Histoire : Le temps de choisir son destin : tome 5

Écrite par Saoni le 20 septembre 2008 (7834 mots)

La jeune fille était toujours dans les bras de sa mère quand Ulrich descendit. Attendri par la scène qu'il voyait, il décida de s'éclipser en douce vers la sortie pour ne pas les déranger. Il retourna alors vers le collège. Cependant l'ordinateur de Jérémie se mit à sonner.
J : roh on peut jamais avoir la paix ici, il prit alors son téléphone et composa un numéro.
O : mhum qu'est ce qu'il y a ?
J : alerte Xana, rapplique avec Ulrich
O : ben il est pas là il doit être chez sa japonaise
J : ben préviens le, moi j'appelle Aelita
O : bien chef

J : Aelita ?
A : heu oui ? Dit elle d'une voix triste
J : c'est Xana qui fait encore des siennes
A : d'accord je viens tout de suite
J : hé au fait qu'est-ce que t'as, t'as une drôle de voix
A : non c'est rien ne t'inquiètes pas
J : comme tu veux, allez à tout de suite
Après avoir raccroché, Aelita essuya ses dernières larmes et sortie de sa chambre. En ouvrant sa porte elle croisa le regard de Nicolas et Hervé.
A : désolé les garçons mais je suis un peu pressé
N avec une voix Xanatifiée : hep là on a l'intention de nous faussé compagnie ?
A : oh non XANA !!!

U : mhm oui Odd ?
O : t'es toujours avec elle ?
U : hein qui ça ?
O : ben ta Yumi !
U : très drôle
O : roh quel rabat joie. Bon ben sinon y'a Xana qui fait encore des siennes
U : Odd tu pouvais pas le dire plus tôt au lieu de raconter des bétises, dit-il en raccrochant. Il retourna alors sur ses pas pour rejoindre la maison qu'il venait de quitter. En arrivant il sonna à la porte mais personne ne répondit. Il frappa alors plusieurs fois tout en sonnant. Mais toujours rien. Il commença alors à paniquer, il fit le tour de la maison et regarda par la fenêtre. Celle-ci donnait sur le salon des Ishyamas totalement sans dessus dessous. Quelqu'un s'y été battu. Par la chance la porte s'ouvrit, il pût alors s'y introduire et cherché son amie. Mais aucune trace d'elle.
U : Jérémie
J : oui ?
U : je ne trouve pas Yumi, il a surement dû lui arriver quelque chose !
J : calme toi, elle est peut être en route, peut-être que Odd la prévenu
U : ben non il pensait qu'on était ensemble ... oh non !
J : quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
U : il ... il y a ... des traces de sang
J : c'est pas bon, rejoins nous à l'usine on va vite désactiver cette tour
U : je vais encore fouiller la maison au cas où
J : ok mais sois prudent

Au même moment Odd arriva.
O : ben .... j'suis tout seul à plonger ? Pas cool !
J : ben Aelita devrait être arriver depuis un petit moment mais ...
O : qu'est-ce qu'on fait ? Je retourne au collège où je plonge ?
J : heu ...
O : Jérémie décides toi !!
J : je l'a rappelle, ........... rha ça répond pas !!
O : elle doit avoir des problèmes
J : ah, ....tu plonges j'envois Ulrich la chercher
O : ok dis lui de nous envoyer Yumi
J : ben justement elle aussi est introuvable
O : les filles manquent à l'appel ma parole.

U : oui Jérémie ? Dit-il tout en courrant dans la maison
J : retourne au collège
U : pourquoi Yumi y est ?
J : heu je ne sais pas mais Aelita aussi a disparu
U : quoi tu veux que j'aille chercher Aelita et que j'abandonne Yumi !!!
J : écoute Ulrich sans Aelita on ne peut pas désactiver la tour et sauver Yumi. Alors ne discute pas
U : ................
J : ULRICH ?!?!
U : OK !!!! répondit-il d'un air agacé
Il sortit en courrant de la maison, arrivé dehors il se retourna vers la maison. Après quelques minutes de réflexion, il se dirigea vers l'usine tout en composant un numéro. La sonnerie retentissait mais personne ne décrocher.

Pendant ce temps là, sur Lyoko, Odd était seul face à deux tarentules et trois krabes.
J : Odd fait gaffe t'es tout seul
O : je sais bien que je suis célibataire pas besoin de me le rappeler !!! flèche laser !!
J : idiot je te parle de Lyoko
O : ah pardon mais mes nouvelles copines ne me laissent pas beaucoup de temps. Enfin tu vois quoi ?

Ulrich, quant à lui était retourné au collège pour y retrouver Aelita. Mais personne ne l'avait vu. En chemin il croisa Sissi.
S : ah Ulrich
U : tu tombes mal là
S : ah non tu vas pas t'y mettre toi aussi
U : qu'est-ce que tu veux dire ?
S : ben ces deux idiots de Nicolas et Hervé me font poireauter à la piscine et je les vois après avec la miss canada
U : heu c'est qui ?
S : ben Aelita
U : Aelita ?
S : oh mais tu sais on peut très bien y aller ens...
U : désolé Sissi mais j'ai un truc important à dire à Aelita, mais merci pour l'info
S : rrrhrr j'en ai marre !!!!

J : Ulrich, des nouvelles de Aelita ?
U : oui elle a été enlever par Nicolas et Hervé
J :attends je pense savoir où ils sont
U : quoi? Tu leur a implanter des mini gps ?
J : j'crorais entendre Odd. Non je vais les trouver grâce à leur portable
U : ha bonne idée !
J : voilà ils sont à l'hermitage
U : je fonce !!

Sur lyoko l'ambiance était chaude. Odd avait déjà liquidé deux krabes mais il ne lui restait plus beaucoup de points de vie.

