Histoire : Retour vers le passé

Écrite par lamaud le 02 décembre 2007 (3875 mots)

Dernière édition le 26 janvier 2008

Collège Kadic. 5h du matin. Chambre d’Aelita.

Aelita dormait, elle fesait un drôle de rêve, elle dit:

Maman, NON !!

Elle rêvait ceci :

Franz Hopper joue du piano avec sa fille, quand, des hommes en noir arrivent dans une voiture de la même couleur.

Homme en noir : Monsieur Franz Hopper, vous allez regrettez toutes votre vie d’avoir voulu contrer le projet Carthage !

A ce moment la, ils défoncèrent la porte, trouvèrent Anthéa et la prirent, sans pitier, et l’emmenèrent dans leur voiture.

Franz Hopper : Ils vont me le payer ! Anthéa NON !!!

Fin du flash back

Aelita était complètement bouleverser. Elle ne savait plus quoi penser. Sa mère est-t-elle toujours vivante ? Qu’est-ce que sont père avait tant fait pour que ces hommes lui en veillent autant. Les questions se bousculaient dans sa tête. Aujourd’hui, elle confierait ces doutes a la tribu. Elle aura le cœur plus léger.









Récré de 10h.

Aelita de confier ses rêves a Jérémie :

Jérémie, cette nuit, j’ai fait un rêve très révélateur. Je ne sais pas s’il est vrai mais bon. Mon rêve racontait la manière dont ma mère a été enlevée. Jérémie, je veux faire des recherches sur ma mère, je veux la retrouver !

Puis elle rajouta d’une voix plus basse :

Enfin si elle est vivante...

Les autres n’avait pas aperçu sont désarroi et Jérémie ne savait pas quoi répondre, enfin si :

Aelita, je ne sais pas comment faire.

Elle lui répondit assez fort, tellement que toute la tribu l’entendit :

Tu ne pourrais pas rallumé le supercalculateur et trouvé des infos sur ma mère ?

Jérémie, dépassé par tout ça ne savait pas quoi dire. Il ne voulait pas énerver celle qu’il aime mais avait peur de rallumer le supercalculateur :

Aelita, je ne sais pas quoi te dire, une partie de moi veut te faire plaisir et de l’autre, celle qui ne veux pas prendre de risque. Ce que je te propose, c’est que nous 5 ici présent votions pour réallumer le supercalculateur. Qui est contre pour le réallumer ?

Personne ne leva le bras. Jérémie répondit a cela :

Bon, ça mérite d’être net, ce soir, nous le rallumeront !

Aelita, si heureuse, se jeta dans les bras de Jérémie et l’embrassa tendrement. Jérémie lui dit bouleverser :

Ce n’ai pas sur que l’on trouve quelque chose !

Une sonnerie se fit entendre Aelita répondit a ce moment :

On aura rechercher au moins !

Il partir tous en cours, Italien pour l’une, Biologie pour les autres.









Le soir après les cours.

Nos héros filèrent à l’usine qu’ils avaient abandonnée quelque semaine plus tôt. Une fois arrivée devant le supercalculateur, Jérémie, plein d’émotion réussit à articuler quand même :

Bon, Aelita, à toi l’honneur vu que c’est pour toi que nous faisons les recherche.

Aelita s’avança timidement, appuya sur le bouton, son rêve lui revint alors en mémoire. Excédé, elle remonta la poignée avec force. L’effet fut immédiat, tout nos héros furent décoiffés. Yumi dit :

Moi qui venait de me faire un brushing pour euh pour...

Elle s’était mise à rougir. Les autres n’en tinrent pas compte. Aelita, tellement heureuse, resauta au cou de Jérémie et l’embrassa autant tendrement que quelque heure plus tôt. Odd fit une petite remarque :

Bah voila, et de deux. Jérémie, tu l’as dans la poche !

