Histoire : Marine ou dimensions parralléles

Écrite par Maggy' le 15 février 2008 (9768 mots)

Dernière édition le 27 mars 2009

Mon fanfics se passe environ un an après la mort de xana.

CRAC... BOUM!
-Zlf ! traduction : aïe!
Szt cf... pardon ! Pas de chance! Elle avait atteri sur la branche d’un chéne, qui avait cédé sous son poid.
- tzjnsfulf cf ruzptsnurfsu cf qfucf ! traduction : s******** de transporteur de m**** !
Elle se releva et regarda autour d’elle. Elle vit qu’elle se trouvait dans un foret.
- hnp, ns ftr-gf rsf k’zl zrrfulf gfrrf enlt ? traduc : bon, où est-ce que j’ai atterie cette fois ?
Elle regarda la montre( ?) qu'elle portait au poignet :
- terre. Terre ? terre ! (pas de traduction à faire là !^^)
son visage s’illumina d’un large sourire. Elle allait peut-etre enfin pouvoir rentrer chez elle. Enfin, dabord fallait t’il savoir où elle se trouvait exactement.
- kf snsuuzlt zwnlu sp sfs sjst cf cfrzljt, t’lj rf sjzlr ? (à sa montre) traduc : je pourrais avoir un peu plus de détails, s’il te plait ?
Montre : hlfp tsu, qzulpf ! ufgifugif fp gnsu...... ufgifugif feefgrsff z 51%...... ufgifugif feefgrsff z 99%... ufgifugif rfuqlpff. Zpzjxtf cft uftsjrzrt fp gnsu... ( traduction : bien sur, marine (vous connaissez maintenant l’identité de cette mistérieuse personne) ! recherche en cour...... recherche effectuee à 51%...... recherche effectuee à 99%...recherche terminée. Analyse des résultat en cour...
Bon maintenant je traduis direct mais je souligne !
Marine : Faudrait te mettre à jour stacy ! même google est plus rapide que toi !
Stacy : analyse annulée... supression des résultats en cours... supression terminé !
Marine : oh non ! stacy je blaguais !
......
Marine : va au diable, tete de mule ! je me débrouillerais sans toi ! (pensé) bon, reste plus qu’à essayer de sortir de cette forêt.
Elle commenca à marcher droit devant elle. Au bout de cinq minutes environ elle arriva devant une grande maison un peu délabrée et qui semblait inhabité. Elle remarqua une petite plaque. Elle lut l’inscription.
Marine : l’hermitage... quesqui a bien pu se passer ?
Elle hésita puis ce décida à aller voir. Elle rentra dans la maison et constata qu’il n’y avait pas âme qui vive et que tout était sans dessus dessous. Elle sortit de la maison et ramarqua le passage qui menait au égout.
Marine (pensé) : hum... j’aurais peut-etre des réponse à l’usine... et puis c’est le seul moyen de rentrer chez moi !
Elle enprumta donc les égouts et arriva rappidement à l’usine. Tout était calme.Trop calme. Elle enprunta le mote-charge et se rendit directement à la salle du supercalculateur. Elle vit qu'il était désactivé et aussitôt ses pire craintes s’en trouvèrent confirmé. Elle se dit qu’il vallait mieux pour elle d’essayer de passer inaperçu le temps qu’elle découvre ce qui avait bien pu arriver . elle se rapella qu’il y avait un collège dans les environs et se dit que le mieux, étant donné qu’elle avait l’aparence d’une fille de 15 ans (je dit « l’apparence » vous comprendrait pourquoi plus tard), était d’essayer de s’y inscrire, en priant pour que Delmas ne la reconnaisse pas. Elle sortit de l’usine et se mit à la recherche du collège. Elle l’aperçut environ 30 min. plus tard, elle hésita un instant puis se décida et avança lentement en traversa la cour gelé sous les regard curieux des éléves en récréation.
...
elle sortit du bureau du proviseur une heure plus tard. elle avait frolé la catastrophe : delmas avait cru la reconnaitre! mais bon heureusement que son traducteur se déclanché automatiquement, sinon il y aurait pu avoir pire... mais elle avait réussi à s'inscrire ce qui était un exploit. ne resté plus qu'à réfléchir à un endroit ou passer la nuit étant donné qu'elle n'aurait une chambre au collège que le lendemain. elle se décida pour l'hermitage même si les lieux n'étaient pas très hospitalier. en rentrant à l'intérieur elle entendit du bruit provenant du salon. elle s'y dirigea sur la pointe des pieds, passa légérement la tête par l'ouverture et vit...












