Histoire :Oublié ? Nan tu es toujours là: Tome IIécrit par yumi72

Histoire : Oublié ? Nan tu es toujours là: Tome II

Écrite par yumi72 le 07 octobre 2007 (8855 mots)

Dernière édition le 08 décembre 2007

Deux ans c’était écoulé depuis le mariage de nos couples préférées et ils étaient tous très heureux, les enfants avaient bien évidemment grandis, avantage ?

Y : Jade non rend la chaussure à maman !
Ou inconvénient ?
Jade rigolait en faisant tournée sa mère en bourrique, cette petite puce était très maligne, mais adorable, elle adorait jouer avec ses parents même si des fois elle avait beaucoup de mal à s’arrêter, mais quand elle voyait que ses parents commençaient à se fâcher elle s’arrêtait tout de suite.
Y : Jade ma chérie s’il te plaît maman n’a pas le temps de jouer, ULRICH !!
Ulrich sursauta devant son ordinateur, il était tellement concentré qu’il n’entendait pas sa femme qui courrait après leur petite fille, il arriva dans le salon quand il vit sa petite fille passée devant lui avec la chaussure de sa maman dans la main, il vit également la mine désespérée de Yumi, alors il prit sa fille au passage en la faisant voler en l’air en riant.
U : alors ma chérie on fait des misères à maman
J : jouer maman !
U : oh non pas aujourd’hui ma chérie
La petite fille baissa les yeux et se blottit dans les bras de son papa, ulrich attendit embrassa sa fille sur le front et se dirigea vers Yumi qui retrouvait son sourire qui faisait tant craquer son mari.
Y : allez mon bébé, tu rends la chaussure à maman ?
Jade releva la tête et donna la chaussure à Yumi, celle-ci sourie et embrassa sa fille sur la joue en lui caressant les cheveux.
Y : tu es un vrai petit ange ma chérie, allez tu vas jouer ?
Jade hocha la tête affirmative, elle descendit des bras de son père et partit en courant vers sa petite chambre. Ulrich sourit et prit sa femme par la taille
U : courir après notre fille dés le matin sa c’est du sport ^^
Y : c’est ça moque toi de moi, elle est beaucoup câline avec toi qu’avec moi.
U : serais-tu jalouse ?
Y : hum, surtout jalouse de ma petite puce parce qu’elle à plus de câlin que moi
U : ah oui (en lui chuchotant à l’oreille) et ce qu’on fait la nuit tous les deux dans notre chambre sa compte pas ?
Y : chut ! Voyons Ulrich, c’est...c’est pas pareil, c’est pas de simple bisous
U : hum n’en dit pas plus je vois parfaitement ce que tu veux dire.
Il embrassa tendrement sa femme, il mit ses mains sur son visage, des gestes pleins de tendresse, depuis deux ans son amour n’avait jamais perdus de son intensité, mais malgré tout leur bonheur un événement avait perturbé leur vie et cela à jamais...

Chez les Belpois

J : allez Maya mange ma chérie
M : nan, veux pas !
J : maman va se fâcher si elle rentre et qu’elle voit que tu n’as pas voulu manger
M : pas bon carottes !
J : c’est pas vrai je suis maudit, ma chérie allez pour faire plaisir à papa
M : nan ! Je veux petit suisse
J : avant le petit suisse on mange les carottes
M : nan papa !
Jérémie ne voulait pas céder ou plutôt plus, il était un vrai papa gâteau, il cédait souvent à sa petite fille, rien qu’a l’idée de la voir pleurée le faisait craquer, mais Aelita ne l’entendait pas de cette oreille, elle essayait de faire prendre conscience à Jérémie de l’erreur qu’il faisait même si celui-ci savait très bien que c’était mal de tout céder à sa petite fille, mais il n’arrivait jamais à lui dire non.
J : maintenant Maya stop tu auras ton petit suisse après maintenant tu manges !
Il avait presque crier, Maya écarquilla les yeux, elle n’avait pas l’habitude que son père lui résiste, peut habituer elle prit ces paroles comme une punition et elle se mit à pleuré
J : oh non, non ma chérie ne pleure pas
Il prit le doudou de sa fille et lui donna celle-ci le prit et sécha ses petites larmes, Jérémie la sortie de sa chaise et la prit dans ses bras.
J : écoute ma chérie, papa n’est pas fâché mais il faut que tu manges tes légumes d’accord ? Après papa te donnera ton petit suisse
M : d’accord
Jérémie sourit et rassit sa petite fille sur sa petite chaise et lui donna ses carottes que Maya mangea sans problème, elle en redemanda même ! Avant d’engloutir son petit désert, Jérémie content d’avoir résister au caprice de sa fille.
Le téléphone de la maison sonna, Jérémie prit sa fille dans ses bras et s’approcha du téléphone et décrocha.
J : Oui ?
A : Coucou mon chéri
J : Bonjour mon amour alors ça va ?
A : oui, oui pas mal de travail, Maya va bien ?
J : très bien, elle m’a fait une petite crise avec ses carottes mais je n’ai pas céder je te rassure, elle m’a tout engloutit.
A : mais c’est génial ça
M : veux maman, veux maman !
J : attend Aelita, Maya veut te parlé
La petite fille prit le téléphone et le mit à ses oreilles, elle avait tellement vu ses parents le faire qu’elle avait vite compris le système.
M : maman ?
A : bonjour ma chérie, alors tu as bien mangé avec papa
M : Maya a tout mangé !
A : c’est bien ma chérie, allez maman va devoir retourné travailler, je t’aime très très fort mon bébé
M : bisous maman !
La petite fille redonna le téléphone à son papa.
J : bon bah dis je vais te laisser travailler ma chérie à ce soir
A : à ce soir mon ange, je t’aime
J : moi aussi ma chérie

Chez les Della Robia :

Odd était assis dans le canapé de son salon, avec son petit garçon qui était dans son transat, eh oui un petit garçon se petit garçon se prénommait Fabien, ce petit garçon était le chouchou de toute les filles, Yumi, Aelita chouchoutaient se petit bout, c’était le seul petit garçon, Maya et Jade adoraient également Fabien, il était blond, il avait les yeux bleu outremer de sa maman, un parfait petit apollon, Odd attendait Lisa qui ne devait pas tarder à rentrée de sa répétition.