Jérémie et Aelita, lui répondirent du tac au tac :

Odd !!!! Tu n’en n’as pas mare de tes remarques débiles ?!

Il répondit :

Non, d’ailleurs, plus tard, je veux travaillé dans une agence matrimoniale. J’aime bien faire des couples.

Ulrich, complètement hilare lui dit :

Faudrait quand même que tes notes s’améliorent.

Odd ne sut pas quoi répondre, mais Jérémie parla à sa place :

Je ne voudrais pas vous déranger dans votre discussion purement philosophique mais on a des recherches à faire, et on aura certainement besoin de vous si on doit allez sur le 5ème territoire.

Odd qui sentait son ventre gargouiller lui dit :

On pourrais pas allé manger avant ?

Jérémie réfléchi et lui dit :

Si, bien sur tu pourras même prendre ma part. Comme ça, ça me laisse le temps pour rechercher si il n’y a pas d’info simplement sur le supercalculateur !

Odd, convaincu :

Chouette, allez ne bricolons pas, c’est saucisse lentilles ce soir !

Ils repartirent tous sauf Jérémie pour allez manger.










De retour de l’usine.

Odd savourait les saucisses :

Bah dit dons, j’avais faim moi !

Ulrich lui dit :

Bah comme d’hab., ça change pas !

A l’usine :

Jérémie parlait tout seul devant son ordinateur :

Alors, je vais rechercher ici s’il n’y aurait pas une trace d’Anthéa.

Il lança une analyse, mais rien. Pas un seul indice. Il appela alors les autres :

Bon j’ai besoin de vous pour allez sur le 5ème territoires. Il n’y a aucun indice sur le supercalculateur. J’ai même reregarder les vidéos de Franz Hopper mais rien non plus.

Aelita lui dit :

Bon ok on te rejoint.

Odd répliqua :
Laissez-moi finir de manger !

Aelita un peu exaspérer :

Odd, on sait que tu es un ventre à patte, mais moi, je veux revoir ma mère ou du moins, essayer de comprendre ce qu’il lui est arrivé !

Odd n’avait jamais Aelita dans cet état, il lui dit :

D’accord, d’accord !

Nos héros courirent tous à l’usine dans une ambiance froide. Une fois arrivé dans le labo, Jérémie leurs dit :

Descendez directement en salle des scanners ! Tout est prêt.

Odd et Ulrich lui dirent :

OUI CHEF ! A VOS ORDRES CHEF !

Là, un gargouillement se fit entendre. Aelita fit :

Excuse-moi Odd, j’aurait du te laissez finir de mangez !

Jérémie, interloqué, demanda :

Qu’est-ce qui c’est passé ?

Odd lui dit :

Trop long a t’expliquer, allez descendons tous au scanners !

Jérémie, comme d’habitude, entama les procédures habituelles :

Transfert Odd, transfert Ulrich, transfert Aelita. Scanners Odd, scanners Ulrich, scanners Aelita. Virtualistion.

Il fit de même pour Yumi. Toute la petite bande était au complet dans l’aréna. Maintenant, il s’agissait de trouver les données.









Jérémie leur dit :

Premièrement, vous n’avez donc pas de clé à désactiver.
Deuxièmement, j’ai étudié en attendant que vous arriviez pour vous donnez les véhicules dans le 5ème territoire. Ils vous attendent à la sortie de l’aréna.

La bande répondit :

Sir yes sir

Ils courirent vers les véhicules. Jérémie dit :

Allez plus vite que ça !!

Aelita lui fit la remarque :

Bah si tu n’est pas content, viens avec nous alors !

Jérémie répondit :

Oui mais faut bien quelqu’un pour vous rechargez en flèche laser ou pour vous renvoyez les véhicules ou même craquez des codes ! Alors excuse-moi Aelita mais comme je vois qu’il n’y a pas de monstres je pense que vous pouvez allez plus vite !