... Que ce n’était que le vent qui avait fait claquer les fenêtre et entraîner la chute de plusieurs livres et de leur étagère qui gisait lamentablement sur le sol. C’est alors qu’elle remarqua qu’il y avait un grand trou qui faisait la taille de l’étagère et qui donc n’était pas visible en temps normal. Un long tunnel s’enfonçait dans les ténèbres, lui donnant la chaire de poule, mais la curiosité l’emporta sur l’instinct et elle s’engagea dans le tunnel, avide de savoir où il menait. Elle marcha longtemps, jusqu’à ce qu’elle ne parvienne plus à voir la lumière et que les ténèbres l’entoure. C’est à ce moment là, qu’elle commença à avoir peur. Mais, faisant preuve d’un courage effronté, elle continua son chemin à tâtons. Elle marcha encore au moins 20 minutes, de plus en plus curieuse. Mais soudain elle rencontra un mur. Un cul-de-sac. Le tunnel s'arrêtai là. Elle tâtonna à tâtons pour essayait de trouver... elle ne savait quoi. Mais elle ne trouva rien (sans lumière c’est normal !). Déçue, elle rebroussa chemin, qui lui paru plus long qu’à l’aller. Peut-être était-ce la déception ? En tout cas quand elle revient dans le salon de l’Hermitage, qui lui paru hostile tout à coup. La nuit était tombée et l’hermitage lui faisait maintenant peur qui était accentué par le tunnel et son mystère qu'elle ne pouvait résoudre. Elle décida de redresser l'armoire histoire de ne plus y penser. Comme si l'armoire l'avait entendu, elle se redressa toute seule et les livres retournèrent sur leurs étagères. Marine déglutie.
M : stacy ? rassure moi s’il te plait et dis moi que...
S : rassurez-vous. Je confirme. Vous avez quinze ans aujourd’hui !
M : merci de me me rassurer, mais je t’ai déjà dit un million de fois fois d’arreter de me VOUVOYER ! Faut te le dire en quelle langue ???
S : ça va calmez... calme-toi marine ! Excuse-moi si c’est dans mon programme !
M : je sais stacy. Excuse-moi je suis un peu... sur les nerfs dirons-nous.
S : hem... je comprend. Je pense que v..., tu devrais refaire un essai.
M : tu as raison.
Elle inspira un grand coup et se concentra. Un des livres s'échappa de son étagére et atteri dans la main de marine, puis retourna sur son étagére.
M : télékinésie... c’est pas mal ! J’aurais préféré etre comme papa !
S : ouais... très pratique pour soi-même et un calvaire pour les autres... dit stacy qui aurait levé les yeux au ciel si elle l’avait pu.
M : et alors ? Moi je m’en fiche ! aurais tu oublié que je suis immunisé et aurais tu oublié pourquoi ?
S : non c’est bon marine !
A présent, la nuit été parfaitement tombé et les nuage ne laissait filtré que quelque rayon de lune et l’hermitage était plus que jamais lugubre. Et marine retrouva la sensation d’hostilité que la maison dégagé, semblant vouloir lui faire comprendre qu’elle n’était pas la bienvenue.
Elle décida donc de partir au plus vite et d’essayer de trouver une maison pour la nuit. Elle sortit de l’hermitage pour se retrouver dans la fôret où la neige brillait éclairait par le faible rayon de lune que laissait entrevoir les nuages. Elle eu une désagréable surprise en posant son pied sur la neige : Elle s’y enfonça jusqu’au genoux !
M(pensé) : il a du sacrement neigé pendant que j’étais la-dedans !
La télékinésie lui fut sacrément utile. La neige s’écartait toute seule sur son passage. Ainsi elle rejoignit assez vite la ville et se dirigea vers la première maison qu’elle vit. Elle allait sonnait quand...
M : hem, stacy pourrais-tu...
S : ah non, non ! C’est très très dégradant ! Ne me demande pas ça !
M : allez stacy ! S’il te plaît !
Stacy capitula : bon, d’acccord, il est 20h32. voilà t’es contente ?
M : merci stacy ! Bon, 20h30, ça me parait encore raisonnable pour sonner les gens !
Elle sonna donc. Quelqu’un ouvrit,un homme. De la bué sortait de ses lévres. Elle se rendit alors compte qu’elle aussi dégagée de la buée. Il devait faire froid. Elle n’en savait rien, elle ne sentait plus ni froid, ni chaud depuis son passage sur 2313 où elle était restée deux ans. La population était mille plus évolué que la sienne, et quand la planéte s’appelait encore 1 (la planète changeait de nom tous les ans), elle était déjà aussi évolué que la terre. C’est d’ailleurs là qu’elle avait après la vérité à son sujet. Mais là je m’égare ! Revenant-pardon- revenons à notre histoire.
??? : oui c’est pour quoi ?
M : euh... bonjour, je... euh et bien voilà je viens d’arriver en ville et je... je cherche un endroit où dormir.
L’homme se tenant sur le seil de chez lui avait vu la façon dont été habillé marine et n’avait même pas eu besoin des explications de marine pour comprendre qu’elle venait d'arriver. En effet, la température fleurtait avec le négatif et marine était en jean et t-shirt ! Aussi...
??? : bien sûr vous pouvez venir, je ne vais pas vous laissez geler dehors !
M : et bien merci !
??? : venez je vais vous presenter à ma femme et à mes enfants. Au fait, comment vous appelez vous ?
M: Roy, marine Roy. Euh... et vous?
??? : Ishiyama, Takeho Ishiyama.














Cette nuit-là, Marine fit un drôle de rêve. Tout d'abord elle réva qu'elle était cachée derrière un arbre en train d'espionner un groupe de personnes assises sur un banc. Elle reconnut la fille de ses hôtes, comment s'appelait t'elle déjà ? Ah oui, yumi. Ensuite il y avait un garçon aux cheveux brun qu’elle ne connaisait pas (ou pas encore ?), Un garçon à la coiffure bizarre, un garçon blond avec des lunettes, et... aelita ? Marine equarquilla les yeux de surprise ou plutôt l’aurait fait si elle n’était pas en train de rêver. Elle s’observa et ne vit pas la moindre trace de surprise sur son visage, et fut troublé : pourquoi donc révait-elle de ça ? elle écouta la coversation qu’aparamment son homonyme suivait avec interet :
Aelita : vous la trouvez pas bizarre la nouvelle ?
Yumi : si. On dirait qu’elle débarque d’une autre planète !
Marine s’entendit murmurer : « tu ne crois pas si bien dire yumi ! »
Ulrich : au fait pourquoi cette question aelita ?
A : tu sais bien qu’on partage la même chambre ulrich ! La nuit je dois avouer que j’ai du mal à fermer l’œil, elle dit des trucs bizarres dans son sommeil !
Odd : bah et alors ? Ça arrive à tout le monde de parler dans son sommeil !
A : on voit que tu n’es pas a proximiter à ce moment là ! Elle parle carrément pas français ! Ça me fout la trouille !
O : bah, moi j’la trouve mignonne !
Jérémie : décidément tu changeras jamais odd !
O : bah quoi ?
Ulrich : laisse tomber, Jérémie, il est irrécupérable !
A : Taisez-vous ! je crois qu’on nous observe...
Elle désigner du doigt l’arbre où marine se cacher. C’est à ce moment-là que son rêve changea : Elle se trouvait maintenant au milieu de nulle part, un endroit sans haut ni bas, ni endroit ni envers. Elle marchait à la recherche de quelque chose, ou plutôt de quelqu’un. Enfin elle l’aperçu, elle sentit son cœur s’affolait dans sa poitrine, il fallait qu’elle se calme, elle avait une mission à accomplir et devait si tenir, à son plus grand regret. Quand elle jugea qu’il était suffisamment proche elle l’interpella.
M : hé xa’ !
L’homme se retourna, dévisagea marine quelque instant puis soupira.
X : j’aurais du me douter que tu finirais par revenir.
M : je pense pas que tu soit le plus surpris de nous deux, xa’.
X : je suposse que tu n’ai pas là pour des raisons amicales ?
M : comment as-tu donc deviner ?
X : mais as-tu vraiment envie de me détruire marine ?
La question la pris de court, bien qu’elle savait la réponse. Non, elle n’en avait pas du tout envie, mais elle devait le faire, elle n’avait pas le choix. Malgré tout elle affirma :
M : oui !
X : tu n’as jamais réussi à me mentir marine. Ce n’est pas aujourd’hui que ça va changé.
M : tu sais que je n’ai pas le choix !
X : oui, et tu feras ce que tu dois faire je n’en doute pas une seconde.
M : puis-je quand même te poser une question ?
X : bien sur !
M : pourquoi donc as-tu tué mes parents, benoit et même matthieu ?
X : pour matthieu pourquoi donc ressace tu le passé ? Je ne vous connaisait pas et vous avait pénétrer dans mon territoire, j’étais presque forcé de réagir.
Marine voulut intervenir mais xa’ l’en enpécha :
X : avait-vous réserver un sort plus favorable au Emergeants ?
Marine se tut.
X : pour tes parents et benoit ils ont eu la malchance de se trouver au maivais endroit au mauvais moment. Et puis c’était en quelque sorte une vengeance...
M : comment ça ?
X : ... pour toi.
Marine se mit à pleurer.
M : co coment peux-tu dire ça ?
Il tenta de s’aprocher d’elle mais elle recula.
X : marine ils,ils t’ont fait du mal.
M : était-ce une raison pour les tués ? Et puis, quesque benoit vient faire dans cette histoire ?
X : donc il y a une partie de la tradition que tu ignores.
M : comment ça ?
X : c’est le cadet qui décide qui l’ainé épousera.
M : qu... quoi ? C’est une plaisenterie !
X : non malheuresement.
Marine sentit son monde s’écroulait autour d’elle. Elle ne pouvait pas s’imeginer la vérité, elle était trop... horrible. Elle s’effondra en sanglot. Xa’ s’aprocha d’elle. Cette-fois elle ne bougea pas. Il la prit dans ses bras et essuya ses larmes. Marine parvint à articuler :
M : mais ce n’aitait pas une raison pour les tués !
X : c’est vrai, mais oublirais tu que à la base je suis programmer pour détruire ? Qui pourrait faire passer ma nature au second plan si ce n’est toi ?
M : personne je m’en doute.
Leurs lèvres se raprochèrent mais alors qu’elles allaient ce toucher marine recula.
M : non, non je ne pux pas, je ne peux pas t’aimer. Et toi non plus tu ne peut pas. Tout nous oppose et j’ai...
X : ... une mission je sais. Et tu feras ce que tu dois faire.
M : oui...
Soudain, dans ce néant absolu apparut un ordinateur. Mais pas un ordinateur habituel, celui là était... différent et à coté du clavier il y avait un scanner d’empreintes digitales.
X : je suppose que...
M : oui, tout est dans cet ordi, je n’ai plus qu’à m’identifier pour que... enfin tu as compris.
Sa main s’aprocha du scanner. Elle sentit les larmes lui montait aux yeux.
X : attend marine !
M : oui ?
X : j’ai bien le droit à une dernière volonté !
M : bien sur !
Il se raprocha d’elle et l’embrassa. Cette fois marine se laissa faire mais les larmes lui vinrent aux yeux.
Elle se réveilla en sursaut, le cœur battant et les yeux inondait de larmes. Elle s’en aperçut et les essuya d’un geste de la main. Son rêve lui avait paru si réel qu’elle en frisonnait encore. Elle se dit aussi que dés qu’elle le pourrait stacy aurait des comptes à rendre... trois coups frappait à la porte la ramenèrent à la réalité. Il était temps de ce lever.