L : Bonjour mes deux hommes !
O : ah enfin (il bondit du canapé et embrassa sa femme)
L : eh bien je t’ai manqué à ce point là
O : tu ne peux pas savoir à quel point
L : allez gros malin lâche moi j’aimerais dire bonjour à mon petit prince
Odd lâcha sa femme et celle-ci se dirigea vers son petit garçon, il lui tendit les bras, sa mère le prit dans ses bras et le berça.
L : oh maman t’as manqué à toi aussi, tu lui as donné son biberon Odd ?
O : oui, oui t’inquiètes pas
L : en tout cas tu as oublié de le changer, mon pauvre chéri oh papa t’as complètement oublié.
O : c’est pas vrai rohh, donne le moi je vais changer se bonhomme.
L : bon courage je crois qu’il ne sait pas louper ^^
O : dis alors ça c’est bien passé après quatre mois au repos ?
L : ça va, ça va ma jambe ne me fait plus mal du tout
O : faut dire que tu ne t’étais pas loupé
L : oui c’est sur mais le médecin m’a dit de ne pas trop faire d’effort.
O : et faut l’écouté ma chérie ou sinon...
L : arrêt définitif du trapèze je le sais, c’est pour ça que je fais attention
O : à quelle heure est ta séance de rééducation ?
L : 18h30
Soudain le petit Fabien se mit à pleurer
O : oui, oui bonhomme je t’emmène te changer t’inquiètes pas

Il partit vers la salle de bain avec son fils dans les bras, Lisa elle s’assit sur son canapé et soupir, elle essaya de plier son genoux mais elle grimaça et arrêta son effort elle ne voulait pas inquiété Odd en lui disant qu’elle n’était pas totalement rétablie, elle savait que sa carrière était en jeu, pour sa mère elle ne devait pas abandonner, la compagnie marchait beaucoup trop bien, il faut dire que sans ses amis, elle aurait eu du mal à se remettre, Yumi et Aelita avaient fait exprès le voyage en Italie pour aider la jeune femme à s’en remettre, elles étaient restées deux semaines, mais pas plus longtemps vu que les jeunes femmes venaient de reprendre leur travail, mais elle avait régulièrement des appels pour savoir comment allait-elle.

O : OH QUELLE HORREUR !!!

Lisa éclata de rire, Odd la faisait toujours autant rire surtout quand il voulait changer son fils et que l’odeur était insupportable, remarquez un homme à la maison ce n’est pas mal des fois ^^







Chez les Stern :

Ulrich tenait Yumi dans ces bras, elle avait sa tête posée sur le torse du beau brun, il regardait tranquillement la télé pendant que Jade faisait sa petite sieste de l’après midi, ils adoraient passés des moments tous les deux, seuls.

U : dis Yumi tu es allé voir ton médecin ?
Y : à quoi bon, sa ne sert plus à rien maintenant
U : qui c’est ma chérie on ne sait jamais.
Y : je n’ai plus envie d’y croire Ulrich.
Des larmes coulèrent le long des joues de la japonaise, Ulrich resserra son étreinte auprès d’elle, en la consolant du mieux qu’il le pouvait, leur vie avait basculé depuis un an maintenant...

Flash Back :

Yumi se réveilla le matin toute souriante, dans les bras d’Ulrich comme chaque matin, elle sortie un sachet de son sac et se dirigea vers la salle de bain, laissant Ulrich dans son doux sommeil, après avoir pris un bon bain elle regarda une petite chose posée sur la petite commode et elle perdit son doux sourire, elle sortie de la chambre quand elle vit son mari réveiller qui lisait dans leur lit, elle ne dit rien et s’assit à côté de lui.

U : bonjour ma chérie (voyant sa petite mine) qu’est ce qui ce passe ?
Y : rien c’est justement ça le problème Ulrich il ne se passe rien.
U : sa a encore échoué pas vrai ?
Y : oui, Ulrich tu crois que je devrais voir quelqu’un
U : pour nous rassurer sa serais bien ne t’inquiètes pas ma princesse je suis sur que tout va bien, ça doit être un passage à vide ?
Y : une femme n’a pas de passage à vide à se niveau là !
U : ne t’énerve pas ma chérie

Il mit ses mains sur les épaules de Yumi et les massa tendrement ce qui réussi un tirer un doux sourire sur le visage de la jeune femme, elle posa sa tête sur l’épaule de son mari, il mit ses mains autour de sa taille en l’enlaçant amoureusement.

U : on va aller voir quelqu’un princesse d’accord
Y : oui c’est la meilleure solution qui s’offre à nous.

Ils allèrent tous les deux voir un médecin, celui-ci leur posa de multiples questions pas toujours très agréable à répondre mais ils n’avaient pas vraiment le choix.

M (médecin) : vous avez déjà des enfants ?
Y : nous avons une petite fille d’un an.
M : et depuis combien de temps essayez vous d’avoir un autre enfant ?
U : oh bah depuis 3 ou 4 mois maintenant, mais sans succès, on commence à s’inquiété.
M : il ne faut pas paniquer, madame, l’infirmière va vous emmenez passer plusieurs tests et ainsi nous verrons si il y a un quelconque problème.
Y : je ne peux pas rester avec Ulrich ?
M : non désolé madame votre mari pourra vous attendre ici, pendant vous examens
Ulrich prit Yumi par les épaules et l’embrassa sur le front, pour la rassurer
U : tout ira bien ma chérie ne t’en fais pas.
Yumi lui sourit tendrement elle se leva et suivit l’infirmière qui l’emmena passer plusieurs examens.