Pendant qu’il avait dit son discours, les Lyoko guerriers étaient arrivé devant l’interface. Odd, pour détendre l’atmosphère lança :

Allez, on croise tous les doigts !

Aelita regardait, ouvrait fermait plein de fichiers quand soudain, elle tomba sur un document assez intéressant :

Bon, Aelita, si tu tombe là-dessus, c’est que tu veux me revoir moi où ta mère. Sache que j’ai écris et envoyés se document juste avant ma mort. Si tu veux savoir pourquoi ta mère à été enlevé c’est que lorsque j’étais sur le projet Carthage, je fis une erreur volontaire pour me venger d’un ennemi. Les hommes en noir dont tu te souviens ont donc été employer pour enlevé ta mère.

Le visage de Aelita s’était crispé. Mais se fut pire lorsqu’elle lu la suite :

Je ne sais pas plus que toi où est ta mère, et je pense qu’il y a très peu de chance pour que nous la retrouvions. Maintenant, je compte sur tes amis pour te soutenir dans se moment difficile que tu est en train de vivre. Sache que si je l’aurais pu, j’aurai plutôt dû lancer un retour vers le passé pour annuler ma vengeance mais ma colère me fit programmé un programme qui gâcha ma vie et surtout la tienne. Maintenant, Aelita, il faut que tu aille de l’avant, te faire des amis, t’ouvrir au autre même si c’est parfois dure. Plus qu’une seule chose Aelita, NE TE VENGE JAMAIS même si ce qu’on ta fait est horrible. Vas plutôt voir la police mais ne fait jamais comme moi !

N’oublie jamais Aelita, jamais, je t’aime mon ange.










Aelita se mit à pleurer. Ulrich, dit à Jérémie :

Matérialise-nous si tu veux consoler ta chérie !

Odd, très bouleversé, tenta quand même une blague pour détendre l’atmosphère, dit :

Ah bah pour une fois que c’est pas moi qui veut unir des couples ! Mais bon finit de parler, ramène-nous sur terre !

Jérémie dit :

Oui, c’est bon, ça vient !

Quelque seconde plus tard, Jérémie tenait Aelita dans ses bras, la serrai fort, poussé par un désir de protection. Elle n’avait plus personnes ? Si, Jérémie serait la pour elle. Et toute la tribu d’ailleurs. Soudain, Yumi parti en vitesse, sans rien dire à personne. Elle appuya sur le bouton pour descendre à l’étage en dessous. Une fois arrivé dans la salle, elle marmonna :

Bon, maintenant que l’on sait tout, autant éteindre cette machine de malheur.

Elle appuya sur le bouton, et baissa le levier. Dans la pièce au dessus, la lumière s’était éteinte. Jérémie lança :

Yumi a eu une très bonne idée, autant l’éteindre le plus vite possible !

Aelita, dans un sanglot lança :

Jérémie, Odd, Ulrich et Yumi, je vais avoir besoin de vous. Je ne sais pas comment je vais me remettre de toutes ses émotions. Comment surmonter la peine.

Jérémie lui chuchota à l’oreille :

Nous sommes là, et nous le serons toujours Aelita.

Yumi entra dans la pièce, Jérémie ajouta :

N’oublie jamais Aelita, nous sommes là, n’oublie jamais !

Aelita lui cria, exaspéré :

Arrête de me répéter cette phrase de malheur.

Ulrich expliqua à Jérémie :

C’est la phrase que lui a mit son père en conclusion.

Jérémie aussi se rappela alors de la phrase que Aelita lui avait dit lorsqu’elle fesait ses maudit rêve. Odd rajouta :

Faudrait peut-être que l’on retourne au collège.

Il rajouta dans un bâillement :

Ca ma donné envie de dormir toute ses émotions !

Yumi dit à Aelita :

Odd à raison, une bonne nuit de sommeil, enfin si tu arrives à dormir, te fera le plus grand bien.

