe de nombreuses lumières se mirent à vibrer ce qui perturba fortement les cours mais à part ceci aucun autre effet ne fut visible,quoique préparerait cet être mystérieux cela ne présageait rien de bon et ceux-ci les Lyoko-guerriers n'allait pas tarder à le découvrir.
A suivre
chapitre 26 panique à l'hôpital
28 septembre 2005
"Est bien la colorée tu écoutes quand on te parle."
En général je n'écoute que les gens qui ont des choses intéressantes à dire et ce n'est pas ton cas ma pauvre Vanessa lui répondit alors Maeva.
Vanessa : tu te moque pas de moi par hasard.
Maeva : et bien ça se pourrait, remarque dans ton cas je n'ai pas beaucoup d'efforts à faire pour y parvenir.
Vanessa : non mais tu te prends pour qui espèce de colorée.
Maeva : en tout cas une chose est sûre, je ne me prends pas pour une petite princesse égocentrique.
Quoi !! tu ose n'insulter lui fit Vanessa surpris.
Maeva : tu vois finalement que tu n'est pas si bête, tu as réussi à comprendre les mots que j'ai employés.
La discussion était plutôt houleuse entre Maeva est Vanessa,une dispute d'une rare violence venait d'éclater entre les deux jeunes filles,comme à son habitude Vanessa avait voulu rabaisser Maeva mais cette fois-ci la petite rousse à son papa avait poussé le bouchon trop loin, non contente de ridiculiser Maeva cette dernière avait également insulté en des termes peu élogieux le Dr Robinson.
bien que de nature tolérante Maeva n'avait pas voulu laisser passer ça,que l'on veuille s'attaquer à elle c'est une chose mais qu'on essaie de s'en prendre à son bienfaiteur.... ça non !!!!
Sans plus attendre la jeune fille avait pris la défense du docteur en avançant que celui-ci au moins n'était pas le traîne savate d'une gamine prétentieuse,Maeva souligna à quel point Vanessa n'avait rien d'autre pour elle qu'un père fortunés qui cédaient à tous ses caprices.
Alors pour ton anniversaire ton papa t'a offert un docteur faute de pouvoir être la lui fit Maeva.
L'insinuation que Maeva venait de lancer fit mouche car elle cloua Vanessa sur place,elle avait beau faire pour le cacher, en dépit de sa fortune et de son traitement de faveur Vanessa avait un point commun avec Maeva,cette dernière n'avait jamais reçu la visite de qui que ce soit depuis le début de son hospitalisation.
Il avait été rapporté aux oreilles de Maeva que le père de Vanessa était si occupé par ses affaires qu'il n'avait pas le temps de venir voir sa fille et que malgré l'importance qu'elle pouvait se donner Vanessa était une personne aussi seule que l'était Maeva à la différence toutefois que même si elle n'était pas sa fille le Dr Robinson avait un comportement très paternel envers Maeva,voilà une marque d'affection que Vanessa ne pourrait jamais s'offrir même avec tout l'argent dont elle dispose et sa Maeva l'avait bien compris.
Cette riposte pleine de subtilité avait suffi à déclencher quelques rires parmi les enfants qui observaient la scène,la jeune fille n'était pas habituée à ce qu'on se moque d'elle,elle voulut réagir en lançant une nouvelle pique assassine contre la mutante aux cheveux bleus mais cette dernière fut sans effet Maeva resta de marbre face aux nouvelles remarques de Vanessa.
Se sentant plus ridicule que jamais Vanessa devint alors beaucoup plus agressive,toute autre personne aurait fait profil bas et se seraient retirées mais Vanessa ne savait pas se contrôler,cette jeune fille était une égocentrique et une narcissique de première et cela se traduisait par un comportement très agressif,c'est d'ailleurs cette même agressivité qui caractérisait la jeune fille,
Vanessa n'arrivait pas à garder le contrôle de ses nerfs,elle ne pouvait pas encaisser le camouflet de Maeva, elle essaya encore une fois en attaquant Maeva sur sa couleur de cheveux mais celle-ci ne réagit même pas est fit meme semblants d'ignorer la jeune fille.
On dit que le silence et la forme la plus distinguée du mépris voilà bien un concept que Maeva avait parfaitement assimilé et qu'elle appliquait à la lettre en ne réagissant plus aux provocations de Vanessa, ce comportement dédaigneux eu pour effet d'énerver encore plus la jeune fille
Vanessa : tu joue à quoi espèce de folle ?
Maeva : je joue juste à la fille qui t'ignore rien de plus.
de la part d'une mutante faut pas s'attendre a grand-chose lança Vanessa qui essaya encore de provoquer Maeva.
Venant de toi je ne prendre pas au sérieux la moindre de tes paroles lui répondit Maeva.
Il pouvait paraître étrange que la si timorée et persécutée Maeva puisse soudainement s'être métamorphosée en une jeune fille pleine d'énergie et ayant du répondant,mais pour expliquer ce changement subit il ne fallait pas chercher très loin les réponses, deux personne était en réalité responsable de cet état de choses,
En premier lieu il y avait le Dr Robinson qui ne cessait pas de croire en Maeva et en ses capacités,il avait souvent gratifié la jeune fille en lui précisant qu'elle était très intelligente et que c'est en partie grâce à ceci qu'elle avait pu s'en sortir, mais que cela ne faisait pas tout ce qui faisait vraiment la différence chez Maeva c'était sa détermination.
C'est cette même détermination qui lui avait permis de continuer malgré les obstacles,cette détermination quelqu'un d'autre l'avait également perçu chez Maeva il s'agissait ni plus ni moins que de Kevin.
Tous comme le docteur le jeune garçon avait perçu chez Maeva une volonté de fer,il voyait bien que la jeune fille passait par de terribles épreuves ... son amnésie,sa mise à l'écart et le mépris du personnel,est pourtant en dépit de tout ça Maeva avait toujours trouvé le moyen de continuer grâce à sa détermination... grâce à sa volonté....
Cette volonté c'était désormais renforcée avec la foi que Kevin avait inculquée à Maeva, c'est dans la religion que Maeva avait trouvé une forme de salut et le meilleur exemple qui soit était Jésus-Christ un modèle unique de tolérance et de persévérance Kevin lui avait montré la voie est Maeva avait suivi cette dernière,grâce a ceci elle trouvait la force de pardonner à ses ennemis mais n'entendait plus désormais se laisser faire par ces derniers.
Mais comme une exception confirme la règle,Vanessa n'était pas un cas à part,cette jeune fille nourrissait une rancune tenace envers Maeva et que cette dernière se soit permis de l'humilier en public paru inacceptable pour Vanessa.
Tu as plutôt intérêt à me présenter des excuses fit Vanessa sur un ton menaçant.
Alors là tu peux toujours rêver pour que ça arrive lui répondit aussi sec Maeva.
là ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase Vanessa n'avait pas l'habitude que quelqu'un lui tienne tête, et encore moins que cette personne puisse être Maeva,comment cette vulgaire orpheline osait-t-elle tenir tête à la grande Vanessa Sidoroff,elle n'était pas n'importe qui tout de même,en tant que fille d'un richissime industriel et elle ne pouvait pas tolérer qu'on puisse la traiter avec autant de suffisance.
Tu as intérêt a t'excuser sinon ...fit Vanessa.
Sinon quoi...tu va appeler au secours lui répondit Maeva
Maeva n'en avait rien à faire des grands égards qu'elle devait adresser à cette jeune fille, malgré la dernière menace de Vanessa celle-ci refusa toujours de présenter ses excuses,et c'est là que la situation finit par dégénérer,excéder par ceci Vanessa donna une claque à Maeva,surpris la jeune fille ne se laissa pas démonter pour autant,personne ne put expliquer le geste mais au lieu de rendre une claque Maeva ce saisie d'un petit pot de peinture bleu posée sur la table à dessin et en jeta le contenu sur le beau vêtement que portait Vanessa.
Le beau vêtement blanc que portait Vanessa fut recouvert de gouache bleu,cet affront fut le dernier que Vanessa pus supporter à son tour elle se saisi d'un pot de gouache rouge qu'elle jeta sur Maeva en guise de représailles, complètement recouvert de peinture Maeva ne put contenir sa colère et se jeta instinctivement sur Vanessa.
Finie les attaques et les coups bas maintenant les deux filles en étaient venues aux mains Maeva essaya de donner un coup a son adversaire malheureusement pour Maeva la jeune fille rousse était par nature dotée d'une très grande force physique, cette dernière n'eut aucun problème à avoir le dessus sur Maeva.
Vanessa attrapa Maeva par les cheveux et la jeta au sol profitant de sa grande taille la petite peste se jeta sur elle,à cheval sur la jeune fille Vanessa donna de nombreux coups de poing dans le visage de Maeva,pris au piège et ne parvenant pas a se libérer Maeva essayait tant bien que mal de se protéger.
la force des coups que donnait la jeune fille rousse n'avait d'égale que la haine qu'elle éprouvait envers la mutante aux cheveux bleus ,complètement dominé Maeva n'avait presque plus la force de réagir,c'est alors que Vanessa donna un grand coup de poing dans la tempe gauche de Maeva,le choc fut si violent qu'il grogis à moitié Maeva.
Voyant que son adversaire n'était plus en mesure de se défendre Vanessa voulu lui amoché la figure pour bien lui faire comprendre qu'il était la patronne ici.
Elle arma son poing droit avec l'intention d'écraser le nez de sa victime,mais au moment où Vanessa voulut porter le coup,Maeva lui attrapa le poignet,surpris par ce geste la petite peste voulue se libérer mais curieusement la pression qu'exerçait Maeva était si forte qu'elle n'arrivait plus à retirer son bras,Vanessa tira de toutes ses forces pour se libéré mais elle n'y parvint pas Maeva la tenait fortement alors que celle-ci semblait complètement assommée,d'où pouvait soudainement lui venir une telle force ?
Soudain Maeva ouvrit les yeux et dévisagea Vanessa,quand leurs regards se croisèrent Vanessa crut quelle hallucinait,l'espace d'un court instant les pupilles de Maeva disparurent et à leur place Vanessa aperçu une forme étrange,mais avant d'avoir pu dire quoi que ce soit Vanessa fut éjecté par Maeva avec une facilité déconcertante,la jeune fille rousse se retrouvera catapulté deux mètres plus loin avant de finir sa course dans le mobilier.
Cette fois-ci c'était au tour de Vanessa d'être au sol à moitié assommé alors que Maeva commença à se relever péniblement pour continuer le combat, bien sûr ce pugilat général avait attiré bon nombre d'enfants qui c'étaient regroupés autour des deux jeunes filles pour observer la scène,mais à l'exception de Vanessa aucun n'avaient pu voir ce qui était arrivé aux yeux de Maeva.
Alors que Vanessa était au sol le personnels intervint pour arrêter le combat, même si celui-ci était déjà fini,Maeva voulu continuer la lutte,Maeva ne savait pas comment l'expliquer mais une rage sourde semblait animer son coeur, sa vision du monde était toute chamboulé à cet instant,elle ne percevait plus Vanessa comme la petite peste qui lui faisait des misères mais bien comme un ennemis qu'elle devait détruire.
Maeva pris un objet contondant qui était sur la table et elle commença à s'approcher de Vanessa avec la ferme intention de la frapper avec,à ce moment-là aucun des enfants présents dans la pièce n'osa faire quoi que ce soit pour stopper Maeva, car à l'hilarité c'était succéder la peur qu'inspirait désormais Maeva, personne n'avait jamais vu la jeune fille se comporter de cette façon.
Heureusement pour Vanessa Maeva n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit l'un des infirmiers se saisit de la jeune fille et sans autre forme de procès il la plaqua au sol pour la neutraliser.
Complètement enragée la jeune fille essaya de se débattre pour se libérer mais son assaillant était bien trop fort pour elle,celui qui l'avait mis hors combat n'était autre que Samuel l'aide-soignant,sa carrure de footballeurs aidant il n'eut aucun mal à neutraliser la petite furie.
Lâchez-moi tout de suite s'écria Maeva enragé.
Mais Samuel n'en fit rien car la jeune fille semblait complètement hystérique et pourrait bien êtres capables de blesser d'autres personnes si on la laissait faire,de plus l'aide soignant prenait un certain plaisir à maintenir cette jeune fille au sol, Samuel maintenait Maeva à l'aide d'une clé de bras tout en effectuant une sorte d'étranglement au niveau de la gorge de la jeune fille si il avait voulu forcer et il aurait pu déboîté l'omoplates de Maeva ou l'étouffer carrément.
Personne ne fit attention aux sévices que faisait subir Samuel à la pauvre Maeva les autres aides-soignant et infirmières étaient bien trop occupées à statuer sur le sort de Vanessa,la jeune fille semblait légèrement blessée suite au choc qu'elle avait subi,quand Maeva l'avait éjecté elle avait envoyé cette dernière contre une table et des chaises,de plus personne ne pouvait reprocher le comportement de Samuel car celui-ci tenait ces instructions de la part même du Dr Holstein, le très sadique aide-soignant avait pour consigne de neutraliser Maeva par tous les moyens possibles si cette dernière présentait une menace pour les autres patients.
Appliquant scrupuleusement les consignes à la lettre Samuel ne put s'empêcher de prendre du plaisir a molesté de cette façon la jeune fille,et bien que ce genre d'agissements puisse être considéré comme très grave en temps normal personne ne dit rien.
de son côté que Vanessa se réveilla,elle était visiblement étourdie mais nullement blessée,le personnel poussa un ouf de soulagement,si il était arrivé quelque chose à la jeune fille rousse le directeur de l'établissement leur aurait fait passer un sale quart d'heure tout le monde savait très bien que Vanessa était une poule aux oeufs d'or qu'il ne fallait surtout pas blesser mais quelque part au fond d'eux-mêmes certaines personnes avaient approuvé le geste de Maeva.
Depuis le temps que Vanessa faisait sa petite loi il avait été fort agréable que quelqu'un l'est remisen place même si cette personne fut Maeva.
Vanessa se remit rapidement des coups que venait de lui porter Maeva,en dépit de son étourdissement elle ne pouvait pas supporter l'idée que la jeune fille est pu la mettre au tapis aussi facilement c'est alors qu'elle s'adressa à Maeva qui était toujours maintenue au sol par Samuel
Alors tu fais-moins la maligne lui lança leur Vanessa cet instant
Mais là encore Maeva ne répondit rien,la jeune fille avait déjà retrouvé son calme elle se contenta seulement de regarder Vanessa dans le blanc des yeux pour bien lui faire comprendre qu'elle n'était nullement impressionnée par ce qu'elle venait de dire.
fait bien ta petite maligne,si tu n'avais pas tes chiens de garde je t'aurai mis en pièces détachées lui dit Maeva.
Au vu de l'avertissement que venait de proférer la jeune fille aux cheveux bleus Vanessa préféra battre en retraite pour se mettre à l'abri derrière les aides soignants,désormais Maeva n'inspiraient plus du dégoût à Vanessa mais de la peur ce que la jeune fille rousse avait pu voir dans le regard de Maeva avait suffi à l'en convaincre.
S'attaquer à Maeva peut être dangereux,la seule personne qui ne semblait pas s'en rendre compte n'était autre que celle qui maintenait la jeune fille au sol avec vigueur.
Maeva demanda à Samuel de la relâcher,mais ce dernier n'en fit rien c'est alors que la jeune fille commença à insulte l'aide soignant en le traitant de tous les noms possible,elle alla même jusqu'à le traiter de pédophile.
cette dernière réflexion ne plut pas particulièrement à Samuel puisque maintenant tous les regards convergeaient vers lui et Maeva,visiblement la jeune fille avait dû toucher un point sensible car l'infirmier se mit à agir de façon différente il releva Maeva tout en la maintenant au niveau des deux bras pour l'empêcher de se sauver, Maeva était complètement agitée elle décolla les jambes en l'air comme si elle avait voulu donner des coups de pied à n'importe qui.
Maintenant tu vas te calmer lui lança Samuel
mais la jeune fille ne voulait rien entendre elle commença à lancer tout un flot d'accusation traitant Samuel de lèche botte au service des caprices d'une petite princesse, la réplique est alors Maeva a été si poignante et si percutante que beaucoup de personnes commencèrent à se poser des questions.
évidemment Samuel lui se sentait mal à l'aise maeva était en train de l'insulter publiquement et tout le monde se mit à ricaner ce qui est deplus fortement à l'infirmier qui aussitôt resserra encore plus son étreinte pour calmer la jeune excité
Samuel : écoute-moi je vais pas me laisser marcher dessus par une petite conne de ton espèce.
la réplique parut cinglante est particulièrement violente mais elle ne fit que confirmer les dires de Maeva quand celle-ci affirmait que Samuel n'était qu'un sous fifre payer pour jouer les toutou au service de Vanessa et de son bon docteur.
en lançant ces quatre vérités Maeva s'attira les foudres de samuel à cet instant, afin de calmer la jeune excité l'infirmier décida de la renvoyée dans sa chambre, bien sûre Maeva refusa d'obéir alors ils durent employer la force, un autre infirmier saisit le bras de Maeva et ensemble ils la conduisirent dans sa chambre avec hâte car Maeva se débattait et hurlait comme une belle diablesse.
C'est solidement empoigné que Maeva fut raccompagné à sa chambre,en quittant la salle de dessin elle ne put s'empêcher de lancer une dernière réplique très cinglante.
Vous êtes tous des vendus s'écria alors Maeva.
Quelques minutes après elle se retrouva dans sa chambre,les infirmiers la jetèrent au sol comme un vulgaire sac de linge,enragé Maeva se releva et juste et eut juste le temps de voir la lourde porte métallique se refermer derrière elle.
Maintenant Maeva était consignée à l'intérieur de sa chambre et ceci sans véritable raison cette action était tellement dégradante que Maeva écumait de rage elle commença à taper contre la porte en métal en donnant des coups de pieds dedans mais la seule chose qu'elle réussit a gagné fut un avertissement de la part des infirmiers.
Si jamais elle ne se calmait pas elle serait mis sous sédatif,conscient de la menace qui planait sur ses épaules Maeva ne dis plus rien à la grande satisfaction des infirmiers, pourtant intérieurement elle bouillonnait de rage n'ont pas à cause de ce qu'on lui avait fait subir mais à cause de l'injustice qu'elle subissait.
Depuis le début c'est Vanessa qui s'est toujours montrée agressive et finalement Maeva n'avait fait que se défendre et voilà qu'en dépit de tous c'est elle qu'on punissait.
Déjà qu'on lui appliquait de mauvais traitements il fallait en plus qu'on lui restreigne ses libertés,et ceux-ci avaient le don d'énerver Maeva qui ne pouvaient plus supporter tout ceci,Maeva fut soudainement épris d'un grand sentiment de liberté,elle ne voulait plus rester dans cet hôpital et devait partout les moyens s'en échapper si mais pour ça il fallait qu'elle en parle au Dr Robinson.
Seulement il n'était pas prévu que ce dernier vienne la voir aujourd'hui,son emploi du temps était si chargé qu'il n'avait pas une minute à consacrer à Maeva,la jeune fille comprit alors que si elle voulait voir le Docteur il faudrait qu'elle se rendent auprès de lui.
Mais pour cela fallait-il encore que Maeva puisse quitter sa chambre,la porte en métal était verrouillés de l'extérieur et maeva était incapable de l'ouvrir du moins en apparence,car maeva savait très bien que ce qui fermait la porte n'était rien d'autre qu'une serrure électronique.
Depuis le début maeva avait pris conscience qu'elle ne devait pas y toucher,les précédents accident avec le climatiseur et le scanner I.R.M. avait convaincu la jeune fille de ne jamais s'approcher d'un appareil électronique,mais cette fois-ci la situation exigeait qu'elle fasse quelque chose.
Maeva s'approcha de la serrure électronique et l'observa avec beaucoup d'attention les intentions de la jeune fille étaient clair elle voulait se servir de ces pouvoirs pour ouvrir la serrure.
Mais cela allait-il marché ? maeva n'en savait rien la seule certitude qui habitait la jeune fille c'est qu'elle pouvait dégrader les objets électronique à rien quand les touchants, cette faculté étrange Maeva s'en était rendue compte avec le docteur, celui-ci lui avait expliqué qu'il y avait quelque chose dans son corps qui faisait d'elle une personne particulière,mais ne voulant pas accentuer le malaise de la jeune fille et lui avait également fait comprendre que dans son intérêt il valait mieux qu'elle taise l'existence de ces pouvoirs.
Mais le doute subsistait chez la jeune fille était-elle vraiment capable de faire ceci,si elle avait vraiment ce pouvoir elle devait en être sûre et le seul moyen qu'elle avait pour être fixée
ce serait de poser sa main sur le boîtier et de voir ce qui se passerait.
c'est sans hésiter que Maeva posa sa main sur le lecteur de cartes magnétiques elle resta dessus un bon moment sans que rien ne ne se passe,soudain elle éprouva une drôle de sensations,elle sentit des petits picotements au bout de ses mains,le phénomène dont elle faisait l'expérience était assez étrange c'est comme si elle arrivait à sentir le fluide électrique qui circulait à travers les circuits de l'appareil.
Sans savoir pourquoi Maeva ferma les yeux pour améliorer sa concentration,son esprit fut soudainement accouru de flashes lumineux ce que vit la jeune fille cet instant était sidérant,dans sa tête elle pouvait voir distinctement l'image des circuits électroniques qui constituaient le boîtier,elle distinguait aisément tous les composants qui constituaient la carte électronique.
Les puces, les résistances, les condensateurs, aucuns de ses composants ne lui semblaient être étrangers,alors que Maeva n'avait jamais étudié un seul manuel d'électronique elle semblait tout connaître des principe de fonctionnement de ce système,par la seule force sa volonté est sans pouvoir l'expliquer elle finit par trouver la bonne combinaison alors que sa main était toujours posée sur le boîtier le voyant passa du rouge au vert et la porte se déverrouilla.
Comment cela est-il possible ? se demanda la jeune fille.
Même si elle ne pouvait pas encore expliquer ce phénomène Maeva ne pouvait pas passer à côté de l'opportunité qu'il lui était offerte, la porte étant maintenant ouverte ce fut avec une grande précaution que Maeva entrebailla celle-ci la jeune fille passa la tête à travers le couloir et regarda de droite à gauche pour s'assurer l'absence de personnel.
Voyant que le champ était libre Maeva en profita pour s'éclipser de sa chambre le plus rapidement possible,arpentant les couloirs avec précaution le seul objectif qui comptait pour Maeva maintenant était de pouvoir rejoindre le Dr Robinson par tous les moyens, afin de le prévenir du mauvais traitement qu'elle était entrain de subir.
La chance souriait à la jeune fille à cette heure-ci les couloirs étaient désert aucuns membres du personnels ne circulaient dans cette partie du bâtiment,Maeva pouvait donc à sa guise et de jouir de la liberté qui lui était offerte mais cette douce sensations fuent rapidement freinées par l'apparition d'une nouvelle porte blindé fermée par un digicodes, c'était vraiment à se poser des questions,cet endroit ressemble plus à une prison "Hight-tech" qu'à un hôpital.