Ulrich arriva à la maison en question. En entrant il découvrit des tâches de sang à l'entrée de la maison. À la vue de celui-ci, son coeur accéléra. Il entra alors doucement, et entendit la voix des xanatifiés.
N : qu'est-ce qu'on fait d'elle ?
Mme H : il faut attendre que les deux autres tombent dans la mère numérique, après on aura mal à se débarrasser du binoclard.
H : je vois du coup on aura le champ libre
Mme H : tout à fait
N : et l'autre qui est à l'étage
Mme H : oh elle est bien attachée et puis vu qu'elle est blessée elle se videra peut être de son sang
Les trois xanatifiés rièrent aux éclats avant de transporter le corps inanimé de la jeune fille aux cheveux rose. Ulrich continua de les observer tout en réfléchissant au moyen de sauver ses amies.
U en pensée : que faire? J'suis tout seul face à trois possédés. Si seulement Odd était là. Il fut sortit de ses pensées par quelqu'un qui lui avait touché l'épaule. Il se retourna tout de suite en se mettant en position de combat. Quand il vit de qui il s'agissait, il fut partagé entre un sentiment de soulagement et de déception
W : du calme c'est moi, dit il à voix basse
U : qu'est -ce que tu fiches ici ? Lui aussi à voix basse
W : je revenais du cinéma quand j'ai vu Mme Hishyama qui portait Yumi sur son épaule. Du coup je les ai suivi et il y avait Aelita avec ses deux zigotos
U : ouais ben c'est bon tu peux dégager maintenant
W : désolé mais Yumi est gravement blessée je vais pas la laisser ici
U : parce que tu crois que jai l'intention de faire quoi, là ?
W : sois pas idiot t'as besoin de moi
U : et pourquoi ça ?
W : parce qu'ils ont pas l'air d'être dans leur état normal
U : .... bon ok mais tu poses pas de question
W : ouais j'avais compris

Ulrich entra dans la pièce et s'approcha des individus.
U : dites Mme vous ne devriez pas trainer avec des p'tits jeunes votre mari pourrait mal le prendre
Mme I : attends voir, dit elle avant de s'élancer, avec ses deux complices, aux trousses d'Ulrich.
Pendant ce temps William en profita pour réveiller et détacher Aelita. Celle-ci fut surprise de voir William. Il lui expliqua plus ou moins ce qu'il s'était passé et lui dit qu'Ulrich disait qu'elle devait là où elle sait faire quoi pour empêcher tout cela. Après avoir écouter William elle s'enfuit vers l'usine. Ce dernier monta aux étages chercher la japonaise. Il ne trouva personne dans les chambres, néanmoins il entendit un bruit, comme un robinet ouvert à fond. Il tenta d'y entrer mais la porte était fermé. Il essaya de la défoncer mais il se déboita l'épaule. Désespéré il composa un numéro;
W : Ulrich ? Aelita est partie
U : ok et Yumi ?
W : je sais où elle est mais je peux pas l'appocher, elle est enfermée dans la salle de bain
U : ben défonce la porte !!!
W : j'ai déjà esayé mais je m'ai suis déboité l'épaule
U : trouve quelque chose je peux pas t'aider j'ai déjà les autres derrière

A l'usine, Odd venait de liquider le dernier Krabes et une tarentule mais il ne lui restait plus que 5 points de vie.
J : on est mal
A : Jérémie je suis là !
J : AELITA !!! j'étais super inquiet ! Ça va ?
A : oui je suis juste un peu sonnée mais ça va
J : mais que t'es t'il arrivait ?
A : ben c'est Hervé et ...
J : oui je sais mais pourquoi saignes tu du nez ?
A : hein .... ha c'est Nicolas qui m'a frappé lorsque j'ai tenté de me sauver
J : heureusement que le retour dans le temps effacera cela
A : oui bon je descends tout de suite
J : ok je lance la procédure
Après quelques manipulations, Aelita se retrouva au territoire de la fôret pour y retrouver un Odd totalement épuisé.
A : ouh t'as pas la forme toi
O : à qui le dis-tu ? Bon je te couvres et toi tu fonces
A : c'est ça ton plan ?
O : parce que t'as mieux à proposer ?
A : ben oui, écoutes

Ulrich était rentré dans un supercommercial pour tenter de semer ses poursuivants. Après être passer dans plusieurs galerie, il réussit tant bien que mal à les semer. Il retourna alors à l'hermitage pour sauver Yumi. William avait réussit à trouver un tournevis dans la maison, et tentait de dévisser les charnières de la porte. Cela lui prit un bon moment à cause de son épaule. Quand il ouvrit la porte il vit Yumi attachée dans la baignoire remplit d'eau. Mais il fut complètement tétanisé quand il vit que l'eau n'était plus transparente mais rouge. Ulrich arriva à ce moment là ;
U : alors ça y est tu l'as ouverte .... YUMI, cria t'il tout en se précipitant vers elle
Il l'a sortit de la baignoire et vit que le sang provenait de son ventre, il tenta de la réveiller mais elle semblait cauchemardait.
U : Yumi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
Y : hum ... william ... attention .... xana
U : hein ? ... aouch
D'un coup le samourai s'écroula sur la japonaise après avoir été assomé par William.
W : désolé mais tu devenais trop génant. Bon Aelita.
Mme I : on l'a perdu de vue
W : grrr elle doit être à l'usine ! Dépêchez vous !!! je m'occupes de ces deux là
H : oui

