Histoire : Sans Illusion

Écrite par lamaud le 29 mars 2008 (1575 mots)

Dernière édition le 04 juillet 2008

Introduction :

5 ans après l’extinction du super calculateur, nos 5 amis restait soudés malgré les distances qui les séparaient. Ils avaient maintenant 19 ans pour les uns et 20 ans pour la plus grande.
Ulrich avait fait un sport étude et comptait cette rentrer dans l’équipe de France de Penchak Silat.
Odd, lui avait passé tant bien que mal sont bac et fesait les études nécessaire pour devenir testeur de jeux vidéo.
Aelita, de son côté, voulait devenir généalogiste. Elle c’était dit qu’elle pourrait après faire des recherche sur sa propre famille.
Jérémie, quant à lui, fesait des études pour devenir un créateur de logiciel.
Yumi, elle, était devenu commerciale de produite cosmétique.
Pour ce qui est des couples, Jérémie et Aelita était ensemble, ce voyait tout les week-end et s’était promis de se marier dès qu’ils auront fini leurs études.
Odd, allait de jupons en jupons même si dernièrement, il semblait avoir trouvé la perle rare depuis 6 mois.
Ulrich et Yumi. Cas plus particulier. Eux n’avaient pas la possibilité de se voir quand bon leurs semblait. Ils ne le pouvaient qu’en vacances.
Aujourd’hui, Yumi a rendez-vous avec son gynécologue. Il lui avait fait un petit examen il y a 2 semaines. Aujourd’hui, il allait communiquer à Yumi les résultats.
Elle observait toutes les autres femmes dans la salle d’attente. Une attendait un heureux événement l’autre était une jeune fille. Le spécialiste sorti de son cabinet et appela :
Yumi Ishiyama !
La jeune femme se leva et se dirigea vers le cabinet.












Chapitre 1 :

Quand Yumi sorti du cabinet, elle était devenue pale, complètement abasourdi par cette nouvelle. Elle rentra chez elle. Elle voulait appeler d’abord Aelita car elle était la seule pour l’instant à pouvoir la comprendre. Elle se remémora alors le moment où le gynécologue lui annonça la nouvelle.

Flash Back :

Le gynécologue était très gentil avec elle, il souriait exagérément. Puis il débita :
« Bon, alors, lors de votre dernier examen, j’ai détecté une lésion précancéreuse induite par des papillomavirus. Mais ne vous inquiétez pas, ces lésions, traitez à temps, elle sont bénignes et vous pourrez toujours avoir des enfants plus tard. <...>(Je vous enlève le discours scientifique)
Il faudra que votre entourage vous soutienne. Allez courage Mlle Ishiyama. Je vous attend la semaine prochaine pour vous expliquez comment nous aller traiter tout cela. Au revoir ! »

Fin du Flash Back


Yumi se sentait mal. Elle ne savait pas quoi faire. Elle décida finalement d’appeler Aelita. Elle composa sont numéro, fébrile, tremblotante.
Aelita, de son côté, était en cours. Elle sentit son portable vibrer. Elle regarda qui l’appelai. Elle vit que c’était Yumi. Aelita murmura :
Ce n’est pas son genre d’appeler à cette heure-ci. Il doit y avoir un problème.
Le professeur entendit sa remarque et lui demanda :
Un problème Mlle Stones ?
Aelita répondit :
Non, non, rien.
Le prof reprit de plus belle :
Cela fait un bout de temps, vous êtes de plus en plus distraite, vous n’écoutez plus en cours. Que se passe t-il ? Il faudrait vous concentrer sur vos études ! Bon fermons la parenthèse !
En fin d’après-midi, Aelita rappela Yumi :
Yumi, pourquoi m’a-tu appelée tout a l’heure ? J’étais en cours !
Yumi lui répondit, toujours aussi fébrile :
Ah ! Euh, désolé ! Que je t’explique. Il y a 2 semaine, je suis aller voir mon gynéco pour des examens. Aujourd’hui, il m’annonçait les résultats. Et j’ai appris que, que
Yumi n’arriva pas à terminer sa phrase. Aelita, croyant que la nouvelle était bonne, gaffa :
Eh bah alors, c’est plutôt une bonne nouvelle non ? Depuis le temps que vous aviez envie d’avoir un enfant !
Yumi reprit :
Non Aelita, ce n’est pas ce que tu crois. J’ai une lésion précancéreuse.
Aelita se rendit compte de sa gaffe et voulut se rattraper :
Ah mince ! Et c’est grave ?
Yumi balbutia :
Non, il l’a détecté a temps. Mais il faut quand même que j’y soigne rapidement. Moi aussi quand il m’a demandé de venir j’ai cru a la bonne nouvelle. Moi qui pensais appeler Ulrich ce soir avec une bonne nouvelle, ce ne sera pas le cas ! Je pourrais quand même avoir des enfants après. Il faudra que vous me souteniez vous tous.
Aelita répondit :
Si tu veux, je peux prévenir Odd et Jérémie. Mais je pense quand même qu’il faut que se sois toi qui en parles à Ulrich. Bon courage ma soeurette. Je suis avec toi !
Elles raccrochèrent. Yumi se demanda comment annoncer cette nouvelle ! Elle se posait mille questions.
Le soir venu, Yumi n’avait toujours pas appelé Ulrich. Elle n’en eu pas besoin puisque ce fut lui qui appela. Il avait appris la nouvelle par Odd qui n’avait pas pu se taire ! Quand Yumi eu décroché, Ulrich dit d’une traite :
Yumi, je t’aime je sais ce que tu as. Je fais mes valises et je prends le premier train pour te rejoindre. Je veux te soutenir dans cette période difficile.
Yumi lui répondit, troublé :
Mais ta compétition pour te qualifier dans l’équipe de France est la semaine prochaine !