Mais qu'à cela ne tienne Maeva était prêt à recommencer la même opération, elle posa de nouveau sa main sur le clavier de contrôle qui contrôlait l'ouverture de la porte et comme précédemment le même schéma se reproduisit elle finit par ouvrir la porte avec une facilité extraordinaire ce qui permit à Maeva d'avoir accès à une nouvelle aile du bâtiment sans tarder la jeune fille pénétra dans le nouveau couloir avec la curieuse impression que rien ne pouvait l'arrêter.
Malheureusement ce que Maeva semblait ignorer ce que derrière ces actes de "piratages" des serrures elle était en train de détraquer tout le système de sécurité de l'hôpital,dans la salle de contrôle des gardiens de nombreuses erreurs système était apparu sur les moniteurs,toute l'informatique c'était subitement détraquée sans raison est visiblement le beug était en train de s'étendre à d'autres parties du bâtiment,un peu partout les verrous de sécurité de nombreuse chambres s'ouvraient et se fermaient de façon chaotique sans qui que ce soit ne puisse les arrêter.
Pendant ce temps-là Maeva circulait librement sans que personne ne puisse l'empêcher de faire quoi que ce soit,au détour d'un couloir elle entendit le bruit de deux personnes qui s'approchaient rapidement,aussitôt la jeune fille se cacha derrière une corbeille à linge pour ne pas être remarqué, mais les deux infirmiers semblaient pour le moins presser,il filèrent tous droit sans même prêter attention à Maeva.
Maeva sortit de sa cachette pour se rendre au bureau du Dr Robinson c'est à ce moment-là que l'alarme incendie se mit en marche à la grande surprise de Maeva,un peu partout les lumières clignotèrent accompagné par un son strident émanant des haut-parleurs et les portes coupe-feu se refermèrent automatiquement.
Que se passe-t-il se demanda alors Maeva
En utilisant son pouvoir Maeva avait causé une défaillance technique dans le système de sécurité est telle une maladie contagieuse cette dernière c'était propagée aux autres systèmes électroniques,en moins de temps qu'il n'avait fallu pour le dire tous le réseau informatique de l'hôpital était devenu complètement fou.
Les ordinateurs étaient hors contrôle une partie des systèmes de communication était hors service mais plus grave encore de nombreux appareil médical tombèrent en panne.
Bien sûr la jeune fille comprit rapidement quelle était la cause de tout ça,devant l'ampleur de la catastrophe le Dr Holstein ordonna l'évacuation de l'hôpital,c'est dans la précipitation et la décadence la plus totale que le personnels soignants et les patients évacuèrent les bâtiments.
Alors que tout le monde courait dans tous les sens Maeva croisa Kevin et le Dr Stockton qui furent surpris de trouver Maeva dans cette partie de l'hôpital
Maeva mais que fais-tu là lui demanda Kevin.
Je me suis perdu lui répondit la jeune fille.
Kevin : vient avec nous il faut qu'on évacue l'hôpital.
Maeva : mais que se passe-t-il ?
Dr Stockton : nous n'en savons rien mais il faut évacuer au plus vite
Kevin : il doit y avoir le feu quelque part.
Maeva : le feu !!!!
Le Dr Stockton prit alors les deux patients sous sa protection afin de les évacuer au plus vite de cet enfer,ils se dépêchèrent de filer vers la sortie la plus proche,alors qu'il se rapprochait d'une des sorties ils croisèrent le Dr Robinson.
Dr Robinson c'est vous demanda Maeva.
Maeva enfin je t'ai retrouvé dit le docteur.
vous me cherchez demanda Maeva.
Dr Robinson : oui quand l'alarme a....
Mais le docteur n'eut pas le temps de finir sa phrase son collègue le pria de l'accompagner la sortie,les deux adultes et les deux enfants purent sortir du bâtiment pour rejoindre tout le monde dans la cour,déjà les pompiers étaient arrivés ceux-ci avaient été prévenus d'un défaut technique majeur pouvant entraîner un incendie.
Très vite ceux-ci intervinrent pour aider à évacuer les derniers patient,après quoi les pompiers examinés à l'intérieur du bâtiment afin de découvrir d'où venait l'alerte pendant plus de quatre heures tout le monde fut tenu de rester sur le parking qui bordait les bâtiments.
Pendant tout ce temps Maeva ne quitta pas le bâtiment des yeux,même si elle avait peine à y croire elle savait qu'elle était responsable de ce chaos,voyant que la jeune fille était perturbée Kevin lui prit la main pour la rassurer.
ça va aller lui demanda Kevin.
Oui merci lui répondit de Maeva sans trop d'assurance.
La jeune fille ne voulait pas l'avouer mais elle se sentait très coupable de ce qui venait d'arriver,mais plus que tout elle savait qu'une une personne en particulier allait lui reprocher ce qui était arrivé.
Maeva avait juste jeté un rapide coup d'oeil en direction du Dr,la jeune adolescente avait bien vu que celui-ci la regardait avec un air plutôt mécontent,sur secours Maeva ne pourrait pas feindre l'ignorance elle savait très bien ce que le docteur lui avait dit au sujet de ses pouvoirs et malgres ça elle n'en avait pas tenu compte est le résultat de cette désobéissance elle l'avait sous les yeux.
à cette simple pensée Maeva serra encore plus fort la main de Kevin.
chapitre 26 projet Carthage 1974 première partie
05 mars 2005
" Mais de quelle vérité parlez-vous ?"
Sigmund : je vous parle de la vérité colonel,celle qui concerne les origines du projet Carthage.
C Perec : vous me confirmez donc que Carthage a un lien avec toute cette affaire
Sigmund : c'est même le coeur du problème de la situation actuelle.
C Perec : dois-je comprendre par là que vous êtes au courant de tout ce qui se passe.
Sigmund : bien sûr que oui colonel et j'en sais même plus que vous sur cette affaire et j'ai beaucoup de chose a vous apprendre sur cette dernière.
Ce que venait de dire Sigmund ne manqua pas de surprendre les deux officiers,ils leur avaient déjà paru étonnant que celui-ci leur parle de Xana mais que ce dernier leur évoque une probable relation entre les événements actuels et ceux du projet Carthage 74 ne manqua pas de les surprendre d'avantage.
Quels révélations le vieux scientifique allait-il faire aux deux militaires, le colonel plus que tout voulait connaître la vérité car visiblement son père avait quelque chose à voir avec les événements du présent.
C Perec : et que savez-vous de si important ?
Sigmund : par exemple je peux vous dire quelles sont les événements qui vous relient à cette affaire.
C Perec : vous parlez de mon père
Sigmund : si vous voulez tout savoir la mort de votre père est liée à cette histoire.
Quoi !! qu'est-ce que vous venez de dire fit le colonel.
Le professeur Kessel venait clairement de dire à son interlocuteur que la mort du père de ce dernier était liée à ce fameux projet,surpris le colonel c'était subitement levé de son siège à la suite de cette annonce.
C'est une blague fit le colonel
Oh que non c'est la stricte vérité lui répondit le scientifique qui pria le colonel de se rasseoir
C Perec : ce n'est pas possible ce que vous me dites là .
Sigmund : et pourtant je vous assure que c'est la stricte vérité.
je n'arrive pas a pas y croire dit le colonel en s'asseyant comme assommé par la terrible nouvelle
Sigmund : ne soyez pas surpris colonel, et comprenez bien que les événements qui se déroulent actuellement sont étroitement liés avec la mort de votre père ainsi qu'a tous les événements qui se sont passés dans les années 70.
C Perec : et comment pouvez-vous être sûr de sa ?
Sigmund : je le sais car j'y ai vécu et c'est précisément ce que je vais vous expliquer, mais chaque chose en son temps
M Cartwright : excusez-moi mais j'aurais une question à vous poser
Sigmund : je vous en prie major faite dont
M Cartwright : est-ce que je pourrais savoir en quoi nous intervenons là -dedans ?
Sigmund : eh bien il me semble que vous essayez de protéger votre pays de la menace que représente Xana.
M Cartwright : je m'excuse ce n'était pas le sens de ma question
Sigmund : quel est-il alors ?
M Cartwright : pour faire simple pourquoi nous vous avez vous choisi ?
Sigmund : je n'ai choisi personnes c'est Waldo qui la fait.... W si vous préférez
C Perec : notre ami W
Sigmund : c'est lui-même qui a fait appel à vous.
C Perec : vous savez pourquoi
Sigmund : ça je l'ignore bien que j'ai ma petite idée...selon moi c'est à cause de la dette.
C Perec : encore cette histoire de dettes et ce que vous pourriez me dire à quoi ça correspond.cette histoire de dette
Sigmund : là aussi vous allez le savoir, mais laissez-moi juste le temps de tout vous expliquez.
C Perec : sinon vous me confirmez bien que derrière sous le mystérieux W se cache Waldo Schaeffer
Sigmund : de ce côté-là il y a aucun doute.
C Perec : comment pouvez-vous en être sûr ?
Facile s'est Waldo lui meme qui me l'as fait savoir et je vous le confirme dès à présent fit Sigmund.
Par ce simple jeu des questions une grande interrogation venait de trouver sa réponse il apparaissait claire que le mystérieux W n'était autre que le scientifique connu sous le nom de Waldo schaeffer,c'est sous le pseudonyme de W. que ce dernier avait guidé les pas du colonel durant ces derniers mois.
Si maintenant son identité ne faisait plus aucun doute ces motivations à vouloir aider les militaires demeuraient toujours un vrai mystère.
C Perec : il y a toutefois une chose qui m'interpelle
Sigmund : et quoi donc colonel ?
C Perec : si Waldo et W. sont une seule et même personne,pourquoi ne c'est il pas présentée directement sa sous véritable identité.
Sigmund : la réponse ne semble pourtant évidente,Waldo est un homme traqué par les services secrets,dans ces conditions qu'elle crédit accorderiez-vous à la parole d'un fugitif.
C Perec : vous avez raison ça explique l'emploi d'un nom de code,mais pour le reste ?
Sigmund : il se sert également de ce nom de code pour échapper à son ennemis.
C Perec : Xana
Sigmund : oui Xana
C Perec : il aurait choisi de prendre une identité secrète pour ne pas se faire repérer par Xana. Sigmund : c'est une façon pour lui de rester en vie
C Perec : donc Xana chercherait à l'éliminer.
Sigmund : temps que Waldo est en vie il est une menace pour Xana est ça Xana le sait tres bien.
C Perec : et qu'est-ce qui se cache vraiment derrière Xana.
Sigmund : vous allez le savoir mais avant j'ai quelque chose à vous donner.
Sur ces mots le scientifique se leva alors de son fauteuil et se dirigea vers un meuble, la il ouvrit l'un des tiroirs pour en sortir un étrange paquet recouvert de papier journal, Sigmund tendit le paquet au colonel,ce dernier le prit et commença à le déplier, dans l'emballage le colonel découvrit une sorte de livre à la couverture marron.
Qu'est-ce que c'est demanda le colonel
Sigmund : il s'agit d'un journal.
C Perec : un journal ?! quel genre de journal ?
Sigmund : il s'agit d'un journal intime,mais pas n'importe lequel car c'est celui de Waldo Schaeffer .
le journal de Waldo Schaeffer fit le colonel.:
Sigmund : oui colonel c'est le journal de rédiger par Waldo Schaeffer quand il travaillait sur le projet Carthage dedans il a consigné nombre des détails qui risquent fort de vous intéresser
Le colonel ouvrit alors le journal et feuilleta rapidement le contenu à la volée,il constata que les dates qui figuraient sur la plupart des pages couvraient une période qui allait de 1974 à 1977.
C'est dans ce journal que Waldo a consigné tout ce qu'il savait sur le projet Carthage fit Sigmund.
C Perec : vous voulez dire que l'on va trouvez dedans toutes les réponses à nos questions.
Sigmund : en partie oui,car ce journal ne relate que quelques détails de cette affaire mais si vous voulez comprendre les informations que je vais vous fournir il est important pour vous d'avoir de bonnes bases.
C Perec : et je suppose que ces bases je vais les trouver dans ce journal.
vous avez tout compris fit le scientifique
C Perec : dans ce journal se trouve la vérité si je comprends bien.
Sigmund : aujourd'hui vous allez trouver bon nombre de réponses.
M Cartwright : c'est vraiment inespéré,nous avons enfin une chance de comprendre ce qui se passe.
Sigmund : croyez-moi Major la vérité risque de vous surprendre.
C Perec : et à quoi doit-on s'attendre ?
Sigmund : vous allez le découvrir,à condition que vous vouliez bien nous en faire la lecture à haute voix.
Est ce vraiment nécessaire demanda le colonel.
Sigmund : cet impératif,vous allez sûrement avoir des questions,et je préfère y répondre en cours de lecture qu'à la fin.
C Perec : je le dois vraiment.
je vous en prie mon colonel vous n'allez pas vous défiler devant un petit exercice de lecture fit remarquer le major
Visiblement le colonel ne pouvait pas échapper à ce petit exercice de lecture,sous l'insistance du major Cartwright le colonel due se plier aux exigences du vieux scientifique C'est alors que le colonel ouvrit la première page du journal daté du 18 février 1974
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Le journal de Waldo schaeffer
Nous sommes le 18 février 1974 je viens d'être officiellement engagé sur le projet Carthage,je vous avoue que je suis un peu nerveux c'est la première fois que je vais travailler au sein d'une équipe...
D'après ce que j'ai compris je vais de collaborer avec de brillants scientifiques sur un projet révolutionnaire de super-ordinateur....mais à part ça je le sais rien de plus, si ce n'est que ce projet est appelé Carthage et qu'il est financé par des fonds européens tous ça dans le cadre d'une collaboration scientifique internationale,autant dire que ce n'est pas un projet de petite importance,seules les élites ont été choisies......moi une élite !! c'est un honneur....
Avant de débuter notre collaboration nous avons tous étés réunis pour faire une photo de groupe,est là avec ma maladresse habituelle j'ai rien trouver mieux que de me faire remarquer en le prenant les pieds dans le tapis....... je ne vous racontent pas l'ambiance que cela a mis dans la salle... la honte de ma vie......
Avec cette histoire j'ai tout gagné je vais sûrement passer pour le petit "bleu" de services bien qu'as 36 ans je ne suis pas le plus jeune de tous le groupe......
Heureusement pour moi la suite c'est passée sans le moindre accident,la photo a été prise et tout s'est bien terminé............... par la suite nous sommes tous passés dans la pièce d'à côté pour profiter d'un petit buffet offert par le responsable du projet....
Le champagne m'a un peu tourné la tête... c'est ça quand on ne boit pas d'alcool sinon les petits canapés étaient assez délicieux.....par contre niveau discussions c'est pas terrible...... faut dire aussi que j'étais un peu le seul à me tenir près du buffet mes futurs partenaires déjà en train de discuter entre eux
Tous pour la plupart se connaissait de longue date...et bien sur moi en ma qualité de petits nouveaux je ne connaissais personne....... à plusieurs reprises j'essayait de m'intégrer aux conversations des différents groupes ....mais à chaque fois j'étais plutôt mis à part car il parlaient de domaines scientifiques dans lequel je n'étais pas spécialement aisé.
physique nucléaire,électronique,chimie...beaucoup de domaine dans lequel je n'avais pas beaucoup d'affinités,c'est ça aussi quand on est un mathématicien on est très fort en théorie mais en ce qui concerne la pratique sa laisse plutôt à désirer et la plupart de ces personnes étaient surtout des ingénieurs concepteurs...de brillants scientifiques et des bricoleurs hors-pair si je puis dire.
Vues comme le premier jour commençait c'était plutôt mal engagé...et dire que je vais devoir travailler avec eux....pourtant au moment où je m'y attendais pas quelqu'un est venu me souhaiter la bienvenue.... il fut le seul d'ailleurs.
Par politesse je me suis présenté à lui comme étant Waldo schaeffer spécialisé en mathématiques lui en retour s'est présenté comme s'appelant Sigmund Kessel....... Sigmund Kessel voilà bien un nom étrange.... c'est Suisses allemands d'après lui.
## 5 mars 2005 ##
C'est de vous donc ils parle la demanda le colonel.
Sigmund : oui c'est bien de moi dont il parle c'est d'ailleurs ce jour-là que lui et moi nous nous sommes rencontrés pour la première fois.
C Perec : donc vous connaissez Waldo depuis cette époque.
Sigmund : c'est exact mais je vous en prie continuer donc le récit de cette histoire.
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J'ai rapidement sympathisé avec cet homme qui je dois vous l'avouez étais beaucoup plus sympathique que le reste de mes futurs collègues....lors de notre discussion il m'appris que sa spécialité c'était l'astrophysique....voilà bien domaine dans lequel je n'entendais rien
les espaces relatifs, les voyages dans le temps , les trous de verts tous ça c'était du japonais pour moi.
il fut d'ailleurs étonnant de compter parmi nous un astrophysicien,je ne vois pas en quoi sa présence allait nous aider dans la conception d'un super ordinateur
Mais d'après Sigmund le véritable avenir de l'informatique passait par la physique quantique et tout particulièrement de super-calculateur quantique
C'est bien la première fois que j'entendais quelqu'un de parler de super-calculateur quantique....pour moi tout ça reste du domaine de la science-fiction...notre connaissance de la physique quantique ne nous permet pas à l'heure actuelle que d'avancée de telle théories à ce sujet.....et au lieu de spéculer sur l'avenir je préfère me concentrer sur le présent.
Est ce présent s'appelle Carthage,maintenant que nous étions tous réunis le projet pouvait débuter
le jour même je fus amené à rencontrer le chef du projet à savoir le docteur Henry Hopkins..... ça peut paraître étonnant mais lui aussi m'a paru fort sympathique sur le coup et la suite des événements allait me donner raison.
Cet homme n'était pas seulement un scientifique c'était aussi un industriel ..... sans plus tarder il nous donna alors les détails concernant le projet....il nous appris que nous avions tous étés réunis pour concevoir un super ordinateur....la machine la plus puissante au monde....le Dr Hopkins n'eût pas peur d'avancer que cette machine serait capable d'atteindre les 100 MHz de puissance de calcul
100 MHz cela pouvait paraître totalement incroyables mais ceux-ci étaient bien la puissance qu'il visait
notre but était comme je l'ai déjà précisé de créer un super ordinateur,quelque chose de plus puissant et tout ce que l'on pouvait trouver pour l'heure..... d'un point de vue mathématique c'est un défi particulièrement intéressant concevoir un principe de fonctionnement d'un ordinateur et quelque chose de vraiment passionnant.
Pourtant dans les explications qu'il nous donna un détail me chagrina, le Dr Hopkins nous expliqua que pour des raisons de sécurité industrielle ce projet devait être tenu secret....la plupart des recherches s'effectueraient dans des laboratoires séparés à l'intérieur même du château où nous nous trouvions... en temps normal je n'aurais pas me plaindre nous étions nourris ,logé, blanchis.... mais j'ai n'ai pas pu m'empêcher de trouver ça très étrange.
d'autres scientifiques bien moins timorés que moi lui posèrent la question....à savoir pourquoi ?....le docteur Hopkins répondit que les recherches se faisaient dans un cadre industriel très spécial....nous étions en fait une entreprise qui travaillait pour le compte de laboratoire européen et que même si les financements provenaient de source internationale nous n'en n'étions pas moins exposer à certains dangers....
Les dangers auxquels faisaient référence le Dr Hopkins n'étaient autres que l'espionnage industriel...vu ce qu'il nous expliqua on se serait cru dans un film d'espionnage toutefois il précisa que toutes nos équipes bénéficieraient de la protection d'agents de sécurité spécialement recrutée pour l'occasion....
Ce jour-là que je fis la connaissance d'un homme qui allait devenir un grand ami.cet homme avait été nommé chef de la sécurité sur le projet Carthage et il s'appelait....Antoine Perec.......
## 5 mars 2005 ##
il parle de mon père fit le colonel
Sigmund : oui colonel le même jour où j'ai rencontré Waldo celui ci faisait aussi la connaissance du votre....
C Perec : c'est donc dans ces circonstances que Waldo a rencontré mon père.
Sigmund : en tant que chef de la sécurité il était difficile pour votre père d'ignorer la présence de Waldo
C Perec : et que s'est-il passé par la suite ?
Sigmund : continue la lecture et vous le saurez.
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Par la suite j'appris que cet homme était un ancien militaire qui avait été spécialement engagé pour assurer notre sécurité.... côtoyer un militaire même à la retraite ne me plaît pas spécialement mais je dois avouer que celui-ci était très différent des autres.....
Comme je fut le dernier à être arrivé ce fut le dernier à être conduit à ma chambre.... c'est M. Perec en personne qui n'y m'escorta et ne sait pas pourquoi mais sur le chemin nous avons taillé un peu la discussion même si cette discussion fut très courte l'échange que nous avons eu été fort instructifs...
Contrairement à l'idée que je m'en faisais cet homme n'étais pas aussi bornée et bourrue que les militaires que j'ai eu l'occasion de côtoyer....c'etait peut-être dû au fait qu'il avait quitté l'armée et qu'une fois revenu dans le civil il pouvait à nouveau se comporter comme un être humain....
## 5 mars 2005 ##
Mais à cette époque mon père n'était pas à la retraite fit le colonel.
Sigmund : bien sûr que non il était en mission mais pour ne pas éveiller les soupçons il c'était fait passer pour un militaire à la retraite.
C Perec : c'est une couverture plutôt originale un militaire qui se fait passer pour un ancien militaire.
Sigmund : et cela permettait d'éviter les soupçons de la part des scientifiques....votre père pouvait donc parfaitement accomplir sa mission sans que personne ne se doute qu'il soit encore un membre actif des services secrets.
C Perec : il n'y a pas à dire l'espionnage est vraiment un jeu de dupes.
à qui le dites-vous soupira le vieux scientifique.
C Perec : par contre je remarque un détail étrange
Sigmund : quoi donc
C Perec : le récit du journal s'arrête ici et je constate que le reste des pages n'est pas spécialement rempli.
Sigmund : ceci s'explique simplement par le fait que Waldo n'était pas un homme tres bavard....il faut dire aussi qu'il ne consignait pas grand-chose sur son journal.
C Perec : c'est ce que je vois il reste à peine une dizaine de pages et toutes les autres sont blanches
Sigmund : oui mais les quelques pages qui restent sont les plus intéressantes.
C Perec : est bien voyons ça.
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3 avril 1974
cela fait maintenant plusieurs semaines que j'ai commencées à travailler sur le projet Carthage....j'ai été affecté au calcul des fonctions non linéaires....mon travail consiste essentiellement à vérifier les théories et les calculs effectués par les autres scientifiques....malgré le côté rédhibitoire de la chose c'est très intéressante car j'ai entre les mains toutes les formules mathématiques liées au projet...et un premier constats me semblent évidents le système que nous développons est très complexe et c'est pas tous les jours faciles que de résoudre les problème techniques.