W : bien on va commencer par le petit brun, dit il tout en soulevant Ulrich par le tee-shirt
Yumi s'éveillant voit la scène. Dépassée par la situation elle cherche à se relever mais sa blessure au ventre la fait souffrir et sa vue commence à se troubler. William commence par lancer des ondes électriques sur le pauvre Ulrich. Yumi cherche alors quelque chose à lui lancer mais tout ce qu'elle trouve c'est la douche qui est restée ouverte depuis tout ce temps. Elle l'oriente alors sur le William qui s'électrocute lui même. Ulrich et William tombent lourdement par terre. Essouflée, elle tente de s'approcher de Ulrich mais au moment où elle posa sa main sur la sienne elle s'évanouie.
Pendant ce temps sur Lyoko, Odd charge les derniers monstres de Xana. Les deux tarentules le mitraillaient de tirs qu'ils réussit à esquivé. Il se plaqua alors derrière un tronc d'arbre. L'une d'elle s'avança vers lui, elle en fit le tour mais elle n'y trouva personne.
Et pour cause notre chaton sur patte avait grimpé le long du tronc et visé sa victime. Qu'il dégomma en un rien de temps. Pendant ce temps Aelita cooura derrière la dernière tarentule mais celle ci la repérra et tira. Aelita fut touché et s'écroula au sol. Odd se précipita vers elle, mais la tarentule s'e approcha assez près pour lui pointer son canon sur sa tempe et tira.
O touten visant la grosse bête : tu t'es gourré ma belle c'était pas la bonne
A ce moment là on voit uine autre Aelita entrait dans la tour. La tarentule hurle sa colère pendant que Odd lui lance plusieurs flêches pour l'éliminer.
Au même moment Jérémie entends le monte charge descendre. Pensant qu'il s'agit d'Ulrcih et de Yumi il ne s'en inquiète pas plus. Nénmoins il ne s'agit pas de ses amis. Les trois xanatifiés en sortent et voyant qu'ils ont perdus ils se jettent sur le petit génie. Jérémie est foudroyer de toute part. Il hurle tant la douleur est insoutenable. Heureusement pour lui Aelita entre le code. Résultat les trois personnes retombent à terre inconscientes avec Jérémie.
A sortant de la tour : Jérémie tu peux lancer le retour !
O : oh yes ha moi les petits croissants du matins une seconde fois
A : Odd t'en as pas marre de penser qu'au petit déj
O : tu as raison, je devrais penser au déjeuner
A : t'es pas possible .... mais ... Jérémie ça va ?
O dd : il a dût avoir un problème
A : peut être, je vais aller voir
O : tu veux un coup de main ?
A : non une flèche laser
O : ok attention cupi-Odd va t'envoyer rejoindre ton Roméo
A près avoir été dévirtualisé Aelita remonte à la salle où se trouve Jérémie. Là elle le trouve allongé en compagnie de Mme Ishiyama et des deux acolytes de Sissi. Elle tente de réveiller Jérémie mais rien à faire. Elle commence à s'installer à la place de ce dernier quand son portable sonne.
U : Jérémie qu'est-ce que tu attends pour lancer le retour
A : heu Jérémie est évanouie mais je m'en occupe
U : fais vite Aelita Yumi est inconsciente et je ne sais pas depuis quand !!
A : oui voilà les dernières manip ... retour dans le passé
Le halo blanc englobe alors l'usine, le collège et l'hermitage.