Chez les Belpois :

Jérémie se trouvait sur son ordinateur a travaillé sur de multiple graphismes, Maya venait de s’endormir dans ses bras, eh oui l’informatique ce n’est passionnant pour une petite fille. Jérémie tellement concentré n’entendit pas la porte d’entrée s’ouvrir, Aelita vit Jérémie dos à elle sur son ordinateur, elle s’approcha sans faire de bruit et elle mit ses mains devant les yeux de son mari toujours avec un doux sourire.
J : Aelita tu es déjà là ?
A : mais il est 20h30 mon cœur je suis retour à la même heure que d’habitude
J : oh là j’avais pas vu l’heure
A : eh bien en tout cas Maya avait compris qu’il était temps qu’elle s’endorme, elle a mangé ?
J : euh...
A : Jérémie...
J : désolé elle sait endormie, je ne voulais pas la réveiller
Maya qui entendit ses parents parlés ouvrit difficilement les yeux, quand elle vit que sa maman était là, elle lâcha son doudou.
M : MAMAN ! (Elle sauta au cou de sa mère)
A : coucou mon petit cœur
M : maman veux manger.
A : normal en même temps, ton petit papa a oublié de te nourrir ^^
J : elle dormait je voulais laisser se petit ange dormir.
A : mais bien sur mon chéri, allez ma puce, on va voir les petits plats que maman a
La petite fille bondie sur le sol et partie toute guillerette en direction de la cuisine, elle connaissait bien se lieux là, une vraie petite gourmande comme ça meilleure amie Jade, dés qu’ils s’invitaient à manger les jeunes parents devaient cacher certaine bonne chose pour éviter que les deux jeunes filles ne volent tout ^^.
A : attend deux minutes Maya avant d’ouvrir le frigo, oh là, là mon dieu tu tiens vraiment ta gourmandise de Odd.
M : tonton Odd ?
A : oui ton tonton Odd est très gourmand, quand je repense au collège pire qu’un ventre sur patte, un vrai maigrichon.
J : pas maigrichon ma chérie svelte ! Il est svelte !

Aelita ria de bon cœur, tous ses souvenirs du collège qu’elle bonheur pour elle, le plus beau jour de sa vie, le jour ou ils avaient enfin éteints se maudit supercalculateur, malgré la mort de son père peu de temps après cette victoire, elle n’oubliait jamais tous ses bons moments malgré tout ce qui c’était passé ses dernières années, ils étaient tous là, chacun avait fondé sa petite famille.

M : maman !!!!
A (sursautant) : oh oui pardon mon cœur, bon alors voyons voir ce qu’il y a.
J : ça ne va pas ma chérie ?
A : oh mais si je pensais juste à autre chose c’est tout, dis moi Yumi t’as confirmer que Odd et Lisa seraient la demain ?
J : oui, oui ils seront là demain.
A : tu te rend compte...Yumi va fêter ses 28 ans, tant d’années ont passés et rien n’a changer.
J : eh oui, tu sais Aelita nous avons de beaux moments à vivre comme voir notre petite fille grandir.

Chez les Della Robia :

Odd revenait de la salle de bain avec son fils dans les bras.
L : tu t’es bien amusés ^^
O : très drôle une vraie intoxication ce bonhomme.
L : tu es pareil mon chéri
O : même pas vrai d’abord !
L : un vrai gamin, (regardant son fils) je t’en pris mon bébé ne prend pas exemple sur ton père sinon je crois que je serais désespérer
O : gentil, très gentil ça
L : oh mais je plaisante mon chéri, je veux seulement dire que si ton fils est aussi actif que toi je passerais mes journées à lui courir après.
O : profite en, il va bientôt trotter tout seul.
L : justement, il grandi trop vite ce petit prince, les filles aussi d’ailleurs.
O : eh oui, que veux-tu, je sens que demain à l’anniversaire de Yumi ça ne va pas être triste !
L : oh non, Fabien sera encore bien entouré de jeunes filles ^^
O : quel petit vénard, il en fera fondre des cœurs se petit ange.
L : pas autant que toi j’espère
O : qui moi ? Mais j’étais un ange avec les filles ! (Lisa le regarde style : mon œil ^^) oh bon d’accord j’abusais un peu de mon charme en effet.
L : en tout cas tu n’abuses pas de ta modestie ^^
O : mais modeste c’est mon deuxième prénom
Lisa ne put s’empêcher de rire, Fabien lui ne comprenait pas vraiment grand-chose à la conversation de ses parents mais quand il vit sa mère rigoler, il sourit joyeusement, il adorait voir ses parents rires.
O : pourquoi tout le monde se moque de moi (il fit mine de bouder)
L : oh mon pauvre chéri (elle prit le visage de son mari et déposa un doux baiser)
Ils furent interrompus par leur fils qui avait poussé un petit cri, impossible de comprendre quel genre de cri cela pouvait-il être.
L : eh bien alors mon ange qu’est ce qui se passe ?
O : gentil mon fils ton papa était en train de bien (une tape sur sa tête) aiieuhh !
L : fait attention à ce que tu dis (elle essaya de se lever mais elle retomba lourdement sur le canapé)
O (paniqué) : ma chérie ça ne va pas tu as mal à ton genoux ?
L : euh non, non t’inquiètes pas je me suis juste levé trop vite
O : (pas tellement convaincue) hum...bon si c’est toi qui le dit.
L : tu peux aller habiller Fabien avant que l’on parte chez le kiné.
O : oui j’y vais (il prit son fils dans ses bras) allez viens bonhomme.

Dés qu’il partit, Lisa se mordit les doigts pour ne pas crier elle avait horriblement mal à la jambe, pourtant elle n’avait pas fait de gestes brusques, aussi bien à l’entraînement que chez elle, elle commençait sérieusement à avoir peur pour son avenir, elle décida d’en parlé avec son kinésithérapeute dés qu’elle se retrouverait seul avec lui.
Elle se leva avec quelques difficultés puis elle alla chercher ses belles bottes en cuir et revint s’asseoir sur le canapé pour les mettrent quand elle leva son jean, elle vit que son gros bleu au genou était revenu décidemment elle ne comprenait plus rien.

O : ma chérie tu es prête on peux y aller ?
L : oui, oui mon cœur j’arrive dans deux minutes, va mettre Fabien dans la voiture je vois rejoins tout de suite le temps d’aller chercher ma veste.