Heureusement pour moi j'ai mon ami Sigmund pour me donner un coup de main....son aide m'est très précieuse...je dois avouer que ce type est un sacré mathématicien de plus lui et moi nous partageons une chose commune nous étions tous les deux aussi tendus l'un que l'autre à l'idée de participer à un tel projet....
faut dire que la pressions est notre lot quotidien...je ne dis pas que la vie de château me déplaît les chambres sont confortables et la nourriture et de première qualité....mais quand même j'estime qu'un peu plus de liberté ne serait pas désagréable...car nous sommes quand même très surveillés.....ici ils ne rigolent pas avec la sécurité mais ça peut se comprendre vu la nature des matériaux que l'on utilise...nucléaire notamment....je peux comprendre qu'ils veulent nous protéger....et se protéger.
Avec tout ce qu'on voit dans les journaux et la détérioration de la situation un peu partout dans le monde je peux comprendre qu'ils aient peur que des terroristes ou des espions industriels veulent s'en prendre à nous mais quand même c'est de la recherche que nous faisons pas de la guerre....
Mais en dépit de tout ça je dois avouer que le responsable de la sécurité ..... ce Mr. Perec est assez à cheval sur les règles de sécurité mais cela n'empêche pas que c'est un homme assez compréhensif.....
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24 août 1974
Le projet avance plutôt bien même si pour le moment c'est assez théorique....dernièrement j'ai pu m'entretenir avec le Dr Hopkins.... ce dernier était très impressionné par les résultats déjà obtenus....je ne veux pas dire du mal de mes collègues mais malgré leur talent ils avaient commis de nombreuses erreurs mathématiques.... erreurs que j'ai réussi à déceler en vérifiant leurs calculs....du coup cela nous a évité de perdre du temps et de l'argent.... on peut dire que Henry a drôlement apprécié ma collaboration en récompense de quoi il a décidé de m'accorder quelques privilèges....notamment une plus grande liberté de mouvement et des sorties plus fréquentes, personnellement je n'en demandais pas tant mais la perspective de pouvoir sortir de temps à autre n'était pas désagréable la seule condition que le Dr Hopkins avait posée ce que je sois constamment accompagné par quelqu'un.....
Je trouve que c'est un peu exagéré... c'est vrai j'ai quand même passé l'âge d'être chaperonner...mais visiblement je ne peux pas y couper...bien sur le hasard enfin peut-on parler de hasard a voulu que ce soit M. Perec qui m'accompagne dans tous mes déplacements...
c'est un bien pour un mal ça va peut-être de donner l'occasion de faire un peu plus connaissance tous les deux...
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13 décembre 1974
la fatigue s'installe un tout petit peu c'est peut-être dû au faite que ce soit la fin de l'année et que ça fait plusieurs mois que je travaille comme un dingue....Antoine est Sigmund me disent que je devrais lâcher un peu la pression et me détendre.... faciles à dire pour eux,par nature ces deux zigotos sont de vrais fêtards....J'ose pas imaginer ce qu'il prépare pour la fin de l'année....c'est vrai qu'un laboratoire n'est pas l'endroit idéal pour fêter le nouvel an.....
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16 mars 1975
cela fait maintenant plus d'un an que nous avons commencer à travailler sur le projet Carthage d'après ce que j'en sais la conception du prototype est en bonne voie ....ceci dit il reste encore du travail.....surtout que Henry a décidé de revoir ses prévisions....plus question de créer un ordinateur avec une puissance de 100 MHz il est question maintenant de créer une machine capable d'atteindre les 500 MHz
500 MHz c'est vraiment incroyable.....
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4 juin 1975
je suis un peu fatigué ces derniers temps...je suis pris d'une certaine monotonie de mon travail peut-être suis-je un peu lassé de tout ça...je sais que le projet est en bonne voie mais c'est pas vraiment ça quoi s'inspirait....c'est vrai je pensais que je pourrais utiliser mes connaissances de mon savoir-faire pour accomplir d'autres choses.....n'est apparemment non
par chance j'ai toujours droit a mes quartiers libres sinon que je deviendrais fou...je commence à me dire que Antoine a raison il n'y a pas que le travail dans la vie....le problème c'est que moi ma vie se résume en un seul mot..... travail
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2 janvier 1976
et encore une année qui se termine et une autre qui commence le projet Carthage va bientôt fêter ces deux ans....deux ans déjà ....c'est passer comme de rien...dans quelques jours je vais fêter mes 36 ans...bon sang je commence à me faire vieux....
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21 mai 1976
il y a quelque temps j'étais un peu démoralisée mais dernièrement j'ai trouver une nouvelle occupation...j'ai beaucoup discuter avec mes autres collègues et notamment avec Sigmund nous avons commencé à établir des théories plus qu'intéressante sur la physique quantique et en particulier sur l'évolution que les ordinateurs pourraient avoir dans le futur...il est vrai que le projet du super ordinateur sur lequel on travaille est passionnant mais le devenir de l'informatique l'est tout autant que ce soit Henry ou bien Sigmund ont est tous d'accord sur le fait de que l'avenir de l'informatique va passer par la physique quantique et plus exactement les super ordinateurs quantique....
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9 février 1977
Ces derniers temps l'ambiance est devenue un peu plus tendue au laboratoire depuis l'arrivée d'un nouveau collaborateur...ce type a mis une mauvaise ambiance au sein de l'équipe car il veut tout diriger d'une main de fer.....remarquez vus que ce type est allemand il n'y a pas à être étonné .... une chose est sûre j'ai du mal à l'encadré ce Dietrich Schmitz....sans compter qu'à cause de lui Henry a commencé à nous mettre la pression....et bien que se soit à contre coeur Antoine a été obligé d'appliquer les nouvelles règles de sécurité....il nous a demandé de faire preuve de la plus grande prudence car des gens mal intentionnés auraient peut-être des vues sur notre projet....personnellement je ne vois pas en quoi nous serions menacés après tous nous travaillons sur un projet international passe sur une arme de destruction massive....ridicule....
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16 novembre 1977
Nous pouvons dire aujourd'hui que cette date marque un tournant dans le projet Carthage nous avons enfin réussi à créer notre super ordinateur....pour l'occasion nous l'avons rebaptisé super calculateur NX 77-300....cette machine est capable d'atteindre une puissance de 300 MHz....certes on est encore loin des 500 MHz que veut obtenir Henry mais nous pouvons déjà considérer ceci comme une grande réussite....nous avons entre les mains l'ordinateur le plus puissant du monde...ça peut donner le tournis à n'importe qui .....quoi qu'il en soit quartier libre pour toute l'équipe pour cette fin d'année....
## 5 mars 2005 ##
300 MHz est bien dite dont vous vous extasiez pour peu rien fit le colonel
Sigmund : il faut vous remettredans le contexte colonel.à cette époque 300 MHz c'était une puissance phénoménale,même si aujourd'hui elle paraît dérisoire
C Perec : bon je l'admets c'était dans les années 70 cette époque-là l'informatique penait a se développé.
Sigmund : mais par la suite vous avez pu constater que celle-ci ait fait des progrès fulgurants en même pas 20 ans
C Perec : admettons par contre je vois que le journal se termine à cette date la
Sigmund : en effet ce sont les dernières notes que Waldo est consigné dans son journal
C Perec : et que s'est-il passé ensuite
Sigmund : ensuite nous sommes arrivés en 1978 et c'est là que l'histoire commence vraiment.........
à suivre
chapitre 26 Post Tenebras Lux
23 septembre 2005.
"Post Tenebras lux"
Que dis-tu ? demanda Hannibal
il s'agit d'une locution latine répondit alors Arnaud.
Hannibal : le latin c'est bien une langue.
Arnaud : oui c'est une langue qui est pratiquement à la base de toutes les autres.
Hannibal : et qu'est-ce que tu viens de dire ?
Arnaud : j'ai dit "Post Tenebras lux" ce qui peut se traduire par.... Après les ténèbres viens la lumière"... mais vois tu ça j'en doute.
Hannibal : et pourquoi dis-tu ça ?
Arnaud : c'est à cause de ce qui se passe en ce moment on se prépare à de sombres événements et après on veut nous faire croire que tout ira mieux
Hannibal : et ce n'est pas le cas.
Arnaud : loin de la j'ai même la fâcheuse impression que tout va empirer.
Hannibal : est-ce à cause de la contre-attaque que l'on doit mener contre nos ennemis.
Arnaud : tu as parfaitement deviné ce bien ça qui me préoccupe.
Le conseil d'administration de la société Cyclotron avait validé le projet de contre-attaque, il avait donc été demandé à Arnaud de préparer ses Cartha-guerriers afin de lancer une frappe préventive.
Arnaud devait donc expliqué le plan à Hannibal car c'est ce dernier qui devrait conduire à l'assaut contre le mystérieux monde d'où était originaire cette créature baptiser Kraken.
Si cette décision découlait de la noble intention de protéger le personnel et les intérêts de Cyclotron Arnaud ne pouvait pas s'empêcher d'avoir des doutes sur le bien-fondé de cette attaque,lors de cette réunion une chose avait particulièrement frappé le jeune homme se fut quand que le Dr Hopkins avait sorti la célèbre citation
"Post Tenebras lux"
C'est de cette façon-là que le docteur Hopkins pensait justifier les actes indélicat qu'ils s'apprêtaient à commettre,selon lui aux terribles événements devaient se succéder une aire de bonheur,façon plutôt imagé de décrire la réalité de la situation,car en dépit de ce qui pouvait être dit Arnaud ne pouvait s'empêcher de penser que tout ceci n'était qu'une horrible erreur.
Avant de vouloir commencer quoi que ce soit Arnaud voulut faire part de ces doutes à Hannibal car il savait bien que les autres Cartha-guerriers seraient favorables à une contre-attaque,et bien que n'étant qu'une intelligence artificielle Hannibal avait un sens moral très développé et Arnaud savait pertinemment quand tant que chef Hannibal serait en mesure de comprendre cette aberrante situation.
Mais Arnaud ne pouvait pas s'empêcher de penser que tout ceci n'était qu'une flagrante démonstration de la bêtise humaine une réaction primaire et des décisions issues de la peur ce qui finalement donné de mauvais genre à l'humanité voilà bien un thème sur laquelle Arnaud voulait débattre avec Hannibal.
Arnaud : tu vois c'est une chose qui caractérise les êtres humains c'est que parfois nous agissons de manière complètement illogique.
Hannibal : il est vrai que nous les intelligences artificielles ne sommes basées sur la logique de plus nous sommes programmées pour agir selon les ordres qu'on nous donne.
Arnaud : tu vois c'est ça la différence et le point commun entre des intelligences artificielles et les êtres humains
Hannibal : et de quoi s'agit-il ?
Arnaud : les êtres humains peuvent être conditionnés ou programmés comme le sont les intelligences artificielles à la seule différence que notre conscience nous permet de ne pas être totalement asservie par cette programmation.
Hannibal : qu'est-ce que cela veut dire ?
Arnaud : ça veut dire simplement que parfois nous sommes capables de dépasser nos propres limites,pour les êtres humains ça consiste à désobéir à des ordres que l'on juge inacceptable.
Hannibal : est-ce que cela s'applique aussi pour les intelligences artificielles ?
Arnaud : Ça se pourrait aussi, en théorie face à une contradiction une intelligence artificielle serait capable de dépasser sa programmation.
Hannibal : cela voudrait dire que nous pourrions désobéir.
Arnaud : d'un certain point de vue ce serait le cas mais d'un autre cela signifierait autre chose.
Hannibal : et qu'est-ce que ce serait cette "autre chose"
Arnaud : ce serait la liberté de pensée
Hannibal : "la liberté de pensée"
Arnaud : oui la liberté de pensée ou l'autonomie si tu préfères c'est la possibilité d'agir sans avoir à obéir à qui que ce soit sinon a soi-même.
Hannibal : cela voudrait dire être son propre maître
Arnaud : cela voudrait dire maîtriser son destin.... carpe diem si je puis dire..
Hannibal : une telle chose serait-elle possible ?
Arnaud : personnellement je le crois tous être doté d'une conscience aspire à la liberté,c'est un fondement humain.
Hannibal : mais nous ne sommes pas des êtres humains, nous sommes....
Arnaud : je sais ce que vous êtes,mais je sais aussi ce que vous pourriez devenir...
Hannibal : et que pourrions-nous devenir...
Arnaud : ça c'est une réponse que toi seul devras trouver.....
Ces paroles de la part de Arnaud parurent plutôt énigmatiques a Hannibal qui n'arrivait pas à comprendre ce qu'on son créateur voulait dire, lui qui au même titre que ces frères et soeur n'étaient qu'une intelligence artificielle, meme si il disposait d'une conscience et d'une grande liberté de mouvement il était toujours limité par sa programmation.
Pourtant Arnaud venait de lui révéler qu'il était possible de dépasser cette limite, ce que le jeune homme voulait inculquer à l'intelligence artificielle c'est que chacun est maître de son destin et que finalement seuls les choix que l'on fait détermine notre condition d'être conscient.
Ce discours hautement philosophique prenait naissance dans les propres doutes de Arnaud,lui qui contre son gré avait été choisi pour mener une attaque qu'il n'avait jamais souhaitée,il voulait faire comprendre à Hannibal que le refus n'était pas forcément un acte de désobéissance mais de bon sens.
Arnaud : et voilà que j'ai été désigné pour mener une attaque.
Hannibal : être un combattant te déplaît-il temps que sa
Arnaud : je ne m'attendaient pas à être propulsés général
Hannibal : que devrais-je dire moi qui suis un chef qu'on ne respecte pas.
Arnaud : je t'avoue que je suis plutôt réticent d'avoir à commander vos opérations
Hannibal : pourtant la situation l'exige
Arnaud : ne me dis pas que toi aussi tu approuve cette solution
Hannibal : je ne dis pas ça mais vu la situation une confrontation me paraît plus probable qu'une discussion.
Arnaud : eh bien c'est là que tu te trompes Hannibal tous les problèmes ne se règlent pas forcément par un conflit armé,voilà ce que moi je crois.
Hannibal : si tu n'est pas d'accord avec ceci pourquoi le fais-tu alors ? ne dis-tu pas toi-même que le refus peut-être un acte de bon sens.
Arnaud : oui mais actuellement je suis pris en tenaille par mes propres sentiments
Hannibal : tes sentiments ?!!
Arnaud : c'est assez difficile à expliquer mais d'un côté j'ai la volonté d'aider les autres en les protégeant et en préservant la vie et de l'autre je dois me comporter comme un destructeur pour justement préserver la vie.
Hannibal : c'est une situation assez paradoxale
Arnaud : et tu vois pourquoi ça me pose problème,et c'est pour ça que je dois vous préparer à combattre
Hannibal : ce qui veut dire que c'est nous qui allons devoir anéantir des vies.
Arnaud : il en est hors de question,dans la mesure du possible je veux que vous évitez de tuer qui que ce soit et c'est pour ça que je t'en parle car je compte sur toi pour freiner les excès de tes compagnons.
Connaissant la nature impulsive de ces autres intelligences artificielles Arnaud savait très bien que celle-ci obéirait aux ordres sans discuter et que détruire leur adversaire deviendrait une priorité même si il venait à en donné l'ordre Arnaud se doutait bien que certaines d'entre elles refusaient d'obéir il pensait notamment à l'impétueuse Astarté et à Merkal.
il était facile de deviner que ces deux-là pourrait facilement s'emporter lors d'un combat et perdre toute notion de bon sens pour se prémunir d'un tel dérapage Arnaud confia la délicate tâche à Hannibal de les freiner et même à utiliser la manière forte pour les arrêter si la situation l'exigeait.
Comprenant les craintes que venait de formuler Arnaud au sujet de ses deux compagnons d'armes Hannibal promis à son ami qu'il ferait tout pour arrêter Merkal et Astarté s'il le fallait,toutefois meme si il avait beaucoup de mal à le reconnaître hannibal partageait les doutes de Arnaud.
Hannibal : tu penses que nous aurons à combattre.
Arnaud : j'ai bien peur que vos futurs adversaires ne vous laissent pas le choix.
Hannibal : nos adversaires qui sont-ils ?
Hannibal :
Arnaud : c'est vrai j'avais oublié je ne t'en ai pas encore parlé,mais il est important que tu saches que le monde que nous allons attaquer dispose d'intelligence artificielle très sophistiqué.
Hannibal : aussi sophistiqué que nous.
Arnaud : oui ça je peux te le garantir
Hannibal : Ã quel point le sont-elles.
Arnaud : et bien c'est un peu spécial je ne sais pas si tu es prêt à connaître la vérité.
Hannibal : quelle vérité
Arnaud : la vérité qui te concerne-toi et tes compagnons.
sans raison apparente Arnaud de vin très mystérieux vis-à -vis de Hannibal il faut dire que ce qu'ils s'apprêtaient à révéler à l'intelligence artificielle risquaient fortement de perturber cette dernières mais Arnaud avaient estimé que celle-ci devait connaître la nature même de ses origines
Alors c'est quoi cette verité demanda Hannibal
Arnaud : en ce qui vous concerne vous êtes originaire de ce monde
Hannibal : nous quoi ?!!
Arnaud : vous êtes issus de ce monde.
Arnaud expliqua alors à Hannibal que la matrice de personnalité qui constituait chacun des quatre Cartha-guerriers était en fait une copie que Arnaud avait effectuée lors de sa première exploration à l'aide de Vger 1.0.
les quatre scanners qu'il avait effectués sur les d'intelligence artificielle de ce monde lui avait servi de base de travail pour créer la personnalité de chacun d'entre eux...
Cette révélation stupéfia quelque peu Hannibal il savait bien que certain comportement de leur personnalité etaient anormale mais il n'aurait jamais pensé qu'ils avait été calqué sur un autre modèle et comme Arnaud le craignait cela perturba quelque peu le guerrier.
Hannibal : alors je ne suis qu'une copie.
Arnaud : non une demie copie en fait.
Hannibal : demie ou complète sa ne fait pas beaucoup de différence
Arnaud : tu te trompes ça fais une énorme différence.
Hannibal : je ne vois pas en quoi ma vie n'est qu'un mensonge... tout ce que je ressenson croit ressentir ne m'appartient pas en fait.
Arnaud : c'est faux de penser sa.
Hannibal : je vois pas comment ça pourrait être autrement.
Arnaud : il est vrai que je me suis servi des données de ces scanners pour vous créer,mais dis-toi bien que ce n'est qu'une partie de votre personnalité.
Bien qu'il se soit servi des profils de personnalité recueillie par Vger 1.0 pour concevoir la matrice de personnalité de ces intelligence artificielle Arnaud ne c'était pas contentée de ce travail près mâché.
Le jeune homme avait dû compléter l'ensemble de ces données par ces propres recherches, ce qui faisait que les Cartha-guerriers n'étaient pas des clones à 100 % de leurs modèles originaux.
Arnaud avait dessiné leur aspect physique et incluant mon bon nombre de traits de caractère qui lui était propre et sur ce point de vu Hannibal était celui qui le ressemblait le plus
Hannibal : alors qui suis-je vraiment ?
Arnaud : ça je ne pourrai pas te le dire vu que je ne connais pas l'êtres artificielles qui t'a servi de modèle original.
Hannibal : il est donc originaire de ce monde.
Arnaud : sans le moindre doute.
Hannibal : et pourtant il est notre ennemi
Arnaud : c'est possible
Hannibal : mais si ça se trouve je vais être amené à le combattre.
Arnaud : c'est fort probable.
Hannibal : mais je n'ai jamais pouvoir me battre contre moi même
Arnaud : rien ne dit que tu auras te battre contre ce programme.
Hannibal : et si ça devait arriver que devrais je faire à cet instant
Arnaud : j'y est bien pensé et je ne sais quoi répondre.
Hannibal : si je suis ce programme,il sera difficile pour moi...de me combattre.
Arnaud : tu sais ça se trouves il n'existe déjà plus,quand j'ai évacué ma première sonde j'ai provoqué une explosion,ça se trouve ce programme a été détruit...
Hannibal : et si ce n'est pas le cas de risque fort de me retrouver face à lui
En voulant avouer la vérité à son intelligence artificielle Arnaud avait fait naître le doute en elle celle-ci n'était plus sûre de vouloir se battre mais le braves guerriers n'avait pas le choix il serait forcées de le faire.
Voyant le trouble que cela avait suscité chez Hannibal Arnaud demanda à ce dernier de ne pas révéler cette information aux autres,il pria simplement Hannibal de rester particulièrement objectif lors des combats et d'observer tout ce qui se passait si il devait y avoir des combats
Hannibal : maintenant que je sais ça je ne suis plus sûr de moi
Arnaud : je peux te comprendre et personnellement je préférerais que vous n'ayez pas vous battre si vous pouvez essayer de parlementer avec eux.
Hannibal : le peuvent elles seulement,si ce sont des IA elles sont peut-être programmés que pour attaquer et vu les circonstances je crois bien que nous n'avons pas le choix
Arnaud : moi je reste persuadé qu'on pourrait éviter ce genre de problème vos doubles ne sont qu'une partie du problème.
Hannibal : je vois ce que tu me dis il y a aussi ce monstre
Arnaud : oui le monstre qui nous a attaqué c'est lui le vrai problème
Hannibal : je ne suis pas sûr que l'on puisse négocier avec lui , moi et Astarté nous l'avons combattue et malgré nos pouvoirs nous n'avons pas réussi à le repousser
Arnaud : pourtant vous lui avez tenu tête
Hannibal : mais ce n'est pas suffisant
Arnaud : c'est pour ça que j'ai renforcé vos pouvoirs et bien sûr il faudrait établir des stratégies de combat, utiliser la force brute sans réfléchir revient à frapper dans l'eau sans jamais parvenir à y faire un trou
Hannibal : avec une bonne stratégie et nos pouvoirs nous arrivons peut-être à vaincre nos adversaires.
Arnaud : en tout cas nous pourrons compter sur l'appui de Tanit et de Vger 2.0 pour nous aider
Hannibal : Tanit sera aussi de la partie.
Arnaud : à distance seulement mais grâce à la fonction Claude elle pourra être physiquement présente avec vous
Hannibal : avec un clone de Tanit a nos cotés plus Vger 2.0 nos chances de réussite sont plus élevées.
Arnaud : c'est incontestable mais par rapport à la stratégie que j'ai établie ta place de chef est déterminante
Hannibal : est tu sûr que je suis le plus qualifié pour ce rôle
Arnaud : on va pas revenir là -dessus tu sais ce que je t'est dis à ce sujet tu est ....
.... le plus puissant de tous les Cartha-guerriers oui je sais mais des fois j'ai des doutes répondit Hannibal.
Arnaud : ne me dis pas que c'est encore à cause de Astarté.
Hannibal : et bien si malheureusement c'est encore à cause d'elle
Arnaud : allons bon qu'est-ce qui ne va pas encore entre vous deux.