Elle se rendit au collège avec les enfants de ses hôtes, non sans les avoirs remercier au préalable. Sur le chemin qui fut trop court à son goût elle repensa à ses rêves de la nuit et la même évidence revenait sans cesse, bien qu'elle fût impossible. Comme pour se le prouver elle fit discrètement se soulever un petit tas de neige fondu, les restes de la veille, la température s'étant radoucit dans la nuit. Malgré cette preuve irréfutable, elle pensait toujours à cette évidence pas si évidente que ça d'ailleurs. Les abord du collège se firent voir et euh... hiroki, c’est ça, disparut bousculant inconsciemment marine au passage qui tomba à la renverse. Yumi l'aida à se relever.
Y : excuse mon petit frère.
M : ce n’est pas grave.
Y : si tu veux je vais te présenté mes amis, en plus ta de bonne chance d’être dans leur classe.
M : euh... ouais !
Elles arrivèrent dans la cour du collège et Yumi se dirigea vers un banc où un groupe de jeunes gens était assis. L’un des garçons se leva et se dirigea vers Yumi qui se dirigea vers lui, un grand sourire sur les lèvres. Les deux s’embrassèrent.
M (pensé) : au moins c’est clair ces deux là sorte ensemble ou alors la terre à drôlement changé depuis la dernière fois !
Aussi la surprise fut de taille quand elle vit le visage du jeune homme. Elle tourna son regard sur les occupants du banc et manqua s’évanouir. Mais Yumi se tourna vers elle pour la présenter et marine dut se façonnait un visage plus adapter au circonstance présente.
Y : les amis je vous présente marine, marine je te présente : Ulrich, Jérémie et odd, dit-elle en les montrant du doigt.
M (pour elle-même) : non, non c’est pas possible ! (Remarquant qu’ils la regarder) euh... oh, bonjour !
Elle se façonna un sourire de circonstance mais elle n’en menait pas large.
Y : ça va ?
M : oui, oui j’avais juste un peu mal à la tête.
O : tu es nouvelle ?
M : oui.
Y : elle a dormit chez moi
U : pourquoi ?
M : je viens d’arriver et je pouvais pas avoir de chambre tout de suite, alors j’ai du chercher où dormir. Et j’ai atterri chez votre amie.
J : tu viens d’où ?
M : des Etats-Unis.
O : vraiment ?
M : je sais que j’ai pas l’accent américain mais c’est parfaitement normal étant donné que je suis française.
U : quesque tu faisais aux USA ?
M : mes parents s’y sont installés quand j’avais 6 ans.
Y : alors pourquoi tu as eu besoin de venir chez moi ?
M : ils sont morts il y a un an...
Y : désolé.
M : ... et je suis venu essayer de retrouver le reste de ma famille.
Elle ignorait encore que son histoire était plus véridique qu’elle ne l’imaginait...
Le dénommé Odd s’apprêté à posés une questions quand l’arrivée du pions manquant de la bandes interrompis l’interrogatoires. En voyant la nouvelle arrivante, marine resta éberlué











les deux jeune fille restèrent a se regarder yeux dans les yeux un bon moment, l'une commencent à se demander ce qui lui arriver, l'autre troubler par un regard qui lui semblait familier et étranger à la fois. ce fut aelita qui détourna le regard la première en même temps que marine se prenait la tête entre les mains. les autres les regarder curieusement.
Y : ça va vous deux?
pour toute réponse marine se contenta de murmurer un mot :
M : aelita...
A : comment tu sait mon prénom ?
M : euh... (pensé) je suis mal barrer là, si seulement je pouvais revenir en arrière...

...

Y : alors pourquoi tu as eu besoin de venir chez moi ?
M : hein?
Y : pourquoi t’es venu chez moi?
M : excuse -moi, oui... ça c’est parce qu’ils sont mort il y a un an.
Y : désolé!
Elle ne savait pas à quel point elle avait raison...
Y : bon je t’ai présenter à tous le monde sauf à la dernière qui est pas encore là.
J : quand on parle du loup...
Y : aelita tu tombes bien alors marine je te présente aelita et aelita je te présente marine.
A : enchanté!
M : de même!
Soudain une sonnerie retentit.
M : oups! Excusez moi!
Elle s’éloigna.
A : elle est nouvelle?
U : tu crois?
A : c’était juste une question.
U : j’ai pas dit le contraire!
A : en tout cas elle a l’air sympa!
O : et mignonne aussi...
J : décidemment tu changeras jamais Odd!
O : ben quesque j’ai dit?
Y : laisse tomber Jérémie c’est un cas désespérer!