Chez les Stern :

Suite du Flash Back

Un matin, Yumi fut convoqué chez son médecin, il venait de recevoir ses résultats et voulait discuter avec elle. Quand elle arriva, son médecin l’accueillit.

M : bonjour madame Stern.
Y : bonjour docteur, écoutez je suis vraiment désolé je n’ai pas beaucoup de temps à vous consacrer, je dois bientôt aller travaillé.
M : oui je comprends Madame, mais...
Y : docteur ? Qu’est ce qui se passe ?
M : Mme Stern ce que je vais vous dire ne va pas être facile à entendre pour vous.
Y : vous me faites peur, que se passe-il ?
M : nous avons fait de nombreux examens, sans rien trouver puis lors de notre dernier test nous avons détecté une anomalie.
Y : comment ça ?
M : vos ovules ne se renouvellent plus c’est un cas très rares, surtout chez les femmes qui ont déjà eu un enfant.
Y : mais alors...
M : Madame, je suis vraiment désolé.
Y : (les larmes aux yeux) je ne pourrais plus avoir d’enfant c’est ça que vous essayez de me dire ?
M : j’en ai bien peur Madame...

Son monde s’écroulait, oui son monde, elle rêvait tant d’un nouvelle enfant avec Ulrich et lui aussi souhaitait plus que tout renouveler sa paternité, mais maintenant leur rêve ne pourrait jamais prendre vie, oh non plus jamais elle ne pourrait donner la vie à un enfant, comment allait réagir Ulrich ? Et si il le prenait mal ?

Fin du Flash Back


U : Yumi ? Yumi ?
Y : oh oui mon cœur un soucis ?
U : tu es toute pâle
Y : je vais bien ne t’en fais pas pour moi
Elle sourie pour le rassurer, elle se blottit contre son torse, en fermant les yeux, depuis l’annonce de la stérilisation de la jeune femme Ulrich était encore plus présent, malgré le crainte de la japonaise, elle avait vraiment beaucoup de chance d’avoir un mari aussi attentionné et elle savait la chance qu’elle avait, sans qu’elle s’en rende compte Ulrich lui prit doucement le menton et le releva, il la regarda tendrement.
U : ces moments que je passe avec toi sont les moments que je préfère le plus.
Y : moi aussi ça fait tellement de bien d’être enfin dans tes bras
Elle se rapprocha du visage d’Ulrich et l’embrassa avec amour, il passa tendrement sa main sur la joue de la jeune femme en collant son corps contre le sien toujours avec beaucoup de tendresse dans leur geste. Il s’allongea doucement sur la jeune femme en intensifiant ses baisers, il s’arrêta de l’embrasser et la regarda.
U : je t’aime mon amour
Y : moi aussi je t’aime Ulrich.








Chez les Belpois

Aelita venait de finir de donné a mangé à Maya, ensuite Jérémie monta la petite-fille dans la salle de bain la changea et il la coucha en prenant bien soin de ne pas oublier le petit rituel du couché qu’ils avaient tous les trois habitudes de faire maintenant, quand il descendit il vit sa femme assise sur leur canapé, les yeux perdus dans le vide, elle semblait rêvée, il la tira de sa rêveries en la prenant dans ses bras.

J : A quoi pensais-tu ?
A : je pensais à demain et à mon père...
J : (en souriant) je comprend ma chérie
A : j’aurais tellement aimé qu’il soit là, c’est vrai, on c’est tous battus pendant plusieurs années et pour au final que mon père ne sois resté qu’un an en vie sur terre, je me rappelle encore le jour de sa mort Jérémie.
J : on ne peut pas oublier un jour comme celui-là, moi non plus je ne l’ai pas oublié

Flash Back :

A : Papa, il faut que tu manges un peu
Y : votre fille a raison Franz, il vous faut des forces
F : oh à quoi bon mes enfants, je ne suis plus bon à grand-chose
A : papa, arrête de dire ça c’est totalement faux.
U : Le médecin ne devrait plus tardé Franz vous allez voir je suis sur que vos résultas d’aujourd’hui seront bon.
F : tu sais Ulrich je ne me ferais pas d’illusion si j’étais toi, à propos quand pars-tu ?
Yumi baissa les yeux en entendant la question de Franz, celui-ci comprit un peu tard son erreur mais ne dit rien attendant la réponse du samouraï qui tardait à répondre.
U : eh bien...en fin de semaine normalement
Ulrich sentit le regard désespéré de Yumi mais ne bougea pas pour autant, il savait qu’il lui faisait du mal mais lui avait mal depuis longtemps, depuis trop longtemps et pourtant Dieu qu’il s’en voulait de lui faire du mal.
Le médecin entra brisant le silence qui c’était installé entre nos amis, mais le médecin avait l’expression d’un mauvais pressage tout le monde faisait comme-ci de rien n’était et Aelita suivit de très près pas Jérémie, sachant qu’une mauvaise nouvelle allait arrivé
A : Docteur comment va mon père ?
D : je crains fort Madame que votre père ne sent remette pas...
A : mais enfin vous rigolez c’est impossible ! Comment vous pouvez dire ça, il a encore une chance
D : il n’y a quasiment plus d’espoir Madame croyez moi que j’en suis vraiment navré.
Les larmes coulaient le long des joues de la jeune femme, Oh non ! Comme c’était injuste, elle venait de retrouvé son père après des années de séparations et là on lui annonçait qu’ils seraient de nouveau séparés mais cette fois-ci séparés pour toujours, l’épreuve était dur à surmonter elle sentit une main la prendre doucement par les épaules, un tendre « chut » se fit entendre elle leva les yeux, c’était Yumi qui essayait de lui faire cesser ces larmes malgré le faite qu’elle aussi avait les yeux rouge de tristesse décidément le sort s’acharnait sur leurs vies, pourtant ils méritaient tous d’avoir enfin la paix.
Y : Aelita je t’en pris calme toi
A : non, non Yumi c’est trop injuste pourquoi moi ?
Y : je sais ma chérie...je sais...
Franz ne disait rien de toute évidence il n’avait pas l’air d’être étonné, il aurait pourtant du nan ? Il avait mal rien qu’à voir son enfant pleuré, jamais il ne l’avait supporté, il pouvait comprendre sa peine bien sur, il savait qu’il mourrait tranquille sachant que Jérémie et ses amis seraient là pour veiller sur son enfant comme il l’avait toujours fait...