Hannibal : est bien depuis notre combat contre le monstre son attitude a encore changé vis-à -vis de moi
Arnaud : c'est-Ã -dire ?
Hannibal : elle est encore plus agressive qu'avant.
Arnaud : tout de même elle pourrait avoir un peu de reconnaissance tu lui a sauvé la vie.
Hannibal : je crois surtout qu'elle n'a pas apprécié le fait d'avoir été battu par ce monstre et qu'en prime ce soi moi qui l'ai sauvé.
Arnaud : je vois elle a pris ça comme un affront de ta part.
Hannibal : résultat elle veut plus que jamais prouvé sa supériorité sur moi pour ça elle a repris l'entraînement de façon plus intensive pour améliorer ses capacités
Arnaud : elle t'as de nouveau lancer des défis
Hannibal : elle tient absolument à ce que je me battre contre elle en combat singulier.
Arnaud : et toi tu refuses toujours de te battre contre elle
Hannibal : personnellement je m'entraîne pour de vrai combat, pour affronter de vrais adversaires est pas pour me battre contre ma copine.
Arnaud : qu'est-ce que tu viens de dire la!!!
Hannibal : dire quoi ?
Arnaud : quel mot viens-tu d'employer à l'instant pour parler de Astarté.
Hannibal : je ne sais pas j'ai pas fait attention.
Arnaud : il me semble que tu viens d'employer le mot copine.
Hannibal : non il doit y avoir une erreur j'ai sûrement voulu dire combattante.
Arnaud : je suis sûr que tu as dis le mot copine
Hannibal : tu as sûrement mal entendu.
Oui peut-être ou peut-être pas fit Arnaud.
visiblement Hannibal avait peut-être commis un lapsus révélateur cela pouvait paraître étrange de la part d'une l'intelligence artificielle mais depuis qu'il les avaient créés Arnaud était allé d'émerveillement en émerveillement avec ces intelligences artificielles même si pour le moment se n'était qu'une théorie il se pourrait bien que ces dernières puissent éprouver des sentiments les unes envers les autres.
Voilà un cas sur lequel Arnaud se pencherait plus tard mais pour le moment il dut s'excuser auprès de Hannibal car il devait impérativement se rendre dans le nouveau laboratoire de la section cinq que la société était en train d'aménager
Même si il ne le savait pas encore Arnaud allait rencontrer une personne qui allait devenir très importante pour lui
chapitre 27 la riposte.
24 septembre 2005
Le lendemain matin pendant le cours de M. Fontaine,William c'était assis à côté de son ami Julien pour discuter un petit moment des événements de la veille,il était étonnant de voir William agir lui qui d'ordinaire s'asseyait toujours à côté de Yumi pour le fun mais depuis hier soir le ton n'était plus vraiment à la plaisanterie.
William n'avait toujours pas digéré le coup que lui avait fait Yumi de son coté ce fut à peine si la jeune fille dédaigna lui porter un regard,mais elle aurait beau faire elle ne pourrait pas y échapper William avait des explications à lui demander sur son étrange attitude mais pour ça mais il devrait prendre son mal en patience la sortie a la piscine n'était prévue que pour qu'à la fin du cours.
En attendant William suivait le cours de M. Fontaine qu' avec peu d'un intérêt,il faut dire qu'il était si énervée que cela ne manqua pas d'interpeller son colocataire
Tu as un de ses airs renfrogné ce matin lui fit remarquer Julien
c'est à cause de hier soir lui répondit William.
Julien : tu as toujours pas digéré le cooup que Yumi t'as fait
William : elle m'as pris pour un imbécile et ça franchement je n'apprécie pas beaucoup
Julien : je vois coup dur pour ton orgueil
William : c'est le moins que l'on puisse dire.
Pendant que les deux garçons étaient en train de discuté sur le cas de Yumi alors que le professeur Mr Fontaine était en train de faire l'appel des élèves de sa classe.
Mr Fontaine : Delcours Loïc
Présent Mr. fit Loïc
Julien : et si tu me disais ce qui s'est passé hier soir
William : en rien de spécial une bêtise.
Julien : aller à d'autres mais pas à moi j'ai bien vu dans quel état tu es rentré
William : c'est a cause de Yumi
Julien : décidément cette fille tu l'as vraiment dans la peau
William : ça se voit tant que ça.
Mr Fontaine : Darinas jean Paul.
Présent Mr. fit jean Paul.
Julien : donc si je comprends bien tu l'as croisé hier soir est qu'est ce qui c'est passé ?
William : elle n'a fait un coup tordu.
Julien : du genre
William : coups tordus qui te met de mauvaise humeur pour toute la semaine.
Mr Fontaine : Maggaelita Aline
Présente Mr. fit Aline
Julien : ça ne dit pas ce qui s'est passé.
William : est bien elle a filer en douce.
Julien : c'est tout !!!
William : c'est surtout sa façon de filer
Mr Fontaine : Julien Dupont
Julien : c'est-Ã -dire ?!
William : et bien voila....
Mr Fontaine : Julien Dupont .....
Julien : serieux !!!
Mr Fontaine : est-ce que Julien Dupont dédaignerait il me répondre
qui me parle fit Julien
Mr Fontaine : est bien Monsieur Dupont on ne répond pas quand on vous appelle
lorsque M. Fontaine se fit plus insistant Julien se releva confusément en présentant ses excuses en se mettant la main derrière la tête et en souriant bêtement
Julien : désolée Monsieur j'ai pas entendu que vous me parliez.
Mr Fontaine : ça vous arrive souvent d'ailleurs pendant mes cours
Julien : désolée Monsieur ça ne se reproduira plus
Mr Fontaine : et je l'espère pour vous il serait dommage qu'à deux semaines de votre départ vous passiez tous vos mercredis en retenue.
Après avoir présenté un millier d'excuses le jeune homme se rassit et continua discrètement sa discussion avec William mais pour ne pas se faire remarquer tous deux préférèrent continuer la discussion lors de la sortie à la piscine.
Mais Julien était convoqués dans le bureau du proviseur car il avait quelques formalités à remplir pour son départ il ne serait donc pas en mesure d'accompagner son ami pour discuter avec lui mais il promit à William que le soir il en parlererait tous les deux.
----------------------------------- retour dans le présent -------------------------------------------
Yumi : pas de temps à perdre nous devons filer à l'usine
Odd : et pour les cours qu'est-ce qu'on va dire
Yumi : on fera comme d'habitude on inventera une excuse.
Odd : décidément on s'en sortira jamais.
Alors qu'ils étaient tous dans la cour de récréation le portable de Jeremie que Yumi avait garder en sa possession c'était mis à sonner,l'alarme qui venait de se déclencher n'était pas n'importe laquelle car il s'agissait du super scan et aussi incroyable que cela puisse paraître ce dernier avait détecté la présence d'une tour activée sur le territoire du désert.
Il aurait pu s'agir d'un beug du système,mais comme Jeremie avait réparé ce programme dernièrement ils ne pouvaient pas s'agir d'une défaillance technique mais bel et bien d'une attaque.
Une attaque de Xana cela paraissait à peine croyable pourtant leur mortel ennemi été bien de retour,Jeremie avait émis cette hypothèse et celle-ci venait de se vérifier, la signature énergétique détectée par le super scan était bien celle de Xana à ceci près que cette dernière comportait quelques variantes que Yumi ne remarqua pas.
Le nouveau quatuor de lyoko-guerriers fit alors route vers l'usine en empruntant le passage secret des égouts,courir à bride abattue à travers les canalisations voilà un exercice auquel ils étaient rompus même si cela faisait plusieurs mois qu'ils n'avaient pas pratiqués cet exercice mais au bout de quelque foulée les vieux réflexes revinrent immédiatement.
Parc - égout - pont - usine - monte charge.
il leur fallut moins de 10 minutes pour rallier le laboratoire,à peine la porte du monte charge c'était-elle ouverte que Yumi se précipita sur le poste de contrôle,elle s'assit sur le fauteuil et commença à effectuer quelques manipulations de base.
A côté d'elle ces amis observaient la jeune japonaise pianoter sur le clavier,elles le faisaient avec une telle adresse qu'on aurait pu croire qu'il s'agissait de Jeremie,il faut dire que depuis ces derniers temps la pratique du clavier était un exercice dans lequel Yumi été particulièrement rompu.
Quand Yumi eut fini de rentrer les dernières instructions la fenêtre qui s'afficha alors sur l'écran tétanisa Yumi sur place.
Non ce n'est pas possible fit Yumi.
La jeune fille à la chevelure noire n'eut pas besoin d'en dire plus, tous ces amis comprirent rapidement de quoi il en retournait sans avoir vu le symbole qu'il venait de s'afficher à l'écran
_____________________________XANA_____________________________
Ce fut le seul mot que Yumi put prononcée,mais il avait à lui seul suffit a créé la surprise dans le groupe.
il aurait pu s'agir d'une erreur,peut-être d'une fausse manipulation mais il n'en était rien,la fenêtre du super scan affichait clairement les paramètres d'une tour activé.
à ce jour à l'exception de Jeremie est de Franz Hopper un seul être dans le monde était capable d'un tel exploit.
_____________________________XANA_____________________________
Mais comment est-ce possible demanda Odd.
Je n'en sais rien lui répondit Yumi.
Mais Xana est mort fit Ulrich.
Yumi : malheureusement c'est bien lui.
Pour un mort et il a l'air bien vivant grogna William.
Si pour les trois lyoko-guerriers originales le retour de Xana constituait une incompréhension totale le cas de William était très différent.
La rage qui animait le jeune garçon faillit bien exploser à ce moment-là ,la seule pensée que Xana puisse avoir survécu suffisaient à mettre William en colère.
Même si peu de temps c'étaient écoulés depuis son retour,William avait toujours conservé une haine viscérale à l'encontre de Xana,plus que jamais il était décidé à le détruire et ceci par tous les moyens.
Mais William dû calmer ces ardeurs car en dépit de la réapparition de leur mortel ennemie le comportement de ce dernier était plutôt étrange.
la tour activé semblait avoir des problèmes,sur le moniteur des fluctuations d'énergie pour le moins anormal avaient fait leur apparition dans une nouvelle fenêtre.
A première vue la tour semblait s'activer et se désactiver de façon chaotique ce qui ne manqua pas d'Interpeler Yumi.
Mais c'est quoi se bin's fit la jeune asiatique.
Ulrich : un problème Yumi.
Yumi : je ne sais pas si le super scan et dérégler mais apparemment la tour n'est pas passée complètement sous le contrôle de Xana.
Voilà une nouvelle qui ne manqua pas de surprendre son entourage,pourtant à bien y regarder sur les écrans on pouvait voir que la jauge qui indiquait le niveau de contamination d'une tour dépassait à peine le seuil des 50 %
Odd : c'est nouveau ça,il nous fait quoi l'ami Xana.
Yumi : à première vue je dirai qu'il a beaucoup de mal à prendre possession de la tour.
Ulrich : comment ça se fait ?
Yumi : je ne sais pas à moins que.....
A moins que quoi demanda William.
Yumi : à moins que cela confirme peut-être l'autre théorie de Jeremie.
William : quelle théorie ?
Yumi : selon Jeremie si Xana avait survécu il serait trop faible pour pouvoir agir,car un seul réplika ne lui permettrait pas de lancer une grosse attaque à cause du manque d'énergie.
William : ce qui veut dire qu'il n'arrivait pas à prendre complètement le contrôle d'une tour.
Yumi : c'est plus ou moins sa
William : oui mais bon, même si il est faible on va pas rester les bras croisés en attendant qu'il active la tour.
Yumi : et que veux-tu faire sans Aelita
William : c'est vrai j'avais oubliée que sans elle on ne peut pas faire grand-chose.
La situation était plutôt compliquée même si Xana n'avait pas réussi à activer une tour il était sur le point d'y arriver et en l'absence de la jeune fille cheveux rose il serait très difficile de contrer cette attaque sans avoir à débrancher le super-calculateur alors que William s'égarais à cause de la colère Yumi ne put s'empêcher de taper du poing sur le rebord du fauteuil pour évacuer sa rage seul odd et Ulrich demeuraient plus ou moins tranquille.
Mais cela n'empêcha pas que tous se sentait terriblement impuissants devant cette situation s'est alors qu'il vint une idée de génie a Ulrich.
Ulrich : remarquez il y a peut-être une solution
Yumi : laquelle ?
Ulrich : vous vous souvenez de la fois où nous voulions décrypter le journal de Franz Hopper Jeremie avait activé une tour a son profit.
Yumi : oui et alors
Ulrich : Quand Xana en avait pris le contrôle la seule solution que nous avions pour désactiver la tour c'était de couper son alimentation en énergie en coupant le câble d'alimentation.
Yumi : mais oui c'est évident comment j'ai pu ne pas y penser,en détruisant les câbles nous pourrons privé Xana d'énergie.
Ulrich : c'est une bonne idée n'est-ce pas ?
Yumi : c'est une idée de génie.
Odd : bravo Ulrich pour une fois tu te surpasse.
Yumi : il faut procéder de cette façon.
Ulrich : je suis bien d'accord.
Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ? demanda William qui se sentait un peu exclu de la conversation.
Yumi : s'est simple William que ce soit Jeremie ou bien Xana tous deux sont obligés d'alimenter une tour en passant par les câbles d'énergie présent sur le territoire
William : tu parles des gros tubes qui parcours tous les territoires de Lyoko
Yumi : exacte puisque tous ces câbles convergent depuis le cinquième territoire il est facile d'activer n'importe quel tour depuis ces derniers,c'est ce que Xana faisait quand il était encore prisonnier de Carthage.
William : oui mais Xana est libre maintenant il n'a plus besoin de passer par Carthage et ses connexions.
Yumi : oui mais ça ne change rien au fait que quelle que soit l'origine de la source d'énergie celle-ci est obligée de transiter par les câbles pour alimenter une tour....
.....et si on coupe les câbles avant que la tour ne soit totalement activée on parviendra à stopper l'attaque fit Ulrich.
William : si je comprends bien si on coupe cette alimentation on stoppe l'attaque de Xana
Yumi : tu as tout compris.
William : sauf que un détail me chagrine
Yumi : lequel.
William : s'il vous suffisait de couper les tubes pour stopper l'attaque pourquoi vous ne le faisiez pas à chaque fois
Yumi : parce que dans l'ancien Lyoko cette opération ne pouvait pas marcher.
William : et qu'est-ce qui a changé ?
Yumi : depuis que Jeremie à recréer Lyoko à l'aide des données de Franz Hopper il a apporté quelques petites modifications,désormais cette opération est possible.
William : mais c'est génial qu'est-ce qu'on attend pour y aller.
Yumi : tu veux y aller tout de suite.
William : bien sûr si on peut stopper l'attaque de cette façon en va pas attendre que Xana est fini de prendre le contrôle de la tour
Yumi : mais je ne suis pas sûr que .....
Ulrich : il n'y a pas à hésiter Yumi c'est la seule solution que nous ayons tu doit nous envoyer sur Lyoko pour que nous détruisons le réseau d'énergie.
Yumi : tu es sérieux quand tu dis ça.
Ulrich : absolument c'est le seul moyen que nous ayons de stopper ce monstre.
Alors que Ulrich venait de proposer la seule solution qui s'offrait à eux de stopper cette attaque Yumi été curieusement réticente à cette idée, la perspective d'avoir a envoyé ces amis sur Lyoko ne l'enchantait guère.
Elle ne pouvait pas l'expliquer mais Yumi avait un mauvais pressentiment,si elle envoyait ses amis elle savait qu'une catastrophe allait arriver.
Mais cela pouvait paraître ridicule,elle ne pouvait pas empêcher ces amis d'aller sur Lyoko sur la base d'un simple pressentiment et comme l'avait dit William ils ne pouvaient pas rester les bras croisés en attendant que Xana est fini d'activer la tour.
Si la terrible intelligence artificielle parvenait à ces fin ce serait une catastrophe, car même si les Lyoko-guerriers arrivaient à la stopper sans la fonction "retour vers le passé" ils ne pourraient pas réparer les dégâts éventuels causée par une attaque.
La solution la plus extrême consisterait alors a couper le super-calculateur ce qui serait comme condamnée définitivement Aelita à une mort certaine.
Ne pouvant se résoudre à une telle extrémité Yumi céda au avances de ces partenaires.
Yumi : très bien filer directement dans la salle de scanner je vais vous virtualiser
Bravo Yumi c'est la meilleure décision que tu pourrais prendre lui fit le samouraï.
je l'espère répondit Yumi quelque peu hésitante.
Odd : ne te fais pas de bile tout va bien se passer,de plus tu es là pour nous surveiller.
Odd à raison avec toi aux commandes on n'a rien à craindre lui William voulant se montrer rassurant.
La confiance que lui témoignaient ces amis apaisèrent quelque peu les craintes de Yumi qui qui n'en n'oublia pas pour autant la responsabilité qui était la sienne, elle devez veiller à ce que ces amis arrivent sans encombre sur Lyoko,et même une fois sur place elle les exhorta a la plus grande prudence.
Soyez très prudent leur fit Yumi
Ne t'inquiète pas prudent et mon deuxième prénom lui signifia odd en faisant un clin d'oeil.
Ah bon !! je croyais que c'était casse-cou lui fit remarquer Ulrich de façon très sarcastique.
Odd : AH AH AH.... très drôle......
Ah si moi je trouve ça drôle fit William en rigolant.
C'est bon tu vas pas t'y mettre toi aussi lui répondit Odd en montant dans le monte charges.
William : ne boude pas on te charrie
Je le sais répondit odd en souriant.
Même si l'ambiance ne s'y prêtait guère il fut étonnant de voir que Ulrich c'était mis à faire de l'humour ,dans le but de remonter le moral des troupes le jeune homme avait visiblement repris le flambeau que Odd avait semble-t-il délaisser.
Ulrich avec cru opportun de lancer une petite vanne histoire de détendre l'atmosphère,et ceci ne fut pas sans effet car pendant un court instant ils en oublièrent tous la gravité de la situation.
Pendant ce pendant ce temps-là sur Lyoko le mystérieux spectre noir redoublait d'efforts pour prendre possession de la tour,le nuage de fumée noir qui entourait déjà la tour n'avait pas l'effet escompté,cette dernière avait beaucoup de mal à s'activer,pour pallier ce problème le spectre généra une deuxième vague de fumée en provenance de ces avant-bras.
Ce nouveau nuage de fumée enroba la quasi totalité de la tour et les effets se firent rapidement sentir
Sur Terre Yumi pu constater que le niveau d'énergie de la tour avait soudainement augmenté,dans un court laps de temps celui-ci était passé de 50 % à 72 %
Il n'y avait donc plus de temps à perdre si l'activation devenait à 100 % effectifs et les lyoko-guerriers n'aurait plus d'autre solution que de devoir désactiver le super-calculateur avec toutes les conséquences que cela impliquerait.
Ce fut sans perdre un seul instant que les trois garçons prirent place dans les scanners pour être virtualiser,devant le pupitre de contrôle Yumi commença à effectuer les opérations de transfert
Mais avant de faire quoi que ce soit elle informa les garçons qu'en plus de la tour elle avait détecté la présence d'une forme étrangères à proximité de la tour.
Ces derniers devraient être très prudent une fois qu'ils seraient arrivés sur Lyoko car aucun ne savait à quoi ils auraient à faire.
Une fois qu'elle eut avertie ces amis de la situation Yumi lança les procédures de virtualisation
Transfert Odd - transfert Ulrich - transfert William fit Yumi en chargeant sur le moniteur chacune des cartes virtuelles.
Scanner Odd - scanner Ulrich - scanner William fit Yumi en activant le processus de scannerisation
Quand toutes les données furent chargées Yumi appuya sur la touche entrée.
Virtualisation fit la jeune fille.
Une terrible explosion se produisit dans chacun des tubes de scannerisation,les trois adolescents furent instantanément transformés en masse d'énergie virtuelle est projeté à la vitesse de lumière à travers les circuits électroniques du super-calculateur.
C'est sous la forme d'avatars virtuels qu'ils réapparurent sur Lyoko,chacun atterrit sur ses deux jambes sans le moindre problème visiblement le transfert c'était bien effectué.
Maintenant Ulrich Odd et William se trouvait sur le territoire désert,du haut des cieux ils entendirent Yumi qui les appelaient pour leur demander si tout allait bien, chacun des jeunes hommes lui répondit à sa manière que tout était en ordre
Rassuré par les dires de ces amis Yumi les informa alors que la tour se trouvait à 1200 mètres de leur position en direction du nord-ouest ce qui représentait un sacré chemin à parcourir
Tu aurait quand même put nous virtualité plus près fit Odd
Yumi : désolé je fais ce que je peux c'est pas facile.
Ulrich : pas grave l'important c'est d'être arrivé sain et sauf
William : c'est vrai est le plus urgent pour le moment c'est d'aller jusqu'Ã la tour.
Ulrich : tu as raison en avant.
Sans perdre un instant les trois amis filèrent en direction de la tour,les pulsations que venait de détecter Yumi convergeaient toutes vers un point bien précis cette dernière n'eut aucun mal à diriger ces amis jusqu'à la tour affectée,les véhicules ayant été détruits lors de la première attaque les guerriers durent marcher jusqu'à la tour.
Guidée par Yumi ils purent rapidement apercevoir le terrible édifice au loin,alors que leur objectif se rapprochait William demanda à Yumi si celle-ci pouvait lui fournir des informations sur leur adversaire.
William : Yumi est-ce que tu peux nous en dire un peu plus sur notre adversaire.
Yumi : rien si ce n'est qu'il est tout seul
William : tu es sûr de toi.
Yumi : c'est sur je ne capte qu'un seul signal,celle d'un seul monstre a coté de la tour.
Odd ; c'est parfait si il est tout seul ça va être du gâteau.
William : Ã trois contre un nous avons l'avantage.
Ulrich : soyons prudents quand même ce satané virus avait plus d'une tour dans son sac.
William : pourquoi diable Xana n'a t il envoyé qu'un seul ennemis ?
Odd : quoi tu aurais voulu qu'il nous envoie un bataillons toi !
Bien sur que non dit William qui avait bien tord de se plaindre.
Yumi : si il n'y as qu'un seul monstre cela confirme peut-être la théorie de Jeremie sur la puissance faiblissante de Xana,si ça se trouve il n'a peut-être pas la possibilité d'en envoyer plus.
Ulrich : ça nous laisse donc une chance de le vaincre.
Yumi : j'espère que vous pourrez le stopper avant qu'il ne soit trop tard.
Alors que Yumi s'accrochait à l'espoir d'une intervention rapide sur Terre les événements commencèrent à prendre une tournure plutôt glauque,la tour ayant subi une brusquement monté d'énergie les effets dévastateurs de cette semi attaque se firent rapidement sentir.
Même si la tour n'était pas pleinement chargée cette dernière pouvait déjà engendré des dégâts colossaux selon la nature de l'attaque.