Un peu plus loin marine répondait au téléphone en se demandant qui pouvait bien l’appeler.
M : euh, allo?
??? : bonjour je me présente M. Açassin. Vous êtes bien Marine?
M : euh oui!
M. A : je suis le notaire charger de m’occuper du testament de Mlle Sinot.
M : Léa?
M. A : si vous voulez! Donc je vous disais que je dois m’occuper de remettre leur part d’héritage au personne présente sur son testament. Vous êtes d’ailleurs sa seule héritière.
M : vraiment?
M. A : oui. Aussi faudrait-il que nous prenions rendez vous.
M : euh oui mais pour le moment ça va pas être possible. Je suis... occupé!
M. A : je comprend tout à fait. Je vous laisse mon numéro et dès que vous avez un moment de libre, appelez moi pour qu’on prenne rendez-vous.
M : je vous écoute.
M. A : 05. 39. 82. 47. 16
M : c’est noté! Au fait... quesque m’a légué?
Lorsque le notaire le lui dit, elle faillit tombé à la renverse. Elle raccrocha et retourna vers le banc des autres.
Y : ça va marine? T’as une drôle de tête!
M : je sais pas quelle tête tu ferais toi si t’apprenais que tu viens d’hériter de 10 millions de dollars!












o : tu as dit combien?!?
M : dix millions.
Y : c'est tes parents qui t'on légué tout ça?
M : oui et le pire c'est que je savais même pas qu'ils avaient autant d'argent!
J : ben au moins tu es tranquille pour un bon moment!
DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIING!
U : tu sait dans quelle classe tu est?
M : je sais qu'il y a une certaine mlle stones dedans...
A : c'est moi.
M : ah,
Elle parut vaguement surprise quelques seconde, mais son visage redevint aussitôt impassible.
A : bon tu viens on va être en retard!
M : j'arrive! Elle se leva. Les cours de la matinée se passèrent pour le mieux, même si Marine n'écoutait qu'à moitié, plongés dans ses reflexions, ce qui lui valu les remontrances de la prof de physique et l'incita à être plus attentive en cours. La pause du midi arriva enfin, et Marine décida que c'était le moment d'avoir une petite explications avec stacy, mais elle fut ratrapé par yumi et sa bande, qui lui proposèrent de déjeuner avec eux. Elle accepta, ce disant qu'il valait mieux ne pas afficher un caractère trop solitaire si elle voulait être tranquille pendant son séjour ici. pendant qu'ils déjeunaient, la bombardant de centaines de questions auquelles elle s'éforçait de répondre le mieux possible, une fille fit son entrée et s'avanca vers leur table.
O : gaffe, voila miss sissi!
Elle le ragarda sans comprendre. Cependant sissi était arrivé à leur table et regardait Marine.
S : alors c'est toi la nouvelle?
M : ben oui! et toi tu est?
S : sissi delmas, je suis la fille du proviseur!
M : ah!
S : un conseil : tu devrait pas trop trainé avec cette bande de minable!
M : je pense savoir avec qui je peux trainé et si c'est pour me dire des conseils aussi nul, c'était pas la peine de venir!
Sissi, vexée, tourna les talons et s'éloigna.
O : bien joué!
M : non mais pour qui elle se prend!
O : pour miss monde!
Marine étouffa un rire.
Ils finirent de manger tranquillement puis Marine s'éloigna : stacy avait encore des comptes à lui rendre. Elle alla s'abriter derrière un arbre pour être tranquille.
M : alors ?
St : quoi ?
Sa voix était tendu.
M : ne te moque pas de moi! tu sait parfaitement ce que je veux!
St : je t'assure que non!
Mais ça voix en disait long.
M : mon rêve...
St : je t'assure que ce n'était qu'un rêve!
M : je n'en doute pas!
St : mais alors?
M : je veux juste savoir si ce que j'ai entendu sur la tradition est vrai.
St : gloups! euh... et bien...
M : je doit prendre ça pour un oui, non?
St : oui euh, non! euh...
M : stace...
St : oui c'est vrai.
M : comment Bertrand a pu faire une chose pareille ? et puis pourquoi personne ne m'a rien dit?
St : il n'avait pas le choix et puis c'est la tradition elle même qui veux que l'ainé n'en sache rien!
M : je n'ai jamais voulu naître la première, jamais!
St : je le sais bien, mais le destin en a décidé autrement.
M : et pour mes parents au fait, je dit a tout le monde qu'ils sont mort, mais est-ce que je mens vraiment?
St : eh bien, je n'osais pas te le dire mais en arrivant ici j'ai réussi à capter quelque compte rendu et il y en avait un qui annoncé qu'effectivement tes parents était morts.
M : non!
St : malheuresement si.
Des larmes firent leurs appartition dans les yeux de Marine.
M : mais pourquoi? enfin, comment?
St : je ne sais pas, je ne reçoit que de petit morceaux pour la plupart incompréhensible.
Marine s'assit contre l'arbre, le corps secoué de sanglots.
M : la dernière chose que j'ai dit à mes parents c'est "j'vous déteste"!
Sa voix se brisa.
St : tu ne le pensait pas...
M : si justement! j'avais même envie qu'il meure, que je puisse être tranquille! si tu savait à quel point je voudrais pouvoir tout effacer...
St : malheuresement c'est impossible.
M : une minute, c'est possible! je peux parfaitement revenir 1 an en arrière!
St : tu est dingue ou qoui? ça pourrait te tuer! tu n'est pas assez expérimentée!
M : tu veux peut-etre que je ne fasse rien!
St : tu sait très bien que c'est trop risqué! ou au moins, attend que tes pouvoirs ce soit développés!
M : tu as raison, se serait de la folie de faire ça maintenant, surtout que j'ignore comment ils sont morts.
St : vous voila redevenu raisonnable!
M : STACY!
St : pardon. TE voilà redevenu raisonnable!
M : merci!
DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIING!
l'après-midi passa vite et sans incident notable. à la sonnerie de fin des cours marine accosta aelita.
M : au fait aelita, on va partager la même chambre!
A : ah oui c'est vrai, le proviseur ma prévenu.
M : sauf que je sais pas ou elle est!
A : t'inquiéte suis-moi.












Trois jours plus tard, Marine était amis avec toute la bande, bien qu'il y ait malgré tout une certaine distance. Son rêve se réalisa se jour là : elle allait rejoindre les autres mais une inspiration subite la poussa à se cacher derrière un arbre près du banc où était assis les autres, pour pouvoir écouter la conversation.
Aelita : Vous la trouvez pas bizarre la nouvelle ?
Yumi : Si. On dirait qu’elle débarque d’une autre planète !
Marine murmura : « tu ne crois pas si bien dire yumi ! »
Ulrich : Au fait pourquoi cette question aelita ?
A : tu sais bien qu’on partage la même chambre ulrich ! La nuit je dois avouer que j’ai du mal à fermer l’œil, elle dit des trucs bizarres dans son sommeil !
Odd : bah et alors ? Ça arrive à tout le monde de parler dans son sommeil !
A : on voit que tu n’es pas a proximiter à ce moment là ! Elle parle carrément pas français ! Ça me fout la trouille !
O : bah, moi j’la trouve mignonne !
Jérémie : décidément tu changeras jamais odd !
O : bah quoi ?
Ulrich : laisse tomber, Jérémie, il est irrécupérable !
A : Taisez-vous ! je crois qu’on nous observe...
Elle désigner du doigt l’arbre où marine se cacher. Marine en sortit timidement.
M : Euh...
O : Y'a longtemps que tu nous écoutes ?
M : 30 secondes à peu près.
A : Pourquoi tu nous espionnait ?
M : J'ai vu, enfin entendu, que vous parliez de moi et je voulais savoir ce que vous disiez !
J : Tu est décidemment bien mystérieuse !
Marine s'assit.
M : Je sais, mais avoue qu'il est naturelle pour une nouvelle de vouloir savoir ce que les gens pensent d'elle !
U : Là, elle marque un point !
Marine voulut dire quelque chose mais William arriva en titubant.
Y : William ! Tu as bu ou quoi ?
W : Bien sûr que non ! Mais je peux te parler une minute.
Ce fut à ce moment là que Marine se découvrit un autre pouvoir, celui de lire dans les pensées. Elle en avait découvert trois 4 jours avant mais n'avait pas imaginée en découvrir d'autres. Et ce qu'elle découvrit dans l'esprit de William la consterna.
Y : Je ne veut pas te parler William ! Quant vas tu comprendre que je suis avec Ulrich et que je ne changerais pas !
W : Je...
M : William ?
Elle s'était levé.
W : Quoi ?
M : Il faut qu'on parle !
Les autres la regardèrent, stupéfaits, son visage affichait une détermination polie.
W : T'es qui toi d'abord ?
Il était clair que William n'était pas dans son état normal.
M : Marine Rey, ça fait quatre jours que je suis là !
Elle le tira par le bras à l'écart.
W : Hé !
Les autres les suivirent des yeux.
U : Mais quesqu'elle fabrique ?
J : Aucune idée !
A : ça n'a pas l'air de plaire à William !
En effet, ils parvenaient à voir le visage de William rouge de colère, mais ils ne pouvaient voir celui de Marine qui leur tournait le dos, mais elle paraissait calme pour autant qu'ils puissent en juger. Soudain ils sursautèrent tous et Aelita poussa un cri. William était en rogne et tenait Marine en l'air, les deux mains ensserant sa gorge. Ils se levèrent d'un bon et se précipitèrent. Ils n'était pas les seuls, de nombreux autres élèves s'étaient hatés également, tout les élèves de la cour ayant vu la scène.