Ulrich se retrouve alors dans la chambre de Yumi. Celle-ci arrive dans la même tenue que tout à l'heure (c'est à dire en serviette de bain). Mais Ulrich ne s'en souvenat pas, il la serra dans ses bras tant il était soulagé de la voir en vie.
U : YUMI dieu merci t'es vivante !
Y : heu oui ... merci mais
U : j'ai vraiment eut peur quand je t'ai retrouvé inconsciente
Y : oui et moi j'ai eu peur que tu le sois aussi à cause des décharges
U : j'été mortifié quand j'ai vu la flaque de sang autour de nous
Y : oui mais ça y est c'est fini
U : oui dieu soit loué
Y : c'est la première fois que je t'enttends parlé comme ça
U : hein ?
Y : hé bien oui, d'habitude tu ne parles pas de tes sentiments comme ça
U rouge : ben c'est que ... avec tout le sang qu'il y avait je ... j'ai vraiment cru que tu nous avais quitté
Y : hum oui c'est vrai
Ulrich lui sourit et baissa la tête, malheureusement au mauvais endroit et au mauvais moment. En effet rappelons que la demoiselle vient de sortir de sa douche et qu'elle est en serviette de bain. Ulrich a donc une vue assez troublante sur la poitrine de son amie. Voyant cela il resta paralysé.
Y : heu Ulrich qu'est-ce que t'as ?
U revenant à lui : hein !!! ha ... ben ... heu ... je repensé à tout ça , dit il en se retournant tout de suite pour éviter de croiser le regard de son amie.
?? : Yumi ? Est-ce que tu veux essayer ce que je viens d'acheter ?
Y : ho non pas encore. Heu pas maintenant maman !
M : mais il faut que je vois si cela te vas sinon on ne pourra pas les changer après, attends je monte
Y : ah c'est vrai, bon ben tu connais mon amoire Ulrich ?
U : oui oui j'y vais. « au moins là dedans on verra pas que je suis rouge »
Y : hé au fait évite de regarder encore une fois.
U : co ... comment tu sais ?
Y : l'instinct.
A cette remarque le jeune homme rougit de plus belle avant que la porte du meuble ne se referme sur lui. Pendant ce temps, au collège, Odd tente désespérément d'apprendre son cours d'histoire.
« franchement à quoi ça sert d'apprendre ce qu'il s'est passé il y a plus de 10 ans ? Hein mon kiwi ? Ce serait mieux que tout le monde sache que nous, les lyoko guerriers sommes là pour protéger ce monde ingrat. Humpf mais bon à quoi bon, personne ne nous croirait. On passerait pour des fous et direction l'asile des fous : sans couscous boulette, sans jeu vidéo et sans film d'épouvante !! ha l'horreur !!!!! faut que j'arrête de philosopher moi ça démoralise. »
Au même moment, Aelita est dans sa chambre avec sa peluche dans les bras. Elle pense à la réflexion que lui a fait Sissi. « c'est vrai que je suis un boulet. Et si un jour Jérémie et les autres ne me supportent plus, que ferais-je ? Je ne connais personne ici, je n'ai plus de famille et je ... je suis sensée ne plus exister. » Elle n'arrivait plus à faire le vide dans sa tête, de sombres pensées l'envahissaient et affectées sa bonne humeur. Elle voulut en parler avec Jérémie mais il était occupé avec le virus de Yumi. À qui parler ? Ulrich ? Non. Odd ? Il ne m'écouterait pas se dit-elle. Peut-être Yumi ? J'essaierais bien.
Dans sa chambre Jérémie bossé dur sur le virus de Yumi. Il devait trouver un moyen de la sauver car son départ pour le Japon approchait à grand pas, elle risque gros si elle se bat tout en étant affecté par ce virus.
Retour à la maison nippone, Yumi venait de finir ses essayages jusqu'à ce que sa mère lui repose la même question que précedemment.
Mme I : Yumi tu nous en veux encore ?
Y : non maman ce n'est pas votre faute.
Mme I : peut-être mais je m'en veux beaucoup, ces traditions font parties de notre culture, de nos racines mais ... elles sont pourtants si ... injustes et ... infondées.
Y : ne t'inquiètes pas tout se passera bien, dit ele en l'enlaçant.
Sa mère se détacha quelques instants après et redescendit à la cuisine. Ulrich regardait Yumi, elle restait debout tout en fixant la porte par laquelle sa mère était sortie. Il voulut lui dire quelque chose mais rien ne sortait. Il s'approcha d'elle pour lui prendre la main comme pour la consoler mais il s'arrêta dans son élan car Yumi ouvrit la bouche.
Y : quand je disais que je voulais gagner ma liberté, je voulais dire que je voulais échapper aux traditions.
U : aux traditions ?
Y : oui, mon grand-père est décédé il y a peu de temps.
U : désolé
Y : c'est rien, avant de mourir il avait rectifier son testament. Celui-ci désigner Hiroki comme son successeur pour le dojô. Il aurait été obligé de partir dés la fin de l'année. On ne l'aurait plus revut puisque notre oncle serait devenu son tuteur légal.
U : mais quel est le rapport avec toi ?
Y : je m'est suis opposée à cette décision.
U : tu as voulu protégé ton frère en prenant sa place ?
Y : le dojô de la famille est réputé pour être l'un des meilleurs au Japon, mais si personne ne succède à mon grand-père, l'honneur de notre famille serait remis en question. Pour cela nous devons prouver que nos techniques de combats sont de loin les meilleurs.
U : c'est pour ça que tu t'es inscrites au tournoi ?
Y : oui, étant donné que Tao y participe. Le dojô de sa famille est aussi l'un des meilleurs. Si je gagne, notre honneur sera sauf et mon oncle pourra reprendre la succession du dojô sans attirer l'attention.
U : je comprends mieux et ... je suis un peu soulagé.
Y : ... ???? pourquoi ça ?
U rouge : eh bien j'ai cru que ... tu devais ... enfin ... que tu devais te marier ou quelque chose comme ça quoi .
Y éclatant de rire : hihi désolé de t'avoir fait peur ..... mais .... c'est pas du tout ça ....
U : ouais bon ça va j'ai compris, dit-il en étant encore plus rouge.
Y : n'empêche c'est mignon de te voir inquiet
U en pensée : là tu m'aides pas, je vais devenir encore plus rouge si ça continue.
Y : bon j'arrête. Au fait faudrait peut-être que je te passe mes fiches.
U : ah oui je les avais complètement zappé.
Y : humpf ne pense pas pouvoir t'en tirer aussi facilement, dit-elle en s'approchant du bureau.
Ulrich scrutait sa chambre en regardant la photo sur sa commode. Yumi, elle, cherchait ses fiches sur son bureau jusqu'à ce qu'elle ne voit plus rien. Tout d'abord c'était comme un voile noir qui tombait peu devant ses yeux jusqu'à devenir tout noir. Elle perdit l'équilibre et s'écroula à terre en se cognant la tête contre le coin du bureau. En entendant le bruit, Ulrich se retourna et la vit écroulée. Il tenta de la réveiller mais rien n'y fait. Sa blessure au front saignait beaucoup. Il tenta de stopper le saignement mais sans issue. Pris de panique il téléphona à son ami.
J : oui ?
U : jérémie ! Yumi s'est évanouie j'arrive pas à la réveiller !!!
J : woo calme toi, dis moi ce qu'il s'est passé.
U : ben rien on discutait jusqu'à cet instant.
J : ce doit être ce maudit virus qui lui pompe toute son énergie.
U : comment ça ?
J : oui en fait, je sais pas trop mais on dirait que le virus essaie de survivre en lui aspirant son énergie.
U : mais si ça continue elle risque ...
J : de ne plus avoir d'énergie et donc ....... de mourir.
U : ..... faut que tu trouves quoi faire Jérémie, t'es le seul !!
J : je sais, bon t'inquiètes pas elle va bien finir par se réveiller.
U : ok je t'appelle dès qu'elle se réveille.
J : ok.