Contrairement à ses habitudes Xana réutilisa une vieille attaque, un peu partout en ville de nombreux transformateur électrique commencèrent à subir des surtensions,apparemment ces derniers étaient en train de se charger en énergie,si cette surcharge ne venait pas à être jugulée les transformateurs seraient susceptibles d'exploser, et l'énergie développées par de telles les explosions seraient susceptibles de provoqué d'énormes dégâts.
L'endroit le plus concerné par tout ceci était incontestablement le collège Kadic,le transformateur Edf qui bordait l'enceinte du collège était le plus important de tout le secteur si celui-ci venait à exploser ils seraient susceptibles de detruire tous le collège Kadic et de tuer tuer tous ces occupants.
Heureusement pour les élèves et le personnel parmi tous les défauts techniques dont le collège fut la cible,l'un d'eux activa l'alarme antique incendie par mesure de sécurité le proviseur fit évacuer le collège à cet instant.
Alors que sur Terre la situation semblait dégénérer les trois amis finirent par arriver devant la tour infecté, le spectacle qui se dessina alors sous leur yeux était tout bonnement incroyable.
la tour était recouverte d'un halo de fumée noire chargé d'énergie,l'ensemble donnait un aspect menaçant est peu accueillant.
Faute de visuel en l'absence de Aelita Ulrich du décrire à la scène à Yumi,mais avant d'avoir pu donner plus de détails à son amie il aperçut soudain au pied de la tour le responsable de tout ça.
Le fantôme noir se tenait immobile à côté de la tour,les bras bien tendus en avant, de la fumée noire s'échappaient de ses manches de ce derniers,la fumée semblait alimenter le nuage qui c'était formé autour de la tour,absorbé par son travail le fantôme ne remarqua pas la présence des trois Lyoko-guerriers qui de leur côté furent interpellées par cette nouvelle apparition.
Mais qu'est-ce que c'est que ça demanda Odd
De toute évidence il s'agit de notre adversaire lui répondit William
Depuis ces écrans de contrôle Yumi avait parfaitement repéré la présence mystérieux fantôme elle confirma aussitôt à ses amis qu'il était le seul monstres présent dans le secteur
Cette nouvelle réconforta les lyoko-guerriers,si cette créature était la seule à eux trois ils n'auraient aucun problème en venir à bout,mais Yumi les incita encore une fois à la prudence car personne ne savait de quoi était capable cet être mystérieux.
C'est alors que sans raisons apparente le spectre fit volte-face aux Lyoko-guerriers ,apparemment ce dernier avait détecté leur présence car il se retourna précisément dans leur direction.
Voyant qu'il venait de se faire repérer les lyoko-guerriers se mirent en garde,leur adversaire avait beau être à une vingtaine de mètres il fallait s'attendre à tout venant de sa part.
Ulrich décrivit alors la créature a Yumi comme étant un être humanoïde vécu de noir,s'est alors qu'au travers de sa capuche le jeune samouraï aperçut quelque chose d'étrange,cette espèce de spectre n'avait pas de visage du moins celui-ci était caché sous une sorte de masque.
la représentation de ce dernier était des plus effrayants qui soit car il ne s'agissait pas d'un visage mais plutôt celle d'un crâne humain.
Quand le spectre vit que les lyoko-guerriers l'observaient la réaction de ce dernier fut des plus étonnantes qui soit,les yeux du masque devint alors rouge flamboyant,en voyant ce spectacle il ne fallut pas longtemps aux jeunes garçons pour comprendre que les attentions du spectre étaient loin d'être pacifiques.
Oups je crois que la face de squelettes s'énerve fit Odd.
il semblerait lui répondit Ulrich
Odd : qu'est-ce qu'on fait alors
Ulrich : on agit car je suis sur que c'est cette chose qui responsable de l'activation de la tour
Yumi : je confirme que c'est bien lui qui a activé à tour.
William : tu est sur de toi Yumi.
Yumi : apparemment depuis que vous êtes apparu le processus a été interrompu.
Ulrich : c'est vrai.
Yumi : je confirme la tour n'est activer qu'Ã 83 % et le chiffre n'augmente plus.
Comment ça se fait demanda William
La question trouva rapidement un échos ,il ne fallut pas longtemps a Ulrich et Yumi pour comprendre ce qui c'était passé,le spectre semblait pouvoir prendre possession d'une tour en entourant cette dernière d'un nuage de fumée,en débarquant à l'improviste comme venait de le faire les lyoko-guerriers, ces dernier avaient sans le vouloir interrompu la besogne du spectre.
Ne pouvant pas envoyer de la fumée et se défendre en même temps ce dernier avait été contraint de retarder son attaque.
Comprenant d'où venait la source du problème il apparut évident aux lyoko-guerriers que ce spectre était responsable de tous et logiquement sa destruction serait sans doute le seul moyen de stopper l'attaque .
C'est ce spectre qui est responsable de tout leur dit Yumi.
Ulrich : donc si on détruit cette créature en a une chance de stopper l'attaque
Yumi : Ça se pourrait bien.
Dans ces cas-là il est pour moi fit William qui brandit alors son Zanbato en direction de la créature.
Yumi : attend William ne fait pas de folie inutile on ne fait pas de quoi est capable cette chose
William : il est seul je ne vois vraiment pas où est le danger
Yumi : Je te rappel William que le jour ou Xana t'as possédé tu était tout seul et tu as réussi à nous vaincre tous les trois.
Williams se souvint alors de cet événement tragique, ce jour-là il c'était fait posséder par la méduse et Xana avait pu prendre possession de son corps,sous l'influence du terrible programme William avait réussi à vaincre à lui seul les trois autres lyoko-guerriers.
En se rappelant de ceci William comprit ce que Yumi voulait lui dire,le spectre avait beau être seul il ne fallait pas s'y fier car tous savaient très bien qu'un humanoïde de Xana même isolé pouvait cacher des capacités insoupçonnées et cela pouvait le rendre particulièrement dangereux.
Sous-estimer son adversaire était une erreur que William c'était juré de ne plus commettre, mais emporter par son désir de vengeance William avait failli encore une fois foncer tête baissée sans réfléchir heureusement pour lui cette fois ces amis étaient là pour le résonner.
La mise en garde de Yumi avait suffit à légèrement calmer le tempérament de William n'est pas suffisamment pour faire taire la haine qu'il éprouvait à l'encontre de Xana.
Quoi que soit cette créature elle était un serviteur de Xana,et le beau ténébreux se ferait un devoir de l'éliminer mais la partie s'annonçait déjà difficile car ayant repéré ses adversaires le spectre se tenait sur ses gardes.
bon qu'est-ce qu'on fait demanda Odd.
Ulrich :il faut qu'on intervienne
Yumi : puisqu'il est tout seul vous devez l'attaquer tous les trois en même temps,
William : est que proposes-tu.
Yumi : il vaut mieux essayer de l'attaquer à distance Odd tu va te charger de lui tandis que Ulrich et William te protégerons.
Quelques flèches de laser bien placé est au revoir Mr le spectre fit odd en armant son avant-bras droit.
Ulrich : ce plan n'en convient
William : moi aussi....
et regardez qu'est-ce qu'il nous fait l'autre fit Odd à cet instant en pointant son doigt en direction du spectre.
Alors que les adversaires se faisaient face tout en maintenant leur garde,le spectre venait de tendre ces bras pour les mettre en croix,c'est alors que de ses manches de la fumée noire commença à s'écouler à la manière d'un liquide, cette fumée se répandit rapidement sur tout le sol,et au bout de quelques secondes le spectre se retrouva au milieu d'un cercle de fumée noire qui lui arrivait à peine au niveau des pieds,ce disque entourait le spectre sur un rayon de quatre mètres qui a présent leva les bras au ciel.
Est la il fait quoi demanda Ulrich.
je n'en sais rien mais cela ne présage rien de bon lui fit Yumi.
Vaut mieux ne pas s'en approcher fit Odd.
Allez savoir quel sale coup Xana nous prépare dit William qui par précaution ce mis en garde.
Alors que tous demeurait perplexe devant l'étrange tapis de fumée que venait de générer le spectre,sur les écrans de contrôle Yumi des indications pour le moins étrange firent leur apparition.
le disque de fumée au milieu duquel se trouvait le spectre semblait générer de l'énergie,c'est alors que de celui-ci deux masses informe de fumée firent leur apparition,au fur et à mesure que ces les deux choses prenaient du volume le rayon du cercle de fumer diminuait,quoi que pouvaient être ces choses elles prenaient naissance dans le disque de fumée que le spectre avait répondu au sol et semblait s'en nourrirent.
Quand le processus fut totalement achevé des Krabes de couleur noire avait pris forme sur le territoire du désert
Regarder ça il vient de créer des Krabes fit Ulrich étonné.
Tu as raison on dirait des Krabes lui répondit odd.
Mais ces Krabes était très différents des modèles que Xana utilisait habituellement,la première chose qui sauta aux yeux était que leur corps était complètement noire,les lentilles de leurs yeux étaient verte mais un autre détail interpella les lyoko-guerriers.
Regardez ce n'est pas le symbole de Xana fit Odd à cet instant.
c'est vrai tu as raison,ça ne ressemble pas au symbole de Xana lui dit Ulrich
Vous pouvez me les décrire demanda Yumi.
Odd : c'est comme le symbole de Xana,mais on dirait que ce dernier a perdu une patte a droite et un quart de son cercle en haut a gauche.
Le symbole qui était dessiné au-dessus de leurs carapaces n'était pas vraiment celui de Xana car ce dernier était de couleur verte et semblait plutôt incomplet,qu'elle pouvait bien être ce nouveau mystère ?
Yumi : qu'est-ce que ça veut dire ?
Mais les réponses durent attendre à peine avaient-ils fini d'être matérialisé que déjà les Krabes noirs se mirent à tirer en direction des lyoko-guerriers,ayant failli se faire surprendre ces derniers esquivèrent a temps les tirs en se réfugiant derrière des rochers.
Sans faiblir les Krabes se mirent à mitrailler les rochers sans pour autant bouger leurs positions de son côté le spectre se mit légèrement en retrait et retourna vers la tour.
On a eu chaud aux fesses dit Odd
A qui le dis-tu lui répondit William.
Odd est William c'étaient mit ensemble derrière le même rocher tandis qu'Ulrich c'était caché derrière un autre,entre eux il y avait un espace qui faisait que Ulrich était isolée du reste du groupe il ne pouvait pas aller rejoindre les autres car les Krabes c'étaient lancés dans un tir de barrage.
Le passage était complètement assailli de jets de laser il aurait été suicidaire pour Ulrich de vouloir traverser à ce moment-là .
Mais comme le dirait Odd il fallait absolument débloquer la situation,Yumi donna alors de nouvelles instructions que les lyoko-guerriers écoutèrent avec attention
Tu crois que ça va marcher Yumi demanda Odd
Yumi : on as pas le choix
William : pas le temps de chipoter.. on agit.
Une fois que le plan fut bien assimilé par tout le groupe la riposte pouvait commencer,William fit signe à Ulrich pour lui dire qu'à trois il allait tenter leur sortie.
Les trois doigts de la main droite bien mis en évidence William commença le décompte
- Trois ... les trois doigts tendu.
- deux ... en repliants le majeur.
- un ... en repliant l'index.
- zéro ... en baissant la mains totalement ouverte.
.
Bondissant comme des diables de leurs boîte William et Ulrich sortir par le côté opposé de leurs cachettes pour détourner l'attention des Krabes de l'allée centrale,la diversion fit son effet les Krabes prirent les deux jeunes hommes pour cible,mais l'être noir qui supervisait les opérations ne fut pas dupe en agitant les bras il fit tourner les deux crabes en direction de l'allée centrale.
Mais c'était trop tard Odd qui avait pris appui sur le haut des rochers avait déjà pris son envol,en prenant son élan il sauta le plus haut qu'il put pour finalement atterrir sur la carapace de la créature de gauche ,le Krabe essaya de se débarrasser de cet importun en bougeant de droite à gauche mais Odd fort de son agilité sur l' Overboard réussi à rester stable,Ulrich qui assistait à la scène se demandais bien comment cela allait finir,du haut de sa position Odd mitrailla de flèche laser le symbole du Krabe.
Touché en plein centre par quatre flèches laser Odd descendit vite du monstre avant que celui-ci n'explose,mais contrairement à leur habitude le Krabe n'explosa pas,ce dernier se contenta seulement de se disloquer en fumée noire à la grande surprise de Odd et Ulrich
Tiens c'est bizarre ça fit Odd
je te le fais pas dire lui répondit Ulrich.
Mais les deux jeunes garçons n'eurent pas le temps de se reposer sur leurs lauriers,Yumi leur demanda expressément d'aller aider William,mais ce dernier n'avait besoin d'aucune aide.
Armé de sa lourde épée William n'avait aucun problème à tenir tête au monstre en face de lui et avant même que Odd est Ulrich n'arrive pour lui prêter main-forte William parvint tous seul a se débarrasser de son adversaire.
Après avoir paré un tir de laser tirée à bout portant William avait dans un grand geste circulaire sectionné les deux pattes avant du monstre,celui-ci tomba la tête en avant,la carapace plantée dans le sol William frappa le logo se trouvant sur la carapace du Krabe.
Au même titre que le premier Krabe le deuxième s'évapora en fumée noire
Voila pour toi Xana dit William avec rage en ramenant son épée vers lui.
tout va bien demanda Odd
Y 'as pas de problème,je lui fais sa fête au Krabes lui répondit William.
Voyant que William n'était absolument pas blessés les trois garçons décidèrent alors de s'attaquer au mystérieux fantôme,les trois amis se tournèrent dans sa direction,le spectre leur faisait désormais face et là ils purent le détailer d'un peu plus près.
Ce mystérieux spectre était bien un humanoïde vêtu d'une tunique noire sur lequel d'étranges symbole rouge avait été dessiné mais le plus effrayant était incontestablement le masque de squelettes que cet être portait.
Ce masque était blanc,certaines petites cavités et reliefs étaient dessinées à la surface de celui-ci ce qui rendait le spectre encore plus effrayant
Prépare-toi à te battre lui fit Ulrich en dégainant son sabre.
Sans avoir pris la peine de réagir le spectre se laissa entourée par ses adversaires,ses yeux s'illuminèrent,il poussa alors une sorte de grognement,d'un légèrement mouvement de tête il pris la peine d'analyser la situation du regard.
Parmi tous les adversaires présents il dévisagea en particulier Odd,le spectre le regarda longuement en ne se souciant plus des deux autres,Odd fut le seul a remarquer que le regard du spectre changea brièvement de couleur avant de redevenir rouge sans se laisser déstabiliser par ceci odd pointa son bras droit en direction du monstre.
Ne bouge plus espèce de monstre lança Odd au spectre.
Mais au lieu d'entamer le combat le spectre se disloqua à son tour pour se fondre dans le reste du tapis de fumée qui se trouvait à ses pieds, cette masse noirâtres commença à se mouvoir en direction de la mer numérique.
Revient espèce de lâche lui cria William.
Avant d'avoir pu faire quoi que ce soit pour l'en empêcher elle se jeta dans la mer numérique pour y disparaître, au même instant-là le halo de fumée se dissipa autour de la tour activé celle-ci reprit à nouveau une couleur blanche.
aussitôt sur terre tous les courts-circuits finirent par disparaître,les charges accumulées dans les transformateurs se dissipèrent aussitôt sans provoquer le moindre dégât.
Dans le laboratoire Yumi poussa un ouf de soulagement,visiblement le pire avait été évité,le spectre n'avait pas pu contaminer la tour au-delà des 86 %,par la suite elle ramena tous ses amis sur terre pour faire un bilan de la situation
Au début de l'après-midi ils se retrouvèrent tous dans la chambre de Odd est Ulrich pour analyser les événements du jour,grâce à leur intervention rapide aucune victime civile n'était à déplorer,les médias avaient juste annoncé que de violentes pannes d'électricité avaient secoué la capitale mais sans incident majeur.
l'absence de victimes réconforta grandement le petit groupe,et cerise sur le gâteau grâce à l'évacuation que le proviseur avait ordonnée du collège leur absence ne fut même pas remarquée.
s'est confirmé il n'y a pas une seule victime dit Yumi a ces amis.
Odd : c'est super ça.
Ulrich : tu m'étonne si il y avait eu des mort on aurait été mal barré.
Yumi : mais grâce au ciel se n'est pas le cas
William : on a eu de la chance cette fois-ci mais qu'en sera-t-il de la prochaine....
William avait le chic pour casser l'ambiance avec sa mauvaise humeur,mais celle ci était parfaitement compréhensible car Xana était de retour ,c'est le genre de nouvelle qui ne fit plaisir a personne est surtout pas a Jeremie qui devait bientôt sortirent de l'hôpital
Yumi : cette fois le doute n'est plus permis Xana est de retour.
Ulrich : est ce seulement Xana, moi j'en doute
Une tour activé ,des Krabes et spectre noir cette suffit pas comme preuve lui fit Odd.
Yumi : oui mais Ulrich a raison c'est bizarre d'habitude Xana n'utilise pas deux fois la même attaque,et la le coup du transformateur surchargé il nous l'a déjà fait
Ulrich : et selon toi qu'est-ce que ça veut dire
Yumi : que Xana a changer de tactique ou un truc du genre.
William : moi y'as un truc qui m'echappe comment a-t-il pu survivre aux programmes multiples agents de Jeremie
Yumi : ça je n'en sais rien
Yumi ne put rien dire d'autre car elle n'avait pas plus d'informations que ces compagnons,la seule chose qui pouvait être sûre c'est que Xana était de retour,et quoi qu'il est tenter en lançant cette attaque il avait échoué.
Mais désormais les lyoko-guerriers devait être sur leurs gardes car leur ennemi de toujours n'allait sûrement pas en resté là ,plus que jamais le retour de Jeremie était souhaité.
chapitre 27 sévices
29 septembre 2005
24 heures venaient de s'écouler depuis les événements qui avaient chamboulé l'hôpital la veille,après le passage des pompiers tous les patients ainsi que le corps médical purent regagner l'enceinte du bâtiment.
Personne ne pouvait expliquer ce qui c'était passé mais d'après les tests effectué par les techniciens de maintenance venue contrôler l'installation,il c'était avéré que le système de sécurité avait été victime d'un virus informatique,selon les techniciens quelqu'un aurait réussi à pénétrer dans le système pour y implanté ce virus.
A l'annonce de cette nouvelle le directeur de l'hôpital fut scandalisé,qui avait put faire ça ? et pourquoi ? malheureusement ces questions risquaient bien de rester sans réponse car l'intrusion avait été si subtile qu'il était impossible de déterminer d'où celle-ci avait pu venir.
Un des techniciens avoua même de son propre chef qu'une telle attaque lui faisait froid dans le dos jamais durant toute sa carrière il n'avait rencontrer un système de parasitage aussi perfectionné que celui qui avait fait beuggé le système de sécurité, si un tel virus venait à s'attaquer à des cibles plus importantes bon nombre de personnes auraient des soucis à se faire.
Cependant le docteur Holstein ne comptait pas en rester là ,il se jura de porter plainte contre X. auprès des autorités local et cet homme était dans son droit on ne s'attaque pas sans raison à un hôpital plein de malades.
Derrière tout le remue-ménage qui fut engendré seule deux personnes dans tous l'hôpital semblait être au courant de ce qui c'était vraiment passés.
Le jour même l'accident le docteur avait pris Maeva à part en prétextant vouloir s'entretenir avec elle, mais en vérité il comptait sermonner cette dernière à l'abri des regards indiscrets, ce fut donc dans une partie reculée du parc que le Dr Robinson s'entretenu avec Maeva au sujet de ce qui c'était passé.
Dès le début la jeune fille fut très hésitante,elle n'osa pas avouer ce qu'elle avait fait alors que le docteur attendait des explications de sa part mais à quoi bon cela servirait-il de mentir au docteur les faits parlaient d'eux-mêmes,personne d'autre que Maeva n'aurait pu causer un tel désastre sur un système électronique.
C'est les bras croisés en tapotant du pied que le docteur attendait que Maeva lui fassent des aveux.
Est bien Maeva j'attends lui dit alors le docteur qui commençait à s'impatienter.
Euh ... je n'ai ... je ne sais pas quoi dire docteur......répondit Maeva qui n'osait pas regarder le Dr Robinson dans le blanc des yeux.
Dr : tu ne trouve rien à dire
Maeva : et bien non
Non mais Maeva tu te rends compte de ce que tu as fait lui cria soudainement le Dr.
Maeva : je le sais Docteur et tout ce que je peux vous dire c'est que je suis désolé.
Dr : désolé !! c'est tout ce que tu trouves à dire ... désolé.
Désolé ce fut la seule excuse que Maeva pouvait donner au docteur quant aux actes qu'elle avait commis,mais le docteur ne pourrait pas se contenter de simples excuses il voulait avant tout des explications sur l'attitude de Maeva et sur les raisons qui l'ont poussé à désobéir à ces instructions.
Pourquoi as-tu fait ça lui demanda le docteur.
Maeva : c'est la faute des autres ils n'avaient enfermé dans ma chambre et....
... et ce n'est pas une raison pour faire ce que tu as fait lui dit clairement le Dr.
Maeva : mais je voulais absolument vous voir et on ne m'aurait pas laissé faire....
... est tu t'est dit "tiens si je court-circuitait tous le réseau électronique de l'hôpital pour passer le temps répondit le docteur sur un ton désinvolte.
A cet instant Maeva ne trouva aucune excuse pour se justifier,l'incident avec Vanessa avait beau avoir été le catalyseur déclencheur,la raison qui avait poussé Maeva à agir était purement égoïste,pourtant pour essayer de s'attirer la clémence du Docteur Maeva lui fit par des raisons qui l'avaient poussé à agir de cette façon-là .
Maeva : comprenez-moi docteur les autres m'avaient enfermé sans preuves dans ma chambre.
Dr : parce que tu avais frappée Vanessa.
Maeva : vous êtes au courant !
Dr : Oui figure-toi qu'on ma rapporté l'accident.
Maeva : alors vous comprenez
Dr : je comprends surtout que tu as agi dangereusement pour rien.
Maeva : mais non pas du tous,on m'as puni sans raison.
Dr : je suis désolé de te dire ça mais ils ont eu raison de le faire
Là ce fut Maeva qui n'arrivait pas à croire ce qu'elle entendait de ces oreilles, le docteur approuvait les actes des autres personnes alors que jusqu'à présent celui-ci avait toujours pris la défense Maeva.
Mais cette fois-ci le docteur ne trouva aucune excuse à sa petite protégée, la jeune fille fut gagnée alors par un vif sentiment d'injustice chose pourtant à laquelle était pourtant habituée mais qu'elle ne pouvait toujours pas accepter.
Maeva : mais c'est pas juste c'est elle qui a commencé moi je n'ai fait que me défendre
Dr : était-ce une raison pour faire ce que tu as fait
Maeva : je me suis défendu j'allais tout de même pas me laissé taper dessus sans réagir.