*Du coté de William et Marine*

Elle suffocait, elle n'aurait pas imaginé une telle réaction de la part de William. Elle était impuissante, elle ne pouvait se servir de ses pouvoirs, qui aurait été dangereux pour William comme pour elle à cet instant. Elle sentait Stacy paniquer à son poignet, et songea que sans elle elle aurait sans doute déjà succombée. Elle aurait voulu parler, mais n'en avait pas la force. Elle voyait en face d'elle les yeux furieux de William, elle le regarda d'un air supliant, ce qui n'eut pour effet que d'accentuer la pression des doigts sur sa gorge. Ses yeux se voilèrent et la terreur l'envahit, un des pires souvenirs de sa vie s'insinua dans son esprit, elle voulut le chasser, et lutta en ce but. Soudain elle sentit la pression disparaitre et sa vision redevint normal. Elle s'écroula et eu le temps de voir que c'était Jim qui l'avait sauvé et qui hurlait :
Jim : NON MAIS VOUS ETES COMPLETEMENT MALADE DUNBAR!!!!!!!!!!
Elle vit des visages au dessus d'elle mais ils lui paraissaient très lointain. Elle s'évanouit.
Elle fut transporté à l'hôpital, William fut arrété et une cellule psycologique fut ouverte au collège. On découvrit un fort taux de stupéfiant dans le sang de William, qui n'excusait pas pour autant son geste et aurait même eu tendance à l'agraver. Quand William ne fut plus sous l'emprise de la drogue, il ne se souvenait de rien et fut bouleversé de son geste et avoua sans peine qu'il se droguait car il ne supportait pas que yumi sorte avec Ulrich. Comme quoi l'amour et la jalousie pousse à faire de drôle de chose... Quant à ses parents ils étaient bien évidemment furieux. Marine était bien au dessus de tout cela, d'autant plus que la seule chose qu'elle aurait pu craindre fut que l'on découvre que ses papiers étaient bidons. Mais ils étaient trop bien fait et, à moins d'aller sur place et d'interrogeait les habitants, il était quasi-impossible de découvrir la supercherie. Mais Marine avait d'autres souçis, elle était prisonnière de son cauchemar, il refusait de la laisser se révaillait et se répétait encore et encore. Mais Marine avait encore de la chance, ce n'était pas le pire souvenir qu'elle avait mais seulement le deuxième, mais cela revenait au même. Elle revoyait la mort de sa meilleure amie, Léa Sinot. Elle réussit finalement à s'échapper au bout de trois jours. Elle était trempé de sueur et mit quelques seconde à réaliser où elle était, à savoir une chambre d'hôpital. Elle passa machinalement une main sur sa gorge.
- Rassurez-vous, vous êtes bien vivante ! dit une voix.
Marine vit à ce moment-là l'infirmière qui la regardait en souriant.
I : Je vais aller prévenir le médecin que vous êtes réveiller.
Marine tenta de dire quelque chose mais sa gorge était trop séche. L'infirmière eu un sourire compatissant et disparut. Elle revint quelques minutes plus tard avec un médecin.
Médecin : Tout va bien ?
Marine : Je, je crois que oui.
Mé : Vous avez eu une chance incroyable, quelques secondes de plus et...
M : Je crois que j'ai compris docteur !
Mé : Oui, excusez-moi ! Bien je dois vous faire une prise de sang pour être sûr que tout va bien.
M : Je comprend.
En réalité elle n'en menait pas large et pria pour que l'on aille pas faire un tour du côté de son ADN.
Mé : Vous allez bien ?
M : Oui, c'est juste que je n'aime pas les piqûres.
Mé : Vous êtes loin d'être la seule !
Elle sourit, le médecin lui fit la prise de sang et repartit. Jérémie,Odd,Ulrich,Yumi et Aelita entrèrent.
A : Salut ! L'infirmière nous a dit que tu était réveillée !
M : C'est gentil de passer me voir !
O : Je sais que c'est pas vraiment le bon moment, mais est-ce qu'on peut savoir ce que tu as dit à William pour qu'il tente de te tuer ?
Y : Odd ! Enfin, elle vient de se réveiller !
M : Laisse Yumi, il a raison de me le demander. Pour te répondre je tedirais que j'ai découvert son secret et que j'ai tenté de le raisonner mais sa n'a visiblement pas marché !
U : Tu parles du fait qu'il se droguait ?
M : Oui.
Un policier rentra dans la chambre.
P : Excusez-moi mais je dois parler avec votre camarade.
Ils sortirent.
P : Bien, j'ai ici les papiers pour vous permettre de porter plainte.
M : Ah oui ! Euh... ça va sans doute vous surprendre mais je ne souhaite pas porter plainte.
P : ??? Mais pourquoi ? On a tenté de vous tuer je vous rapelle !
M : Je sais, mais mon agresseur n'était pas dans son état normal. Je ne lui en veut pas !
Le policier sortit, perplexe. Les autres le virent et rerentrèrent dans la chambre.
O : Quesqu'il voulait ?
M : Il avait des papiers pour que je puisse porter plainte.
J : ça a été rapide !
M : C'est parce que j'ai refusé de porter plainte !
Y : Quoi mais pourquoi ?
M : William n'était pas dans son état normal, je suis sûre qu'il ne l'aurait jamais fait sinon !
U : Quesque tu en sait ?
M : Une simple intuition !
O : Tu est décidemment étrange !
M : vous en voulez à tout ceux qui ont essayer de vous tuer vous ?
A : Hein ?
M : Je voulez dire vous en voudriez.
U : Bien sûr !
M : Même s'il ne sont pas dans leur état normal ?
A : ça dépend, si c'est à cause de drogue ou d'alcool, ils n'avaient qu'à pas en prendre ! Mais si c'est autre chose...
J : Aelita !
A : Hein ? Oh, euh, mais je me demande bien ce qui peut provoquer ça !
En un éclair Marine apris de l'esprit d'Aelita tout ce qui était important, à savoir les deux années (dites-moi si je me trompe) de lutte contre xana. Marine sentit son coeur se serrer. Ce qu'elle avait appris ne pouvait être vrai ; et pourtant les esprits des autres lui confirmèrent les pensées d'Aelita. Sauf quand elle voulu savoir ce que pensait Ulrich, là elle se heurta à un mur.
U (pensées) : Ce n'est pas beau de fouiller dans la tête des gens !
Marine sursauta. Les autres la regardèrent.
U : Quesqu'il y a ?
M : Rien, rien...
Il était clair qu'Ulrich ne s'était absolument pas rendu compte de ce qu'il venait de dire. Elle comprit qu'elle venait de se frotter à un insensible, qui était sans doute le seul pouvoir que pouvez avoir un terrien, l'atmosphère de la Terre ne permettant pas à ses habitants d'en développer d'autres. A part elle-même, elle n'en avait cependant jamais rencontré d'autres. Un bref sourire passa sur son visage lorsqu'elle imagina ce qu'elle avait bien pu dire à son père à chaque fois que celui-ci avait tenté de lire ses pensées. Son sourire fut presque aussitôt remplacés par deux larmes qui roulèrennt sur ses joues à la pensée qu'elle ne le reverrait jamais.
O : Tu est sûre que ça va ?
M : Juste des mauvais souvenirs qui reviennent à la surface.
Le médecin revient.
Mé : Excusez-moi mais les visites sont terminées, il va falloir que vous vous en alliez !
A : Bon, ben alors au revoir !
M : Bye !
Les autres : bye !
Mé : Nous connaîtrons les résultats de vos analyses demain et s'il n'y a rien d'anormal vous pourrez sortir !
M : Merci docteur !
Il sortit. Elle plongea dans ses oreillers et s'endormit aussitôt. Elle ne fut pas tranquille pour autant : le pire souvenir de sa vie vient la hanter cette nuit là. Elle rêva du jour où elle avait perdu Matthieu... et rencontrée Xana.