Franz Hopper mourra la nuit même le Samedi 26 juin à 6h30 du matin...

Fin du Flash Back


A : (en pleurant) oh Jérémie (elle s’effondra dans ses bras)
J : je suis là ma chérie, je suis là
A : Maya ne connaîtra jamais son grand-père elle ne pourra jamais savoir qu’elle homme extraordinaire il était...
J : ton père sera toujours là et je sais qu’il est très fière de la magnifique femme que tu es devenus, il te regarde mon amour il n’est peut-être pas là comme tu l’aimerais mais il est là et il nous protège de là ou il est.
A: qu’est ce que la vie serait amère sans toi Jérémie
Elle redressa la tête et donna un tendre baiser à son mari qui se laissa faire sachant que malgré toute la douceur qu’elle mettait dans son baiser elle souffrait il le sentait à travers se baiser.

Chez les Della Robia :

La petite famille venait de rentrée de la séance de kiné de Lisa, enfin pendant qu’elle était partie faire ses exercices. Odd avait emmené son petit garçon dans un magasin de jouet juste à côté, il faut dire que le petit garçon c’était drolement senti à l’aise dans se petit paradis. A présent Odd tenait Fabien dans ses bras et le monta dans sa petite chambre, lui mit son joli petit pyjama bleu qui faisait ressortir la couleur de ses petits yeux, Lisa prit ensuite l’enfant et le coucha dans son berceau le sourire aux lèvres, son petit garçon était un véritable ange, elle revoyait encore le jour ou Yumi avait fait mine d’un crise à Ulrich sur le faite qu’il aurait du lui faire également un petit garçon aussi mignon que son petit bout, Ulrich prenant la blague comme une vérité avait fait mine de bouder, ce qui avait bien fait rire tout le monde et comme d’habitude cela c’était terminé en embrassade ah là, là...

Lisa descendit en bas, Odd n’était pas dans le salon puis elle entendit l’eau coulée dans la salle de bain, elle sourit amoureusement prenant un malin plaisir à imaginer son mari sous la douche, elle se dirigea vers la commode et alluma la chaîne Hi-fi, une musique plutôt entraînante la fit sourire elle commença à danser toute seule en faisant bien attention de ne pas trop forcer sur sa jambe, elle sentit alors deux bras l’agripper par la taille elle sursauta :

L : idiot, tu m’as fais une de ses peurs !
O : voilà bien longtemps que je ne t’avais pas vu danser, ça m’avait manqué.
L : (en riant) eh bien je vais bientôt m’y remettre un peu
O : sans forcer sur ta jambe
L : oui papa ! Depuis quelque temps tu parles comme lui
O : il faut bien que je te surveille
L : je ne suis pas une délinquante, tu as plus de travail avec ton fils
O : hum, j’aime bien surveiller ma petite femme, comme ça je sais exactement ce qu’elle fait et avec qui.
L : t’es pire qu’Ulrich toi !
O : PIRE QU’ULRICH ! Ah nan ma chérie pire sa n’existe pas ^^
L : si il t’entendait tu te serais fait tué
O : je tiens à ma vie moi !
L : t’as qu’à te mettre au sport de combat aussi
O : bah quoi avec mon métier artistique j’en gagne des abdos !
L : oh ne t’inquiètes je te vois tous les soirs torse nu j’ai compris que tu avais des abdos, abdos qui me font littéralement fondre d’ailleurs (regard coquin)
O : ma chérie tu ne voudrais pas aller dans notre petit lit douillet.
L : mais bien sûr mon cœur je suis morte de fatigue
O (la retenant par le bras : hep, hep, hep qui t’as dis que c’était pour dormir toi
L : c’est ce qu’on fait généralement dans une chambre mon chéri.
O : pas seulement
L : va jusqu’aux bout de tes pensées mon ange je t’en pris. ^^
Odd la prit par la taille et l’embrassa doucement passant sa main dans les cheveux de la jeune femme.
L : hum je crois que je commence à comprendre mieux maintenant
O : alors ?
L : bonne nuit mon chéri ^^
Elle se dirigea vers leur chambre, Odd tira une mine à la fois déçu et amusé
O : C’EST PAS JUSTE !!!!!!!
L : LA VIE EST INJUSTE MON AMOUR !
O : attend un peu si je t’attrape !
Odd couru vers leur chambre, mais sa femme ne s’y trouvait pas, bizarre ? Mais la porte claqua derrière lui.
O : ehhh !!! Ouvre moi !
L : désolé mon mignon mais nan je ne veux pas que tu me fasses des misères
O : moi ? Je suis doux comme un agneau mon bébé
Des pleurs de firent entendre à l’autre bout du couloir, Fabien avait du entendre ses parents parlés.
L : en parlant de bébé tu as réveillé le notre
O : moi ? Tu rigoles c’est toi qui cris depuis tout à l’heure
L : oh le menteur ! ^^
O : allez ouvre moi !
L : je vais voir mon bébé avant d’ouvrir à mon grand bébé ^^
O : mais !! Ma chérie !

Plus un bruit, Lisa était sûrement partis s’occuper de leur fils, il confirma son idée lorsque les pleures de son fils se calmèrent, puis il entendit la clé tournée doucement dans la serrure laissant apparaître sa femme tenant son petit garçon dans les bras, le petit avait encore les yeux rouges, mais il ne pleurait plus.
Odd contempla longuement son fils et sa maman, il avait sur son visage un air attendri. Quel bonheur !

Chez les Stern

Ulrich était assis par terre, avec sa fille assise en face de lui, ils jouaient tous les deux tranquillement à la poupée tandis que Yumi préparait le repas, elle était tellement concentré dessus qu’elle mis quelque minutes à sentir la main de Jade qui lui tirait sur son jean.