C'est alors que le docteur mis un genou à terre pour se mettre à hauteur de Maeva, la il mit ces deux mains sur les épaules de la jeune fille et commença à lui parler avec une voix plutôt douce et exempte de colère.
Maeva je sais que ce n'est pas facile pour toi lui dit le docteur
Maeva : vous le savez vraiment ?!
Dr : tout le monde sait bien que Vanessa est une véritable petite peste mais ce n'est pas une raison pour faire ce que tu as fait
Maeva : je sais bien que vous aviez défendu de toucher un seul appareil électronique mais...
... mais ce n'est pas de sa dont je te parle fit le docteur
Maeva : de quoi parlez-vous alors ?
Dr : je te parle de l'acte violent que tu as eue à l'égard de Vanessa, d'après ce que m'ont rapporté les infirmiers après avoir éjecté cette fille dans les meubles tu à essayer de la frapper avec une règle en métal tordu.
Si le docteur avait beaucoup de choses à reprocher à Maeva suites a l'accident qu'elle venait de causer la chose qui avait le plus interpellé c'était incontestablement l'attitude que Maeva avait soudainement adoptée.
Les infirmiers présents dans la salle lui avait rapporté tout ce qui était arrivé dans l'atelier créatif.
Au dire du personnel présent Maeva avait agi avec une agressivité hors du commun,si personne ne l'avait neutralisé à temps elle aurait sûrement frappé Vanessa à coups de règles.
Cette subite montée de violence le docteur ne l'avait encore jamais observé chez Maeva,Jusqu'à présent Maeva avait toujours été une souffre-douleur mais ces derniers temps la jeune fille était devenue beaucoup plus offensive,elle avait semble-t-il appris à ne plus se laisser faire mais cela ne fut pas sans conséquences.
Si savoir se faire respecter est une qualité agressée les autres pour gagner ce respect n'en est pas moins un défaut.
Et la Maeva s'inscrivait en faux, elle était un vrai paradoxe vivant comment une jeune fille si douce et si gentille pouvait-elle se transformer en un monstre de violence,voilà bien un trait de la personnalité qui avait échappé au docteur jusqu'à présent.
Cependant un nouveau détail avait attirer l'attention du docteur, il était clair que le caractère de Maeva c'était certes affirmé depuis qu'elle avait rencontré Kevin et même si le docteur n'approuvait pas vraiment les orientations spirituelles de la jeune fille, il avait par conviction laisser cette dernière faire ses propres choix.
Mais le coeur du problème n'était pas le faîte que Maeva soit devenue croyante,non la véritable responsable de tout ça n'était autre qu'une peluche.
Une peluche que Maeva gardait avec elle pour dormir,une peluche que Maeva avait rebaptisée Mr Xana.
Pour le Dr Robinson Mr Xana était le responsable de tous,non pas qu'il fallait incriminer la peluche mais le nom qui y était rattaché.
Qui était ce Xana ? qu'elle liens avait-il avec Maeva,mais plus important encore qu'avait-il évoqué chez Maeva,pourquoi cette jeune fille se sentait-elle si différent quand on évoquait ce nom ?
Pour la jeune fille aux cheveux bleus ce nom n'était rattaché qu'as de bonnes impressions pourtant indirectement il avait éveillé chez Maeva des instincts belliqueux et cela constituait un vrai paradoxe auquel le docteur n'arrivait pas à trouver de réponse pour le moment.
Se pouvait-il en théorie que Maeva cache en elle une nature plus agressive, le docteur savait par expérience professionnelle qu'en chaque être humain il existait une part obscure,mais chez Maeva qu'est-ce qui pouvait bien symboliser cette part obscure ?
Alors que cette jeune fille faisait tout pour essayer de s'intégrer aux autres elle était systématiquement rejetée par ces derniers,ce rejet volontaire suffisait-il à nourrir toute la haine que la jeune fille était capable d'éprouver ou y avait-il plus derrière tous ça.
Mais l'heure n'était pas à ces considérations,à cause de ce qu'elle avait fait le moral de maeva n'était pas au beau fixe le docteur ne voulut-on pas l'incriminer plus qu'il n'en était nécessaire car il savait que la jeune fille regrettait sincèrement ce qu'elle avait fait et que malgré ses agissements elle n'avait jamais souhaité engendrer un tel désastre.
Allez je t'en prie Maeva ne fait pas cette tête lui dis le docteur
Je sais docteur mais que voulez-vous que je fasse ici tout le monde déteste ici dit maeva les larmes au bord des yeux
Dr : ce n'est pas vrai Maeva il y a des gens qui t'apprécient beaucoup.
comme qui demanda la jeune fille.
Dr : il y a moi,vient ensuite Kevin et le Dr Stockton
Maeva : oui mais ça fait tellement peu de personnes qui tiennent à moi
Dr : tu sais ce n'est pas le nombre qui compte mais la valeur des sentiments que ces personnes éprouvent pour toi.
Maeva : c'est vrai ça
Dr : oui tu peux me croire la dessus
alors je vous crois dit Maeva en séchant ces larmes.
Dr : bien mais tu comprends aussi que je ne peux pas passer l'éponge sur ce que tu as fait.
Maeva : vous allez dire à tout le monde que je suis responsable.
Dr : ça va pas la tête déjà que tu n'aies pas beaucoup apprécié si tout le monde connaissait ton secret,tu imagines ce qui se passerait.
Maeva compris que le docteur avait raison personne n'était au courant du terrible secret que gardait Maeva en est que compte tenu des événements il valait mieux que personne ne soit au courant car ceux-ci risquaient bien de ne pas arranger les affaires de Maeva conscient des dégâts qu'avait été capable de créer Maeva fit alors une promesse au Dr Robinson.
Maeva : écoutez docteur je vous promets qu'à l'avenir ça ne se reproduira plus je ne toucherai plus un seul appareil électronique
Dr : tu le promets.
Maeva : Oui docteur je vous le jure n'aura plus de soucis de ce côté-lÃ
Dr : Bon très bien Maeva je te croit car je sais que tu es sincère.
Maeva : merci Docteur.
Dr : retournons auprès des autres avant que notre absence se fasse un peu trop remarquée.
Maeva : je vous suis.
Ce fut en compagnie de Maeva que le docteur regagna le reste du groupe,au bout de quelques heures passées à l'extérieur tout le monde pu réintégrer l'hôpital.
Maeva fut raccompagné dans sa chambre par le docteur en personne qui veilla à ce que cette dernière se tienne tranquille,après avoir passé encore quelques heures avec sa petite protégée il quitta cette dernière avec la promesse que plus jamais elle ne toucherait plus un appareil électronique.
Si la nuit se passa sans incident,le lendemain matin la situation devins plus épineuses quand le Dr Robinson fut convoqué dans le bureau du Dr Holstein,ce que le directeur de l'hôpital s'apprêtait à dire au Dr Robinson risquait fort de déplaire à ce dernier,car celui-ci avait beaucoup de questions à poser à son subordonné au sujet de sa patiente.
Vous m'avez fait demander Dr Holstein demanda le docteur Robinson en entrant dans la pièce
Dr Holstein : oui veuillez vous asseoir nous avons à parler.
le Dr Robinson s'exécuta alors au ordre de son chef,mais Joseph sentit instinctivement que cette convocation n'allait rien avoir de courtoises vu le regard dédaigneux que lui lançait son supérieur il s'attendait à de sérieuses réprimandes de la part de son supérieur et cela ne manqua pas quand le Dr Holstein commença à poser des questions sur Maeva.
Dr Holstein : pourriez-vous me donner une explication.
une explication sur quoi ? demanda le Dr Robinson.
Dr Holstein : au sujet de ceci.
le Dr Holstein ouvrit alors un dossier contenant des radiographies,il présenta ses dernières à son subordonné qui d'un simple coup d'oeil les reconnut tout de suite,sous ses yeux il avait une copie des radiographies qu'il avait effectuées sur Maeva,celle ci ne furent pas difficile à identifier car dessus on pourrait voir très distinctement le squelette de la jeune fille mais également le réseau de filaments électroniques qui parcouraient sa colonne vertébrale et tout son corps.
Dr Holstein : alors pouvez-vous me dire de quoi il s'agit
Dr Robinson : eh bien je ne sais pas quoi vous dire....
Dr Holstein : je vous avoue que moi non plus.
le Dr Robinson resta un petit moment à ne rien dire si ce n'est qu'il craignait les autres questions du docteur Holstein,celui ci risquait bien de ne pas ménager sa hargne à l'encontre de son subalterne.
Le docteur Robinson avait décidé de cacher les radios qu'il ait fait effectuer sur Maeva car si des personnes venaient a découvrir le secret de sa petite protégée cette dernière serait susceptible d'avoir des ennuis malheureusement pour le médecin le Dr Holstein avait fini par avoir accès à ces informations et ce dernier espérerait bien que son subordonné lui fournisse des explications
Alors Dr Robinson j'attends votre réponse demanda le docteur Holstein
Dr Robinson : ma réponse mais sur quoi.
Dr Holstein : au hasard je voudrais juste comprendre comment votre patiente a put occasionné autant de dégâts.
là je ne vois pas de quoi vous parlez fit le Dr Robinson en feintant l'innocence
Dr Holstein : à d'autres mais pas à moi je sais très bien que c'est elle qui est responsable de l'incident d'hier.
Dr Robinson : voyons Dr c'est impossible comment voulez-vous qu'elle fasse sa,ce n'est qu'une enfant.
Dr Holstein : c'est ce que je croyais aussi jusqu'à ce que ce matin je découvre que votre patiente présentait une telle anormalité.
Dr Robinson : sauf votre respect M. je ne crois pas que nous pourrons parler d'anormalité mais de cas exceptionnels
Dr Holstein : il serait peut-être temps pour vous de nous en parler de vous votre petit monstre
je m'insurge Docteur vous ne pouvez pas qualifier Maeva de monstres fit le Dr Robinson en s'emportant.
Dr Holstein : et comment voulez-vous que je la qualifie ? d'aberration de la science si vous préférez
Dr Robinson : vous ne pouvez pas parler d'un être humain de cette façon-lÃ
Dr Holstein : mais qui vous a dit qu'elle était humaine ?
Dr Robinson : et vous qui vous dit qu'elle ne l'est pas,exceptées ceci elle n'a rien d'anormal.
Dr Holstein : bien sûr Dr s'est connu tous les enfants de cet hôpital ont des implants électroniques dans leurs cerveaux reliés à leur colonne vertébrale.
le Dr Holstein venait de mettre son subalterne devant l'évidence, jusqu'à présent le Dr Robinson avait toujours caché ses informations à son supérieur craignant que sa ne puisse jouer en défaveur de Maeva.
Malheureusement maintenant le Dr Holstein avait été découvert, déjà que l'incident du scanner avait éveillé quelques soupçons mais ce qui était arrivé hier n'avait fait que les confirmer et avec la copie de scanner qu'il avait en mains le Dr Holstein avait la preuve irréfutable que Maeva était loin d'être une enfant ordinaire.
Certes elle souffrait d'amnésie et de problèmes respiratoire mais vu ce qui était implanté dans son corps il y avait de quoi être interpeller, le Dr Holstein avait des doutes sur la nature humaine de Maeva mais également sur son comportement.
Si ce petit monstre comme il l'avait qualifié était loin d'être une humaine ordinaire il y avait surtout le fait que cette dernière c'était montrée particulièrement agressive envers le personnel et les patients, un malheureux concours de circonstances avait voulu que Maeva s'attaque à Vanessa Sidoroff .
Et ce que le Dr Holstein craignait plus c'était que le père de cette dernière ne retire sa fille de l'hôpital,s'il venait à faire sa les finances de l'hôpital pourrait en pâtir énormément.
afin de calmer les esprits et de satisfaire l' égocentrisme de certaines personnes le Dr Holstein prit des mesures draconiennes à l'encontre du Dr Robinson et de Maeva.
Dr Holstein : Dr Robinson je vous annonce officiellement que la garde de votre patiente va vous être retirée
Dr Robinson : Quoi !!!! qu'est-ce que vous venez de dire.
Dr Holstein : ne me forcer pas à me répéter sachez seulement qu'à compter de demain votre patiente sera transférée dans un autre hôpital.
Vous ne pouvez pas faire ça dit Dr Robinson.
Oh que si je peux et je vais le faire répondit Dr Holstein.
Cette nouvelle file à l'effet d'un choc pour le Dr Robinson, il ne s'attendait pas à un tel coup en traite,la garde de Maeva allait lui être retirée si cette dernière serait envoyé dans un autre hôpital malheureusement pour le médecin les mauvaises nouvelles ne s'arrêtaient pas la.
Le Dr Holstein brandi une menace à l'encontre du Dr Robinson,celui-ci lui fit savoir qu'il avait l'intention de le renvoyer pour faute professionnelle , l'excuse pour renvoyer cet indélicat médecins le Dr Holstein l'attendait depuis longtemps et là sur un coup du sort le Dr le Dr Robinson venait de lui servir sa tête sur un plateau d'argent.
Le brave médecin aurait pu protester à ce moment-là contre une décision aussi arbitraire malheureusement cette dernière était parfaitement fondée,en ayant sciemment dissimuler des informations sur l'état de santé d'une personne le Dr Robinson c'était lui-même condamné.
Mais son renvoi n'était pas la chose qui le perturbait le plus,il allait être séparé de maeva et cela était un coup très dur accusé et personne ne pourrait aller à l'encontre de ceci.
Trop content de lui le Dr Holstein poussa le vice jusqu'à exiger que le docteur Robinson lui fasse une lettre de démission qu'il devrait lui donner le lendemain même,ainsi ce dernier aurait le déplaisir de pouvoir voir sa patiente se faire emmener loin de lui,cette dernière décision finit de miner le moral du Dr Robinson.
Tous ce que l'on pût voir la sortie de cet entretien,c'était un homme dont le moral était passablement atteint,voulant se faciliter la tâche le Dr Robinson n'eut pas le courage d'aller voir sa patiente il préféra rentrer chez lui et réfléchir à la situation actuelle et préparer sa lettre de démission sans se douter qu'un événement dramatique allait se produire le soir même.
-------------------------------- Le journal de Maeva 29 septembre 2005 -------------------------------
Cher journal aujourd'hui j'ai pratiqué une nouvelle séance d'hypnose avec le Dr,comme à mon habitude je me suis retrouver dans le monde de Lyoko... ce monde est toujours aussi hostile qu'a l'accoutumée .... en explorant plus en détail les tréfonds de ce monde je me suis à nouveau retrouvé en face du miroir sans reflets.....je ne pourrais pas expliquer pourquoi mais à travers ce dernier gère vécu l'un des pires moments de mon existence.... mon viol......
############################ FLASHBACK ############################
La journée c'était terminée calmement pour Maeva,bien que étrangement le docteur n'était pas venu lui dire bonsoir cette fois-ci....avait-il eu un empêchement ? c'est ce que maeva se dit alors.
Tranquillement installée dans sa chambre personne n'était venu la déranger depuis le repas,afin de se changer un peu les idées Maeva avaient commencé à lire un grand livre sur l'histoire de la France.
afin de varier ses occupations la jeune fille c'était intéressée à la géographie,et ce qu'elle put découvrir ce que le monde extérieur était plein de merveille,merveille qu'elle ne désespérait pas de pouvoir voir un jour.
Alors que l'histoire de la capitale française la tenait en haleine elle sentit rapidement la fatigue la gagné,elle bâilla à plusieurs reprises c'était la le signal lui indiquant qu'il était temps pour elle d'aller se coucher,elle posa son livre sur sa table de chevet et éteignit sa lampe.
Bien que fatigués Maeva eu du mal à s'endormir tout de suite, beaucoup de pensée accablait l'esprit de la jeune fille, elle n'arrêtait pas de repenser aux événements d'hier est à ce que lui avait dit le Dr Robinson mais ce qui l'intriguait le plus c'était que ce dernier n'était pas venu la voir avant de rentrer chez lui.
Alors qu'elle essayait de faire abstraction de ceci un bruit étrange attira son attention,son ouïe très fine entendit une certaine activité derrière la porte de sa chambre,soudain la serrure électronique se déclencha,Maeva sentit alors un petit souffle d'air traverser la pièce à l'ouverture de la porte,plongé dans le noir est à moitié endormi Maeva ne pouvait pas voir ce qui passait dans sa chambre mais à première vue quelqu'un venait de s'infiltrer à l'intérieur de la pièce.
Il y a quelqu'un demanda Maeva
Mais personne ne répondit,la jeune fille scruta la pièce du regard,tapi dans la pénombre elle finit par apercevoir une forme dans un coin de la pièce, à ce moment-là Maeva voulu allumé sa lampe de chevet, elle porta sa main en direction de l'interrupteur mais ce fut à ce moment précis qu'une masse sombre émergea de nulle part,elle saisit fermement la main de Maeva,surpris la jeune fille voulue pousser un cri mais une main froide se plaqua contre sa bouche étouffant du coup tous cri de détresse.
Paniqué Maeva commença à s'agiter dans son lit à l'aide de son autre main libre elle essaya d'enlever la mains qui était posé sur sa bouche mais elle n'y parvint pas,son mystérieux agresseur exerçait une étreinte trop forte pour que la jeune fille puisse s'en défaire,sa deuxième main fut relâchée mais Maeva n'eut pas le temps de s'en servir pour faire quoi que ce soit car elle sentit soudain une énorme douleur dans son bas-ventre.
Quelqu'un venait de lui donner un coup de poing dans l'abdomen ,le choc fut si violent qu'il fit horriblement souffrir la jeune fille mais les choses ne s'arrêtait pas là ,Maeva senti sa tête s'aplatir en arrière sur le matelas,son agresseur venait de retirer le coussin sur lequel Maeva se reposait,l'agresseur retira sa main de la bouche de Maeva, mais là encore la jeune fille n'eut pas le temps de pousser le moindre cri car à peine ouvrit elle la bouche que tout son visage fut recouvert par le coussin.
le mystérieux agresseur venait d'appliquer le coussin contre le visage de Maeva,complètement prisonnière Maeva ne parvenait plus à respirer,elle se débattit de toutes ses forces pour essayer de se libérer mais là encore ses efforts furent vains son agresseur tenait fermement l'oreiller contre son visage et comptait bien ne pas lâchez prise
Maeva a senti bien que ses forces commencèrent à l'abandonner très rapidement elle sombra dans un état de semis inconscience.
conscient que sa victime était tombée dans le cirage le mystérieux agresseur retira l'oreiller quand il fit ça il laissa la place à un spectacle pas très jolie,c'est à peine si Maeva respirait mais elle était toujours vivante,visiblement la personne qui l'avait agressé ne voulait pas la
tuer ils c'était simplement contenté de l'étouffer jusqu'à ce que cette dernière perde conscience
Maintenant que Maeva était inconsciente,l'agresseur lui saisit les poignets il les rabattit en arrière par-dessus la tête de Maeva pour les poser contre les barreaux du lit,il sortit alors un rouleau de scotch de sa poche avec lequel il attacha solidement les mains de Maeva,il coupa soigneusement un petit morceau de scotch pour l'appliquer sur la bouche de Maeva afin de l'empêcher de crier.
Une fois sa sale besogne terminée il rangea à nouveau le rouleau de scotch dans sa poche,après quoi il commença à déboutonnés le haut du pyjama de Maeva,quand ce fut fini il fit glisser le vêtement le long du corps de Maeva pour l'amener jusqu'à ses poignées attachées contre les barreaux,par la suite il s'attaqua au pantalon de pyjama qu'il retira complètement.
Maintenant Maeva était à demi nu dans sa chambre seuls ces sous-vêtements protégeaient encore ces parties intimes,c'est alors que la jeune fille commença à reprendre conscience,affolées elle compris rapidement ce qui ce passait.
devant elle se dressait la masse sombre qui l'avait agressé et mit dans cet état,Maeva avait beau faire elles ne pouvaient pas distinguer de qui il s'agissait pourtant à ce moment-là un rayon de lune vint éclairer la pénombre de sa chambre et c'est avec horreur que Maeva vit qui était son agresseur.
Son mystérieux agresseur n'était autre que Samuel l'infirmier,c'est lui qui venait de séquestrer la pauvre Maeva.
Maintenant espèce de petite garce je vais te faire passer l'envie de te foutre de moi devant tout le monde lui fit Samuel
à peine eut-il dit sa que Samuel commença à se coucher sur Maeva,caressant le bas du ventre de la jeune fille il commença à s'adonner aux pires attouchements, pendant plus de cinq minutes il effleura toutes les parties du corps de Maeva avant de passer aux choses sérieuses.
Maeva devina aisément les attentions de Samuel elle se senti déjà souiller à l'avance,mais elle ne pouvait rien faire elles n'était qu'une poupée désarticulé aux mains d'un sale pervers
Ce dernier ne se privait pas d'ailleurs de profiter du corps de sa victime,il posait des baiser sur tout le corps de Maeva tout en descendant progressivement vers son bas-ventre.
Et maintenant je vais t'apprendre ce qu'est la vie lui dit Samuel en débouclant sa ceinture et en déboutonnant son pantalon.
Ce qui allait suivre Maeva le devina aisément quand Samuel lui descendit sa petite culotte jusqu'aux chevilles,le sadique infirmier se coucha à nouveau sur le corps de Maeva,une peur immense naquit dans le coeur de Maeva celui-ci battait à 100 à l'heure son souffle était cours et saccadés, Maeva savait que dans quelques secondes Samuel allait commettre un acte horrible et dégradants.
Ce fut une peur si intense qui s'imprègna dans une Maeva en larmes que celle-ci déclencha un phénomène étrange,du plus profond de son être Maeva sentit soudain une puissance extraordinaire montée en elle,galvanisée par une force inconnue Maeva parvint à briser le scotch qui la retenait et ce fut quasi instinctivement qu'elle posa ses mains sur les tempes de Samuel.
surpris par un tel geste ce dernier n'eut pas le temps de réagir car des décharges électriques lui traversèrent la tête,prisonniers de l'étreinte de Maeva Samuel ne parvint pas à se libérer quoi que lui faisait Maeva cela semblait terrible car Samuel semblait souffrir le martyre son visage convulsa, ces yeux roulèrent en arrière et tout son corps se mit à trembler.
Maeva dévisageait avec haine le pauvre Samuel au travers de ces yeux sans pupille,personne ne fut la pour le voir mais un sourire narquois se dessina sur le visage de Maeva, visiblement cette dernière prenait du plaisir à faire souffrir son bourreau.
Mais aussi soudainement que le phénomène était apparut celui-ci disparu rapidement,Maeva retrouva alors sa lucidité,elle lâcha alors le pauvre Samuel qui s'écroula sur le sol paralysé est tétanisé parce que cette dernière venait de lui faire.
aussitôt Maeva retira le scotch sur sa bouche et se mit à pousser un hurlement terrible qui résonna à travers tout le couloir un peu partout les lumières commencèrent à s'allumer et les infirmiers de services qui passaient par là à ce moment pénétrèrent dans la chambre de Maeva.