Ils couraient sur le sol gelé, voulant échappés à ces monstres qu'ils n'avaient eux que le temps d'apercevoir. Malheuresement Matthieu était ralenti du fait de sa quasi-noyade, et avant que Marine put faire quoi que ce soit il se prit deux tirs et s'écroula sur le sol. Curieusement les tirs avaient cesser sitôt qu'ils avaient commencés, mais Marine n'y préta guère attention, elle se précipita vers lui.
Marine : ça va ?
Matthieu : Non, je crois que...
Il n'eut pas le temps d'en dire plus qu'il commença à disparaître lentement sous les yeux équarquillés d'horreur de Marine.
Mar (paniquée) : Que se passe-t'il ?
Mat : Je, je crois que cette fois c'est la fin Marine !
Mar : Non ! ne dis pas ça !
Mat : Je t'aime et je t'aimerais toujours !
Il eut le temps de l'embrasser une dernière fois avant de disparaîraitre définitivement. Marine s'effondra sur le sol et fondit en sanglots. Elle n'avait pas remarquée que les monstres s'étaient rapprochés d'elle, l'air génés, embarassés, tristes... impossible de savoir précisément leurs émotions, mais ce n'était pas la joie ! Un lourd silence s'installa, seulement rompu par les larmes de Marine. Enfin l'un des monstres se décida à parler :
Monstre : Je... Nous sommes désolé de ce qui c'est passé !
Marine releva la tête, les yeux brillants de larmes, surprise.
Ma : Vous parlez ?
Mo : Et bien en réalité, vous êtes la seule humaine que nous avons rencontrer qui nous comprends !
Marine regarda Stacy.
Ma : Oui c'est possible. (son regard se voila) Il est... mort ?
Mo : Je crains que oui.
Marine réfléchit, elle était quasiment au bord du plateau, sauter serait si simple... Elle fut sortis de ses pensées par le monstre, qui était visiblement inquiet.
Mo : Qui était-ce ?
Ma : Mon... mon mari.
Un autre lourd silence s'installa, Marine se demanda pourquoi elle parlait avec les meurtriers de Matthieu. La réalité vient la frapper : Matthieu était mort et elle ne pouvait rien y changer. Le désespoir l'envahit et elle n'hésita plus, elle prit une grande inspiration et se jetta dans le vide. Elle ne tarda pas à rencontrer l'eau qui ralentit brutalement sa chute, l'assommant à moitié. Elle s'enfonçat lentement dans les profondeurs des abysses. Elle sentit ses poumons se remplir d'eau et son corps lutta pour remonter à la surface, mais son esprit resta le plus fort. Alors qu'elle tombait doucement dans l'inconscience, elle vit une ombre nageait ver elle...


Elle s'éveilla en sursaut, trempée de sueur. Elle commençait à en avoir marre de ses cauchemars, ils l'empêcher de se reposer. Elle était inquiète aussi, elle se demandait pourquoi ces souvenirs painibles remontaient à la surface. Elle se demanda qu'elle heure il pouvait être, mais il n'y avait pas d'horloge dans sa chambre et il était inutile de compter sur Stacy.
M : Au fait Stacy tu as surveiller s'ils...
S : Rassure-toi, ils n'avaient pas besoin de voir ton ADN pour leurs analyse !
M : Ouf ! je me demande comment ils auraient réagi !
S : Ils nous auraient peut-être envoyé à la zone 51 !
Elles éclatèrent de rire. Le médecin rentra à ce moment-là, elles se turent aussi tôt.
Mé : Cela fait plaisir à voir ! Mais j'aurait juré entendre plusieurs voix.
Ma (faussement surprise) : Vraiment ?
Mé : Non j'ai du rêver ! J'ai une bonne nouvelle !
Ma : Laquelle ?
Mé : Vos résultats sont excellent, vous pouvez donc sortir !
Marine fut heureuse de cette nouvelle, elle n'aurait pas supporter de rester un jour de plus à l'hôpital. Elle était néammoins inquiète, pas pour elle, mais pour William. Elle savait que même sans sa plainte il serait certainnement jugé, au moins pour détention et comsommation de produits illicites. Elle rageait d'être impuissante, d'autant plus qu'elle se sentait responsable de ce qui était arrivé. Le médecin s'éclipsa, ayant d'autre patient à voir après Marine. Quelques heures plus tard Marine sortit, et retourna à Kadic. Colportée par Millie et Tamia, tout le monde savait tout de l'affaire, comme elle l'avait redouté, William n'était plus au collège, étant jugé le jour même, elle allait d'ailleur devoir participer au tribunal en tant que témoin, son refus de porter plainte n'ayant pas enpéché William d'être aussi jugé pour tentative de meurtre. Elle allait devoir être le plus convaincante possible, si elle voulait faire rentrer à peut-près les choses dans la normale. Souhait certe illusoire, mais dont elle ferait tout pour qu'il se réalise. Néanmoins elle retourna en cours, et fut vite exaspéré par les regards inquiets de ses camarades à son encontre. Et pour les profs c'était exactement pareil. Peu avant cinq heures, elle craqua. Elle se leva en plein cours d'histoire et hurla :
M : Mais quesqu'il y a à la fin ?
Tout le monde fut stupéfait par sa réaction.
Prof : Que ce passe-t'il ?
Il la regardait avec des yeux inquiets, Marine avait une furieuse envie d'aller lui coller une tarte.
M : Y'a que j'en ai marre (elle accentua le mot) que tout le monde soit inquiet pour moi ! je vais bien ça se voit non ? M**** à la fin, occupés vous de vos oignons !
Tout le monde la regarda, la surprise était à son comble. Le prof allait dire quelque chose mais la sonnerie retentit à ce moment-là, signe que les cours étaient finis. Les élèves sortirent donc de classe, mais pour Marine tout se jouait maintenant. En effet la séaance au tribunal allait bientôt commencer, et la plupart des élèves y serait, dont les trois quarts en tant que témoin. L'espace d'un instant, elle se demanda pourquoi elle agissait ainsi, après tout, comme le lui avait dit beaucoup de gens, William avait bel et bien tenté de la tuer. Elle conclut que c'était sans doute toutes ses années de voyage qui lui avait donné ce pardon constant, après tout, elle-même avait déjà tué quelqu'un. Elle frissonna, puis ce ressaisit, ce n'était pas le moment de laisser les mauvais souvenirs remonter à la surface. Elle allait devoir se montrer forte et convainquante si elle voulait convaincre les jurés, et ce n'était pas e étant à deux doigts de craquer qu'elle allait y arriver. D'autant plus que ses nerfs avaient déjà lachés une fois dans la journée, il était hors de question que cela arrive une seconde fois. Elle ferma les yeux et inspira un grand coup, puis se fondit dans le flot d'élèves qui se dirigeaient vers les bus mobilisaient pour l'occasion.