Y : qu’est ce qu’il y a ma chérie ?
J : veux jouer avec toi maman
Y (en s’agenouillant près d’elle) oh ma chérie maman prépare à manger, tu joues pourtant avec papa non ?
J : oui mais veux jouer avec toi
U : j’ai bien essayé de lui dire ma chérie mais elle ne m’écoute pas, elle veut sa maman, si tu veux je peux finir de préparer le dîner ?
Y : (avec un sourire) tu es un amour mais non ça va aller mon cœur, j’ai fini
Elle s’avança vers son mari et l’embrassa tendrement sous le regard à la fois dégoûter et innocent de Jade.
J : beurk
Ulrich ria en plein baiser, Yumi fit de même, la petite fille avait dit ça sur un ton un peu bizarre mais très comique, Yumi voulut partir des bras d’Ulrich mais celui-ci en avait décidé autrement il serra sa femme encore plus fort contre lui.
Y : décidément tu es très câlin ces derniers temps
U : et encore je me retiens parce qu’il y a notre petite puce avec nous et puis demain c’est ta journée alors demain soir tu verras ce que je te réserves
Y : oh ! Eh bien je sais que demain c’est mon anniversaire mais ne fait pas de folie non plus mon ange.
U : niveau câlin, oh tu vas voir de quoi je suis capable
Y : mais chut voyons idiot, non mais je vais te changer les idées monsieur, allez va mettre ta fille à table
U : mon bisou avant !
Y : qu’est ce que tu peux être gourmand c’est dingue

Elle prit tendrement le visage de son mari et l’embrassa doucement, très doucement, celui-ci sourit en plein baiser, sa femme avait toujours des lèvres aussi douce qui le faisait fondre, jamais il ne se lassait de toute cette tendresse et pour rien au monde il n’échangerait sa vie

Y : oh, oh Ulrich ici ta femme tu m’écoutes
U : hein oui ?
Y : va mette ta fille à table gros bêta ^^
U : ah oui bien sûr

Ulrich se dirigea vers sa petite fille et la prit tendrement dans ses bras en lui donnant un baiser sur le front et prit sa chaise haute et la mis dedans, la petite fille contente prit sa petite cuillère et frappa sur la table, amusant certes mais pas pour les oreilles des parents ^^

Y : stop Jade arrête !
J : frappé, frappé ! Bing, bing !
U : Jade je t’en pris nos oreilles
Ulrich s’avança prêt de sa fille et lui prit la cuillère des mains sans trop y aller brusquement.
J : mais (petites larmes) veux ma cuillère papa !
U : alors arrête de frapper sur la table ma chérie, allez chut maman va apporter a mangé.
Y : j’arrive deux secondes !








La nuit fut agitée pour la famille Stern, Jade n’arrivait pas à dormir, Yumi tracassait pour son anniversaire et Ulrich était dans la chambre de Jade en essayant de la calmer

U : chut Jade ma chérie, qu’est ce que tu as ?
J : à bobo papa
U : où est ce que tu as mal ma chérie ?
J : là !
Elle montra sa bouche, Ulrich vit que ses petites dents recommençaient à pousser, il comprit vite que la nuit était loin d’être fini et que sa fille n’allait pas s’endormir de si tôt.
J : elle est ou maman ?
U : elle dort ma chérie
J : je veux maman
Elle força son père à la faire descendre et elle courut vers la chambre de ses parents, Ulrich la suivit en lui disant plusieurs fois de ne pas faire de bruit mais la petite fille avait bien l’intention de voir sa maman, quand elle arriva Yumi était allongée dans leur lit, mais Ulrich vit qu’elle ne dormait pas, quand la jeune maman vit sa fille qui se tenait au pied du lit elle se redressa.
Y : qu’est ce que tu fais là ma petite princesse ?
Elle prit sa fille dans ses bras, la petite fille se blottit dans les bras de sa maman avec son doudou à la main et sa petite tétine dans sa bouche.
U : ses dents recommencent à lui faire mal, je crois que la nuit va être très longue, d’ailleurs pourquoi tu ne dors pas ma chérie.
Il s’assit à côté de sa femme et déposa un baiser sur son front, celle-ci posa sa tête sur l’épaule de son mari.
Y : je voulais t’attendre et puis j’ai du mal à fermer l’œil
Ils regardèrent tous les deux leur petite fille qui était toujours blottit dans les bras de sa maman et commençait à s’endormir dans ses bras.
U : tu veux que je retourne la coucher ?
Y : tu vas la réveillée, elle est à peine endormit, il vaut mieux attendre un peu.
Elle prit tendrement la main de son mari et la serra dans la sienne, elle se rapprocha doucement de son corps et déposa un doux baiser dans son cou.
U : tu ne les rates jamais ses baisers là (avec un sourire malicieux)
Y : pourquoi d’habitude j’embrasse mal ? (Œil mauvais)
U : alors non
Il releva doucement le visage de la jeune femme et déposa un doux baiser sur ses lèvres, ils furent interrompus à cause de leur petite fille qui bougea dans les bras de sa mère.
J : maman...
Y : (en lui caressant les cheveux) oui mon ange ?
J : je veux mon biberon
Yumi sourit et allait se lever mais Ulrich la retint
U : reste avec elle ma chérie je vais allé lui faire son biberon à cette demoiselle.

Il se leva sous le regard tendre de sa femme dont il du lâché la main pour descendre dans la cuisine.
Après quelques minutes passés dans la cuisine, il remonta doucement dans sa chambre, il vit alors sa femme endormie avec Jade dans les bras qui dormait également, il sourit et prit doucement sa fille dans ses bras toujours avec le biberon chaud dans la main, celle-ci se réveilla juste avant que son père ne la dépose dans son lit.

J : papa, mon biberon
U : il est là ma chérie

La petite fille le prit puis commença à boire doucement, son père la regarda attendrit, il se pencha et l’embrassa doucement sur le front et la recoucha, Jade tétait toujours en regardant son papa.

