Histoire : Sentiments, souffrance et amis pour la vie

Écrite par Nono le 28 mars 2006 (1175 mots)

Tout commence un jour d'été, par une belle journée de soleil. En classe, chacun étudie à sa façon : en rêvant, en faisant semblant de suivre, en prenant des notes ou encore en dormant. Bref, l'attitude normal d'une classe ! Le professeur, M Boutillé (prof de maths) est au tableau à écrire des calculs. Il dit d'une voix rauque
MB : Qui peut résoudre cette équations ?
Des élèves lèvent la main, d'autre croisent les doigts pour ne pas être inttérogé ou quelques uns ne font pas attention à la question posée. Le professeur parcourt la salle d'un regard attentif aux réctions des élèves. Il trouve sa proie et lance la canne à pêche
MB : M Della Robbia !
Celui-ci ouvre grands les yeux et panique : la réaction typique de l'élève n'ayant rien écouté ! M Boutillé sourit
MB : Venez au tableau pour nous écrire la réponce, cela facilitera surement votre attention à mon cours !
Odd se lève et marche jusqu'à destination
O : Euuuh, je n'ai pas de craie !
Le professeur lui en tend une dans le désespoir de sa proie
MB : Tenez ! Et un neuve en plus !
Le blondinet prend l'objetmarmone d'un ton mécontent
O : Trop aimable...
Il regarde tous ces chiffres écris presque exprès pour lui. Odd pose le bout de la craie contre le tableau pour ne pas montrés sa nervosité mais son language se charge de le faire
O : Ben... La réponce c'est...
Le professeur regarde sa montre
MB : Il vous reste encore un quart d'heure pour trouver la réponce ! Prenez votre temps !
Et voilà ! Encore une fois le mal a frappé ! Le blagueur cherche une solution pour sortir de ce pétrin plutôt que celle de l'équation mais rien ne viens. L'instituteur soupire
MB : Bon, comme d'habitude vous n'avez rien écouté ! Voulez-vous une heure de colle pour vous stabiliser ?
O : Non merci ! C'est trop aimable, je ne peux pas accepter...
Le professeur tape son poing fort contre la table
MB : Ne faites pas l'insolent avec moi ! Deux heures de colle pour vous ! Maintenant filez à votre place
Le blondinet marmonne tout bas
O : Profitez d'être professeur, lâche !
MB : Pardon ?
O : Je disais, avec plaisir !
Odd retourne à sa place suivit du regard froid de M Boutillé. Le blondinet s'assoit en croisant les bras. Ulrich le regarde avec compation. L'instituteur demande
MB : est-ce que quelqu'un de plus compétent peut nous dire la réponse de ce calcul ?
Jérémie et Aëlita lèvent la main avec énergie. Le professeur soupire
MB : Toujours les mêmes... Stones !
Aëlita sourit
A : A+=25 au carré
M Boutillé n'en attendait pas moins
MB : Exact !
Puis il poursuit le cours. Ulrich chuchote
U : Ca va pas Odd ? En ce moment t'es bizzard...
O : C'est que j'en ai marre ! Comment est-ce que je peux réviser si XANA lance toujours des attaques ?
U : D'habitude, c'est moi qu'aurait lancé ce genre de phrase...
O : Très drôle !
U : C'est bon ! Le cours est bientôt finis ! Et comme d'hab, on va arrêter XANA si il lance une attaque !
O : "Comme d'hab", voilà ce qui me fait chier ! D'une certaine manière, c'est pas nous qui avons choisis de faire les héros sur un monde virtuel !
Ulrich préfère abandonné car les paroles de son ami résonnent justes. Un peu plus tard, la cloche sonne et tous les élèves se précipitent dans la cour.

Une japonaise attend ses amis sur un banc de la cour. Elle les voit arriver
Y : Salut les gars !
O, U, J, A : Salut !
Y : Alors les cours ?
A, J : Génial !
U, O : Nul !
Yumi rigole doucement. Ils ont tous un caractère différent mais tous se complète bien même si parfois ça part de travers
J : De quoi tu rogoles ?
Y : De nos différences !
Les autres se regardent intrigué mais finissent par rogoler avec elles quand un intrus fait irruption au milieu du groupe
... : Salut Yumi !
Y : Tiens, William ! Salut !
W : Je peux te parler deux minutes ?
Y : Bien sur !
Ulrich les regardes s'éloigner vers le parc en bouillonant
J : Ulrich ? Ca va ? T'es tout rouge...
O : Roméo enrage car sa Juliette part avec un serpent aux pouvoirs de drague !
Ulrich chope Odd par le col de son pull
U : Roméo aussi à des pouvoirs et tu vas avoir l'honneur dîs goûter !
J : Ca suffit ! Vous êtes pire qu'un Obitome sur une plaque à combustion instantané !
Jérémie rigole et tout le monde le regarde avec de grands yeux
J : Car un Obitome c'est la yoculse de... (Jérémie arrête de rire) nan c'est rien !
Aëlita dit d'une voix douce
A : Ulrich, Yumi t'adore ! Plus que William !
Ulrich lâche violamment Odd
U : C'est ça !
Puis il part en serrant les poings. Odd lisse son pull complètement froissé
O : Ah l'amour... plus compliqué encore que les maths !
Jérémie et Aëlita se regardent interlocutés
O : Laissez tomber !

Au parc, Yumi et William sont assis sur un banc
Y : Alors, tu voulais me parler ?
W : Oui. Je voulais parler de... nous deux !
Y : Comment ça ?
W : Eh ben ça fait depuis pas très longtemps qu'on se connait, beaucoup moins que Ulrich et toi mais le courant accroche bien entre nous, pas vrai ?
Y : William... Va doit au but !
Celui-ci passe sa main dans les cheveux de la japonaise
W : Yumi Ishiyama, je t'aime ! Veut tu sortir avec moi ?
Yumi reste muette
W : Doit-je prendre ton silence comme un oui ?
Yumi enlève gentiment la main de William de ses cheveux
Y : Non, désolé mais je ne peux pas !
W : Pourquoi ?
Y : Je suis amoureuse d'un autre !
W (séchement) : De Ulrich c'est ça ?
Y : Oui
W : Mais il est en quatrième et à un an de moins que toi alors que moi j'ai le même âge que toi !
Y : Et alors ? Je m'en fiche !
W : Mais je t'aime !
Y : Eh ben pas moi !
Puis elle se lève du banc et s'apprète à partir quand William la chope par le bras et tire vers lui
Y : Mais qu'est-ce que tu... ?
W : Chut !
Et il l'embrasse tendrement. Yumi ouvre grands les yeux puis se dégage de William. La jeune japonaise donne une grosse baffe à William. Celui-ci se frotte la joue
Y : Ca va pas non ? M'approche plus jamais ou j't'en colle une autre !
Puis s'éloigne, rageante. William s'énerve
W : C'est ça ! Casse toi ! Un jour tu sera dans mes bras !
Yumi s'arrête net et se dirige vers William. Elle le pousse du doigt et dis d'un ton sévere
Y : Si un jour je viens à te prendre dans mes bras se sera uniquement pour t'étouffer et rien d'autre !
L'adolescente sort du parc pour aller chez ses amis. William tape son pied contre un arbre mais se fait mal. Il prend son pied et sautille
W : Aï !!!!! Saleté !