Ce fut l'un des procés les plus étranges de l'histoire. En effet, l'avocat de william ne parvenait pas à lui assurer une bonne défense, les preuves accablantes et les nombreux témoignages n'aidant pas. Aussi Marine finit par perdre patience, et remplaça l'avocat de William au pied levé, sous l'ahurissement général. Toute la cour était sidérée par cette jeune fille qui maniait les arguments à la perfection, posait les bonnes questions, et semblait connaître sur le bout des doigts toutes les lois existantes, ressortant même de vieux articles oubliés de temps en temps. Certe, elle n'avait aucun mérite sinon de savoir bien présenter ses arguments, étant donné que c'était grâce à Stacy qu'elle connaissait si bien les lois. Mais elle fut mine de rien d'une efficacité redoutable : elle avait mené le procés d'une main de maître, et avait réussi l'exploit d'obtenir un non-lieu pour la tentative de meurtre, (noter la splendide hyperbole employé ! ^^) et pour l'histoire de la drogue, qui était de toute façon bien moins grave, elle obtient simplement 40 heures de travaux d'intérét général (le minimum quoi ! je le sais parce que j'ai du faire cent trente six recherches pour réussir à trouver ça!). La cour, trop ahuris, l'avait laissée faire et même mieux : l'avait écouté ! L'étonnement était d'autant plus général que dans l'affaire, c'était Marine la victime ! Et pour couronner le tout, au grand dam de Marine, les journeaux s'étaient enparés de l'affaire. Bref pour Marine, et surtout pour William, la vie fut impossible pendant une bonne semaine, où les journalistes ne cessaient de vouloir les interrogeaient, au bout de laquelle les gens et les journeaux se désinterressèrent de l'affaire, n'ayant aucune déclaration de la part des concernés à se mettre sous la dent.
C'est durant cette semaine là que le bal de fin d'année fut annoncé, il avait été maintenu car les élèves comme les enseignants avait besoin de se détendre, sauf qu'il y avait deux nouveautés cette année : la première était que tout les élèves sans exception devait être présent, mais cela Marine savait que c'était surtout dans le but de garder William à l'oeil, étant donné qu'après le tribunal, c'était le principal -mais aussi les parents de William- qu'elle avait du convaincre pour que William ne soit pas exclu de Kadic, sachant qu'il aurait beaucoup de mal à être accepté dans un autre établissement avant un moment.
La deuxième qu'il y aurait un théme, une nouveauté qu'ils avaient décidés d'instaurer pour les bals à venir. Et le thème de ce premier bal était "prince et princesse", ce qui faisait bien rire Marine, qui se disait qu'au moins elle n'aurait pas de mal pour sa tenue.
Evidemment il fallait trouvé un cavalier, ou une cavalière. Il fallu trois jours pour qu'Ulrich et Jérémie se décident enfin à inviter Yumi et Aelita. Odd quant à lui n'arrivait pas à trouver de cavalière. Il avait bien tenté d'inviter Marine mais celle-ci avait refusé, tout comme elle avait refusé toutes les autres invitations.
Quatre jours avant le bal, Yumi et Aelita décidèrent d'aller en ville pour se trouvait une tenue, et proposèrent à Marine de les accompagnés, bien qu'elle ait déjà sa tenue, mais histoire de leur donné son avis. Comme étant samedi, elles purent passer l'après-midi à faire les boutiques, et elles s'amusèrent comme des petites folles, bien que trouvait une robe fut dur. Mais elles finirent par trouver : Yumi dénicha une robe qui lui allait si bien que Blanche-neige en serait devenue verte de jalousie,ainsi que les souliers et tout les accesoires assortis et nécessaire, comme un diadème (une princesse sans couronne n'est pas une princesse !) ; et Aelita, bien qu'ayant un choix assez restreint au vue de sa couleur de cheveux, se dénicha une robe dont le rose s'accordait parfaitement à celui de ses cheveux, la marraine de Cendrillon n'aurait pas fait mieux. Puis, ravie de leurs achats, elles retournèrent à Kadic, Yumi allant ranger ses affaires rapidement lorsqu'elles passèrent devant chez elle. A Kadic elle rencontrèrent les garçons, qui tentèrent de les interroger sur leurs achats, mais elles leur répondirent qu'ils le veraient bien le jour du bal. Suite à quoi Aelita s'empressa de ranger ses afaires dans son placard. Elle et Yumi insistèrent ensuite pour voir la tenue de Marine, qui refusa tout net, disant que elles aussi, elles veraient bien le jour du bal. Et c'est en râlant qu'elles retournèrent dans la cour pour retrouver les garçons au banc habituel. Pendant un moment ils discutèrent de tout et de rien, mais il commença à se faire tard, et ils durent se séparer bien après que le soleil eut disparu, car ils devaient aller aux refectoire pour les uns, et rentrer chez eux pour les autres (Yumi en l'occurence). Au réfectoire Odd fut content, en effet, au menu, il y avait tartiflette, qui était dans ses plats préférés (après le couscous boulette bien sûr !^^). Et encore plus heureux quand Marine lui laissa bien volontiers les 3/4 de sa part, son appétit ayant été quelque peu coupé, notamment par les sales manières de Odd, mais surtout parce qu'elle avait vu William, deux tables plus loin, seul, où les autres élèves l'évitaient soignesement. Elles se rendit soudain compte qu'il l'observait, l'air hésitant. Intriguée, elle se concentra sur ses pensées. Elle vit qu'il hésitait à venir lui parler ou pas, principalement parce qu'il y avait les autres, et que ceux-ci l'avait enpéché de lui parler une bonne douzaine de fois les dernières semaines. Elle poussa un profond soupir, qui surprit le reste de la table.
A : Ca va Marine ?
M : Hein ? Euh... Oui très bien !
A : Hum...
M : Bon, vous m'excuserez mais je dois y aller ! leur lança-t'elle, faussement enjouée.
O : Mais...