Chapitre 2 :

Ulrich lui répondit pour la rassurer :
Ne t’inquiète pas ! Je suis surentraîné ! Je partirai au dernier moment et te rejoindrait dès que possible !
Yumi opina :
Bon OK, merci de ton soutien. Je vais en avoir besoin.
Ils se raccrochèrent après plusieurs je t’aime et d’autre mots doux.

Le lendemain, Ulrich ne fut pas le seul à venir. Aelita et Odd vinrent aussi. Seul Jérémie avant du rester a Nantes car il avait un logiciel a créer qui comptait avec un gros coefficient et serait décisif pour son passage pour l’année supérieur.
Ils en discutaient tous sérieusement. Odd pensa :
Ca peut arriver à tout le monde. Faut que j’en parle à mon amie. Je n’ai pas envie que ça lui arrive.
Aelita ajouta elle aussi :
Moi aussi, il faut que je fasse gaffe. Et quand tu retournes quand voir ton médecin ?
Yumi répondit :
La semaine prochaine. Il m’expliquera comment tout va se passer et j’aurai certainement rendez-vous le lendemain pour en finir avec sa.
Ulrich, qui n’avait pas trop parlez jusqu'à maintenant, souffla :
Ma compétition tombe comme par hasard se jour là ! J’aurait tant voulu être là pour te soutenir.
Odd lança direct :
Eh mais Ulrich ! Tu crois qu’on est venu pourquoi Aelita et moi. On savait que notre grand champion avait sa compète’. Alors ses deux assistants arrivent à la rescousse !
Yumi répondit :
Merci les amis de votre soutien. Ca fait chaud au cœur. Et même si Jérémie n’est pas là, je sait qu’il me soutien. Le destin est vachement bien fait. Assez bien fait pour que j’ai pu tous vous rencontrez. Les distances ne nous sépareront jamais.
Aelita répondit du tac au tac :
Mais t’as pas à nous remerciez. La vie est faite de bons moments que l’on doit partager avec les amis mais dans les mauvais moments aussi, les vrais amis sont là.
L’après-midi se fini dans la bonne humeur en parlant d’autre chose plus joyeuse dont Odd connaît la spécialité. Le soir, ils mangèrent d’ailleurs tous ensemble un couscous, que Odd finit avec grand plaisir.

Une semaine plus tard, Yumi sortait de l’hôpital. Aelita l’avait accompagné et Odd s’occupait de conduire. Pendant le chemin du retour, en revenant à la maison, Yumi commença :
Pas mécontente d’en avoir fini avec ça. Maintenant, j’ai un autre projet en tête. J’en ai marre d’attendre à chaque fois les vacances pour voir Ulrich, alors je vais demandé à être mutée plus près de son école. Et là, on pourrait emménager ensemble. En plus, financièrement, ça poserait aucun problème car moi je travaille et j’ai confiance en Ulrich et je sais qu’il va rentrer dans l’équipe de France.
Aelita lui répondit alors :
Bah au moins tu sais ce que tu veux ! Avant tout ça, faudrait déjà que ton entreprise accepte ta mutation. Et là, c’est pas vraiment de la tarte.
Odd répondit du tac au tac :
En parlant de tarte, vous avez pas faim avec toutes ses émotions ! Allez, c’est moi qui vous invite !
Aelita opina :
Ok, ça nous changeras les idées, et puis dans tout les cas, si on accepte pas, tu vas nous en vouloir jusqu’au prochain repas
Odd répliqua :
Ouais c’est ça, rigolez ! En attendant, vous avez bien de la chance d’avoir un gentleman comme moi ! Je suis votre chauffeur particulier, et en plus je vous paye à boire et à manger !
L’après-midi se finit dans la rigolade et la bonne humeur, ponctué des blagues foireuses d’Odd...