En raccrochant, Jérémie sentit ses épaules s'alourdirent, comme si elle retenait tout le poids du monde. Il devait trouver une solution rapidement pour sauver son amie avant de trouver le moyen de libérer aussi Aelita et son père des griffes Xana. Il se remit alors au travail plus déterminer que jamais.
La nuit était tombée la jeune émergea tout doucement de son sommeil. Ell était dans son lit avec une compresse sur le front. Elle tourna la tête sur le côté et vit Ulrich assis. Il révisait tout en tenant sa main. Elle se sentit gênée mais à la fois heureuse.
Y : heu Ulrich ?
U : ha tu es réveillée ?
Y : oui, mais il est quelle heure là ?
U : il est ... 20h30
Y : hein ! Mais mes parents ne t'ont pas vus ? Et toi tu vas te faire prendre par Jim !
U : alors primo, je m'es suis caché quand ta mère est entrée et comme elle a vu que tu dormait elle est repartie, et secondo je m'en fiche parce que je voulais pas te laisser seule.
Y : c'est ... c'est gentil.
U : ben c'est normal, on est ami, non ?
Y : oui, les meilleurs.
Ulrich était un peu déçu par la réponse mais il était content de voir qu'elle allait mieux. Il prit alors son portable et composa le numéro de Jérémie pour le prévenir qu'elle s'était réveillée. Ce dernier voulut expliquer la situation à l'intéressée. Elle n'avait pas tout comrpis à son explication mais il lui avait transmis le plus important. Elle devait s'économiser. Après cette conversation,ils restèrent silencieux.
Y : tu devrais rentrer ou tu risques de gros problème
U : non j'ai peur
Y surprise par ces propos : peur ? Mais de quoi ?
U : j'ai peur qu'il t'arrive quelque chose
Y attendrie par ses mots, se rapprocha de son ami qui fut plus ou moins surpris : t'es trop toi, dit elle avant de lui faire une bise sur la joue. Ulrich devint alors très rouge. Mais il va falloir que tu partes, mes parents risquent de venir dans la nuit et puis tu as assez de problèmes avec l'école, tu ne crois pas ?
U un peu déçu mais toujours rouge : ok je vais te laisser te reposer dit -il en se levant
Y : Ulrich
U : oui ?
Y : n'oublie pas tes fiches pour l'interro d'histoire
U : rah c'est vrai ! J'allais encore la zapper. Merci encore et ... tu m'appelles si tu as un autre malaise, ok ?
Y : mais oui allez file.

De retour à l'internat, Ulrich se changea et se mit au lit avec une lampe torche pour pouvoir révisé un peu. Le lendemain, la bande était au complet dans le parc. Odd se vantait de ses exploit sur Lyoko, Jérémylui tapotait sur son ordi avec Aelita qui y jetait parfois un coup d'oeil tout en écoutant Odd avec Yumi et enfin Ulrich révisait.
O : ha franchement j'avais une de ces pêche !! dit Ulrich ?
U : .....
O : oh ULRICH !!!
U : !!! quoi !?!
O : tu m'écoutes ?
U : non je révise l'histoire, je te signale que le contrôle c'est en fin d'après midi.
O : t'inquiètes j'ai révisé hier avant et après l'attaque de Xana !
U : et tu te souviens de quelque chose ?
O : bien sûre
U : comme ?
O : ben que Aelita a une très belle écriture et que j'ai réussi à tout lire.
A : merci Odd.
J : oui mais est-ce que tu as retenu ce qu'elle avait écrit ?
O : ben un peu mais c'était barbant
A : normale j'ai repris tout ce que disait le prof.
O : ha bah je comprend mieux pourquoi je m'ai suis endormi. Et toi tu t'endors pas avecles notes de Yumi ?
U : ben non c'est pas du tout comme le cours du prof
O : comment ça ?
Y : c'est normal j'ai repris mes cours et j'en ai fait une synthèse puis je les ai ordonné en foncion de leur importance et enfin pour certaines dates et évènements j'indique des moyens mnémotechnique pour m'en souvenir.
O, A et U étaient bouche bées.
Y : quoi qu'est-ce qu'il y a ?
O : tuututtut tu fais tout ça ?!?!!!
Y : comment ça ?
A : ça doit te prendre du temps !
Y : un peu mais j'ai toujours appris comme ça du coup le temps que je fasse ces fiches j'assimile en même temps.
A : ce qui fait que lorsque tu as fini tes fiches tu connais déjà ton cours ?
Y : exact.
U : trop cool !!! dis tu m'apprendras ta méthode ?
Y : ben oui mais tu sais il faut commencer dès le début de chaque leçon parce que si tu le fait lorsqu'elles sont fini il te faudra plus de temps pour apprendre.
O : et moi je veux apprendre aussi !!
Y et U : toi ???
O : ben oui pourquoi ? Ha je vois, vous voulez rester tous les deux c'est ça ?
À ces mots, les deux concernés rougirent aussitôt : mais non p... pas du tout.
A : parce que tu penses que tu vas faire tes fiches ?
O : ben non, je vais surveiller qu'Ulrich apprenne bien les conseils de Yumi et après j'aurais plus qu'à réviser avec lui.
U : alors là tu peux toujours rêver, t'auras qu'à te débrouiller tout seul.
J : dis Yumi quand est-ce que tu dois aller au Japon pour la compét ?
Y : dans deux semaines.
J : bon ben vous avez deux semaines pour vous mettre d'accord et moi pour trouver un moyen de te rendre en pleine forme pour ton départ.
Y : tu as trouvé quelque chose avec les données que vous avez récupéré à carthage ?
J : oui j'ai bien prog... co...comment tu sais qu'on...
A : ODD !!!
O : non non j'ai rien dit !
U : ça a dût t'échapper comme d'habitude
Y : facile lors des qualifs Jérémy m'a dit que les autres étaient déjà sur lyoko et puis hier soir j'ai trouvé bizarre que tu saches déjà quel était le but de xana.
O : ha ben vous voyez c'est pas moi le caffetteur
J : je l'savais qu'on pouvait rien lui cachais
A : oui tu es beaucoup trop perspicace
Y : je prend ça comme un compliment
O marmonnant : je te plains Ulrich
U chuchotant : pourquoi ?
O : tu ne pourras rien lui cachais si vous êtes marier.
U : QU'EST CE QUE TU RACONTES !!!!!!
A, J et Y : ?????????
U : ha heu rien rien vous en faites pas. Héhéhéhé

De retour en classe, le moment fatidique approché : le contrôle d'histoire. Le prof distribua les copies retournée à chaque élèves. Il leur donna le signal pour qu'il puisse découvrir les questions. Pendant une heure les élèves travaillèrent sur le sujet. À la fin, Ulrich était soulagé car il avait répondut à toutes les questions. Odd lui avait essayé de tricher sur lui mais sans succès. Mais sa bonne humeur était toujours là puisqu'au diner il y avait un bon menu.