La troupe fit le trajet contraire. Ils étaient tous bouleverser. Non seulement, il fallait surmonter ses émotions, mais il fallait aussi aider Aelita. Des jours difficiles s’annonçaient devant eux...










Une semaine plus tard, Yumi, Ulrich, Odd et Jérémie s’était a peu près remis de leurs émotions. Mais Aelita, elle n’affichait plus un sourire. Les autres ne savait quoi faire pour l’aider. Pendant le cours de Physique, Jérémie dit à Odd :

Je ne sais pas quoi faire pour elle, j’aimerais tellement l’aider !

Odd ne répondit pas car Mme Hertz rendait des copies. Ce fut au tour de celle d’Aelita :

Mademoiselles Stones, alors là, je suis déçue. Je ne sais pas ce qui vous arrive mais j’espère que c’est temporaire !

Plus tard, pendant la récré.
Jérémie pris la parole et dit à Aelita :

Aelita, ça me rend triste de te voir comme ça ! Il faut que l’on trouve une solution ! On va t’aider Aelita.

Odd donna une idée :

Tu pourrait t’adonner a ta passion : faire de mix, des remix et tout et tout ! Et tu deviendrais la meilleur de DJ !

Yumi donna son avis :

Moi j’aurai une idée plus terre-à-terre : On va passer du temps avec toi, te réconforter...

Jérémie lança :

Ou je pourrai passer tout mon temps libre avec toi, on pourra faire des jeux sur l’ordi et s’aider aux devoirs ou je ne sais pas, plein d’autre truc !

Ulrich dit :

Mais, et pourquoi pas les trois à la fois ! C’est vrai quoi ! Pourquoi ne se contenter d’une seule solution alors que l’on peut en faire trois. Je pourrai aussi te donner des cours d’art martiaux pour rétablir la paix intérieure.

Odd lança :

Bien dit Ulrich ! Jérémie, après les cours, tu remets à niveau Aelita !

Aelita pendant se temps, écoutait les suggestions de ses amis. Elle avait de la chance d’avoir trouvé d’aussi bons amis, toujours présent pour elle. Cet situation lui fesait penser à une chanson des Subdigitals.

Yumi dit alors :

C’est bien jolie de donnée son avis, mais ils faudrait aussi que l’intéresser soit d’accord !

Tous les regards se rivèrent vers Aelita. Elle opina. La tribu avait retrouvé le sourire. Jérémie se dit d’ailleurs qu’il n’allait pas seulement remettre à niveau Aelita. Il avait dans l’idée de lui avouer son amour une bonne fois pour toute.










Le soir, dans la chambre de Jérémie, ce dernier ne s’occupa pas tout de suite de réexpliquer le programme de physique que Aelita n’avait pas compris. Il bégaya :

Euh, Aelita, voila, je vais pas commencer tout de suite par ton rattrapage. Je veux t’avouer quelque chose. Ca fait depuis longtemps que je veux t’en parler mais ma timidité m’en empêchait. Maintenant, je me sens prêt.

Il hésita mais fut porter par le sourire d’Aelita :

Je t’aime.

Ces trois mots eurent pour effet que Aelita et Jérémie s’enlacèrent. Ils restèrent serré ainsi pendant 5 minutes. Puis Jérémie prononça :

Bon allez on s’y met !

Aelita répondit :

Ok, je n’ai pas encore envie de me faire sermonner par Mme Hertz !

Ils travaillèrent pendant toute la soirée. Le lendemain matin, Aelita était plus radieuse que jamais. Elle et Jérémie se tenaient par la main. Odd proposa :

Ce soir, au ciné, il y a À La Croisée Des Mondes ! Ca vous tente !