U : dors bien ma chérie, je t’aime

La petite fille ne répondit pas mais elle sourie, Ulrich sortit en fermant bien la porte derrière lui puis retourna dans sa chambre, ou Yumi dormait toujours, il se coucha en prenant soin de ne pas la tiré de son sommeil dont elle avait besoin, il entoura sa femme de ses bras protecteurs et la regarda en lui caressant tendrement les cheveux, après l’avoir contempler pendant une demi-heure, il finit tout de même par s’endormir.

Le lendemain matin le soleil brillait quand Yumi ouvrit doucement les yeux, elle vit alors le visage de son mari tout prêt du sien, elle ne put s’empêcher d’y déposer un tendre baiser, ce qui le tira de son sommeil.

Y : bonjour mon amour (en lui caressant la joue gauche)
U : bonjour mon bébé, bonne anniversaire
Y : merci.
Elle se leva de son lit en s’étirant doucement sous le regard de son mari.
Y : je vais voir si Jade est réveillée.
U : attend moi je viens avec toi
Il se leva prit sa femme par la main et l’entraîna vers la chambre de leur fille celle-ci était debout dans son lit, sa tétine dans sa bouche, elle semblait les attendre depuis plusieurs minutes.
Y (en la prenant dans ses bras) : bonjour mon rayon de soleil
Elle embrassa tendrement sa fille avant de la donner à Ulrich qui embrassa également sa fille en la serrant dans ses bras.
U : alors ma chérie on va fêté l’anniversaire de maman aujourd’hui, tu vas voir tonton Odd et Jérémie puis tata Aelita et Lisa.
J : et cousine Maya
Y (en riant) oui aussi et puis ton cousin Fabien
J : Maya !!
U : merci pour mes oreilles ma chérie ^^

La matinée passa très vite, la fête commençait à midi pile dans une salle des fêtes non loin de chez la petite famille Stern, Ulrich arriva plus tôt bien sûr pour mettre en place les dernier préparatifs, mais il avait interdit à sa femme de venir le rejoindre malgré que celle-ci insista mais Ulrich bien plus têtu qu’elle refusait toujours. La famille Belpois arriva pour aider Ulrich.

J : Salut champion !
U : Salut les amis ! (En regardant la petite Maya) salut ma jolie, tu ne viens pas embrasser ton parrain ?
La petite fille sortit derrière des jambes de sa maman puis vint faire un gros câlin à son parrain.
M : elle est où taty Yumi ?
U : elle est à la maison avec Jade
A : je vais allé les rejoindre moi je ne vais pas laisser Yumi toute seule sinon je suis sûre qu’elle viendra ici
U : j’allais justement te suggérer d’y aller princesse ^^
Aelita sourie.
A : (en s’adressant à Jérémie) je te prend la voiture mon chéri de toute façon Ulrich a la sienne si vous voulez bougé.
J : pas de soucis mon cœur.
A : allez travailler bien les garçons

Elle partie en emmenant Maya avec elle qui se doutait bien que celle-ci allait vouloir venir pour voir la petite Stern, elle monta dans la voiture attacha sa petite fille et se mit en route vers la maison de sa meilleure amie qu’elle rejoignit en quelques minutes, quand elle arriva elle rentra par la terrasse elle vit alors Yumi avec Jade sur les genoux, la jeune maman était en train de la coiffée.

A : Salut Yumi ! Salut la jolie princesse !
J : (en descendant des genoux de sa maman) Tata ! Maya !

Elle courue vers sa tante et lui fit un gros câlin.

J : Viens Maya on va joué descend !

Maya sourie gentiment à sa meilleure amie puis descendit des bras de sa mère et se dirigea vers la chambre de Jade en compagnie de celle-ci

Y : alors Aelita tu as été voir mon mari je suppose
A : oui en effet et je dois te surveiller, bonne anniversaire !
Y : merci tu es adorable, mais pourquoi me surveiller ?
A : ton très cher mari c’est que sa femme est très maligne alors il veut que je me charge de ton cas
Y : je m’occuperais de son cas à lui tout à l’heure ^^.
A : oh non sois pas trop dur avec lui il se donne tellement de mal le pauvre
Y : ne t’inquiètes pas il aura se qu’il mérite cette nuit ^^
A : oh je vois j’en connais un qui va être ravis
Y : AELITA ! Voyons j’ai déjà assez d’Ulrich avec ce genre de paroles déplacées mais si tu t’y mets aussi je ne m’en sortirais plus
A : il ne manquerais plus que t’as fille s’y mette.
Y : oh mon dieu ne parle pas de malheur ^^
Le portable d’Aelita se mit à sonner.
A : allo ?
U : Aelita c’est Ulrich
A : ah Ulrich quand on parle du loup
U : hein ?
A : rie ne t’inquiètes pas juste une petite discussion avec ta femme rien de grave qu’est ce qui ce passe.
U : tu nous ramènes Yumi dans ¼ d’heures s’il te plaît
Y : Aelita passe le moi
A : Ulrich ta femme aimerait te parler
Aelita tendit le téléphone à son amie
U : Yumi ?
Y : (un ton plutôt séducteur) Salut mon beau brun
U : oh en général quand tu m’appelles comme ça c’est toujours bon signe, qu’y a-t-il ?
Y : oh rien de très grave tu me manques mon amour
U : Yumi...
Y : oui mon chéri ?
U : qu’est ce que tu veux mon bébé ? Je te connais assez pour savoir que tu veux demandé quelque chose
Y : bah...j’aimerais bien venir...
U : tu attends dans un quart d’heure ma chérie
Y : ce n’est pas juste ! Tu n’es vraiment pas sympa !
U : mais moi aussi je t’aime ma chérie ^^
(Raccroche)
Y : Ulrich Stern je t’aurai !
A : reste zen ma chérie tu vas bientôt le retrouvé ton Roméo ^^











Ulrich de son côté venait de raccrocher, il riait ouvertement, il adorait embêter sa petite femme et rien de savoir qu’elle aurait l’idée de se vengeais l’amusait beaucoup puisque cela finissait toujours en tendre câlin, câlin dont Ulrich ne se lassait jamais.