À table Odd dévorer son repas comme d'habitude, Ulrich essayait de ne pas le regarder pour ne pas être dégouter et Aelita et Jérémy discutaient d'informatique.
S : bonsoir mon Ulrich !
U : mhm 'soir. Tu veux quoi ?
S : roh pourquoi tu dis ça ? Tu devrais être content dans deux semaines on pourra être ensemble pendant 18 jours !
U : pourquoi ?
S : mais mon chéri parce que sushi girl ne sera plus là et ...
O : non parce que tu as compté les jours ça a dut être long ?
A : tu m'etonnes ça faisait un bon moment qu'on ne l'avait pas vu !
S : grr oh toi tais toi, quand Yumi ne sera plus là tu te sentiras bien SEULE avec ces trois garçons !! sur ce bonne nuit Ulrich.

Le reste de la nuit se déroula comme d'habitude mais deux lyoko guerriers étaient déprimés : Aelita et Ulrich. Aelita se repassait sans cesse les paroles de Sissi, elle savait que lorsque Yumi sera partie elle seule. Elle n'aura plus personne à qui se confiait. Ulrich lui redoutait le moment où elle partirait puisqu'il ne la verra plus. De plus il avait peur qu'elle perde la compétition et qu'elle soit obligée de retourner au Japon à la place de son frère.

Le lendemain, Aelita avait une petite mine comme lui fit remarquer Odd. Elle lui répondit alors qu'elle n'avait pas bien dormir et ce dernier se contenta de cette réponse. Pendant les cours, elle semblait être perdu dans ses pensées. Fort heureusement pour elle, le professeur était trop occupé avec Sissi qui jouait avec son portable. A la sortie Odd embêtait comme d'habitude Ulrich car Sissi lui avait envoyé pleins de SMS. Du coup Odd voulait savoir de quoi elle parlait pour se moquer d'elle. Aelita les suivait sans dire un mot suivit par Jérémy qui réflechissait encore à lyoko, xana et d'autres choses les concernant. Le groupe s'installa près du parc pour attendre Yumi. Jérémy, avant de se replonger dans ses calculs, vit que Aelita ne disait rien mais ne sachant quoi dire, il se réfugia dans ses calculs. Yumi les rejoint un quart d'heure plus tard. Odd rigolait aux éclats à cause des messages de Sissi alors que Ulrich était rouge de honte par les propos de la jeune fille ainsi que Aelita. Jérémy quant à lui grognait car il ne pouvait pas se concentrer.
Y : qu'est-ce qu'il y a ?
O : haha ha non elle est trop cette fille !!!
U : bon ça va on a compris maintenant efface ces horreurs.
O : ha non attends, tiens lis celui là Yumi.
Y : hum c'est quoi ?
U : ha non laisses ...
Y : « mon Ulrich ... » ça c'est de Sissi « je rêve de ton corps musclé tout contre moi et je .... » (elle n'ose pas continuer de lire à haute voix car les propos sont trop osés et selon elle vulgaire) non mais elle pas bien celle-là ! Efface moi ça !!
U : ha tu vois
O : roh voilà, ... c'est fait !
Y : non mais j'y crois pas qu'elle t'envoie des trucs pareils, elle n'a aucune pudeur !
O : qui c'est p'tet bien que t'aimes bien ce genre de message cochon
U : non mais ça va pas ! Ça ne me fait rien du tout mêm si c'était Yu...
Y : avec qui ?
A : Yu ? Tu veux dire Yumi ?
U : ha heu OUILLE, pardon je voulais dire ouille parce que je ... je m'ai suis fait mal au pied. Haha !
Y : tu sais qu'en ce moment tu es très bizarre ?
U : ahah non je ... je suis un peu distrait, c'est tout.
Y : mouais.
A : n'empêche qu'il faudrait qu'elle se calme, vous vous imaginez si un prof voyait ces messages et qu'il en parle à son père. Il pourrait s'imaginer des trucs entre vous.
U : qui ? Moi avec cette idiote ? Non mais là faut pas rêver !
J : ça y est !!!
O : ouah qu'est-ce qui te prend d'hurler comme ça ?
J : ça y est j'ai trouvé l'anti-virus pour Yumi !!!
Y & U : c'est vrai ?
J : oui, ce soir on tente le coup
U : hum et t'es sûre qu'il n'y a aucun ... risque.
J : aucun problème
Y : super je vais pouvoir reprendre l'entrainement !
O : parce que t'es prête à reprendre ton entrainement de titan ?
Y : comment ça de titan ?
A : ben c'est vrai qu'il est un peu rude.
Y : mouais bon on se retrouve à quelle heure à l'usine ?
J : après les cours, c'est à dire 17h30. C'est bon pour toi .
Y : je trouverai l'occasion, ok alors à tout à l'heure ! Dit elle en s'éloignant.

O : dis Jérémy, t'as fait vite pour trouver l'anti-virus
J : oui il est beaucoup plus simple que celui d'Aelita
U : mais tu es sûre que c'est sans danger ?
O : y en a un qui se fait du souci pour Yumi
U : ben quoi on sait jamais avec Xana !
A : c'est vrai qu'il nous a bien eu la dernière fois
J : oui mais là j'ai fait plusieurs tests et j'ai bien configuré les paramètres, normalement tout est ok.
U : j'espère que tu as raison.