La tribu répondit affirmativement. La sonnerie retentit. Yumi voulu partir vers sa classe mais Ulrich la pris par le bras et, avant qu’elle n’est pu dire quoi que se soit, il l’embrassa tendrement. Il se sourirent et partirent enfin vers leurs classes respectives. Nos héros ne purent se retrouver pas avant la fin des cours du matin. Ce midi s’était, pour la plus grandes joie d’Odd : Couscous boulettes. Malheureusement pour lui, il n’était pas le seul à apprécier se plat et n’eu pas de rabs. Résultats : un ventre qui gargouilla toute l’après-midi ! Mais il se rattrapa le soir et les amis purent aller tranquillement voir À La Croisée Des Mondes sans avoir des gargouillements toutes les 5 minutes. A la sortie du cinéma, la scène était plus qu’attendrissante. Yumi et Ulrich se tenait bras dessus bars dessous et Jérémie et Aelita se tenait par la main. Jérémie, au bout de quelques minutes, passa sa veste autour d’Aelita qui avait oublié sa veste. Toute la soirée se déroula ainsi. Une fois de retour au collège, Ulrich et Yumi s’embrassèrent plus que passionnément. Dans les chambres, Ulrich alla prendre une douche. Odd ne le suivit pas. Il attendit qu’Ulrich parte pour s’effondrer sur son lit. Il pleurait. On ne savait pas pourquoi. Kiwi avait sauté sur le lit pour tenter de le consoler. Ulrich, revenu au bout de 5 minutes. Quand il vit son ami comme ça, il dit :

Eh ! Qu’est-ce qui t’arrive vieux !

Odd lui répondit :

Rien ! Rien ! Je vais m’en remettre !

Ulrich, soupçonneux lança :

Tu t’est fait largué c’est sa !

Odd ne répondit pas tout de suite. Puis il articula :

Me faire larguer, sa je suis habitué ! Mais pas aux amours platonique !

Ulrich fut surprit et tenta :

Mais avec un gros dragueur comme toi, elle ne devrait pas résister longtemps !

Odd, énervé répondit :

Mais elle est déjà casée ! Et puis dormons ! Ca ira mieux demain !

Ulrich s’endormis en se posant plein de questions. Son ami qui n’avait pas le moral, sa relevait de la science-fiction ! Surtout pour une fille ! D’habitude ! Il devait vraiment y tenir ! Enfin bon, il réglerais sa demain.











Le lendemain, Odd alla mieux. Il dit à Ulrich :

Je pète la forme ! La nuit porte conseil mon pote !

En même tant qu’il avait dit ça, il avait mis une frappe dans le dos d’Ulrich qui lança :

Eh doucement ! Tu va me broyez l’épaule !

Odd lui répondit pour blaguer :

T’es une femmelette ! T’es une femmelette !

Il firent ainsi une course poursuite jusqu’au douche. Au petit déjeuner, toute la tribu était réuni et parlai avec animation. Normal, cet après-midi, madame Hertz avait organisé une sortie en foret pour découvrir la faune. Odd lança joyeusement :

Cool ! Je vais pouvoir promener Kiwi !

Ulrich se vengea alors :

Et puis tu vas aussi draguer les cloportes ! Normal ! Ta déjà draguer toute les filles d’ici, faut bien que tu cherche ailleurs !

Tout le monde éclata de rire sauf Odd qui cherchai quelque chose à répliquer. Dans l’après-midi, dans le foret, chaque binôme était chargé d’observer un animal ou insecte. Pour sont plus grand dépit, Odd se retrouva avec Sissi a étudier... les cloportes ! Jérémie et Aelita, eux, eurent à étudier les lombrics et Yumi et Ulrich s’occupait des écureuils. Yumi et Ulrich était au pied d’un arbre en attendant que ces derniers pointent le bout de leurs nez. Dans la minute qui suivit, un petit écureuil monta sur un arbre juste en face des amoureux. Ulrich prit rapidement l’appareil photo et pris quelque cliché. Yumi mi dit alors :

Que-ce qu’ils sont mignons !

Aelita et Jérémie, de leurs coté avait pris plusieurs photos de lombrics. Jérémie dit :

Je crois que ça suffira !