J : eh Ulrich qu’est ce que tu as ?
U : oh rien, juste ma chère et tendre femme qui a des envies de meurtres
J : qu’elle sauvage ta Yumi.
U : oh si tu savais... (Yeux qui pétillent)
J : ah dis moi
U : rêve mon pote je ne te raconterais jamais ce genre de détails
O : qu’elle genre de détails !
U ; J : ODD !
O : salut les potes, alors content de me voir
U : très comme ça tu nous aideras a finir de préparé l’arrivé de Yumi
J : eh dis moi tu m’avais parlé d’une petite soirée en tête à tête pourtant ?
U : pourquoi crois-tu que la fête à lieu le midi on s’éclipsera un peu avant
O : oh ça promet !
U : bah quoi ? J’emmène juste ma petite femme à son restaurant préféré
J : mouè, mouè et après ?
U : bah après on rentre chez nous, vous avez vraiment les idées mal placés les gars ^^, tiens Odd au faite om est ta femme et ton fils ?
O : oh ils sont partis chez toi voir Yumi
U : j’aurais bien voulu dire bonjour à mon neveu moi
O : oh tu le verras ton petit neveu
J : en attendant je me demande ce que son en train de faire les filles...
O : oh elles doivent être en train de parler de beaux mecs
J : oh non pas ma Aelita je sais que je suis le seul homme sur lequel elle adore fantasmer
Ils éclatèrent de rire tous les trois.

A : Et vous avez vu le nouveau film avec Tom Cruise, j’adore les scènes d’actions avec lui c’était excellent !
L : depuis quand tu t’amuses a regarder les beaux garçons à la télé ^^
A : ah bah dis quand on est en week-end et que son mari chéri travaille
Y : oh moi je préfère largement regardé mon mari s’entraîner c’est aussi vrai que nature et beaucoup mieux ^^
L : c’est vrai que c’est tentant...
Y : ehh !!! Je t’interdis d’imaginer toute sorte de choses sur mon mari ^^
A : vaux mieux pas tenter Yumi peut être violente
Y : je tiens à mon homme c’est tout ^^
A ; L : sa on l’avait remarqué !

Plus loin, les trois femmes entendirent les enfants s’amusés.

J : Maya c’est ma poupée !

Moui enfin s’amusés avec quelques petites chamailleries ^^

Y : mes chéries qu’est ce qui se passe ?

Les trois femmes se levèrent et allèrent vers le salon pour voir ce qui se passait.

J : maman, Maya m’a pris ma poupée
Y : oh mon cœur, maman et papa t’ont déjà dit plusieurs fois qu’il faut prêté ses jouets.
M : veux jouer avec la poupée de Jade
A : oui mais c’est sa poupée préférée ma chérie rend lui
M : nan !

Pendant ce temps Lisa était allé sortir son fils de son transat, car le pauvre petit garçon ne savait plus ou se donner la tête en regardant les filles se disputés. Les deux petites filles se mirent alors à pleuré toutes les deux, réconforté par leur mère, Fabien qui ne savait toujours pas quoi faire imita les deux petites filles et se mit à pleuré également, les trois jeunes femmes sourirent sachant que ce petit chagrin passait vite, après tout ce ne sont que des enfants.

Pendant ce temps dans la salle des fêtes, les hommes eux s’amusaient avec les décos, surtout Odd qui était au meilleur de sa forme.

O : et là si t’aurais vu la pirouette qu’elle m’a faite j’ai cru qu’elle allait se tué !
U : ta femme est aussi casse cou que toi ^^, imagine un peu comment sera ton fils
J : ouille mon pauvre Odd je te plains d’avance, tu as de la chance qu’il ne sache pas encore marché
O : ouè, ouè c’est ça moquez vous de moi n’empêche que vos deux filles ne seront pas mieux c’est moi qui vous le dit ! (En regardant Ulrich) surtout si la tienne devient comme ta femme
U : (sourire méfiant) que reproches-tu à ma petite femme chérie
O : si ta fille devient aussi taquine et maligne qu’elle tu auras des misères
U : oh je sais très bien contrôlé mes deux princesses, moi ! ^^
J : et puis Odd je te rappelle quand même qu’une petite fille est beaucoup plus calme qu’un garçon
O : mon fils lui sera aussi beau et aussi intelligent que son papa !
U : attend, attend si il est comme ça c’est grâce à sa mère ^^
O : eh oh tu louches sur ma femme toi maintenant ?!
U (les yeux qui lui sort de la tête) : nan mais t’es malade qu’est ce que tu racontes ?
O : t’as dis que si mon fils serait beau il tiendrait sa de sa mère donc tu mattes ma femme !
J : mais il est pas bien, Odd le jour ou Ulrich loucheras ailleurs que sur Yumi on aura du soucis à se faire
U : tiens en parlant de ma femme il va falloir que j’appelle Aelita pour lui dire de nous la ramener
O : ah mais c’est que le beau ténébreux a envie de revoir sa femme
U : mais bien sur, ma femme et ma fille me manque à moi, je ne les ai pas beaucoup vu ce matin
J : allez Roméo va appeler ta Juliette

Ulrich sourit et s’éloigna doucement et sorti de la salle des fêtes, il sortit son portable de sa poche et composa le numéro de chez lui.
Y : allo ?
U : Yumi ma chérie, (entendant de nombreux bruits de pleurs) où là que se passe-il ?
Y : oh une petite dispute entre les deux demoiselles et puis Fabien a décidé de s’y joindre ^^ rien de très grave mon chéri, et toi qu’il a-t-il ?
U : c’était pour te dire que vous pouvez venir maintenant tout est près ma chérie
Y : d’accord on arrive alors, à tout de suite je t’aime
U : moi aussi

Il raccrocha le sourire au lèvre sa femme lui manquait dés qu’elle n’était pas près de lui, il avait un grand vide dans le cœur que seul elle pouvait comblé, dieu celle qu’il était heureux quand elle était dans ses bras et qu’ils se câlinaient doucement, ces si bon moments, il espérait qu’ils dureraient jusqu’à la fin de ses jours, mais pourquoi y penser ? Ils avaient tant de temps pour eux encore, malgré que son envie de paternité ne pourrait être renouvelé il avait déjà sa petite Jade qui le comblait totalement...