Histoire : Lyoko existe ?

Écrite par Jeremie Belpois le 18 août 2008 (1123 mots)

Dernière édition le 07 septembre 2008

Informations
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L'histoire se passe en dehors des saisons.
La fic reprend le monde de Code-Lyoko et l'extrapole dans la réalité.


Introduction
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Un jour que Christophe était sur l'ordinateur, il eu l'impression d'avoir déjà vécu la journée.
Un de ses amis : Adrian, était connecté aussi il lui en parla.
Celui-ci avait déjà ressentis cela à plusieurs reprises.

- Adrian, tu te rappel dans Code-Lyoko ? Les retours dans le passé sont courant et ils revivent donc la même journée.
- Ne me dit pas que tu penses que Lyoko existe réellement ?
- Pourquoi pas, regarde nous avons des SuperCalculateur très puissant possédé par la NASA, Météo France etc.
Pourquoi donc il ne pourrait pas y avoir Lyoko ?

La discussion dura quelques heures.
Il était maintenant deux heures du matin et Christophe alla se coucher.

Le lendemain matin, Christophe se mit à chercher des informations par rapport à sa discussion avec Adrian la veille au soir.
Il ne trouva rien, si ce n'est l'apparition du logo de XANA sur son écran.
Rien ne se passa, ni attaque sur Christophe ni sur qui que se soit et même pas de tentative d'intrusion sur son ordinateur.

Pourtant ce logo resté là figé comme si il le regardait.
Christophe s'approcha de son ordinateur, il était allumé et démarré sous un OS qu'il n'avait ni installé ni jamais utilisé.


I. Découverte
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Christophe constata que l'OS était basé sur un système UNIX.
L'utiliser était donc simple pour lui, en farfouillant il découvrit des documents concernant un monde virtuel appelé Lyoko.
Au moment où il allait inscrire les informations sur clé USB, l'écran s'éteignit et se ralluma.
Mais il y avait plus rien à voir avec cet OS, Christophe était de nouveau sur son outil de travail habituelle.

Il pensa avoir rêver, aussi il ne dit rien à personne.
Mais en début d'après-midi il revit le logo de XANA.
Cette fois, il contacta Adrian sur MSN.

- Adrian, tu te souviens de notre conversation d'hier soir ?
Et ben ce matin j'ai vu le logo de XANA sur mon écran alors que mon PC était éteint.
Puis d'un coup, un OS s'est chargé, un que j'avais jamais vu ni installé.

Et là je viens de revoir le logo en question.
Je suis que Lyoko existe, j'ai vu des documents en farfouillant sur le système qui s'est automatiquement chargé.
En outre, mon PC à détecté une intrusion de quelques minutes seulement, intrusion au coeur même de mon ordinateur.

- Attend Christophe, tu es sur de ne pas avoir rêver ?
Parce que là ce que tu me dis c'est bizarre, Code-Lyoko est une simple invention.

- Non je te jure, je l'ai vu.
J'ai pu récupérer l'adresse IP de provenance, je vais tenter de la remonter et je te recontacte.
- OK, @toute

Après la conversation, Christophe fit d'abord un ping sur l'adresse afin de savoir si celle-ci était accessible.
Comme il le craignait, c'est pas possible.
Il pirate celle-ci afin de trouver l'ordinateur de provenance.
Il le trouva à Paris, aussi il contacta donc Adrian afin de l'informer qu'il se rend là-bas pour éclaircir se mystère.

Le lendemain matin, Christophe arriva à Paris, dans le quartier d'où semble provenir le signal de l'ordinateur.
Il trouva un batiment abandonné, mais au moment de pénétrer dedans, il perdit connaissance.
Christophe se réveilla dans un laboratoire, attaché et surveiller de près par deux personnes armées jusqu'aux dents.











II. Le prisonnier
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Les deux gardes avaient des tenues militaires.
Le premier s'approcha de Christophe, il avait sur sa veste un insigne composé d'un carré de petites barres couleurs argenté.
Christophe compris que c'était donc un Capitaine.

Il regarda Christophe avec un grand sourir avant de le forcer à se lever.
Le premier garde passa devant lui tendis que le second était juste derrière.
Ils passèrent du laboratoire vers un grand hall pour rejoindre une sorte de Quartier General.
Le Capitaine s'arrêta devant un autre militaire semblant être un Colonel.

- Mon Colonel, voici le prisonier.
- Bien Capitaine, vous pouvez disposez. Aïden viens là.
La personne répondant au nom de Aïden s'approcha, c'était un homme avec une blouse blanche, il semblait ne pas appartenir au corps militaire.

- Je vous écoute Colonel.
- Aïden, amène notre invité en section B2.
Christophe était toujours menoté, il suivit Aïden jusqu'à ne plus être en vue du Colonel, puis il tenta de s'enfuir.
Au moment de la tentative, une alarme retentis et des dizaines de militaires don le Colonel arrivèrent en courant.
Christophe n'eut pas le temps d'échapper à ses poursuivants qu'il fût mis en joug par le Colonel.

- Tu bouges et tu es mord petit, tu vas nous suivre gentiement.
- Qu'est ce que vous me voulez ? Dit Christophe sans peur des menaces.
- Tu le s'auras bien assez tôt.
Puis le militaire donna un coup de crosse de son arme dans sa figure.

Quelques heures plus tard, Christophe se réveilla dans une pièce vide, les deux premiers militaires braquaient leurs armes sur lui et semblaient attendre quelqu'un.
Un homme avec une blouse blanche vint et ordonna aux gardes de s'écarter.
- Lève-toi et suis moi, les gardes vont te détacher mais ne t'avise pas de tenter de t'enfuir à nouveau.
- Qui êtes-vous ? Pourquoi on me retient prisonnier ?
- Tu le s'auras assez vite, suis moi.
Christophe n'eut donc pas le choix, il le suivit sans tenté quoi que se soit.

- Rentre là-dedans.
Christophe refusa et se mit à courir passant entre certains gardes apparemment des non-gradé qui n'avaient pas eu le temps de réagir.
Il en assoma un et pris son arme, un Famas, puis il se cacha le mieux qu'il put.
- Petit, sort de ta cachette. Dit le Colonel.
- Nous allons devoir te tuer sinon. Surenchéri le Capitaine.
Mais le prisonnier ne semblait pas les croires, il sorti de sa cachette et tira.
Il toucha un d'eux au bras mais ne réussit pas à le tuer.
Un tir passa prêt de lui sans le toucher, puis le Colonel dit :
- Lache cette arme sinon la prochaine est pour ta tête.

Christophe n'eut pas d'autres choix, il déchargea l'arme, retira le chargeur et posa l'arme à terre pendant que les militaires se rapprochaient.
- A terre. Lui ordonna le Colonel.
Il se mit donc à genoux, les mains derrière la tête.
Un d'eux le forca à rentrer dans un des caissons que l'homme en blouse avait indiqué.