En rentrant chez elle, Yumi croisa William. Celui-ci l'intercepta :
Y : qu'est-ce que tu me veux ? Je croyais t'avoir dit que je ne voulais plus que tu t'approches de moi !
W : Yumi écoute j'ai vraiment été bête de faire ça, je m'en veux. J'aimerais qu'on redevienne ami comme avant.
Y : et parce que tu crois que je vais pouvoir me fier à quelqu'un comme toi ? J'étais inconsciente et toi tu en profites pour me peloter !
W : je ... c'est parce que je t'aime !!
Y : ... quoi ?
W : tu as très bien entendu, je t'aime. Depuis le premier jour, dit-il en lui prenant les mains.
Y : qu'est-ce que tu fais ?
Au même moment Ulrich arriva, en voyant la scène il se cacha. Il était à la fois furieux et anxieux. Que pouvait-ils se passait ? Pourquoi il lui tenait les mains ? Il décida alors de se rapprocher pour les écouter.
W : s'il te plait Yumi excuses-moi ? Je ne tenais plus, je ... je veux être près de toi.
Y : mais ...
W : ne dis rien, laisse moi juste ... dit-il en se rapprochant de plus près des lèvres de la geisha paniquée.
Ulrich voyant cela bouillait intérieurement. Il voulait courir vers lui et le frapper tant qu'il pouvait mais il voulait d'abord savoir ce que Yumi allait faire. Allait-elle le laisser faire ou au contraire le repousser ?

Au moment où leurs lèvres allaient se toucher, Yumi ressentie une douleur à la poitrine, elle grimaça et s'accroupi au sol tout en se tenant la poitrine. William, qui avait les yeux fermés espérant un premier baiser. Voyant cela, Ulrich accourra vers elle et poussa William qui tomba à la renverse. Il allait se mettre à crier après lui jusqu'à ce qu'il vit Yumi à terre.
W : Yumi qu'est-ce que t'as ?
U : vas chercher Yolande !!
W : oui tiens bon Yumi.
Y : ah non Ulrcih rappelle le, ça va passer
U : non tu vas pas bien !
Y : c'est le virus de xana
U : je sais mais on a pas le choix
Y : si, on a cas aller à l'usine pour attendre Jérémy
U : .....................................
Y : Ulrich s'il te plait, si Yolande m'examine elle va m'envoyer à l'hôpital et il ne vont pas me laisser sortir de si tôt !
U : .......................... ok

Ulrich aida son amie à se relever et à marcher jusqu'à l'usine. Arrivés à destination, il passa un coup de téléphone à ses amis pour les tenir informer.
Le soir venu, tout le groupe se trouve à l'usine. Yumi est dans la salle des scanners tandis que les autres sont aux côtés de Jérémy face au supercalculateur.
J : Yumi tu vas rentrer dans le scanner, je vais lancer la procédure habituelle. Tu sera donc virtualisée dans le territoire de la forêt et tu vas te diriger dans la tour la plus proche. Ok ?
Y : compris, dit-elle en rentrant dans un scanner
U : il ne faudrait pas que quelqu'un l'accompagne ?
O : t'inquiètes c'est pas l'heure de pointe !
U : tss Odd.
J : il a raison xana ne risque pas de nous déranger, j'ai activé une tour dans un autre territoire pour attirer son attention. Du coup on tranquille pendant un petit moment.

Une fois que la geisha fut virtualisée, elle suivit les consignes de l'opérateur et se retrouva dans une tour. Là Jérémy entra les paramètres et lança la procédure. Un décompte se mis en marche : 20 min.

J : voilà dans 20 min tu retrouveras toutes tes capacités !
Y : tant mieux j'en avais marre de ces coups de fatigue et de cette douleur à la poitrine.
O : quoi c'est tout ?
J : pourquoi tu t'attendais à quoi ?
O : ben je sais pas moi, je voyais un truc plus compliqué, te conaissant
J : sympa
A : allons Jérémy tu sais bien que Odd n'a aucune délicatesse pour faire des compliments
O : merci Aelita

Le temps passa assez rapidement. Une fois le programme terminé, Yumi fut dévcirtualisée et celle-ci remonta voir ses amis.
U : alors comment te sens tu ?
Y : mhm très bien pour l'instant
J : tu ne ressens aucune douleur ?
Y : non avant j'avais comme un poids à la poitrine mais maintenant ça va mieux.
O : j'ai l'impression que tu vas pouvoir te remettre à ton entraînement
Y : tout à fait ! Dit elle en affichant un grand sourrire.

Le lendemain la bande était au complet dans la cour en train de bavarder. Ils profitaient de cette journée car les cours avaient été suspendus : grève des enseignants. La grève devait durer toute la journée mais risquer de se prolonger jusqu'au lendemain.
O : ah ce serait super si demain les profs étaient encore en grève !
U : tu m'étonnes on aurait un week-end de 4 jours !
Y : c'est agréable de rester comme ça tous ensemble
A : oui tous ensemble, tous les 5. Si seulement onpouvait le rester.
J : de quoi tu parles Aelita ?
A : hein heu non rien je pensais à voix haute.
Y : tu as l'air soucieuse toi ?
A : hein ah non pas du tout.
O : c'est vrai que depuis un moment tu as une petite mine.
A : ce n'est rien je suis juste un peu fatiguée. Héhé rien de grave !
Yumi n'étant pas satisfaite de ces explications, se releva et attira Aelita dans un coin isolé.
Y : on revient les garçons.
U : heu ok.
O : j'espère qu'elle va se confier.
J : de quoi tu parles ?
O : ça se voit non ? La princesse est préocupée par quelque chose mais tu sais comment elles sont les filles. Elles vont pas venir se confier à nous, les mecs.
U : je ne te savais pas si compréhensif.
O : héhé j'ai des talents caché.
J : ben la modestie n'en fait pas partie.