Elle avait déjà fillée, et elle regagna sa chambre à toute vitesse, le coeur battant à tout rompre. Ce qu'elle avait lu dans l'esprit de William était tellement incroyable ! Elle n'avait pas son don depuis longtemps, mais néammoins le nombre d'élèves faisait quelle connaissait beaucoup d'esprit, mais contre toute attente celui de William était le plus pur et le plus sincère qu'elle eut jamais entendu. Ce qu'il montrait aux autre n'était qu'une façade. Il voulait se faire passer pour se qu'il n'était pas, et ça ne lui réussi pas d'ailleurs. Mais si elle s'était enfuie, c'était à cause de la dernière pensée de William. Elle était d'accord avec lui, mais elle n'arrivait pas à se l'avouer. Leur souvenir était encore trop présent, et puis il y avait les autres...
Le jour du bal arriva enfin, Odd avait fini par trouver une cavalière, mais Marine trouvait detestable qu'il l'ai choisie juste parce qu'il n'avait eu personne d'autre à inviter, et elle plaignait la malheureuse fille qui elle avait totalement craquée sur Odd. Elle risquait d'avoir des surprises la pauvre... Aelita et elle était dans leur chambre, Aelita en train de se préparer, et Marine réfléchissant, une heure avant le début du bal. Quand soudain Aelita prit la parole :
A : Au fait Marine, je peut savoir pourquoi tu n'as pas de cavalier ?
M : Je n'en avait pas envie, et puis aucun des garçons qui me l'ont proposé ne m'intéresse !
A : Ah bon ? Et avec qui tu voulais y aller alors ? demanda-t'elle, curieuse.
M : Les seuls cavaliers qui m'intéressent ne me l'ont pas proposé ! lui répondit-elle, et ne risque plus de le faire pour la plupart... ajouta-t'elle en chuchotant.
A : Hein ?
M : Quoi ? Oh ! ajouta-elle en se rendant compte de ce qu'elle venait de dire, Oublie ce que j'ai dit !
Mais elle même ne faisait qu'y pensait.
M : Oh xa' ! Comment avons-nous pu en arriver là ? Pourquoi as-tu fait une chose pareille ? Tu m'avais promis d'être là à mon retour et je t'avais promis que je reviendrais... J'ai respecter ma parole, alors pourquoi pas toi ? Pourquoi t'es tu enpétré dans de pareilles histoires ? Tu étais incapable de faire le moindre mal à une mouche ! Comment as-tu pu dégénerer ainsi ? Et...
Elle s'interompis soudain, ayant croisait le regard stupéfait d'Aelita, et se rendant compte par le biais de ses pensées qu'elle s'était exprimer à haute voix.
M : Excuse-moi je pensais à voix haute ! dit-elle précipitament.
A : Qui est xa ?
M : Quelqu'un ! Et tu t'en doute, c'est un raccourci !
A : De Xavier ?
M : Il y a d'autres prénom commençant par Xa !
A : Attend voir... Aprés il y a toujours les noms composés avec Xavier mais...
M : Tu n'en oublie pas un ?
A : Euh... Lequel ?
M : Xana.
Aelita regarda Marine la bouche grande ouverte.
A : Que, quoi ?
M : Ben oui, répondit Marine en jouant l'indifférente, c'est un prénom possible aussi ! Euh... Je peut savoir ce que tu as ? demanda-t'elle, faussement inquiéte.
Aelita se secoua, se forçant à ce reprendre.
A : Rien, rien, c'esst juste que j'ai été surprise !
Marine la regarda bizarrement, et Aelita frissonna, elle avait le sentiment d'être passée au rayon X. Enfin Marine délivra Aelita de son regard, et sourit, visiblement se retenant de rire.
M : Tu devrais peut-être y aller, Jérémie doit t'attendre !
En effet, le bal commençait désormais dans moins de dix minutes. Aelita paniqua un peu et s'enfuit dans le couloir, mais s'arreta et revint en arrière, en dévisageant Marine.
A : Et toi ? Tu n'as peut-être pas de cavalier, mais tu dois y aller quand même ! Et tu n'as même pas commencer à te préparer !
M : Ne t'inquiète pas pour moi, ça ne me prendra pas longtemps ! la rassura Marine.
Aelita parut perpexle mais la vue de l'horloge la força à sortir retrouver son homme. Marine sourit en voyant la précipitation d'Aelita. Elle décida que vu qu'il ne lui faudrait pas plus de trois secondes pour se préparer, elle avait largement le temps de réfléchir un peu...
Devant le gymnase, lieu de la fête, tout les couples et élèves attendaient que ce soit l'heure. Enfin, la porte du gymnase s'ouvrit, et Jim apparut, provoquant plusieurs rires dans l'assemblée, en effet son costume aurait gagner à être une taille au-dessus... Pour vérifier la présence de tout les élèves, Jim appela chacun un par un et classe par classe, ça n'était pas vraiment un super début pour une fête, mais comment faire autrement ? (faites un tour en 2058 ça vous aidera !^^) Les sixièmes passèrent, puis les cinquièmes, les quatrièmes, les troisième, puis ce fut le tour des secondes, tout aller bien jusqu'à ce que Jim en arrive à Marine, qui était encore dans sa chambre, et avait totalement oublié le temps qui s'écoulaient. Lorsqu'elle s'en rendit compte, elle se dépécha de rejoindre les autres. Au gymnase, c'était la troisième fois que Jim l'appelait, Aelita tenta plus ou moins bien de lui dire qu'elle n'avait sans doute pas fini de se préparer, quand Marine débarqua.
M : Excusez-moi, je suis en retard ! lança-t'elle, mal à l'aise.
En effet, quand elle était arrivée un grand silence -sauf pour elle-même- c'était soudain installé, et cela la mettait très mal à l'aise, bien qu'elle sache parfaitement pourquoi tout le monde s'était tu, les pensées de la foule étant assez claire et bruyante.
M : Que se passe-t'il ? demanda-t'elle, faussement intriguée.
Jim : Rien, rien du tout ! Seulement l'on commençait à s'inquiéter !
Marine se retint de rire, bien qu'elle ne comprenne pas la réaction de tout le monde, pour elle elle n'avait rien de particulier. Et pourtant, c'était légitime. En effet, Marine était sublime, un véritable ange qui serait descendu du ciel : ses cheveux encadrer son visage en parfaite anglaise et brillaient tels des étoiles dès qu'un peut de lumière osait les toucher, et le magnifique diadème posait dessus palissait néammoins devant tant de splendeur. Sa robe était une envollée de tissus et de dentelle passant par toutes les nuances de gris et d'argent. C'était une princesse, une vrai, c'était tellement évident, tout l'attestait, de la grâce qui émanait d'elle au son de sa voix, la couronne n'était même pas nécessaire pour que l'on le comprenne. Mais Jim -et la foule- se reprirent, et il continua à faire l'appel. Quand il eu finit, les élèves purent enfin rentrer et le bal put commencer...