Ils reprirent alors le chemin du retour en se tenant par la main. Odd et Sissi eux, n’avait prit aucun cliché. Mais Odd avait visiblement perdu le coup de blues d’hier malgré qu’il soit avec Sissi. Bref, le bonheur, tous l’avait trouvé et retrouvé. Ce fut ainsi pendant toutes leurs vies. Leurs amitiés et leurs amours avaient traversé les décennies sans prendre une ride. (Attention, ce qui suit est pour les plus courageux!) Et ils s’étaient aussi organisés pour reposer côte à côte.

Voila! ainsi ce fini ma fic! Mais je vien de trouver une perle de site! je vous met maintenant la version drole de cette fan fic:

RETOUR VERS LE PASSE


Collège «Veni Vidi Vici» Kadic. 5h du matin. Chambre d’Aelita.

Aelita dormait, elle fesait un poivron rouge de rêve, elle dit:

Maman, NON !!

Elle rêvait ceci :

Franz «King of Dicks» Hopper joue du Hamac avec sa psychose, quand, des fesses de bébé en calmer arrivent dans une drosophile de la même couleur.

Homme en estampiller : Monsieur «Blue Eyes» Franz Hopper, vous malaxez regrettez toutes votre club canin d’avoir voulu contrer le bélier Carthage !

A ce moment la, ils défoncèrent la cassolette de st-jacques, trouvèrent Anthéa et la dent de sagesse, sans tournicoter, et l’emmenèrent dans leur fil dentaire.

Franz «pika pika» Hopper : Ils vont me le crachat ! Anthéa NON !!!

Fin du râle de plaisir back

Aelita était complètement bouleverser. Elle ne savait plus quoi penser. Sa gibecière est-t-elle toujours vivante ? Qu’est-ce que sont père avait tant fait pour que ces hommes lui en veillent autant. Les extrême-onctions se bousculaient dans son étoile de shérif. Aujourd’hui, elle confierait ces doutes a la cassette audio. Elle aura le triporteur plus léger.

Récré de 10h.

Aelita de formater ses dreadlocks a Jérémie :

Jérémie, cette nuit, j’ai fait un croissant au beurre très révélateur. Je ne sais pas s’il est poinçonné mais bon. Mon bolide racontait la fragrance dont ma tranche de pastèque a été enlevée. Jérémie, je veux faire des bottes de sept lieues sur ma cité lacustre, je veux l'adouber !

Puis elle rajouta d’une voix plus basse :

Enfin si elle est vivante...

Les autres n’avait pas irrité sont désarroi et Jérémie ne savait pas quoi répondre, sporadiquement si :

Aelita, je ne sais pas comment faire.

Elle lui répondit assez fort, tellement que toute la canne à pêche l’entendit :

Tu ne pourrais pas détruit le pétrolier et trouvé des somnifères sur ma salade de fruits ?

Jérémie, dépassé par tout ça ne savait pas quoi dire. Il ne voulait pas épouiller celle qu’il aime mais avait peur d'entourlouper le boulet de canon :

Aelita, je ne sais pas quoi te dire, une échelle de corde de moi veut te faire emmurer et de l’autre, celle qui ne veux pas prendre de risque. Ce que je te propose, c’est que nous 5 ici présent votions pour vendanger le cheeseburger. Qui est contre pour le réallumer ?

Personne ne leva le ver de terre. Jérémie répondit a cela :

Bon, ça mérite d’être net, ce soir, nous le rallumeront !

Aelita, si nuageuse, se jeta dans les ninjas de Jérémie et l’embrassa tendrement. Jérémie lui dit bouleverser :

Cet attaché-case pas sur que l’on trouve quelque chose !

Une guichetière se fit entendre Aelita répondit a ce moment :

On aura rechercher au moins !

Il partir tous en cours, Italien pour l’une, Paraplégie pour les autres.