Du côté des filles, Yumi ne disait rien, elle se contentait de fixer son amie avec insistance. Cette dernière était génée :
A : pourquoi m'as tu amenée ici ? Et pourquoi tu me fixes comme ça ?
Y : devines
A : je ne vois pas de quoi tu veux qu'on parle, je vais bien.
Y : Aelita je sais bien que tu n'as pas envie que l'on s'inquiète pour toi, mais
il y a des choses que l'on ne peut pas garder pour soi même. À force de garder tout ça au fond de toi, cela va te rendre malade. Je sais de quoi je parle.
A : ....................................
Y : si tu n'as pas envie d'en parler maintenant sache que nous sommes là. On est prêt à t'écouter, même Odd est prêt à faire un effort.
A : merci
Y : pas de quoi, aller on rejoint les autres, dit elle en commençant à retourner auprès des garçons.
Après un moment d'hésitation, Aelita retînt Yumi par le bras.
A : attends, ne ... ne me laisses pas.
Y : Aelita ?
A : j'ai peur, dit elle en laissant s'échapper des larmes.
Y : peur ?
A : peur de me retrouver seule. J'ai peur que vous vous lassez de moi et que vous ne m'abandonniez.
Y : qu'est-ce qui te fait croire cela ?
A : c'est Sissi qui m'a ...
Y : ... ah encore cette peste, la prochaine fois je vais la remettre à sa place.
A : elle avait en partie raison
Y : pourquoi ? Que t'as t-elle dit ?
A : elle as dit que sont vous je n'étais rien, que j'avais sans cesse besoin de vous, sniff.
Y : c'est vrai.
Aelita surprise par la réponse de son amie, releva très vite la tête pour voir le visage de son amie.
Y : c'est vrai tu n'es rien sans nous, mais cela s'applique à nous aussi. Si nous ne nous étions pas connu, nous aurions continué de vivre chacun dans son coin. Sans se connaître, sans t'avoir connu. D'une certaine façon, tu es le lien qui nous unis tous. Imagine, si nous ne t'avions pas connu, Jérémy aurait passé une scolarité comme n'importe quel enfant surdoué, seul et reclu. Odd serait seul sans amis pouvant le suppoter.
A : hahaha et toi tu n'aurais jamais rencontrer Ulrich
Y rouge : pour ... pourquoi tu dit ça ?
A : comme ça, hihi
Y : pff cela s'applique aussi pour toi et Jérémy
A rouge aussi : kyah arrêtes
Y : ah tu vois, bon faut rejoindre les autres.
A : oui tu as raison.

Les deux jeunes filles retournèrent donc voir leurs amis. Pendant ce temps, ces derniers discutaient de tout et de rien comme à leur habitude.
J : elles ont mette du temps
O : voilà un deuxième roméo qui veut voir sa Juliette !
U : Odd laisse le
O : quoi t'es jaloux ?
U : pas du tout !
S : Uuuuuuuuuuuuulriiiiiiiiiiiiiiiiiiich !!!!!!!!!!
U : tout mais pas elle !
O : xana si tu veux lance une attaque
S : alors mon Ulrich tu vas bien ?
U : non
S : quoi tu ne te sens pas bien ? Tu as mal quelque part ?
U : oui j'ai la nausée
S : oh tu veux que je t'admiministre un médicament ? Demanda t-elle en se rapprochant de plus en plus près du jeune homme accollé à un arbre.
O : Sissi tu vas trop loin là !
S : si t'es jaloux va voir ailleurs !
Au moment où Ulrich aller essayer de la repousser, cette dernière fut tirée en arrière par quelqu'un. C'était Yumi qui venait juste d'arriver avec Aelita.
S : quoi qu'est-ce tu veux espèce de ...
PAAF !!
Tout le monde resta muet en voyant la scène qui se déroulait devant eux. Sissi n'eut pas le temps de finir sa phrase suite à la giffle (une sacrée giffle surtout) que Yumi lui avait infligeait. Elle avait un regard dur que personne n'avait encore vu, on pouvait y lire de la colère, voir même de la haine envers Sissi. Cette dernière resta immobile pendant un moment puis elle se massa la joue et à son tour, elle afficha un regard remplit de haine envers sa rivale.
S : qu'est ce qu'il te prend la chinoise ?
Y : tu ferais mieux de te taire si tu ne veux pas une autre.
S : c'est parce que Ulrich est attiré par moi ?
U : quest-ce que tu racontes ?
Y : c'est pour autre chose. Depuis le temps je supporte tes intrusions dans le groupe pour approcher Ulrich mais t'en prendre à Aelita, ça c'est impardonnable.
J : qu'est ce qu'elle t'a fait ? Demanda t-il à Aelita
U : grr Sissi ?
O : là t'as été trop loin !
S : heu mais
Y : je serais toi je partirais de suite.
Voyant que la situation dégénérée, Sissi préfèra partir plutôt que d'affronter les adolescents. Une fois partie, Odd et Ulrich regarda Aelita et posèrent la même question que Jérémy.
A : ne vous inquiètez pas ça va mieux maintenant.
Y : au moins cette fois elle aura compris la leçon.
J : mais expliquez nous bon sang !
A : c'est rien, elle m'avait seulement dit des méchancetés, comme d'habitude ...
Y : peut-être mais la prochaine fois elle risque d'avoir plus qu'une simple giffle !
U : n'empêche que c'était pas une petite giffle
O : tu m'étonnes un peu plus et sa tête aurait tournée sur elle même comme la terre, hahaha !
Y : ben vas-y dit que je suis une brute aussi
O : je n'osais pas mais puisque tu me le demandes ben
Y : ODD !
O : j'ai rien dit, j'ai rien dit !
A : haha, n'empêche que je suis touchée par ce que vous avez fait.
O : ben tu sais très bien qu'on te protègeras toujours princesse.
U : que ce soit sur Terre ou sur Lyoko,
Y : que ce soit aujourd'hui ou demain,
J : on sera toujours ensemble.
A : sniff, je vous aime tous, déclara t'elle en aggripant ses amis, sa famille.