Les Citations de Lyokô moins 1

Ulrich : Oh, Jérémie ! Dernière nouvelle : Odd et Aelita sortent ensemble.
Jérémie : (se réveille en sursaut) Hein ? Quoi ? Oh, c’est toi ulrich. Ah, bravo, hein ! Très drôle ! Il est quelle heure ?
Ulrich : L’heure de se lever, mais apparemment personne ne s’est couché. [Et c’est reparti pour de nouvelles nuits blanches]

Ulrich : Avec la tête que tu te payes, personne ne votera pour toi.
Jérémie : meuhein ?
Ulrich : c’est les délégués de classe, qu’on va élire, pas le zombie de l’année !
Jérémie : J’ai p’têtre pas le physique, mais moi au moins, j’ai un programme.
Ulrich : Monsieur a de l’humour ? Ca peut servir remarque. Enfin, c’qui va surtout d’aider, c’est d’avoir un crétin cosmique dixième dan comme adversaire !

Sissi : Allez, maintenant, je veux voir un vrai sourire de vainqueur !..... J’ai dit un sourire !
Hervé : (faisant une grimace) Hé ben c’est un sourire.

(Sissi vient de faire son speech à Hervé comme quoi elle ne peut pas être déléguée, et comme quoi Jérémie ne devait pas l’être. Elle se penche sur lui de manière colérique. Hervé émet un rictus intimidé)
Sissi : Ha ! Hé ben voilà ! Ca c’est un sourire de vainqueur !
Hervé : C’est pas un sourire, t’es en train de me broyer la cuisse.

Odd : Demandez le programme !
Jérémie : C’est le programme de quoi ?
Odd : De ma candidature à l’élection des délégués de classe.
Jérémie : Quoi ? Tu te présentes ? Pourquoi tu ne m’as rien dit ?
Odd : L’effet de surprise ! C’est l’atout numéro un de ma campagne électorale.
Aelita : Et le numéro deux c’est la poésie : pour une scolarité plus juste, changez de méthode ! Votez Odd !
Odd : Bien trouvé ! Surtout que c’est pas facile, les rimes en Odd.

Jim : Bon, z’êtes prévenus ! Le premier que je prends à jouer les marioles, j’le colle. Et il ira rejoindre ce petit voyou de William Dunbar en salle d’études.
Mme Hertz : Merci bien, Jim, ça va aller, je crois qu’ils ont compris.
Jim : Heu Ok Roger Suzanne. Heu.. heu, j’voulais dire d’accord madame Hertz.

Jim : Heu m’dame c’que vous dites là, c’est que les arbres et les champignons et puis les lapinous, les p’tits oiseaux, ils vont disparaître ? (se penchant sur elle) Ho, j’adore votre parfum Madame.

Odd : Alors je vous le demande, moi ! Pourquoi toujours laisser les premiers de la classe parler pour les derniers ? Pourquoi est ce qu’un cancre comme moi ne pourrait-il pas faire entendre sa voix pour défendre les siens ? […] (ton théâtral) Qu’est ce que les Belpois et les Pichon savent de nos problèmes, hein ? Eux qui ont toujours les meilleures notes, qui ne savent rien de la PEUR de redoubler, comment pourraient ils défendre notre cause ?
Ulrich : Ouais bravo bien parlé, Odd. Réveillez vous, les mauvais élèves, l’heure de la revanche a sonné !

Jim : Allez, goûte, fais pas ta chochotte ! Pose ces aigles dans la jungle ! [Du moins, c’est ce que j’ai compris. Mais ‘j’avoue que ça ne veut pas dire grand-chose]

Hervé : (Ton convaincu)… Et pour terminer, je vous promets d’obtenir de l’administration qu’elle installe des plantes vertes dans toutes les classes ! (Ton moins convaincu) C’est chouette, ça, non ?

(Il est question de savoir si Odd est capable d’assumer les responsabilités de délégué. Jérémie se dispute avec Odd à ce sujet. Le téléphone sonne)
Odd : (à Jérémie) ben alors décroche ! J’parie qu’c’est le maître du monde qui a besoin de tes conseils avisés !

Jérémie : Ben ‘j’avais préparé un discours, mais heu… j’l’ai oublié dans ma chambre. (Sortant)Heu.. J’reviens, m’sieur.
Odd : (Sortant aussi) J’l’accompagne, oui, j’dois surveiller mon adversaire.
Ulrich : (De même) Oui, je les suis. On sait jamais… S’ils se bagarrent.
Hervé : Heu… Votez pour moi.
Le prof d’Histoire : (Exaspéré) Ho non, j’y crois pas.

Jérémie : Xana vous envoie ses monstres ! Comme c’est original.
Odd : Arrête, c’est gentil de sa part ! Bon, ‘faut être poli, on va aller leur faire un p’tit coucou.
Jérémie : Fais gaffe à toi, Odd. J’voudrais surtout pas qu’il arrive malheur au plus valeureux de mes adversaires. Ce serait moins glorieux de gagner par forfait.

Odd : Décidément, tu peux plus te passer d’moi !
Aelita : (désignant les tarentules) Je ne suis pas la seule, on dirait.

Jérémie : Ulrich, changement de programme, pas de désactivation de la tour pour l’instant.
Ulrich : On ne peut vraiment pas compter sur vous, les gars.

Ulrich : Salut les affreux. J’sais qu’j’devrais pas être là, mais les sorties en forêt, vraiment, je craque.
Jim-Xana : Attrapez le !

Jérémie : La méduse a attaqué Aelita, il faut vite que tu ailles l’aider !
Odd : J’voudrais bien, mais ma nouvelle copine a l’air genre heu jalouse.

Ulrich : Ouais, un contre quinze… Boh, j’ai connu pire.

William : (à Mme Hertz-Xana) C’est pas à vous que j’vais apprendre que le bois n’est pas conducteur.

Aelita : Ca va, Odd ? J’ai rien compris !
Odd : Ha ben, heu pour résumer, on a eu chaud aux fesses, et pour le reste, rassure toi, Einstein va nous faire un topo.

Ulrich : (déposant William endormi en salle d’études) Allez, dodo. Mais défense de rêver de Yumi, ok ?
William : (plus tard, se réveillant) Heu ? Ho, bonjour le cauchemar !

Jérémie : Décidément, j’ai du pain sur la planche. Heureusement que je ne vais pas être élu délégué de classe.
Odd : Bah… Comment tu sais ça ?
Jérémie : Ben parce qu’on va tous voter pour toi !