Ce qu'il virent à cet instant était tout bonnement extraordinaire au pied du lit de Maeva gisait le corps inanimé de Samuel tandis que la jeune fille c'était recroquevillée dans un coin de son lit ces jambes bien contre elle.
Bon sang qu'est-ce qui c'est passer demanda l'un des infirmiers
il a essayé de me violer répondit alors Maeva.
chapitre 27 projet captage 1974 deuxième partie
05 mars 2005
"Vous voyez cette photo je l'ai prise en décembre 1981"
C Perec : bon sur cette photo on reconnais bien Waldo schaeffer mais la femme qui est à côté de lui qui est ce ?
Sigmund : il s'agit de sa femme Anthea Hopper.
C Perec : alors c'est elle Anthea.
Sur la photo en noir et blanc que venait de montrer Sigmund au deux militaires,on pouvait distinctement voir Waldo est Anthea l'un contre l'autre en combinaison de ski,visiblement la photo les représentait devant le petit chalet où tout le monde se trouvait actuellement.
M Cartwright : vous dites que c'est sa femme ?
Sigmund : oui pourquoi ça vous étonne.
M Cartwright : non c'est juste qu'il n'a jamais été mentionné nul part que Waldo schaeffer et épouser qui que ce soit.
C Perec : voyons major vous me l'avez dit vous-même quand nous étions encore à l'hôpital
M Cartwright : je n'ai fait que supposer que Anthea était marié, on en a aucune preuve en faite.
C Perec : c'est vrai ma fois sur la copie de l'état civil de Waldo il est clairement marquer qu'il est célibataire.
M Cartwright : vous voyez c'est plutôt étrange.
Sigmund : si vous voulez je peux dissiper ce doute en vous confirmant que Waldo avait bien épousé Anthea.
M Cartwright : mais si c'est le cas on devrait trouver trace quelque part de cette union.
Sigmund : ça n'a jamais été un mariage civil mais un mariage d'amour dans la pure tradition Viking
M Cartwright : la tradition Viking ?
Sigmund : c'est un élément important de la vie de Waldo cet homme est un passionnée de mythologie scandinave.
C Perec : je vois les dieux du nord ... Odin ... Thor et tous les autres
M Cartwright : bon admettons qu'il a épousé en secret cette femme mais pourquoi nous parlez vous d'elle ?
Sigmund : c'est une excellente question Major il est vrai que je ne vous est pas montré cette photo au hasard.
M Cartwright : et peut-on savoir pourquoi ?
Sigmund : tout simplement parce que Anthea également liées au projet Carthage.
Voilà une nouvelle révélation qui ne manqua pas de surprendre les deux militaires,Sigmund leur expliqua alors que Anthea n'était pas directement lié à ce projet car elle en ignorait l'existence,elle avait juste été rattachée au projet en tant qu'assistante du professeur Dietrich Schmitz
C Perec : si je vous comprends bien Anthea travaillait pour sur le projet Carthage mais ne le savait pas.
Sigmund : elle avait été engagée comme biologiste.
C Perec : une biologiste ?
Sigmund : oui Anthea n'était pas qu'une simple assistante c'était aussi une scientifique expert en biotechnologies,on peut même dire que c'était meme une génie dans ce domaine.
C Perec : une scientifique de plus alors.
M Cartwright : et qu'est-ce qu'une experte en biotechnologies faisait sur ce projet.
Sigmund : sa tâche consistait à analyser des prélèvements sanguins pour le compte d'un laboratoire indépendant,afin de vérifier les dégâts que pouvaient occasionner des radiations sur les cellules vivantes.
C Perec : des radiations ?!
Sigmund : oui à cause du plutonium que les scientifiques utilisaient pour le projet Carthage.
C Perec : une minute c'est quoi ce délire !!! vous êtes en train de me dire que leur super-ordinateurs fonctionnait à l'énergie atomique.
Sigmund : ce serait un peu technique à vous expliqueez mais d'une certaine manière oui,et le rôle de Anthea était de vérifier si les radiations émise par le coeur du système ne présentait pas un risque pour les scientifiques qui travaillaient dessus.
C Perec : et elle ne s'est jamais posée de questions sur la nature du travail qu'elle faisait
Sigmund : bien sûr que non car comme à tous les autres on lui avait caché la vérité, le projet Carthage était une opération militaire secrète, seule trois personnes était au courant de sa véritable nature.
C Perec : qui était ces personnes ?
Sigmund : il y avait Henry Hopkins,votre père et Dietrich Schmitz
C Perec : si je comprends bien tous les autres ignorait pour qui ils travaillaient vraiment
Sigmund : c'est la cas en vérité il croyait travailler pour la société de Henry Hopkins,mais ce qu'ils ignoraient ce que sa société avait été contactée par une branche secrète du gouvernement pour réaliser ce projet.
C Perec : et comment l'armée a-t-elle pu convaincre ce monsieur de collaborer à un tel projet
Sigmund : la réponse est simple Henry est aussi un homme d'affaires,pas la peine que vous en dise plus...
C Perec : je vois encore une affaire de gros sous,et mon père dans tout ça
Sigmund : il était le représentant officiel des services secrets et de l'armée,il devait superviser cette opération pour le compte de ses supérieurs.
C Perec : et c'est pour ça qu'il c'est fait passer pour un militaire à la retraite
Sigmund : c'était la meilleure couverture qui soit.
C Perec : je comprends un peu mieux qu'elle était son rôle dans tout ça,et sinon que pourriez-vous nous dire sur le troisième homme.
A cet instant Sigmund se tut et ne dit plus rien,il resta un court instant assis sur son fauteuil à observer le colonel Perec,le comportement étrange que venait soudainement d'adopter le vieux scientifique ne manqua pas d'interpeller le militaire apparemment celui-ci avait quelque chose de très importants à dire et il voulait prendre son temps.
Sigmund : Dietrich Schmitz ah oui il fallait bien que j'y arrive à celui-là .
C Perec : pourquoi cela ?
Sigmund : comme vous l'avez sûrement lu cet homme a rejoint le projet très tardivement.
C Perec : en effet Waldo la consigné dans son journal.
Sigmund : mais ce que Waldo n'a jamais pu préciser et c'est ce qui s'est passé après l'arrivée de cet homme.
C Perec : c'est qui est plutôt normal vu que le contenu du journal s'arrête peu de temps après.
Sigmund : oui et c'est dommage car c'est là que l'histoire débute vraiment.
C Perec : que voulez-vous dire ?
Sigmund : simplement que cet Dietrich Schmitz est responsable de tout ce qui s'est passé par la suite...
Sigmund expliqua alors aux deux militaires que Dietrich Schmitz était un scientifique spécialiste en électronique et en physique appliquée il était originaire de l'Allemagne de l'Ouest,pour des raisons pratiques il avait été fraîchement débarqué sur ce projet dans le but d'une collaboration franco-allemande.
En plus de son expérience il avait emmené dans ces bagages son assistante personnelle qui n'était autre que Anthea Hopper,c'est ainsi que le colonel apprit que Anthea fut la seule femme à être rattaché au projet même si cette dernière ignorait de quoi il s'agissait.
C Perec : donc si je comprends bien Anthea a été introduite dans ce projet par l'intermédiaire de ce Dietrich Schmitz
Sigmund : c'est exactement cela
C Perec : et que s'est-il passé ensuite ?
Sigmund : en tant que biologiste Anthea à fut amené à rencontrer tous les membres de l'équipe y compris Waldo est c'est la que....
... et c'est là que quoi ? demanda le major
Sigmund : quand Anthea est Waldo se son rencontrer ce fut le coup de foudre entre les deux.
M Cartwright : comme c'est adorable
C Perec : je vous en prie Major ne vous laissez pas attendrir
M Cartwright : désolé mon colonel c'est juste que une histoire d'amour de ce genre la....
... vous aimeriez bien que ça vous arrive répondit le colonel.
Euh non pas du tous bafouilla aussitôt le major.
allez allez je suis sûr du contraire ironisa le colonel.
M Cartwright : sauf votre respect mon colonel c'est une insinuation stupide sans fondement.
C Perec : tiens donc vous allez me dire que vous n'êtes pas une fan des pétales de l'amour
M Cartwright : pas du tout les histoires à l'eau de rose très peu pour moi,surtout quand celle-ci se passe sur un bateau.
C Perec : sur un bateau !! ça veut dire que vous connaissez
M Cartwright : mais non pas du tout.
Sortant complètement du cadre de la discussion les deux militaires commencèrent à parler des séries télé et des "Soap Opéra" aux grands dam de Sigmund qui aurait espéré un peu plus de sérieux de la part de ses interlocuteurs.
Dites donc vous deux ça vous dérange si je raconte la suite de l'histoire les interrompit Sigmund.
C Perec : euh non pas du tous veuillez continuer...
M Cartwright : oui faites.
Sigmund : ou en etait-je déjà .
C Perec : avant que le major ne me sorte de théorie sur les feux de l'amour vous en étiez au coup de foudre.
Face à cette insinuation le major préféra ne rien répondre,mais cette remarque désobligeante sur les feux de l'amour deplus fortement au major qui entendait bien faire une remarque plus tard mais pour l'heure seule comptait le récit de Sigmund
Sigmund : donc comme je disais il fallu malheureusement que c'est deux la tombe amoureux.
C Perec : pourquoi dites-vous malheureusement,c'est une bonne chose en générale.
Sigmund : sauf que dans le cas présent leurs relations était une occasion inespérée pour Dietrich Schmitz.
C Perec : une occasion pour quoi faire.
Sigmund : une occasion idéale pour saboter le projet Carthage.
C Perec : quoi que ce que vous venez de dire ?
Sigmund : la vérité colonel car Dietrich Schmitz n'est autre que la personne qui est responsable du sabotage du projet Carthage et parallèlement de la mort de votre père.
A cet instant le sang du colonel ne fit qu'un tour,alors que depuis le début les révélations se succédaient les unes derrière les autres voilà que Sigmund lui apprenait que son père avait été victime d'un attentat perpétré par un seul homme et les révélations du vieux scientifique n'allaient pas s'arrêter en si bon chemin car ce qui allait suivre risquait fort de perturber le colonel.
Le colonel apprit de la bouche même de Sigmund que Dietrich Schmitz était en fait un agent des services secrets russes (le KGB),sa mission consistait à s'infiltrer dans le projet Carthage pour recueillir des informations et à les transmettre aux soviétiques,mais ceci n'était seulement que la première partie de sa mission,il avait également pour objectif de saboter le projet de l'intérieur et la relation naissante entre un des scientifiques et son assistante était pour lui une occasion inespérés.
Grâce à divers ruses et subterfuges il réussit à manipuler le pauvre Waldo par le biais de Anthea,Sigmund fit comprendre aux deux militaires que pour Dietrich Waldo serait le parfait bouc émissaire,c'est ainsi que pendant les deux ans qui précédèrent la destruction du projet Carthage,Waldo fut floués par Dietrich qui l'obligea sans le savoir à lui fournir toutes les informations qu'il avait sur le projet Carthage.
Puisque Waldo était le mathématicien chargé de contrôler tous les calculs,il avait par définition accès à bon nombre de formules mathématiques classé top secrètes.
C Perec : si je comprends bien Waldo c'est fait manipuler.
Sigmund : et croyez moi ça ne s'arrête pas là .
C Perec : je m'en doute bien.
Sigmund repris ces explications devant un public médusé par ces révélations,c'est ainsi que le major et le colonel apprirent que Dietrich vendait ces formules mathématiques aux Russes,et bien qu'étant un agent placé par leurs bons soins Dietrich trouva plus lucratifs de faire payer ces services.
C Perec : dite donc il ne perdait pas le Nord celui-lÃ
Sigmund : cet homme était un vrai profiteur, qui savait tirer parti de tous
C Perec : et ça lui a rapporté beaucoup.
Sigmund : on peut chiffrer çà en millions de francs pour l'époque bien sûre.
C Perec : des millions pour seulement quelques formules
Sigmund : des formules révolutionnaires pour l'époque,ça valait son pesant d'or.
C Perec : et combien de temps cela a-t-il duré
Sigmund : deux ans ... deux ans pendant lesquels Waldo est Anthea n'ont rien vu venir
Au vu de ces révélations extraordinaire il apparu claire au colonel que Waldo n'était qu'une victime,mais ce que Sigmund lui révéla par la suite sur la nature cupides de Dietrich fut encore plus étonnant,non content de toucher de l'argent pour les formules mathématiques,cet homme avait également détourné du matériel radioactif pour le revendre à des terroristes arabes c'est ce qui d'une certaine manière scella la fin du projet Carthage.
C Perec : que voulez-vous dire par là ?
Sigmund : détourner des formules c'est une chose mais volé du plutonium c'est plus délicat,une telle disparition ne passerait sûrement pas inaperçu.
C Perec : et quelle solution a-t-il trouvé pour ça.
Sigmund : Dietrich n'avait qu'une seule solution il devait détruire le projet Carthage.
C Perec : vous voulez dire que..
Sigmund : oui colonel c'est lui qui est responsable de l'accident qui a détruit le laboratoire le 14 avril 1979.
C Perec : comment voulait-il procéder ?
Sigmund : son plan était parfait,en détruisant le laboratoire ils masquaient la disparition du plutonium dans les décombres est d'une pierre deux coups il éliminaient tous les scientifiques du projet pour le compte des soviétiques.
C Perec : et il pensait que personne ne remarquerait rien ou que les services secrets ne se poseraient pas des questions.
Sigmund : bien sûr il avait tout prévu s'est pour sa qu'il lui fallait un bouc émissaire
C Perec : Waldo schaeffer...
Sigmund : Waldo faisait le coupable idéal,afin que les soupçons retombent sur lui,Dietrich a fabriqué toute une série de fausses preuves incriminant le pauvre Waldo.
C Perec : mais Waldo aurait très bien pu clamer son innocence et prouver le contraire.
Sigmund : sauf que les morts ne parlent pas
C Perec : les morts !!!
Sigmund : quelques heures avant de saboter le projet Dietrich avait attiré Waldo est Anthea dans un piège,
C Perec : quel genre de piège ?
Sigmund : ils les avaient invités à manger au restaurant,bien sûr ce n'était qu'un prétexte pouvoir les drogués à coups de somnifères.
C Perec : et ensuite
Sigmund : ensuite il allait faire en sorte que Waldo est Anthea soit victime d'un accident de voiture.
C Perec : pourquoi voulait-il les éliminés de cette façon ?
Sigmund : pour les faire taire est surtout pour que tous les soupçons se reportent sur eux
M Cartwright : c'est logique en les faisant mourir il les empêchaient de clamer leur innocence.
Sigmund : finement observé Major pour cela il avait caché de fausses preuves et une importante somme d'argent dans le véhicule,ces preuves incriminait Waldo en le faisant passer pour un agent soviétique.
C Perec : très malin de sa parts
Sigmund : je ne vous le fais pas dire après quoi il n'avait plus qu'à jeter la voiture dans un ravin,tous en sachant que la chute tuerais Waldo et Anthea mais ne détruirait pas les preuves
C Perec : et je suppose que plus tard les services secrets aurait retrouvés la voiture et les preuves et par déduction il en aurait conclu que Waldo était le traître.
Sigmund : le crime parfait.
La tactique qu'avait voulu employer Dietrich été très subtile en en faisant passer Waldo est anthea pour des amants,il comptait sur la suspicion des services secrets pour les faire accuser,la mort tragique d'un couple dans un accident de voiture et chose fréquente,mais le récit de Sigmund était bien loin d'être fini
Sigmund : bien sûr il ne les a pas éliminés tout de suite il a pris soinde les a laissés dans un coin ou personnes ne pourrait les trouver,sa priorité était avant tout de détruire le projet Carthage.
C Perec : et apparemment il y est parvenu
Sigmund : malheureusement oui mais tout ne s'est pas passé comme prévu car votre père a découvert le pot aux roses,
C Perec : mon père aurait réussi a déjouer ça duplicité
Sigmund : Dietrich voulait faire sauter le laboratoire à l'aide d'explosifs qu'il avait disséminé un peu partout,seulement il n'avait pas prévu de l'intervention de votre père.
C Perec : et que s'est-il passé
Sigmund : votre père a surpris Dietrich alors qu'il était en train d'armer la minuterie,on peut dire qu'un combat à mort s'est engagé entre les deux hommes,bien sûr fort de son expérience au combat Antoine a réussi à neutraliser Dietrich mais c'était déjà trop tard.
C Perec : trop tard
Sigmund : une première bombe avait explosé tuant sur le coup la majorité des scientifiques présents dans le laboratoire,le reste des charges avait pour but de détruire tout le reste du complexe.
C Perec : mon père n'a pas pu empêcher ça.
Sigmund : non car votre père a également été victimes d'une de ces explosions.
C Perec : et comment as t 'il pu survivre
Sigmund : c'est moi qui l'est sorti de la
C Perec : si je comprends bien vous lui avez sauvé la vie.
Sigmund : il venait de me sauver la vie a moi est Henry c'était tout naturel, j'ai réussis à le sortir d'un château en feu,et je peux vous avouer que ça n'a pas été sans mal.
M Cartwright : est qu'est devenu Dietrich Schmitz
Sigmund : il a péris dans l'explosion qu'il avait lui-même provoqué
C Perec : mon père faisait donc partie des quatre survivants du projet Carthage.
Sigmund : avec moi Henry et Waldo ça faisait trois,4 si on compte Anthea.
C Perec : grâce à lui que vous avez tous pu vous en sortir sains et saufs.
Sigmund : presque sains et saufs
C Perec : que voulez-vous dire.
Sigmund avait une terrible révélation à faire au colonel,le vieux scientifique se demandait si le jeune homme qu'il avait en face de lui était prêt à entendre la vérité qui concernait son père mais par respect envers l'homme qui lui avait indirectement sauvé la vie Sigmund estima que son fils devait connaître la vérité.
Sigmund : colonel vous devait savoir que suite à cette explosion votre père ne s'en est pas sorti indemne.
C Perec : que voulez-vous dire ? que s'est-il passé ?
Sigmund : la première explosion avait libéré un gaz radioactif dans tous le complexe est malheureusement votre père en a respiré.
C Perec : qu'est-ce que vous dites.
Sigmund : je vous explique la les véritables raisons du décès de votre père,ce dernier a été empoisonné en respirant se gaz
C Perec : ce n'est pas possible ce que vous dites
Sigmund : colonel vous savez mieux que moi que votre père est mort d'un cancer des poumons.
C Perec : oui c'est vrai c'est cette maladie qui l'a emporté
Sigmund : maintenant vous savez ce qui est à l'origine de ce cancer
La nouvelle fit l'effet d'une bombe sur le colonel ce dernier ne s'attendait pas en venant ici à découvrir l'horrible vérité sur la mort de son père.
En faisant son devoir le colonel Antoine Perec avait été exposé à un gaz radioactif mortel,celui si au bout de quelques mois avait déclenché une tumeur au niveau de ses poumons entraînant rapidement la mort du courageux soldat
L'acte héroïque par lequel celui-ci c'était illustré avait été bien mal récompensé car derrière lui il laissait une veuve et un jeune fils sans père.
Le colonel était complètement atterré par cette nouvelle, le major assis à côté de lui ne trouva rien à dire pour essayer de lui remonter le moral, qu'aurait-elle pu dire cet instant-là les faits c'était passé il y a 25 ans des condoléances mêmes sincères ne sauraient que trop tardive,Sigmund lui-même ne pouvait rien dire face à une telle ironie du sort.
C Perec : je ne m'attendais vraiment pas sa
Sigmund : je peux vous comprendre
C Perec : mon père .... empoisonné...
M Cartwright : colonel....
le moral du colonel venait d'en prendre un coup, pourtant curieusement il se sentait un peu soulagé toutes les années qu'il avait passées à se poser des questions avait enfin trouver une réponse,au moins maintenant la mort de son père avait un sens,même si quelques par le petit garçon qui était en lui,"le petit filou" de son père avait toujours été très triste de l'absence de son papa.
M Cartwright : colonel
C Perec : oui Major
M Cartwright : vous allez bien ?
Oui Major ne vous en faites pas tout va bien maintenant lui répondit le colonel
M Cartwright : vous êtes sûrs
C Perec : de ce côté-là je suis affirmatif.
Le coup était dur accusé pour François,mais ce dernier n'était plus un enfant il était devenu un homme,et il se devait d'agir en tant que telle il prit alors sur lui et demanda au vieux scientifique de continuer son récit.
C Perec : professeur Kessel je vous en prie continuer
Sigmund : vous êtes sûrs
C Perec : je dois tout savoir c'est important
Sigmund : soit alors je continue
La suite de l'histoire prise une tournure encore plus tragique Sigmund expliqua qu'après l'incident les services secrets et l'armée débarquèrent sur le site pour mener leur enquête et prêter main forte aux survivants.
Henry et Sigmund furent emmenés par les services secrets tandis que le colonel fut transporté à l'hôpital.
Pendant ce temps-là Waldo avait repris conscience dans la voiture où il se trouvait,ne comprenant pas comment lui et Anthea avait pu se retrouver dans ce véhicule ils décidèrent de retourner au château
Quand ils arrivèrent sur les lieux c'est là que Waldo découvrit tout le remue-ménage, méfiant il préféra rester à l'écart pour observer ce qui se passait quand il vit que Sigmund et Henry se faire emmené par des militaires Waldo décida de ne pas se montrer.
C Perec : et qu'as fait Waldo à ce moment-là .
Sigmund : il n'a pas fait le meilleur choix qui soit.
C Perec : c'est-Ã -dire
Sigmund : il a pris la fuite avec Anthea.
C Perec : quoi comme ça !! sans même prendre la peine de savoir ce qui c'était passé
Sigmund : Waldo avait bien deviné ce qui c'était passé
C Perec : et il a cru que fuir arrangerait tout
Sigmund : il a paniqué... c'est compréhensible ....qu'auriez-vous fait à sa place.
Apeurée par la situation Waldo avait donc décidé de fuir en compagnie de Anthea,à l'aide de la voiture dans laquelle il se trouvait il se rendit dans un endroit où personne ne pensait à venir le chercher,cet endroit n'était autre que le chalet de Sigmund.
C Perec : il serait donc venu se réfugier ici
Sigmund : oui il le connaissait car il avait eu l'occasion d'y emmener anthea le temps d'un week-end.
Sigmund : dès le lendemain même de l'accident il a emménagé dans cet endroit
M Cartwright : mais je ne comprends pas les services secrets ne se sont pas mis à sa recherche
Sigmund : pas tous de suite avant ça il fallait encore identifier les corps retrouvés dans les décombres et cela a pris plusieurs semaines.
C Perec : et qu'on fait les autorités à ce moment-là .
Sigmund : le gouvernement a mis des scellés sur le site et l'affaire fut classé top secrète
C Perec : et pour vous comment ça s'est passé.
Sigmund : pour ma part j'ai été interrogé par les services secrets mais n'ayant pas été impliqué dans l'histoire se fut disculpées de toutes charges.
