Chapitre 1 : Poison
Le réfectoire est sans aucun doute l'endroit préféré d'Odd. S'armant de son plateau, il s'assied à une table. Le steak frites alléchait Odd, le Kiri semblait très bon et la pâtisserie sentait bon. Une fille passe près de leur table. Quelque chose tombe de sa poche. Odd le ramasse :
" Eh Sissi ! T'as fait tombé ton agenda Petit Poney !
Sissi se retourne.
"Pff ! Gros naze"
Odd ne répondit rien. Il semblait même affaibli par la remarque de Sissi. Son visage devient tout rouge. Ulrich s'approcha de lui et lui tapa dans le dos. Quelques frites ressortirent de sa bouche. Jeremy les examina.
"Du poison ?" chuchota t'il
Il regarda les autres élèves mangés leur frites avec ardeur et devenir tout rouge.
"Recrachez vos frites !!!!!" hurla Jeremy
Tous les élèves regardèrent Jeremy d'un air de dire "T'es bête !".
Yumi, Aelita, Odd et Ulrich ont tout de suite compris et filèrent à l'usine. Jeremy fit de même.
Un peu plus tard sur le territoire fôret.
Trois Tarentules et William.
Odd lança des flèches lasers pendant que Yumi s'occupait de William. Tout à coup, William lança sa fumée noire sur Yumi qui arriva tout près de la mer numérique. Les autres ne virent rien, trop occupé à tuer les tarentules. Jeremy leur avertit que Yumi allait tomber dans la mer numérique. Ulrich fonça vers Yumi mais un laser d'une tarentule le dévirtualisa.
Sur Terre, la situation n'est pas non plus super. Vingt ambulances sont stopés dans la cour de Kadic, emmenant des élèves empoisonnés.
Quand une ambulance partait,une autre arrivait.
William s'apprêta à lancer sa fumée noire mais il s'écroula par terre.
"Yumi, sauve toi !" dit-il péniblement.
"Hein ?" dit Jeremy
William n'a plus l'oeil de XANA sur son costume mais une boule blanche. La même boule ressort de la même numérique, emportant William et le balança dans la mer numérique. Il fit pareil avec Odd, Yumi et Aelita. Jeremy et Ulrich furent entraînés par une force phénomale vers l'ordinateur. Ils rentrirent dedans.
Dans le réseau, à bord d'une bulle virtuelle.
"Bienvenue dans mon domaine !" lança Franz Hopper