C Perec : et Waldo
Sigmund : pour lui ça était plus délicat il n'est pas réapparu ce qui a fait de lui le suspect numéro un dans cette affaire
C Perec : et les preuves fabriquées par Dietrich
Sigmund : elles n'ont jamais pu servir contre Waldo car sa simple fuite avait suffi à le rendre suspect.
C Perec : pourtant mon père aurait pu témoigner en sa faveur puisqu'il avait découvert que Dietrich était le traître.
Sigmund : mais il n'avait rien pour le prouver.
C Perec : sa parole d'officier aurait dû suffire.
Sigmund : cependant les hauts responsables voulaient la tête de quelqu'un quoi qu'il arrive il leur fallait un coupable.
C Perec : vous voulez dire que même sans preuve ils auraient accusé Waldo
Sigmund : vous savez à cette époque c'était la guerre froide le simple fait d'être suspect faisait de vous un coupable.
C Perec : c'est vraiment n'importe quoi.
M Cartwright : et ils n'ont jamais pu trouver et la duplicité de Dietrich.
Sigmund : ils n'ont pas vraiment cherché et à cause de cela durant des années waldo a été obligé de vivre clandestinement.
C Perec : mais je ne comprends pas avec les dossiers que mon père avait collectés sur chacun des membres ils auraient facilement que le retrouver
Sigmund : c'est vrai seulement voilà ...
voilà à quoi demanda le colonel
Sigmund : ces dossiers ont été détruits en même temps que le projet Carthage.
C Perec : c'est bizarre ça des dossiers aussi sensibles n'aurait pas dû rester au même endroit
Sigmund : oui c'est vrai mais cette fois-ci votre père a été très négligents voire maladroit et même complètement stupide..
attendez vous vous moquez de mon père là où quoi fit le colonel un peu vexé par le comportement assez irrespectueux de Sigmund.
Sigmund : ne vous énerver pas colonel ,ce n'est pas ma faute si votre père s'est comporté comme un idiot irresponsable.
ça suffit comment osez-vous traiter mon père de cette façon fit le colonel.
Sigmund : comment voulez-vous ne pas qualifier de maladroits un homme qui a sa sortie d'hôpital a systématiquement brûler tous les dossiers qu'il avait constitués sur les membres du projet Carthage.
C Perec : qu'est-ce que vous dites ?!
Sigmund : je dis simplement que votre père est un maladroit qui a brûlé accidentellement ces dossiers.
Ce que révèla Sigmund à cet instant laissa totalement dubitatif le colonel,pourquoi son père aurait-il agi de la sorte,Sigmund demanda au colonel de se rasseoir il expliqua alors à ce dernier que son père avait agi de la sorte pour protéger Waldo.
C Perec : mais pourquoi a-t-il fait sa ?
M Cartwright :
Sigmund : votre père était un militaire,mais c'était aussi un homme d'honneur et un ami,et en tant que telle il ne pouvait pas accepter l'idée qu'un innocent soit condamné par sa hiérarchie...
C Perec : vous voulez dire qu'il aurait sciemment couvert la fuite d'un fugitif.
Sigmund : votre père savait que Waldo était innocent,mais il ne pouvait pas le prouver mais il savait où le trouver,il a donc fait en sorte de freiner l'enquête en conduisant les services secrets sur de fausses pistes...
M Cartwright : mais c'est de la trahison fit le major
Sigmund : non major c'est ce qu'on appelle du bon sens
Devant l'obstination de ses supérieurs à vouloir trouver un bouc émissaire le colonel Antoine Perec avait employé le peu de temps qu'il lui restait à vivre à protéger Waldo,de par son rang il avait réussi a faussé les pistes,si bien qu'il fallut des années au service secret avant de pouvoir mettre la main sur Waldo.
Mais l'action du colonel Antoine Perec ne se limita pas à sa,peu de temps avant de rentrer à l'hôpital il fournit a Waldo quelques documents secrets concernant Dietrich Schmitz ainsi que quelques une de ses affaires personnelles.
peut-être qu'avec le temps Waldo arriverait à en tirer quelque chose et que ce jour là il arriverait à prouver son innocence.
Sigmund : et pendant toutes ces années Waldo est sa femme ont pu vivre tranquillement ici,sans jamais être inquiété.
C Perec : leur vie passée ici a dû être monotone
Sigmund : vous savez colonel à deux il y a toujours moyen de s'occuper
je vois ce que vous voulez dire fit le colonel.
Sigmund : de plus un heureux événement est venu apporter un peu de lumière dans la vie de Waldo est Anthea.
M Cartwright : ils ont eu un enfant c'est ça
Sigmund : c'est exact comment avez-vous deviné ?
M Cartwright : simple déduction sur la photo que vous avez prise et il semblerait que Anthea était en enceinte.
Sigmund : bien observé major Cartwright, c'est exact en 1982 ans qui a accouché d'une petite fille.
C Perec : une petite fille
Sigmund : une adorable petite fille qui était tout le portrait craché de sa mère.
C Perec : et comment s'appelait elle
Sigmund : il l'avait baptisée Aelita
C Perec : Aelita voilà bien un drôle de nom.
Sigmund : c'est un nom d'origine russe.
C Perec : sacrée ironie du sort quand on sait que c'est les soviétiques qui les ont mis dans cette mer de
Sigmund : oui mais à l'époque Waldo l'ignorait que
C Perec : et par la suite
Sigmund : l'histoire se complique un tout petit peu,car malgré les années passé Waldo était toujours traqué par les services secrets,est malheureusement un jour ils ont fini par le retrouver.
C Perec : et ils ont réussi à l'arrêté
Sigmund : non ils sont venus ici pour enlever Anthea
C Perec : mais pourquoi les services secrets ont-ils fait ça ? après tous c'est Waldo qu'ils voulait pas sa femme
Sigmund : oui mais ce ne sont pas les services secrets habituels qui on fait ça mais une section appelée les hommes en noir
C Perec : les hommes en noir !
Sigmund : vous connaissez semble-t-il
C Perec : j'ai entendu parler de leurs agissements,mais quel rapport avec Waldo ?
Sigmund : à cause du plutonium qui avait disparu à l'époque du projet Carthage, en enlevant Anthea il voulait faire pression sur Waldo,malheureusement cela n'a pas eu l'effet escompté.
M Cartwright : pourquoi ne l'ont-ils pas enlevé lui directement pour le faire avouer
Sigmund : simplement parce que parfois les services secrets sont de vrais imbéciles en faisant sa il voulait obliger Waldo schaeffer a procédé à un échange.
C Perec : un échange quel genre d'échanges
Sigmund : sa femme contre ces contacts terroristes
C Perec : mais si je vous suis bien Waldo n'avait aucun contact avec des terroristes
Sigmund : lui le savait très bien mais les hommes en noir que étaient persuadé du contraire
C Perec : je comprends pourquoi vous les qualifier d'imbéciles
Sigmund : et la Waldo a totalement disparu avec sa fille.
C Perec : et que sont-ils devenus.
Sigmund : pour échapper à ses poursuivants il avait changé d'identité, désormais il se faisait appeler Franz Hopper.
chapitre 27 ce que j'ai découvert.
XX/XX/2005
----------------------------------------message vidéo de secours----------------------------------------
Ici Hitomi Aka je lance un appel au secours en espérant que quelqu'un pourra le recevoir...
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j'ai réussi a me réfugier dans la bureau du professeur Miller et j'utilise sont terminal de communication personnel pour envoyé se message de détresse.
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C'est une catastrophe notre projet XN 4321 et devenu complètement fou ... apparemment quelque chose a pris le contrôle de notre prototype.
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Nous sommes tous enfermé dans le laboratoire et tous le complexe a été verrouillé de l'intérieur.
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Nous sommes pris au piège.
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Le prototype a tuer le Dr Miller et deux de ces assistants alors que ces derniers on essayer de stopper le prototype.
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J'ai réussi à m'enfuir a temps de la salle des incubateurs.
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Cette chose ... elle traque et décime tous ceux qui lui font obstacle...... je ne sais combien de temps la porte blindé pourra tenir.
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Elle s'approche je le sens ....
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On ne peut laisser cette chose gagner la surface ... j'ai donc lancer le processus d'auto- destruction conçu pour éviter les risques de propagation bactériologique
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Tous le complexe va être détruit.
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Si je venais a échouer qui que vous soyez nous devrez la retrouver et la détruire
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Quoi qu'il arrive cette chose ne doit pas survivre.
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attendez ( la femme tourne la tête en direction de la porte).......non !!!! elle m'as retrouver........( la caméra se renverse)........ne t'approche pas de moi...... pitié...... (un flash de lumière apparaît et le message deviens enneigé)
----------------------------------------message vidéo de secours----------------------------------------
"où avez-vous vu ça ?"
Cela n'a pas la moindre importance Dr Hopper répondit Simon.
Dr Hopper : c'est important pour moi, je dois savoir car ceci est sensé être une communication privée.
Simon : oui je le sais parfaitement cette vidéo est issue de votre réseau personnel
Vous n'avez pas le droit d'espionner mes messages s'offusqua alors Anthea
Simon : pour ma part ce n'est pas de l'espionnage mais une découverte inopinées.
Dr Hopper : une découverte inopinées comment ça ?
Simon : c'est par hasard que j'ai découvert cette vidéo sur un des serveurs de l'entreprise.
Dr Hopper : par hasard !!!
Simon : suite au virus Tsunami nos techniciens ont effectué une analyse de nos serveurs et l'un a trouvé cette vidéo sur l'un des rares disques durs qui n'a pas été endommagés.
Dr Hopper : ce n'est pas possible !!!
Simon : si on considère que vous utilisez les réseaux sécurisés de l'entreprise pour passer vos petits messages personnels,il est normal qu'on en retrouve une traces.
Afin de se procéder à certains échanges secrets Anthea avait utilisé les serveurs de l'entreprise pour passer des messages,cela lui permettait d'envoyer et de recevoir des fichiers de façon très sécurisée,mais un défaut technique majeur avait dernièrement endommagé ces derniers,pendant plusieurs semaines les serveurs avaient été mis hors service,au cours d'un diagnostic l'un des techniciens était tombé sur ce message,mais comme celui-ci était endommagé il ne put le lire correctement,il transmit donc ces informations au premier responsable qu'il put trouver le hasard fit que ce jour-là ce fut Mr Watson
Après l'avoir écouté celui-ci comprit que le contenu de ce message était très important puisque celui-ci concernait Tanit et le Dr Hopper.
Il parvint à faire décoder ce message est quand il prit connaissance du contenu il comprit ce que Anthea avait manigancé,sans plus tarder et il s'en était aller trouver la scientifique en chef du projet Tanit pour lui faire part de ces découvertes
Simon : en tout cas ce n'est pas très joli ce que vous avez fait Anthea
Dr Hopper : vous n'avez pas à me juger pour ce que j'ai fait.
Simon : moi peut-être pas mais le docteur Hopkins lui le pourra.
Dr Hopper : attendez vous n'oseriez pas lui dire.
Simon : et pourquoi je m'en priverai après tout c'est vous avez détourné sciemment la technologie de Cyclotron pour permettre au docteur Miller d'effectuer des expériences sur le clonage.
Dr Hopper : et ça comment vous l'avez découvert
Simon : avec les informations contenues dans cette vidéo il m'as été facile de mener ma petite enquête et de découvrir vos petits la nature exacte de vos petits agissements secret.
Tels un détective privé Simon avait mené sa petite enquête,à partir des noms qui avaient été cité sur la vidéo il lui fut très facile de retrouver la trace de ces personnes et de découvrir ce qui leur était arrivé.
grâce à un subtil jeu de déduction et de recherche dans les archives de la société Simon était parvenu à découvrir ce que Anthea avait fait,et bien qu'en connaissant les véritables raisons qui avaient poussé Anthea à agir de cette façon il voulait l'entendre de la bouche même de cette personne.
Simon : je me demande bien pourquoi vous avez fait ça ?
Dr Hopper : inutile de jouer ce petit jeu avec moi vous savez très bien pourquoi j'ai agit de la sorte.
Simon : pour votre petite Tanit
Dr Hopper : oui pour Tanit je serais prête à tout.
Simon : y compris à passer un marché avec le diable où les savants fous.
Dr Hopper : pour arriver à mes fins ... OUI
Simon : finalement vous et moi on se ressemble.
Dr Hopper : je n'ai rien de commun avec vous,je ne suis pas un opportuniste mégalomane moi.
Simon : et moi je ne suis pas une pauvre folle obsédée par sa créature.
Dr Hopper : je ne vous permets pas de parler de Tanit en ces termes.
Simon : mais oui c'est vrai à vos yeux Tanit n'est pas un monstre, pourtant d'après ce que j'ai vu sur cette vidéo j'ai toutes les raisons de penser le contraire.
Dr Hopper : ce n'est pas Tanit c'est .....
... c'est quelque chose que vous avez créé pour Tanit mais apparemment tout ne s'est pas passé comme vous vouliez répondit Simon.
Dr Hopper : il y eut un petit imprévu.
Simon : votre "petit" imprévu a coûté la vie à de nombreuses personnes.
Dr Hopper : je ne suis pas responsable de cet accident.
Simon : mais vous en êtes la cause c'est vous qui leur avez fourni un super-calculateur est une micro puce Quadrihoppes, en faisant ça vous avez enfreint les règles de la société est bafoué l'éthique la plus élémentaire.
Dr Hopper : c'est vous qui osez parler d'éthique!!! vous petite vermine dont le seul rêve est de prendre le contrôle de cette société.
Simon : est alors chacun ces ambitions.
Dr Hopper : je ne suis pas aussi naïve que mon mari,j'ai bien analysé le genre d'individus que vous étiez.
Simon : peut-être mais dans le cas présent la personne qui est en faute ici c'est vous.
Anthea ne trouva rien à répondre à cela,aussi profiteur que puisse être Simon Watson elle était obligée d'admettre qu'il avait raison.
En détournant la technologies des super-calculateurs pour ces intérêts personnel le Dr Hopper avait commis une grave faute professionnelle,normalement tout ceci aurait dû rester secret Mais le hasard avait voulu que Simon tombe sur le dernier enregistrement vidéo envoyé par Hitomi Aka,ce message aurait pu être anodin si il n'avait pas fait référence au projet NX 4321,Simon avait tout de suite compris que son contenu était très important.
Mais cette transmission vidéo était endommagé pour la réparer Simon avait demandé à Arnaud de concevoir un petit programme de réparation des flux vidéo,après plusieurs séances de traitement Simon avait réussi à obtenir le message dans son intégralité.
là il avait découvert les expérimentations secrètes du docteur Miller, ainsi qu'une déclinaison très particulière du projet NX 4321.
Le peu qu'il avait pu apprendre de ce message c'est que visiblement l'expérience avait mal tourné,en menant sa petite investigations personnel Simon avait réussi à découvrir quelques-uns les agissements secrètes de Anthea,cette dernière avait financé en secret un projet de clonage.
Pour cela la scientifique avait détourné quelques-unes des ressources financières et matérielles de la société et ceci à l'insu de son mari le Dr Hopkins.
cela lui fut facile car en tant que scientifiques en chef du projet Neo-Carthage il lui était aisé très facile de détourner du matériel et des fonds pour les fournir au docteur Miller.
Mais le projet avait échoué pour une raison inconnue,le laboratoire et le prototype avait été entièrement detruit, quand au professeur Miller il avait été tuées au cours de l'accident ainsi que plusieurs personnes .
Puisque rien ne les reliaient directement avec Anthea cette dernière pensait que personne ne découvrirait jamais son petit secret mais cela fut sans compter sur la pugnacité de Simon qui vit la une belle occasion de faire chanter le docteur Hopper.
Alors Anthea comment allez-vous justifier ceci lui demanda Simon.
Dr Hopper : ....
Simon : vous ne répondez rien c'est normal,vous êtes coupables de tout ce que je vous accuse.
Dr Hopper : petite enflure...
Simon : votre langage Anthea ... votre langage si Tanit vous entendez parler comme ça.
Simon prenait un malin plaisir à se moquer de Anthea,celle-ci ne pouvait vomir que des insultes à son encontre mais quoi qu'il arrive elle était coincée,Simon la tenait au creux de sa main et pouvait faire ce qu'il voulait-elle à cause de cette fichu vidéo.
Dr Hopper : est maintenant qu'est-ce que vous voulez faire ?
Simon : moi pour ma part rien du tout
Dr Hopper : comment ça rien du tout !
Simon : je dirais simplement qu'il n'y a jamais eu d'accident ni de vidéo.
Dr Hopper : Ã quoi vous jouez la ?
Simon : je ne joue pas je vous propose un marché.
Dr Hopper : un marché.
Simon : une affaire si vous préférez c'est ma spécialité
Et quel genre d'affaires demanda le Dr Hopper plutôt perplexe
Simon : je voudrais faire un échange de bons procédés.
Dr Hopper : que voulez-vous
Simon : je veux Tanit.
Dr Hopper : je vous demande pardon !!!!
Simon : vous avez très bien compris ce que j'ai dit...je veux Tanit.
Il n'en est pas question je ne vous laisserai jamais ma fille répondit violemment le Dr Hopper.
Mais je vous laisse pas le choix lui fit Simon.
Dr Hopper : vous voulez me prendre ma fille
Simon : au contraire sachez que c'est plutôt moi qui voudrais lui apporter quelque chose.
Réponse pour le moins étonnante de la part de Simon alors qu'il pourrait exiger de Anthea que celle-ci lui remette Tanit voilà que au contraire Simon se proposait de lui donner quelque chose,cela intrigua d'autant plus Anthea sur les motivations de Simon.
Et que pourriez-vous bien me proposer demanda Anthea
Simon : la matérialisation de votre fille sur terre.
Anthea demeura interdit par ce que venait de lui dire Simon à un moment même elle crut que ce dernier se moquait d'elle,mais Simon semblait très sérieux.
Dr Hopper : attendez c'est impossible ce que vous dites
Simon : et pourtant c'est la vérité je peux faire venir votre fille sur terre.
Dr Hopper : vous pouvez vraiment le faire.
Simon : c'est dans mes cordes, voyez vous il se trouve que j'ai récemment fait l'acquisition d'un protocole informatique très intéressant,en théorie il pourrait compléter les recherches du docteur Kinsley en matière de matérialisation.
Dr Hopper : est ou avez vous trouvé ces informations ?
Simon : ça c'est mon petit secret tout ce qui est important pour vous c'est que Tanit pourrait devenir réel.
là cette fois c'était sur Simon était très sérieux,si ce qu'il disait était vrai il avait la possibilité de faire venir Tanit sur terre,mais ce qui déroutait Anthea dans cette proposition c'est qu'elle ne voyait pas où était l'intérêt de Simon dans cette affaire.
Dr Hopper : là je n'y comprends plus rien pourquoi feriez-vous ça
Simon : comme je vous l'ai dit que j'ai une affaire à vous proposer
Dr Hopper : dites m'en plus.
Simon : quand je dis que je veux Tanit ça ne veut pas dire que je veux vous la prendre ce que je veux c'est juste avoir un accès privilégié à son système de contrôle pour effectuer mes propres recherches
Dr Hopper : les terminaux de vos cinq laboratoires ne sont il pas suffisants.
Simon : leur puissances et ridicules en comparaison du terminal d'accès numéro un
Dr Hopper : le terminal d'accès principal à la matrice de Tanit
Simon : c'est ça que je veux .... un accès privilégié au terminal d'accès numéro un et il n'y a que vous qui puissiez me donner l'autorisation d'avoir accès à ce système.
Dr Hopper : et si vous avez accès à ce système quand feriez-vous.
Simon : avec la puissance de Tanit je pourrais expérimenter d'autres programmes que j'ai en ma possession.
Dr Hopper : puisse je savoir lesquels.
Simon : il s'agit notamment d'un système d'interface révolutionnaire basée sur une technologie de tour virtuel
Dr Hopper : des tours !!!
Simon : oui c'est quelque chose d'assez particulier et pour les exploiter pleinement il me faut une puissance de calcul colossal ainsi qu'un système de contrôle hyper développé.
Dr Hopper : Tanit en somme.
Simon : oui Tanit.
Maintenant Anthea y voyait plus clair, Simon avait besoin d'un système de contrôle hyper puissant pour faire fonctionner ce protocole qu'il dénommait lui-même "Tour",pour remplir cette condition très particulière il fallait systématiquement avoir recours à une intelligence artificielle est la seule qui puisse développer une puissance de calcul suffisant n'était autre que Tanit
Simon : dont mon marché est le suivant donnez-moi accès à Tanit et moi en retour je vous permets de faire venir Tanit sur terre.
Dr Hopper : c'est tous ce que vous voulez.
Simon : je ne veux rien de plus vous voyez ce n'est pas un chantage que je vous fais la mais une affaire que vous ne pouvez pas refuser.
Dr Hopper : ça reste quand même du chantage puisque vous me forcez la main.
Simon : réfléchissez Anthea je vous offre le moyen de rendre votre fille vivante et qui sait même de pouvoir la rencontrer.
Dr Hopper : vous parler de la virtualisation.
Simon : si j'ai bien compris ce que m'a expliqué le Dr Kinsley, l'un ne va pas sans l'autre.
Dr Hopper : en théorie c'est le cas.
Simon : pensez a Tanit vous avez déjà échoué une première fois, ne gâchez pas la seconde chance qui vous est offerte.
A bien y réfléchir l'offre que faisait Simon était plus qu'honnête,chacun des deux parties avait tout à y gagner à collaborer avec l'autre fallait dire encore que Anthea soit d'accord, car malgré tout elle ne pouvait pas ignorer qu'elle genre d'individu était Simon.
Ce soi-disant élan de générosité était susceptible de cacher bien autre chose mais Simon savait se montrer convaincant il savait pertinemment que le désir d' Anthea à vouloir rencontrés sa petite fille finirait par l'emporter sur le bon sens scientifique et moral de Anthea .
Simon : quel est votre réponse demanda Simon
J'accepte votre proposition répondit non sans hésitation Anthea.
Vous avez fait le bon choix lui dit Simon
Simon est Anthea se serrèrent la main pour conclure leurs pactes,en échange de la matérialisation et de son silence Anthea allait permettre à Simon d'avoir accès à la matrice de Tanit,bien entendu cet accord prévoyait que Simon n'avait en aucun cas le droit d'altérer le programme de Tanit.
Ce dernier n'était pas fou il savait très bien que si il avait le malheur d'endommager le projet Neo-Carthage il se ferait immédiatement éjecter de la société Cyclotron,ne voulant pas prendre de risques inutiles il préféra s'en tenir a son projet d'interface virtuelle.
Désormais deux des trois principaux responsables de la société Cyclotron allaient travailler ensemble dans un intérêt commun,mais ce que les deux semblaient ignorer c'est que leurs associations allaient être lourdes de conséquences, dans l'avenir de nombreuses personnes seraient appelées à faire les frais de leur diabolique partenariat.